Masturbations
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Masturbations
C ‘est sans doute l’hiver, le vent froid résonne à la fenêtre. Par la fenêtre je peux voir voler de droite et de gauche, les journaux jetés n’importe où. Ma chambre est bien chauffée, si mes vitres sont closes, il n’en est pas de même des volets et autres rideaux. C’est le début de la nuit, j’ai laissé mes lampes allumées. Tant pis si la fille du cinquième en face me voit comme à son habitude.
Je la connais de vue : une blonde assez grande, avec une belle poitrine gainée dans un pull démodé.
Quand je pense à elle j’ai comme des envies dans le bas ventre. Avant diner, ce soir, je vais faire comme tous les jours à la même heure, avant d’aller à la pension pour manger je vais me taper une queue.
Pour moi c’est une habitude dont je ne peux me passer. J’aime bien me masturber, faire aller et venir ma main sur la bite, caresser mes couilles en mettant souvent un doigt dans le cul. Avant je prends une douche pour bien bander : je commence à m’exciter avec le jet d’eau chaude sur le gland.
Le jet va ensuite tout le long de ma tige vers le bas ventre : je commence à me branler. Ensuite avant d’aller trop loin je sors nu toujours me coucher. Et là je regarde par acquis de conscience si la fille me regarde. Je l’aperçois souvent. Je sais qu’elle me regarde faire au moins torse nue : je vois bouger ses épaules en cadence : elle doit de donner le même plaisir que moi.
Je suis fier de savoir que je l’excite à défaut de la lui mettre, ce que j’espère toujours. Je me masturbe en regardant sa fenêtre et son ombre maintenant que la nuit arrive.
Ma main prend ma bite en entier. Je commence toujours par faire descendre de prépuce vers mes couilles. Je remonte ma main, je lâche ma queue avant de vite la reprendre. La main gauche va sur mes couilles bien remontées vers la pine. J’ai la main pleine de ma queue, je sens le plaisir venir du fond du ventre. J’arrête tout avant de jouir. Je reste sans me toucher un bon moment, j’en profite pour regarder la fenêtre : Je distingue la silhouette de la fille.
J’aimerai l’avoir là, à mes cotés, sur le lit, nue comme moi, ma bouche sur sa chatte et ma queue dans sa bouche. Je rêve de faire un 69 avec elle.
Je suis obligé de reprendre mes mouvements sinon je ne jouirais pas.
Je sais qu’elle m’observe longuement, j’imagine qu’elle aussi se donne le même plaisir que moi. Il faudra que je me décide à lui demander de venir avec moi : elle refusera, à moins que je lui montre qu’avec moi se serait bien meilleur qu’avec ses seuls doigts. Je reprends mon va-et-vient. Je sens arriver l’orgasme du fond de mes couilles et de mon cul. Ca y est les spasmes sont là : je jouis.
Mon sperme gicle comme un jet d’eau sur mon ventre. Je suis vidé : je n’ai plus de semence à ma disposition. Tant pis, j’en aurais encore ce soir en me couchant.
Je sors pour aller à la pension. Je la rencontre en sortant de l’immeuble : nous nous sourions. Nous sommes complices : elle sait que je sais qu’elle se donne du plaisir, je sais comme qu’elle sait que je me branle. Je me jette :
- Bonsoir, vous êtres charmante.
- Merci.
- Je crois savoir ce que vous faites en fin d’après midi.
- Moi je sais ce que vous faite. C’est excitant ;
- Pour moi c’est jouissif.
- Je sais je vois comment vous finissez.
- Je peux vous inviter chez moi, ce soir par exemple ?
- Je préfère demain soir.
- D’accord.
Et voilà, c’est pas plus compliqué que ça. En rentrant je me mets nu à nouveau et recommence. Cette fois j’ai fermé les volets. Ma bite retrouve ma main. Je fantasme sur cette fille. Tiens je ne connais même pas son nom.
Je jouis encore. Demain je jouirais avec elle.
