Marion et sa cousine chez les naturistes 01.
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Marion et sa cousine chez les naturistes 01.
A l’été 2019, juste après ma douche sensuelle avec mon frère, mon oncle et ma tante m’ont invitée à la Faute sur mer une huitaine de jours, je les vois régulièrement, mais le temps d’une réunion de famille, cette fois, je vais avoir un bon moment pour les découvrir eux et surtout leur unique fille, ma cousine Mélanie, de plus nous couchons dans la même chambre et le même lit. C’est une fille de juste 18 ans, 1 ans de moins que moi, brune cheveux courts, les yeux noirs, bien proportionnée, mais avec des boobs bien plus gros que mes petits seins, bon pas des énormes non plus.
Des la 1ère nuit, la conversation tourne inévitablement sur nos expériences avec les garçons, nous jouons franc jeu, il y a pas d’intérêt a se raconter des sornettes. C’est elle qui commence, mais déception, c’est le vide parfait, rien du tout même pas un petit bisou, elle me dit qu’elle a bien envie, mais avec sa timidité maladive, elle n’ose pas aborder ou même donner un signe à un garçon qu’elle apprécie. Pourtant, je la trouve jolie et attirante, mais elle me dit qu’au lycée, les garçons la considèrent comme une intellectuelle et ça doit pas les aguicher. C’est vrai qu’elle est une brillante élève et ça joue peut être pas pour la dévergonder.
- À toi maintenant, me dit- elle, raconte moi.
- Disons qu’il y a un ans, j’étais dans la même position que toi, pas grand chose sinon que j’avais passé le cap des bisous, mais pas au delà. Et j’ai eu la chance de franchir un grand pas avec l’aide d’une copine Camille. A deux tu comprends, c’est plus facile et cela nous a permis de découvrir les premiers plaisirs du sexe. Nous nous étions mise d’accord pour essayer avec des garçons en vacances qui partaient les jours suivants, car nous voulions juste explorer notre libido et particulièrement les pipes, ça nous attiraient beaucoup.
- Oh moi aussi, ça me plairait beaucoup d’essayer, mais j’aurais honte de demander ça à un garçon!
- Tu sais c’est formidable de sucer un garçon, moi j’aime beaucoup lui donner du plaisir, cela me comble aussi. Et notre 1 ère fois, nous avons eu la chance de le faire à 2 garçons en même temps et puis ça nous a permis de rencontrer d’autres hommes, et d’aller de découvertes en découvertes.
Et là je lui raconte notre histoire que vous connaissez, chers lecteurs, puisqu’elle a été publiée.
- Ah tu déjà vu une bite? Lui demandé-je.
- En vrai, jamais, me dit-elle, je suis toute seule à la maison, et je suis jamais sortie avec un garçon.
- Tu sais qu’à la plage où l’on va, un petit peu plus loin, le naturisme est toléré?
- oui je le sais, j’ai vue des pancartes, oh tu as l’idée d’y faire un tour!
- Oui, une petite balade, ça te dirais? Tu pourrais en contempler sans doutes de toutes les formes, de tous les calibres, de toutes les couleurs.
- Oui, ça sera fascinant, que j’aimerais le faire, et avec toi Marion j’aurais moins peur, je pense être capable de le faire.
- Tu fantasmes d’être toute nue au milieu de garçons qui le soient tout autant ?
- oh oui, l’idée est magnifique, je vais en rêver toute la nuit.
- Je peux t’apprendre à donner un baiser, tu veux?
- Bien sûr Marion, après je pourrais le reproduire avec des garçons.
Je m’approche d’elle et l’enlace, je m’approche doucement pour faire monter l’adrénaline, nos lèvres se touchent presque, je sort ma langue et lèche ses lèvres sensuellement, elle ont encore le goût de son baume, je m’insinue entre ses lèvres, c’est délicieux, elle répond à mes attentes et nos langues se mélangent, nos lèvres se collent, nous échangeons et communiquons nos désirs, nos attirances, nos rêves. Ce baiser dure, il dure, il dure......
Après un moment de repos, étant toutes les 2 un peu retournées, je lui demande.
- Tu veux me montrer ta fente? Moi je la rase depuis 1 an.
Nous nous étions déshabillées dans la salle d’eau chacune notre tour et en nuisette toutes les 2, nous n’avions rien découvert de notre anatomie. Elle est très enthousiaste à la pensée de se montrer l’une à l’autre. Et rien de plus facile, nous sortons de dessous les draps pour s’étendre sur le lit, et nous quittons la nuisette. Nous sommes complètement à poil. Et la vision de nos corps nous passer dans un état de bien être et de plaisir.
- Tu as des seins magnifiques, dis-je, bien ronds et fermes avec des petites aréoles brunes et un bout mignon tout dresse.
