Martine : des débuts prometteurs
Récit érotique écrit par Maitre A [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Martine : des débuts prometteurs
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le dimanche fut très calme. Patrick n’avait pas prévu d’étalon et se contenta de lui faire porter un plug d’une taille supérieure à celle des jours précédents. Elle le garda 6 heures avant qu’il ne l’encule, grâce à un regain d’énergie…
Le lundi soir, un homme d’environ 60 ans vint la baiser et l’enculer. Il resta plus de trois heures, Patrick filma et remit le DVD à l’homme qui voulait le montrer à sa maîtresse. Martine jouit copieusement, même si l’homme n’était pas très fortement membré.
Le mardi, vers 19h, un couple, dans la cinquantaine, était invité. L’homme était un soumis que sa femme humilia longuement avant de demander à Martine de le sodomiser avec un gros god ceinture. Elle fut invitée à faire subir le même sort à la femme, qui lui rendit la pareille. Ce fut très agréable et une expérience qu’elle apprécia.
Le mercredi, un antillais très fortement membré vint la baiser. Il ne fut pas autorisé à lui prendre le cul, mais Patrick enfila un god dans le fion de sa femme, pendant que le mec lui défonçait la chatte. Elle hurla de douleur et de plaisir et eut 4 orgasmes en à peine deux heures…
Le jeudi, ce fut son premier amant, l’homme qui avait longtemps été le seul à avoir pénétré son cul, qui vint. Cette fois, il lui fit la totale et lui donna beaucoup de plaisir. Il resta la nuit et ils ne dormirent pratiquement pas !
Le vendredi, dans l’après midi, elle fut sodomisée par Patrick et elle n’en tira guère de plaisir. Il se vida assez vite, la laissant sur sa faim. Il lui dit que c’était fait exprès, car elle devait comprendre que certains mecs ne lui donneraient pas l’occasion de jouir. Elle quitta le domicile à 18h15, montant dans la voiture que son patron avait envoyée pour l’amener dans sa propriété.
L’endroit était exceptionnel. Une demeure bourgeoise du milieu du dix neuvième siècle, dans un immense parc boisé. Elle fut reçue par la maîtresse de maison. Dans la quarantaine, grande femme blonde, à belle poitrine, vêtue d’une robe courte et moulante, qui dessinait son corps aux formes marquées. De toute évidence, elle était nue sous sa robe.
« Bonjour Martine. Je suis Laure. Michel, mon mari n’arrivera pas avant demain matin. Je vais me consacrer à vous. Je vais vous expliquer ce qu’on va vous demander et vous donnez les règles que vous devrez respecter. Veuillez vous mettre nue. »
Cela commençait bien. Mais, Martine n’avait pas de raison de ne pas obéir. Une fois à poil, elle resta immobile, alors que Laure faisait le tour de son corps, touchant les seins, les fesses et la chatte.
« Très bien. Donc, vous ne porterez jamais de sous vêtements, pas plus que je n’en porte. Je vais vous donnez votre tenue de service. Il arrivera souvent qu’on vous demande d’évoluer totalement nue. Vous êtes ici en tant que bonne, mais, en plus, vous serez livrée aux clients et amis de mon mari. Des hommes et des femmes qui useront de vous comme ils le souhaitent, dans la limite du respect qui vous ait du. Il peut arriver que certains vous donnent la fessée ou des cops de fouet ou de cravache. Mais jamais plus que de raison. Parfois vous serez attachée et prise à la chaîne. Nous vous garantissons que tous ces gens sont de parfaits gentlemen et qu’il n’y aura pas d’abus. Des doubles vaginales, voir annales, seront possibles. Chaque pratique non conventionnelle sera rémunérée avec plus de largesses. Vingt euro de l’heure pour le service. Cinquante pour être baisée. Soixante quinze si vous êtes sodomisée. Ces sommes sont doublées si vous avez deux partenaires en même temps. Les actes SM sont à cent euro l’heure. Je pense que ces tarifs sont corrects. Cela vous convient ? »
Martine se rendait compte qu’elle allait devoir beaucoup donner de sa personne. Mais le salaire était stimulant…
« Tout à fait, Madame. Devrais-je vous contenter vous et votre mari ? »
« Cela sera assez rare en ce qui concerne mon mari. Pour moi, lorsque, comme aujourd’hui, nous n’avons pas d’invités, vous serez régulièrement ma partenaire. Lors de ces ébats, vous recevrez cinquante euro de l’heure sans distinction de ce qui vous sera demandé. Rassurez vous, nous sommes très classiques sexuellement. D’autres questions ? »
