Masturbation d'une isolée - histoire érotique

Il est parti bien tard, ce matin pour aller travailler. C’est de ma faute, nous avons baisé rapidement, mais baisé. Comme il aime les baises parfaites, il m’a bien faite jouir. Seulement il est parti très tard. J’espère qu’on ne lui fera pas de remarques désobligeantes. Il ne rentre que vers 18 heures. Je fais un peu de ménage, notre appartement est petit et nous avons peu de meuble. C’est vite fait. Je vais acheter le journal pour les offres d’emploi et comme d’habitude je ne trouve rien de valable, si une place d’entraineuse dans une boite où certainement il faut sortir avec le client. Très peu pour moi. J’allume la radio pour me sentir moins seule. Il est bientôt midi. Je me prépare un sandwich pout être tranquille. J’aurai mieux fait de faire autre chose, j’ai mangé normalement, c’est-à-dire trop vite. Je me demande ce que je vais pouvoir faire.
J’ai enfin l’idée de me donner du plaisir, après tout j’y ai droit comme mon homme le fait devant moi ou moi devant lui. Il n’est pas là, et alors, je ne le trompe pas. Je vais dans la chambre pour me déshabiller. Je range mes affaire, je compte faire durer mon plaisir le plus possible. Je passe par la salle d’eau pour me laver le sexe sur le bidet. Je fais couler l’eau chaude et quand la température me convient, je pose mes fesses de chaque coté. J’ai le savon dans ma main, je le passe rapidement sur ma fente, je fais à peine mousser et le rince. Déjà je commence à mouiller. Je me rince et poussé par le désir, je commence à me toucher les endroits sensibles. Je me met même deux doigts dans la chatte. Je les fait aller et venir dans mon ventre. J’arrête vite sinon je vais jouir trop rapidement.
Je fais suivre la serviette en m’essuyant l’entre jambe.
Installée comme il faut sur un fauteuils, je reste immobile, nue avec des idées très porno plein la tête. La machine à fantasmes est en route: je me vois la proie de plusieurs hommes munis de sexes énormes ! Je vois celui qui est derrière moi, qui sans trop de précaution m’encule, debout, je sens ses poils sur mes fesses. Un autre est dans ma chatte, il me baise devant les autres impatient de me baiser à leur tour. Pourtant je les branle bien ces deux derniers. Le cinquième est hors jeu : je viens de le faire jouir dans ma bouche.
Je rêve à ces choses impossibles que de toute façon je n’aimerai pas faire.
J’ai commencé par étendre la serviette sur le fauteuil, pour ne pas le tâcher avec ma cyprine comme la dernière fois. J’ai mis mes jambes sur les accoudoirs. Je suis bien installée. Je prend mes seins dans les mains pour commencer à les caresser, j’adore me faire du bien en commençant par la poitrine. Mes mains remplacent un soutif pendant que mes pouces s’occupent des tétons. J’aime le faire toute seule, même s’il sait bien le faire. Je caresse mon ventre en descendant vers mes cuisses. J’appuie de temps en temps, quand j’arrive au nombril j’y met un doigt, comme pour vérifier sa bonne tenue. Après le nombril je caresse le pubis, j’aime cet instant car je sais que je ne vais pas tarder à me branler. Je monte sur le dessus de mes jambes sans aller au milieu. Il faut que je joue le jeu jusqu’au bout. Intérieurement je boue, c’est un autre qui va me masturber, sinon, je mettrai déjà ma man sur ou dans ma chatte.
Je descends mes mains en caressant cette fois l’intérieur des cuisses, là où j’aime qu’il me le fasse. Je mouille de plus en plus. Enfin j’arrive au but : je suis sur ma chatte. Je tiens tout mon con dans ma main. J’ai envie de changer, ne pas me branler comme trop souvent, je vais essayer ce que je viens d’imaginer à l’instant. D’autres que moi ont du y penser. Je descend ma main sur mon petit trou, je le caresse lentement, surtout le tour, je ne sais pas pourquoi. Je sens le plaisir arriver très vite. Quand l’orgasme arrive j’entre deux phalange dans le cul. Il me semble que j’ai joui bien mieux que les autres fois. Je reste immobile avec mon doigt toujours au même endroit. Je ne bouge pas pendant que je sens toujours l’orgasme venir ouvrir et fermer le cul. Quand je retire mon doigt, je ressens enfin un sentiment de plénitude. Je reste immobile un bon moment. J’ai oublié les hommes qui voulaient me baiser ou m’enculer.
Maintenant que le désir renait, je vois deux couples qui échangent leur partenaire. Il y a une fille blonde qui ressemble à une amie qui me parle souvent de sexe et de ses jouissances. C’est elle qui mène le jeu ou je suis aussi actrice. Elle laisse tomber son mari pur aller sur le mien qui se laisse faire quand elle le prend dans la bouche. Je sais, d’après ce qu’elle m’a dit qu’elle aime bien sucer son mari. J’aime le faire aussi, je ne le chante pas sur les toits. Son mari est sur moi pour me sucer.
Ma main obéit au commandement de celui qui me suce: j’entre deux doigts dans le con. J’aime bien de temps en temps me doigter ainsi. Je fais aller et venir ma main comme si elle « était la pine de mon chéri. Je peux arrêter souvent pour faire bien durer mon plaisir. Mon autre main, caresse les grande lèvres que j’ai sensible. Elle part du haut, vers le clitoris pour descendre pratiquement cul. Je ferme les yeux pendant toute la durée de cette partie de la masturbation.
J’arrête tout un moment, je sors mes doigts, j’oublie mes lèvres. J'ai une main pleine de cyprine, ça ne fait rien, j’irai prendre une douche après.
Je recommence à me doigter. Je vais très vite, plus vite que la queue de mon ami quand il me la met. Je suis submergée par un orgasme hors catégorie. Je pense que le corps humain est bien fait pour pouvoir se donner de tels plaisirs.
Il me manque la fin, le clitoris. J’ai bien commencé par là dans la salle d’eau, et j’ai arrêter pour le faire sur le fauteuil. Je me suis promis de le faire, je suis obligée de me donner du plaisir avec lui. La chose se présente bien, je suis mouillée comme une fontaine, puisque je dois m’essuyer avec la serviette. Je mouille quand même mes doigts, mes trois doigts, le majeur, l’index et l’annulaire réunis qui forme presque un bloc cranté : à chaque passage c’est le bon moyen pour moi de ressentir un plaisir plus fort. J’écarte la lèvre pour faire ressortir le clitoris. Je le tâte à peine pour le faire bander encore un peu. Puis je passe mes doigts réunis lentement au début pour finir à la vitesse du son, il me semble. Je suis obligée de pousser un cri de délivrance à cause du plaisir qui irradie mon bas ventre, mes jambes mon ventre pour arriver au moins jusque aux seins sinon plus haut, en tout cas je le ressent dans la tête. Ce n’est pas bon, c’est supérieur. Je reste totalement inerte pire que quand il me baise et Dieu sait qu’il baise bien.
Quand je le lui dirai ce soir il ne me croira pas. Je vais me doucher pour réparer les dégâts de ma cyprine. Je me mets sous le jet d’eau chaude juste pour me rincer un peu. J’en profite pour faire couler l’eau sur mon sexe bien ouvert, je ne vise rien en particulier, c’est toute ma chatte qui jouit.