Mark et Max 10 – Rupture et Confidences
Récit érotique écrit par Ninemark [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mark et Max 10 – Rupture et Confidences
Il n’y a pas plus dur retour à la réalité que le soleil qui lève. Il était temps pour moi de rentrer à mon appart et je redoutais de tomber sur Max et de devoir me prendre la tête dès le matin. Mais il le fallait bien. Je dis au revoir à Raijan en lui proposant de se revoir un jour dans la semaine. Je précise quand même que malgré notre baise d’y hier mon amour pour Max n’a pas changé et qu’il ne fallait rien espérer de ce côté-là. Il semble le comprendre et c’est sur ça que je le laisse seul dans sa chambre d’hôtel.
Le retour à l’appartement fut plutôt long et inconsciemment je prenais des chemins plus longs afin de retarder l’échéance mais arrive le moment où j’arrive en face de la porte. J’insère la clé et rentre silencieusement. Je remarquai ses chaussures à l’entrée et en déduit qu’il était rentré cette nuit. Je me déchaussai et filai dans la cuisine. Et à ce moment-là je ne savais plus quoi faire… Attendre ? Faire comme si de rien n’étais ? Je ne pouvais pas attendre là à rien faire mais je ne me voyais rien faire d’autres alors que je redoute le moment qui arrive. Je n’avais même pas faim et au bout d’une demi-heure à chercher quoi faire, je vis une silhouette apparaître dans la pièce. C’était lui et je ne savais pas quoi dire ni quoi faire. Seules les larmes me montaient aux yeux et je remarquai qu’il s’était aussi arrêté de bouger quand il me vit. Il fallait enchaîner et vite parce que je n’allais pas pouvoir tenir longtemps. C’est finalement lui qui brisa le silence.
« Tu es rentré ! Tu m’as fait peur… Où as-tu dormi ? »« Chez Raijan à l’hôtel. »« D’accord. On peut revenir sur hier si tu veux bien ? »« Oui. »J’avais un ton très froid mais ce n’étais pas vraiment voulu. Je m’étonnais même de pouvoir réussir à sortir ces mots tant je n’arrivais plus à penser. Il partit s’asseoir sur le canapé en m’invitant à le suivre. Je m’installai au fond des coussins comme si je voulais me morfondre en eux. Il me regardait comme s’il attendait que je pose des questions mais au bout de quelques minutes il remarqua que je n’étais pas en mesure de parler. Il s’efforça alors de créer le dialogue en tentant de deviner mes questions.
« Bon… Par où commencer…Hier, je t’ai menti. Je n’étais pas comme tu as pu le constater avec mon pote en dépression… J’étais au bar avec d’autres amis… Tu vas surement me demander pourquoi t’avoir menti. La raison est que je ne me sentais pas d’affronter ton ami Raijan. Je savais que j’allais être de trop et je ne voulais pas me défiler comme ça devant toi… Et je t’avoue que ça me fait bizarre que tu le revois étant donné votre passif… J’ai tenté de garder le contrôle mais c’était trop compliqué d’aller contre tes envies… »Je réfléchissais à ces mots et plus son dialogue se déroulait plus je commençais à faire des connexions. Je trouvais ça étonnant que Raijan débarque étonnamment une semaine après avoir eu une discussion sur lui avec Max. Puis Max posait pas mal de questions sur comment je réagirais si je le revoyais. Et sa dernière phrase me mit la puce à l’oreille. Puis le SMS de Raijan fit écho en me souvenant qu’il avait utilisé le mot « vraiment » comme s’il persistait depuis plus longtemps.
« Dis-moi tout. Depuis le début. Depuis notre discussion à propos de mon passé. »Max se rendit compte de son erreur de langage et se senti soudainement pris au piège. Il finit par capituler et raconter l’histoire depuis le départ.
« J’étais sur ton portable il y a quelques semaines et un numéro inconnu t’as envoyé un premier message. Je l’ai écouté et ai compris à peu près qui était cette personne. J’ai donc supprimé toutes traces de son appel. Puis quelques jours après nous avons eu la discussion autour de ton passé afin que je cerne un peu plus la personne. J’étais loin de me douter qu’il rappellerait mais quand tu me l’as annoncé je me suis rendu compte que ce n’était pas à moi d’avoir le droit de décider qui tu devais voir ou pas. Alors je t’ai suivi mais quand tu m’as convié à venir avec toi je n’avais pas envie. Et puis après tu connais la suite. »Je restai quelques secondes à digérer ce qu’il venait de dire avant de prendre la parole.
« Donc tu m’as menti tout ce temps en occultant des faits qui auraient pu m’empêcher de voir un de mes meilleurs amis ? Tu sais où toutes tes conneries nous ont amenés ? Au mensonge et à la première vraie discorde entre nous. Si je voulais que tu viennes c’était pour une raison simple. J’avais peur de me laisser bercer par lui et faire renaître des sentiments que j’avais éprouvé pour lui. J’avais besoin de toi à mes côtés pour que tout ça soit clair et que je me rappelle toute la soirée que c’est toi mon unique amour. Mais tu m’as lâché et j’ai dû y aller seul. Comme si je n’étais pas assez angoissé de le revoir. Mais j’ai su faire face et j’ai pu retrouver l’amitié que j’avais avec lui. Nous nous sommes séparés et je me suis retrouvé face à ton mensonge. C’était pour moi une trahison et te voir me mentir en face était encore plus dur à vivre. Alors j’ai erré dans la ville en recherche du néant. Puis j’ai finis par rejoindre Raijan à son hôtel. »
J’avais les larmes aux yeux et un soupçon de colère dans la voix et je n’osais pas le regarder car je savais que je m’effondrerais. Au moment où je levai les yeux je vis qu’il était aux bords des larmes aussi. Il prit son temps pour répondre et il comprit assez rapidement que je n’avais pas à continuer mon histoire car nous avions tous les deux où cela m’avait conduit. La colère commença à prendre le pas sur ses émotions et je crois que c’est la première fois que je le vis aussi énervé.
