Marlène, rencontre avec un travesti 3 Retrouvailles
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Marlène, rencontre avec un travesti 3 Retrouvailles
Après avoir rencontré Marlène, un travesti et être moi-même devenu comme elle, notre histoire va connaître un nouvel épisode très surprenant.
Retrouvailles
Nous vivions heureux avec Marlène. Depuis six mois, nous sommes même pacsés. Lors de nos sorties publiques, je suis en homme. Ce n’est qu’au sauna où pour des soirées en club, ou chez nos amis toulousains, que je me travesti. A la maison, je suis aussi souvent en femme.
Nous avons aussi un « arrangement » en ce qui concerne nos vies sexuelles. Je rencontre à l’occasion des femmes et Marlène fréquente des hommes ou des travestis. Dans ces cas-là, protection obligatoire. Même si ce n’est pas fréquent, lorsque « l’envie » nous prend, nous nous permettons des « escapades ». Lors de nos retrouvailles, nous en parlons et nous finissons souvent en faisant l’amour ensemble.
Je sais que Marlène entretient une relation suivie avec un homme marié, en cachette de sa femme. Ils se retrouvent dans un appartement, pour quelques heures, rarement pour une nuit. Dans ces cas-là, soit je reste à la maison, soit j’en profite pour aller au sauna ou à un rendez-vous galant. En effet, Marlène m’avertit à l’avance. C’est une relation étrange avec cet homme. Cela fait de nombreuses années qu’ils se rencontrent, toujours à la demande de l’homme, environ une fois par mois. Marlène m’a précisé qu’elle n’est pas « rémunérée », même si elle aime se considérer comme une pute et que parfois l’homme lui offre des cadeaux.
Un jour, en fin de journée, alors que je sors de chez un client et que je m'apprête à démarrer, qu’elle n’est pas ma surprise lorsque je vois Marlène sortir d’un immeuble en compagnie d’un homme. Je sais que ce jour-là, elle devait le rencontrer. C’est vraiment un hasard que mon client se trouve à proximité, car je n’ai jamais voulu savoir l’adresse de leur « nid d’amour ».
Je suis dans ma voiture et aucun des deux autres ne peut me découvrir. Ils font quelques pas et l’homme s’arrête près de sa voiture. Ils échangent un baiser et Marlène repart de son côté. En la voyant marcher ainsi dans la rue, je ne peux m’empêcher de la trouver belle et désirable. Un homme qu’elle croise en s’éloignant, se retourne même sur elle avec un regard envieux. Ma chérie fait des ravages et j’en suis à la fois jaloux et fier.
En partant, la voiture de l’amant de Marlène passe devant la mienne et là, deuxième surprise, je le connais ! Cet homme est un copain d’enfance ! J’étais même le témoin de son mariage. Je n’aurais jamais pensé qu’il puisse être attiré par les hommes et à fortiori par les travestis. Je l’ai connu macho, fier de sa virilité et « homme à femmes ». Toujours prêts pour une aventure, nous fréquentions même les plages naturistes des Landes où le cheptel de femmes seules était notre terrain de chasse. Allemandes, hollandaises ou françaises en goguette sans leur mari, nous avions écumé le littoral pendant plusieurs années, jusqu’à qu’il rencontre sa future épouse. En huit jours, elle l’avait changé. Avait mis son grappin dessus et je m’étais retrouvé seul pour mes aventures.
Après le mariage, ils avaient eu deux filles et Jean Pierre menait une vie rangée de bon père de famille, catholique et pratiquant, tout du moins …. jusque là, en apparence ! Nous nous étions perdus de vue, ne fréquentant plus les mêmes personnes. Sa femme avait vraiment fait le vide autour de lui.
Je ne savais comment dire à Marlène que je l’avais vue en compagnie de sa « rencontre » mensuelle. Je ne voulais pas qu’elle ait l’impression que je la surveillais. Néanmoins, la chose me turlupinait. Je découvrais la face cachée de mon copain et quelque part, cela m’excitait.
Plusieurs fois, au retour de Marlène de son rendez-vous, je la « charriais » sur cet amant caché et régulier.
- « Tu es jaloux mon cœur ?
- Tu sais bien que oui, mais je suis toujours aussi fier que ma femme plaise.
- Quand même, depuis quelques temps, tu m'interroge toujours sur cet homme.
- Cela me paraît curieux, c’est tout. Je ne te le reproche pas, attention ! Je comprends votre discrétion, enfin surtout la sienne.
- Comment cela ?
- Tu m’as dit qu’il était marié, père de famille et que tu le vois depuis plus de dix ans. Et depuis tout ce temps, vous n’avez jamais pensé à plus ?
- A quoi tu penses ?
- Eh bien, à vous mettre ensemble !
- C’est ça ! Tu es jaloux mon chéri ! Eh bien non ! C’est vrai que c’est un peu bizarre, surtout depuis que je t’ai rencontré. Je n’ai jamais osé le lui dire, ni arrêter avec lui. Chaque fois il me dit que je suis son « oasis » de bonheur au milieu de sa vie terne.
- Pourquoi ne divorce-t-il pas ?
- Je n’en sais rien. Je sais que c’est un fervent catholique et que chez ces gens là cela ne se fait pas. Il m’a dit qu’il aimait sa femme, mais qu’il avait besoin de nos rencontres pour être bien. Mais, tu poses beaucoup des questions. C’est quoi ton problème ?
- Je le connais !
- Quoi? Comment ? Mais tu ne l’as jamais vu !
- Bon. Je t’explique. Je te jure que ce que je te dis est la pure vérité.
- Ça c’est facile ! Tu m’a espionnée ?
- Justement non. Je ne me le serais pas permis et sûrement pas pardonné si cela avait été le cas. C’est le hasard.
- Il a bon dos le hasard !
- Ne t’énerve pas. Écoute-moi. J’ai un client rue d’Etigny.
- C’est pas vrai !
- Si, si. Tu connais les établissements Harvey ?
- Euh.. oui.
- Leurs bureaux sont au 44. Je sortais de chez eux quand je t’ai vue sortir du 41, juste en face. Tu étais en compagnie d’un homme. Qu’elle n’a pas été ma surprise ensuite quand j’ai reconnu Jean Pierre !
- Il ne s’appelle pas Jean Pierre. Il s’appelle Bernard.
- Pour toi peut-être, mais je le connais depuis ma jeunesse et je t’assure que c’est son vrai prénom. Bref, quand nous étions jeunes, nous faisions la fête ensemble et des rencontres. Depuis qu’il est marié, il a tout arrêté. On s’est perdus de vue, même si on se retrouve parfois à l’occasion de fêtes.
- Bon, alors, c’est quoi le problème ?
- Ce n’est pas toi, je te rassure… ni lui d’ailleurs, quoi que… ça m’ouvre des horizons…- Salaud ! Tu veux me le piquer ?
- Le partager.. peut-être ? Sérieusement. Je ne pensais pas qu’il soit attiré par les hommes ni par les travestis.
- Tu crois qu’il n’y a que toi ?
- Non bien sûr, même s’il y en a peu qui se pacsent avec.
- C’est vrai mon amour ! Mais alors ?
- J’aimerais… tous les trois…- Tu es à l’aise toi !
- Tu ne pourrais pas lui suggérer un rencontre avec une copine comme toi ?
- On n’en a jamais parlé.
- Comment l’as-tu rencontré ?
- Sur un site.
- Donc il était à la recherche de quelqu’un comme toi ?
- Oui- Même si c’est sérieux entre vous, tu pourrais lui proposer de « pimenter » vos rencontres. Depuis dix ans, une certaine routine s’est installée non ?
- C’est vrai que nous avons nos.. habitudes… Il me prend toujours en missionnaire. Il aime que je lui doigte le cul, mais je ne l’ai jamais enculé. Ce qu’il aime chez moi, c’est justement cette ambivalence. A part ça, il se protège toujours. J’ai eu beau lui dire que j’étais « clean », en fait, il me prend toujours pour une pute.
- Il te paye ?
- Non ! Il me fait des cadeaux parfois. Des bijoux... mais on ne se voit que dans ce studio, jamais ailleurs.
- Promets-moi d’essayer.
- Si tu le veux. Je vois que ça t’excite mon salaud, que ton copain soit pédé.
- Je l’avoue.
- Alors, viens baiser ta femme ! Moi aussi ça m’excite ! »Je me précipite entre les jambes de ma chérie. Je débusque son clito encore mou, sous le string coquin qu’elle a enfilé. Je commence à le cajoler par dessus le tissu diaphane. Très vite il gonfle et avant qu’il ne se retrouve sa grande amplitude, je baisse le tissu et j’avale ma gourmandise pour finir de le durcir.
Une fois fait, je me lève, me déshabille rapidement et je viens m’empaler sur sa belle queue qui me remplit le cul. Je monte et descend sur ce chibre qui me donne tant de plaisir. Je fatigue malgré tout, mais je veux amener Marlène à la jouissance. Je serre mes muscles, je m’agite encore et enfin je sens ma chérie se libérer dans mes entrailles. Je m’effondre, assis sur son bassin tout en l’embrassant.
- « Ma chérie, » me dit-elle « Va t’habiller comme la pute que tu es et tu vas venir me baiser. J’ai trop envie de ta bonne queue dans mon cul ! »Ce que femme veut… Je passe dans la chambre, où pendant un long moment je me prépare. Je soigne mon maquillage et ma tenue. Vingt minutes plus tard, je reviens dans le salon. Marlène m’attend le sourire au lèvres. Elle nous a servit un Américano. Toujours étalée sur le canapé, elle n’a rien changé à sa tenue. Son sexe est toujours en dehors de la culotte.
- Viens me nettoyer le clito ! Je sais que tu aimes sentir l’odeur de ton cul ma salope ! Ensuite, tu lécheras le mien. Prépare-le bien, je viens d’avoir un message de Bernard, enfin Jean Pierre si tu veux, on se voit demain, alors encule-moi bien comme la pute que je suis. Prends-moi en levrette et défonce-moi bien la chatte anale ! »Comme d’habitude, j’adore la sensation de me retrouver à genoux pour honorer le clito de ma maîtresse, qui sous ma langue et entre mes lèvres, devient une belle bite. Longtemps je cajole l’organe. Je salive au propre et au figuré. Je l’avale au fond de ma gorge et je n’oublie pas de glisser un doigt puis deux, dans son fondement qui s’ouvre.
