Masturbation en public à la plage
Récit érotique écrit par Vanessa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2009 dans la catégorie En solitaire
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Masturbation en public à la plage
Je suis une femme qui, d'ordinaire, n'est pas en manque de sexe, mais aujourd'hui, le besoin était pressant.
J'avais 35 ans, mariée à un homme fidèle, mais pas d'enfants.
J'étais allongée sur le ventre, en direction de la mer, de telle sorte que je pouvais regarder la mer et bronzer en même temps. Mon mari était parti quelques jours pour les affaires, me laissant seule à la plage. Il faisait très chaud, j’étais donc allée dans l'eau. Mon corps était sur le point de finir de sécher, sauf dans mon maillot de bain d'en bas, qui était presque un string, et il était à demi-transparent, ce qui excitait beaucoup mon mari et d'autres badauds de la plage. Je n'avais pas de maillot de bain en haut, ce qui me valait quelques coups d'œil.
J'avais terriblement envie de sexe, et cela se justifiait par le fait que l'on ne m'avait pas fait l'amour depuis plusieurs jours. Je ne suis pas une droguée du sexe, mais j'adore quand mon mari me fait l'amour ou quand je me masturbe. Je ne m’étais jamais masturbée en public et je me dis qu'il serait amusant de tenter l'expérience ici, puisque je partais demain matin.
La plage était surpeuplée, ce qui ne me faisait pas peur, pour une première fois. Je me retournais sur le dos, et dans l'autre sens, de façon à être toujours tournée vers la mer. Je me mis donc à me masser doucement le ventre, mes caresses me poussant un peu plus vers le bas du ventre. Je commençais à mouiller déjà dans mon maillot. Ma main s'arrêta sur la couture de mon maillot et je fis jouer mon doigt avec. Je relevais un peu la tête, regardant si quelqu'un me voyait. Il y avait en effet trois garçons plus une fille qui m'épiaient discrètement. Ravie, je continuais. Je ne voulais pas me toucher sous le slip, alors je l'enlevais, mais pas complètement, jusqu’aux genoux, révélant une belle chatte bien rasée.
Ayant mis des lunettes de soleil, je pouvais voir s’ils me regardaient toujours. En effet, ils me regardaient, cependant avec plus d'intensité, ce que j'appréciais. Je m’introduisis donc un doigt dans ma fente, faisant des tours autours de mon clitoris. Mon doigt descendait peu à peu vers mon vagin, ce qui me fit redoubler de plaisir. De plus en plus de gens me regardaient. Je me donnais du courage, et j'introduisis profondément mon majeur dans mon vagin, et je ne pus retenir un cri de plaisir.
Je m’introduisis un autre doigt dans la chatte, et un type qui me regardait se mit à se branler la bite.
Je passais donc à mon moment préféré. Je retirais mes doigts trempés de ma chatte et me lubrifiais le trou du cul avec. J'adorais la sodomie, surtout avec une bite bien grosse. Ce fut donc en pensant à mon mari que je me mis à quatre pattes, et presque toute la plage me regardait, à présent. Je me mis donc un doigt dans mon petit trou, puis deux, trois, quatre. Je failli hurler de plaisir. Quand j'eus fini, le type qui s'était masturbé lui aussi vint vers moi, et me dit :
"Je t'ai observé pendant longtemps, me dit-il. Voici mon numéro, appelle-moi et je saurais satisfaire tes besoins."
Je pris la feuille qui me tendit, et m'en allait. Le soir, je ne pensais qu'à lui en faisant mes bagages. Depuis, une fois par mois, je l'appelle, et nous nous transmettons nos fantasmes par téléphones, mais ça, c'est une autre histoire.
J'avais 35 ans, mariée à un homme fidèle, mais pas d'enfants.
J'étais allongée sur le ventre, en direction de la mer, de telle sorte que je pouvais regarder la mer et bronzer en même temps. Mon mari était parti quelques jours pour les affaires, me laissant seule à la plage. Il faisait très chaud, j’étais donc allée dans l'eau. Mon corps était sur le point de finir de sécher, sauf dans mon maillot de bain d'en bas, qui était presque un string, et il était à demi-transparent, ce qui excitait beaucoup mon mari et d'autres badauds de la plage. Je n'avais pas de maillot de bain en haut, ce qui me valait quelques coups d'œil.
J'avais terriblement envie de sexe, et cela se justifiait par le fait que l'on ne m'avait pas fait l'amour depuis plusieurs jours. Je ne suis pas une droguée du sexe, mais j'adore quand mon mari me fait l'amour ou quand je me masturbe. Je ne m’étais jamais masturbée en public et je me dis qu'il serait amusant de tenter l'expérience ici, puisque je partais demain matin.
La plage était surpeuplée, ce qui ne me faisait pas peur, pour une première fois. Je me retournais sur le dos, et dans l'autre sens, de façon à être toujours tournée vers la mer. Je me mis donc à me masser doucement le ventre, mes caresses me poussant un peu plus vers le bas du ventre. Je commençais à mouiller déjà dans mon maillot. Ma main s'arrêta sur la couture de mon maillot et je fis jouer mon doigt avec. Je relevais un peu la tête, regardant si quelqu'un me voyait. Il y avait en effet trois garçons plus une fille qui m'épiaient discrètement. Ravie, je continuais. Je ne voulais pas me toucher sous le slip, alors je l'enlevais, mais pas complètement, jusqu’aux genoux, révélant une belle chatte bien rasée.
Ayant mis des lunettes de soleil, je pouvais voir s’ils me regardaient toujours. En effet, ils me regardaient, cependant avec plus d'intensité, ce que j'appréciais. Je m’introduisis donc un doigt dans ma fente, faisant des tours autours de mon clitoris. Mon doigt descendait peu à peu vers mon vagin, ce qui me fit redoubler de plaisir. De plus en plus de gens me regardaient. Je me donnais du courage, et j'introduisis profondément mon majeur dans mon vagin, et je ne pus retenir un cri de plaisir.
Je m’introduisis un autre doigt dans la chatte, et un type qui me regardait se mit à se branler la bite.
Je passais donc à mon moment préféré. Je retirais mes doigts trempés de ma chatte et me lubrifiais le trou du cul avec. J'adorais la sodomie, surtout avec une bite bien grosse. Ce fut donc en pensant à mon mari que je me mis à quatre pattes, et presque toute la plage me regardait, à présent. Je me mis donc un doigt dans mon petit trou, puis deux, trois, quatre. Je failli hurler de plaisir. Quand j'eus fini, le type qui s'était masturbé lui aussi vint vers moi, et me dit :
"Je t'ai observé pendant longtemps, me dit-il. Voici mon numéro, appelle-moi et je saurais satisfaire tes besoins."
Je pris la feuille qui me tendit, et m'en allait. Le soir, je ne pensais qu'à lui en faisant mes bagages. Depuis, une fois par mois, je l'appelle, et nous nous transmettons nos fantasmes par téléphones, mais ça, c'est une autre histoire.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'aimerais tellement vivre ce genre d'aventure, tres excitante et partager ces moments
apres par telephone hummmmmmm
apres par telephone hummmmmmm
