Marlène, rencontre avec un travesti 4 Drôle de rencontre
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Marlène, rencontre avec un travesti 4 Drôle de rencontre
Drôle de rencontre
Un midi, alors que je suis en terrasse d’un restaurant en train de prendre mon café après déjeuner, une femme s’approche de ma table.
- « Bonjour Jacques ! Comment vas-tu ? » J’ai failli ne pas la reconnaître. C’est Anne Marie, la femme de Jean Pierre. Les années et les grossesses lui ont donné quelques rondeurs qui lui vont assez bien d’ailleurs et son visage est aussi plus avenant. Je l’invite par politesse, à prendre un café avec moi et à ma surprise elle s’assoit. Nous avions donc eu des rapports assez distants, mais elle semble plutôt réjouie de me voir.
- « Alors, que deviens-tu ?
- Je bosse dans un cabinet de conseil en informatique. Là, je fais ma pause avant de retourner chez un client.
- Jean Pierre m’a dit que vous vous revoyiez depuis quelques temps… » Je me crispe un peu en tachant de ne pas le montrer- « Oui. On s’est retrouvés par hasard et du coup, on boit un verre de temps en temps en nous rappelant notre jeunesse.
- Ah ! Il y a de l’eau qui est passée sous les ponts depuis.
- C’est vrai, mais on est toujours contents d’évoquer le passé, surtout quand il était agréable.
- Toi tu n’as pas changé.
- Si, un peu tout de même.
- Tu parais toujours jeune. Tu as divorcé je crois ?
- C’est ça.
- Et.. Tu as une nouvelle compagne ? Pardon ! Je suis indiscrète !
- Pas du tout ! Oui, je suis marié, enfin… pacsé, comme ça se fait maintenant.
- Oh !
- Ah oui pardon. Pas chez tout le monde.
- Ne crois pas que je sois rigoriste, même si tu le penses. Tu connais mes convictions chrétiennes.
- Oui, oui.
- Mais bon, j’accepte, malgré tout, d’ailleurs, ma fille aînée veut elle aussi se pacser avec son copain. Il faut vivre avec son temps.
- Tout à fait ! Bon, tu vas m’excuser, mais il est bientôt l’heure que je retourne chez mon client.
- Ah oui pardon ! … Mais… dis-moi… Ça me ferais plaisir de parler avec toi… de Jean Pierre. » Nous y voilà ! Me dis-je. Que veut-elle ? Que sait-elle ?
- Écoute, je quitte mon client à dix sept heures, si tu es disponible, on se retrouve au « Conti » et on discute…- Pas de problème. A tout à l’heure ! »Après son départ, le temps de régler ma note, je me demande ce qu’elle me veut pour débarquer ainsi tout d’un coup, alors que l’on se s’est pas vus depuis plus de dix ans. C’est en sortant de chez mon client et en rentrant à la maison que je passe devant le « Conti » et me rappelle du rendez-vous. J’envoie un message à Marlène en lui disant que je serai en retard. Elle est habituée et ne s’étonne pas.
Dans le salon huppé du grand hôtel, je retrouve Anne Marie, attablée devant une tasse de thé.
- « Je suis en retard ?
- Non, non, mais je ne travaille pas. J’ai fais quelques emplettes et je suis arrivée en avance. »Nous sommes dans un coin de la salle. L’ambiance feutrée fait que l’on peut parler sans crainte. Je commande un Américano et Anne Marie reprend un thé. « Je vais encore avoir envie de faire pipi » glisse elle un peu honteuse.
- Les toilettes sont superbes ici.
- Tu viens souvent ?
- Cela m’arrive quand j’ai un peu de temps avant de rentrer, c’est sur le chemin de la maison.
- Tu as une maison dans le coin ? Et bien, c’est plutôt chic comme quartier.
- En fait, c’est la maison de ma femme. Elle lui vient de ses parents. Elle a réussit à la conserver malgré la pression immobilière.
- Vous avez de la chance. Je la connais ta femme ?
- Je ne pense pas non. Elle a vécu longtemps à Paris et elle sort assez peu. Mais tu ne m’as pas donné rendez-vous pour parler de moi ? Tu voulais me parler de Jean Pierre. Il y a un problème ?
- Non !... Enfin… oui un peu…- Et tu y as pensé en me voyant au restaurant ? » Elle rougit- « En fait, cela fait plusieurs fois que je t’y vois.
- C’est vrai que j’y déjeune souvent. Ma femme travaille, et même si ce n’est pas loin de la maison, je dois bien dépenser mes tickets restaurant et c’est bien pratique. Et donc ?
- La première fois que je t’aie vu, je n’ai pas osé t’aborder. Tu as changé de look, je n’étais pas sûre. Tu t’es rasé la barbe ?
- Oui. Il y a deux ans à peu près.
- J’ai hésité plusieurs fois, mais j’ai pensé que tu étais le mieux placé pour me répondre, puisque vous vous voyez à nouveau.
- Je t’écoute. Ici tu n’as rien à craindre, il n’y a pas d’oreilles indiscrètes.
- Bon, voilà. C’est un peu spécial » Hou-là ! me dis-je. Elle reprend « Je crois que Jean Pierre me trompe.
- C’est pas vrai ?
- Il a changé depuis quelques temps. Il rentre parfois tard et il s’est inscrit dans un club de sport.
- C’est bien à son âge il s’entretient, même s’il n’en a pas vraiment besoin.
- Oui mais…- Il est moins attentif…- Tu veux dire… avec toi ?
- Oui. Enfin… non- Il n’est plus aussi… ardent ?
- Oh ça ! Il y a bien longtemps !
- Ah bon ? Pourtant… à l’époque…- Nous… nous n’avons plus de rapports… depuis plus de dix ans.
- Ah quand même !
- Tu trouves ça bizarre ?
- Euh.. oui. Quand ça m’est arrivé, je n’ai pas attendu aussi longtemps pour me faire la malle. Pardon, je te choque, mais je suis moins à cheval que toi sur les convenances… religieuses..
- Oui. Bon. Je sais, mais quand même.
- Qui c’est qui a arrêté ?
- C’est moi. Après les filles.
- Ah oui d’accord !
- Quoi d’accord ?
- Disons que pour moi, faire l’amour ne rime pas avec procréation. Je fais l’amour par plaisir et avec Marlène, c’est ma femme, nous n’aurons pas d’enfants mais cela ne nous empêche pas de faire l’amour… souvent. Et ne me traite pas d’obsédé, c’est une majorité de gens qui fonctionne comme ça.
- Oui, bon, d’accord mais…- Toi tu ne fonctionne pas comme ça. Tu es plus… traditionaliste ?
- C’est ça !
- Et après, tu t’étonnes que ton homme cherche ailleurs ?
- Toi bien sûr tu le défends.
- Si tu a voulu me parler, il fallait t’y attendre. Avant de te connaître, avec Jean Pierre, nous avions une vie très… active de ce côté là. Il t’a épousée par amour, mais je pense que tu as cru en faire ce que tu voulais. Il t’a sûrement été fidèle, car il est fidèle, y compris en amitié, mais tu as peut-être tiré un peu trop sur la corde.
- Et toi bien sûr tu es d’accord ?
- Je n’ai pas à être ni d’accord ni contre. Je pense qu’il t’aime et si tu l’aimes, comme cela a l’air d’être le cas, tu dois faire un effort.
- Tu parles facilement toi. Tu me vois lui faire des avances ? Et puis à mon âge..
- Il n’y a pas d’âge, je connais des femmes qui a plus de soixante dix ans, font encore l’amour, parce qu’elles aiment ça et ce ne sont pas des putes ou des salopes.
- Eh bien ! Moi qui croyais trouver du soutien !
- Tu me connais un peu tout de même. Tu ne pensais pas que j’abonderais dans ton sens à ce niveau. Si ton mec va voir ailleurs, c’est qu’il ne trouve pas ce qu’il faut à la maison.
- Et tu lui donnes raison. Vous êtes tous pareils les hommes ! Vous ne pensez qu’à ça !
- Pour ta gouverne, heureusement qu’il y a beaucoup de femmes qui pensent la même chose.
- Bon. Excuse-moi. Je ne veux pas me fâcher, mais tout de même ! Je ne suis pas habituée à ça.
- Peut-être que tu devrais y penser.
- A mon âge ? Qui voudrait de moi… et j’aime Jean Pierre !
- Tu l’aimes, mais mal et puis tu n’es pas laide, ni vieille. Tu es même mieux maintenant que plus jeune.
- Tu trouves ?
- Oui. Tu pourrais même être bandante, si tu t’habillais un peu mieux… enfin… plus sexy !
- Tu es un salaud !
- Ça sûrement ! Pour une femme comme toi.
- Tu ne penses pas tout de même que… avec moi ?
- Je ne pense rien. Tu me demandes de te parler, je pense qu’il faut te parler crûment pour que tu comprennes. Dans le monde « normal » c’est comme cela que l’on parle.
- C’est un monde normal pour toi ? Et qu’en penserait ta femme ?
- Nous sommes très libres sur ce plan. Il lui arrive des aventures, à moi aussi et parfois ensemble.
- Oh ! Vous êtes…- Des dégénérés ? Non ! Simplement, nous dévorons la vie à pleine dents, sans a priori. Tu veux que je sois sincère ? Et bien je pense que si ton Jean Pierre va voir ailleurs, je le comprends ! Et si tu veux qu’il te revienne, tu dois évoluer ?
- Évoluer ?
- Prendre un amant… ou une maîtresse.
- Tu es complètement fou !… Ah ça y est ! J’ai compris ! Tu cherches à me provoquer ! Je ne te pensais pas comme ça !
- Pas du tout ! Je cherche à te faire comprendre que tes … convictions ne sont pas toujours de mise.
- Tu me demandes de le tromper ?
- La question est : Veux-tu le reconquérir ?
- Et pour ça je dois coucher avec toi ?
- Avec moi ou avec un autre, la question n’est pas là. Est-ce que tu te sens capable de le faire ? Es-tu capable de passer par dessus tes principes judéo-chrétiens qui prônent depuis des siècles des dogmes, que la hiérarchie catholique ne s’applique même pas à elle même ?
- Oh toi évidemment la religion !
- Si tu veux. Reconnais qu’elle est drôlement stricte et finalement liberticide, ta religion. Elle est même arrivée à ce que les gens eux-mêmes s’interdisent de faire des choses agréables.
- Je… Bon… Je ne sais pas.. Tu crois que ?
- Tu m’as demandé de te parler franchement, je le fais. Pour ton mari et pour le reste. Maintenant, si tu n’es pas prête, ne fais rien et continue ta vie comme avant…- Justement… Jean Pierre à changé..
- En mieux ou en pire ?
- En… mieux- Tu vois ! Et c’est ça qui te fais dire qu’il a une maîtresse ?
- Je … je ne sais pas.
- Veux-tu redevenir sa maîtresse ?
- Co.. Comment ça ?
- Veux-tu à nouveau que ton mari te baise, te fasse l’amour, te trouve sexy… je sais pas moi.
- J’aimerais..oui… mais… je ne sais pas… je suis trop vieille… Il va me prendre pourquoi ?
- Ah ! C’est ça qui te tracasse ? Il t’aime et je pense qu’il serait heureux de retrouver ou de trouver, je ne sais pas ce que vous faisiez avant, une femme décoincée et coquine.
- Tu me trouves coincée ?
- D’après mes souvenirs et de ce que tu me dis, Oui ! C’est sûr !
- Que faut-il que je fasse ?
- Je te l’ai dit. Change tes tenues, achète des sous-vêtements sexy et prend un amant, ou une maîtresse.
- Tu parles toujours de maîtresse. Tu me vois moi… avec une femme ?
- Oui, très bien !
- Tu es…- Normal. Je n’ai pas d'a priori, moi.
- Je n’oserai jamais…- Avec une femme ?
- Non ! Déjà avec un homme. Comment saurais-je me comporter ? Déjà comme tu dis pour être…- Bandante ?
- Arrête avec ça.
- Il faut bien que je te provoque, autrement tu vas rester enfermée dans tes… croyances.
- Je te connais. Je sais que tu aimes provoquer, mais là …- Finalement, tu n’es pas prête. Rappelle-moi quand tu le seras. » Je me lève pour partir. Anne Marie me prend le bras.
- Attend !
- Qu’y a-t-il encore ?
- Je… Ça me gêne !…- Lâche-toi pour une fois !
- Je.. Comment tu me trouves ?
- Physiquement tu veux dire ?
- O… oui. Sois sincère.
- Depuis tout à l’heure il me semble que je le suis… peut-être trop pour toi !
- Allez ! Dis-moi !
- Bien. Alors sur le plan physique donc. Je te trouve plutôt mieux qu’avant.
- J’ai grossi !
- Oui. Et ça te va plutôt bien. Tu as de belles rondeurs. Avant tu étais maigre, sans attraits… enfin pour moi.. Aujourd’hui, disons que… tu me plais plus.
- Au moins c’est dit.
- Ceci étant, il y en a pour tous les goûts, certains peut-être te préféreraient comme avant. La question n’est pas là. Si ta question est, est-ce que tu peux plaire à un homme – ou à une femme -. D’accord j’abuse. Commençons par un homme, je pense que oui.
- Donc tu pourrais être… d’accord pour…- Dis-donc toi ! Tu me proposes maintenant de baiser avec moi ?
- Je crois que je serais plus à l’aise.
- Donc maintenant, si je refuse je suis un malotru et si l’accepte, je suis un salaud qui profite…- Je ne le verrai pas comme ça, dans aucun cas.
- Bien. On va passer à la vitesse supérieure alors.
- Co..comment ça ? » Je fais signe au barman et lui demande deux Américanos. Anne Marie se récrie.
- « On arrête tout et tout de suite alors. C’est le premier test.
- Je… d’accord.. Le barman, nous apporte les boissons- Ton mari est comme tous les hommes. Il lui faut un peu d’adrénaline, un peu d’excitation. Buvons un peu…. Maintenant, tu vas enlever ta culotte…- Tu es fou ?
- Deuxième test- Salaud ! » Je souris, mais je ne bouge pas « Je… tu… où sont les toilettes ?
- C’est bien ! Mais inutile d’y aller. Tu vas l’enlever ici.
- Pas question ! » Je reste muet et je bois une gorgée de l’apéritif. « Pas ici voyons !
- Tu progresses ! Maintenant tu cherches un prétexte pour ne pas le faire.
- Ce n’est pas ça, mais il… il y a du monde !
