Marion, finalement infidèle
Récit érotique écrit par Phily [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 12 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Phily ont reçu un total de 117 995 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 16 561 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Marion, finalement infidèle
Je m’appelle Marion et j’ai 24 ans. Je suis brune, mesure 1m65 pour 54 Kg avec une petite poitrine, 85B. je suis avec Paul depuis mes 17 ans et mariée avec lui depuis 2 ans. Je n’ai eu aucune histoire d’amour avant lui et c’est donc lui qui m’a tout appris côté sexe et je ne lui refuse rien.
Si certaines femmes se cachent derrière une monotonie dans leur couple ou la baisse de libido du conjoint voir des relations tendues pour commettre l’adultère, ce n’est pas mon cas. Mon couple se porte bien mais voilà, je n’ai connu qu’un seul homme et j’ai envie de connaître d’autres plaisirs ou pas, nous verrons bien.
J’y pense depuis le jour de mon mariage. Je ne connaissais pas 1/3 des invités, famille plus ou moins proche de Paul. Pour la soirée, j’avais troqué ma robe de mariée pour une robe de soirée plutôt échancrée. Tous les hommes voulaient danser avec moi. Ce fut le tour d’un oncle éloigné d’une quarantaine d’années. J’avais les seins contre sa poitrine et ses mains étaient posées au-dessus des hanches sur ma chute des reins. Il me questionna sur ma relation avec Paul et moi naïvement et légèrement pompette lui ai confié que c’était le seul homme de ma vie et que j’en était fière. En caressant mon dos, il me dit que si ce n’était pas le jour de mon mariage… et laissa la phrase en suspens. De retour auprès de mon mari, il me dit de me méfier de son oncle, célibataire endurci, il était un coureur de jupon et qu’il ne devait plus compter ses conquêtes. Je lui ai juste dit qu’effectivement, il avait été tactile. Mais depuis ce jour, si je n’ai pas franchi le pas de l’adultère, j’y pensais tout le temps et ça devenait une obsession. Si bien que je regardais les hommes comme des proies potentielles.
Ça y est, j’ai craqué une première fois. Avec l’arrivée du printemps, mes tenues étaient plus légères et mon regard sur les hommes me trahissait. Mon boss m’a convoqué car nous devions finaliser un dossier ensemble, ce qui n’était pas inhabituelle. A 18 heures nous n’avions pas encore terminé. Je suis allé dans mon bureau, prévenir mon mari. Il n’y avait plus personne dans les bureaux. De retour dans le bureau de mon boss, il était sur son canapé et avait préparé une boisson fraiche et me proposa de se détendre 5 mn avant de reprendre. Assise à ses côtés, il a dégagé ma chevelure pour caresser mon cou puis mes joues.
« Tu es très jolie, Marion Merci patron mais nous devrions retourner travailler.
Détends-toi, Marion. A ce moment, il déposa un baiser dans mon cou.
Mais, patron, que faites-vous, je suis mariée. »Sans un mot, il posa une main sur un sein. Je fermais les yeux pour imaginer que c’était Paul mais rien à faire, l’image ne me venait pas et puis je voulais voir. Il dégagea le nœud qui lui permit de libérer ma poitrine. Il se pencha et sa bouche se posa sur un sein. L’envie me venait et je lui ai caressé la tête. Une main se faufila sous ma robe et caressa l’intérieur de mes cuisses. Instinctivement j’écarta mes jambes et il put atteindre ma culotte et passa dessous. J’étais à sa merci et consentante alors, je laissais un soupir s’échapper de ma bouche. Il se dégagea, se défit et fit apparaître son sexe. Il me prit la tête et la dirigea vers son membre raide.
« Suce moi Marion » ce que je fis avec applicationIl sortit un préservatif de je ne sais où et me le donna pour que je le lui enfile. S’il avait encore un doute, ce geste signifiait mon acceptation de baiser avec lui. Une fois appareillé, il m’allongea sur le canapé.
« Retire ta robe et ta culotte, je veux te voir nue. »Une fois dévêtue, il s’allongea sur moi.
« Depuis le temps que j’ai envie de toi, je vais me faire un plaisir de te baiser » me dit-il avant de me pénétrer.