Marlène réclame la saillie et ne veut pas me gratifier de son sperme dans ma bouche. Elle sait que j’adore ça, mais elle veut se garder pour jouir sous mes coups de queue dans son cul. Elle se positionne à quatre pattes et demande sa levrette. Dans la glace face à nous, je la vois lâcher un « Aahh » quand je pénètre ses fesses. Tout de suite, s’enchaînent des gémissements, des suppliques pour que je l’encule plus fort. Dans le miroir, je vois notre couple étrange de deux femmes ou du moins deux simulacres de femmes, dont l’une – Marlène- est particulièrement féminine. L’autre femme -moi- me paraît toujours étrange. A la fois je me reconnais, mais il me semble voir quelqu’un d’autre. Cette femme qui baise l’autre dans sa chatte anale, est presque une étrangère pour moi.
Sous ma perruque, je transpire. Marlène, qui a les cheveux longs naturellement, n’a pas ce problème. Néanmoins, la chevauchée que je lui impose, lui donne chaud. Son corps devient brûlant, synonyme d’une jouissance proche. La sodomie devient violente. Mon bassin claque contre ses fesses. Plusieurs fois, je m’arrête car je sens venir mon plaisir et je voudrais qu’il arrive en même temps que celui de ma femelle.
Marlène halète de plus en plus fort. Elle grogne, puis bientôt, elle crie. « Oh oui! Viens ma chérie ! Je vais jouir ! Donne-moi ton jus ! Vas-y a fond ! » Quand je sens ses sphincters se serrer sur ma queue, je me donne à fond et j’éjacule dans sa chatte anale au moment où son gland laisse échapper son foutre sur le sol.
Notre double jouissance a été forte, mais nous restons emboîtés. Je sais que Marlène apprécie beaucoup que je continue ma sodomie pendant un moment, même si ma bite a tendance à se ramollir. Elle sait aussi qu'après quelques minutes de pénétrations, je vais rebander suffisamment pour lui procurer encore un plaisir diffus qui la maintient dans un état de béatitude. Elle relève la tête et nous regarde aussi dans le miroir. Je me penche sur elle, lui tourne la tête et on s’embrasse tendrement. Heureux(ses).
Nous terminons la soirée alanguis sur le canapé, nous bécotant, nous caressant après que Marlène ait procédé au « nettoyage » de ma queue sortant de son cul et qu’en soixante neuf, je procède à la même chose sur la sienne.
Le lendemain, Marlène part retrouver son « amant ». A son retour, je ne l’interroge pas. J’attends plusieurs mois avant que d’elle même, elle me parle de mon projet avec Jean Pierre.
Après une nouvelle visite mensuelle, elle aborde enfin le sujet :- « J’ai parlé à Bernard – elle l’appelle toujours ainsi – Il a été surpris.
- Il serait d’accord ?
- Attend un peu espèce de dépravé !
- Raconte.
- Ça fait plusieurs fois que je lui parle de toi. Enfin… de mon amie avec qui je vis. Je lui ai dit qu’elle était travestie comme moi. Il a été étonné que je lui en parle après toutes ses années. « Cela ne fait que deux ans que je suis avec elle. Elle a appris que je te rencontrais tous les mois.
- Elle est jalouse ?
- Bien sûr ! Comme moi lorsqu’elle rencontre quelqu’un, mais nous sommes libres, libertines et nous ne nous sommes rien interdit.
- Et… c’est sérieux avec elle ?
- Tu es jaloux mon coquin ! Oui, nous sommes mariées.
- Mariées ?
- Oui… enfin… pacsées.
- …- Je sais que ça peut te heurter… vis à vis de tes convictions religieuses…- Ce n’est pas ça. Je suis… surpris, c’est tout. Mais alors ?
- Je lui parle de toi et elle aimerait…- Quoi ?
- Te… rencontrer… Enfin tu vois… nous retrouver tous les trois…- Pour…- Pour baiser oui ! Je lui ai dit que tu avais une très belle bite, qui me rendait heureuse.
- Et tu crois que… avec une autre ?
- Je sais que tu n’as connu qu’une… femme comme moi, mais au départ, c’est venu d’une rencontre sur internet.
- Mais toi, ça ne te gêne pas que je… avec elle ?
- Je serai là et franchement, il y a beaucoup d’hommes appréciant les femmes comme moi, qui rêveraient d’avoir deux femelles réunies.
- Je… Je ne sais pas… C’est tout de même… spécial, ce que tu me proposes.
- Tu es fâché ?
- N… Non… surpris c’est tout.
- Écoute. Je ne te demande pas de réponse tout de suite. Tu y penses et tu me diras plus tard, si tu en as envie. Sinon, on n’en parle plus.
- D’ac… d’accord.
- Mais… qu’est-ce que vois là ? Ça t’excite mon cochon ! Tu bandes !
- Je… C’est ta faute aussi.
- Bien sûr, c’est ma faute ! Viens ici que je suce ce petit – enfin petit… - voyou, qui te trahit ! »
- « Bon, tu comprends qu’on a remis le couvert. Je crois que ta proposition lui plaît ! Comment comptes-tu t’y prendre ?
- On fera au feeling.
- Tu penses qu’il ne va pas te reconnaître ?
- J’ai changé depuis toutes ces années et même moi quand je me vois… en femme, j’ai du mal à me reconnaître.
- C’est vrai que tu es mignonne comme ça. Viens ici ma chérie ! Tu m’excites à moi aussi ! »
Trois jours plus tard, Marlène reçoit un message de son amant. « Je suis d’accord pour ton… amie. Je suis libre samedi prochain.»- « Eh bien dis donc, je crois que je ne suis pas la seule à être excitée ! » Me dit Marlène en recevant la nouvelle. « Toujours d’accord ?
- Plus que jamais ! »Le samedi matin, je suis très nerveux. Jean Pierre va-t-il me reconnaître sous mon déguisement, vais-je oser me dévoiler à lui ? C’est la première personne de mon entourage proche qui me connaîtra sous mon jour caché. Oserai-je avoir un rapport sexuel avec lui. Ce n’est pas mon premier homme, mais lui je le connais depuis trente ans.
Marlène voit bien ma nervosité et elle fait tout pour me rassurer. Nous faisons l’amour tendrement. Elle me prend comme j’aime. Moi sur elle face à la glace, quand je me vois chevaucher sa bite et la mienne qui tressaute. Elle me finit en levrette. Exceptionnellement nous sommes « en hommes » tous les deux. Enfin, malgré l’absence de maquillage et de sous vêtements, Marlène est toujours très féminine, en dehors de sa belle bite. Passage ensuite à la douche et au maquillage. Marlène me prépare soigneusement. Une fois prêt(e) je ne me reconnais pas. Dès ce moment, je suis , je me sens, « femme ».
Pour nous rendre à l’appartement du studio loué par Jean Pierre, nous prenons la voiture. Même s’il m’arrive de sortir travesti, notamment pour nous rendre au sauna, je ne peux marcher très loin, perché sur mes talons hauts. Marlène peut faire illusion, mais en pleine ville, en journée, je serais vite repéré.
Au pied de l’immeuble, avant de quitter la voiture, on s’embrasse doucement pour ne pas abîmer notre rouge à lèvres. C’est l’heure, il faut y aller et Jean Pierre nous attend.
En entrant dans le studio, mon cœur bat la chamade. Jean Pierre/Bernard nous reçoit amicalement. Il fait la bise à Marlène qui fait ensuite les présentations :- « Bernard, je te présente Jessica ma femme. Jessica, voici Bernard, dont tu as beaucoup entendu parler. »Il se tourne vers moi et vient m’embrasser. J’ai un petit recul.
- « Elle est timide ton amie !
- Ça va lui passer. Elle est impressionnée de te rencontrer.
- Elle ne doit pas. Je ne suis pas méchant.
- Elle le sait bien. »Jean Pierre nous a préparé du champagne qu’il nous sert pour décontracter l’atmosphère.
- « A nous ! A notre rencontre en espérant qu’elle sera agréable. S’il vous plaît, Mesdames, commencez un peu à vous amuser entre vous ! »Marlène se lève m’invite à la rejoindre et face à notre « homme » elle m’enlace et m’embrasse. J’oublie un peu la présence de mon copain et je m’abandonne dans les bras de ma chérie.
Très vite, celle-ci commence à me déshabiller et je fais de même pour elle. Je me retrouve en guêpière. Mes petits seins pointent en dehors du corset. Déjà ma queue se raidit dans mon string. Marlène arbore un beau soutien gorge qui dégage ses tétons, en string minimaliste, porte jarretelles et bas fumés. On se serre à nouveau l’un(e) contre l’autre et on se caresse.
Marlène s’accroupit et, dans le mouvement, descend mon string faisant apparaître ma queue qui se dresse de plus en plus. Elle l’avale et me suce goulûment, me faisant durcir entre ses lèvres. Je me laisse aller à la caresse en fermant les yeux. Je sens bientôt une présence à mes côtés. C’est Jean Pierre qui s’est déshabillé et qui vient se coller à moi. Je sens contre ma hanche, sa virilité déjà dressée. Je pose ma main dessus et je constate que Marlène ne m’a pas menti. Jean Pierre est particulièrement bien monté. Je le revois il y a vingt cinq ans, quand nous fréquentions les plages naturistes des Landes et qu’il faisait saliver les belles allemandes, hollandaises et autres femmes, délaissées la semaine par leurs maris ne les retrouvant que le week-end. Jean Pierre s’avance et Marlène a maintenant deux queues dressées pour elle. Elle passe de l’une à l’autre, en tenant une dans chaque main. Quand elle s’occupe de ma bite, je pose ma main sur sa tête quand elle change, c’est Jean Pierre qui lui impose la sienne qui pèse fort, la forçant à avaler son chibre presque au fond de la gorge. Je ne suis pas inquiet pour elle, car elle est capable et coutumière du fait.
Jean Pierre s’est collé contre moi et entoure ma taille de l’autre bras, je sens sa chaleur contre moi et je suis troublé(e). C’est alors qu'il tourne sa tête vers moi et prend mes lèvres. Le contact me donne un frisson qu’il doit bien ressentir. Sa langue prend possession de ma bouche. Le mâle domine sa femelle. Je le ressens de cette manière et ça me plaît. Que ce soit en plus lui, m’excite. Mais pour lui, je ne suis qu’un travesti qu’il soumet à sa volonté.
