Match de basket Trois jeunes sous le charme d’Émilie
Récit érotique écrit par André Bernard24 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Match de basket Trois jeunes sous le charme d’Émilie
Notre couple entre dans l'ère du numérique
Je vais griller quelques étapes pour vous projeter dans l'année des premiers MMS. Nous étions alors un couple d'âges mûrs. Émilie m'avait donné deux enfants. Ses grossesses nous avaient révélé des aventures érotiques très particulières. Je vous raconterai plus tard.
Aujourd'hui je voudrais vous faire partager notre expérience lors des premières années MMS et autres échanges photos et vidéo. Émilie affichait une quarantaine rayonnante. Jeune elle attirait les messieurs d'un certain âge, et en cette année là c'était le regard des jeunes hommes qui m'amusait.
Match de basket Émilie rendez-vous au Stadium
Nous étions en plein hiver et ce soir-là au stadium, l'événement c'était la rencontre de basket de haut niveau qui opposait l'équipe locale de rouge vêtue au bleu champion de France.
Les places assises dans les gradins étant totalement réservées, elle avait obtenu d'être au dernier étage qui ne possédait pas de fauteuil et où le public se pressait contre la rambarde surplombée d'un Plexiglas qui dominait le parquet de jeu. Émilie passionnée de ce sport, m'avait demandé de la rejoindre, il m'était impossible d'être à l'heure ayant une réunion au bureau. Très en retard, je poussais la porte qui donnait accès aux gradins.
Entr’apercevait ma chérie pressée contre la rambarde. Je me glissais au travers de ce public compact, mais j'étais totalement stoppé au second rang sur sa droite. Impossible de la rejoindre.
Je voyais par contre très clairement les joyeux drilles qui se pressaient dans son dos
pour apercevoir les phases de jeux de nos sportifs.
Trois jeunes sous le charme d’Émilie
En surplomb, j'avais une vue plongeante sur le petit cul de ma femme qui s'agitait dans son jogging rouge à chaque panier de notre équipe. Elle sautait, les mains en l'air pour applaudir, ce qui avait pour effet de remonter son haut. Elle dévoilait alors son dos nu aux trois jeunes en jogging rouge, présents derrière elle.
Manifestement elle n'avait pas mis de soutien gorge. Ce constat n'avait pas échappé au grand rouquin posté dans son dos. Je le voyais s'empresser de rapporter l'information à ces deux copains de droite et de gauche.
Les bips de mon téléphone allaient alors se succéder avec ma chérie qui ouvrait le feu
- Chéri, tu arrives oui ou non.
- Je suis au second rang mais impossible de venir jusqu'à toi, trop de monde. Mais je vois que tu es en jeune compagnie. (Je joignais la photo des trois jeunots qui se pressaient de chaque côté et dans son dos)
Réceptionnant mon message, ma femme tournait la tête m'envoyant un large souri
- Oui tu as remarqué, le grand rouquin juste derrière moi, ne rate pas une occasion de se presser contre mon cul.
- Ma chérie, je pense qu'il s'empresse de le dire à ses copains. Dit donc, trois jeunots dans la vingtaine que tes charmes font bander, franchement ça m'excite.
- À ce point là, Daniel tu es incorrigible, mais c'est vrai qu'ils ont tendance à me serrer de plus en plus.
- En même temps ma douce, ce n'est pas tous les jours qu'il voit une femme mettre un haut de jogging sans soutien-gorge, là tu fais fort.
- Ben quoi, ce serait bien la première fois que tu me le reprocherais. J'ai encore la chance d'avoir une poitrine ferme alors j'en profite. Et si tu veux tout savoir, j'ai la culotte assortie à mon soutien-gorge. (Smiley rire).
- Ah d'accord donc pas de culotte non plus. Un petit smiley pour toi ma chérie (petite cochonne rose)
- Ouah, le rouquin vient de me mettre sa main sur ma fesse droite.
Effectivement je voyais clairement ce grand gaillard caresser la hanche et la fesse droite de ma femme.
Maintenant il se saisissait de ses deux hanches pour lui faire cambrer les reins.
- Mon chéri c'est clair, le rouquin me serre de près et son excitation s'exprime clairement dans mon sillon fessier. Je lui mets une baffe ou on profite.
- Ma chérie je suis clairement excité. Vu d'ici, tu as trois gamins rouges comme des tomates dans ton dos.
- Ben mon amour je ne sais pas pour les tomates, mais pour la carotte elle est longue et grosse, et le gaillard me l'agite lentement de bas en haut dans la raie. Tu veux profiter du spectacle.
- Arrête vilaine tu me fais bander, cette situation est follement excitante.
- Ça t'excite de voir ces petits jeunots tenter leur chance.
- Non ce qui m'excite c'est te voir prendre du plaisir tu le sais bien.
- Alors mon chéri profite du spectacle.
Je voyais alors Émilie accrocher son téléphone à la rambarde l’objectif tourné vers elle je découvrais alors, les visages de trois garçons qui souriaient de la situation. Ma petite femme m'envoyait un petit coup d'oeil coquin.
Elle tirait légèrement vers le bas, la fermeture éclair de sa veste de jogging. Ce geste n'avait pas échappé à ses deux jeunes voisins de droite et de gauche qui, découvrant le sillon de ses seins.