Le fait de sentir un autre sexe que celui de Paul m’a fait jouir instantanément. Je le serrais dans mes bras, lui caressais le dos et l’embrassais pour ne pas faire trop de bruit. Nous étions tout de même au bureau. Avec Paul, je faisais l’amour. Là, je me faisais vraiment baiser. La différence c’est qu’il prenait moins soin de moi et n’hésitait pas à me donner de grand coup de bite. J’ai adoré la position de la cuillère car je le sentais encore plus loin en moi pendant qu’il me malaxait les seins. J’ai presque regretté lorsque je l’ai senti jouir au fond de sa capote car j’aurais voulu que ça dure encore. Nous sommes restés encore un peu emboité l’un dans l’autre avant de se désunir. Je me suis fait une toilette dans la salle d’eau, pièce que je découvrais.
« Finalement, le dossier n’est pas si urgent, on finira demain. Rentre retrouver ton petit mari. »Un peu vexé d’être congédiée de la sorte, je quittai son bureau sans un mot ni aucun geste. Sur le retour je me suis aperçu que je n’avais aucun remords et m’avouai avoir pris beaucoup de plaisir.
Avec mon boss, on a remis ça trois fois mais cette fois à l’hôtel entre midi et deux. Je le suivais en connaissance de cause alors plus besoin de séduction, j’étais déjà sous le charme de cet homme de deux fois mon âge. Les préliminaires étaient plus longs et si de mon côté, je le suçais toujours avec application, j’avais le droit à un cunnilingus qui me faisait décoller à chaque fois. Les positions étaient aussi variées, le missionnaire normal et inversé, la cuillère et bien sur la levrette. Nous avons aussi baisé debout avec une de mes jambes l’entourant ou carrément ses mains tenant mes fesses alors que je l’enserrais de mes deux jambes. La deuxième fois alors que je venais de le finir dans ma bouche et que nous étions étendus dans le lit, il me demanda.
« Tu sais Marion, j’aimerais de prendre par derrièreTu veux dire m’enculerJe n’ai pas osé utiliser ce terme mais oui, c’est ça.
En fait, j’aurais préféré que tu prennes l’initiative mais puisque tu le demandes, la prochaine fois alors ».
Je me suis donc entièrement donnée à lui pour un plaisir partagé.
La dernière fois, il avait une forme olympique. Il était plus dur que d’habitude et une endurance plus importante. Je me suis même demandé s’il n’avait pas pris du viagra. Il a utilisé plusieurs capotes car après m’avoir sodomisé, il changeait de préservatif avant de revenir entre mes jambes. J’ai eu plusieurs orgasmes. J’ai mis un terme à notre aventure en restant sur cette impression.
Pour mes 25 ans, Paul m’a offert un soin en institut avec sauna, massage et soin du corps. Sous mes habits j’avais mis un maillot de bain, les serviettes étaient fournies par le salon. Une charmante hôtesse m’accueilli et m’accompagna jusqu’à le vestiaire. Pour accéder au sauna, je m’étais couverte de ma serviette. Il y avait un homme et une femme qui s’embrassaient. Tous les trois sur nos serviettes, nous transpirions. L’homme rajouta de l’eau dans le poêle où brulaient des pierres incandescentes. Tout en me regardant, la femme caressa le sexe de son compagnon à travers son maillot de bain. Je regardais sa main sur cette bosse qui se formait. Elle me sourit en dégagea le sexe de l’homme qu’elle caressa. Elle me fit signe de venir mais je refusai. Je ne crois pas que c’était un sauna libertin mais ces deux-là prenaient leurs aises. Elle se mit à le sucer. En spectatrice excitée, je dégageai mes seins pour les caresser. L’homme regardait ma poitrine gonfler en tenant la tête de sa femme qui l’avait toujours en bouche. Je me suis finalement approchée d’eux. Immédiatement, l’homme a malaxé puis embrassé mes seins tandis que la femme caressait l’intérieur de ma cuisse. Ses doigts passèrent sous l’élastique de mon bas de maillot. Ma main fut dirigée sur le sexe de l’homme que je caressai. La femme retira son maillot et vint s’empaler sur le sexe de son homme. Je me suis rajustée et les ai laissés à leurs accouplements en me dirigeant vers le box de massage, déjà bien excitée. Elle commença par me masser les épaules. Pour le dos, elle détacha le haut de mon maillot. Ensuite, les jambes jusqu’à l’intérieur des cuisses. Elle me demanda de me retourner et retira mon haut du maillot. Le massage de mes seins ressemblait plus à des caresses, ce qui me fit réagir. Je fermai les yeux pour apprécier d’avantage la caresse. Elle reprit du gel et posa une main en haut qui passait d’un sein à l’autre et l’autre main massait mon ventre. Sa main se faufila sous le maillot et machinalement j’écartais les jambes. A