- Alors pour ton information, il n’y a qu’une table au fond occupée par un vieux monsieur qui actuellement nous tourne le dos et regarde à l’extérieur. Tu es de dos à la salle et il n’y a que moi qui puisse te voir et enfin, notre coin est caché depuis le bar. Donc…- Salaud ! Tu crois que je vais me dégonfler ?
- Pour ta gouverne, j’adore qu’on me traite de salaud dans ces moments-là et effectivement, je pense que tu ne vas pas oser.
- Alors regarde ! » lance-t-elle d’un air de défi. Elle soulève ses fesses, glisse ses mains sous la jupe et descend sa culotte sur ses chevilles. Au moment où elle la retire des pieds, je demande :- Donne-là moi !
- C’est ça ! Tu veux m’humilier et la montrer ensuite à mon mari.
- Alors, arrête de penser toujours que je cherche à t’humilier, car ce n’est pas le cas. Je cherche simplement à faire sauter les barrières dans ta tête. Si tu le veux, je t’emmènerai à être celle qui va reconquérir son mari.
- Je… J’ai compris.. mais c’est dur ce que tu demandes.
- C’est un petit prix pour être … heureuse… je dirais... épanouie, c’est ça ! Épanouie !
- Pourquoi veux-tu ma culotte ?
- D’abord pour que tu comprennes que à partir de là, tu m’obéiras et en plus j’adore sentir le parfum intime d’une femme- S…- Tu l’as déjà dit ! » Anne Marie, met comme elle le peut, sa culotte en boule dans sa main et me la tend discrètement par le côté de la table basse qui nous sépare. « Non ! Pose-là sur la table ! » Elle est rouge pivoine. Je sens que dans sa tête, tout se mélange. Si elle accepte, elle franchit un cap. Elle le sait. Son corps a abdiqué. Sa tête pas encore tout à fait.
Elle tourne la tête autour de nous. Voit qu’il n’y a personne et dans un dernier effort, se penche sur la table et y pose le tissu. Je ne bouge pas et le laisse un peu sans le prendre. Anne Marie est prête à le reprendre. Elle ne veut pas que quelqu’un le remarque. Je l’arrête.
- « Laisse ! … Elle n’est pas très seyante. Blanche, assez enveloppante, ça fait mémère.
- Toi évidemment !…- Pas que moi. Il faudra en trouver des plus…. coquines ! » Je me penche et je prends le tissu. Je le porte à mon nez pour en humer les senteurs. Anne Marie est congestionnée. A la limite des pleurs. « Mmhh ! Ça sent bon et c’est un peu humide ! Tu es sur la bonne voie ! Je sens que tu es en de bonnes dispositions. Veux-tu continuer ?
- Quoi ? Que ? Que veux-tu faire ? Là ? Maintenant ?
- Il faut battre le fer tant qu’il est chaud et tu m’as l’air chaude. Si on arrête là, tu vas réfléchir et ensuite trouver mille raisons pour ne pas franchir le pas. De ton accord ou ton refus, dépend la suite que tu veux donner à ta vie de femme.
- C’est difficile ce que tu me demandes ! » Anne Marie est à la limite des pleurs.
- « Sûrement, mais c’est à toi de prendre la décision. Moi je te donne la clé. A toi d’ouvrir la porte maintenant. Plus tard, ce sera peut-être trop tard. Tu auras perdu ; et ton mari et l’occasion d’aborder la vie différemment. Tes filles sont grandes. Vous êtes les deux tout seuls et dans quelques années, tu flétriras toute seule dans ton coin en te lamentant sur la cruauté des hommes. Que décides-tu ?
- Tu es un…- Salaud. Oui je sais. Dans trois minutes, j’aurai fini mon verre et je partirai retrouver ma femme. Ou alors avant, tu me donneras ton accord définitif et je l’appellerai pour lui dire de ne pas m’attendre. Pas question ensuite de revenir en arrière. Ou tu es prête à me suivre dans ce que tu appelles la débauche, ou tu t’en vas. »Un silence lourd s’installe. Négligemment je sirote mon verre tout en l’observant. Dans sa tête tout se mélange. Elle essaye de réfléchir. Son corps lui crie OUI ! Sa tête lui dit NON !
Deux minutes sont écoulées, ce qui paraît une heure. Je vide mon verre et lentement je le pose sur la table à côté de la culotte que je tenais toujours. Je fixe Anne Marie pour qu’elle comprenne qu’elle ne peut plus reculer. Je me sens machiavélique et quelque part je me venge de l’époque où elle a coupé les ponts entre son mari et ses amis. Je vais pour me lever lorsqu’elle lance :- « Oui !
- Oui quoi ?
- Je veux … te… suivre !
- Tu en es sûre ?
- Absolument !
- Pas question de revenir en arrière ensuite au premier obstacle, sinon j’arrête tout et cela sera inutile de venir me faire perdre mon temps.
- Je... Tu es dur !
- Il le faut, sinon dans dix ans tu ne sauras toujours pas ce que tu veux.
- Je suis d’accord ! Tu as gagné !
- Bien ! Prend ta culotte et suis moi ! »Je me lève sans m’occuper d’elle et elle est obligée de ramasser son sous-vêtement précipitamment pour me suivre.
Je vais à la réception de l’hôtel et je demande une chambre pour la nuit.
- « Pour deux personnes ?
- Oui. S’il vous plaît.
- Des… bagages ? Demande le réceptionniste d’un air égrillard.
- J’irai les chercher, ma voiture est au parking souterrain.
- Bien monsieur. »Je règle la chambre et j’entraîne Anne Marie par le bras vers l’ascenseur.
- « Mais.. Tu te rends compte ? » dit-elle quand nous y sommes. « Que va penser cet homme ?
- Que nous allons faire un cinq à sept. Tu sais, il s’en fout. Lui ça lui fait une nuitée. Ce qui se passe dans sa chambre après tout…- Mais il va me prendre pour…- Une pute ? Non . Tu n’en as pas le look. Il voit plutôt une femme qui vient tromper son mari, ce qui est le cas.
- Mais j’y crois pas ! Tu ne crois tout de même pas que….
- A partir du moment où tu as donné ton accord, tu as choisi de suivre mes instructions.
- Tout de même ! Je n’ai jamais…- Dis-toi qu’aujourd’hui, tu changes de vie. »Quelques minutes plus tard, nous sommes dans la chambre. L’hôtel est d’un bon standing et la chambre spacieuse. Avant de passer à la suite, j’appelle Marlène.
- « Ma chérie, ne m’attend pas ce soir… Une affaire qui risque de durer… Oui, je te dirai demain… Pas mal… Je ne sais pas.. Allez ! Je t’embrasse… Oui où tu veux ! » Je raccroche.
- « Alors comme ça tu appelles ta femme et tu crois qu’elle va te croire ?
- Oh, mais elle ne croit rien ! Elle sait que j’ai fait une rencontre. Elle m’a souhaité bonne chance et elle t’embrasse.
- Mais.. Je ne la connais pas ! Et elle sait que… ?
- Oui. Ce n’est pas de la tromperie et je lui raconterai tout demain. Nous sommes très… libres et .. libertins. Rien ne dit qu’elle n’ait pas une envie ce soir et en profite pour me faire cocu.
- C’est incroyable ! Je suis dans un monde…- Nouveau. Je t’ai dis. Tu devrais appeler ton mari, qu’il ne s’inquiète pas.
- Mais que vais-je lui dire ?
- Une femme sait inventer. Dis-lui que tu passes la soirée avec une vieille copine, que tu ne sais pas à quelle heure tu rentres..
- Tu crois que c’est facile ?
- Il faut que tu rentres dans ton rôle de femme adultère.
- Mais je ne suis pas sûre que Jean Pierre me trompe !
- Je peux t’assurer que oui.
- Quoi ? Comment ? Tu le savais ? Tu la connais ?
- Oui.
- Comment elle est ? Elle est jeune ?
- Ah tout de suite ! Oui, un peu plus jeune.
- Le salaud !
- Mais non. Tu as dis toi même qu’il ne se passait rien entre vous depuis dix ans. Il a craqué. Mais je sais qu’il t’aime. Il me l’a dit et il culpabilise. Bon Tu l’appelles ? »Anne Marie a finalement de la chance. Elle tombe sur la messagerie et n’a pas beaucoup d’explications à donner.
- « Maintenant, on coupe les téléphones ! »- Je... » Elle obéit.
Je me mets dans le fauteuil et je lui demande de se mettre debout devant moi.
- « Tu vas me faire un strip-tease ! Vas-y ! Commence par relever ta jupe.
- Mais.. je n’ai rien… dessous !
- Je sais bien. Maintenant j’ai envie de découvrir. »Anne Marie est figée au milieu de la pièce. Dans ses yeux, je vois la panique. Va-t-elle oser ? Lentement, elle saisit les bords de son vêtement et le soulève lentement. Au niveau de la fourche elle s’arrête. Je ne fais aucun mouvement. D’un coup, elle remonte la jupe à sa taille. Elle a une toison brune assez abondante, en tous cas, pas soignée.
- « Tu es poilue dis-donc !
- Je…- A l’avenir, il faudra débroussailler un peu. Tu peux en garder un peu en haut, même si la mode est à l’épilation intégrale. Allez continue. Enlève ta veste. »Elle reste avec la jupe remontée et déboutonne la veste. En dessous, un corsage blanc, pas très moderne, mais qui paraît assez rempli.
- « Continue, mais enlève ta jupe ce sera plus joli. »Anne Marie tremble. Ses cuisses pleines se granulent. Ses yeux sont humides et ses doigts ont du mal à défaire les boutons du corsage. Face à elle, j’ouvre mon pantalon, je sors ma bite déjà raide et je me caresse doucement. « Oh ! » Fait-elle en me découvrant.
Je ne sais si c’est à cause de ce qu’elle voit, mais d’un coup, elle enlève le corsage et se retrouve uniquement vêtue de son soutien gorge. Voyant l’incongruité de la chose, elle passe ses bras derrière son dos et le dégrafe.
Ça y est. Elle est nue face à moi. Elle ne sait comment se tenir et met une main devant sa chatte et l’autre bras devant ses seins. Sa poitrine s’est alourdie avec les années et sûrement les grossesses.
- « Tu es belle.
- N’exagère pas !
- Tu es mieux qu’avant en tous cas.
- Tu trouves ?
- Absolument ! Voyons. Tourne un peu, fais quelques pas. Garde tes chaussures. » Les hanches se sont élargies avec l’âge. Anne Marie a pris des rondeurs, mais des rondeurs attrayantes. Ce petit intermède de défilé, lui a semble-t-il donné un peu d’assurance. Un sourire flotte sur ses lèvres légèrement humides. Ses yeux sont devenus malicieux. Elle fixe ma queue que je branle juste au bout pour lui permettre de la voir. A mon tour, je me lève et rapidement, je me dépouille de tous mes vêtements.
- « Mmhh ! Pas mal ! » Lâche-t-elle.
- « Merci. » Je me rassoie. « Maintenant salope, viens ici à genoux et suce-moi !
- Mais…- Quoi ?
- Je n’ai jamais fait !
- Même avant de te marier ? Ça m’étonne ! Il me semble bien que Jean Pierre aimait ça !
- Salaud ! Tu as besoin de me le rappeler !
- Oublie-le et viens ! »A nouveau intimidée, elle s’approche, s’agenouille et avance une main pour saisir ma bite.
- « Elle est chaude… et lisse !
- Je n’aime pas les poils et ma chérie non plus.
- Guide-moi. » Dit-elle en me regardant. « Je..ne sais pas très bien.
- Ne t’inquiète pas ! Ce n’est pas un concours. Fais comme tu le sens et je te dirai si ça ne va pas. »Anne Marie plonge sur ma bite tendue. Elle prend juste le gland et sa langue s’active de belle manière. Je la laisse faire. Elle avale maintenant la tige. Monte et descend en creusant ses joues. Elle se débrouille plutôt pas mal !
- « Essaye de l’avaler plus loin ! » Une première tentative l’amène au bord du haut le cœur. Elle se reprend et parvient à la prendre totalement dans sa bouche, au ras des couilles. Son nez touche mon ventre. « Bravo ! Tu es douée ! Maintenant à moi ! Depuis que j’ai senti ta culotte, j’ai envie de goûter à ta moule. Viens sur le lit ! »J’enlève le dessus de lit et les draps. Je lui prends la main et l’amène à se coucher. D’elle-même, elle écarte ses jambes. Je me glisse entre-elles. Avec mes mains, j’écarte ses grandes lèvres et je hume ses senteurs « Humm ! Ça sent bon ! Tu es déjà humide ! »Ma langue cherche son clitoris qui pointe peu à peu en dehors de son capuchon. Très vite, Anne Marie pose ses mains sur ma tête pour la plaquer contre elle. Je me régale de ses sucs odorants. Je voudrais l’amener au plaisir mais elle me repousse et me dis « viens »Avec une autre, je mettrais une capote. Nous ne sommes pas de cette génération et elle n’a jamais connu que son mari, aussi je me guide en elle et je la pénètre. Son antre est brûlante et elle soupire quand je la prend. D’elle-même elle noue ses jambes autour de ma taille et je la besogne en rythme. Je m’arrête de temps en temps pour reprendre mon souffle. Je me dresse sur mes bras pour la regarder. Elle a fermé les yeux, mais quand j’arrête elle les ouvre. Elle réclame un baiser. C’est le premier que nous échangeons et elle est vorace. Complètement libérée maintenant.
Ses jambes se dénouent de mon corps et j’en profite pour me redresser à genoux. Dans ses yeux, elle semble surprise et pense que j’ai fini. Je la retourne, relève ses fesses et je la mets en levrette.
- « Mais…- Ne bouge pas. Tu vas aimer ! »Son corps ainsi exposé est superbe. Ses hanches pleines sont un régal des yeux. Sans attendre, je m’enfonce à nouveau en elle. Elle pousse un soupir de bien être. Dans cette position, je la baise longtemps, en tapant fort mon bassin contre ses fesses. Elle enfouit son visage dans les coussins et grogne sous mes coups de boutoir.
D’un coup, elle relève la tête et crie « Ouiiii ! C’est booonn ! » Elle jouit, alors j’accélère ma cadence et à mon tour je me vide en elle. Elle a chaud. Je ne suis pas mieux et on s’effondre sur la couche. Je reste un peu sur elle, puis, je me tourne sur le côté. Je l’enlace et à nouveau on s’embrasse, ses bras autour de mon cou.