Ta nounette, je ne la vois pas perdue dans ce tas de fourrure, regarde la mienne, comment la trouves-tu?
- Oh très belle! Me dit-elle.
- N’as tu pas envie d’en avoir une pareille? Je suis prête à t’en confectionner une identique.
Elle est chaude pour l’accomplir, et nous nous mettons d’accord pour demain matin dans la salle de bain, en essayant d’être discrètes, mais je crois que ses parents ont parlé d’aller au marché, ça nous laissera le champ libre et largement le temps d’opérer.
- Et avec les filles, tu n’as jamais rien fait? Lui demandé-je.
- Non rien.
- Ca te répugne ou pas?
Je crois connaître la réponse, car après le baiser que nous avons échangé, j’ai pas l’impression qu’elle déteste.
- Non, pas d’opposition à priori, me dit-elle, j’ai adoré ton baiser et tu es bien une fille!
- Moi j’ai eu des expériences avec Camille, et ça m’a bien plu, tu voudrais que nous essayons toutes les 2 ?
- Pourquoi pas.
- Bon je te promets de tester, mais après le passage du rasoir, je préfère.
Et nous décidons de nous endormir, mais en ne rajoutant rien et nous blottissant sous les draps en tenue d’Ève, ce qui nous rapprocha encore plus.
- Bonne nuit, me dit-elle.
- fais de beaux rêves, répond-je.
Au petit matin, Mélanie est réveillée de bonne heure, je crois qu’elle est impatiente, elle me bouscule pour aller prendre le petit déjeuner, nous remettons notre nuisette pour sortir de la chambre et filer sur la terrasse, il fait un temps magnifique, nous croisons ses parents, que nous embrassons et qui veulent partir tout de suite au marché de bon matin pour ne pas se retrouver dans la foule et avoir le temps de cuisiner les bons produits de la mer qu’ils vont acheter.
Et donc, nous sommes seules dans la maison, après s’être rassasiées, nous nous dirigeons vers la salle d’eau, je prépare le matériel que j’avais prévu pour bien entretenir ma mounette toute lisse, et installe Mélanie pour sa première intégrale, je prends d’abord une paire de ciseaux, car Mélanie est bien garnie, j’éclaircis tous ça au ras de sa peau avec d’infinies précautions.
Maintenant je peux procéder au rasage proprement dit.
Je pratique comme habituellement je me l’administre, mais je prends évidemment plus de plaisir en touchant pour la première fois la chatte de Mélanie, elle aussi a l’air d’apprécier, car elle ne bouge pas d’un poil, comme immobilisé par l’intensité du plaisir qu’elle ressent, elle me sourit constamment, et bientôt avec ma dextérité coutumière, je lui fait naître une craquette entièrement glabre, elle est super belle comme ça et à son âge c’est normale, elle aussi adore le résultat, maintenant qu’elle a vu comment j’ai fait, elle pourra le reproduire pour conserver sa figue impeccable.
A moi, de rafraîchir la mienne, j’exécute la même manœuvre, et je me retrouve à égalité avec Mélanie: deux chattes irréprochables.
Il est déjà 10 heures, et les parents sont susceptibles de rentrer à tout moment, et comme nous avons très envie de goûter nos abricots si appétissants, nous décidons de partir se promener et de le faire dans la nature.
Nous prenons un sac à dos pour emporter une couverture, et nous enfilons juste des petits robes assez courtes, sans autre vêtement. Pour Mélanie c’est la 1ère fous qu’elle sort sans culotte et ça l’excite beaucoup. Justement, près de la mer et ce matin en particulier, il y a un vent fripon qui soulève par moment nos robes. Avant de sortir du petit village pour nous diriger vers un petit bois, nous croisons plusieurs personnes et c’est stimulant de faire monter notre température en risquant qu’une personne découvre notre nudité sous la robe. Mais ce jour-là je pense que personne ne l’a remarqué ou alors nous ne nous en sommes pas aperçues, pourtant parfois pour aider à la chose et faire rigoler l’autre, après avoir croisé quelqu’un, nous nous soulevons l’arrière de la jupe pour montrer nos fesses ou même mieux nous nous retournons en marchant à reculons pour soulever l’avant de la jupe et découvrir cette fois nos fentes.
Bientôt nous arrivons à l’orée du bois, il faut trouver un coin tranquille où nous pourrons goûter au bonheur de nous faire une fricassé de minous.
En nous engageant dans le chemin qui pénètre dans le bois, je propose à Mélanie d’enlever nos robes pour cheminer nues dans la nature et elle trouve l’idée excellente, nous quittons et remisons celles-ci dans le sac à dos. Nos cœurs s’accélèrent ensemble, à cause du risque de croiser un ou des promeneurs. Mais c’est le piquant de la chose, et malheureusement ou heureusement ce matin là nous n’avons aperçu personne.