ce moment-là, on l’appela et après un échange avec son remplaçant, un homme est entré. Aussitôt je cachai mes seins de mes bras. Il se positionna derrière moi et massa mon cou et mes épaules. Pas gêné par mes bras, il se glissa dessous pour masser mes seins. Pas particulièrement pudique, j’ai mis mes bras le long de mon corps. Là aussi c’étaient plutôt des caresses et pour ne pas l’encourager par des petites plaintes, je me mordis les lèvres. Il se positionna sur le côté et massa mon sexe à travers le maillot. J’ai écarté les jambes et ne retint plus mes gémissements. Il ne se contenta pas de passer sous le maillot mais le retira. Il me massait le clitoris lorsque la première masseuse entra à nouveau dans le box. Elle regarda le masseur incérer des doigts dans mon sexe en caressant mes seins. Le masseur s’est approché de ma tête et m’a présenté son sexe que je me suis mise à sucer. La masseuse enfonça 3 doigts dans mon sexe et le plaisir rendait difficile la fellation que je prodiguais. Du coup, muni d’un préservatif, il s’installa entre mes jambes et me baisa en me faisant bien jouir. Il avait une façon de faire qui me donnait l’impression d’être totalement remplie de son sexe que je soupçonnais de toucher des parois jamais explorées.
Le soin du corps qui suivi fut si agréable que je me suis assoupi.
Je me sens un peu salope vis-à-vis de Paul mais s’il me fait bien l’amour, je ne regrette pas d’avoir baisé et d’avoir connu d’autres plaisirs même si c’est avec d’autres partenaires.
Quelques temps plus tard, nous sommes invités au mariage d’une cousine de Paul. Evidemment, l’oncle célibataire endurci de Paul faisait partie des invités et était à la même table que nous. Finalement, il était plutôt marrant et animait notre table. Il nous faisait rire et boire aussi. Lorsque le bal fut ouvert, il m’invita à danser. Aucun geste ni parole déplacée envers moi. J’étais plutôt soulagé.
La salle se vidait petit à petit. Paul avait du mal à se tenir debout. Lorsque les mariés sont partis, beaucoup ont suivis le pas. Nous n’étions plus que cinq à rester. L’oncle Arthur, un couple d’une bonne trentaine d’années et ami d’Arthur, Paul qui s’était écroulé sous une table et moi.
Arthur s’est improvisé DJ et a mis des slows. Nous dansions tous les 4 sous une lumière tamisée. Arthur s’était collé à moi et caressait mon dos nu et a tenté de m’embrasser dans le cou. Voyant ma gêne, la fille du couple m’a arraché des bras d’Arthur et s’est mis à danser avec moi tandis que les hommes s’étaient assis pour nous regarder. Je me sentais paisible dans les bras de cette fille d’autant que l’alcool embrumait mon esprit. A aucun moment je n’ai imaginé que c’était une amie d’Arthur et que ses intentions n’étaient pas si protectrices que ça. Je l’ai laissé me serrer et caresser mon dos à son tour et me dire que j’étais belle. Lorsqu’elle m’a embrassé le cou, j’ai eu un frisson. Comment pouvais-je avoir cette sensation avec une fille, plutôt une femme. Ses mains se sont posaient sur mes fesses en les malaxaient délicatement. Je ne sais pas ce qui m’a pris mais j’ai répondu à son baiser. Là, ses mains ont retroussé ma robe pour me caresser sous la culotte. J’ai senti Arthur se coller dans mon dos et je me suis cambrée pour coller mes fesses à lui. Mon esprit réprimandait mon attitude mais mon corps sollicitait des attouchements. La femme me retourna pour me mettre face à Arthur et nos langues se sont immédiatement mêlées. J’étais sous leur emprise et je ne voulais pas les arrêter. La femme a fait glisser mes bretelles et a fait tomber au sol, ma robe. J’étais donc seins nus, juste en culotte dans les bras d’Arthur. Ce n’était plus la femme mais son mari qui était dans mon dos. J’ai penché ma tête en arrière pour l’embrasser. Je me suis retrouvé à caresser dans chaque main le sexe d’un homme. Toujours présente, la femme a appuyer sur mes épaules pour que je m’agenouille. A hauteur, leur sexe alternait dans ma bouche. Je faisais de mon mieux pour les engloutir le plus profondément possible. La femme s’est accroupie à son tour et a enfoui sa main sous ma culotte. J’étais trempé et une envie folle de me faire sauter. Lorsque je me suis relevé, la femme a retenu ma culotte et me l’a retiré. J’ai été porté sur une table, les jambes pendantes. Arthur s’est positionné et m’a regardé dans les yeux tandis que son sexe s’enfonçait en moi. Bien que la situation soit excitante, la femme suçait son mari pour le maintenir en forme. Je me suis lâchée et entre deux gémissements, je décrivais ce que je ressentais.