- « C’était bon ! Salaud ! Tu m’as fais jouir comme un folle !
- C’était très beau !
- C’est vrai ? Oh j’ai honte !
- Honte de quoi ? D’avoir jouit ?
- De mettre laisser aller. C’est ta faute aussi ! Mais… J’ai honte d’avoir trompé Jean Pierre.
- N’ai pas honte. Si tu as jouis, c’est que j’ai bien travaillé et moi aussi j’ai pris beaucoup de plaisir. Franchement, très bon !
- Malgré toutes tes expériences ?
- Oui. Peut-être aussi parce que c’est toi et que je te découvre comme une belle cochonne !
- C’est ça que tu penses de moi ? Que je suis une cochonne qui trompe son mari ?
- Tu sauras que pour moi, cochonne est un compliment, comme salope ou pute. Quand on fait l’amour on peut tout dire ma belle salope.
- Finalement, ça me plaît ! Et c’est un peu vrai que je me sens salope et cochonne. Bon,maintenant, il faut qu’on passe à la douche !
- Tu en as assez ou quoi ? Moi j’aime que tu sentes la femelle repue.
- Salaud ! Oui je sens la… pute ! Et… j’aime ça ! Mais toi ? Tu n’en as pas assez ?
- Nous avons la chambre pour toute la nuit si on veut et on ne va pas s’arrêter en si bon chemin !
- Tu vas pouvoir ?
- Si tu me pompes un peu la bite- Oh !
- Il faut que tu apprennes à entendre ça. Si tu me suces, je pense que je vais pouvoir t’en redonner. Le seul problème…- C’est quoi ?
- Tu vas sentir ta chatte.
- Oh ! Salaud ! Tu crois que je vais me dégonfler ?
- J’espère que non ! »Anne Marie se redresse, attrape ma queue et l’avale sans hésiter.
- « C’est vrai qu’elle sent… moi ! Mais ça aussi j’aime !
- Tu es sur la bonne voie ! Tu verras quand elle sortira de ton cul !
- Tu ne vas pas me…- T’enculer ? Sûrement !
- Mais ça fait mal !
- Tu as essayé ou quoi ?
- O.. Oui ! Mais... Jean Pierre est très… gros et je n’ai pas pu.
- Ma queue est plutôt fine et je vais bien te préparer.
- C’est vrai qu’elle est bonne est belle ta…- Ma queue !
- O .. Oui, ta… queue. Salaud ! Tu m’as bien baisée !
- Et tu as aimé !
- Ouii ! Je suis folle ! Mais.. Tu bandes déjà ?
- Ta bouche est bonne. En attendant de m’occuper de ton cul, viens sur moi. C’est toi qui vas me baiser maintenant. »Je me couche sur le dos. Je tiens ma bite droite et Anne Marie viens s’asseoir dessus. Dans cette position, ses seins lourds attirent mes mains et alors qu’elle monte et descend sur moi, je les empaume en titillant les tétons érigés. Ses mains sur ma poitrine, elle renverse sa tête en arrière et cavale sur moi. J’adore cette position et ma nouvelle maîtresse a l’air d’aimer aussi. Elle prend son rythme, s’arrête parfois pour souffler. Elle transpire mais veut continuer. Elle finit tout de même par demander grâce dans un dernier soupir.
- « Pardon ! Dit-elle après s’être reprise. Tu n’as pas jouis toi.
- Parce que toi oui ?
- C’était génial ! Oui !
- Tu ne l’as pas assez montré. C’est bien que ton partenaire en soit conscient- Je… Je n’ai pas l’habitude…- Au début, exagère un peu, ensuite cela viendra tout seul. C’est très valorisant de voir et d’entendre une femme jouir.
- Tu es un sacré professeur dis-donc !
- Pour te servir !
- Je suis crevée ! Tu te rends compte que depuis dix ans et même plus, je n’ai pas pris autant de plaisir et en plus deux fois !
- Et ce n’est pas fini !
- Tu veux me tuer ?
- De plaisir ! Seulement de plaisir !
- Mais.. Il faut que je rentre et.. toi aussi.
- Nous avons le temps. Moi j’ai toute la nuit. Il faut quand même qu’on se repose. Je suis d’accord… à nos âges…- Salaud ! Tu me trouves vieille ?
- Pas du tout ! Tu sauras que ce n’est pas ce qui m’arrête.
- Quoi ? Tu te tapes des vieilles ?
- Ça m’arrive.
- Tu… tu es incroyable ! Je ne te voyais pas du tout comme ça !
- Et tu n’es pas au bout de tes surprises !
- Que veux tu dire ?
- Chaque chose en son temps. Si tu veux, on se douche et après si tu veux on parle et... on recommence !
- J’y crois pas !
- Au fait. On n’en a pas parlé, mais on ne s’est pas protégés !
- C’est important ?
- Dans certains cas oui. Personnellement je suis « clean » et je pense que toi aussi, d’après ce que tu m’as dis.
- Je n’avais… Je n’ai connu que Jean Pierre et depuis dix ans…- J’ai compris. Mais à l’avenir, si tu es avec un partenaire que tu ne connais pas, pense à te protéger.
- Parce que tu ne veux déjà plus de moi ? Tu veux me refiler à un autre ?
- A ton mari déjà. Pour le reste…- Moi je suis folle de m’être laissée embarquée par toi !
- Tu regrettes ?
- N.. Non bien sûr ! Mais tu me fais peur !
- Rassure-toi ! Je ne suis pas un monstre. Je te rappelle que ma mission est de te rapprocher de ton mari.
- Oui. D’un façon un peu bizarre en commençant par le cocufier.
- Il a commencé non ?
- D’accord !
- Bon, on va à la douche ?
- J’y vais la première ?
- Pourquoi la première ?
- Que veux-tu dire ?
- On y va tous les deux… ensemble !
- Mais…- Ne discute pas. Ça fait partie de ta… formation.
- Tu es fou, mais bon… pourquoi pas.
- Je vois que tu commences à comprendre que je vais te « brusquer » un peu, mais c’est pour ton bien.
- Alors profite… profitons- en bien tous les deux ! »La douche de l’hôtel est vaste et bien équipée. Au départ, Anne Marie est un peu coincée, mais une fois sous l’eau, elle se libère et accepte mes caresses. Mieux même, elle participe et se retrouve à genoux pour me sucer. La coquine apprend vite !
De retour dans la chambre, j’ai entrepris de la sécher avec ma langue sur tout son corps. Quand je suis arrivé aux pieds, ça la rendue folle. Personne n’avait agit comme ça avec elle, quand je suis remonté sur elle pour la pénétrer, j’ai pris ses jambes dans mes mains, et j’ai recommencé à sucer ses orteils. En quelques secondes, elle jouissait déjà. Je l’ai baisée comme ça jusqu’à qu’elle me demande d’arrêter, elle n’en pouvait plus de jouir en rafale. Et quand je dis en rafale, c’était des jets de mouille ! Cette pratique l’a rendue fontaine. Nos bas ventres étaient trempés. La cyprine coulait sur les draps.
Après un bon moment de récupération, Anne Marie ouvre enfin les yeux :- « C’est énorme ! Je n’ai jamais autant jouis ! Comment tu as su ?
- Su quoi ?
- Que… en me léchant les pieds… justement je prendrais un tel pied ! Je comprends l’expression maintenant !
- Je ne savais pas. C’est quand j’ai parcouru ton corps et que je suis arrivé à tes orteils, que j’ai senti ta réaction. Alors j’ai continué.
- Tout de même ! Lécher les pieds ! Ça ne te dégoûte pas ?
- J’ai adoré au contraire ! Surtout te voir jouir et nous arroser de ton jus !
- Oh j’ai honte !
- Tu ne dois pas ! Cela prouve que j’ai bien fais mon travail.
- Tu vois ça comme un travail toi ?
- Ma foi, fort agréable.
- Tu es dingue !
- Sûrement un peu, mais j’aime donner du plaisir.
- Mais… Tu n’as pas jouis toi !
- J’en garde un peu. Je te rappelle que je dois m’occuper de ton cul.
- Oh !
- Je te rassure. Ce n’est pas pour ça que j’ai arrêté, mais j’ai vu que tu n’en pouvais plus.
- Tu es un chou ! Bien sûr que je te donne mon cul. Tu le mérites !
- Tu n’es pas obligée tu sais ?
- Je serais odieuse de te refuser ce plaisir.
- Je compte bien que tu en ais aussi.
- Tu vas me tuer ! Comment vais-je faire ensuite ?
- Tu recommenceras.
- Justement. Comment pourrais-je arrêter tout ça ?
- Tu n’arrêteras pas. Maintenant que tu y as goûté, j’espère que tu continueras et que tu deviendras une belle salope.
- Tu me vois comme ça ?
- Je t’ai déjà dit que pour moi c’est un compliment.
- Tout de même !
- Eh oui ! Il faudra t’y faire ! Tu ne verras plus les choses de la même façon.
- Alors, fais de moi une salope. J’ai perdu trop de temps.
- Et tu en as fais perdre à ton mari- Le pauvre ! Je comprends qu’il ait été voir ailleurs.
- Tu progresses ! Maintenant, femme indigne, je vais explorer ton arrière train.
- Mon cul ! Tu peux dire mon cul.
- C’est vrai qu’il est devenu très sympathique ton cul.
- Tu ne l’aimais pas ?
- Pas vraiment. A l’époque, je te rappelle que tu n’avais pas beaucoup de formes, du moins à mon goût. Je préfère nettement ta silhouette aujourd’hui, surtout quand je te vois à poil comme ça. En parlant de cela, tu as un peu trop de poils, il faudra que je m’en occupe.
- Salaud ! Mais si tu veux, je suis d’accord.
- Bien. Maintenant, à genoux salope, je vais m’occuper de tes fesses, même si elles sont poilues ! »
Anne Marie se positionne sur le lit, les fesses hautes, en attente de la suite. Moi qui la croyais coincée, je la découvre très délurée, ce qui me la rend encore plus… sympathique !
J’écarte ses fesses à deux mains. Son œillet est poilu et tout le jus qu’elle a lâché avant, embaume mes narines. Je lèche le pourtour, malgré sa réticence. Très vite, elle apprécie la caresse. Ma « feuille de rose » dure longtemps avant que je n’enfile un doigt dans le trou. Je lâche de la salive pour faciliter l’introduction. Ses muscles se détendent petit à petit. Bientôt un deuxième doigt rejoint le premier.
- « Ça va ?
- O… Oui ! J’aime !
- Salope ! »Je reprend mon ouvrage. J’enfonce un troisième doigt et je lime bien l’orifice. Anne Marie est bien détendue. Pour qu’elle prenne conscience de la chose, je dis :- Maintenant, je vais t’enculer. Tu es prête !
- Oh oui ! Prends mon cul ! Il est à toi ! »Une dernière rasade de salive y compris sur ma bite. Je me branle un peu pour bien durcir et je guide ma verge sur son trou. Je pousse, aidé de la main et sans vraiment forcer, je franchis le barrage des sphincters. Le gland est passé. Je m’arrête un peu et je reprend ma poussée. Par petits coups, je m’enfonce dans ses lombes. Anne Marie soupire d’aise et m’absorbe jusqu’au bout sans souffrir.
- « Ça y est ! Je suis à fond !
- J’aime ! Vas-y ! baise-moi ! Encule-moi. Vas-y à fond, je te sens bien ! »Agrippé à ses hanches, je la besogne en cadence, n’hésitant pas à sortir, pour mieux replonger en elle. « Branle-toi le bouton ! Je veux que tu jouisses aussi par là ! »D’une main glissée entre ses jambes, elle parvient à se caresser malgré les secousses. Je sens dans mes reins, monter ma jouissance. Anne Marie soupire de plus en plus. Son cul me serre bien. J’accélère mes mouvements et je jute dans son ventre au moment où ses muscles m’enserrent plus fort. La sensation est énorme ! Je me vide en plusieurs jets dans son antre brûlante. J’ai beaucoup donné ce soir, aussi je m’effondre sur elle. Son corps est chaud et luisant de sueur. Je ne suis pas mieux et une seconde douche ne sera pas de trop. Pour le moment, je profite de ce cul offert. Je reprends un peu des mouvements pour achever et laisser redescendre notre plaisir.
Anne Marie s’endort et moi aussi, vautré sur elle qui n’a pas l’air incommodée par mon poids.
Il est six heures du matin quand je me réveille. Anne Marie dort toujours. Je n’en reviens pas d’avoir baisé cette femme, qui autrefois ne me plaisait pas et que je trouvais hautaine. Elle a bien changé. Il a fallu pour cela, qu’elle comprenne que son mari la trompait et encore, elle ne sait pas tout !
Elle finit par se réveiller à son tour. Elle met un peu de temps pour retrouver ses esprits et se rendre compte de l’endroit où elle se trouve et avec qui.
- « Mon dieu ! C’est terrible ! Il y a longtemps que je suis comme ça ?
- Je ne sais pas, Je me suis réveillé il y a peu.
- J’ai honte !
- De quoi ?
- D’être comme ça. .. D’avoir trompé Jean Pierre aussi.
- Après tout, il a commencé le premier.
- C’est vrai mais…- Tu n’as pas à avoir honte. Tu as pris du plaisir et moi aussi. C’était un beau moment.
- Tout de même… Comme ça, la première fois… Tu m’as fais la totale !
- Tu te plains ?
- Oh non, mais… comment on va faire ?
- On verra bien.
- Tu… Tu voudras recommencer… avec moi ?
- Tu n’en as pas assez ? J’ai beaucoup donné…- Idiot ! Pas maintenant… quoi que… Non, après… Une autre fois…- Pas qu’une autre. Maintenant que j’ai découvert que tu es une bonne cochonne, je compte bien en profiter encore !
- Et… ta femme ?
- Je t’ai dis que nous étions libertins.
- Mais.. tu vas lui dire ?
- Bien sûr !
- Et… qui je suis ?
- Oui, Elle ne te connais pas encore, mais je lui dirais que tu es la femme de mon copain.
- Et… cela ne la dérange pas ?
- Elle est jalouse de mes conquêtes, comme je le suis des siennes, mais c’est aussi pour ça que je l’aime.
- Tu es un grand malade toi !
- Ça te dérange ?
- N… non. Enfin, ça me fais drôle. Je ne te voyais pas comme ça. Et puis… tu m’as donné tant de plaisir… J’espère qu’on… recommencera.
- On va avoir besoin d’une autre douche avant de partir.
- Tu veux partir tout de suite ?