Sa main qui guidait la pipe de Marlène, me triture maintenant un téton. Il le pince et je gémis dans sa bouche vorace. L’homme sent un peu plus qu’il prend l’ascendant sur la femelle qui s’offre. Le mâle dominateur prend le dessus sur les deux salopes. Il commande à Marlène de se coucher sur le dos et à moi de me mettre à genoux entre ses jambes.
- « Suce ta femme salope. Je vais t’enculer. Tu vas voir qui es le maître ! »Bien sûr, je consens et j’obéis à l’ordre qui m’est donné. Je murmure simplement. « Fais doucement ! Tu es gros ! »Le mâle n’en a rien à faire. Il crache sur mon cul en écartant mes fesses. Marlène, habituée aux dimensions de son amant, me passe du gel pendant que Jean Pierre enfile une capote. Je me badigeonne bien en rentrant trois doigts dans mon fondement. Rapidement, ma main est écartée et je sens le gros gland peser sur ma rondelle. Conscient que je vais le sentir passer, je pousse sur mes muscles pour ouvrir le passage.
Jean Pierre force lentement mais sûrement mes sphincters. Sa bite élargit le passage et me coupe le souffle. Mes muscles lâchent d’un coup et le gland franchit la porte étroite. Il s’arrête un peu, puis reprend sa marche inexorable dans mon cul. J’ai mal, mais je ne peux que grogner, la bouche toujours prise par la bite de Marlène. Mon mâle me défonce longtemps, alternant les pénétrations lentes ou rapides, profondes ou juste à l’entrée en sortant fréquemment. Cela me laisse une impression de vide et à chaque fois d’air froid qui me pénètre. La sensation quand il se réintroduit est accentuée et fabuleuse. Je gémis comme une femelle sous la saillie. Je voudrais que ça dure. Je voudrais jouir, mais le sent-il ? Il interrompt ses coups de boutoir au moment où je vais couler.
Ma sodomisation dure longtemps. Je suis comme une poupée de chiffon. Je n’ai plus la force ni la capacité de pomper la bite de Marlène. Jean Pierre s’en rend compte et annonce :- « Je vais baiser ta femme maintenant ! Toi salope relève tes jambes et écarte ton cul ! »Marlène est habituée aux dimensions de son amant et son trou est bien préparé, malgré cela, elle ne peut s’empêcher de grogner quand sans précaution, il s’enfonce d’un coup dans ses lombes. Il la besogne en cadence, se penche sur elle et l’embrasse, l’empêchant de crier son plaisir.
- « Toi salope, viens me bouffer le cul. Puisque tu es là, autant que j’en profite ! »Derrière lui, j’écarte ses fesses et plonge ma langue en salivant au maximum. Il a l’air d’apprécier. J’ose un doigt dans sa rosette. Il ne proteste pas et je tente un second.
- « Salope ! Je ne t’ai pas dis de m’enculer ! Je suis pas un pédé moi ! »Je reprends mon office avec la langue, puis je retente une pénétration. Avec un seul doigt, je m’enfonce maintenant plus profondément dans son cul et il ne peut s’empêcher de lancer un « ouii ». Alors je continue. Je rajoute un doigt et cette fois il me laisse faire. Marlène m’avait bien dit qu’il refusait cette caresse mais là, il s’abandonne. Je frotte sa prostate et il gémit de plaisir. Oserai-je un troisième doigt ? Je préfère assurer et lui donner du plaisir de cette manière. Il grogne, mais ne refuse plus mes doigts dans son cul. Il halète, ses muscles se tendent et enfin il jouit. Lentement, je réduis mes mouvements pour accompagner la descente de son plaisir et je finis par retirer mes doigts que je lèche. J’aime l’odeur de son cul.
Ni Marlène ni moi n’avons joui. Le mâle se moque bien de cela. Il est repu et savoure ce moment. Fier de sa virilité.
- « Salope ! » Me dit-il » Je ne t’ai pas autorisé à me mettre les doigts dans mon cul !
- Je crois que tu as bien aimé tout de même.
- C’est vrai !
- Tu vois, ce n’est pas parce qu’on aime ça qu’on est pédé. C’est un plaisir supplémentaire. Tu devrais même essayer de prendre une bite.
- Tu es folle ! Pourquoi pas te sucer aussi ?
- Oui. Pourquoi pas ? Tu n’as jamais sucé Marlène ?
- N… Non.
- Tu te prives d’un grand plaisir. Moi j’adore.
- Toi bien sûr ! Tu es…- Pédé ? Pas plus que toi. Tu te tapes des travestis. Aux yeux de certains, il te qualifieraient de pédé. Je peux te dire que quand je suis un homme, j’adore lécher les femmes et les baiser. Aujourd’hui je prends du plaisir à me sentir femme, mais je jouis aussi quand je suis un homme. Tu sais, nous sommes des hommes qui aimons nous travestir, mais nous sommes des hommes. Même Marlène qui ne le faisait plus depuis vingt ans, s’est mise à baiser avec des femmes, toujours protégés bien sûr !
- Tu m’as l’air d’une sacrée coquine toi ! Ta… femme est plus réservée.
- Parce que tu ne l'as jamais vue en action en dehors d’ici.
- …- Bon, pour clore le sujet et ne pas te gêner, sache que j’ai beaucoup aimé que tu t’occupes de mon cul. C’est vrai que tu es bien monté. Heureusement que Marlène m’avait prévenu(e). Le seul bémol, c’est que nous les femmes, nous n’avons pas jouit.
- Vous pouvez le faire entre vous.
- J’aimerais que ce soit toi qui me fasse jouir.
- Tu n’en a pas eu assez ?
- Je dois dire que mon cul se rappelle encore de ta visite, mais il lui tarde aussi d’en avoir une autre.
- Je ne suis plus opérationnel pour le moment.
- Ne t’inquiète pas. Il y a une autre chose que je n’ai pas eu.
- C’est quoi ?
- Je n’ai pas sucé ta belle bite. J’ai hâte de la prendre dans ma bouche, même si je ne fais pas de gorge profonde comme ma chérie, j’adore sucer une belle queue comme la tienne. Je vais te faire durcir, tu vas voir. »Jean Pierre qui est assis dans le large fauteuil, sourit et écarte ses jambes. Je prends mon air le plus salope et je viens m’agenouiller entre elles. La bite encore molle repose sur sa jambe, mais même au repos, elle est impressionnante. Dans ma main elle est lourde. J’approche ma langue de son trou. Elle sent encore le caoutchouc du préservatif, aussi je l’avale et je salive dessus.
Dans ma bouche, elle commence à s’allonger, à grossir. Ma mâchoire est dilatée par ses dimensions, mais je ne m'arrêterais pour rien au monde.
- « Cette salope suce presque aussi bien que toi. Va lui lécher le cul et encule-là ! J’ai l’impression qu’elle aime ça ! Ça lui fera le passage quand je vais lui remettre la mienne. »Marlène, bien sûr, ne se le fait pas dire deux fois. Alors que je continue de pomper la bite maintenant bien raide, elle enfonce sa langue dans mon cul, me graisse bien en rentrant trois doigts qui déjà m’apportent du plaisir. Je regrette qu’il n’y ait pas de glaces dans le studio pour voir la scène. Je me régale de sucer la queue de mon copain de trente ans. Quand à l’époque de nos vingt ans, nous faisions du naturisme ensemble, je n’avais jamais pensé à cela. Nous étions des hétéros et on nous aurait dit qu’un jour nous serions ainsi, nous aurions juré au grand dieu que jamais nous ne le ferions.
Tout en me préparant, Marlène me branle par dessous et je suis bien raide moi aussi. Jean Pierre est suffisamment excité maintenant pour avoir envie de me prendre à nouveau. Je lui propose de me coucher sur la table et de me prendre ainsi.
Allongé(e) sur le dos, je relève moi même mes jambes gainées de nylon. Marlène vient sur le côté et guide elle-même la queue de son amant dans mon cul. Cette fois-ci, il ne prend pas de gants et s’enfonce d’un coup au fond de mes fesses. Sur le moment, ma bite se rétracte, mais Marlène plonge dessus et rapidement me « regonfle » Ce coup-ci, je sais que le mâle mettra plus de temps pour jouir. Je sens déjà les prémisses de ma jouissance monter dans mes reins. Je demande à Marlène de venir m’embrasser et de me branler.
Jean Pierre a pris mes jambes dans ses mains pour les relever et me besogne méthodiquement. Il demande à Marlène de venir l’embrasser lui aussi. Les yeux grands ouverts, je me régale à observer la scène. Mon copain, perdu de vue depuis vingt ans, qui m’encule et ma femme qui l’embrasse puis revient vers moi comme un relais entre nous. Je sens monter ma jouissance. Je grogne, je couine, même ma voix a pris des accents féminins.
- « Regarde cette salope ! Elle aime ça ! Elle va jouir comme une pute en chaleur ! »Jean Pierre se déchaîne dans mon cul. Marlène a glissé sa main entre ses fesses et il ne proteste plus. Au moment où il se répand dans mon cul. Elle enfonce brutalement – elle dira après trois doigts - dans son cul à lui. Il jouit en hurlant et je gicle très fort sur mon torse et mon visage, engluant au passage les doigts de Marlène qui branlait ma bite.
Dans son délire, elle lèche ses doigts, se tourne vers Jean Pierre et l’embrasse. Il partagent mon sperme. Soudain, il réalise.
- « Mais arrête ! C’est dégueulasse !
- Pas plus qu’autre chose. J’adore moi te boire ! Et après tu m’embrasses. Alors… C’est bien chaud ! D’ailleurs tu n’as rien dit au départ et tu as avalé.
- Je.. non, mais… enfin, d’accord mais je ne suis pas…- Pédé ! On le sait. Même si tu aimes les doigts dans le cul, on s’en fout ! On est là aussi pour avoir du plaisir, alors si tu aimes, ne te retiens pas. Ce n’est pas nous qui allons te juger, au contraire. Embrasse ma chérie pour la remercier de t’avoir donné son cul et tant que tu y es, rends lui un peu de son jus ! »Marlène ramasse du sperme sur mon torse et donne ses doigts à sucer à Jean Pierre qui rechigne un peu, mais finalement, laisse faire. Il se penche alors sur moi et m’embrasse. J’entoure son cou avec mes bras et disant « merci ! » et on se roule un patin d’enfer qui dure longtemps. En riant, Marlène parvient à nous séparer.
- « Mais dis-donc ma salope ! Tu veux me prendre mon homme ?
- Oh non ma chérie ! Mais si tu me le prêtes de temps en temps, aucun problème… enfin… s’il veut encore de moi et si tu veux toi aussi.