« Oh, c’est bon, je la sens bien, elle est bonne ta bite. Oui, vas-y plus vite. Baise-moi vieux cochon » Puis, ce fut le tour au mari. Je n’avais pas envie de me refuser à lui. C’est avec lui que j’ai explosé dans un orgasme dévastateur. Arthur se faisait sucer par la femme. Après ma jouissance, le mari a relevé mes jambes sur ses épaules et a présenté son sexe devant mon petit trou qui s’était dilaté tout seul sous le plaisir. Il s’enfonça sans réelle difficulté en disant aux autres qu’il m’enculait. J’adore ça et je pense que j’aurais fini par le réclamer. Je me suis retrouvé empalé sur le mari tandis qu’Arthur me prenant le cul. Ma première DP fut merveilleuse. Jamais je n’avais autant joui et c’est pour ça que je les ai laissé se finir dans ma bouche.
Nous avons ramené Paul à l’hôtel et nous l’avons couché. Arthur m’a entrainé dans la chambre de ses amis où nous avons baisé tous les 4. C’est la femme qui a eu le droit à une DP et je suis persuadé que ce n’était pas la première fois avec ces 2 partenaires. Sous mes yeux médusés, ils lui ont même fait une double anal.
Le lendemain, Arthur a discuté avec Paul au brunch. Il a dit à Paul qu’il en tenait une belle la veille et il s’est vanté de s’être tapé une belle nana. Si Paul savait que c’était moi !!
Si certaines femmes se cachent derrière une monotonie dans leur couple ou la baisse de libido du conjoint voir des relations tendues pour commettre l’adultère, ce n’est pas mon cas. Mon couple se porte bien mais voilà, je n’ai connu qu’un seul homme et j’ai envie de connaître d’autres plaisirs ou pas, nous verrons bien.
J’y pense depuis le jour de mon mariage. Je ne connaissais pas 1/3 des invités, famille plus ou moins proche de Paul. Pour la soirée, j’avais troqué ma robe de mariée pour une robe de soirée plutôt échancrée. Tous les hommes voulaient danser avec moi. Ce fut le tour d’un oncle éloigné d’une quarantaine d’années. J’avais les seins contre sa poitrine et ses mains étaient posées au-dessus des hanches sur ma chute des reins. Il me questionna sur ma relation avec Paul et moi naïvement et légèrement pompette lui ai confié que c’était le seul homme de ma vie et que j’en était fière. En caressant mon dos, il me dit que si ce n’était pas le jour de mon mariage… et laissa la phrase en suspens. De retour auprès de mon mari, il me dit de me méfier de son oncle, célibataire endurci, il était un coureur de jupon et qu’il ne devait plus compter ses conquêtes. Je lui ai juste dit qu’effectivement, il avait été tactile. Mais depuis ce jour, si je n’ai pas franchi le pas de l’adultère, j’y pensais tout le temps et ça devenait une obsession. Si bien que je regardais les hommes comme des proies potentielles.
Ça y est, j’ai craqué une première fois. Avec l’arrivée du printemps, mes tenues étaient plus légères et mon regard sur les hommes me trahissait. Mon boss m’a convoqué car nous devions finaliser un dossier ensemble, ce qui n’était pas inhabituelle. A 18 heures nous n’avions pas encore terminé. Je suis allé dans mon bureau, prévenir mon mari. Il n’y avait plus personne dans les bureaux. De retour dans le bureau de mon boss, il était sur son canapé et avait préparé une boisson fraiche et me proposa de se détendre 5 mn avant de reprendre. Assise à ses côtés, il a dégagé ma chevelure pour caresser mon cou puis mes joues.
