Marlène, rencontre avec un travesti 7 Lingerie fine

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Marlène, rencontre avec un travesti 7 Lingerie fine Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2022 dans la catégorie Plus on est
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Marlène, rencontre avec un travesti 7 Lingerie fine
La commerçante qui nous reçoit est d’abord étonnée de voir cette femme quasiment nue se présenter devant elle. Le peignoir laisse deviner qu’elle ne porte rien en dessous. La femme doit avoir une soixantaine d’année. Vêtue d’une façon très chic, toute en noir. Elle présente bien, avec beaucoup de classe.
- « Messieurs dame bonjour. Que puis-je pour vous ?
- Cette femme a besoin de dessous seyants. Vous voyez, qu’elle n’a rien et je voudrais vos conseils pour la mettre en valeur. »Aussitôt, je défais les liens qui retiennent le peignoir en papier derrière le cou et la taille. Anne Marie se retrouve à nouveau nue devant une inconnue. La femme prend le temps de détailler sa silhouette d’un œil intéressé.
- « Vous désirez quel genre ? Je pense qu’une paire de bas et une guêpière qui laisse les seins libres seraient du plus bel effet. Madame a de belles formes et elles devraient être mises en valeur.
- Je vous fais confiance.
- Madame, vous désirez quelle couleur ?
- Elle n’a rien à dire.
- Ah ! … d’accord ! Je crois que le noir irait bien. Venez avec moi. Nous serons mieux par ici. »La dame nous dirige vers un coin de la boutique non sans avoir verrouillé la porte d’entrée et tourné le panonceau sur « fermé » - « Inutile de passer dans la cabine d’essayage, si j’ai bien compris ?
- Inutile en effet. »Elle décroche une guêpière mauve bordée de noir, équipée de porte-jarretelles.
- « Elle serre un peu, mais vous fait une très belle silhouette.
- Effectivement !
- Je vais chercher des bas. Asseyez-vous, je vais vous les passer. » A genoux devant Anne Marie, la dame lui retire les chaussures. « Vous avez de très jolis pieds !
- Et très sensibles !
- Ah… bon ! »Elle les enfile délicatement et les attache aux jarretelles, sans manquer de caresser un peu la peau des cuisses qui se granule. Décidément, toutes les femmes du quartier ont des tendances homosexuelles, ou je me trompe ? La caresse est discrète malgré tout. La femme en profite pour lisser les bas sur toute la longueur de la jambe, depuis les pieds, ce qui ne manque pas de faire frissonner Anne Marie, toujours silencieuse.
Elle la rechausse et la fait lever.
- Elle est superbe ! » La femme ne s’adresse même plus à sa cliente. Elle a bien compris qu’elle était soumise à moi. « C’est dommage de cacher de ses jolis orteils! Je vous conseille de lui offrir des escarpins qui les laissent voir.
- Vous avez raison ! Il ne faudrait pas que le bustier relève un peu plus les seins ?
- C’est vrai. Voyez, il y a un lacet derrière, qui permet de faire ressortir la poitrine Monsieur a bon goût ! Je vais vous chercher une culotte pour aller avec.
- Inutile ! Madame ne dois pas en porter en ma présence.
- Je… comprends !
- Je ne vous choque pas ?
- Pas du tout… Je vous comprends… moi-même…- Vous n’en portez pas ?
- Si, si… parfois.. mais…- Dites moi. Nous sommes entre nous !
- C’est que… Je suis… aussi… comme Madame… soumise… Pardon !
- Il n’y a pas de mal. Votre… mari ? Si ce n’est pas indiscret.
- Malheureusement, oui !
- Malheureusement ?
- Il est… décédé l’an dernier et…- Vous êtes en manque !
- C’est.. cela, oui.
- Ma pauvre.
- Oui. Surtout qu’à mon âge…- Mais vous êtes encore jeune et vous pourriez…- J’ai… soixante dix ans !
- C’est pas vrai ! Je vous en donne bien dix de moins !
- Merci vous êtes gentil.
- Je suis sincère ! Regarde soumise. Cette femme a vingt ans de plus que toi et son statut de soumise l’a fort bien conservée !
- Je… enfin… Je vous ai menti. J’en ai soixante treize !
- Magnifique ! Franchement, j’espère que vous trouverez un heureux homme pour vous accompagner !
- Vous pensez ?
- J’en suis sûr ! Je ne suis qu’un débutant en matière de domination. C’est d’ailleurs notre première sortie en tant que tels. Nous sommes tous les deux en… apprentissage, mais en tant que femme… si…- Vous ne voudriez pas vous occuper de moi ?