« Okey je t’ai menti ! Mais toi tu veux que je te pardonne que t’ai couché avec ton ami parce que je t’ai menti ? C’est donc ça notre relation ? Tu couches avec d’autres gars quand ça va pas entre nous ? Tu me dégoûtes ! Je pense que c’est assez clair entre nous et j’ai besoin de respirer alors je vais prendre mes affaires et partir quelques temps habiter ailleurs. »
C’était pour moi la pire phrase à entendre. Maxence venait de rompre avec moi. J’étais en train de perdre l’homme que j’aimais et bien que ça soit lui ait déclenché le processus, c’est finalement moi qui ait dépassé la ligne en le trompant. Je suis resté sans émotion pendant toute la préparation de son départ. Seule une larme coulait le long de mon visage pour témoigner de mon effondrement intérieur. Il partit sans dire un mot et referma la porte d’un claquement que ne me fit à peine cligner des yeux. J’étais amorphe sur le canapé. J’y suis resté encore quelques heures avant de pouvoir bouger jusqu’à mon lit. Je pris quand même mon portable machinalement et comme voulant réparer une erreur pourtant irréversible, je contactai Raijan afin de lui parler de ma rupture et que je ne voulais pas le voir durant cette semaine car c’était de notre faute si nous en étions là. Je ne voulais pas encore me l’avouer, mais c’était de ma faute.
***
Les jours passaient et se ressemblaient. Trois semaines étaient passée et je commençais peu à peu à rependre vie malgré ma tristesse encore très présente. J’étais resté cloitré dans ma chambre et mon seul lien social était le livreur de pizza que je voyais approximativement 10 secondes par jour. Enfin, il n’y avait qu’une personne autorisée à me voir et c’était mon meilleur pote Thomas. Il était passé plusieurs fois dans la semaine pour ranger un peu et me divertir mais c’était assez compliqué vu comme je déprimais. Je n’ai toujours pas eu de nouvelles de Max et j’ai beau comprendre pourquoi il est parti, j’aurais aimé savoir où est-ce qu’il habitait et ce qu’il faisait. S’il était dans le même état que moi ou s’il s’en était remis plus vite.
Dans un élan de courage, je m’habillai d’un jogging et parti faire rapidement un tour en ville pour m’acheter à manger et prendre un peu l’air. J’étais sur le chemin du retour quand quelqu’un m’interpella dans la rue. Je me retournai sans grande motivation et j’aperçu un grand rebeu traversant la route pour venir à ma rencontre. C’était Tarek. Il arriva avec sa gueule d’ange et son sourire et malgré toute ma peine, j’arrivai encore à lui décrocher un petit rictus. Il m’examina deux secondes et me demanda ce qu’il se passait. Je l’invitai à venir chez moi pour tout lui expliquer. Il accepta et pendant le trajet nous discutâmes d’autres sujets plus futiles. C’était assez surprenant qu’il me parle comme ça alors qu’il y a quelques semaines il était en mode dominateur à fond. Là je le trouvais super sociable et enthousiaste, voire même inquiet de mon état.
On entra dans mon appart et je rangeai les quelques affaires achetées auparavant. Il m’aida pour aller plus vite et au bout de quelques minutes nous étions assis autour d’un verre d’alcool. Je lui racontai alors toute l’histoire comme si je m’étais toujours confié à lui. Bizarrement j’avais confiance en lui et il m’avait l’air très à l’écoute car il rebondissait parfois à l’aide d’exclamations. Il me laissa néanmoins finir avant de donner son avis sur la situation.
« Ah ouais carrément… Je pensais pas que ça vous arriverait un jour parce que vous m’aviez l’air d’être en cohésion de ce que m’avais déjà raconté Sergio. Après j’avoue que t’as un peu déconné mais bon il t’a poussé à le faire en te mentant comme ça… C’était pas cool ce qu’il t’a fait et tu t’ais laissé submerger par les émotions. J’espère que ça s’arrangera entre vous… »On discuta encore quelques minutes avant de changer de sujets. J’avais envie de reprendre un peu de vivacité et je proposai à Tarek de rester ce soir et de faire quelques choses pour me changer les idées. Il me proposa d’aller en boîte mais j’étais encore trop fatigué pour subir le son abrutissant des boîtes de nuit. On se mit d’accord pour une soirée tranquille devant un film en commandant chinois. Pour patienter jusqu’au soir, je proposai d’aller boire un coup en ville histoire de sortir de mon appart. Il accepta avec plaisir et nous nous retrouvâmes rapidement dans un bistrot à boire des coups. Au fil des discussions, je découvrais un Tarek vraiment touchant et très intelligent. J’étais alors pleins de questions et il m’autorisait à toutes les poser. J’appris donc qu’il avait l’habitude de passer pour un dominateur car c’était mieux vu chez lui de baiser des mecs en étant dominateur car ça montrait juste qu’il voulait tirer son coup. Il m’avoua qu’il n’aimait pas toujours ça mais c’était son seul moyen actuel d’assumer ce qui se rapproche le plus de son homosexualité. Du coup quand on a eu ce moment privilégié il y a quelques semaines, il avait vraiment l’impression d’être lui. Il a su qu’il aimait les gars depuis l’adolescence quand il voyait ses cousins se branler devant les pornos et qu’il s’excitait plus à mater ses cousins que le porno en question. Puis après il a bâti sa réputation et ça devient très compliqué de s’en détacher. Tout le monde gay le connait à peu près pour son côté dominateur et il a tendance à baiser que des grosses chiennes. En plus la taille de son membre ne l’aide pas forcément. Il était vraiment charmant quand il me racontait ça et j’aurais pu l’écouter pendant des heures. Je souhaitais vraiment qu’il puisse un jour s’assumer et trouver la bonne personne avec qui il vivra.