« Tu es très jolie, Marion Merci patron mais nous devrions retourner travailler.
Détends-toi, Marion. A ce moment, il déposa un baiser dans mon cou.
Mais, patron, que faites-vous, je suis mariée. »Sans un mot, il posa une main sur un sein. Je fermais les yeux pour imaginer que c’était Paul mais rien à faire, l’image ne me venait pas et puis je voulais voir. Il dégagea le nœud qui lui permit de libérer ma poitrine. Il se pencha et sa bouche se posa sur un sein. L’envie me venait et je lui ai caressé la tête. Une main se faufila sous ma robe et caressa l’intérieur de mes cuisses. Instinctivement j’écarta mes jambes et il put atteindre ma culotte et passa dessous. J’étais à sa merci et consentante alors, je laissais un soupir s’échapper de ma bouche. Il se dégagea, se défit et fit apparaître son sexe. Il me prit la tête et la dirigea vers son membre raide.
« Suce moi Marion » ce que je fis avec applicationIl sortit un préservatif de je ne sais où et me le donna pour que je le lui enfile. S’il avait encore un doute, ce geste signifiait mon acceptation de baiser avec lui. Une fois appareillé, il m’allongea sur le canapé.
« Retire ta robe et ta culotte, je veux te voir nue. »Une fois dévêtue, il s’allongea sur moi.
« Depuis le temps que j’ai envie de toi, je vais me faire un plaisir de te baiser » me dit-il avant de me pénétrer.
Le fait de sentir un autre sexe que celui de Paul m’a fait jouir instantanément. Je le serrais dans mes bras, lui caressais le dos et l’embrassais pour ne pas faire trop de bruit. Nous étions tout de même au bureau. Avec Paul, je faisais l’amour. Là, je me faisais vraiment baiser. La différence c’est qu’il prenait moins soin de moi et n’hésitait pas à me donner de grand coup de bite. J’ai adoré la position de la cuillère car je le sentais encore plus loin en moi pendant qu’il me malaxait les seins. J’ai presque regretté lorsque je l’ai senti jouir au fond de sa capote car j’aurais voulu que ça dure encore. Nous sommes restés encore un peu emboité l’un dans l’autre avant de se désunir. Je me suis fait une toilette dans la salle d’eau, pièce que je découvrais.
« Finalement, le dossier n’est pas si urgent, on finira demain. Rentre retrouver ton petit mari. »Un peu vexé d’être congédiée de la sorte, je quittai son bureau sans un mot ni aucun geste. Sur le retour je me suis aperçu que je n’avais aucun remords et m’avouai avoir pris beaucoup de plaisir.
Avec mon boss, on a remis ça trois fois mais cette fois à l’hôtel entre midi et deux. Je le suivais en connaissance de cause alors plus besoin de séduction, j’étais déjà sous le charme de cet homme de deux fois mon âge. Les préliminaires étaient plus longs et si de mon côté, je le suçais toujours avec application, j’avais le droit à un cunnilingus qui me faisait décoller à chaque fois. Les positions étaient aussi variées, le missionnaire normal et inversé, la cuillère et bien sur la levrette. Nous avons aussi baisé debout avec une de mes jambes l’entourant ou carrément ses mains tenant mes fesses alors que je l’enserrais de mes deux jambes. La deuxième fois alors que je venais de le finir dans ma bouche et que nous étions étendus dans le lit, il me demanda.
« Tu sais Marion, j’aimerais de prendre par derrièreTu veux dire m’enculerJe n’ai pas osé utiliser ce terme mais oui, c’est ça.
En fait, j’aurais préféré que tu prennes l’initiative mais puisque tu le demandes, la prochaine fois alors ».
Je me suis donc entièrement donnée à lui pour un plaisir partagé.
La dernière fois, il avait une forme olympique. Il était plus dur que d’habitude et une endurance plus importante. Je me suis même demandé s’il n’avait pas pris du viagra. Il a utilisé plusieurs capotes car après m’avoir sodomisé, il changeait de préservatif avant de revenir entre mes jambes. J’ai eu plusieurs orgasmes. J’ai mis un terme à notre aventure en restant sur cette impression.
