Marlène
Récit érotique écrit par Clitounet [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Marlène
Ma première sodomie.
J'avais fait la connaissance d'une femme mariée, Marlène, nous étions simplement amis, il n'y avait jamais rien eu de sexuel entre nous.
Un soir que j'étais chez elle, son mari à nouveau en voyage, nous avions dîné ensemble.
Elle semblait très excitée, elle avait un peu bu et se mit à parler sexe alors que nous n'avions jamais évoqué ce domaine ensemble, à part dans quelques blagues salaces.
Soudain elle me confia : "j'ai un fantasme, je voudais me faire sodomiser".
Je fus un peu surpris je pris le part d'en rire.
Elle revint à la charge "j'ai une envie folle de me faire enculer, mon mari ne veut pas, mais toi, tu es mon ami, tu peux faire ça pour moi non ?"Je sentis un flot d'adrénaline couler dans mes veines, je devais être cramoisi...
Elle se leva et vint près de moi, elle se tourna et me montra ses fesse moulées dans un Jean bien serré.
Elle était bien en chair sans être grosse, elle prit ma main et la posa sur une fesse, elle me dit comment tu me trouves, c'est ferme, tu n'as pas envie d'entrer là dedans ?
Je ne savais pas où me mettre, mais je sentais mon sexe gonfler dans mon slip.
Finalement, je craquais, je commençais par l'embrasser fougueusement, elle était jolie, et même si je n'avais jamais pensé que nous pouvions être plus qu'amis, je commençais à la voir sous un autre angle.
Elle passa par la salle de bains, moi aussi et nous nous retrouvâmes dans la chambre tous deux nus comme le jour de notre naissance.
Elle était vraiment très excitante, elle avait de beaux seins plutôt volumineux mais fermes et des fesses bien rondes, sa peau était très douce.
Elle m'exposa le programme : "je vais d'abord te sucer pour que ta queue devienne bien grosse et bien dure, et toi, tu vas me dilater l'anus avec ta langue et tes doigts, puis tu m'enculeras bien à fond et tu jouiras au fond de mon cul".
J'étais surpris d'entendre un tel langage de sa part, elle avait dû fantasmer un bon moment pour en arriver là.
Alliant le geste à la parole, elle se jeta sur ma bite, l'enduisit de salive et l'engloutit presque entièrement dans sa bouche avec gourmandise.
Je la laissai me sucer un moment, puis l'interrompai avant d'aller trop loin, j'avais besoin de réserves pour la suite.
Je lui demandai de se mettre en levrette au bord du lit, puis je m'occumais de son petit trou avec ma langue et mes doigts.
Son anus était serré, il avait un petit goût poivré, mon index enduit de salive avait du mal à rentrer, elle poussait des petits cris.
Je forçai le passage avec mon doigt et ma langue, je sentis enfin que la rondelle plissée se détendait, j'introduisis un doigt, puis deux , elle feulait de plaisir, sa chatte était toute trempée, je titillais son clitoris au passage, elle retira ma main, et me dit "non, je vais partir trop vite, je suis trop excitée, je veux jouir par le cul, rien que par le cul".
Au bout d'un moment, je pensais que son anus était enfin prêt pour l'intromission, je l'avais bien léché et bien pistonné avec deux doigts.
Je lui demandai de reprendre mon sexe en bouche pour bien l'enduire de salive, ce qu'elle fit avec empressement.
Puis le moment crucial arriva, c'était une première pour nous deux (selon des dires).
Je lui écartai les cuisses pour obtenir la bonne hauteur, un dernier coup de langue sur sa rondelle qui palpitait, et je présentai mon gland à son petit trou.
Je commençai à forcer très doucement sur la rondelle brune, mon gland rentra presque à moitié puis sembla bloquer, elle tremblait de tous ses membres, je me retirai et elle protesta "non non! continue".
Je remis ma langue dans le trou, j'enduisis mon gland de salive, puis commençai une deuxième tentative.