- Pas forcément. Et toi ?
- C’est que… Jean Pierre part au travail vers sept heures et demi…- Et tu n’as pas envie de le croiser avant.
- C’est… c’est ça ! Je me fais honte, mais j’assume pas…- Cela viendra. Puisque nous avons le temps, profitons de ce moment. Viens m’embrasser ! »Les caresses et les baisers vont faire remonter notre désir et Anne Marie va me demander de la prendre encore une fois. Tendrement, couchés sur le côté en nous regardant dans le miroir, nous allons faire l’amour. A sept heures, je commande le petit déjeuner que nous apporte une femme de chambre. Anne Marie est gênée quand la femme pose le plateau près du lit.
- « Que va-t-elle penser ?
- Que nous avons baisé toute la nuit, vu nos têtes, ce qui est presque vrai. Que nous sommes un couple illégitime, ce qui est vrai. Elle est habituée et s’en fout sûrement. »Nous dévorons croissants et pain frais, puis passage coquin sous la douche où Anne Marie commence à aimer de la prendre à deux. Il est plus de huit heures quand nous quittons notre chambre et sortons. Un dernier baiser discret malgré tout et nous nous séparons, non sans avoir échangé nos numéros de téléphone.
Je n’ai que quelques dizaines de mètres à faire pour rejoindre la maison où je retrouve Marlène, ou plutôt Michel, qui s’apprête à partir au bureau.
- « Alors la nuit a été bonne mon chéri ?
- Agitée.
- Tu me raconteras ? Je dois partir au travail.
- Pas de problème ! Je crois que tu vas aimer. A ce soir ! »On s’embrasse et Marlène, ou plutôt Michel quitte la maison. J’ai un peu de temps pour me changer et partir chez mon client. La journée est difficile. Heureusement les cafés et le Coca de midi me permettent de tenir le coup. Vers quinze heures, je reçois un message d’Anne Marie « Merci pour cette nuit… surprenante. Je t’embrasse et j’espère te revoir très vite. » Je lui répond « Petite salope ! Tu n’en as pas eu assez ? » un peu plus tard, nouveau message « Oh non ! Je suis folle ! »Le soir, je raconte ma journée et ma nuit précédentes. Ma chérie est toute émoustillée. Avant mon arrivée, elle s’était mise en tenue. Nuisette et bas autofixants, elle avait même négligé de mettre une culotte.
- « Tu te rends compte que tu as baisé la femme de mon amant ?
- Qui est aussi le mien maintenant. Franchement, je ne l’aurais jamais cru.
- Que vas-tu faire maintenant ?
- Pour l’instant, rien, si ce n’est la revoir un peu et préparer la suite.
- La suite ? A ce propos, Bernard…- Jean Pierre.
- Oui.. il faut que je m’y fasse. Pour moi c’est encore Bernard… Depuis tout ce temps… Jean Pierre donc, voudrais nous voir d’ici quelques jours.
- Simplement nous voir ?
- Idiot ! Tu m’as compris.
- Je te fais marcher. Demande-lui s’il préfère deux femmes ou un couple.
- Je crois que depuis qu’il t’a découvert, il aime que tu sois en homme. Tu vas finir par me le piquer.
- Ne t’inquiète pas. J’ai de quoi faire avec sa femme. Je pense que je vais en faire une bonne pute.
- Tu es affreux !
- C’est pour ça que tu m’aimes.
- Oui mon cochon !
- Finalement, ne lui demande rien, j’irai travesti. J’aime bien quand il me traite comme une femme et puis, je peux toujours me changer en cours de soirée.
- En attendant, viens t’occuper de ta petite femme mon salaud. Tu m’as abandonnée hier soir et ma chatte me démange.
- La mienne aussi mon cœur, elle n’a pas servi hier. Tu veux ton homme ou ta femme ?
- Je m’en fous ! »Alors, comme j’aime, à genoux entre ses jambes, je débusque son clitoris pour une longue fellation. Le bouton de ma chérie gonfle vite et bientôt sa bite remplit ma bouche. Je la cajole de ma langue. Je l’enfonce dans ma gorge en roulant ses boules et en cherchant sa chatte anale comme elle aime l’appeler. Excitée par mon récit, Marlène s’abandonne et me laisse faire un moment. Malgré tout, elle en veut plus et me réclame une pénétration.
Rapidement, alors qu’elle s’installe couchée sur la table, je me déshabille. Malgré mes prestations de la veille, je bande fort. Il faut dire que Marlène m’excite toujours beaucoup. Elle relève ses jambes et s’offre impudiquement. Elle n’a gardé que ses bas et ses sandales à talon. Je pointe mon dard sur sa corolle et d’un coup, je m’enfonce en elle. Ma bite glisse dans son cul sans la moindre résistance.
- « Salope ! Tu t’es préparée !
- Même pas mon cochon ! Ton histoire m’a excitée comme une folle et je mouille du cul comme une femme de sa chatte. »Cette nuit, quand j’ai baisé Anne Marie en lui suçant les pieds, celle-ci a pris un pied énorme. Aussi, j’enlève une sandale et je prends un pied de Marlène dans ma bouche. Le contact avec les bas est agréable, mais je veux sentir ses orteils directement. Je m’arrête un moment pour lui enlever ses derniers vêtements. Marlène est surprise, car d’habitude, j’aime qu’elle les garde.
Aussitôt fait, je reprend un pied en bouche et je lèche ses orteils. Un à un d’abord, puis plusieurs à la fois.
- « Oh salaud ! C’est bon, ce que tu me fais ! Lèche-moi bien les pieds mon cochon ! Tu es un gros cochon. Tu as toujours des idées un peu folles ! Pour un homme, Marlène à des petits pieds assez fin. Sans être aussi sensible qu’Anne Marie, elle apprécie ma nouvelle caresse. Je sens qu’il lui en faudrait peu pour se laisser aller, aussi, j’arrête souvent mes pénétrations, car si je veux jouir, je veux que ma chérie en garde pour me prendre à son tour.
Finalement, ni l’un ni l’autre n’éjacule, mais le plaisir ressenti est très fort. Rester à la limite est atrocement bon. Nous changeons de place et c’est à mon tour de me retrouver sur la table et de prendre la queue de ma chérie dans le cul.
Marlène ne s’embarrasse pas de fioritures. Elle m’encule puissamment. A la recherche de son plaisir, elle ne m’oublie pas et branle ma queue en cadence. La jouissance monte en moi et sous le double effet de la main et de sa queue, je gicle sur mon torse et mon visage en grognant d’une voix de fausset, comme chaque fois que je me fais enculer.
Marlène me donne à lécher ses doigts couverts de mon sperme et me bourre le cul à grand coups de bite. Elle me remplit de foutre chaud.
- « Alors mon petit pédé ! Tu l’aimes la queue de ta femme ?
- Oh oui ma chérie ! C’est bon !
- Mieux qu’avec ta pute ?
- Différemment. Mais tu sais que j’aime ta bite qui me remplit bien le cul.
- Tu es une salope ma chérie.
- Oui ! Je suis ta salope. Ta pute personnelle. J’aime que tu me baises comme une salope !
- Alors mon cochon, va t’habiller en pute. On va aller se faire tringler au sauna, comme deux putes en chaleur ! Et cette fois-ci, on reste en haut ! »Une demi heure plus tard, ce sont deux travestis qui font leur entrée au sauna. C’est Alain, le propriétaire qui nous reçoit.
- « Nous restons en haut ! » Lui indique Marlène.
- Aucun problème mes chéries, pour vous c’est toujours gratuit. Vous avez de la chance ce soir, il y a de beaux mecs ! En attendant, je suis bloqué ici, alors Jessica, avant de retrouver ta copine là bas, tu vas venir me pomper ici derrière le comptoir !
- A ton service mon chou ! »Marlène entre dans la salle « sèche » et je passe dans la pièce d’accueil. Comme il fait toujours chaud dans l’établissement, Alain ne porte qu’un marcel et un short. Aussitôt, je m’agenouille, je baisse le vêtement et je retrouve une belle protubérance que je m’empresse d’avaler. Le propriétaire s’installe sur le tabouret haut et se laisse faire en posant une main sur ma tête. Sa bite est longue et fine et pour l’avoir reçue dans mon cul, très agréable.
Alors que je m’escrime sur son vit qu’il parvient à enfoncer au fond de ma gorge, deux clients entrent. Alain me maintient la tête sur sa queue tout en servant les deux hommes. Ceux-ci sont très intéressés par le spectacle offert. Une fois servis, Alain leur indique :- « Vous pourrez retrouver cette pute dans quelques minutes dans la partie sèche. Il y a sa copine aussi. Vous pourrez profiter de ces deux putes, mais il risque d’y avoir du monde quand ceux qui sont en bas sauront qu’elles sont là. Bonne soirée messieurs ! »Les deux gars entrent à leur tour. Je n’ai pas arrêté de pomper Alain. Il peut se concentrer maintenant sur son plaisir et ne tarde pas à décharger dans ma bouche. Avant d’avaler son foutre, j’ouvre ma bouche pour lui montrer.
- « Merci ! Tu es une bonne pute ! Tu peux aller t’amuser maintenant ! » Il m’embrasse et je rentre à mon tour dans l’établissement.
Marlène n’a pas perdu de temps et dans le couloir elle en penchée sur une bite qu’elle a en bouche alors que derrière elle, un homme la sodomise.
Pendant deux heures, nous allons «recevoir les hommages » de plusieurs hommes qui vont se succéder dans nos bouches ou nos fesses. Dans la pièce, sur le sling, alternativement, l’une sera sur le siège suspendu, les jambes en l’air, pendant que l’autre, à genoux « prépare » et fait attendre le suivant. Les seuls moments de répit venant des changements de préservatif.
Notre rendez-vous avec Jean Pierre a été repoussé. Ou plutôt, Marlène y a été seule. Elle a expliqué à son amant que j’étais retenu par une réunion de dernière minute. En fait, j’avais reçu un message d’Anne Marie dans l’après-midi me disant :- Mon mari n’est pas là ce soir. Il doit être pour voir sa pute. On peut se voir ? » L’idée m’a bien plu Il y aurais un double voire un quadruple adultère, puisque le mari de l’une baiserai avec la femme de l’autre. Bref, un épisode jouissif pour ceux le sachant.
Je retrouve Anne Marie au « Conti » où la même chambre nous est dévolue. Ce doit être celle réservée au « cinq à sept ». Anne Marie a fait des efforts de présentation. Tout d’abord, elle a acheté des bas autofixants et un ensemble soutien gorge et tanga mauve du plus bel effet. Je découvrirai ensuite qu’elle a fait un passage chez l’esthéticienne pour le maillot « plus » qui consiste à laisser une touffe de poils sur le pubis et qui dégage le tour de la vulve.
- « J’ai honte de ce qu’elle a dû penser de moi ! Tu te rends compte ? Je vais chez elle depuis presque vingt ans et c’est la première fois que je lui demande ça. Qu’est-ce qu’elle a dû penser de moi !
- Que tu allais rejoindre un amant et que tu voulais lui plaire- Oh !
- Ce n’est pas vrai ?
- Si, mais… Je n’oserai plus y aller !
- Au contraire ! La prochaine fois tu lui diras que ton amant veut que tu enlèves tous les poils.
- Je n’oserai jamais voyons !
- Alors, on arrêtera de se voir… du moins pour baiser.
- Tu veux… ?
- Que tu deviennes une pute ? Oui !
- Je… bon, si tu le veux…- Je vois que tu es en de bonnes dispositions, on fera quelque chose de toi. Tu aimes bien finalement que je te « bouscule » un peu.
- Je… Oui. Tu me rends folle ! Je n’ai jamais connu ça !
- Et c’est dommage !
- Mais je ne suis pas une… pute !
- Pour faire le trottoir, non, mais au fond de toi, tu en as l’esprit. Regarde ! Tu acceptes vite mes demandes. Tu ne cherches plus à les discuter.
- Je ne me reconnais pas ! Ce n’est pas convenable non ?
- Est-ce qu’être un bigote coincée du cul c’est convenable ?
- C’est comme ça que tu me vois ?
- Un peu moins maintenant, mais oui.
- Je...je comprends. Je vais faire des efforts, mais sois patient.
- Sûrement pas ! Si je t’écoute, dans dix ans on y sera encore.
- Dans dix ans ?
- Oui. Façon de parler. Plus vite tu progresseras dans ton nouveau statut de salope, plus vite tu aimeras ! »Notre rencontre est courte - je sais par Marlène que Jean Pierre part toujours vers minuit – courte mais intense. Avant de partir, j’oblige Anne Marie à pisser devant moi sous la douche. Malgré sa honte, elle y parvient et quand à genoux je nettoie les dernières gouttes avec ma langue, elle a un spasme comme passage obligé maintenant, je lui suce les orteils. Elle est particulièrement sensible quand je passe ma langue entre deux. Elle a d’ailleurs soigné la aussi ses pieds et a verni ses ongles.
Quelques semaines plus tard, après quelques rencontres avec sa femme, on se retrouve entre hommes avec Jean Pierre. Quand nous sommes tous les deux, il préfère que je ne sois pas travesti. Alors que nous reposons après un long soixante neuf jouissif, il se confie :- « Je crois qu’Anne Marie a un amant.
- Ah bon ? Qu’est-ce qui te le fait dire ?
- Elle a changé. Par vraiment de look, mais dans son attitude, elle est moins revêche, plus cordiale avec moi et avec les autres.
- Et alors ?
- Je ne peux pas lui en vouloir… après tout, c’est moi qui ai commencé.
- Et maintenant toi aussi tu as un amant !
- Oh !
- Et deux maîtresses...un peu spéciales.
- Je…- Et toi aussi tu as changé… depuis que toi et moi…- Tu trouves ?
- Absolument ! Tu penses que ta femme s’en est rendu compte ?
- Je ne crois pas… Je suis prudent.
- Elle aussi sûrement, mais comme tu dis, il y a des attitudes qui peuvent te trahir.
- Tu crois qu’elle s’en est rendu compte ?
- Je ne sais pas.
- Je vais faire attention.
- A voir ta bite raide, j’ai l’impression que ça t’excite de te savoir cocu !
- Salaud ! Dis que tu en as envie toi aussi !
- Oui. Viens me baiser avant de partir.
- A condition que tu me la mettes aussi.
- Tu y as pris goût mon salaud.
- Oui ! Si j’avais su, j’aurais essayé avant.