Pour mes 25 ans, Paul m’a offert un soin en institut avec sauna, massage et soin du corps. Sous mes habits j’avais mis un maillot de bain, les serviettes étaient fournies par le salon. Une charmante hôtesse m’accueilli et m’accompagna jusqu’à le vestiaire. Pour accéder au sauna, je m’étais couverte de ma serviette. Il y avait un homme et une femme qui s’embrassaient. Tous les trois sur nos serviettes, nous transpirions. L’homme rajouta de l’eau dans le poêle où brulaient des pierres incandescentes. Tout en me regardant, la femme caressa le sexe de son compagnon à travers son maillot de bain. Je regardais sa main sur cette bosse qui se formait. Elle me sourit en dégagea le sexe de l’homme qu’elle caressa. Elle me fit signe de venir mais je refusai. Je ne crois pas que c’était un sauna libertin mais ces deux-là prenaient leurs aises. Elle se mit à le sucer. En spectatrice excitée, je dégageai mes seins pour les caresser. L’homme regardait ma poitrine gonfler en tenant la tête de sa femme qui l’avait toujours en bouche. Je me suis finalement approchée d’eux. Immédiatement, l’homme a malaxé puis embrassé mes seins tandis que la femme caressait l’intérieur de ma cuisse. Ses doigts passèrent sous l’élastique de mon bas de maillot. Ma main fut dirigée sur le sexe de l’homme que je caressai. La femme retira son maillot et vint s’empaler sur le sexe de son homme. Je me suis rajustée et les ai laissés à leurs accouplements en me dirigeant vers le box de massage, déjà bien excitée. Elle commença par me masser les épaules. Pour le dos, elle détacha le haut de mon maillot. Ensuite, les jambes jusqu’à l’intérieur des cuisses. Elle me demanda de me retourner et retira mon haut du maillot. Le massage de mes seins ressemblait plus à des caresses, ce qui me fit réagir. Je fermai les yeux pour apprécier d’avantage la caresse. Elle reprit du gel et posa une main en haut qui passait d’un sein à l’autre et l’autre main massait mon ventre. Sa main se faufila sous le maillot et machinalement j’écartais les jambes. A ce moment-là, on l’appela et après un échange avec son remplaçant, un homme est entré. Aussitôt je cachai mes seins de mes bras. Il se positionna derrière moi et massa mon cou et mes épaules. Pas gêné par mes bras, il se glissa dessous pour masser mes seins. Pas particulièrement pudique, j’ai mis mes bras le long de mon corps. Là aussi c’étaient plutôt des caresses et pour ne pas l’encourager par des petites plaintes, je me mordis les lèvres. Il se positionna sur le côté et massa mon sexe à travers le maillot. J’ai écarté les jambes et ne retint plus mes gémissements. Il ne se contenta pas de passer sous le maillot mais le retira. Il me massait le clitoris lorsque la première masseuse entra à nouveau dans le box. Elle regarda le masseur incérer des doigts dans mon sexe en caressant mes seins. Le masseur s’est approché de ma tête et m’a présenté son sexe que je me suis mise à sucer. La masseuse enfonça 3 doigts dans mon sexe et le plaisir rendait difficile la fellation que je prodiguais. Du coup, muni d’un préservatif, il s’installa entre mes jambes et me baisa en me faisant bien jouir. Il avait une façon de faire qui me donnait l’impression d’être totalement remplie de son sexe que je soupçonnais de toucher des parois jamais explorées.
Le soin du corps qui suivi fut si agréable que je me suis assoupi.
Je me sens un peu salope vis-à-vis de Paul mais s’il me fait bien l’amour, je ne regrette pas d’avoir baisé et d’avoir connu d’autres plaisirs même si c’est avec d’autres partenaires.
Quelques temps plus tard, nous sommes invités au mariage d’une cousine de Paul. Evidemment, l’oncle célibataire endurci de Paul faisait partie des invités et était à la même table que nous. Finalement, il était plutôt marrant et animait notre table. Il nous faisait rire et boire aussi. Lorsque le bal fut ouvert, il m’invita à danser. Aucun geste ni parole déplacée envers moi. J’étais plutôt soulagé.