Nous voilà demain, j’ai encore la gaule au réveil. Je me branle encore en pensant à elle. Je dois lui sucer les seins et le cul et….. La baiser simplement, lui donner du plaisir avant de prendre le mien. En fin d’après midi mon corps demande encore une masturbation : je résiste : j’attendrai ce soir.
Comment va-t-elle savoir comment venir chez moi ?
La réponse arrive quand j’entends frapper à la porte : c’est elle. Elle s’est faite plus belle avec sa robe courte avec des bretelles.
- Bonsoir, je ne suis pas trop en retard ?
- Non, pile à l’heure.
- Je ne vous ai pas vu tout à l’heure, vous fermez la fenêtre maintenant ?
- Je n’ai rien fait de spécial tout à l’heure, j’ai préféré vous attendre.
- Dommage j’aime vous voir.
- Je peux vous montrer de suite.
- Ca peut attendre un peu. Elle vient près de moi. Je pose mes lèvres sur les siennes. Elle est plus douce que je le pensais. C’est sa langue qui vient dans ma bouche. Je sens sa salive aussi douce que ses lèvres. Que doit être le reste ?
Je l’ai dans mes bras, elle s’abandonne totalement :
- J’aime te voir te faire du bien, j’en fais autant en te regardant.
- Je peux te faire du bien moi aussi.
- Je te le rendrais.
Je passe ma main sous sa robe. Ses cuisses sont encore plus douces que je le croyais. Elle ne résiste pas, je monte vers sa chatte. J’ai beau monter je ne trouve pas de vêtement : elle a oublié sa culotte ou son string. Je la sors de sa robe. Nue, je la caresse un peu partout, surtout sur ses seins qui gonflent. Je vais tout en bas. J’abouti juste sur son clitoris : il est déjà sorti de sa protection. Elle est toute mouillée. Je la caresse lentement, trop sans doute quand elle me demande,
- Vas plus vite, fais moi jouir.
- Comme ça ?
- Oui, c’est bon je vais… je vais…. je jouis.
Elle attend juste la fin de son orgasme pour venir chercher ma queue qu’elle sort rapidement du pantalon. Elle la prend divinement dans sa main. Elle me branle presque mieux que moi.
- Vas doucement, te vas me faire jouir trop vite.
- Je sais. Je te ferais bander encore après.
Sa main ne cesse pas : elle ajoute l’autre pour aller directement sur mon cul où elle entre carrément deux doigts. Je ne suis pas son premier, c’est évident. Elle va de plus en plus vite. Je ne résiste pas longtemps, surtout que c’est ma première fois avec elle. Quand j’éjacule mon sperme va se perdre sur son ventre : je le vois couler sur elle. J’aurais aimé que ma liqueur aille dans sa bouche ;
Me voilà avec une bite en deuil, qui ne pointe plus.
- Allons dans ta chambre : je te ferais bander encore, j’en ai besoin.
Les volets ne sont pas fermées, elle n’en fiche, je me couche après m’être mis nu, comme elle. Elle m’embrasse encore, sa langue revient dans ma bouche. Quand elle trouve sa position, elle est sur moi à l’inverse de la normalité. Son ventre est contre ma bite, elle le remue pour m’exciter un peu. Ce n’est pas suffisant alors elle se tourne pour me prendre avec sa bouche. Je la regarde faire, elle ouvre en grand ses lèvres, sort sa langue pour caresser le gland avec un certain succès puisque je sens que je recommence à bander.
Sa bouche s’ouvre encore un peu plus : elle m’avale totalement. Là je bande complètement : je voudrais qu’elle continue, que mon sperme parte dans sa bouche.
Elle se relève et au lieu de se donner normalement elle reste sur moi, elle est à cheval que mon bas ventre. Je vois sa chatte qui prend ma queue sans difficulté. Par contre quel plaisir elle me donne et se donne à voir son visage transfiguré. Si elle va doucement en début, elle accélère son mouvement jusqu’au moment où sa tête part en arrière :
- Mon dieu que c’est bon, je vais encore jouir. Je Jouououiiiis. Je la sens bien quand ses spasme sont de plus en plus forts, tellement forts que sans bouger elle me fait jouir dans son ventre.