- Ouh là ! Je crains que vous ne soyez beaucoup plus au fait que moi en la matière !
- Vous savez, dans ce genre de relation, ce n’est pas toujours le maître qui mène la danse. Souvent, la soumise est demandeuse. Au début, avec mon mari, nous nous sommes connus quand je n’avais pas vingt ans et c’est moi qui l’ai amené à me soumettre. Pour notre bonheur, cela a duré plus de cinquante ans ! C’est moi qui lui ai demandé de me tatouer à son nom. C’est moi qui lui ai demandé de me percer les seins et d’y fixer des anneaux, comme pour mes lèvres intimes. Vous voulez voir ?
-Je... »Prestement, la femme enlève son corsage sous lequel elle est nue. Ses seins magnifiques et qui tiennent encore bien, portent effectivement des anneaux. « Il m’y attachait une chaîne ou des poids. Il me les fouettait, C’est sûrement pour ça qu’ils sont encore fermes. » Elle dégrafe sa jupe en cuir. Là aussi, elle est nue. Elle porte des bas auto-fixants et des anneaux pendent à ses lèvres intimes. Sur le bas ventre un tatouage. Deux initiales entrelacées. Elle se tourne et sur une fesse, un autre, avec une date. « C’est après m’avoir sodomisée la première fois. Le premier juillet 1952 ! Laissez-moi faire !»Elle s’agenouille devant moi, ouvre mon pantalon et sort ma bite déjà tendue. « Il me semblait bien que vous bandiez coquin ! » Elle l’avale et me prodigue une fellation d’anthologie, sous les yeux ébahis d’Anne Marie. Quand elle a obtenu une bonne érection, elle se relève, se penche sur le comptoir et demande « Prenez-moi comme une chienne ! Je suis trempée ! Prenez-moi par le cul ! »Comment refuser une telle offrande ? Je me guide sur son œillet et sans effort, je l’encule. A nos côtés, Anne Marie se branle sans vergogne. Il faut peu de temps à la femelle en manque, pour feuler et demander «Encore ! Plus fort ! » Je ne la ménage pas et nous atteignons l’orgasme quasi en même temps.
Une fois le calme revenu, la femme reste nue. Elle se met même en position jambes écartées, mains derrière la tête. Splendide femelle malgré son âge.
- Je suis prête à vous servir. A vous enseigner l’art de la soumission et en faire profiter votre femme.
- Ce n’est pas ma femme.
- Peu importe ! Sans vous envahir, j’aimerais… A moins que cela ne vous dérange ? Je suis folle ! Pardonnez-moi ! Mais depuis la mort de mon époux…- Je vous comprends ! Je ne sais si je pourrais…- D’accord ! Oubliez tout ça !
- Pas question !
- Mais alors ?
- J’ai une vie un peu… spéciale.
- Vous êtes sûrement un libertin ?
- Aussi.
- Je ne vous demande rien d’autre. Occupez-vous de moi de temps en temps. Si vous voulez me donner à d’autres… aucun problème. Moi je vous guiderai dans le monde SM et tant que vous voudrez de moi, je serai à vous. Vous pourrez même me tatouer à votre nom, à côté de celui de mon mari. J’en ai besoin.
- Je suis marié.
- Et votre femme ne sais rien ?
- Ce n’est pas ça. J’ai une question.
- Dites-moi.
- Vous arrive-t-il, ou vous est-il arrivé de dominer à votre tour ?
- O… Oui, parfois.
- Des hommes ?
- Oui..
- Des femmes ?
- Aussi. Pourquoi ? Vous voudriez que je m’occupe de votre… femelle ?
- O… Oui ! Mais pas que…- De votre femme ?
- Ma femme…. Et moi...
- Voyez-vous ce petit cachottier ! Ce sera avec grand plaisir !
- C’est que..
- Quoi encore ?
- Je me travesti… et mon mari… aussi.
- Ah ! Oui ! Quand même ! Et… c’est tout ?
- Tant que nous y sommes… Le mari de ma soumise est aussi mon amant… et celui de ma… femme !
- Eh bien ! Je crois que j’ai tiré le bon numéro ! Bon, d’accord. A une condition.
- Laquelle ?
- Je ne fais pas grand-chose aujourd’hui et votre rencontre inespérée m’a mise dans un état… je ne vous dis pas. Vous me laissez votre… femelle toute la journée et vous venez la chercher ce soir. Je vais m’en occuper et commencer sa formation .