Le gland tout entier entra, elle poussa un petit cri, je commençai à me retirer, elle cria "non ! vas y c'est trop bon..."Je poussai alors d'une façon continue et je l'emmenchai bien à fond, elle s'écarta elle-même les fesses avec ses deux mains pour ne pas perdre un centimètre, arrivé au fond, elle gemit encore, elle respirait très fort, elle tremblait encore plus.
Je restai sans bouger quelques secondes je lui demandai si elle avait mal, elle me répondit "non, attends un peu il faut que je m'habitue".
Au bout d'un moment, je commençai à me retirer tout doucement, elle me laissa faire, le bourrelet du gland bloca sur sa rondelle, elle poussa encore un petit cri.
Je replongeai à fond doucement, je sentais que ça glissait mieux, elle acconpagnait le mouvement en feulant, un râle profond, rauque, qui venait du fond de sa gorge, elle m'ordonna "vas y, défonce moi le cul, plus vite!".
J'accélérai le mouvement, ça glissait beaucoup mieux, et j'arrivais à ressortir complètement, son anus était désormais ouvert et quand je replongeais à nouveau elle cria "oui, vas y déchire moi !, c'est bon".
Je passai ma min sous son ventre pour atteindre son petit bouton, mais j'y rencontrais la sienne qui s'agitait, elle avait quand même besoin de ça pour atteindre l'orgasme.
J'accélérai le mouvement et je sentis mon plaisir arriver, elle se mit à trembler encore plus, je sentis son anus se contacter, il me massait la queue, elle cria. Presque en même temps, j'éjaculai longuement bien au fond de son cul.
Elle s'allongea sur le lit avec mon sexe toujours dans son anus, j'essayai de l'embrasser sans y arriver, une grosse larme coulait sur sa joue.
Je lui dis "je t'ai fait mal, je suis désolé"Elle me répondit "mais non grand couillon, je n'ai jamais autant joui, si mon mari ne veut pas m'enculer, je divorce..."
Je me retirai doucement, ça forçait un peu au passage du gland, elle poussa encore un petit cri.
D'après ce que je sais, elle est toujours avec son mari...
J'avais fait la connaissance d'une femme mariée, Marlène, nous étions simplement amis, il n'y avait jamais rien eu de sexuel entre nous.
Un soir que j'étais chez elle, son mari à nouveau en voyage, nous avions dîné ensemble.
Elle semblait très excitée, elle avait un peu bu et se mit à parler sexe alors que nous n'avions jamais évoqué ce domaine ensemble, à part dans quelques blagues salaces.
Soudain elle me confia : "j'ai un fantasme, je voudais me faire sodomiser".
Je fus un peu surpris je pris le part d'en rire.
Elle revint à la charge "j'ai une envie folle de me faire enculer, mon mari ne veut pas, mais toi, tu es mon ami, tu peux faire ça pour moi non ?"Je sentis un flot d'adrénaline couler dans mes veines, je devais être cramoisi...
Elle se leva et vint près de moi, elle se tourna et me montra ses fesse moulées dans un Jean bien serré.
Elle était bien en chair sans être grosse, elle prit ma main et la posa sur une fesse, elle me dit comment tu me trouves, c'est ferme, tu n'as pas envie d'entrer là dedans ?
Je ne savais pas où me mettre, mais je sentais mon sexe gonfler dans mon slip.
Finalement, je craquais, je commençais par l'embrasser fougueusement, elle était jolie, et même si je n'avais jamais pensé que nous pouvions être plus qu'amis, je commençais à la voir sous un autre angle.
Elle passa par la salle de bains, moi aussi et nous nous retrouvâmes dans la chambre tous deux nus comme le jour de notre naissance.
Elle était vraiment très excitante, elle avait de beaux seins plutôt volumineux mais fermes et des fesses bien rondes, sa peau était très douce.
Elle m'exposa le programme : "je vais d'abord te sucer pour que ta queue devienne bien grosse et bien dure, et toi, tu vas me dilater l'anus avec ta langue et tes doigts, puis tu m'enculeras bien à fond et tu jouiras au fond de mon cul".