- C’est ce qu’on dit tous. »L’un après l’autre, on va se sodomiser, chacun se vidant dans le cul de l’autre.
Un midi, alors que je suis en terrasse d’un restaurant en train de prendre mon café après déjeuner, une femme s’approche de ma table.
- « Bonjour Jacques ! Comment vas-tu ? » J’ai failli ne pas la reconnaître. C’est Anne Marie, la femme de Jean Pierre. Les années et les grossesses lui ont donné quelques rondeurs qui lui vont assez bien d’ailleurs et son visage est aussi plus avenant. Je l’invite par politesse, à prendre un café avec moi et à ma surprise elle s’assoit. Nous avions donc eu des rapports assez distants, mais elle semble plutôt réjouie de me voir.
- « Alors, que deviens-tu ?
- Je bosse dans un cabinet de conseil en informatique. Là, je fais ma pause avant de retourner chez un client.
- Jean Pierre m’a dit que vous vous revoyiez depuis quelques temps… » Je me crispe un peu en tachant de ne pas le montrer- « Oui. On s’est retrouvés par hasard et du coup, on boit un verre de temps en temps en nous rappelant notre jeunesse.
- Ah ! Il y a de l’eau qui est passée sous les ponts depuis.
- C’est vrai, mais on est toujours contents d’évoquer le passé, surtout quand il était agréable.
- Toi tu n’as pas changé.
- Si, un peu tout de même.
- Tu parais toujours jeune. Tu as divorcé je crois ?
- C’est ça.
- Et.. Tu as une nouvelle compagne ? Pardon ! Je suis indiscrète !
- Pas du tout ! Oui, je suis marié, enfin… pacsé, comme ça se fait maintenant.
- Oh !
- Ah oui pardon. Pas chez tout le monde.
- Ne crois pas que je sois rigoriste, même si tu le penses. Tu connais mes convictions chrétiennes.
- Oui, oui.
- Mais bon, j’accepte, malgré tout, d’ailleurs, ma fille aînée veut elle aussi se pacser avec son copain. Il faut vivre avec son temps.
- Tout à fait ! Bon, tu vas m’excuser, mais il est bientôt l’heure que je retourne chez mon client.
- Ah oui pardon ! … Mais… dis-moi… Ça me ferais plaisir de parler avec toi… de Jean Pierre. » Nous y voilà ! Me dis-je. Que veut-elle ? Que sait-elle ?
- Écoute, je quitte mon client à dix sept heures, si tu es disponible, on se retrouve au « Conti » et on discute…- Pas de problème. A tout à l’heure ! »Après son départ, le temps de régler ma note, je me demande ce qu’elle me veut pour débarquer ainsi tout d’un coup, alors que l’on se s’est pas vus depuis plus de dix ans. C’est en sortant de chez mon client et en rentrant à la maison que je passe devant le « Conti » et me rappelle du rendez-vous. J’envoie un message à Marlène en lui disant que je serai en retard. Elle est habituée et ne s’étonne pas.
Dans le salon huppé du grand hôtel, je retrouve Anne Marie, attablée devant une tasse de thé.
- « Je suis en retard ?
- Non, non, mais je ne travaille pas. J’ai fais quelques emplettes et je suis arrivée en avance. »Nous sommes dans un coin de la salle. L’ambiance feutrée fait que l’on peut parler sans crainte. Je commande un Américano et Anne Marie reprend un thé. « Je vais encore avoir envie de faire pipi » glisse elle un peu honteuse.
- Les toilettes sont superbes ici.
- Tu viens souvent ?
- Cela m’arrive quand j’ai un peu de temps avant de rentrer, c’est sur le chemin de la maison.
- Tu as une maison dans le coin ? Et bien, c’est plutôt chic comme quartier.
- En fait, c’est la maison de ma femme. Elle lui vient de ses parents. Elle a réussit à la conserver malgré la pression immobilière.
- Vous avez de la chance. Je la connais ta femme ?
- Je ne pense pas non. Elle a vécu longtemps à Paris et elle sort assez peu. Mais tu ne m’as pas donné rendez-vous pour parler de moi ? Tu voulais me parler de Jean Pierre. Il y a un problème ?
- Non !... Enfin… oui un peu…- Et tu y as pensé en me voyant au restaurant ? » Elle rougit- « En fait, cela fait plusieurs fois que je t’y vois.
- C’est vrai que j’y déjeune souvent. Ma femme travaille, et même si ce n’est pas loin de la maison, je dois bien dépenser mes tickets restaurant et c’est bien pratique. Et donc ?
- La première fois que je t’aie vu, je n’ai pas osé t’aborder. Tu as changé de look, je n’étais pas sûre. Tu t’es rasé la barbe ?
- Oui. Il y a deux ans à peu près.
- J’ai hésité plusieurs fois, mais j’ai pensé que tu étais le mieux placé pour me répondre, puisque vous vous voyez à nouveau.
- Je t’écoute. Ici tu n’as rien à craindre, il n’y a pas d’oreilles indiscrètes.
- Bon, voilà. C’est un peu spécial » Hou-là ! me dis-je. Elle reprend « Je crois que Jean Pierre me trompe.
- C’est pas vrai ?
- Il a changé depuis quelques temps. Il rentre parfois tard et il s’est inscrit dans un club de sport.
- C’est bien à son âge il s’entretient, même s’il n’en a pas vraiment besoin.
- Oui mais…- Il est moins attentif…- Tu veux dire… avec toi ?
- Oui. Enfin… non- Il n’est plus aussi… ardent ?
- Oh ça ! Il y a bien longtemps !
- Ah bon ? Pourtant… à l’époque…- Nous… nous n’avons plus de rapports… depuis plus de dix ans.
- Ah quand même !
- Tu trouves ça bizarre ?
- Euh.. oui. Quand ça m’est arrivé, je n’ai pas attendu aussi longtemps pour me faire la malle. Pardon, je te choque, mais je suis moins à cheval que toi sur les convenances… religieuses..
- Oui. Bon. Je sais, mais quand même.
- Qui c’est qui a arrêté ?
- C’est moi. Après les filles.
- Ah oui d’accord !
- Quoi d’accord ?
- Disons que pour moi, faire l’amour ne rime pas avec procréation. Je fais l’amour par plaisir et avec Marlène, c’est ma femme, nous n’aurons pas d’enfants mais cela ne nous empêche pas de faire l’amour… souvent. Et ne me traite pas d’obsédé, c’est une majorité de gens qui fonctionne comme ça.
- Oui, bon, d’accord mais…- Toi tu ne fonctionne pas comme ça. Tu es plus… traditionaliste ?
- C’est ça !
- Et après, tu t’étonnes que ton homme cherche ailleurs ?
- Toi bien sûr tu le défends.
- Si tu a voulu me parler, il fallait t’y attendre. Avant de te connaître, avec Jean Pierre, nous avions une vie très… active de ce côté là. Il t’a épousée par amour, mais je pense que tu as cru en faire ce que tu voulais. Il t’a sûrement été fidèle, car il est fidèle, y compris en amitié, mais tu as peut-être tiré un peu trop sur la corde.
- Et toi bien sûr tu es d’accord ?
- Je n’ai pas à être ni d’accord ni contre. Je pense qu’il t’aime et si tu l’aimes, comme cela a l’air d’être le cas, tu dois faire un effort.
- Tu parles facilement toi. Tu me vois lui faire des avances ? Et puis à mon âge..
- Il n’y a pas d’âge, je connais des femmes qui a plus de soixante dix ans, font encore l’amour, parce qu’elles aiment ça et ce ne sont pas des putes ou des salopes.
- Eh bien ! Moi qui croyais trouver du soutien !
- Tu me connais un peu tout de même. Tu ne pensais pas que j’abonderais dans ton sens à ce niveau. Si ton mec va voir ailleurs, c’est qu’il ne trouve pas ce qu’il faut à la maison.
- Et tu lui donnes raison. Vous êtes tous pareils les hommes ! Vous ne pensez qu’à ça !
- Pour ta gouverne, heureusement qu’il y a beaucoup de femmes qui pensent la même chose.
- Bon. Excuse-moi. Je ne veux pas me fâcher, mais tout de même ! Je ne suis pas habituée à ça.
- Peut-être que tu devrais y penser.
- A mon âge ? Qui voudrait de moi… et j’aime Jean Pierre !
- Tu l’aimes, mais mal et puis tu n’es pas laide, ni vieille. Tu es même mieux maintenant que plus jeune.
- Tu trouves ?
- Oui. Tu pourrais même être bandante, si tu t’habillais un peu mieux… enfin… plus sexy !
- Tu es un salaud !
- Ça sûrement ! Pour une femme comme toi.
- Tu ne penses pas tout de même que… avec moi ?
- Je ne pense rien. Tu me demandes de te parler, je pense qu’il faut te parler crûment pour que tu comprennes. Dans le monde « normal » c’est comme cela que l’on parle.
- C’est un monde normal pour toi ? Et qu’en penserait ta femme ?
- Nous sommes très libres sur ce plan. Il lui arrive des aventures, à moi aussi et parfois ensemble.
- Oh ! Vous êtes…- Des dégénérés ? Non ! Simplement, nous dévorons la vie à pleine dents, sans a priori. Tu veux que je sois sincère ? Et bien je pense que si ton Jean Pierre va voir ailleurs, je le comprends ! Et si tu veux qu’il te revienne, tu dois évoluer ?
- Évoluer ?
- Prendre un amant… ou une maîtresse.
- Tu es complètement fou !… Ah ça y est ! J’ai compris ! Tu cherches à me provoquer ! Je ne te pensais pas comme ça !
- Pas du tout ! Je cherche à te faire comprendre que tes … convictions ne sont pas toujours de mise.
- Tu me demandes de le tromper ?
- La question est : Veux-tu le reconquérir ?
- Et pour ça je dois coucher avec toi ?
- Avec moi ou avec un autre, la question n’est pas là. Est-ce que tu te sens capable de le faire ? Es-tu capable de passer par dessus tes principes judéo-chrétiens qui prônent depuis des siècles des dogmes, que la hiérarchie catholique ne s’applique même pas à elle même ?
- Oh toi évidemment la religion !
- Si tu veux. Reconnais qu’elle est drôlement stricte et finalement liberticide, ta religion. Elle est même arrivée à ce que les gens eux-mêmes s’interdisent de faire des choses agréables.
- Je… Bon… Je ne sais pas.. Tu crois que ?
- Tu m’as demandé de te parler franchement, je le fais. Pour ton mari et pour le reste. Maintenant, si tu n’es pas prête, ne fais rien et continue ta vie comme avant…- Justement… Jean Pierre à changé..
- En mieux ou en pire ?
- En… mieux- Tu vois ! Et c’est ça qui te fais dire qu’il a une maîtresse ?
- Je … je ne sais pas.
- Veux-tu redevenir sa maîtresse ?
- Co.. Comment ça ?
- Veux-tu à nouveau que ton mari te baise, te fasse l’amour, te trouve sexy… je sais pas moi.
- J’aimerais..oui… mais… je ne sais pas… je suis trop vieille… Il va me prendre pourquoi ?
- Ah ! C’est ça qui te tracasse ? Il t’aime et je pense qu’il serait heureux de retrouver ou de trouver, je ne sais pas ce que vous faisiez avant, une femme décoincée et coquine.
- Tu me trouves coincée ?
- D’après mes souvenirs et de ce que tu me dis, Oui ! C’est sûr !
- Que faut-il que je fasse ?
- Je te l’ai dit. Change tes tenues, achète des sous-vêtements sexy et prend un amant, ou une maîtresse.
- Tu parles toujours de maîtresse. Tu me vois moi… avec une femme ?
- Oui, très bien !
- Tu es…- Normal. Je n’ai pas d'a priori, moi.
- Je n’oserai jamais…- Avec une femme ?
- Non ! Déjà avec un homme. Comment saurais-je me comporter ? Déjà comme tu dis pour être…- Bandante ?
- Arrête avec ça.
- Il faut bien que je te provoque, autrement tu vas rester enfermée dans tes… croyances.
- Je te connais. Je sais que tu aimes provoquer, mais là …- Finalement, tu n’es pas prête. Rappelle-moi quand tu le seras. » Je me lève pour partir. Anne Marie me prend le bras.
- Attend !
- Qu’y a-t-il encore ?
- Je… Ça me gêne !…- Lâche-toi pour une fois !
- Je.. Comment tu me trouves ?
- Physiquement tu veux dire ?
- O… oui. Sois sincère.
- Depuis tout à l’heure il me semble que je le suis… peut-être trop pour toi !
- Allez ! Dis-moi !
- Bien. Alors sur le plan physique donc. Je te trouve plutôt mieux qu’avant.
- J’ai grossi !
- Oui. Et ça te va plutôt bien. Tu as de belles rondeurs. Avant tu étais maigre, sans attraits… enfin pour moi.. Aujourd’hui, disons que… tu me plais plus.
- Au moins c’est dit.
- Ceci étant, il y en a pour tous les goûts, certains peut-être te préféreraient comme avant. La question n’est pas là. Si ta question est, est-ce que tu peux plaire à un homme – ou à une femme -. D’accord j’abuse. Commençons par un homme, je pense que oui.
- Donc tu pourrais être… d’accord pour…- Dis-donc toi ! Tu me proposes maintenant de baiser avec moi ?
- Je crois que je serais plus à l’aise.
- Donc maintenant, si je refuse je suis un malotru et si l’accepte, je suis un salaud qui profite…- Je ne le verrai pas comme ça, dans aucun cas.
- Bien. On va passer à la vitesse supérieure alors.
- Co..comment ça ? » Je fais signe au barman et lui demande deux Américanos. Anne Marie se récrie.
- « On arrête tout et tout de suite alors. C’est le premier test.
- Je… d’accord.. Le barman, nous apporte les boissons- Ton mari est comme tous les hommes. Il lui faut un peu d’adrénaline, un peu d’excitation. Buvons un peu…. Maintenant, tu vas enlever ta culotte…- Tu es fou ?
- Deuxième test- Salaud ! » Je souris, mais je ne bouge pas « Je… tu… où sont les toilettes ?
- C’est bien ! Mais inutile d’y aller. Tu vas l’enlever ici.
- Pas question ! » Je reste muet et je bois une gorgée de l’apéritif. « Pas ici voyons !
- Tu progresses ! Maintenant tu cherches un prétexte pour ne pas le faire.
- Ce n’est pas ça, mais il… il y a du monde !
