masturbathérapie
Récit érotique écrit par Céva [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2003 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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masturbathérapie
Je m’appelle Aliette, j’ai 35 ans.
Avec ma copine Soledad, nous partageons souvent nos aventures sexuelles. Nous aimons beaucoup faire ensemble l’amour à un homme, et nous ne nous en privons pas lorsque nous en avons envie. Parfois même, nous nous faisons des petits câlins entre filles. Nous partageons des moments formidables toutes les deux, lovées sous une couette. Il y a quelques jours de cela, sur l’invitation d’une amie qui vit en Suisse, j’ai participé à une réunion de présentation à domicile de godemichets. J’ai trouvé cette réunion très enrichissante en conseils théoriques, mais l’animatrice de la réunion n’a pas donné de démonstration pratique. Cette expérience m’avait donné des idées et je voulais en savoir plus sur le sujet. J’ai donc pris rendez-vous chez une sexologue de Bruxelles, Madame Ying, pour une séance de masturbation. J’ai convaincu sans difficulté Solédad de participer aussi à cette séance d’un genre particulier. Nous sommes entrées dans le cabinet tout aussi particulier de Madame Ying. La pièce était sommaire mais chaleureuse et douillette comme un nid d’amour. De grands coussins moelleux, des fauteuils à une ou deux places, une moquette épaisse, un tabouret, une table de verre, un grand lit et toute une panoplie d’ustensiles dans de belles boites ouvertes plantaient le décor dédié exclusivement aux plaisirs de la chair. Madame Ying nous livrait ses consignes :
« vous souhaitez apprendre les secrets de la masturbation. D’abord, vous devez trouver dans la pièce l’endroit qui vous paraît le plus confortable. Ensuite, détendez-vous complètement, chassez pour une heure toutes vos inhibitions et ne pensez qu’au maître mot : plaisir. Je vous guiderai pour le reste »
J’étais très curieuse de connaître la suite, et très excitée aussi. Je sentais déjà tout mon corps s’électriser. La situation m’excitait tant que je sentais mon clitoris grossir sous ma jupe. Je choisissais de m’installer sur de gros coussins posés au sol. Soledad avait préféré le fauteuil aux accoudoirs rembourrés. J’imaginais déjà ses jolies jambes écartées, repliées sur les accoudoirs.
« Maintenant, déshabillez-vous lentement et sensuellement, sans précipitation. Promenez vos effets doucement sur votre peau, humez délicatement votre odeur imprégnée dans les fibres des tissus. Goûtez délicatement si vous en avez l’envie. »
Madame Ying était, elle aussi, assise confortablement dans un fauteuil, elle avait déjà ouvert son chemisier et glissait le bout de ses doigts agiles et experts sur la dentelle de son soutien gorge. A cinquante ans, Madame Ying était une très belle femme. Elle caressait tendrement le galbe de ses seins avec un plaisir indicible, comme s’il s’agissait d’un jeu d’enfant vécu intensément. Elle dégrafait ensuite son soutien gorge qu’elle fit lentement glisser le long de ses épaules puis saisit ses deux seins à pleine main, son regard brillant plongé sur eux, et laissa échapper un premier soupir de jouissance. Ma copine Soledad se tordait comme un ver sur son fauteuil, elle était en train de faire glisser sa petite culotte le long de ses jambes, les yeux mi-clos de bonheur. Elle portait sa culotte mouillée contre ses narines et huma son parfum capiteux.
« Humm, ce que c’est bon, ce que c’est chaud et enivrant »
« Léchez votre culotte Soledad, laissez venir l’ivresse, dit Madame Ying »
« ha oui, je la lèche avec délectation, mes effluves m’excitent, humm, c’est si booon… »
Soledad avait porté deux doigts sur son sexe et se masturbait énergiquement le clitoris, le faisant rouler adroitement entre ses doigts tout en continuant à manger sa petite culotte. Ce merveilleux spectacle sous mes yeux provoquait des spasmes dans tout mon corps, j’étais déjà nue et me caressais les bouts des seins, un godemichet dans chaque main. Madame Ying s’était levée et se dirigeait vers mon amie pour mieux la guider dans ses gestes. Elle attrapait un double gode couleur ébène.