Et nous découvrons un petit coin de verdure, un coussin d’herbe verte où nous étendons la couverture, je fais coucher Mélanie sur le dos, je vais tenter de lui donner du plaisir et j’espère qu’elle va aimer.
A suivre.
Des la 1ère nuit, la conversation tourne inévitablement sur nos expériences avec les garçons, nous jouons franc jeu, il y a pas d’intérêt a se raconter des sornettes. C’est elle qui commence, mais déception, c’est le vide parfait, rien du tout même pas un petit bisou, elle me dit qu’elle a bien envie, mais avec sa timidité maladive, elle n’ose pas aborder ou même donner un signe à un garçon qu’elle apprécie. Pourtant, je la trouve jolie et attirante, mais elle me dit qu’au lycée, les garçons la considèrent comme une intellectuelle et ça doit pas les aguicher. C’est vrai qu’elle est une brillante élève et ça joue peut être pas pour la dévergonder.
- À toi maintenant, me dit- elle, raconte moi.
- Disons qu’il y a un ans, j’étais dans la même position que toi, pas grand chose sinon que j’avais passé le cap des bisous, mais pas au delà. Et j’ai eu la chance de franchir un grand pas avec l’aide d’une copine Camille. A deux tu comprends, c’est plus facile et cela nous a permis de découvrir les premiers plaisirs du sexe. Nous nous étions mise d’accord pour essayer avec des garçons en vacances qui partaient les jours suivants, car nous voulions juste explorer notre libido et particulièrement les pipes, ça nous attiraient beaucoup.
- Oh moi aussi, ça me plairait beaucoup d’essayer, mais j’aurais honte de demander ça à un garçon!
- Tu sais c’est formidable de sucer un garçon, moi j’aime beaucoup lui donner du plaisir, cela me comble aussi. Et notre 1 ère fois, nous avons eu la chance de le faire à 2 garçons en même temps et puis ça nous a permis de rencontrer d’autres hommes, et d’aller de découvertes en découvertes.
Et là je lui raconte notre histoire que vous connaissez, chers lecteurs, puisqu’elle a été publiée.
- Ah tu déjà vu une bite? Lui demandé-je.
- En vrai, jamais, me dit-elle, je suis toute seule à la maison, et je suis jamais sortie avec un garçon.
- Tu sais qu’à la plage où l’on va, un petit peu plus loin, le naturisme est toléré?
- oui je le sais, j’ai vue des pancartes, oh tu as l’idée d’y faire un tour!
- Oui, une petite balade, ça te dirais? Tu pourrais en contempler sans doutes de toutes les formes, de tous les calibres, de toutes les couleurs.
- Oui, ça sera fascinant, que j’aimerais le faire, et avec toi Marion j’aurais moins peur, je pense être capable de le faire.
- Tu fantasmes d’être toute nue au milieu de garçons qui le soient tout autant ?
- oh oui, l’idée est magnifique, je vais en rêver toute la nuit.
- Je peux t’apprendre à donner un baiser, tu veux?
- Bien sûr Marion, après je pourrais le reproduire avec des garçons.
Je m’approche d’elle et l’enlace, je m’approche doucement pour faire monter l’adrénaline, nos lèvres se touchent presque, je sort ma langue et lèche ses lèvres sensuellement, elle ont encore le goût de son baume, je m’insinue entre ses lèvres, c’est délicieux, elle répond à mes attentes et nos langues se mélangent, nos lèvres se collent, nous échangeons et communiquons nos désirs, nos attirances, nos rêves. Ce baiser dure, il dure, il dure......
Après un moment de repos, étant toutes les 2 un peu retournées, je lui demande.
- Tu veux me montrer ta fente? Moi je la rase depuis 1 an.
Nous nous étions déshabillées dans la salle d’eau chacune notre tour et en nuisette toutes les 2, nous n’avions rien découvert de notre anatomie. Elle est très enthousiaste à la pensée de se montrer l’une à l’autre. Et rien de plus facile, nous sortons de dessous les draps pour s’étendre sur le lit, et nous quittons la nuisette. Nous sommes complètement à poil. Et la vision de nos corps nous passer dans un état de bien être et de plaisir.
- Tu as des seins magnifiques, dis-je, bien ronds et fermes avec des petites aréoles brunes et un bout mignon tout dresse.
Ta nounette, je ne la vois pas perdue dans ce tas de fourrure, regarde la mienne, comment la trouves-tu?
- Oh très belle! Me dit-elle.
- N’as tu pas envie d’en avoir une pareille? Je suis prête à t’en confectionner une identique.