Il était maintenant 20h et l’heure de rentrer était venue. On rentra chez moi en passant par le chinois d’à côté. On se cala sur le canapé côte à côte pour faire face à la télé. On se mit alors à réfléchir à un film à regarder. On mit pas mal de temps à trouver un film mais on finit par se mettre d’accord sur une comédie car j’avais besoin de rire après cette semaine de tristesse. Le film commença et nous commençâmes notre repas en même temps. Bien qu’on suivait le film, nous ne pouvions nous empêcher de parler et de commenter les passages du film. Je me sentais bien pour la première fois depuis la rupture. Je n’y pensais presque pas et me laissait aller aux rires de Tarek qui était mort de rire tout le long. Le film subit alors un passage plus calme et dramatique qui apaisa nos rires et me poussa à me rapprocher de Tarek. Il finit par passer son bras autour de mon cou et je pu m’engouffrer contre son torse pour finir le film. J’étais bien et apaisé. Au bout de quelques minutes je vis néanmoins un peu de mouvement au niveau de son entre jambes et son jogging se déformer un peu. Je fis comme si de rien n’était en ayant l’intention de terminer le film. Et je ne savais pas trop si je pouvais me l’autoriser car je ne suis certes plus avec Max mais est-ce une raison valable ? Je me laissai encore un bout du film pour réfléchir.
Tarek avait commencé à me caresser le bras de sa main douce et je sentais moi aussi mon membre devenir plus encombrant. Je finis par me relever pour lui faire face et le regarder dans les yeux. J’y voyais le Tarek que j’avais vu à la toute fin de la baise. Il me fixait avec un regard perdu et attendrissant, ne sachant pas où il allait. Je m’approchai alors doucement de sa bouche pour unir nos lèvres au son du film qui continuait inutilement derrière. Nos baisers se faisaient langoureux et tendres en total paradoxe avec la défonce dernière où c’était l’animalité qui primait. Il se laissait caresser et soulever le t shirt afin d’y laisser entrevoir ses abdos. Il avait l’air plus saillant que la dernière fois à mon plus grand plaisir. Il finit par se mettre torse nu puis vint enlever mon tee shirt aussi pour nous retrouver tous les deux pectoraux et abdos à découvert. Il me bascula alors sur le dos pour venir embrasser tous mes abdos et s’attarder un peu plus sur mes tétons. Je le laissais faire et avait bien l’intention de le laisser faire ce qu’il voulait car j’avais bien compris que c’était rare qu’il fasse l’amour avec quelqu’un et non pas une simple baise bestiale. Il s’appliquait sur toute les parcelles de mon corps pour venir de plus en plus vers mon pubis. Il commença par sniffer mon jogging et ses mains parcouraient mes jambes avant de venir tirer un peu sur l’élastique du jogging afin de le faire descendre. Il y allait avec douceur et passion et se relevait parfois pour venir m’embrasser. Il finit par sortir ma queue qui bandait un max et la masturba quelques minutes en l’observant. Il la prit en bouche puis alternait entre succions et léchage. Il me regardait le plus souvent possible comme pour montrer que ce moment on le passait les deux ensembles et non pas chacun de son côté. Au bout de dix minutes, il se releva afin de venir se frotter à moi et m’embrasser. Je compris que c’était à mon tour et le tourna pour le mettre sur le dos. J’y reproduisais les mêmes mouvements que lui précédemment à l’exception près que je passai plus de temps à masturber sa queue avant de la goûter. Elle était vraiment grosse et peinait à se durcir complètement. Je l’admirai en la palpant et commençai à lui donner quelques léchouilles sur la hampe avant de venir sucer le gland. Il m’était impossible de mettre tout ça dans ma bouche et ce n’était pas forcément le but de cette soirée. Tarek me caressait la tête et semblait prendre son pied complet. Je m’attardai ensuite sur ses boules afin de les gober et jouer un peu avec. Elle était proportionnelle à sa queue et à les soupeser, il doit y avoir pas mal de jus dedans. Tarek releva un peu son bassin pour me faire comprendre qu’il voulait que j’aille encore plus bas. Je m’appliquai alors délicatement à lui préparer son anus. Son trou était tout beau et rosé et quelques poils entourait sa rosette. Son anus était pas mal serré et il fallut pas mal de temps avant que je puisse y introduire un doigt sans problème. Il prenait un pied terrible et m’encourageait à continuer. Pendant que je commençais le doigtage, je relevai la tête afin de pouvoir le regarder. Il avait les yeux mi-clos, la tête renversée et se touchait les pectoraux. J’étais content de lui faire du plaisir et le voir ainsi épanoui me rendait aussi heureux. J’en avais complètement oublié Max pour la soirée et je pouvais pleinement profiter de Tarek, rebeu beau gosse que tu croises qu’une fois dans ta vie. J’étais passé à deux doigts et j’avais vraiment envie de le prendre maintenant. Je retirai donc mes doigts et pris sa main pour le relever. Nous nous embrassâmes quelques minutes debout tout en se déplaçant dans la chambre que je partageais avec ma solitude depuis une semaine. Je l’installai à quatre pattes sur le lit pendant que j’allais chercher le lubrifiant. A mon retour, j’en profitai pour mater son cul qui était vraiment magnifique. Je le palpais et l’embrassais avant de me glisser sur le côté avant de finir sous Tarek sur le dos.