J’entraine sans le vouloir encore un orgasme. Elle s’écroule sur moi, sa bouche sur la mienne.
- Dommage j’aurais voulu que te me bourre le cul.
- Moi aussi je rêve depuis longtemps de tes fesses. Je vais le lécher pour te faire jouir peut-être.
- Oui, suce-moi le cul.
Nous sommes en 69, si elle avale encore ma bite, je survole toute sa fente pour aller sur son anus ;
Au passage mon nez a senti l’odeur de nos liquides mélangés dans son con. Rien qu’avec çà je sens que ma queue se redresse rapidement. Ma langue trouve son rectum : elle le lèche un peu et force beaucoup pour entrer. Quand elle est engagée, je sens son gout pas désagréable de son cul. Je fais aller et venir la langue pendant qu’elle gémit :
- Oui, c’est bon, mets moi toute ta langue dans le cul. Tu vas me faire jouir encore. Salaud, tu me fais jouir pour la première fois par cet endroit qui est sale ;
- Mais non ce n’est pas sale, c’est bon au contraire pour moi.
- J’ai jouis, j’ai envie de faire pipi.
J’allais me relever pour lui permettre d’aller au petit coin quand elle se lâche sur ma bouche. Je reçois au début avec dégout son urine. Puis ce liquide chaud m’est agréable. J’avale tout ce qu’elle évacue en bandant encore plus fort.
Je la fait mettre en levrette pour poser ma queue sur son cul ; Elle se laisse faire. J’entre tranquillement dans son boyau. Elle est un peu serrée, mais tellement agréable à sodomiser. Elle se plaint un peu en début, quand elle est vite habitué à ma présence dans son cul elle comment à gémir
- C’est bon, encules moi encore, défonce moi, j’aime, encore, tu me fais jouir. C’est bon de jouir par le cul. Si j’avais su je me serais fait enculer bien plus tôt. Je jouis encore ; baises moi….
Nous restons couchés, bien enlacés. J’ai envie de ma branler, je ne lui dit rien, je prends ma bite et me masturbe. Elle regarde ce que je fais, à son tour, elle se branle. Nous jouissons presque ensemble, en nous regardant faire.
Je la connais de vue : une blonde assez grande, avec une belle poitrine gainée dans un pull démodé.
Quand je pense à elle j’ai comme des envies dans le bas ventre. Avant diner, ce soir, je vais faire comme tous les jours à la même heure, avant d’aller à la pension pour manger je vais me taper une queue.
Pour moi c’est une habitude dont je ne peux me passer. J’aime bien me masturber, faire aller et venir ma main sur la bite, caresser mes couilles en mettant souvent un doigt dans le cul. Avant je prends une douche pour bien bander : je commence à m’exciter avec le jet d’eau chaude sur le gland.
Le jet va ensuite tout le long de ma tige vers le bas ventre : je commence à me branler. Ensuite avant d’aller trop loin je sors nu toujours me coucher. Et là je regarde par acquis de conscience si la fille me regarde. Je l’aperçois souvent. Je sais qu’elle me regarde faire au moins torse nue : je vois bouger ses épaules en cadence : elle doit de donner le même plaisir que moi.
Je suis fier de savoir que je l’excite à défaut de la lui mettre, ce que j’espère toujours. Je me masturbe en regardant sa fenêtre et son ombre maintenant que la nuit arrive.
Ma main prend ma bite en entier. Je commence toujours par faire descendre de prépuce vers mes couilles. Je remonte ma main, je lâche ma queue avant de vite la reprendre. La main gauche va sur mes couilles bien remontées vers la pine. J’ai la main pleine de ma queue, je sens le plaisir venir du fond du ventre. J’arrête tout avant de jouir. Je reste sans me toucher un bon moment, j’en profite pour regarder la fenêtre : Je distingue la silhouette de la fille.
J’aimerai l’avoir là, à mes cotés, sur le lit, nue comme moi, ma bouche sur sa chatte et ma queue dans sa bouche. Je rêve de faire un 69 avec elle.