- Moi tu sais bien que oui et toi Bernard ?
- Je… crois que.. oui. Vous savez, jusqu’à aujourd’hui je n’avais connu qu’une… femme comme Marlène.
- Tu aimes ça finalement, baiser avec des femmes qui ont des bites !
- Je… oui. » Je reprends alors- « Et avec des mecs, tu n’a jamais baisé ?
- Non.
- Tu n’as pas osé ? Ou tu n’a jamais eu envie ?
- Les deux.
- Et quand tu étais plus jeune ?
- Non. C’est depuis que… avec ma femme nous ne faisons plus rien que… Je suis tombé sur un site où j’ai trouvé Marlène.
- Tu avais une petite envie alors ?
- Je.. Je pensais moins la tromper et ça m’a excité.
- C’est bien mon chou ! Moi c’était un peu pareil. Quand j’étais jeune je ne pensais qu’aux femmes et j’en profitais. Je n’aurais jamais pensé, ni devenir homo, ni me travestir. C’est d’ailleurs depuis que je suis avec Marlène que je le fais. On est tous un peu pareils. Avec l’âge, on se rend compte que finalement, c’est le plaisir qui compte, que ce soit avec un homme ou avec une femme.
- Oui. Mais avec vous… ce n’est pas pareil. Vous êtes… différentes…- Et si on se mettait en homme ça changerait pour toi ?
- Je… Je ne sais pas… sûrement !
- Tu aimerais essayer ? » A ce moment, mon cœur tape fort, comme quand je suis rentré dans l’appartement. Le moment est crucial. Selon sa réponse tout peut basculer. « Tu sais, cela restera entre nous, personne n’en saura rien. D’ailleurs personne ne sait que je suis comme ça et je ne voudrais pas non plus que cela se sache.
- Tu… tu crois que…- Je ne sais pas. La décision viendra de toi. Si tu ne veux pas, aucun problème. Sinon… Regarde, je vais enlever mes sous-vêtements. Je ressemblerai déjà plus à un homme. »Je me lève et face à eux – Marlène est aussi tendue que moi - Je commence mon effeuillage. J’enlève mes escarpins. Je détache mes bas et les fais rouler lentement en les jetant vers eux. Je dégrafe la guêpière et me retrouve nu, simplement coiffé de ma perruque et maquillé. En face deux moi, deux bites sont dressées.
- « Alors ? Tu es choqué ?
- N… Non.
- A voir ta queue, j’ai même l’impression que ça te plaît !
- C’est vrai, mais tu ressembles encore à une femme.
- Marlène ! Pompe le dard de ce salaud qui bande ! »Elle se penche aussitôt sur la bite dressée avec un grand « mmmhhh »- « Alors ? Je continue ? Tu veux ?
- Vas-y ! »Je prends un coton démaquillant dans mon sac. J’enlève d’abord le rouge à lèvres, puis le fard sur mes paupières, sur mes joues. J’enlève les faux cils.
- « Ça va toujours ?
- Ou… Oui.» dit-il d’une voix presque inaudible.
J’attrape ma perruque, j’enlève les épingles qui la retiennent et d’un coup, je la soulève en disant :- « Bonjour Jean Pierre !
- Que… Je...Toi ! Ce n’est pas possible ! Pas toi ! Jacques ?
- Eh oui ! C’est moi ! C’est moi que tu as baisé sans le savoir. C’est moi qui t’ai sucé et embrassé. Je t’ai dit que nous avions le même parcours, même si j’ai été plus loin que toi. C’est il y a dix ans que moi aussi j’ai commencé à être excité en regardant des hommes à poil. J’étais libertin comme toi avant de te marier. Moi j’ai continué et aujourd’hui je trouve du plaisir dans les bras de femmes, d’hommes et je me travesti.
- Mais… Comment tu m’as... » Dans la bouche de Marlène, la bite de Jean Pierre a complètement débandé. Je connais ma chérie et ce n’est pas cela qui va l’arrêter. Dans quelques minutes elle aura à nouveau un organe raide dans la bouche… du moins je l’espère.
- C’est le hasard. Un jour, je travaillais en face d’ici et j’ai vu sortir Marlène avec toi. Je savais qu’elle rencontrait un homme depuis dix ans, mais quand je t’ai reconnu, j’ai été scotché. C’est à ma demande qu’elle t’a proposé de rencontrer son amie, ce qui est vrai, puisque nous sommes mariés, enfin pacsés. Depuis tout à l’heure, j’ai adoré. J’ai adoré quand tu m’a embrassé, quand je t’ai sucé et surtout quand tu m’as baisé. Je dois te dire que je n’étais pas très à l’aise en arrivant. Allais-tu me reconnaître ? Et maintenant, vas-tu m’accepter ?
- Je dois dire que… Si tu étais arrivé comme ça, je t’aurais aussitôt jeté.
- Et maintenant ?
- Je suis… troublé, mais…- Il bande fort le salaud ! » Dit alors Marlène en se relevant. Elle se tourne vers lui et l’embrasse. « Tu sais que moi aussi tu m’as rencontrée dans la rue quand j’étais en « civil ». Comme avec Jacques, tu ne m’as pas reconnu, et deux jours plus tard, quand on s’est retrouvés ici, tu n’as pas fait le lien avec l’homme en costume avec un catogan qui tu avais salué dans la rue.
- Vous êtes… incroyables ! Je ne sais plus quoi penser... »Je lui tend le bras pour le faire lever et lui dis « viens » Il se colle à moi. Nos visages sont à quelques centimètres. J’avance lentement le mien. Nos lèvres se touchent. D’un coup on s’embrasse. Mes bras autour de sa taille, je caresse son dos et ses muscles. Nos bites sont dressées l’une contre l’autre. Il a passé une main derrière ma tête et la plaque contre lui.
Marlène s’est approchée et nous enlace tous les deux. Nous restons un long moment ainsi. Marlène nous caresse, on se caresse. Quand on reprend notre souffle on se regarde et on reprend notre baiser.
- « Viens me baiser comme un homme. J’ai encore envie de ta queue en moi.
- Tu es terrible toi! Tu n’en as jamais assez !
- Maintenant que j’ai découvert ta belle et grosse queue, je ne m’en lasse pas, mais attend ! Marlène n’a pas jouit la pauvre.
- Que vas-tu inventer ?
- Tu vas voir. Couche-toi par terre sur le dos. »Quand il est en position, je viens m’accroupir face à lui. Marlène guide sa queue et je me laisse descendre dessus. Dans cette position, mon cul est bien ouvert, surtout qu’il ne s’est pas entièrement refermé.
Appuyé en arrière sur les bras, je monte et descend sur la colonne de chair rigide qui me perfore. Elle va encore plus loin dans mon cul. A la limite de la douleur. Je gère la pénétration, au moins au début. Devant les yeux de Jean Pierre, ma bite s’agite de haut en bas au rythme de la sodomie. Il relève la tête pour me voir en action. Du coup Marlène vient à côté de lui pour soutenir sa tête. Sa bite est à quelques centimètres de la bouche de Jean Pierre. Empalé au plus profond de moi sur la queue de mon copain, je lui dis « Suce la ! »Il tourne son visage et à mon grand étonnement, sans hésiter, il ouvre la bouche et avale la queue de Marlène. C’est la première fois depuis qu’ils se connaissent, mais cette journée est vraiment spéciale. Les barrières tombent, la pudeur n’est plus de mise et Jean Pierre, pour la première fois de sa vie, suce un homme, même si celui-ci ressemble à une femme. Je reprends ma cavalcade sur sa bite et jusqu’à être épuisé par l’effort, je me sodomise. Je ne jouis pas, même si pendant tout ce temps, je sens dans mes reins un plaisir intense.
Quand Marlène jouit dans la bouche de son amant, il n’a aucun recul et absorbe le sperme de sa « maîtresse » . J’abandonne ma position, je me penche sur lui et nous partageons ce qui reste du jus de Marlène qui nous rejoint à la fin pour échanger un baiser partagé à trois.
Le retour sur terre est difficile pour tous. Jean Pierre est abasourdi par la découverte. Il vient de baiser un homme, en plus un ami de jeunesse. Il vient de sucer une bite et d’avaler du sperme. Pour une première, c’est une sacrée première !
Nous restons tous les trois blottis les uns contre les autres, Jean Pierre entre nous. Nous nous penchons sur lui, ou il se tourne vers l’un ou l’autre et nous passons ainsi un long moment à nous caresser. Notre « entrevue » dure bien plus longtemps que les rendez-vous habituels avec Marlène, mais nous avons du mal à nous séparer. A son retour, Jean Pierre devra justifier son retard à son épouse avec une raison vaseuse sur une réunion suivie d’un pot avec ses collègues.
Le lendemain, Marlène reçoit un message : « J’ai envie de vous revoir très vite. Mercredi soir est-ce possible ? Dis à Jacques de venir « en homme » ! »Nous nous voyons régulièrement avec Jean Pierre – Marlène a du mal encore à l’appeler comme ça – parfois, je le retrouve seul et c’est entre hommes que nous baisons. Jean Pierre accepte maintenant de me sucer et que je l’encule. Il a découvert ce plaisir et ne rechigne plus à me recevoir. Voyant qu’avec Marlène, nous baisons sans capote. Il a passé un test, bien inutile car à part nous, il ne baise avec personne. Maintenant nous baisons « à cru » ce qui apporte encore plus de plaisir.
Entre deux séances de baise quand je suis seul avec lui, nous parlons de nos vies, de sa vie de couple. Lui qui était un bon vivant, bon baiseur, a tout arrêté après son mariage. Sa femme a dirigé sa vie, le coupant de relations avec ses amis d’avant comme moi. C’est vrai que du coup je n’aimais pas trop sa femme et c’est comme cela que nous nous sommes perdus de vue.
Avec elle, le sexe, c’était pour faire des enfants. Après avoir fait deux filles, elle avait cessé ou quasiment les relations. Il s’en était accommodé, même quand après quelques années, « avant de ne plus pouvoir », elle avait repris « pour lui faire un garçon » qui s’est révélé être une troisième fille. Depuis lors, plus rien. C’est à cette époque qu’il a commencé à surfer sur des sites pornos, qu’il a découvert le monde des travestis et rencontré Marlène.
Il se rend compte aujourd’hui qu’il est passé à côté de sa vie, du moins sur ce plan là, car il a une excellente situation. C’est vrai que c’est messe tous les dimanches et parfois des vêpres, mais il est catholique pratiquant. C’est pour cela sans doute qu’il n’a jamais voulu rencontrer d’autres femmes, ni voulu divorcer.