« Viens là, comme ça tu seras mieux. Tu pourras réguler la pénétration et y aller à ton rythme. »Il me regardait heureux que je prenne soin de lui et se positionna à califourchon sur ma bite dressée et lubrifiée. Il s’enfonça alors tout doucement en laissant un soupir d’aise s’envoler dans l’air. Il avait pris tous mes centimètres en l’espace de quelques minutes et s’empressa de venir m’embrasser. Il se redressa pour commencer les allers retours pendant que je le tenais par les hanches pour accompagner ses mouvements. J’avais en face de mon visage son membre imposant qui gesticulait dans tous les sens au rythme de nos ébats. Mes mains parcouraient par moment son corps tandis que les siennes venaient me les prendre pour les porter à sa bouche ou à sa joue. Tout se passait dans la douceur et nous prenions notre pied comme pas possible. Je changeai de position une fois pour imposer un rythme un peu plus soutenu.
Au bout d’une quinzaine de minutes, je me retirai pour me placer de sorte qu’il vienne m’enculer à son tour. J’avais envie de reprendre son membre mais d’une façon plus douce. Il me prépara alors l’anus qui était déjà plus facile à dilater que le sien. Il mit aussi une bonne dose de lubrifiant avant de s’engouffrer dans mon trou. Il était sur moi, mes jambes en l’air et sa queue dans mon trou. Il m’embrassait au fil de son avancée pour me faire passer une quelconque douleur. Vu sa queue je la senti forcément passer mais je m’attendais à ressentir plus que ça la douleur. Il y allait vraiment avec patience et douceur en me procurant des mouvements amples et profonds. Je prenais vraiment mon pied et sentir cette longue queue en moi m’excitait encore plus. Il avait pris appui sur ses mains pour maintenant mettre des coups plus rapides mais toujours aussi profonds. Il me fixait constamment dans les yeux et j’avais constamment une main contre sa joue pour maintenir le contact.
Ça faisait bien une dizaine de minutes qui me provoquait du plaisir et ses coups de reins étaient bien plus rapide. Pour la première fois je sentais quelques choses de nouveau au niveau du bas ventre. Comme des petits fourmillements qui s’intensifiait. Je ne savais pas ce que c’était mais ça me faisait du bien. Et plus il continuait à m’enculer plus je sentais ces fourmillements se propager. Ça me mettait en trans complète et je sentais mes sphincters anaux s’exciter. Je venais de saisir ce qu’il se passait. Pour la première fois de ma vie, j’étais en train d’avoir un orgasme anal. Tarek voyait bien que mon attitude changeait et alors qu’il commençait à ralentir je le suppliai de continuer comme ça et que c’était trop bon. Mais à peine ma phrase se terminait que des spasmes s’emparaient de tout mon corps. J’étais en plein orgasme anal et mes gémissements se faisait de plus en plus fort et incontrôlés. Je n’arrivais plus à ouvrir les yeux tant j’étais concentré sur ma jouissance anale. Puis mes sphincters se bloquèrent subitement et sans m’être touché depuis le début, plusieurs jets giclèrent de ma queue. Tarek ayant subi mes assauts sphinctériens se retire à toute vitesse pour venir gicler à son tour sur mon torse. Il était tout perplexe aussi et semblait avoir été touché par mon orgasme car il était aussi dans tous ses états.
« Putain c’était quoi ça ? Comment t’as fait ça ? J’ai jamais ressenti un truc comme ça c’était trop bon ! »Il vint s’effondrer sur moi et je me remettais à peine de mes émotions tant la jouissance était encore présente.
« C’est toi qui m’as fait ça ! J’ai jamais ressenti ça non plus ! C’était ouf ! Merci ! »On s’embrassa quelques minutes puis je me blottis contre lui en attendant de retrouver assez de force pour se doucher. On finit quand même par se bouger et nous étions tous les deux l’un contre l’autre à se doucher. Même au repos son membre était imposant et je ne cessais de le palper. On commenta la baise qu’on venait d’avoir.
« C’était juste énorme. Merci beaucoup pour ce moment. Tu as su me comprendre et me procurer quelque chose que je n’ai jamais eu. J’espère un jour tomber sur quelqu’un avec une aussi belle âme et qui sache m’aimer pour ce que je suis vraiment. Maintenant, c’est à moi de te remercier et je te promets que je ferai tout pour que tu retrouves Max. »Je n’avais pas d’autres mots que de me blottir contre lui en attendant que d’être lasser de l’eau chaude qui coulait sur moi. On finit quand même par sortir. Je lui proposai de rester dormir et il accepta. On passa alors toute la nuit à nous confier et à parler de nous. J’avais trouvé en Tarek un confident et j’y plaçais en lui toute ma confiance.