Je suis obligé de reprendre mes mouvements sinon je ne jouirais pas.
Je sais qu’elle m’observe longuement, j’imagine qu’elle aussi se donne le même plaisir que moi. Il faudra que je me décide à lui demander de venir avec moi : elle refusera, à moins que je lui montre qu’avec moi se serait bien meilleur qu’avec ses seuls doigts. Je reprends mon va-et-vient. Je sens arriver l’orgasme du fond de mes couilles et de mon cul. Ca y est les spasmes sont là : je jouis.
Mon sperme gicle comme un jet d’eau sur mon ventre. Je suis vidé : je n’ai plus de semence à ma disposition. Tant pis, j’en aurais encore ce soir en me couchant.
Je sors pour aller à la pension. Je la rencontre en sortant de l’immeuble : nous nous sourions. Nous sommes complices : elle sait que je sais qu’elle se donne du plaisir, je sais comme qu’elle sait que je me branle. Je me jette :
- Bonsoir, vous êtres charmante.
- Merci.
- Je crois savoir ce que vous faites en fin d’après midi.
- Moi je sais ce que vous faite. C’est excitant ;
- Pour moi c’est jouissif.
- Je sais je vois comment vous finissez.
- Je peux vous inviter chez moi, ce soir par exemple ?
- Je préfère demain soir.
- D’accord.
Et voilà, c’est pas plus compliqué que ça. En rentrant je me mets nu à nouveau et recommence. Cette fois j’ai fermé les volets. Ma bite retrouve ma main. Je fantasme sur cette fille. Tiens je ne connais même pas son nom.
Je jouis encore. Demain je jouirais avec elle.
Nous voilà demain, j’ai encore la gaule au réveil. Je me branle encore en pensant à elle. Je dois lui sucer les seins et le cul et….. La baiser simplement, lui donner du plaisir avant de prendre le mien. En fin d’après midi mon corps demande encore une masturbation : je résiste : j’attendrai ce soir.
Comment va-t-elle savoir comment venir chez moi ?
La réponse arrive quand j’entends frapper à la porte : c’est elle. Elle s’est faite plus belle avec sa robe courte avec des bretelles.
- Bonsoir, je ne suis pas trop en retard ?
- Non, pile à l’heure.
- Je ne vous ai pas vu tout à l’heure, vous fermez la fenêtre maintenant ?
- Je n’ai rien fait de spécial tout à l’heure, j’ai préféré vous attendre.
- Dommage j’aime vous voir.
- Je peux vous montrer de suite.
- Ca peut attendre un peu. Elle vient près de moi. Je pose mes lèvres sur les siennes. Elle est plus douce que je le pensais. C’est sa langue qui vient dans ma bouche. Je sens sa salive aussi douce que ses lèvres. Que doit être le reste ?
Je l’ai dans mes bras, elle s’abandonne totalement :
- J’aime te voir te faire du bien, j’en fais autant en te regardant.
- Je peux te faire du bien moi aussi.
- Je te le rendrais.
Je passe ma main sous sa robe. Ses cuisses sont encore plus douces que je le croyais. Elle ne résiste pas, je monte vers sa chatte. J’ai beau monter je ne trouve pas de vêtement : elle a oublié sa culotte ou son string. Je la sors de sa robe. Nue, je la caresse un peu partout, surtout sur ses seins qui gonflent. Je vais tout en bas. J’abouti juste sur son clitoris : il est déjà sorti de sa protection. Elle est toute mouillée. Je la caresse lentement, trop sans doute quand elle me demande,
- Vas plus vite, fais moi jouir.
- Comme ça ?
- Oui, c’est bon je vais… je vais…. je jouis.
Elle attend juste la fin de son orgasme pour venir chercher ma queue qu’elle sort rapidement du pantalon. Elle la prend divinement dans sa main. Elle me branle presque mieux que moi.
- Vas doucement, te vas me faire jouir trop vite.
- Je sais. Je te ferais bander encore après.