La salle se vidait petit à petit. Paul avait du mal à se tenir debout. Lorsque les mariés sont partis, beaucoup ont suivis le pas. Nous n’étions plus que cinq à rester. L’oncle Arthur, un couple d’une bonne trentaine d’années et ami d’Arthur, Paul qui s’était écroulé sous une table et moi.
Arthur s’est improvisé DJ et a mis des slows. Nous dansions tous les 4 sous une lumière tamisée. Arthur s’était collé à moi et caressait mon dos nu et a tenté de m’embrasser dans le cou. Voyant ma gêne, la fille du couple m’a arraché des bras d’Arthur et s’est mis à danser avec moi tandis que les hommes s’étaient assis pour nous regarder. Je me sentais paisible dans les bras de cette fille d’autant que l’alcool embrumait mon esprit. A aucun moment je n’ai imaginé que c’était une amie d’Arthur et que ses intentions n’étaient pas si protectrices que ça. Je l’ai laissé me serrer et caresser mon dos à son tour et me dire que j’étais belle. Lorsqu’elle m’a embrassé le cou, j’ai eu un frisson. Comment pouvais-je avoir cette sensation avec une fille, plutôt une femme. Ses mains se sont posaient sur mes fesses en les malaxaient délicatement. Je ne sais pas ce qui m’a pris mais j’ai répondu à son baiser. Là, ses mains ont retroussé ma robe pour me caresser sous la culotte. J’ai senti Arthur se coller dans mon dos et je me suis cambrée pour coller mes fesses à lui. Mon esprit réprimandait mon attitude mais mon corps sollicitait des attouchements. La femme me retourna pour me mettre face à Arthur et nos langues se sont immédiatement mêlées. J’étais sous leur emprise et je ne voulais pas les arrêter. La femme a fait glisser mes bretelles et a fait tomber au sol, ma robe. J’étais donc seins nus, juste en culotte dans les bras d’Arthur. Ce n’était plus la femme mais son mari qui était dans mon dos. J’ai penché ma tête en arrière pour l’embrasser. Je me suis retrouvé à caresser dans chaque main le sexe d’un homme. Toujours présente, la femme a appuyer sur mes épaules pour que je m’agenouille. A hauteur, leur sexe alternait dans ma bouche. Je faisais de mon mieux pour les engloutir le plus profondément possible. La femme s’est accroupie à son tour et a enfoui sa main sous ma culotte. J’étais trempé et une envie folle de me faire sauter. Lorsque je me suis relevé, la femme a retenu ma culotte et me l’a retiré. J’ai été porté sur une table, les jambes pendantes. Arthur s’est positionné et m’a regardé dans les yeux tandis que son sexe s’enfonçait en moi. Bien que la situation soit excitante, la femme suçait son mari pour le maintenir en forme. Je me suis lâchée et entre deux gémissements, je décrivais ce que je ressentais.
« Oh, c’est bon, je la sens bien, elle est bonne ta bite. Oui, vas-y plus vite. Baise-moi vieux cochon » Puis, ce fut le tour au mari. Je n’avais pas envie de me refuser à lui. C’est avec lui que j’ai explosé dans un orgasme dévastateur. Arthur se faisait sucer par la femme. Après ma jouissance, le mari a relevé mes jambes sur ses épaules et a présenté son sexe devant mon petit trou qui s’était dilaté tout seul sous le plaisir. Il s’enfonça sans réelle difficulté en disant aux autres qu’il m’enculait. J’adore ça et je pense que j’aurais fini par le réclamer. Je me suis retrouvé empalé sur le mari tandis qu’Arthur me prenant le cul. Ma première DP fut merveilleuse. Jamais je n’avais autant joui et c’est pour ça que je les ai laissé se finir dans ma bouche.
Nous avons ramené Paul à l’hôtel et nous l’avons couché. Arthur m’a entrainé dans la chambre de ses amis où nous avons baisé tous les 4. C’est la femme qui a eu le droit à une DP et je suis persuadé que ce n’était pas la première fois avec ces 2 partenaires. Sous mes yeux médusés, ils lui ont même fait une double anal.
Le lendemain, Arthur a discuté avec Paul au brunch. Il a dit à Paul qu’il en tenait une belle la veille et il s’est vanté de s’être tapé une belle nana. Si Paul savait que c’était moi !!
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Phily
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
super histoire bien racontée - merci !