« Je vais vous montrer comment l’on se sert au mieux de ce magnifique instrument, voulez-vous ? »
« Oh ouiii…enseignez-moi à mieux jouir, je suis réceptive, montrez-moi, humm… »
Madame Ying fit pénétrer délicatement ce beau manche factice dans le vagin de ma copine en exerçant des mouvements circulaires pour bien masser ses grandes lèvres et son clitoris. Puis vint le moment où la partie plus fine du gode heurtait l’entrée de son petit anus déjà légèrement dilaté par l’excitation. Soledad suffoquait. Je voyais clairement le bel instrument s’insinuer plus profond dans son anus. Je m’astiquais la chatte de plus en plus vite. J’étais au bord de l’orgasme. Soledad criait sans retenue à présent.
« Je suis entrain de jouir de la chatte et du cul en même temps, ouiiiiiiiiii, AAHhhhh… »
Madame Ying s’occupait maintenant de me montrer comment agir sur le fameux point G, grâce à un long gode spécialement étudié à cet effet. Je cherchais à exciter le point en question tout en pompant l’autre extrémité du long manche. -
« Maintenant, intervertissez les bouts de votre godemichet Aliette, le goût de votre cyprine décuplera votre orgasme. » Je suivais ses conseils, je sortais le gode de ma chatte pour le porter jusqu’à ma bouche et je m’introduisais l’autre bout dans le sexe. Madame Ying se tenait debout devant moi pour observer ma technique tout en se masturbant des deux mains. Je me suis soudain senti partir.
« Je suis en train de jouiiiiir, là, oh ouiiii….OUIiiiiiiiiiiiiiii… »
Je m’écroulais parterre de tout mon corps en continuant à faire aller et venir très lentement le gode dans mon sexe. Je gardais un œil sur les deux femmes qui jouirent simultanément. Madame Ying avait joui, debout à quelques centimètres de nous, en laissant échapper un long cri de plaisir. Ma copine Soledad avait joui de l’anus et de la chatte exactement au même moment. Quel moment rare et fabuleux, quelle extase. Nous sommes reparties du cabinet de Madame Ying relaxée, sereines et ravies. Nous avions envie de sourire aux gens que nous croisions dans la rue, les gens nous souriaient à leur tour. Le bien-être donne un beau visage, cela ne fait pas de doute.
Avec ma copine Soledad, nous partageons souvent nos aventures sexuelles. Nous aimons beaucoup faire ensemble l’amour à un homme, et nous ne nous en privons pas lorsque nous en avons envie. Parfois même, nous nous faisons des petits câlins entre filles. Nous partageons des moments formidables toutes les deux, lovées sous une couette. Il y a quelques jours de cela, sur l’invitation d’une amie qui vit en Suisse, j’ai participé à une réunion de présentation à domicile de godemichets. J’ai trouvé cette réunion très enrichissante en conseils théoriques, mais l’animatrice de la réunion n’a pas donné de démonstration pratique. Cette expérience m’avait donné des idées et je voulais en savoir plus sur le sujet. J’ai donc pris rendez-vous chez une sexologue de Bruxelles, Madame Ying, pour une séance de masturbation. J’ai convaincu sans difficulté Solédad de participer aussi à cette séance d’un genre particulier. Nous sommes entrées dans le cabinet tout aussi particulier de Madame Ying. La pièce était sommaire mais chaleureuse et douillette comme un nid d’amour. De grands coussins moelleux, des fauteuils à une ou deux places, une moquette épaisse, un tabouret, une table de verre, un grand lit et toute une panoplie d’ustensiles dans de belles boites ouvertes plantaient le décor dédié exclusivement aux plaisirs de la chair. Madame Ying nous livrait ses consignes :
« vous souhaitez apprendre les secrets de la masturbation. D’abord, vous devez trouver dans la pièce l’endroit qui vous paraît le plus confortable. Ensuite, détendez-vous complètement, chassez pour une heure toutes vos inhibitions et ne pensez qu’au maître mot : plaisir. Je vous guiderai pour le reste »
J’étais très curieuse de connaître la suite, et très excitée aussi. Je sentais déjà tout mon corps s’électriser. La situation m’excitait tant que je sentais mon clitoris grossir sous ma jupe. Je choisissais de m’installer sur de gros coussins posés au sol. Soledad avait préféré le fauteuil aux accoudoirs rembourrés. J’imaginais déjà ses jolies jambes écartées, repliées sur les accoudoirs.