Sa main ne cesse pas : elle ajoute l’autre pour aller directement sur mon cul où elle entre carrément deux doigts. Je ne suis pas son premier, c’est évident. Elle va de plus en plus vite. Je ne résiste pas longtemps, surtout que c’est ma première fois avec elle. Quand j’éjacule mon sperme va se perdre sur son ventre : je le vois couler sur elle. J’aurais aimé que ma liqueur aille dans sa bouche ;
Me voilà avec une bite en deuil, qui ne pointe plus.
- Allons dans ta chambre : je te ferais bander encore, j’en ai besoin.
Les volets ne sont pas fermées, elle n’en fiche, je me couche après m’être mis nu, comme elle. Elle m’embrasse encore, sa langue revient dans ma bouche. Quand elle trouve sa position, elle est sur moi à l’inverse de la normalité. Son ventre est contre ma bite, elle le remue pour m’exciter un peu. Ce n’est pas suffisant alors elle se tourne pour me prendre avec sa bouche. Je la regarde faire, elle ouvre en grand ses lèvres, sort sa langue pour caresser le gland avec un certain succès puisque je sens que je recommence à bander.
Sa bouche s’ouvre encore un peu plus : elle m’avale totalement. Là je bande complètement : je voudrais qu’elle continue, que mon sperme parte dans sa bouche.
Elle se relève et au lieu de se donner normalement elle reste sur moi, elle est à cheval que mon bas ventre. Je vois sa chatte qui prend ma queue sans difficulté. Par contre quel plaisir elle me donne et se donne à voir son visage transfiguré. Si elle va doucement en début, elle accélère son mouvement jusqu’au moment où sa tête part en arrière :
- Mon dieu que c’est bon, je vais encore jouir. Je Jouououiiiis. Je la sens bien quand ses spasme sont de plus en plus forts, tellement forts que sans bouger elle me fait jouir dans son ventre.
J’entraine sans le vouloir encore un orgasme. Elle s’écroule sur moi, sa bouche sur la mienne.
- Dommage j’aurais voulu que te me bourre le cul.
- Moi aussi je rêve depuis longtemps de tes fesses. Je vais le lécher pour te faire jouir peut-être.
- Oui, suce-moi le cul.
Nous sommes en 69, si elle avale encore ma bite, je survole toute sa fente pour aller sur son anus ;
Au passage mon nez a senti l’odeur de nos liquides mélangés dans son con. Rien qu’avec çà je sens que ma queue se redresse rapidement. Ma langue trouve son rectum : elle le lèche un peu et force beaucoup pour entrer. Quand elle est engagée, je sens son gout pas désagréable de son cul. Je fais aller et venir la langue pendant qu’elle gémit :
- Oui, c’est bon, mets moi toute ta langue dans le cul. Tu vas me faire jouir encore. Salaud, tu me fais jouir pour la première fois par cet endroit qui est sale ;
- Mais non ce n’est pas sale, c’est bon au contraire pour moi.
- J’ai jouis, j’ai envie de faire pipi.
J’allais me relever pour lui permettre d’aller au petit coin quand elle se lâche sur ma bouche. Je reçois au début avec dégout son urine. Puis ce liquide chaud m’est agréable. J’avale tout ce qu’elle évacue en bandant encore plus fort.
Je la fait mettre en levrette pour poser ma queue sur son cul ; Elle se laisse faire. J’entre tranquillement dans son boyau. Elle est un peu serrée, mais tellement agréable à sodomiser. Elle se plaint un peu en début, quand elle est vite habitué à ma présence dans son cul elle comment à gémir
- C’est bon, encules moi encore, défonce moi, j’aime, encore, tu me fais jouir. C’est bon de jouir par le cul. Si j’avais su je me serais fait enculer bien plus tôt. Je jouis encore ; baises moi….
Nous restons couchés, bien enlacés. J’ai envie de ma branler, je ne lui dit rien, je prends ma bite et me masturbe. Elle regarde ce que je fais, à son tour, elle se branle. Nous jouissons presque ensemble, en nous regardant faire.
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