Elle est chaude pour l’accomplir, et nous nous mettons d’accord pour demain matin dans la salle de bain, en essayant d’être discrètes, mais je crois que ses parents ont parlé d’aller au marché, ça nous laissera le champ libre et largement le temps d’opérer.
- Et avec les filles, tu n’as jamais rien fait? Lui demandé-je.
- Non rien.
- Ca te répugne ou pas?
Je crois connaître la réponse, car après le baiser que nous avons échangé, j’ai pas l’impression qu’elle déteste.
- Non, pas d’opposition à priori, me dit-elle, j’ai adoré ton baiser et tu es bien une fille!
- Moi j’ai eu des expériences avec Camille, et ça m’a bien plu, tu voudrais que nous essayons toutes les 2 ?
- Pourquoi pas.
- Bon je te promets de tester, mais après le passage du rasoir, je préfère.
Et nous décidons de nous endormir, mais en ne rajoutant rien et nous blottissant sous les draps en tenue d’Ève, ce qui nous rapprocha encore plus.
- Bonne nuit, me dit-elle.
- fais de beaux rêves, répond-je.
Au petit matin, Mélanie est réveillée de bonne heure, je crois qu’elle est impatiente, elle me bouscule pour aller prendre le petit déjeuner, nous remettons notre nuisette pour sortir de la chambre et filer sur la terrasse, il fait un temps magnifique, nous croisons ses parents, que nous embrassons et qui veulent partir tout de suite au marché de bon matin pour ne pas se retrouver dans la foule et avoir le temps de cuisiner les bons produits de la mer qu’ils vont acheter.
Et donc, nous sommes seules dans la maison, après s’être rassasiées, nous nous dirigeons vers la salle d’eau, je prépare le matériel que j’avais prévu pour bien entretenir ma mounette toute lisse, et installe Mélanie pour sa première intégrale, je prends d’abord une paire de ciseaux, car Mélanie est bien garnie, j’éclaircis tous ça au ras de sa peau avec d’infinies précautions.
Maintenant je peux procéder au rasage proprement dit.
Je pratique comme habituellement je me l’administre, mais je prends évidemment plus de plaisir en touchant pour la première fois la chatte de Mélanie, elle aussi a l’air d’apprécier, car elle ne bouge pas d’un poil, comme immobilisé par l’intensité du plaisir qu’elle ressent, elle me sourit constamment, et bientôt avec ma dextérité coutumière, je lui fait naître une craquette entièrement glabre, elle est super belle comme ça et à son âge c’est normale, elle aussi adore le résultat, maintenant qu’elle a vu comment j’ai fait, elle pourra le reproduire pour conserver sa figue impeccable.
A moi, de rafraîchir la mienne, j’exécute la même manœuvre, et je me retrouve à égalité avec Mélanie: deux chattes irréprochables.
Il est déjà 10 heures, et les parents sont susceptibles de rentrer à tout moment, et comme nous avons très envie de goûter nos abricots si appétissants, nous décidons de partir se promener et de le faire dans la nature.
Nous prenons un sac à dos pour emporter une couverture, et nous enfilons juste des petits robes assez courtes, sans autre vêtement. Pour Mélanie c’est la 1ère fous qu’elle sort sans culotte et ça l’excite beaucoup. Justement, près de la mer et ce matin en particulier, il y a un vent fripon qui soulève par moment nos robes. Avant de sortir du petit village pour nous diriger vers un petit bois, nous croisons plusieurs personnes et c’est stimulant de faire monter notre température en risquant qu’une personne découvre notre nudité sous la robe. Mais ce jour-là je pense que personne ne l’a remarqué ou alors nous ne nous en sommes pas aperçues, pourtant parfois pour aider à la chose et faire rigoler l’autre, après avoir croisé quelqu’un, nous nous soulevons l’arrière de la jupe pour montrer nos fesses ou même mieux nous nous retournons en marchant à reculons pour soulever l’avant de la jupe et découvrir cette fois nos fentes.
Bientôt nous arrivons à l’orée du bois, il faut trouver un coin tranquille où nous pourrons goûter au bonheur de nous faire une fricassé de minous.
En nous engageant dans le chemin qui pénètre dans le bois, je propose à Mélanie d’enlever nos robes pour cheminer nues dans la nature et elle trouve l’idée excellente, nous quittons et remisons celles-ci dans le sac à dos. Nos cœurs s’accélèrent ensemble, à cause du risque de croiser un ou des promeneurs. Mais c’est le piquant de la chose, et malheureusement ou heureusement ce matin là nous n’avons aperçu personne.
Et nous découvrons un petit coin de verdure, un coussin d’herbe verte où nous étendons la couverture, je fais coucher Mélanie sur le dos, je vais tenter de lui donner du plaisir et j’espère qu’elle va aimer.
A suivre.
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