Retrouvailles
Nous vivions heureux avec Marlène. Depuis six mois, nous sommes même pacsés. Lors de nos sorties publiques, je suis en homme. Ce n’est qu’au sauna où pour des soirées en club, ou chez nos amis toulousains, que je me travesti. A la maison, je suis aussi souvent en femme.
Nous avons aussi un « arrangement » en ce qui concerne nos vies sexuelles. Je rencontre à l’occasion des femmes et Marlène fréquente des hommes ou des travestis. Dans ces cas-là, protection obligatoire. Même si ce n’est pas fréquent, lorsque « l’envie » nous prend, nous nous permettons des « escapades ». Lors de nos retrouvailles, nous en parlons et nous finissons souvent en faisant l’amour ensemble.
Je sais que Marlène entretient une relation suivie avec un homme marié, en cachette de sa femme. Ils se retrouvent dans un appartement, pour quelques heures, rarement pour une nuit. Dans ces cas-là, soit je reste à la maison, soit j’en profite pour aller au sauna ou à un rendez-vous galant. En effet, Marlène m’avertit à l’avance. C’est une relation étrange avec cet homme. Cela fait de nombreuses années qu’ils se rencontrent, toujours à la demande de l’homme, environ une fois par mois. Marlène m’a précisé qu’elle n’est pas « rémunérée », même si elle aime se considérer comme une pute et que parfois l’homme lui offre des cadeaux.
Un jour, en fin de journée, alors que je sors de chez un client et que je m'apprête à démarrer, qu’elle n’est pas ma surprise lorsque je vois Marlène sortir d’un immeuble en compagnie d’un homme. Je sais que ce jour-là, elle devait le rencontrer. C’est vraiment un hasard que mon client se trouve à proximité, car je n’ai jamais voulu savoir l’adresse de leur « nid d’amour ».
Je suis dans ma voiture et aucun des deux autres ne peut me découvrir. Ils font quelques pas et l’homme s’arrête près de sa voiture. Ils échangent un baiser et Marlène repart de son côté. En la voyant marcher ainsi dans la rue, je ne peux m’empêcher de la trouver belle et désirable. Un homme qu’elle croise en s’éloignant, se retourne même sur elle avec un regard envieux. Ma chérie fait des ravages et j’en suis à la fois jaloux et fier.
En partant, la voiture de l’amant de Marlène passe devant la mienne et là, deuxième surprise, je le connais ! Cet homme est un copain d’enfance ! J’étais même le témoin de son mariage. Je n’aurais jamais pensé qu’il puisse être attiré par les hommes et à fortiori par les travestis. Je l’ai connu macho, fier de sa virilité et « homme à femmes ». Toujours prêts pour une aventure, nous fréquentions même les plages naturistes des Landes où le cheptel de femmes seules était notre terrain de chasse. Allemandes, hollandaises ou françaises en goguette sans leur mari, nous avions écumé le littoral pendant plusieurs années, jusqu’à qu’il rencontre sa future épouse. En huit jours, elle l’avait changé. Avait mis son grappin dessus et je m’étais retrouvé seul pour mes aventures.
Après le mariage, ils avaient eu deux filles et Jean Pierre menait une vie rangée de bon père de famille, catholique et pratiquant, tout du moins …. jusque là, en apparence ! Nous nous étions perdus de vue, ne fréquentant plus les mêmes personnes. Sa femme avait vraiment fait le vide autour de lui.
Je ne savais comment dire à Marlène que je l’avais vue en compagnie de sa « rencontre » mensuelle. Je ne voulais pas qu’elle ait l’impression que je la surveillais. Néanmoins, la chose me turlupinait. Je découvrais la face cachée de mon copain et quelque part, cela m’excitait.
Plusieurs fois, au retour de Marlène de son rendez-vous, je la « charriais » sur cet amant caché et régulier.
- « Tu es jaloux mon cœur ?
- Tu sais bien que oui, mais je suis toujours aussi fier que ma femme plaise.
- Quand même, depuis quelques temps, tu m'interroge toujours sur cet homme.
- Cela me paraît curieux, c’est tout. Je ne te le reproche pas, attention ! Je comprends votre discrétion, enfin surtout la sienne.
- Comment cela ?
- Tu m’as dit qu’il était marié, père de famille et que tu le vois depuis plus de dix ans. Et depuis tout ce temps, vous n’avez jamais pensé à plus ?
- A quoi tu penses ?
- Eh bien, à vous mettre ensemble !
- C’est ça ! Tu es jaloux mon chéri ! Eh bien non ! C’est vrai que c’est un peu bizarre, surtout depuis que je t’ai rencontré. Je n’ai jamais osé le lui dire, ni arrêter avec lui. Chaque fois il me dit que je suis son « oasis » de bonheur au milieu de sa vie terne.
- Pourquoi ne divorce-t-il pas ?
- Je n’en sais rien. Je sais que c’est un fervent catholique et que chez ces gens là cela ne se fait pas. Il m’a dit qu’il aimait sa femme, mais qu’il avait besoin de nos rencontres pour être bien. Mais, tu poses beaucoup des questions. C’est quoi ton problème ?
- Je le connais !
- Quoi? Comment ? Mais tu ne l’as jamais vu !
- Bon. Je t’explique. Je te jure que ce que je te dis est la pure vérité.
- Ça c’est facile ! Tu m’a espionnée ?
- Justement non. Je ne me le serais pas permis et sûrement pas pardonné si cela avait été le cas. C’est le hasard.
- Il a bon dos le hasard !
- Ne t’énerve pas. Écoute-moi. J’ai un client rue d’Etigny.
- C’est pas vrai !
- Si, si. Tu connais les établissements Harvey ?
- Euh.. oui.
- Leurs bureaux sont au 44. Je sortais de chez eux quand je t’ai vue sortir du 41, juste en face. Tu étais en compagnie d’un homme. Qu’elle n’a pas été ma surprise ensuite quand j’ai reconnu Jean Pierre !
- Il ne s’appelle pas Jean Pierre. Il s’appelle Bernard.
- Pour toi peut-être, mais je le connais depuis ma jeunesse et je t’assure que c’est son vrai prénom. Bref, quand nous étions jeunes, nous faisions la fête ensemble et des rencontres. Depuis qu’il est marié, il a tout arrêté. On s’est perdus de vue, même si on se retrouve parfois à l’occasion de fêtes.
- Bon, alors, c’est quoi le problème ?
- Ce n’est pas toi, je te rassure… ni lui d’ailleurs, quoi que… ça m’ouvre des horizons…- Salaud ! Tu veux me le piquer ?
- Le partager.. peut-être ? Sérieusement. Je ne pensais pas qu’il soit attiré par les hommes ni par les travestis.
- Tu crois qu’il n’y a que toi ?
- Non bien sûr, même s’il y en a peu qui se pacsent avec.
- C’est vrai mon amour ! Mais alors ?
- J’aimerais… tous les trois…- Tu es à l’aise toi !
- Tu ne pourrais pas lui suggérer un rencontre avec une copine comme toi ?
- On n’en a jamais parlé.
- Comment l’as-tu rencontré ?
- Sur un site.
- Donc il était à la recherche de quelqu’un comme toi ?
- Oui- Même si c’est sérieux entre vous, tu pourrais lui proposer de « pimenter » vos rencontres. Depuis dix ans, une certaine routine s’est installée non ?
- C’est vrai que nous avons nos.. habitudes… Il me prend toujours en missionnaire. Il aime que je lui doigte le cul, mais je ne l’ai jamais enculé. Ce qu’il aime chez moi, c’est justement cette ambivalence. A part ça, il se protège toujours. J’ai eu beau lui dire que j’étais « clean », en fait, il me prend toujours pour une pute.
- Il te paye ?
- Non ! Il me fait des cadeaux parfois. Des bijoux... mais on ne se voit que dans ce studio, jamais ailleurs.
- Promets-moi d’essayer.
- Si tu le veux. Je vois que ça t’excite mon salaud, que ton copain soit pédé.
- Je l’avoue.
- Alors, viens baiser ta femme ! Moi aussi ça m’excite ! »Je me précipite entre les jambes de ma chérie. Je débusque son clito encore mou, sous le string coquin qu’elle a enfilé. Je commence à le cajoler par dessus le tissu diaphane. Très vite il gonfle et avant qu’il ne se retrouve sa grande amplitude, je baisse le tissu et j’avale ma gourmandise pour finir de le durcir.
Une fois fait, je me lève, me déshabille rapidement et je viens m’empaler sur sa belle queue qui me remplit le cul. Je monte et descend sur ce chibre qui me donne tant de plaisir. Je fatigue malgré tout, mais je veux amener Marlène à la jouissance. Je serre mes muscles, je m’agite encore et enfin je sens ma chérie se libérer dans mes entrailles. Je m’effondre, assis sur son bassin tout en l’embrassant.
- « Ma chérie, » me dit-elle « Va t’habiller comme la pute que tu es et tu vas venir me baiser. J’ai trop envie de ta bonne queue dans mon cul ! »Ce que femme veut… Je passe dans la chambre, où pendant un long moment je me prépare. Je soigne mon maquillage et ma tenue. Vingt minutes plus tard, je reviens dans le salon. Marlène m’attend le sourire au lèvres. Elle nous a servit un Américano. Toujours étalée sur le canapé, elle n’a rien changé à sa tenue. Son sexe est toujours en dehors de la culotte.
- Viens me nettoyer le clito ! Je sais que tu aimes sentir l’odeur de ton cul ma salope ! Ensuite, tu lécheras le mien. Prépare-le bien, je viens d’avoir un message de Bernard, enfin Jean Pierre si tu veux, on se voit demain, alors encule-moi bien comme la pute que je suis. Prends-moi en levrette et défonce-moi bien la chatte anale ! »Comme d’habitude, j’adore la sensation de me retrouver à genoux pour honorer le clito de ma maîtresse, qui sous ma langue et entre mes lèvres, devient une belle bite. Longtemps je cajole l’organe. Je salive au propre et au figuré. Je l’avale au fond de ma gorge et je n’oublie pas de glisser un doigt puis deux, dans son fondement qui s’ouvre.