« Aurais-je une chambre ? »
« Oui, je vous y conduit dans un instant. Nos invités ne pourront, en aucun cas vous gardez dans leur chambre. Ils ne pourront avoir recours à vos services que jusqu’à 1 heure du matin. Jamais au-delà. Vous prendrez votre service chaque matin à 8h. Mais il arrivera que vous passiez la nuit avec moi, voir avec mon mari, surtout lorsque je serais absente… Dans ces cas là, la nuit vous sera payée deux cents euro ! »
« Tout cela est très généreux. Je vous en remercie. »
« C’est normal. J’oubliai, le chauffeur, le jardinier et le majordome n’ont pas le droit de vous toucher. Ils le savent et si l’un d’entre eux venait à le faire, prévenez nous immédiatement. Maintenant, suivez-moi, je vais vous montrer votre chambre. »
Martine suivi Laure à l’étage. La chambre qui lui était dévolue était une véritable suite. Plus de 20 mètres carrés, avec un grand lit. Plus, communiquant, une salle de bain de très belle taille, avec des Wc, une baignoire, un bidet et une douche ultra moderne.
« J’espère que cela vous convient. »
« Très largement, Madame. Je vous en remercie. »
« Bien, nous dinerons à 20 h. Notre amie la doctoresse nous a informés que vous étiez peu expérimentée du cul. Aussi, je vais vous le faire travailler sans tarder. Mettez vous en levrette sur le lit… »
Docile, Martine se mit en place. Laure ouvrit le tiroir de la grande commode placée près du lit et y choisit, parmi un très grand nombre de jouets, un très beau god noir, doté d’un harnais. Elle ôta sa robe, dévoilant son corps nu et lisse, puis elle fixa le god à ses hanches et vint placer le gland sur la rondelle de Martine. Celle-ci frissonna. Ce god était long de plus de 25cm et il lui semblait largement aussi épais que la plus grosse bite l’ayant enculée à ce jour. Laure lui caressa les fesses, les écarta et se pencha pour passer sa langue sur l’anus.
« Tu es très serrée, ma belle. Je vais mettre un peu de vaseline. Mais il faudra te faire une raison. Certains de tes partenaires seront beaucoup moins précautionneux. Détends-toi ! »
Elle lui appliqua une bonne noisette de lubrifiant, puis en enroba le god. Enfin, elle introduisit lentement, l’intégralité de l’engon dans le cul de Martine. Celle-ci poussa un cri rauque et quelques larmes lui échappèrent. Laure entama un pistonnage de plus en plus rapide, claquant le cul de Martine et la traitant de salope soumise. Elle donna deux orgasmes à son employée avant de retirer le god. Martine s’effondra sur le lit, haletante et heureuse.
« Bien, nous aurons l’occasion de continuer cette nuit ! Maintenant, tu vas me remercier en me baisant avec ce qui vient de t’enculer ! »
Ce fut Laure qui fixa l’engin aux hanches de Martine. Elle le suça un moment puis se mit en levrette sur le sol pour que Martine la baise fortement. Cette dernière se montra d’abord hésitante avant de se déchaîner sur les ordres de Laure. Après que sa maîtresse eut jouit trois fois, Martine fut invitée à lui exploser le cul. Cela fut un plaisir pour les deux femmes qui finirent par prendre une douche en se roulant des pelles et en se doigtant comme des gamines.
« Allons dîner. Tu es exactement la femelle que je souhaitais trouver. Michel sera ravit de l’apprendre. Mais, le pauvre va devoir accepter de te laisser plus de temps que prévu avec moi. Je suis certaine qu’il se gavera de ton corps quand je m’absenterais !!! »
La nuit qui suivi fut assez courte mais divinement jouissive. Martine y découvrit plein de superbes sensations qui lui firent comprendre qu’une autre femme pouvait être une merveilleuse source de plaisirs…
Le dimanche fut très calme. Patrick n’avait pas prévu d’étalon et se contenta de lui faire porter un plug d’une taille supérieure à celle des jours précédents. Elle le garda 6 heures avant qu’il ne l’encule, grâce à un regain d’énergie…
Le lundi soir, un homme d’environ 60 ans vint la baiser et l’enculer. Il resta plus de trois heures, Patrick filma et remit le DVD à l’homme qui voulait le montrer à sa maîtresse. Martine jouit copieusement, même si l’homme n’était pas très fortement membré.