- Alors pour ton information, il n’y a qu’une table au fond occupée par un vieux monsieur qui actuellement nous tourne le dos et regarde à l’extérieur. Tu es de dos à la salle et il n’y a que moi qui puisse te voir et enfin, notre coin est caché depuis le bar. Donc…- Salaud ! Tu crois que je vais me dégonfler ?
- Pour ta gouverne, j’adore qu’on me traite de salaud dans ces moments-là et effectivement, je pense que tu ne vas pas oser.
- Alors regarde ! » lance-t-elle d’un air de défi. Elle soulève ses fesses, glisse ses mains sous la jupe et descend sa culotte sur ses chevilles. Au moment où elle la retire des pieds, je demande :- Donne-là moi !
- C’est ça ! Tu veux m’humilier et la montrer ensuite à mon mari.
- Alors, arrête de penser toujours que je cherche à t’humilier, car ce n’est pas le cas. Je cherche simplement à faire sauter les barrières dans ta tête. Si tu le veux, je t’emmènerai à être celle qui va reconquérir son mari.
- Je… J’ai compris.. mais c’est dur ce que tu demandes.
- C’est un petit prix pour être … heureuse… je dirais... épanouie, c’est ça ! Épanouie !
- Pourquoi veux-tu ma culotte ?
- D’abord pour que tu comprennes que à partir de là, tu m’obéiras et en plus j’adore sentir le parfum intime d’une femme- S…- Tu l’as déjà dit ! » Anne Marie, met comme elle le peut, sa culotte en boule dans sa main et me la tend discrètement par le côté de la table basse qui nous sépare. « Non ! Pose-là sur la table ! » Elle est rouge pivoine. Je sens que dans sa tête, tout se mélange. Si elle accepte, elle franchit un cap. Elle le sait. Son corps a abdiqué. Sa tête pas encore tout à fait.
Elle tourne la tête autour de nous. Voit qu’il n’y a personne et dans un dernier effort, se penche sur la table et y pose le tissu. Je ne bouge pas et le laisse un peu sans le prendre. Anne Marie est prête à le reprendre. Elle ne veut pas que quelqu’un le remarque. Je l’arrête.
- « Laisse ! … Elle n’est pas très seyante. Blanche, assez enveloppante, ça fait mémère.
- Toi évidemment !…- Pas que moi. Il faudra en trouver des plus…. coquines ! » Je me penche et je prends le tissu. Je le porte à mon nez pour en humer les senteurs. Anne Marie est congestionnée. A la limite des pleurs. « Mmhh ! Ça sent bon et c’est un peu humide ! Tu es sur la bonne voie ! Je sens que tu es en de bonnes dispositions. Veux-tu continuer ?
- Quoi ? Que ? Que veux-tu faire ? Là ? Maintenant ?
- Il faut battre le fer tant qu’il est chaud et tu m’as l’air chaude. Si on arrête là, tu vas réfléchir et ensuite trouver mille raisons pour ne pas franchir le pas. De ton accord ou ton refus, dépend la suite que tu veux donner à ta vie de femme.
- C’est difficile ce que tu me demandes ! » Anne Marie est à la limite des pleurs.
- « Sûrement, mais c’est à toi de prendre la décision. Moi je te donne la clé. A toi d’ouvrir la porte maintenant. Plus tard, ce sera peut-être trop tard. Tu auras perdu ; et ton mari et l’occasion d’aborder la vie différemment. Tes filles sont grandes. Vous êtes les deux tout seuls et dans quelques années, tu flétriras toute seule dans ton coin en te lamentant sur la cruauté des hommes. Que décides-tu ?
- Tu es un…- Salaud. Oui je sais. Dans trois minutes, j’aurai fini mon verre et je partirai retrouver ma femme. Ou alors avant, tu me donneras ton accord définitif et je l’appellerai pour lui dire de ne pas m’attendre. Pas question ensuite de revenir en arrière. Ou tu es prête à me suivre dans ce que tu appelles la débauche, ou tu t’en vas. »Un silence lourd s’installe. Négligemment je sirote mon verre tout en l’observant. Dans sa tête tout se mélange. Elle essaye de réfléchir. Son corps lui crie OUI ! Sa tête lui dit NON !
Deux minutes sont écoulées, ce qui paraît une heure. Je vide mon verre et lentement je le pose sur la table à côté de la culotte que je tenais toujours. Je fixe Anne Marie pour qu’elle comprenne qu’elle ne peut plus reculer. Je me sens machiavélique et quelque part je me venge de l’époque où elle a coupé les ponts entre son mari et ses amis. Je vais pour me lever lorsqu’elle lance :- « Oui !
- Oui quoi ?
- Je veux … te… suivre !
- Tu en es sûre ?
- Absolument !
- Pas question de revenir en arrière ensuite au premier obstacle, sinon j’arrête tout et cela sera inutile de venir me faire perdre mon temps.
- Je... Tu es dur !
- Il le faut, sinon dans dix ans tu ne sauras toujours pas ce que tu veux.
- Je suis d’accord ! Tu as gagné !
- Bien ! Prend ta culotte et suis moi ! »Je me lève sans m’occuper d’elle et elle est obligée de ramasser son sous-vêtement précipitamment pour me suivre.
Je vais à la réception de l’hôtel et je demande une chambre pour la nuit.
- « Pour deux personnes ?
- Oui. S’il vous plaît.
- Des… bagages ? Demande le réceptionniste d’un air égrillard.
- J’irai les chercher, ma voiture est au parking souterrain.
- Bien monsieur. »Je règle la chambre et j’entraîne Anne Marie par le bras vers l’ascenseur.
- « Mais.. Tu te rends compte ? » dit-elle quand nous y sommes. « Que va penser cet homme ?
- Que nous allons faire un cinq à sept. Tu sais, il s’en fout. Lui ça lui fait une nuitée. Ce qui se passe dans sa chambre après tout…- Mais il va me prendre pour…- Une pute ? Non . Tu n’en as pas le look. Il voit plutôt une femme qui vient tromper son mari, ce qui est le cas.
- Mais j’y crois pas ! Tu ne crois tout de même pas que….
- A partir du moment où tu as donné ton accord, tu as choisi de suivre mes instructions.
- Tout de même ! Je n’ai jamais…- Dis-toi qu’aujourd’hui, tu changes de vie. »Quelques minutes plus tard, nous sommes dans la chambre. L’hôtel est d’un bon standing et la chambre spacieuse. Avant de passer à la suite, j’appelle Marlène.
- « Ma chérie, ne m’attend pas ce soir… Une affaire qui risque de durer… Oui, je te dirai demain… Pas mal… Je ne sais pas.. Allez ! Je t’embrasse… Oui où tu veux ! » Je raccroche.
- « Alors comme ça tu appelles ta femme et tu crois qu’elle va te croire ?
- Oh, mais elle ne croit rien ! Elle sait que j’ai fait une rencontre. Elle m’a souhaité bonne chance et elle t’embrasse.
- Mais.. Je ne la connais pas ! Et elle sait que… ?
- Oui. Ce n’est pas de la tromperie et je lui raconterai tout demain. Nous sommes très… libres et .. libertins. Rien ne dit qu’elle n’ait pas une envie ce soir et en profite pour me faire cocu.
- C’est incroyable ! Je suis dans un monde…- Nouveau. Je t’ai dis. Tu devrais appeler ton mari, qu’il ne s’inquiète pas.
- Mais que vais-je lui dire ?
- Une femme sait inventer. Dis-lui que tu passes la soirée avec une vieille copine, que tu ne sais pas à quelle heure tu rentres..
- Tu crois que c’est facile ?
- Il faut que tu rentres dans ton rôle de femme adultère.
- Mais je ne suis pas sûre que Jean Pierre me trompe !
- Je peux t’assurer que oui.
- Quoi ? Comment ? Tu le savais ? Tu la connais ?
- Oui.
- Comment elle est ? Elle est jeune ?
- Ah tout de suite ! Oui, un peu plus jeune.
- Le salaud !
- Mais non. Tu as dis toi même qu’il ne se passait rien entre vous depuis dix ans. Il a craqué. Mais je sais qu’il t’aime. Il me l’a dit et il culpabilise. Bon Tu l’appelles ? »Anne Marie a finalement de la chance. Elle tombe sur la messagerie et n’a pas beaucoup d’explications à donner.
- « Maintenant, on coupe les téléphones ! »- Je... » Elle obéit.
Je me mets dans le fauteuil et je lui demande de se mettre debout devant moi.
- « Tu vas me faire un strip-tease ! Vas-y ! Commence par relever ta jupe.
- Mais.. je n’ai rien… dessous !
- Je sais bien. Maintenant j’ai envie de découvrir. »Anne Marie est figée au milieu de la pièce. Dans ses yeux, je vois la panique. Va-t-elle oser ? Lentement, elle saisit les bords de son vêtement et le soulève lentement. Au niveau de la fourche elle s’arrête. Je ne fais aucun mouvement. D’un coup, elle remonte la jupe à sa taille. Elle a une toison brune assez abondante, en tous cas, pas soignée.
- « Tu es poilue dis-donc !
- Je…- A l’avenir, il faudra débroussailler un peu. Tu peux en garder un peu en haut, même si la mode est à l’épilation intégrale. Allez continue. Enlève ta veste. »Elle reste avec la jupe remontée et déboutonne la veste. En dessous, un corsage blanc, pas très moderne, mais qui paraît assez rempli.
- « Continue, mais enlève ta jupe ce sera plus joli. »Anne Marie tremble. Ses cuisses pleines se granulent. Ses yeux sont humides et ses doigts ont du mal à défaire les boutons du corsage. Face à elle, j’ouvre mon pantalon, je sors ma bite déjà raide et je me caresse doucement. « Oh ! » Fait-elle en me découvrant.
Je ne sais si c’est à cause de ce qu’elle voit, mais d’un coup, elle enlève le corsage et se retrouve uniquement vêtue de son soutien gorge. Voyant l’incongruité de la chose, elle passe ses bras derrière son dos et le dégrafe.
Ça y est. Elle est nue face à moi. Elle ne sait comment se tenir et met une main devant sa chatte et l’autre bras devant ses seins. Sa poitrine s’est alourdie avec les années et sûrement les grossesses.
- « Tu es belle.
- N’exagère pas !
- Tu es mieux qu’avant en tous cas.
- Tu trouves ?
- Absolument ! Voyons. Tourne un peu, fais quelques pas. Garde tes chaussures. » Les hanches se sont élargies avec l’âge. Anne Marie a pris des rondeurs, mais des rondeurs attrayantes. Ce petit intermède de défilé, lui a semble-t-il donné un peu d’assurance. Un sourire flotte sur ses lèvres légèrement humides. Ses yeux sont devenus malicieux. Elle fixe ma queue que je branle juste au bout pour lui permettre de la voir. A mon tour, je me lève et rapidement, je me dépouille de tous mes vêtements.
- « Mmhh ! Pas mal ! » Lâche-t-elle.
- « Merci. » Je me rassoie. « Maintenant salope, viens ici à genoux et suce-moi !
- Mais…- Quoi ?
- Je n’ai jamais fait !
- Même avant de te marier ? Ça m’étonne ! Il me semble bien que Jean Pierre aimait ça !
- Salaud ! Tu as besoin de me le rappeler !
- Oublie-le et viens ! »A nouveau intimidée, elle s’approche, s’agenouille et avance une main pour saisir ma bite.
- « Elle est chaude… et lisse !
- Je n’aime pas les poils et ma chérie non plus.
- Guide-moi. » Dit-elle en me regardant. « Je..ne sais pas très bien.
- Ne t’inquiète pas ! Ce n’est pas un concours. Fais comme tu le sens et je te dirai si ça ne va pas. »Anne Marie plonge sur ma bite tendue. Elle prend juste le gland et sa langue s’active de belle manière. Je la laisse faire. Elle avale maintenant la tige. Monte et descend en creusant ses joues. Elle se débrouille plutôt pas mal !
- « Essaye de l’avaler plus loin ! » Une première tentative l’amène au bord du haut le cœur. Elle se reprend et parvient à la prendre totalement dans sa bouche, au ras des couilles. Son nez touche mon ventre. « Bravo ! Tu es douée ! Maintenant à moi ! Depuis que j’ai senti ta culotte, j’ai envie de goûter à ta moule. Viens sur le lit ! »J’enlève le dessus de lit et les draps. Je lui prends la main et l’amène à se coucher. D’elle-même, elle écarte ses jambes. Je me glisse entre-elles. Avec mes mains, j’écarte ses grandes lèvres et je hume ses senteurs « Humm ! Ça sent bon ! Tu es déjà humide ! »Ma langue cherche son clitoris qui pointe peu à peu en dehors de son capuchon. Très vite, Anne Marie pose ses mains sur ma tête pour la plaquer contre elle. Je me régale de ses sucs odorants. Je voudrais l’amener au plaisir mais elle me repousse et me dis « viens »Avec une autre, je mettrais une capote. Nous ne sommes pas de cette génération et elle n’a jamais connu que son mari, aussi je me guide en elle et je la pénètre. Son antre est brûlante et elle soupire quand je la prend. D’elle-même elle noue ses jambes autour de ma taille et je la besogne en rythme. Je m’arrête de temps en temps pour reprendre mon souffle. Je me dresse sur mes bras pour la regarder. Elle a fermé les yeux, mais quand j’arrête elle les ouvre. Elle réclame un baiser. C’est le premier que nous échangeons et elle est vorace. Complètement libérée maintenant.
Ses jambes se dénouent de mon corps et j’en profite pour me redresser à genoux. Dans ses yeux, elle semble surprise et pense que j’ai fini. Je la retourne, relève ses fesses et je la mets en levrette.
- « Mais…- Ne bouge pas. Tu vas aimer ! »Son corps ainsi exposé est superbe. Ses hanches pleines sont un régal des yeux. Sans attendre, je m’enfonce à nouveau en elle. Elle pousse un soupir de bien être. Dans cette position, je la baise longtemps, en tapant fort mon bassin contre ses fesses. Elle enfouit son visage dans les coussins et grogne sous mes coups de boutoir.
D’un coup, elle relève la tête et crie « Ouiiii ! C’est booonn ! » Elle jouit, alors j’accélère ma cadence et à mon tour je me vide en elle. Elle a chaud. Je ne suis pas mieux et on s’effondre sur la couche. Je reste un peu sur elle, puis, je me tourne sur le côté. Je l’enlace et à nouveau on s’embrasse, ses bras autour de mon cou.
- « C’était bon ! Salaud ! Tu m’as fais jouir comme un folle !