Marlène réclame la saillie et ne veut pas me gratifier de son sperme dans ma bouche. Elle sait que j’adore ça, mais elle veut se garder pour jouir sous mes coups de queue dans son cul. Elle se positionne à quatre pattes et demande sa levrette. Dans la glace face à nous, je la vois lâcher un « Aahh » quand je pénètre ses fesses. Tout de suite, s’enchaînent des gémissements, des suppliques pour que je l’encule plus fort. Dans le miroir, je vois notre couple étrange de deux femmes ou du moins deux simulacres de femmes, dont l’une – Marlène- est particulièrement féminine. L’autre femme -moi- me paraît toujours étrange. A la fois je me reconnais, mais il me semble voir quelqu’un d’autre. Cette femme qui baise l’autre dans sa chatte anale, est presque une étrangère pour moi.
Sous ma perruque, je transpire. Marlène, qui a les cheveux longs naturellement, n’a pas ce problème. Néanmoins, la chevauchée que je lui impose, lui donne chaud. Son corps devient brûlant, synonyme d’une jouissance proche. La sodomie devient violente. Mon bassin claque contre ses fesses. Plusieurs fois, je m’arrête car je sens venir mon plaisir et je voudrais qu’il arrive en même temps que celui de ma femelle.
Marlène halète de plus en plus fort. Elle grogne, puis bientôt, elle crie. « Oh oui! Viens ma chérie ! Je vais jouir ! Donne-moi ton jus ! Vas-y a fond ! » Quand je sens ses sphincters se serrer sur ma queue, je me donne à fond et j’éjacule dans sa chatte anale au moment où son gland laisse échapper son foutre sur le sol.
Notre double jouissance a été forte, mais nous restons emboîtés. Je sais que Marlène apprécie beaucoup que je continue ma sodomie pendant un moment, même si ma bite a tendance à se ramollir. Elle sait aussi qu'après quelques minutes de pénétrations, je vais rebander suffisamment pour lui procurer encore un plaisir diffus qui la maintient dans un état de béatitude. Elle relève la tête et nous regarde aussi dans le miroir. Je me penche sur elle, lui tourne la tête et on s’embrasse tendrement. Heureux(ses).
Nous terminons la soirée alanguis sur le canapé, nous bécotant, nous caressant après que Marlène ait procédé au « nettoyage » de ma queue sortant de son cul et qu’en soixante neuf, je procède à la même chose sur la sienne.
Le lendemain, Marlène part retrouver son « amant ». A son retour, je ne l’interroge pas. J’attends plusieurs mois avant que d’elle même, elle me parle de mon projet avec Jean Pierre.
Après une nouvelle visite mensuelle, elle aborde enfin le sujet :- « J’ai parlé à Bernard – elle l’appelle toujours ainsi – Il a été surpris.
- Il serait d’accord ?
- Attend un peu espèce de dépravé !
- Raconte.
- Ça fait plusieurs fois que je lui parle de toi. Enfin… de mon amie avec qui je vis. Je lui ai dit qu’elle était travestie comme moi. Il a été étonné que je lui en parle après toutes ses années. « Cela ne fait que deux ans que je suis avec elle. Elle a appris que je te rencontrais tous les mois.
- Elle est jalouse ?
- Bien sûr ! Comme moi lorsqu’elle rencontre quelqu’un, mais nous sommes libres, libertines et nous ne nous sommes rien interdit.
- Et… c’est sérieux avec elle ?
- Tu es jaloux mon coquin ! Oui, nous sommes mariées.
- Mariées ?
- Oui… enfin… pacsées.
- …- Je sais que ça peut te heurter… vis à vis de tes convictions religieuses…- Ce n’est pas ça. Je suis… surpris, c’est tout. Mais alors ?
- Je lui parle de toi et elle aimerait…- Quoi ?
- Te… rencontrer… Enfin tu vois… nous retrouver tous les trois…- Pour…- Pour baiser oui ! Je lui ai dit que tu avais une très belle bite, qui me rendait heureuse.
- Et tu crois que… avec une autre ?
- Je sais que tu n’as connu qu’une… femme comme moi, mais au départ, c’est venu d’une rencontre sur internet.
- Mais toi, ça ne te gêne pas que je… avec elle ?
- Je serai là et franchement, il y a beaucoup d’hommes appréciant les femmes comme moi, qui rêveraient d’avoir deux femelles réunies.
- Je… Je ne sais pas… C’est tout de même… spécial, ce que tu me proposes.
- Tu es fâché ?
- N… Non… surpris c’est tout.
- Écoute. Je ne te demande pas de réponse tout de suite. Tu y penses et tu me diras plus tard, si tu en as envie. Sinon, on n’en parle plus.
- D’ac… d’accord.
- Mais… qu’est-ce que vois là ? Ça t’excite mon cochon ! Tu bandes !
- Je… C’est ta faute aussi.
- Bien sûr, c’est ma faute ! Viens ici que je suce ce petit – enfin petit… - voyou, qui te trahit ! »
- « Bon, tu comprends qu’on a remis le couvert. Je crois que ta proposition lui plaît ! Comment comptes-tu t’y prendre ?
- On fera au feeling.
- Tu penses qu’il ne va pas te reconnaître ?
- J’ai changé depuis toutes ces années et même moi quand je me vois… en femme, j’ai du mal à me reconnaître.
- C’est vrai que tu es mignonne comme ça. Viens ici ma chérie ! Tu m’excites à moi aussi ! »
Trois jours plus tard, Marlène reçoit un message de son amant. « Je suis d’accord pour ton… amie. Je suis libre samedi prochain.»- « Eh bien dis donc, je crois que je ne suis pas la seule à être excitée ! » Me dit Marlène en recevant la nouvelle. « Toujours d’accord ?
- Plus que jamais ! »Le samedi matin, je suis très nerveux. Jean Pierre va-t-il me reconnaître sous mon déguisement, vais-je oser me dévoiler à lui ? C’est la première personne de mon entourage proche qui me connaîtra sous mon jour caché. Oserai-je avoir un rapport sexuel avec lui. Ce n’est pas mon premier homme, mais lui je le connais depuis trente ans.
Marlène voit bien ma nervosité et elle fait tout pour me rassurer. Nous faisons l’amour tendrement. Elle me prend comme j’aime. Moi sur elle face à la glace, quand je me vois chevaucher sa bite et la mienne qui tressaute. Elle me finit en levrette. Exceptionnellement nous sommes « en hommes » tous les deux. Enfin, malgré l’absence de maquillage et de sous vêtements, Marlène est toujours très féminine, en dehors de sa belle bite. Passage ensuite à la douche et au maquillage. Marlène me prépare soigneusement. Une fois prêt(e) je ne me reconnais pas. Dès ce moment, je suis , je me sens, « femme ».
Pour nous rendre à l’appartement du studio loué par Jean Pierre, nous prenons la voiture. Même s’il m’arrive de sortir travesti, notamment pour nous rendre au sauna, je ne peux marcher très loin, perché sur mes talons hauts. Marlène peut faire illusion, mais en pleine ville, en journée, je serais vite repéré.
Au pied de l’immeuble, avant de quitter la voiture, on s’embrasse doucement pour ne pas abîmer notre rouge à lèvres. C’est l’heure, il faut y aller et Jean Pierre nous attend.
En entrant dans le studio, mon cœur bat la chamade. Jean Pierre/Bernard nous reçoit amicalement. Il fait la bise à Marlène qui fait ensuite les présentations :- « Bernard, je te présente Jessica ma femme. Jessica, voici Bernard, dont tu as beaucoup entendu parler. »Il se tourne vers moi et vient m’embrasser. J’ai un petit recul.
- « Elle est timide ton amie !
- Ça va lui passer. Elle est impressionnée de te rencontrer.
- Elle ne doit pas. Je ne suis pas méchant.
- Elle le sait bien. »Jean Pierre nous a préparé du champagne qu’il nous sert pour décontracter l’atmosphère.
- « A nous ! A notre rencontre en espérant qu’elle sera agréable. S’il vous plaît, Mesdames, commencez un peu à vous amuser entre vous ! »Marlène se lève m’invite à la rejoindre et face à notre « homme » elle m’enlace et m’embrasse. J’oublie un peu la présence de mon copain et je m’abandonne dans les bras de ma chérie.
Très vite, celle-ci commence à me déshabiller et je fais de même pour elle. Je me retrouve en guêpière. Mes petits seins pointent en dehors du corset. Déjà ma queue se raidit dans mon string. Marlène arbore un beau soutien gorge qui dégage ses tétons, en string minimaliste, porte jarretelles et bas fumés. On se serre à nouveau l’un(e) contre l’autre et on se caresse.
Marlène s’accroupit et, dans le mouvement, descend mon string faisant apparaître ma queue qui se dresse de plus en plus. Elle l’avale et me suce goulûment, me faisant durcir entre ses lèvres. Je me laisse aller à la caresse en fermant les yeux. Je sens bientôt une présence à mes côtés. C’est Jean Pierre qui s’est déshabillé et qui vient se coller à moi. Je sens contre ma hanche, sa virilité déjà dressée. Je pose ma main dessus et je constate que Marlène ne m’a pas menti. Jean Pierre est particulièrement bien monté. Je le revois il y a vingt cinq ans, quand nous fréquentions les plages naturistes des Landes et qu’il faisait saliver les belles allemandes, hollandaises et autres femmes, délaissées la semaine par leurs maris ne les retrouvant que le week-end. Jean Pierre s’avance et Marlène a maintenant deux queues dressées pour elle. Elle passe de l’une à l’autre, en tenant une dans chaque main. Quand elle s’occupe de ma bite, je pose ma main sur sa tête quand elle change, c’est Jean Pierre qui lui impose la sienne qui pèse fort, la forçant à avaler son chibre presque au fond de la gorge. Je ne suis pas inquiet pour elle, car elle est capable et coutumière du fait.
Jean Pierre s’est collé contre moi et entoure ma taille de l’autre bras, je sens sa chaleur contre moi et je suis troublé(e). C’est alors qu'il tourne sa tête vers moi et prend mes lèvres. Le contact me donne un frisson qu’il doit bien ressentir. Sa langue prend possession de ma bouche. Le mâle domine sa femelle. Je le ressens de cette manière et ça me plaît. Que ce soit en plus lui, m’excite. Mais pour lui, je ne suis qu’un travesti qu’il soumet à sa volonté.
Sa main qui guidait la pipe de Marlène, me triture maintenant un téton. Il le pince et je gémis dans sa bouche vorace. L’homme sent un peu plus qu’il prend l’ascendant sur la femelle qui s’offre. Le mâle dominateur prend le dessus sur les deux salopes. Il commande à Marlène de se coucher sur le dos et à moi de me mettre à genoux entre ses jambes.