- Allez-y doucement, elle vient de devenir adultère, de se découvrir salope et maintenant soumise. Elle a eu aujourd’hui son premier rapport avec une femme, même si c’était de façon passive, alors vous comprenez que…- Aucun problème ! Ce soir, elle aura déjà beaucoup progressé.
- Si je comprends bien, vous aimez aussi les femmes ?
- Beaucoup… Grâce là aussi à mon mari.
- Alors je vous conseille de fréquenter l’institut de beauté en face de votre magasin.
- Non ? Mais… vous êtes… une perle vous ! Vous pensez que…- Quand elles vous auront vue.
- Malgré mon âge ?
- Ne pensez plus à votre âge !
- Et le fait que je sois voisine et… commerçante comme elles ?
- Surtout !
- Allez-vous en ! A ce soir ! J’ai besoin qu’on me lèche ! Je suis trempée.
- Votre… soumise du jour, mouille aussi beaucoup ! C’est une fontaine, surtout si vous vous occupez de ses pieds !
- Salaud ! Partez maintenant ! »J’abandonne Anne-Marie entre les mains de la veuve en chaleur et je retourne à la maison.
Après cette journée mémorable, un groupe d’amis un peu « spécial » va se constituer Marlène et moi, Jean Pierre et Anne Marie, Mireille et Nicole et enfin Huguette. La riche demeure qu’elle possède sur les coteaux chics de la ville, va devenir notre « manoir aux orgies ». Nous allons y installer un « donjon » bien équipé, pour nos rencontres.
Jean Pierre, Anne Marie et Nicole resteront toujours des soumis, quand aux autres, nous serons tour à tour soumis ou dominateurs, selon les moments et les envies. Nous irons même tous ensemble, retrouver nos amis toulousains.
Avec Marlène, nous sommes retournés tous les quatre sur la plage où, jeunes gens avec Jean Pierre, nous draguions les femmes esseulées. Les mœurs ont bien changé et beaucoup de choses se passent dans les dunes à l’arrière. Il nous est arrivé d’y aller tous les quatre habillés « en femme » Jean Pierre et moi portions une perruque. Le déshabillage a d’abord provoqué des hauts cris autour de nous. Nous avions malgré tout choisi de nous isoler loin de familles avec enfants.
Notre passage dans les dunes a été fabuleux. Tous les quatre avons servis de « vide-couilles » à des voyeurs excités, pendant plus de deux heures. Malgré le plaisir ressenti et l’adrénaline, nous n’avons pas recommencé l’expérience qui est trop risquée.

Le reste du temps, nous sommes des personnes « normales ». Marlène qui a pris sa retraite de fonctionnaire, ne s’habille plus qu’en femme, à la maison, comme à l’extérieur.
Mireille a divorcé et s’est remariée avec Nicole. Leur institut fonctionne à plein. Elles ont même embauché du personnel. Il faut dire que les clientes bénéficient d’un traitement spécial et viennent s’y « encanailler » discrètement.
Huguette a vendu son fond de commerce. Elle se partage entre notre maison et celle de Jean Pierre et Anne Marie, où elle est la « bonne à tout faire » Habillée en soubrette, elle est notre domestique. Fréquemment fessée, elle doit porter en permanence un plug entre les fesses. Quand nous faisons l’amour, elle doit nous regarder, rester nue, debout, en position d’inspection. Elle n’a pas le droit de se soulager, pourtant on peut voir sa cyprine abondante couler le long de ses cuisses et ses bas. Ses affres sont terribles ! Elle doit parfois attendre plusieurs heures avant de se donner du plaisir. Quand nous en manifestons l’envie, souvent après avoir pris notre femme, elle doit venir sucer la queue qui sort d’un cul. La nettoyer, la revigorer. Parfois, pour la récompenser, nous la prenons tous les deux en même temps.
Malheur à nous, quand elle nous invite chez elle et qu’à notre tour nous devenons ses soumis ! Huguette a beaucoup d’expérience et d’imagination !
Jean Pierre et Anne Marie vivent une deuxième lune de miel. Certains de leur amis de la paroisse sont étonnés de le retrouver aussi complices. Anne Marie a changé. Même si pour fréquenter l’église elle porte toujours des tenues austères, elle est nue en dessous, nue avec des sous-vêtements coquins.
C’est fou le nombre de femmes qui apprécient les rapports lesbiens ! Le salon d’esthétique de Mireille et Nicole en est la preuve. Les seuls hommes le fréquentant sont Jean Pierre, Marlène et moi et encore, nous deux y allons parfois « en femme » !
Fin

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Histoire sexe : Une rose rouge
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