Le retour à l’appartement fut plutôt long et inconsciemment je prenais des chemins plus longs afin de retarder l’échéance mais arrive le moment où j’arrive en face de la porte. J’insère la clé et rentre silencieusement. Je remarquai ses chaussures à l’entrée et en déduit qu’il était rentré cette nuit. Je me déchaussai et filai dans la cuisine. Et à ce moment-là je ne savais plus quoi faire… Attendre ? Faire comme si de rien n’étais ? Je ne pouvais pas attendre là à rien faire mais je ne me voyais rien faire d’autres alors que je redoute le moment qui arrive. Je n’avais même pas faim et au bout d’une demi-heure à chercher quoi faire, je vis une silhouette apparaître dans la pièce. C’était lui et je ne savais pas quoi dire ni quoi faire. Seules les larmes me montaient aux yeux et je remarquai qu’il s’était aussi arrêté de bouger quand il me vit. Il fallait enchaîner et vite parce que je n’allais pas pouvoir tenir longtemps. C’est finalement lui qui brisa le silence.
« Tu es rentré ! Tu m’as fait peur… Où as-tu dormi ? »« Chez Raijan à l’hôtel. »« D’accord. On peut revenir sur hier si tu veux bien ? »« Oui. »J’avais un ton très froid mais ce n’étais pas vraiment voulu. Je m’étonnais même de pouvoir réussir à sortir ces mots tant je n’arrivais plus à penser. Il partit s’asseoir sur le canapé en m’invitant à le suivre. Je m’installai au fond des coussins comme si je voulais me morfondre en eux. Il me regardait comme s’il attendait que je pose des questions mais au bout de quelques minutes il remarqua que je n’étais pas en mesure de parler. Il s’efforça alors de créer le dialogue en tentant de deviner mes questions.
« Bon… Par où commencer…Hier, je t’ai menti. Je n’étais pas comme tu as pu le constater avec mon pote en dépression… J’étais au bar avec d’autres amis… Tu vas surement me demander pourquoi t’avoir menti. La raison est que je ne me sentais pas d’affronter ton ami Raijan. Je savais que j’allais être de trop et je ne voulais pas me défiler comme ça devant toi… Et je t’avoue que ça me fait bizarre que tu le revois étant donné votre passif… J’ai tenté de garder le contrôle mais c’était trop compliqué d’aller contre tes envies… »Je réfléchissais à ces mots et plus son dialogue se déroulait plus je commençais à faire des connexions. Je trouvais ça étonnant que Raijan débarque étonnamment une semaine après avoir eu une discussion sur lui avec Max. Puis Max posait pas mal de questions sur comment je réagirais si je le revoyais. Et sa dernière phrase me mit la puce à l’oreille. Puis le SMS de Raijan fit écho en me souvenant qu’il avait utilisé le mot « vraiment » comme s’il persistait depuis plus longtemps.
« Dis-moi tout. Depuis le début. Depuis notre discussion à propos de mon passé. »Max se rendit compte de son erreur de langage et se senti soudainement pris au piège. Il finit par capituler et raconter l’histoire depuis le départ.
« J’étais sur ton portable il y a quelques semaines et un numéro inconnu t’as envoyé un premier message. Je l’ai écouté et ai compris à peu près qui était cette personne. J’ai donc supprimé toutes traces de son appel. Puis quelques jours après nous avons eu la discussion autour de ton passé afin que je cerne un peu plus la personne. J’étais loin de me douter qu’il rappellerait mais quand tu me l’as annoncé je me suis rendu compte que ce n’était pas à moi d’avoir le droit de décider qui tu devais voir ou pas. Alors je t’ai suivi mais quand tu m’as convié à venir avec toi je n’avais pas envie. Et puis après tu connais la suite. »Je restai quelques secondes à digérer ce qu’il venait de dire avant de prendre la parole.
« Donc tu m’as menti tout ce temps en occultant des faits qui auraient pu m’empêcher de voir un de mes meilleurs amis ? Tu sais où toutes tes conneries nous ont amenés ? Au mensonge et à la première vraie discorde entre nous. Si je voulais que tu viennes c’était pour une raison simple. J’avais peur de me laisser bercer par lui et faire renaître des sentiments que j’avais éprouvé pour lui. J’avais besoin de toi à mes côtés pour que tout ça soit clair et que je me rappelle toute la soirée que c’est toi mon unique amour. Mais tu m’as lâché et j’ai dû y aller seul. Comme si je n’étais pas assez angoissé de le revoir. Mais j’ai su faire face et j’ai pu retrouver l’amitié que j’avais avec lui. Nous nous sommes séparés et je me suis retrouvé face à ton mensonge. C’était pour moi une trahison et te voir me mentir en face était encore plus dur à vivre. Alors j’ai erré dans la ville en recherche du néant. Puis j’ai finis par rejoindre Raijan à son hôtel. »
J’avais les larmes aux yeux et un soupçon de colère dans la voix et je n’osais pas le regarder car je savais que je m’effondrerais. Au moment où je levai les yeux je vis qu’il était aux bords des larmes aussi. Il prit son temps pour répondre et il comprit assez rapidement que je n’avais pas à continuer mon histoire car nous avions tous les deux où cela m’avait conduit. La colère commença à prendre le pas sur ses émotions et je crois que c’est la première fois que je le vis aussi énervé.