- « Suce ta femme salope. Je vais t’enculer. Tu vas voir qui es le maître ! »Bien sûr, je consens et j’obéis à l’ordre qui m’est donné. Je murmure simplement. « Fais doucement ! Tu es gros ! »Le mâle n’en a rien à faire. Il crache sur mon cul en écartant mes fesses. Marlène, habituée aux dimensions de son amant, me passe du gel pendant que Jean Pierre enfile une capote. Je me badigeonne bien en rentrant trois doigts dans mon fondement. Rapidement, ma main est écartée et je sens le gros gland peser sur ma rondelle. Conscient que je vais le sentir passer, je pousse sur mes muscles pour ouvrir le passage.
Jean Pierre force lentement mais sûrement mes sphincters. Sa bite élargit le passage et me coupe le souffle. Mes muscles lâchent d’un coup et le gland franchit la porte étroite. Il s’arrête un peu, puis reprend sa marche inexorable dans mon cul. J’ai mal, mais je ne peux que grogner, la bouche toujours prise par la bite de Marlène. Mon mâle me défonce longtemps, alternant les pénétrations lentes ou rapides, profondes ou juste à l’entrée en sortant fréquemment. Cela me laisse une impression de vide et à chaque fois d’air froid qui me pénètre. La sensation quand il se réintroduit est accentuée et fabuleuse. Je gémis comme une femelle sous la saillie. Je voudrais que ça dure. Je voudrais jouir, mais le sent-il ? Il interrompt ses coups de boutoir au moment où je vais couler.
Ma sodomisation dure longtemps. Je suis comme une poupée de chiffon. Je n’ai plus la force ni la capacité de pomper la bite de Marlène. Jean Pierre s’en rend compte et annonce :- « Je vais baiser ta femme maintenant ! Toi salope relève tes jambes et écarte ton cul ! »Marlène est habituée aux dimensions de son amant et son trou est bien préparé, malgré cela, elle ne peut s’empêcher de grogner quand sans précaution, il s’enfonce d’un coup dans ses lombes. Il la besogne en cadence, se penche sur elle et l’embrasse, l’empêchant de crier son plaisir.
- « Toi salope, viens me bouffer le cul. Puisque tu es là, autant que j’en profite ! »Derrière lui, j’écarte ses fesses et plonge ma langue en salivant au maximum. Il a l’air d’apprécier. J’ose un doigt dans sa rosette. Il ne proteste pas et je tente un second.
- « Salope ! Je ne t’ai pas dis de m’enculer ! Je suis pas un pédé moi ! »Je reprends mon office avec la langue, puis je retente une pénétration. Avec un seul doigt, je m’enfonce maintenant plus profondément dans son cul et il ne peut s’empêcher de lancer un « ouii ». Alors je continue. Je rajoute un doigt et cette fois il me laisse faire. Marlène m’avait bien dit qu’il refusait cette caresse mais là, il s’abandonne. Je frotte sa prostate et il gémit de plaisir. Oserai-je un troisième doigt ? Je préfère assurer et lui donner du plaisir de cette manière. Il grogne, mais ne refuse plus mes doigts dans son cul. Il halète, ses muscles se tendent et enfin il jouit. Lentement, je réduis mes mouvements pour accompagner la descente de son plaisir et je finis par retirer mes doigts que je lèche. J’aime l’odeur de son cul.
Ni Marlène ni moi n’avons joui. Le mâle se moque bien de cela. Il est repu et savoure ce moment. Fier de sa virilité.
- « Salope ! » Me dit-il » Je ne t’ai pas autorisé à me mettre les doigts dans mon cul !
- Je crois que tu as bien aimé tout de même.
- C’est vrai !
- Tu vois, ce n’est pas parce qu’on aime ça qu’on est pédé. C’est un plaisir supplémentaire. Tu devrais même essayer de prendre une bite.
- Tu es folle ! Pourquoi pas te sucer aussi ?
- Oui. Pourquoi pas ? Tu n’as jamais sucé Marlène ?
- N… Non.
- Tu te prives d’un grand plaisir. Moi j’adore.
- Toi bien sûr ! Tu es…- Pédé ? Pas plus que toi. Tu te tapes des travestis. Aux yeux de certains, il te qualifieraient de pédé. Je peux te dire que quand je suis un homme, j’adore lécher les femmes et les baiser. Aujourd’hui je prends du plaisir à me sentir femme, mais je jouis aussi quand je suis un homme. Tu sais, nous sommes des hommes qui aimons nous travestir, mais nous sommes des hommes. Même Marlène qui ne le faisait plus depuis vingt ans, s’est mise à baiser avec des femmes, toujours protégés bien sûr !
- Tu m’as l’air d’une sacrée coquine toi ! Ta… femme est plus réservée.
- Parce que tu ne l'as jamais vue en action en dehors d’ici.
- …- Bon, pour clore le sujet et ne pas te gêner, sache que j’ai beaucoup aimé que tu t’occupes de mon cul. C’est vrai que tu es bien monté. Heureusement que Marlène m’avait prévenu(e). Le seul bémol, c’est que nous les femmes, nous n’avons pas jouit.
- Vous pouvez le faire entre vous.
- J’aimerais que ce soit toi qui me fasse jouir.
- Tu n’en a pas eu assez ?
- Je dois dire que mon cul se rappelle encore de ta visite, mais il lui tarde aussi d’en avoir une autre.
- Je ne suis plus opérationnel pour le moment.
- Ne t’inquiète pas. Il y a une autre chose que je n’ai pas eu.
- C’est quoi ?
- Je n’ai pas sucé ta belle bite. J’ai hâte de la prendre dans ma bouche, même si je ne fais pas de gorge profonde comme ma chérie, j’adore sucer une belle queue comme la tienne. Je vais te faire durcir, tu vas voir. »Jean Pierre qui est assis dans le large fauteuil, sourit et écarte ses jambes. Je prends mon air le plus salope et je viens m’agenouiller entre elles. La bite encore molle repose sur sa jambe, mais même au repos, elle est impressionnante. Dans ma main elle est lourde. J’approche ma langue de son trou. Elle sent encore le caoutchouc du préservatif, aussi je l’avale et je salive dessus.
Dans ma bouche, elle commence à s’allonger, à grossir. Ma mâchoire est dilatée par ses dimensions, mais je ne m'arrêterais pour rien au monde.
- « Cette salope suce presque aussi bien que toi. Va lui lécher le cul et encule-là ! J’ai l’impression qu’elle aime ça ! Ça lui fera le passage quand je vais lui remettre la mienne. »Marlène, bien sûr, ne se le fait pas dire deux fois. Alors que je continue de pomper la bite maintenant bien raide, elle enfonce sa langue dans mon cul, me graisse bien en rentrant trois doigts qui déjà m’apportent du plaisir. Je regrette qu’il n’y ait pas de glaces dans le studio pour voir la scène. Je me régale de sucer la queue de mon copain de trente ans. Quand à l’époque de nos vingt ans, nous faisions du naturisme ensemble, je n’avais jamais pensé à cela. Nous étions des hétéros et on nous aurait dit qu’un jour nous serions ainsi, nous aurions juré au grand dieu que jamais nous ne le ferions.
Tout en me préparant, Marlène me branle par dessous et je suis bien raide moi aussi. Jean Pierre est suffisamment excité maintenant pour avoir envie de me prendre à nouveau. Je lui propose de me coucher sur la table et de me prendre ainsi.
Allongé(e) sur le dos, je relève moi même mes jambes gainées de nylon. Marlène vient sur le côté et guide elle-même la queue de son amant dans mon cul. Cette fois-ci, il ne prend pas de gants et s’enfonce d’un coup au fond de mes fesses. Sur le moment, ma bite se rétracte, mais Marlène plonge dessus et rapidement me « regonfle » Ce coup-ci, je sais que le mâle mettra plus de temps pour jouir. Je sens déjà les prémisses de ma jouissance monter dans mes reins. Je demande à Marlène de venir m’embrasser et de me branler.
Jean Pierre a pris mes jambes dans ses mains pour les relever et me besogne méthodiquement. Il demande à Marlène de venir l’embrasser lui aussi. Les yeux grands ouverts, je me régale à observer la scène. Mon copain, perdu de vue depuis vingt ans, qui m’encule et ma femme qui l’embrasse puis revient vers moi comme un relais entre nous. Je sens monter ma jouissance. Je grogne, je couine, même ma voix a pris des accents féminins.
- « Regarde cette salope ! Elle aime ça ! Elle va jouir comme une pute en chaleur ! »Jean Pierre se déchaîne dans mon cul. Marlène a glissé sa main entre ses fesses et il ne proteste plus. Au moment où il se répand dans mon cul. Elle enfonce brutalement – elle dira après trois doigts - dans son cul à lui. Il jouit en hurlant et je gicle très fort sur mon torse et mon visage, engluant au passage les doigts de Marlène qui branlait ma bite.
Dans son délire, elle lèche ses doigts, se tourne vers Jean Pierre et l’embrasse. Il partagent mon sperme. Soudain, il réalise.
- « Mais arrête ! C’est dégueulasse !
- Pas plus qu’autre chose. J’adore moi te boire ! Et après tu m’embrasses. Alors… C’est bien chaud ! D’ailleurs tu n’as rien dit au départ et tu as avalé.
- Je.. non, mais… enfin, d’accord mais je ne suis pas…- Pédé ! On le sait. Même si tu aimes les doigts dans le cul, on s’en fout ! On est là aussi pour avoir du plaisir, alors si tu aimes, ne te retiens pas. Ce n’est pas nous qui allons te juger, au contraire. Embrasse ma chérie pour la remercier de t’avoir donné son cul et tant que tu y es, rends lui un peu de son jus ! »Marlène ramasse du sperme sur mon torse et donne ses doigts à sucer à Jean Pierre qui rechigne un peu, mais finalement, laisse faire. Il se penche alors sur moi et m’embrasse. J’entoure son cou avec mes bras et disant « merci ! » et on se roule un patin d’enfer qui dure longtemps. En riant, Marlène parvient à nous séparer.
- « Mais dis-donc ma salope ! Tu veux me prendre mon homme ?
- Oh non ma chérie ! Mais si tu me le prêtes de temps en temps, aucun problème… enfin… s’il veut encore de moi et si tu veux toi aussi.
- Moi tu sais bien que oui et toi Bernard ?