- C’était très beau !
- C’est vrai ? Oh j’ai honte !
- Honte de quoi ? D’avoir jouit ?
- De mettre laisser aller. C’est ta faute aussi ! Mais… J’ai honte d’avoir trompé Jean Pierre.
- N’ai pas honte. Si tu as jouis, c’est que j’ai bien travaillé et moi aussi j’ai pris beaucoup de plaisir. Franchement, très bon !
- Malgré toutes tes expériences ?
- Oui. Peut-être aussi parce que c’est toi et que je te découvre comme une belle cochonne !
- C’est ça que tu penses de moi ? Que je suis une cochonne qui trompe son mari ?
- Tu sauras que pour moi, cochonne est un compliment, comme salope ou pute. Quand on fait l’amour on peut tout dire ma belle salope.
- Finalement, ça me plaît ! Et c’est un peu vrai que je me sens salope et cochonne. Bon,maintenant, il faut qu’on passe à la douche !
- Tu en as assez ou quoi ? Moi j’aime que tu sentes la femelle repue.
- Salaud ! Oui je sens la… pute ! Et… j’aime ça ! Mais toi ? Tu n’en as pas assez ?
- Nous avons la chambre pour toute la nuit si on veut et on ne va pas s’arrêter en si bon chemin !
- Tu vas pouvoir ?
- Si tu me pompes un peu la bite- Oh !
- Il faut que tu apprennes à entendre ça. Si tu me suces, je pense que je vais pouvoir t’en redonner. Le seul problème…- C’est quoi ?
- Tu vas sentir ta chatte.
- Oh ! Salaud ! Tu crois que je vais me dégonfler ?
- J’espère que non ! »Anne Marie se redresse, attrape ma queue et l’avale sans hésiter.
- « C’est vrai qu’elle sent… moi ! Mais ça aussi j’aime !
- Tu es sur la bonne voie ! Tu verras quand elle sortira de ton cul !
- Tu ne vas pas me…- T’enculer ? Sûrement !
- Mais ça fait mal !
- Tu as essayé ou quoi ?
- O.. Oui ! Mais... Jean Pierre est très… gros et je n’ai pas pu.
- Ma queue est plutôt fine et je vais bien te préparer.
- C’est vrai qu’elle est bonne est belle ta…- Ma queue !
- O .. Oui, ta… queue. Salaud ! Tu m’as bien baisée !
- Et tu as aimé !
- Ouii ! Je suis folle ! Mais.. Tu bandes déjà ?
- Ta bouche est bonne. En attendant de m’occuper de ton cul, viens sur moi. C’est toi qui vas me baiser maintenant. »Je me couche sur le dos. Je tiens ma bite droite et Anne Marie viens s’asseoir dessus. Dans cette position, ses seins lourds attirent mes mains et alors qu’elle monte et descend sur moi, je les empaume en titillant les tétons érigés. Ses mains sur ma poitrine, elle renverse sa tête en arrière et cavale sur moi. J’adore cette position et ma nouvelle maîtresse a l’air d’aimer aussi. Elle prend son rythme, s’arrête parfois pour souffler. Elle transpire mais veut continuer. Elle finit tout de même par demander grâce dans un dernier soupir.
- « Pardon ! Dit-elle après s’être reprise. Tu n’as pas jouis toi.
- Parce que toi oui ?
- C’était génial ! Oui !
- Tu ne l’as pas assez montré. C’est bien que ton partenaire en soit conscient- Je… Je n’ai pas l’habitude…- Au début, exagère un peu, ensuite cela viendra tout seul. C’est très valorisant de voir et d’entendre une femme jouir.
- Tu es un sacré professeur dis-donc !
- Pour te servir !
- Je suis crevée ! Tu te rends compte que depuis dix ans et même plus, je n’ai pas pris autant de plaisir et en plus deux fois !
- Et ce n’est pas fini !
- Tu veux me tuer ?
- De plaisir ! Seulement de plaisir !
- Mais.. Il faut que je rentre et.. toi aussi.
- Nous avons le temps. Moi j’ai toute la nuit. Il faut quand même qu’on se repose. Je suis d’accord… à nos âges…- Salaud ! Tu me trouves vieille ?
- Pas du tout ! Tu sauras que ce n’est pas ce qui m’arrête.
- Quoi ? Tu te tapes des vieilles ?
- Ça m’arrive.
- Tu… tu es incroyable ! Je ne te voyais pas du tout comme ça !
- Et tu n’es pas au bout de tes surprises !
- Que veux tu dire ?
- Chaque chose en son temps. Si tu veux, on se douche et après si tu veux on parle et... on recommence !
- J’y crois pas !
- Au fait. On n’en a pas parlé, mais on ne s’est pas protégés !
- C’est important ?
- Dans certains cas oui. Personnellement je suis « clean » et je pense que toi aussi, d’après ce que tu m’as dis.
- Je n’avais… Je n’ai connu que Jean Pierre et depuis dix ans…- J’ai compris. Mais à l’avenir, si tu es avec un partenaire que tu ne connais pas, pense à te protéger.
- Parce que tu ne veux déjà plus de moi ? Tu veux me refiler à un autre ?
- A ton mari déjà. Pour le reste…- Moi je suis folle de m’être laissée embarquée par toi !
- Tu regrettes ?
- N.. Non bien sûr ! Mais tu me fais peur !
- Rassure-toi ! Je ne suis pas un monstre. Je te rappelle que ma mission est de te rapprocher de ton mari.
- Oui. D’un façon un peu bizarre en commençant par le cocufier.
- Il a commencé non ?
- D’accord !
- Bon, on va à la douche ?
- J’y vais la première ?
- Pourquoi la première ?
- Que veux-tu dire ?
- On y va tous les deux… ensemble !
- Mais…- Ne discute pas. Ça fait partie de ta… formation.
- Tu es fou, mais bon… pourquoi pas.
- Je vois que tu commences à comprendre que je vais te « brusquer » un peu, mais c’est pour ton bien.
- Alors profite… profitons- en bien tous les deux ! »La douche de l’hôtel est vaste et bien équipée. Au départ, Anne Marie est un peu coincée, mais une fois sous l’eau, elle se libère et accepte mes caresses. Mieux même, elle participe et se retrouve à genoux pour me sucer. La coquine apprend vite !
De retour dans la chambre, j’ai entrepris de la sécher avec ma langue sur tout son corps. Quand je suis arrivé aux pieds, ça la rendue folle. Personne n’avait agit comme ça avec elle, quand je suis remonté sur elle pour la pénétrer, j’ai pris ses jambes dans mes mains, et j’ai recommencé à sucer ses orteils. En quelques secondes, elle jouissait déjà. Je l’ai baisée comme ça jusqu’à qu’elle me demande d’arrêter, elle n’en pouvait plus de jouir en rafale. Et quand je dis en rafale, c’était des jets de mouille ! Cette pratique l’a rendue fontaine. Nos bas ventres étaient trempés. La cyprine coulait sur les draps.
Après un bon moment de récupération, Anne Marie ouvre enfin les yeux :- « C’est énorme ! Je n’ai jamais autant jouis ! Comment tu as su ?
- Su quoi ?
- Que… en me léchant les pieds… justement je prendrais un tel pied ! Je comprends l’expression maintenant !
- Je ne savais pas. C’est quand j’ai parcouru ton corps et que je suis arrivé à tes orteils, que j’ai senti ta réaction. Alors j’ai continué.
- Tout de même ! Lécher les pieds ! Ça ne te dégoûte pas ?
- J’ai adoré au contraire ! Surtout te voir jouir et nous arroser de ton jus !
- Oh j’ai honte !
- Tu ne dois pas ! Cela prouve que j’ai bien fais mon travail.
- Tu vois ça comme un travail toi ?
- Ma foi, fort agréable.
- Tu es dingue !
- Sûrement un peu, mais j’aime donner du plaisir.
- Mais… Tu n’as pas jouis toi !
- J’en garde un peu. Je te rappelle que je dois m’occuper de ton cul.
- Oh !
- Je te rassure. Ce n’est pas pour ça que j’ai arrêté, mais j’ai vu que tu n’en pouvais plus.
- Tu es un chou ! Bien sûr que je te donne mon cul. Tu le mérites !
- Tu n’es pas obligée tu sais ?
- Je serais odieuse de te refuser ce plaisir.
- Je compte bien que tu en ais aussi.
- Tu vas me tuer ! Comment vais-je faire ensuite ?
- Tu recommenceras.
- Justement. Comment pourrais-je arrêter tout ça ?
- Tu n’arrêteras pas. Maintenant que tu y as goûté, j’espère que tu continueras et que tu deviendras une belle salope.
- Tu me vois comme ça ?
- Je t’ai déjà dit que pour moi c’est un compliment.
- Tout de même !
- Eh oui ! Il faudra t’y faire ! Tu ne verras plus les choses de la même façon.
- Alors, fais de moi une salope. J’ai perdu trop de temps.
- Et tu en as fais perdre à ton mari- Le pauvre ! Je comprends qu’il ait été voir ailleurs.
- Tu progresses ! Maintenant, femme indigne, je vais explorer ton arrière train.
- Mon cul ! Tu peux dire mon cul.
- C’est vrai qu’il est devenu très sympathique ton cul.
- Tu ne l’aimais pas ?
- Pas vraiment. A l’époque, je te rappelle que tu n’avais pas beaucoup de formes, du moins à mon goût. Je préfère nettement ta silhouette aujourd’hui, surtout quand je te vois à poil comme ça. En parlant de cela, tu as un peu trop de poils, il faudra que je m’en occupe.
- Salaud ! Mais si tu veux, je suis d’accord.
- Bien. Maintenant, à genoux salope, je vais m’occuper de tes fesses, même si elles sont poilues ! »
Anne Marie se positionne sur le lit, les fesses hautes, en attente de la suite. Moi qui la croyais coincée, je la découvre très délurée, ce qui me la rend encore plus… sympathique !
J’écarte ses fesses à deux mains. Son œillet est poilu et tout le jus qu’elle a lâché avant, embaume mes narines. Je lèche le pourtour, malgré sa réticence. Très vite, elle apprécie la caresse. Ma « feuille de rose » dure longtemps avant que je n’enfile un doigt dans le trou. Je lâche de la salive pour faciliter l’introduction. Ses muscles se détendent petit à petit. Bientôt un deuxième doigt rejoint le premier.
- « Ça va ?
- O… Oui ! J’aime !
- Salope ! »Je reprend mon ouvrage. J’enfonce un troisième doigt et je lime bien l’orifice. Anne Marie est bien détendue. Pour qu’elle prenne conscience de la chose, je dis :- Maintenant, je vais t’enculer. Tu es prête !
- Oh oui ! Prends mon cul ! Il est à toi ! »Une dernière rasade de salive y compris sur ma bite. Je me branle un peu pour bien durcir et je guide ma verge sur son trou. Je pousse, aidé de la main et sans vraiment forcer, je franchis le barrage des sphincters. Le gland est passé. Je m’arrête un peu et je reprend ma poussée. Par petits coups, je m’enfonce dans ses lombes. Anne Marie soupire d’aise et m’absorbe jusqu’au bout sans souffrir.
- « Ça y est ! Je suis à fond !
- J’aime ! Vas-y ! baise-moi ! Encule-moi. Vas-y à fond, je te sens bien ! »Agrippé à ses hanches, je la besogne en cadence, n’hésitant pas à sortir, pour mieux replonger en elle. « Branle-toi le bouton ! Je veux que tu jouisses aussi par là ! »D’une main glissée entre ses jambes, elle parvient à se caresser malgré les secousses. Je sens dans mes reins, monter ma jouissance. Anne Marie soupire de plus en plus. Son cul me serre bien. J’accélère mes mouvements et je jute dans son ventre au moment où ses muscles m’enserrent plus fort. La sensation est énorme ! Je me vide en plusieurs jets dans son antre brûlante. J’ai beaucoup donné ce soir, aussi je m’effondre sur elle. Son corps est chaud et luisant de sueur. Je ne suis pas mieux et une seconde douche ne sera pas de trop. Pour le moment, je profite de ce cul offert. Je reprends un peu des mouvements pour achever et laisser redescendre notre plaisir.
Anne Marie s’endort et moi aussi, vautré sur elle qui n’a pas l’air incommodée par mon poids.
Il est six heures du matin quand je me réveille. Anne Marie dort toujours. Je n’en reviens pas d’avoir baisé cette femme, qui autrefois ne me plaisait pas et que je trouvais hautaine. Elle a bien changé. Il a fallu pour cela, qu’elle comprenne que son mari la trompait et encore, elle ne sait pas tout !
Elle finit par se réveiller à son tour. Elle met un peu de temps pour retrouver ses esprits et se rendre compte de l’endroit où elle se trouve et avec qui.
- « Mon dieu ! C’est terrible ! Il y a longtemps que je suis comme ça ?
- Je ne sais pas, Je me suis réveillé il y a peu.
- J’ai honte !
- De quoi ?
- D’être comme ça. .. D’avoir trompé Jean Pierre aussi.
- Après tout, il a commencé le premier.
- C’est vrai mais…- Tu n’as pas à avoir honte. Tu as pris du plaisir et moi aussi. C’était un beau moment.
- Tout de même… Comme ça, la première fois… Tu m’as fais la totale !
- Tu te plains ?
- Oh non, mais… comment on va faire ?
- On verra bien.
- Tu… Tu voudras recommencer… avec moi ?
- Tu n’en as pas assez ? J’ai beaucoup donné…- Idiot ! Pas maintenant… quoi que… Non, après… Une autre fois…- Pas qu’une autre. Maintenant que j’ai découvert que tu es une bonne cochonne, je compte bien en profiter encore !
- Et… ta femme ?
- Je t’ai dis que nous étions libertins.
- Mais.. tu vas lui dire ?
- Bien sûr !
- Et… qui je suis ?
- Oui, Elle ne te connais pas encore, mais je lui dirais que tu es la femme de mon copain.
- Et… cela ne la dérange pas ?
- Elle est jalouse de mes conquêtes, comme je le suis des siennes, mais c’est aussi pour ça que je l’aime.
- Tu es un grand malade toi !
- Ça te dérange ?
- N… non. Enfin, ça me fais drôle. Je ne te voyais pas comme ça. Et puis… tu m’as donné tant de plaisir… J’espère qu’on… recommencera.
- On va avoir besoin d’une autre douche avant de partir.
- Tu veux partir tout de suite ?
- Pas forcément. Et toi ?
