Marion et ses astuces pendant le confinement 01. - histoire érotique

Ce printemps, avec le confinement nous avons tous connu des bouleversements dans nos habitudes liés aux replis sur soi et enfermement dans nos habitations.

Le confinement imposé nous a tous perturbé, pour ma part, la FAC étant fermée, j’ai abandonné ma résidence universitaire pour me réfugier dans la maison familiale avec mes parents et mes 2 frères qui eux aussi ont dû quitter leur FAC.

Confinée comme cela exceptée de rares sorties autorisées, les rencontres et possibilités de coquineries habituelles sont vite devenues nulles, même le réconfort qu’aurait pu m’apporter Camille n’a pas été possible, habitant à plus d’un KM de chez moi, pas beaucoup plus mais du mauvais côté de l’échelle, j’ai vérifié sur internet et le nombre de 1,350 KM s’est affiché à mon grand écœurement.

Et devinez ce qui me manquait le plus à cette période? Vous avez trouvé? Je vous laisse quelques secondes le temps de lire cette phrase. Et bien oui, c’est de goûter de nouvelles bites de garçons, de les sentir vibrer dans ma bouche, de les rendre dure comme de la pierre, de regarder fondre de plaisir les jeunes ou moins jeunes hommes, de les mener au bord de l’explosion, de sentir qu’ils ne peuvent plus faire marche arrière, que l’issue va être fatale, et je mets ces sujets, pas de sa majesté, mais de mes études aux pluriels car c’est encore meilleur quand ils sont plusieurs et le moment le plus fort pour moi: c’est l’offrande qu’ils me font, le cadeau qu’ils me déversent dans la bouche.
Sentir leur liquide d’amour me la remplir de jets puissants ou délicats, j’apprécie les 2, et déguster ce don en montrant aux garçons qui me l’ont offert, le bonheur d’avaler ce breuvage et de garder le goût chaque fois différent des heureux bienfaiteurs. Des pipes intégrales, comme nous les appelons avec Camille, c’est vraiment le sommet de l’enchantement.

Mais avec ce putain de confinement, pas le moindre spermatozoïde à ce mettre sous la dent. Bien sûr j’ai quelques menues compensations avec mes frères qui ont pris l’habitude de prendre la douche du matin avec moi. Mes parents travaillant tous les 2 à l’extérieur, nous sommes seuls à la maison. La chose est venue tout naturellement, possédant une grande douche à l’italienne nous pouvons tenir à 3 même si cela nous rapproche dangereusement ce qui n’est pas pour me déplaire.

La 1ère fois se trouvant en même temps à passer par la salle de bain, nous avons enlevé nos vêtements de nuit et nous nous sommes retrouvés nus comme des vers mais heureux d’être ensemble dans cet état.

Ce n’est pas la 1ère fois que je les voyais nus mais jamais tous les 2 en même temps.
Et spontanément nous sommes passés sous la douche à l’unisson.

Maintenant la pratique est devenue journalière, et nous avons grand plaisir à renouveler la chose chaque matin. Nous nous savonnons, récurons, rinçons, caressons et séchons mutuellement, moi j’ai plus de travail car je le fais pour les 2. Quant à eux, je subis un concert à 4 mains sur mon corps ce qui est encore plus agréable.

Cela me permet de toucher des bites et de recevoir quelques réconforts sur ma fente, mais nous restons très sages sans aller plus loin, même si nous insistons sur les parties les plus intéressantes de notre anatomie aux prétextes de bien les nettoyer.
Ces moments très érotiques me permettent de ne pas rester frustrée et en manque comme un toxico sans sa drogue.

2 fois par semaine nous procédons aux rasages de nos parties intimes, toujours en commun. Souvenez-vous Victor mon grand frère tout comme moi sommes adeptes de cet esthétisme, mais Théo, mon jeune frère n’a pas sauter le pas. Pourtant il n’y a pas grand travail sur son corps blond naturel, il ne possède qu’une pilosité restreinte et discrète même autour de sa queue et c’est sans trop de peine que nous arrivons à le convaincre de s’adonner à cette pratique.

Ce fut un honneur, pour moi de lui faire sa 1ère fois et je crois que ses futurs conquêtes n’auront pas à se plaindre tellement je trouve que cela embellit sa bite.

Tout cela pour vous dire que je tripote un peu quand même de la queue, mais j’ai une terrible envie d’en sucer et pour cela je vais utiliser un stratagème de mon invention sans déroger aux règles du confinement.

J’ai pensé que mon petit voisin pourrait peut-être être intéressé, le seul et unique fils de mes voisins nouvellement installés à côté depuis 1 an environ me paraît intéressant, physiquement il n’y a pas de reproche à lui faire, même que je trouve qu’il a un très bon goût vestimentaire, mais je ne sais pas grand chose d’autre sur lui juste qu’il est en terminale et que bien sûr son lycée est fermé, ses parents comme les miens travaillent la journée ce qui m’arrange plutôt et me laisse le champ libre. Mais à part bonjour ou bonsoir très courtois je dois le dire, nous n’avons jamais tenu de longues conversations ensemble.

Pour l’attirer vers moi, en évitant le rentre dedans mais voulant rester discrète et naturelle, j’ai envisagé dans ces beaux jours avec un soleil magnifique, de me faire bronzer dans le plus simple appareil, peut être aurais-je la chance qu’il me remarque et veuille se rincer l’œil de plus près, en tout cas je ferais tout pour.

Pour cela je choisi un emplacement adéquat, la fenêtre de sa chambre située au 1er étage étant ouverte, je me place de manière à ce que cela lui permettre de m’apercevoir en regardant à l’extérieur, et une rangée de troènes entre nos clôtures, luifacilitera une approche discrète s’il est intéressé, ce que je ne doute pas une seconde.

J’ai remarqué que parfois il se lève devant sa fenêtre, je pense que son bureau est juste devant, et ce jour-là je l’ai aperçu le faire plusieurs fois. De plus une jolie musique douce s’échappe de cette chambre signe qu’il doit peut être étudier pour son BAC, mais moi j’ai envie qu’il s’intéresse à d’autres études......

J’installe mon bain de soleil en le positionnant légèrement de côté pour ne pas être perpendiculaire, pour qu’il puisse avoir une vue d’ensemble et plongeante sans aucun doute sur mon costume d’Eve. Juste un chapeau de soleil pour me garantird’une insolation et mes claquettes, je sors de la maison toute nue en tenant un livre à la main pour me donner un peu de contenance. Vous connaissez mon penchant pour l’exhibition, j’ai déjà une sensation d’excitation en m’approchant de mon siège a cause de ma tenue naturel de venue au monde et de la possibilité d’être entr’aperçue par Hugo, c’est le 3ème prénom inscrit sur leur boîte aux lettres, alors je suppose que c’est le sien.

Je pose mes chaussures et m’installe sur mon relax, bien allongée, mon chapeau ajuste de manière à pouvoir observer secrètement la dite fenêtre, le livre alibi ouvert sur mon ventre pour donner le change, j’attends les événements.

A suivre.