« Okey je t’ai menti ! Mais toi tu veux que je te pardonne que t’ai couché avec ton ami parce que je t’ai menti ? C’est donc ça notre relation ? Tu couches avec d’autres gars quand ça va pas entre nous ? Tu me dégoûtes ! Je pense que c’est assez clair entre nous et j’ai besoin de respirer alors je vais prendre mes affaires et partir quelques temps habiter ailleurs. »
C’était pour moi la pire phrase à entendre. Maxence venait de rompre avec moi. J’étais en train de perdre l’homme que j’aimais et bien que ça soit lui ait déclenché le processus, c’est finalement moi qui ait dépassé la ligne en le trompant. Je suis resté sans émotion pendant toute la préparation de son départ. Seule une larme coulait le long de mon visage pour témoigner de mon effondrement intérieur. Il partit sans dire un mot et referma la porte d’un claquement que ne me fit à peine cligner des yeux. J’étais amorphe sur le canapé. J’y suis resté encore quelques heures avant de pouvoir bouger jusqu’à mon lit. Je pris quand même mon portable machinalement et comme voulant réparer une erreur pourtant irréversible, je contactai Raijan afin de lui parler de ma rupture et que je ne voulais pas le voir durant cette semaine car c’était de notre faute si nous en étions là. Je ne voulais pas encore me l’avouer, mais c’était de ma faute.
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Les jours passaient et se ressemblaient. Trois semaines étaient passée et je commençais peu à peu à rependre vie malgré ma tristesse encore très présente. J’étais resté cloitré dans ma chambre et mon seul lien social était le livreur de pizza que je voyais approximativement 10 secondes par jour. Enfin, il n’y avait qu’une personne autorisée à me voir et c’était mon meilleur pote Thomas. Il était passé plusieurs fois dans la semaine pour ranger un peu et me divertir mais c’était assez compliqué vu comme je déprimais. Je n’ai toujours pas eu de nouvelles de Max et j’ai beau comprendre pourquoi il est parti, j’aurais aimé savoir où est-ce qu’il habitait et ce qu’il faisait. S’il était dans le même état que moi ou s’il s’en était remis plus vite.
Dans un élan de courage, je m’habillai d’un jogging et parti faire rapidement un tour en ville pour m’acheter à manger et prendre un peu l’air. J’étais sur le chemin du retour quand quelqu’un m’interpella dans la rue. Je me retournai sans grande motivation et j’aperçu un grand rebeu traversant la route pour venir à ma rencontre. C’était Tarek. Il arriva avec sa gueule d’ange et son sourire et malgré toute ma peine, j’arrivai encore à lui décrocher un petit rictus. Il m’examina deux secondes et me demanda ce qu’il se passait. Je l’invitai à venir chez moi pour tout lui expliquer. Il accepta et pendant le trajet nous discutâmes d’autres sujets plus futiles. C’était assez surprenant qu’il me parle comme ça alors qu’il y a quelques semaines il était en mode dominateur à fond. Là je le trouvais super sociable et enthousiaste, voire même inquiet de mon état.
On entra dans mon appart et je rangeai les quelques affaires achetées auparavant. Il m’aida pour aller plus vite et au bout de quelques minutes nous étions assis autour d’un verre d’alcool. Je lui racontai alors toute l’histoire comme si je m’étais toujours confié à lui. Bizarrement j’avais confiance en lui et il m’avait l’air très à l’écoute car il rebondissait parfois à l’aide d’exclamations. Il me laissa néanmoins finir avant de donner son avis sur la situation.
« Ah ouais carrément… Je pensais pas que ça vous arriverait un jour parce que vous m’aviez l’air d’être en cohésion de ce que m’avais déjà raconté Sergio. Après j’avoue que t’as un peu déconné mais bon il t’a poussé à le faire en te mentant comme ça… C’était pas cool ce qu’il t’a fait et tu t’ais laissé submerger par les émotions. J’espère que ça s’arrangera entre vous… »On discuta encore quelques minutes avant de changer de sujets. J’avais envie de reprendre un peu de vivacité et je proposai à Tarek de rester ce soir et de faire quelques choses pour me changer les idées. Il me proposa d’aller en boîte mais j’étais encore trop fatigué pour subir le son abrutissant des boîtes de nuit. On se mit d’accord pour une soirée tranquille devant un film en commandant chinois. Pour patienter jusqu’au soir, je proposai d’aller boire un coup en ville histoire de sortir de mon appart. Il accepta avec plaisir et nous nous retrouvâmes rapidement dans un bistrot à boire des coups. Au fil des discussions, je découvrais un Tarek vraiment touchant et très intelligent. J’étais alors pleins de questions et il m’autorisait à toutes les poser. J’appris donc qu’il avait l’habitude de passer pour un dominateur car c’était mieux vu chez lui de baiser des mecs en étant dominateur car ça montrait juste qu’il voulait tirer son coup. Il m’avoua qu’il n’aimait pas toujours ça mais c’était son seul moyen actuel d’assumer ce qui se rapproche le plus de son homosexualité. Du coup quand on a eu ce moment privilégié il y a quelques semaines, il avait vraiment l’impression d’être lui. Il a su qu’il aimait les gars depuis l’adolescence quand il voyait ses cousins se branler devant les pornos et qu’il s’excitait plus à mater ses cousins que le porno en question. Puis après il a bâti sa réputation et ça devient très compliqué de s’en détacher. Tout le monde gay le connait à peu près pour son côté dominateur et il a tendance à baiser que des grosses chiennes. En plus la taille de son membre ne l’aide pas forcément. Il était vraiment charmant quand il me racontait ça et j’aurais pu l’écouter pendant des heures. Je souhaitais vraiment qu’il puisse un jour s’assumer et trouver la bonne personne avec qui il vivra.