- C’est que… Jean Pierre part au travail vers sept heures et demi…- Et tu n’as pas envie de le croiser avant.
- C’est… c’est ça ! Je me fais honte, mais j’assume pas…- Cela viendra. Puisque nous avons le temps, profitons de ce moment. Viens m’embrasser ! »Les caresses et les baisers vont faire remonter notre désir et Anne Marie va me demander de la prendre encore une fois. Tendrement, couchés sur le côté en nous regardant dans le miroir, nous allons faire l’amour. A sept heures, je commande le petit déjeuner que nous apporte une femme de chambre. Anne Marie est gênée quand la femme pose le plateau près du lit.
- « Que va-t-elle penser ?
- Que nous avons baisé toute la nuit, vu nos têtes, ce qui est presque vrai. Que nous sommes un couple illégitime, ce qui est vrai. Elle est habituée et s’en fout sûrement. »Nous dévorons croissants et pain frais, puis passage coquin sous la douche où Anne Marie commence à aimer de la prendre à deux. Il est plus de huit heures quand nous quittons notre chambre et sortons. Un dernier baiser discret malgré tout et nous nous séparons, non sans avoir échangé nos numéros de téléphone.
Je n’ai que quelques dizaines de mètres à faire pour rejoindre la maison où je retrouve Marlène, ou plutôt Michel, qui s’apprête à partir au bureau.
- « Alors la nuit a été bonne mon chéri ?
- Agitée.
- Tu me raconteras ? Je dois partir au travail.
- Pas de problème ! Je crois que tu vas aimer. A ce soir ! »On s’embrasse et Marlène, ou plutôt Michel quitte la maison. J’ai un peu de temps pour me changer et partir chez mon client. La journée est difficile. Heureusement les cafés et le Coca de midi me permettent de tenir le coup. Vers quinze heures, je reçois un message d’Anne Marie « Merci pour cette nuit… surprenante. Je t’embrasse et j’espère te revoir très vite. » Je lui répond « Petite salope ! Tu n’en as pas eu assez ? » un peu plus tard, nouveau message « Oh non ! Je suis folle ! »Le soir, je raconte ma journée et ma nuit précédentes. Ma chérie est toute émoustillée. Avant mon arrivée, elle s’était mise en tenue. Nuisette et bas autofixants, elle avait même négligé de mettre une culotte.
- « Tu te rends compte que tu as baisé la femme de mon amant ?
- Qui est aussi le mien maintenant. Franchement, je ne l’aurais jamais cru.
- Que vas-tu faire maintenant ?
- Pour l’instant, rien, si ce n’est la revoir un peu et préparer la suite.
- La suite ? A ce propos, Bernard…- Jean Pierre.
- Oui.. il faut que je m’y fasse. Pour moi c’est encore Bernard… Depuis tout ce temps… Jean Pierre donc, voudrais nous voir d’ici quelques jours.
- Simplement nous voir ?
- Idiot ! Tu m’as compris.
- Je te fais marcher. Demande-lui s’il préfère deux femmes ou un couple.
- Je crois que depuis qu’il t’a découvert, il aime que tu sois en homme. Tu vas finir par me le piquer.
- Ne t’inquiète pas. J’ai de quoi faire avec sa femme. Je pense que je vais en faire une bonne pute.
- Tu es affreux !
- C’est pour ça que tu m’aimes.
- Oui mon cochon !
- Finalement, ne lui demande rien, j’irai travesti. J’aime bien quand il me traite comme une femme et puis, je peux toujours me changer en cours de soirée.
- En attendant, viens t’occuper de ta petite femme mon salaud. Tu m’as abandonnée hier soir et ma chatte me démange.
- La mienne aussi mon cœur, elle n’a pas servi hier. Tu veux ton homme ou ta femme ?
- Je m’en fous ! »Alors, comme j’aime, à genoux entre ses jambes, je débusque son clitoris pour une longue fellation. Le bouton de ma chérie gonfle vite et bientôt sa bite remplit ma bouche. Je la cajole de ma langue. Je l’enfonce dans ma gorge en roulant ses boules et en cherchant sa chatte anale comme elle aime l’appeler. Excitée par mon récit, Marlène s’abandonne et me laisse faire un moment. Malgré tout, elle en veut plus et me réclame une pénétration.
Rapidement, alors qu’elle s’installe couchée sur la table, je me déshabille. Malgré mes prestations de la veille, je bande fort. Il faut dire que Marlène m’excite toujours beaucoup. Elle relève ses jambes et s’offre impudiquement. Elle n’a gardé que ses bas et ses sandales à talon. Je pointe mon dard sur sa corolle et d’un coup, je m’enfonce en elle. Ma bite glisse dans son cul sans la moindre résistance.
- « Salope ! Tu t’es préparée !
- Même pas mon cochon ! Ton histoire m’a excitée comme une folle et je mouille du cul comme une femme de sa chatte. »Cette nuit, quand j’ai baisé Anne Marie en lui suçant les pieds, celle-ci a pris un pied énorme. Aussi, j’enlève une sandale et je prends un pied de Marlène dans ma bouche. Le contact avec les bas est agréable, mais je veux sentir ses orteils directement. Je m’arrête un moment pour lui enlever ses derniers vêtements. Marlène est surprise, car d’habitude, j’aime qu’elle les garde.
Aussitôt fait, je reprend un pied en bouche et je lèche ses orteils. Un à un d’abord, puis plusieurs à la fois.
- « Oh salaud ! C’est bon, ce que tu me fais ! Lèche-moi bien les pieds mon cochon ! Tu es un gros cochon. Tu as toujours des idées un peu folles ! Pour un homme, Marlène à des petits pieds assez fin. Sans être aussi sensible qu’Anne Marie, elle apprécie ma nouvelle caresse. Je sens qu’il lui en faudrait peu pour se laisser aller, aussi, j’arrête souvent mes pénétrations, car si je veux jouir, je veux que ma chérie en garde pour me prendre à son tour.
Finalement, ni l’un ni l’autre n’éjacule, mais le plaisir ressenti est très fort. Rester à la limite est atrocement bon. Nous changeons de place et c’est à mon tour de me retrouver sur la table et de prendre la queue de ma chérie dans le cul.
Marlène ne s’embarrasse pas de fioritures. Elle m’encule puissamment. A la recherche de son plaisir, elle ne m’oublie pas et branle ma queue en cadence. La jouissance monte en moi et sous le double effet de la main et de sa queue, je gicle sur mon torse et mon visage en grognant d’une voix de fausset, comme chaque fois que je me fais enculer.
Marlène me donne à lécher ses doigts couverts de mon sperme et me bourre le cul à grand coups de bite. Elle me remplit de foutre chaud.
- « Alors mon petit pédé ! Tu l’aimes la queue de ta femme ?
- Oh oui ma chérie ! C’est bon !
- Mieux qu’avec ta pute ?
- Différemment. Mais tu sais que j’aime ta bite qui me remplit bien le cul.
- Tu es une salope ma chérie.
- Oui ! Je suis ta salope. Ta pute personnelle. J’aime que tu me baises comme une salope !
- Alors mon cochon, va t’habiller en pute. On va aller se faire tringler au sauna, comme deux putes en chaleur ! Et cette fois-ci, on reste en haut ! »Une demi heure plus tard, ce sont deux travestis qui font leur entrée au sauna. C’est Alain, le propriétaire qui nous reçoit.
- « Nous restons en haut ! » Lui indique Marlène.
- Aucun problème mes chéries, pour vous c’est toujours gratuit. Vous avez de la chance ce soir, il y a de beaux mecs ! En attendant, je suis bloqué ici, alors Jessica, avant de retrouver ta copine là bas, tu vas venir me pomper ici derrière le comptoir !
- A ton service mon chou ! »Marlène entre dans la salle « sèche » et je passe dans la pièce d’accueil. Comme il fait toujours chaud dans l’établissement, Alain ne porte qu’un marcel et un short. Aussitôt, je m’agenouille, je baisse le vêtement et je retrouve une belle protubérance que je m’empresse d’avaler. Le propriétaire s’installe sur le tabouret haut et se laisse faire en posant une main sur ma tête. Sa bite est longue et fine et pour l’avoir reçue dans mon cul, très agréable.
Alors que je m’escrime sur son vit qu’il parvient à enfoncer au fond de ma gorge, deux clients entrent. Alain me maintient la tête sur sa queue tout en servant les deux hommes. Ceux-ci sont très intéressés par le spectacle offert. Une fois servis, Alain leur indique :- « Vous pourrez retrouver cette pute dans quelques minutes dans la partie sèche. Il y a sa copine aussi. Vous pourrez profiter de ces deux putes, mais il risque d’y avoir du monde quand ceux qui sont en bas sauront qu’elles sont là. Bonne soirée messieurs ! »Les deux gars entrent à leur tour. Je n’ai pas arrêté de pomper Alain. Il peut se concentrer maintenant sur son plaisir et ne tarde pas à décharger dans ma bouche. Avant d’avaler son foutre, j’ouvre ma bouche pour lui montrer.
- « Merci ! Tu es une bonne pute ! Tu peux aller t’amuser maintenant ! » Il m’embrasse et je rentre à mon tour dans l’établissement.
Marlène n’a pas perdu de temps et dans le couloir elle en penchée sur une bite qu’elle a en bouche alors que derrière elle, un homme la sodomise.
Pendant deux heures, nous allons «recevoir les hommages » de plusieurs hommes qui vont se succéder dans nos bouches ou nos fesses. Dans la pièce, sur le sling, alternativement, l’une sera sur le siège suspendu, les jambes en l’air, pendant que l’autre, à genoux « prépare » et fait attendre le suivant. Les seuls moments de répit venant des changements de préservatif.
Notre rendez-vous avec Jean Pierre a été repoussé. Ou plutôt, Marlène y a été seule. Elle a expliqué à son amant que j’étais retenu par une réunion de dernière minute. En fait, j’avais reçu un message d’Anne Marie dans l’après-midi me disant :- Mon mari n’est pas là ce soir. Il doit être pour voir sa pute. On peut se voir ? » L’idée m’a bien plu Il y aurais un double voire un quadruple adultère, puisque le mari de l’une baiserai avec la femme de l’autre. Bref, un épisode jouissif pour ceux le sachant.
Je retrouve Anne Marie au « Conti » où la même chambre nous est dévolue. Ce doit être celle réservée au « cinq à sept ». Anne Marie a fait des efforts de présentation. Tout d’abord, elle a acheté des bas autofixants et un ensemble soutien gorge et tanga mauve du plus bel effet. Je découvrirai ensuite qu’elle a fait un passage chez l’esthéticienne pour le maillot « plus » qui consiste à laisser une touffe de poils sur le pubis et qui dégage le tour de la vulve.
- « J’ai honte de ce qu’elle a dû penser de moi ! Tu te rends compte ? Je vais chez elle depuis presque vingt ans et c’est la première fois que je lui demande ça. Qu’est-ce qu’elle a dû penser de moi !
- Que tu allais rejoindre un amant et que tu voulais lui plaire- Oh !
- Ce n’est pas vrai ?
- Si, mais… Je n’oserai plus y aller !
- Au contraire ! La prochaine fois tu lui diras que ton amant veut que tu enlèves tous les poils.
- Je n’oserai jamais voyons !
- Alors, on arrêtera de se voir… du moins pour baiser.
- Tu veux… ?
- Que tu deviennes une pute ? Oui !
- Je… bon, si tu le veux…- Je vois que tu es en de bonnes dispositions, on fera quelque chose de toi. Tu aimes bien finalement que je te « bouscule » un peu.
- Je… Oui. Tu me rends folle ! Je n’ai jamais connu ça !
- Et c’est dommage !
- Mais je ne suis pas une… pute !
- Pour faire le trottoir, non, mais au fond de toi, tu en as l’esprit. Regarde ! Tu acceptes vite mes demandes. Tu ne cherches plus à les discuter.
- Je ne me reconnais pas ! Ce n’est pas convenable non ?
- Est-ce qu’être un bigote coincée du cul c’est convenable ?
- C’est comme ça que tu me vois ?
- Un peu moins maintenant, mais oui.
- Je...je comprends. Je vais faire des efforts, mais sois patient.
- Sûrement pas ! Si je t’écoute, dans dix ans on y sera encore.
- Dans dix ans ?
- Oui. Façon de parler. Plus vite tu progresseras dans ton nouveau statut de salope, plus vite tu aimeras ! »Notre rencontre est courte - je sais par Marlène que Jean Pierre part toujours vers minuit – courte mais intense. Avant de partir, j’oblige Anne Marie à pisser devant moi sous la douche. Malgré sa honte, elle y parvient et quand à genoux je nettoie les dernières gouttes avec ma langue, elle a un spasme comme passage obligé maintenant, je lui suce les orteils. Elle est particulièrement sensible quand je passe ma langue entre deux. Elle a d’ailleurs soigné la aussi ses pieds et a verni ses ongles.
Quelques semaines plus tard, après quelques rencontres avec sa femme, on se retrouve entre hommes avec Jean Pierre. Quand nous sommes tous les deux, il préfère que je ne sois pas travesti. Alors que nous reposons après un long soixante neuf jouissif, il se confie :- « Je crois qu’Anne Marie a un amant.
- Ah bon ? Qu’est-ce qui te le fait dire ?
- Elle a changé. Par vraiment de look, mais dans son attitude, elle est moins revêche, plus cordiale avec moi et avec les autres.
- Et alors ?
- Je ne peux pas lui en vouloir… après tout, c’est moi qui ai commencé.
- Et maintenant toi aussi tu as un amant !
- Oh !
- Et deux maîtresses...un peu spéciales.
- Je…- Et toi aussi tu as changé… depuis que toi et moi…- Tu trouves ?
- Absolument ! Tu penses que ta femme s’en est rendu compte ?
- Je ne crois pas… Je suis prudent.
- Elle aussi sûrement, mais comme tu dis, il y a des attitudes qui peuvent te trahir.
- Tu crois qu’elle s’en est rendu compte ?
- Je ne sais pas.
- Je vais faire attention.
- A voir ta bite raide, j’ai l’impression que ça t’excite de te savoir cocu !
- Salaud ! Dis que tu en as envie toi aussi !
- Oui. Viens me baiser avant de partir.
- A condition que tu me la mettes aussi.
- Tu y as pris goût mon salaud.
- Oui ! Si j’avais su, j’aurais essayé avant.
- C’est ce qu’on dit tous. »L’un après l’autre, on va se sodomiser, chacun se vidant dans le cul de l’autre.
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