J'étais surpris d'entendre un tel langage de sa part, elle avait dû fantasmer un bon moment pour en arriver là.
Alliant le geste à la parole, elle se jeta sur ma bite, l'enduisit de salive et l'engloutit presque entièrement dans sa bouche avec gourmandise.
Je la laissai me sucer un moment, puis l'interrompai avant d'aller trop loin, j'avais besoin de réserves pour la suite.
Je lui demandai de se mettre en levrette au bord du lit, puis je m'occumais de son petit trou avec ma langue et mes doigts.
Son anus était serré, il avait un petit goût poivré, mon index enduit de salive avait du mal à rentrer, elle poussait des petits cris.
Je forçai le passage avec mon doigt et ma langue, je sentis enfin que la rondelle plissée se détendait, j'introduisis un doigt, puis deux , elle feulait de plaisir, sa chatte était toute trempée, je titillais son clitoris au passage, elle retira ma main, et me dit "non, je vais partir trop vite, je suis trop excitée, je veux jouir par le cul, rien que par le cul".
Au bout d'un moment, je pensais que son anus était enfin prêt pour l'intromission, je l'avais bien léché et bien pistonné avec deux doigts.
Je lui demandai de reprendre mon sexe en bouche pour bien l'enduire de salive, ce qu'elle fit avec empressement.
Puis le moment crucial arriva, c'était une première pour nous deux (selon des dires).
Je lui écartai les cuisses pour obtenir la bonne hauteur, un dernier coup de langue sur sa rondelle qui palpitait, et je présentai mon gland à son petit trou.
Je commençai à forcer très doucement sur la rondelle brune, mon gland rentra presque à moitié puis sembla bloquer, elle tremblait de tous ses membres, je me retirai et elle protesta "non non! continue".
Je remis ma langue dans le trou, j'enduisis mon gland de salive, puis commençai une deuxième tentative.
Le gland tout entier entra, elle poussa un petit cri, je commençai à me retirer, elle cria "non ! vas y c'est trop bon..."Je poussai alors d'une façon continue et je l'emmenchai bien à fond, elle s'écarta elle-même les fesses avec ses deux mains pour ne pas perdre un centimètre, arrivé au fond, elle gemit encore, elle respirait très fort, elle tremblait encore plus.
Je restai sans bouger quelques secondes je lui demandai si elle avait mal, elle me répondit "non, attends un peu il faut que je m'habitue".
Au bout d'un moment, je commençai à me retirer tout doucement, elle me laissa faire, le bourrelet du gland bloca sur sa rondelle, elle poussa encore un petit cri.
Je replongeai à fond doucement, je sentais que ça glissait mieux, elle acconpagnait le mouvement en feulant, un râle profond, rauque, qui venait du fond de sa gorge, elle m'ordonna "vas y, défonce moi le cul, plus vite!".
J'accélérai le mouvement, ça glissait beaucoup mieux, et j'arrivais à ressortir complètement, son anus était désormais ouvert et quand je replongeais à nouveau elle cria "oui, vas y déchire moi !, c'est bon".
Je passai ma min sous son ventre pour atteindre son petit bouton, mais j'y rencontrais la sienne qui s'agitait, elle avait quand même besoin de ça pour atteindre l'orgasme.
J'accélérai le mouvement et je sentis mon plaisir arriver, elle se mit à trembler encore plus, je sentis son anus se contacter, il me massait la queue, elle cria. Presque en même temps, j'éjaculai longuement bien au fond de son cul.
Elle s'allongea sur le lit avec mon sexe toujours dans son anus, j'essayai de l'embrasser sans y arriver, une grosse larme coulait sur sa joue.
Je lui dis "je t'ai fait mal, je suis désolé"Elle me répondit "mais non grand couillon, je n'ai jamais autant joui, si mon mari ne veut pas m'enculer, je divorce..."
Je me retirai doucement, ça forçait un peu au passage du gland, elle poussa encore un petit cri.
D'après ce que je sais, elle est toujours avec son mari...
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