Il était maintenant 20h et l’heure de rentrer était venue. On rentra chez moi en passant par le chinois d’à côté. On se cala sur le canapé côte à côte pour faire face à la télé. On se mit alors à réfléchir à un film à regarder. On mit pas mal de temps à trouver un film mais on finit par se mettre d’accord sur une comédie car j’avais besoin de rire après cette semaine de tristesse. Le film commença et nous commençâmes notre repas en même temps. Bien qu’on suivait le film, nous ne pouvions nous empêcher de parler et de commenter les passages du film. Je me sentais bien pour la première fois depuis la rupture. Je n’y pensais presque pas et me laissait aller aux rires de Tarek qui était mort de rire tout le long. Le film subit alors un passage plus calme et dramatique qui apaisa nos rires et me poussa à me rapprocher de Tarek. Il finit par passer son bras autour de mon cou et je pu m’engouffrer contre son torse pour finir le film. J’étais bien et apaisé. Au bout de quelques minutes je vis néanmoins un peu de mouvement au niveau de son entre jambes et son jogging se déformer un peu. Je fis comme si de rien n’était en ayant l’intention de terminer le film. Et je ne savais pas trop si je pouvais me l’autoriser car je ne suis certes plus avec Max mais est-ce une raison valable ? Je me laissai encore un bout du film pour réfléchir.
Tarek avait commencé à me caresser le bras de sa main douce et je sentais moi aussi mon membre devenir plus encombrant. Je finis par me relever pour lui faire face et le regarder dans les yeux. J’y voyais le Tarek que j’avais vu à la toute fin de la baise. Il me fixait avec un regard perdu et attendrissant, ne sachant pas où il allait. Je m’approchai alors doucement de sa bouche pour unir nos lèvres au son du film qui continuait inutilement derrière. Nos baisers se faisaient langoureux et tendres en total paradoxe avec la défonce dernière où c’était l’animalité qui primait. Il se laissait caresser et soulever le t shirt afin d’y laisser entrevoir ses abdos. Il avait l’air plus saillant que la dernière fois à mon plus grand plaisir. Il finit par se mettre torse nu puis vint enlever mon tee shirt aussi pour nous retrouver tous les deux pectoraux et abdos à découvert. Il me bascula alors sur le dos pour venir embrasser tous mes abdos et s’attarder un peu plus sur mes tétons. Je le laissais faire et avait bien l’intention de le laisser faire ce qu’il voulait car j’avais bien compris que c’était rare qu’il fasse l’amour avec quelqu’un et non pas une simple baise bestiale. Il s’appliquait sur toute les parcelles de mon corps pour venir de plus en plus vers mon pubis. Il commença par sniffer mon jogging et ses mains parcouraient mes jambes avant de venir tirer un peu sur l’élastique du jogging afin de le faire descendre. Il y allait avec douceur et passion et se relevait parfois pour venir m’embrasser. Il finit par sortir ma queue qui bandait un max et la masturba quelques minutes en l’observant. Il la prit en bouche puis alternait entre succions et léchage. Il me regardait le plus souvent possible comme pour montrer que ce moment on le passait les deux ensembles et non pas chacun de son côté. Au bout de dix minutes, il se releva afin de venir se frotter à moi et m’embrasser. Je compris que c’était à mon tour et le tourna pour le mettre sur le dos. J’y reproduisais les mêmes mouvements que lui précédemment à l’exception près que je passai plus de temps à masturber sa queue avant de la goûter. Elle était vraiment grosse et peinait à se durcir complètement. Je l’admirai en la palpant et commençai à lui donner quelques léchouilles sur la hampe avant de venir sucer le gland. Il m’était impossible de mettre tout ça dans ma bouche et ce n’était pas forcément le but de cette soirée. Tarek me caressait la tête et semblait prendre son pied complet. Je m’attardai ensuite sur ses boules afin de les gober et jouer un peu avec. Elle était proportionnelle à sa queue et à les soupeser, il doit y avoir pas mal de jus dedans. Tarek releva un peu son bassin pour me faire comprendre qu’il voulait que j’aille encore plus bas. Je m’appliquai alors délicatement à lui préparer son anus. Son trou était tout beau et rosé et quelques poils entourait sa rosette. Son anus était pas mal serré et il fallut pas mal de temps avant que je puisse y introduire un doigt sans problème. Il prenait un pied terrible et m’encourageait à continuer. Pendant que je commençais le doigtage, je relevai la tête afin de pouvoir le regarder. Il avait les yeux mi-clos, la tête renversée et se touchait les pectoraux. J’étais content de lui faire du plaisir et le voir ainsi épanoui me rendait aussi heureux. J’en avais complètement oublié Max pour la soirée et je pouvais pleinement profiter de Tarek, rebeu beau gosse que tu croises qu’une fois dans ta vie. J’étais passé à deux doigts et j’avais vraiment envie de le prendre maintenant. Je retirai donc mes doigts et pris sa main pour le relever. Nous nous embrassâmes quelques minutes debout tout en se déplaçant dans la chambre que je partageais avec ma solitude depuis une semaine. Je l’installai à quatre pattes sur le lit pendant que j’allais chercher le lubrifiant. A mon retour, j’en profitai pour mater son cul qui était vraiment magnifique. Je le palpais et l’embrassais avant de me glisser sur le côté avant de finir sous Tarek sur le dos.