- Je… crois que.. oui. Vous savez, jusqu’à aujourd’hui je n’avais connu qu’une… femme comme Marlène.
- Tu aimes ça finalement, baiser avec des femmes qui ont des bites !
- Je… oui. » Je reprends alors- « Et avec des mecs, tu n’a jamais baisé ?
- Non.
- Tu n’as pas osé ? Ou tu n’a jamais eu envie ?
- Les deux.
- Et quand tu étais plus jeune ?
- Non. C’est depuis que… avec ma femme nous ne faisons plus rien que… Je suis tombé sur un site où j’ai trouvé Marlène.
- Tu avais une petite envie alors ?
- Je.. Je pensais moins la tromper et ça m’a excité.
- C’est bien mon chou ! Moi c’était un peu pareil. Quand j’étais jeune je ne pensais qu’aux femmes et j’en profitais. Je n’aurais jamais pensé, ni devenir homo, ni me travestir. C’est d’ailleurs depuis que je suis avec Marlène que je le fais. On est tous un peu pareils. Avec l’âge, on se rend compte que finalement, c’est le plaisir qui compte, que ce soit avec un homme ou avec une femme.
- Oui. Mais avec vous… ce n’est pas pareil. Vous êtes… différentes…- Et si on se mettait en homme ça changerait pour toi ?
- Je… Je ne sais pas… sûrement !
- Tu aimerais essayer ? » A ce moment, mon cœur tape fort, comme quand je suis rentré dans l’appartement. Le moment est crucial. Selon sa réponse tout peut basculer. « Tu sais, cela restera entre nous, personne n’en saura rien. D’ailleurs personne ne sait que je suis comme ça et je ne voudrais pas non plus que cela se sache.
- Tu… tu crois que…- Je ne sais pas. La décision viendra de toi. Si tu ne veux pas, aucun problème. Sinon… Regarde, je vais enlever mes sous-vêtements. Je ressemblerai déjà plus à un homme. »Je me lève et face à eux – Marlène est aussi tendue que moi - Je commence mon effeuillage. J’enlève mes escarpins. Je détache mes bas et les fais rouler lentement en les jetant vers eux. Je dégrafe la guêpière et me retrouve nu, simplement coiffé de ma perruque et maquillé. En face deux moi, deux bites sont dressées.
- « Alors ? Tu es choqué ?
- N… Non.
- A voir ta queue, j’ai même l’impression que ça te plaît !
- C’est vrai, mais tu ressembles encore à une femme.
- Marlène ! Pompe le dard de ce salaud qui bande ! »Elle se penche aussitôt sur la bite dressée avec un grand « mmmhhh »- « Alors ? Je continue ? Tu veux ?
- Vas-y ! »Je prends un coton démaquillant dans mon sac. J’enlève d’abord le rouge à lèvres, puis le fard sur mes paupières, sur mes joues. J’enlève les faux cils.
- « Ça va toujours ?
- Ou… Oui.» dit-il d’une voix presque inaudible.
J’attrape ma perruque, j’enlève les épingles qui la retiennent et d’un coup, je la soulève en disant :- « Bonjour Jean Pierre !
- Que… Je...Toi ! Ce n’est pas possible ! Pas toi ! Jacques ?
- Eh oui ! C’est moi ! C’est moi que tu as baisé sans le savoir. C’est moi qui t’ai sucé et embrassé. Je t’ai dit que nous avions le même parcours, même si j’ai été plus loin que toi. C’est il y a dix ans que moi aussi j’ai commencé à être excité en regardant des hommes à poil. J’étais libertin comme toi avant de te marier. Moi j’ai continué et aujourd’hui je trouve du plaisir dans les bras de femmes, d’hommes et je me travesti.
- Mais… Comment tu m’as... » Dans la bouche de Marlène, la bite de Jean Pierre a complètement débandé. Je connais ma chérie et ce n’est pas cela qui va l’arrêter. Dans quelques minutes elle aura à nouveau un organe raide dans la bouche… du moins je l’espère.
- C’est le hasard. Un jour, je travaillais en face d’ici et j’ai vu sortir Marlène avec toi. Je savais qu’elle rencontrait un homme depuis dix ans, mais quand je t’ai reconnu, j’ai été scotché. C’est à ma demande qu’elle t’a proposé de rencontrer son amie, ce qui est vrai, puisque nous sommes mariés, enfin pacsés. Depuis tout à l’heure, j’ai adoré. J’ai adoré quand tu m’a embrassé, quand je t’ai sucé et surtout quand tu m’as baisé. Je dois te dire que je n’étais pas très à l’aise en arrivant. Allais-tu me reconnaître ? Et maintenant, vas-tu m’accepter ?
- Je dois dire que… Si tu étais arrivé comme ça, je t’aurais aussitôt jeté.
- Et maintenant ?
- Je suis… troublé, mais…- Il bande fort le salaud ! » Dit alors Marlène en se relevant. Elle se tourne vers lui et l’embrasse. « Tu sais que moi aussi tu m’as rencontrée dans la rue quand j’étais en « civil ». Comme avec Jacques, tu ne m’as pas reconnu, et deux jours plus tard, quand on s’est retrouvés ici, tu n’as pas fait le lien avec l’homme en costume avec un catogan qui tu avais salué dans la rue.
- Vous êtes… incroyables ! Je ne sais plus quoi penser... »Je lui tend le bras pour le faire lever et lui dis « viens » Il se colle à moi. Nos visages sont à quelques centimètres. J’avance lentement le mien. Nos lèvres se touchent. D’un coup on s’embrasse. Mes bras autour de sa taille, je caresse son dos et ses muscles. Nos bites sont dressées l’une contre l’autre. Il a passé une main derrière ma tête et la plaque contre lui.
Marlène s’est approchée et nous enlace tous les deux. Nous restons un long moment ainsi. Marlène nous caresse, on se caresse. Quand on reprend notre souffle on se regarde et on reprend notre baiser.
- « Viens me baiser comme un homme. J’ai encore envie de ta queue en moi.
- Tu es terrible toi! Tu n’en as jamais assez !
- Maintenant que j’ai découvert ta belle et grosse queue, je ne m’en lasse pas, mais attend ! Marlène n’a pas jouit la pauvre.
- Que vas-tu inventer ?
- Tu vas voir. Couche-toi par terre sur le dos. »Quand il est en position, je viens m’accroupir face à lui. Marlène guide sa queue et je me laisse descendre dessus. Dans cette position, mon cul est bien ouvert, surtout qu’il ne s’est pas entièrement refermé.
Appuyé en arrière sur les bras, je monte et descend sur la colonne de chair rigide qui me perfore. Elle va encore plus loin dans mon cul. A la limite de la douleur. Je gère la pénétration, au moins au début. Devant les yeux de Jean Pierre, ma bite s’agite de haut en bas au rythme de la sodomie. Il relève la tête pour me voir en action. Du coup Marlène vient à côté de lui pour soutenir sa tête. Sa bite est à quelques centimètres de la bouche de Jean Pierre. Empalé au plus profond de moi sur la queue de mon copain, je lui dis « Suce la ! »Il tourne son visage et à mon grand étonnement, sans hésiter, il ouvre la bouche et avale la queue de Marlène. C’est la première fois depuis qu’ils se connaissent, mais cette journée est vraiment spéciale. Les barrières tombent, la pudeur n’est plus de mise et Jean Pierre, pour la première fois de sa vie, suce un homme, même si celui-ci ressemble à une femme. Je reprends ma cavalcade sur sa bite et jusqu’à être épuisé par l’effort, je me sodomise. Je ne jouis pas, même si pendant tout ce temps, je sens dans mes reins un plaisir intense.
Quand Marlène jouit dans la bouche de son amant, il n’a aucun recul et absorbe le sperme de sa « maîtresse » . J’abandonne ma position, je me penche sur lui et nous partageons ce qui reste du jus de Marlène qui nous rejoint à la fin pour échanger un baiser partagé à trois.
Le retour sur terre est difficile pour tous. Jean Pierre est abasourdi par la découverte. Il vient de baiser un homme, en plus un ami de jeunesse. Il vient de sucer une bite et d’avaler du sperme. Pour une première, c’est une sacrée première !
Nous restons tous les trois blottis les uns contre les autres, Jean Pierre entre nous. Nous nous penchons sur lui, ou il se tourne vers l’un ou l’autre et nous passons ainsi un long moment à nous caresser. Notre « entrevue » dure bien plus longtemps que les rendez-vous habituels avec Marlène, mais nous avons du mal à nous séparer. A son retour, Jean Pierre devra justifier son retard à son épouse avec une raison vaseuse sur une réunion suivie d’un pot avec ses collègues.
Le lendemain, Marlène reçoit un message : « J’ai envie de vous revoir très vite. Mercredi soir est-ce possible ? Dis à Jacques de venir « en homme » ! »Nous nous voyons régulièrement avec Jean Pierre – Marlène a du mal encore à l’appeler comme ça – parfois, je le retrouve seul et c’est entre hommes que nous baisons. Jean Pierre accepte maintenant de me sucer et que je l’encule. Il a découvert ce plaisir et ne rechigne plus à me recevoir. Voyant qu’avec Marlène, nous baisons sans capote. Il a passé un test, bien inutile car à part nous, il ne baise avec personne. Maintenant nous baisons « à cru » ce qui apporte encore plus de plaisir.
Entre deux séances de baise quand je suis seul avec lui, nous parlons de nos vies, de sa vie de couple. Lui qui était un bon vivant, bon baiseur, a tout arrêté après son mariage. Sa femme a dirigé sa vie, le coupant de relations avec ses amis d’avant comme moi. C’est vrai que du coup je n’aimais pas trop sa femme et c’est comme cela que nous nous sommes perdus de vue.
Avec elle, le sexe, c’était pour faire des enfants. Après avoir fait deux filles, elle avait cessé ou quasiment les relations. Il s’en était accommodé, même quand après quelques années, « avant de ne plus pouvoir », elle avait repris « pour lui faire un garçon » qui s’est révélé être une troisième fille. Depuis lors, plus rien. C’est à cette époque qu’il a commencé à surfer sur des sites pornos, qu’il a découvert le monde des travestis et rencontré Marlène.
Il se rend compte aujourd’hui qu’il est passé à côté de sa vie, du moins sur ce plan là, car il a une excellente situation. C’est vrai que c’est messe tous les dimanches et parfois des vêpres, mais il est catholique pratiquant. C’est pour cela sans doute qu’il n’a jamais voulu rencontrer d’autres femmes, ni voulu divorcer.
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