« Maintenant, déshabillez-vous lentement et sensuellement, sans précipitation. Promenez vos effets doucement sur votre peau, humez délicatement votre odeur imprégnée dans les fibres des tissus. Goûtez délicatement si vous en avez l’envie. »
Madame Ying était, elle aussi, assise confortablement dans un fauteuil, elle avait déjà ouvert son chemisier et glissait le bout de ses doigts agiles et experts sur la dentelle de son soutien gorge. A cinquante ans, Madame Ying était une très belle femme. Elle caressait tendrement le galbe de ses seins avec un plaisir indicible, comme s’il s’agissait d’un jeu d’enfant vécu intensément. Elle dégrafait ensuite son soutien gorge qu’elle fit lentement glisser le long de ses épaules puis saisit ses deux seins à pleine main, son regard brillant plongé sur eux, et laissa échapper un premier soupir de jouissance. Ma copine Soledad se tordait comme un ver sur son fauteuil, elle était en train de faire glisser sa petite culotte le long de ses jambes, les yeux mi-clos de bonheur. Elle portait sa culotte mouillée contre ses narines et huma son parfum capiteux.
« Humm, ce que c’est bon, ce que c’est chaud et enivrant »
« Léchez votre culotte Soledad, laissez venir l’ivresse, dit Madame Ying »
« ha oui, je la lèche avec délectation, mes effluves m’excitent, humm, c’est si booon… »
Soledad avait porté deux doigts sur son sexe et se masturbait énergiquement le clitoris, le faisant rouler adroitement entre ses doigts tout en continuant à manger sa petite culotte. Ce merveilleux spectacle sous mes yeux provoquait des spasmes dans tout mon corps, j’étais déjà nue et me caressais les bouts des seins, un godemichet dans chaque main. Madame Ying s’était levée et se dirigeait vers mon amie pour mieux la guider dans ses gestes. Elle attrapait un double gode couleur ébène.
« Je vais vous montrer comment l’on se sert au mieux de ce magnifique instrument, voulez-vous ? »
« Oh ouiii…enseignez-moi à mieux jouir, je suis réceptive, montrez-moi, humm… »
Madame Ying fit pénétrer délicatement ce beau manche factice dans le vagin de ma copine en exerçant des mouvements circulaires pour bien masser ses grandes lèvres et son clitoris. Puis vint le moment où la partie plus fine du gode heurtait l’entrée de son petit anus déjà légèrement dilaté par l’excitation. Soledad suffoquait. Je voyais clairement le bel instrument s’insinuer plus profond dans son anus. Je m’astiquais la chatte de plus en plus vite. J’étais au bord de l’orgasme. Soledad criait sans retenue à présent.
« Je suis entrain de jouir de la chatte et du cul en même temps, ouiiiiiiiiii, AAHhhhh… »
Madame Ying s’occupait maintenant de me montrer comment agir sur le fameux point G, grâce à un long gode spécialement étudié à cet effet. Je cherchais à exciter le point en question tout en pompant l’autre extrémité du long manche. -
« Maintenant, intervertissez les bouts de votre godemichet Aliette, le goût de votre cyprine décuplera votre orgasme. » Je suivais ses conseils, je sortais le gode de ma chatte pour le porter jusqu’à ma bouche et je m’introduisais l’autre bout dans le sexe. Madame Ying se tenait debout devant moi pour observer ma technique tout en se masturbant des deux mains. Je me suis soudain senti partir.
« Je suis en train de jouiiiiir, là, oh ouiiii….OUIiiiiiiiiiiiiiii… »
Je m’écroulais parterre de tout mon corps en continuant à faire aller et venir très lentement le gode dans mon sexe. Je gardais un œil sur les deux femmes qui jouirent simultanément. Madame Ying avait joui, debout à quelques centimètres de nous, en laissant échapper un long cri de plaisir. Ma copine Soledad avait joui de l’anus et de la chatte exactement au même moment. Quel moment rare et fabuleux, quelle extase. Nous sommes reparties du cabinet de Madame Ying relaxée, sereines et ravies. Nous avions envie de sourire aux gens que nous croisions dans la rue, les gens nous souriaient à leur tour. Le bien-être donne un beau visage, cela ne fait pas de doute.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je voudrai tant que des lieux comme cela existent en France ! Quelle partie de plaisir !... Je suis partante pour partager moi aussi ces séances plus qu'enrichissantes !...
je suis partant pour partager ces séances.
Scénario plutôt original et description des exercices pratiques assez envoûtante.