Le mardi, vers 19h, un couple, dans la cinquantaine, était invité. L’homme était un soumis que sa femme humilia longuement avant de demander à Martine de le sodomiser avec un gros god ceinture. Elle fut invitée à faire subir le même sort à la femme, qui lui rendit la pareille. Ce fut très agréable et une expérience qu’elle apprécia.
Le mercredi, un antillais très fortement membré vint la baiser. Il ne fut pas autorisé à lui prendre le cul, mais Patrick enfila un god dans le fion de sa femme, pendant que le mec lui défonçait la chatte. Elle hurla de douleur et de plaisir et eut 4 orgasmes en à peine deux heures…
Le jeudi, ce fut son premier amant, l’homme qui avait longtemps été le seul à avoir pénétré son cul, qui vint. Cette fois, il lui fit la totale et lui donna beaucoup de plaisir. Il resta la nuit et ils ne dormirent pratiquement pas !
Le vendredi, dans l’après midi, elle fut sodomisée par Patrick et elle n’en tira guère de plaisir. Il se vida assez vite, la laissant sur sa faim. Il lui dit que c’était fait exprès, car elle devait comprendre que certains mecs ne lui donneraient pas l’occasion de jouir. Elle quitta le domicile à 18h15, montant dans la voiture que son patron avait envoyée pour l’amener dans sa propriété.
L’endroit était exceptionnel. Une demeure bourgeoise du milieu du dix neuvième siècle, dans un immense parc boisé. Elle fut reçue par la maîtresse de maison. Dans la quarantaine, grande femme blonde, à belle poitrine, vêtue d’une robe courte et moulante, qui dessinait son corps aux formes marquées. De toute évidence, elle était nue sous sa robe.
« Bonjour Martine. Je suis Laure. Michel, mon mari n’arrivera pas avant demain matin. Je vais me consacrer à vous. Je vais vous expliquer ce qu’on va vous demander et vous donnez les règles que vous devrez respecter. Veuillez vous mettre nue. »
Cela commençait bien. Mais, Martine n’avait pas de raison de ne pas obéir. Une fois à poil, elle resta immobile, alors que Laure faisait le tour de son corps, touchant les seins, les fesses et la chatte.
« Très bien. Donc, vous ne porterez jamais de sous vêtements, pas plus que je n’en porte. Je vais vous donnez votre tenue de service. Il arrivera souvent qu’on vous demande d’évoluer totalement nue. Vous êtes ici en tant que bonne, mais, en plus, vous serez livrée aux clients et amis de mon mari. Des hommes et des femmes qui useront de vous comme ils le souhaitent, dans la limite du respect qui vous ait du. Il peut arriver que certains vous donnent la fessée ou des cops de fouet ou de cravache. Mais jamais plus que de raison. Parfois vous serez attachée et prise à la chaîne. Nous vous garantissons que tous ces gens sont de parfaits gentlemen et qu’il n’y aura pas d’abus. Des doubles vaginales, voir annales, seront possibles. Chaque pratique non conventionnelle sera rémunérée avec plus de largesses. Vingt euro de l’heure pour le service. Cinquante pour être baisée. Soixante quinze si vous êtes sodomisée. Ces sommes sont doublées si vous avez deux partenaires en même temps. Les actes SM sont à cent euro l’heure. Je pense que ces tarifs sont corrects. Cela vous convient ? »
Martine se rendait compte qu’elle allait devoir beaucoup donner de sa personne. Mais le salaire était stimulant…
« Tout à fait, Madame. Devrais-je vous contenter vous et votre mari ? »
« Cela sera assez rare en ce qui concerne mon mari. Pour moi, lorsque, comme aujourd’hui, nous n’avons pas d’invités, vous serez régulièrement ma partenaire. Lors de ces ébats, vous recevrez cinquante euro de l’heure sans distinction de ce qui vous sera demandé. Rassurez vous, nous sommes très classiques sexuellement. D’autres questions ? »
« Aurais-je une chambre ? »
« Oui, je vous y conduit dans un instant. Nos invités ne pourront, en aucun cas vous gardez dans leur chambre. Ils ne pourront avoir recours à vos services que jusqu’à 1 heure du matin. Jamais au-delà. Vous prendrez votre service chaque matin à 8h. Mais il arrivera que vous passiez la nuit avec moi, voir avec mon mari, surtout lorsque je serais absente… Dans ces cas là, la nuit vous sera payée deux cents euro ! »
« Tout cela est très généreux. Je vous en remercie. »
« C’est normal. J’oubliai, le chauffeur, le jardinier et le majordome n’ont pas le droit de vous toucher. Ils le savent et si l’un d’entre eux venait à le faire, prévenez nous immédiatement. Maintenant, suivez-moi, je vais vous montrer votre chambre. »
Martine suivi Laure à l’étage. La chambre qui lui était dévolue était une véritable suite. Plus de 20 mètres carrés, avec un grand lit. Plus, communiquant, une salle de bain de très belle taille, avec des Wc, une baignoire, un bidet et une douche ultra moderne.