« Viens là, comme ça tu seras mieux. Tu pourras réguler la pénétration et y aller à ton rythme. »Il me regardait heureux que je prenne soin de lui et se positionna à califourchon sur ma bite dressée et lubrifiée. Il s’enfonça alors tout doucement en laissant un soupir d’aise s’envoler dans l’air. Il avait pris tous mes centimètres en l’espace de quelques minutes et s’empressa de venir m’embrasser. Il se redressa pour commencer les allers retours pendant que je le tenais par les hanches pour accompagner ses mouvements. J’avais en face de mon visage son membre imposant qui gesticulait dans tous les sens au rythme de nos ébats. Mes mains parcouraient par moment son corps tandis que les siennes venaient me les prendre pour les porter à sa bouche ou à sa joue. Tout se passait dans la douceur et nous prenions notre pied comme pas possible. Je changeai de position une fois pour imposer un rythme un peu plus soutenu.
Au bout d’une quinzaine de minutes, je me retirai pour me placer de sorte qu’il vienne m’enculer à son tour. J’avais envie de reprendre son membre mais d’une façon plus douce. Il me prépara alors l’anus qui était déjà plus facile à dilater que le sien. Il mit aussi une bonne dose de lubrifiant avant de s’engouffrer dans mon trou. Il était sur moi, mes jambes en l’air et sa queue dans mon trou. Il m’embrassait au fil de son avancée pour me faire passer une quelconque douleur. Vu sa queue je la senti forcément passer mais je m’attendais à ressentir plus que ça la douleur. Il y allait vraiment avec patience et douceur en me procurant des mouvements amples et profonds. Je prenais vraiment mon pied et sentir cette longue queue en moi m’excitait encore plus. Il avait pris appui sur ses mains pour maintenant mettre des coups plus rapides mais toujours aussi profonds. Il me fixait constamment dans les yeux et j’avais constamment une main contre sa joue pour maintenir le contact.
Ça faisait bien une dizaine de minutes qui me provoquait du plaisir et ses coups de reins étaient bien plus rapide. Pour la première fois je sentais quelques choses de nouveau au niveau du bas ventre. Comme des petits fourmillements qui s’intensifiait. Je ne savais pas ce que c’était mais ça me faisait du bien. Et plus il continuait à m’enculer plus je sentais ces fourmillements se propager. Ça me mettait en trans complète et je sentais mes sphincters anaux s’exciter. Je venais de saisir ce qu’il se passait. Pour la première fois de ma vie, j’étais en train d’avoir un orgasme anal. Tarek voyait bien que mon attitude changeait et alors qu’il commençait à ralentir je le suppliai de continuer comme ça et que c’était trop bon. Mais à peine ma phrase se terminait que des spasmes s’emparaient de tout mon corps. J’étais en plein orgasme anal et mes gémissements se faisait de plus en plus fort et incontrôlés. Je n’arrivais plus à ouvrir les yeux tant j’étais concentré sur ma jouissance anale. Puis mes sphincters se bloquèrent subitement et sans m’être touché depuis le début, plusieurs jets giclèrent de ma queue. Tarek ayant subi mes assauts sphinctériens se retire à toute vitesse pour venir gicler à son tour sur mon torse. Il était tout perplexe aussi et semblait avoir été touché par mon orgasme car il était aussi dans tous ses états.
« Putain c’était quoi ça ? Comment t’as fait ça ? J’ai jamais ressenti un truc comme ça c’était trop bon ! »Il vint s’effondrer sur moi et je me remettais à peine de mes émotions tant la jouissance était encore présente.
« C’est toi qui m’as fait ça ! J’ai jamais ressenti ça non plus ! C’était ouf ! Merci ! »On s’embrassa quelques minutes puis je me blottis contre lui en attendant de retrouver assez de force pour se doucher. On finit quand même par se bouger et nous étions tous les deux l’un contre l’autre à se doucher. Même au repos son membre était imposant et je ne cessais de le palper. On commenta la baise qu’on venait d’avoir.
« C’était juste énorme. Merci beaucoup pour ce moment. Tu as su me comprendre et me procurer quelque chose que je n’ai jamais eu. J’espère un jour tomber sur quelqu’un avec une aussi belle âme et qui sache m’aimer pour ce que je suis vraiment. Maintenant, c’est à moi de te remercier et je te promets que je ferai tout pour que tu retrouves Max. »Je n’avais pas d’autres mots que de me blottir contre lui en attendant que d’être lasser de l’eau chaude qui coulait sur moi. On finit quand même par sortir. Je lui proposai de rester dormir et il accepta. On passa alors toute la nuit à nous confier et à parler de nous. J’avais trouvé en Tarek un confident et j’y plaçais en lui toute ma confiance.
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