« J’espère que cela vous convient. »
« Très largement, Madame. Je vous en remercie. »
« Bien, nous dinerons à 20 h. Notre amie la doctoresse nous a informés que vous étiez peu expérimentée du cul. Aussi, je vais vous le faire travailler sans tarder. Mettez vous en levrette sur le lit… »
Docile, Martine se mit en place. Laure ouvrit le tiroir de la grande commode placée près du lit et y choisit, parmi un très grand nombre de jouets, un très beau god noir, doté d’un harnais. Elle ôta sa robe, dévoilant son corps nu et lisse, puis elle fixa le god à ses hanches et vint placer le gland sur la rondelle de Martine. Celle-ci frissonna. Ce god était long de plus de 25cm et il lui semblait largement aussi épais que la plus grosse bite l’ayant enculée à ce jour. Laure lui caressa les fesses, les écarta et se pencha pour passer sa langue sur l’anus.
« Tu es très serrée, ma belle. Je vais mettre un peu de vaseline. Mais il faudra te faire une raison. Certains de tes partenaires seront beaucoup moins précautionneux. Détends-toi ! »
Elle lui appliqua une bonne noisette de lubrifiant, puis en enroba le god. Enfin, elle introduisit lentement, l’intégralité de l’engon dans le cul de Martine. Celle-ci poussa un cri rauque et quelques larmes lui échappèrent. Laure entama un pistonnage de plus en plus rapide, claquant le cul de Martine et la traitant de salope soumise. Elle donna deux orgasmes à son employée avant de retirer le god. Martine s’effondra sur le lit, haletante et heureuse.
« Bien, nous aurons l’occasion de continuer cette nuit ! Maintenant, tu vas me remercier en me baisant avec ce qui vient de t’enculer ! »
Ce fut Laure qui fixa l’engin aux hanches de Martine. Elle le suça un moment puis se mit en levrette sur le sol pour que Martine la baise fortement. Cette dernière se montra d’abord hésitante avant de se déchaîner sur les ordres de Laure. Après que sa maîtresse eut jouit trois fois, Martine fut invitée à lui exploser le cul. Cela fut un plaisir pour les deux femmes qui finirent par prendre une douche en se roulant des pelles et en se doigtant comme des gamines.
« Allons dîner. Tu es exactement la femelle que je souhaitais trouver. Michel sera ravit de l’apprendre. Mais, le pauvre va devoir accepter de te laisser plus de temps que prévu avec moi. Je suis certaine qu’il se gavera de ton corps quand je m’absenterais !!! »
La nuit qui suivi fut assez courte mais divinement jouissive. Martine y découvrit plein de superbes sensations qui lui firent comprendre qu’une autre femme pouvait être une merveilleuse source de plaisirs…
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je veux bien la suite
J'ai bien aimé la préparation de Martine et j'ai hâte de lire la suite.
Je suis au regret de vous annoncer que la suite n'a pas été acceptée par les régulateurs pour des raisons fort discutable. Il est hors de question de modifier un texte qui sera publier ailleurs! Pour ceux qui souhaiteraient recevoir ce texte, il suffit de me faire parvenir votre adresse mail... Salutations
J'aime beaucoup ce récit.
Bravo.
Rudy
Bravo.
Rudy
Très bonne continuité je n'ai pas de gros tendance bi mais cette suite m'a excité. À quand la suite.