S'empressait d'en informer le grand rouquin qui se penchait au-dessus de son épaule gauche pour profiter du paysage.
Je deviens spectateur, Émilie raconte.
Je savais que Daniel était excité de me voir entouré de ces trois jeunes excités.
À ma droite le petit brun se prénommait Clément, derrière moi c'était Théo et à ma gauche le chevelu frisé Maxime.
J'avais effectivement formé un joli décolleté en baissant la fermeture de mon haut de jogging.
Les grimaces de Clément à l'adresse de ses deux potes ne m'avaient pas échappé et le doigt au-dessus de ma tête leur indiquait clairement ou il fallait regarder.
Théo qui me tenait par les hanches se penchait par-dessus mon épaule gauche, pour évaluer si ma poitrine était aussi bandante que mes fesses, avec lesquelles il jouait depuis quelques minutes.
Je sentais la chaleur de son souffle dans mon cou, et ses lèvres se rapprochaient de mon oreille.
Nos trois jeunes passent à l'action
- Alors jolie madame, vous êtes seule et en plus vous soutenez l'équipe adverse.
- Je ne suis pas seule, je suis mariée et il est vrai que je suis pour les rouges et mon prénom est Émilie.
- Émilie ton mari n'est pas là et c'est tant mieux car franchement tu nous excites grave moi et mes copains.
Le coquin en prononçant ces mots avait glissé ses deux mains sous mon jogging et malaxait sans ménagement les deux seins.
- Ouah les gars elle n'a pas de soutif la belle.
- Tu déconnes
- Non regardez
Il enlevait ses mains, Clément d'un coup sec baissait totalement ma Fermeture Éclair, dévoilant totalement ma poitrine. Maxime s'était immédiatement emparé de mon téton gauche et Clément du droit. Avec la fougue de leur jeunesse ils tiraient pressaient tapotant parfois le dessous de mes seins pour les faire tressaillir.
- Ho les jeunes je crois que nous ne sommes pas à jeu égal.
- Qu'est-ce que tu veux dire
- Vous me mettez les seins à l'air alors présentez-moi vos jolies queues.
- Mince alors vous ne manquez pas d'air.
- Quoi, vos copines ne vous parlent pas comme ça !
Sans les laisser respirer, je glissais mes deux mains dans leurs joggings.
- Ah ! la vache elle me touche les couilles.
Effectivement je caressais leurs testicules et les griffais gentiment de mes ongles. Je m'emparais de la base de leurs verges et les gratifiais de petites pressions de l'anneau que je formais de mon pouce et mon index.
Théo était resté tétanisé. Mais se reprenant, il venait de glisser ses deux mains dans mon pantalon de jogging
- Ho les mecs je rêve, elle n'a pas de culotte. Mais c'est dingue
- Théo, arrête de parler ne soit pas timide et met ta jolie queue au chaud entre mes fesses.
Il avait baissé mon pantalon juste sous le galbe de mes fesses, je sentais à présent sa jeune queue frotter ma raie culière. Son excitation était telle que son gland inondait carrément mon petit oeillet.
- Émilie, je n'arriverai pas à atteindre ta chatte tu n'es pas suffisamment cambrée.
- Mon grand Théo qui te parle de prendre ma chatte. C'est le domaine privé de mon mari.
- Désolé je croyais que..
- Alors mon grand, tu ignores donc l'entrée des artistes. Ne soit pas timide glisse ton gland dans mon petit cul à moins que tu préfères te masturber.
De mes deux mains, je masturbais maintenant mes deux acolytes de droite et de gauche. Ils n'étaient pas bien gros, l'émotion ou la peur d'être vu, je titillais leurs glands de mes index, étalant le liquide que m'offraient leurs méats.
Une initiation pour Théo
Théo s'était enhardi, son gland pénétrait avec délicatesse mon anus. Mon expérience me permettait de l'aider. Par mes petites poussées maîtrisées, mon anus serrait puis relâchait le bout de son gland.
Les gémissements de Théo, me confirmaient l'efficacité de mes petites pressions anales sur son membre.
- Ah ! Émilie tu es diabolique, c'est dingue ton cul est divin, c'est chaud et tellement serré.
- Alors mon Théo, encule-moi ne soit pas timide. Profites-en car nous ne nous reverrons jamais plus.
- Non pourquoi
- Parce que seule la première fois est bonne mon grand et que je suis mariée.
Il me pénétrait alors d'un grand coup de reins rageur, la foule hurlait au rythme du match heureusement car ce grand rouquin à chaque saillie me faisait crier. Les deux mains de ses collègues qui masturbaient violemment ma chatte étaient inondées par ma jouissance. Je m'adressai à eux deux.
- Les jeunes faites moi plaisir, j'adore voir un homme se masturber. Alors allez-y.
Je libérais leurs sexes dont ils se saisissaient imprimant un mouvement qu'ils maitrisaient parfaitement au regard de leur âge.
Je glissais alors mes deux mains sur leurs jolis petits culs que je caressais. J'entendais leurs gémissements. Je savais par avance, que je déclencherai quand je le souhaiterais, leurs éjaculations.
Petits doigts et index écartant sur leurs fesses, je commençais avec chatouiller leurs petits anus serrés.
Mes annulaires et majeurs encore humides du liquide que m'avaient offert leurs glands frémissants, dessinaient de petits cercles qui, à chaque tour, faisaient trembler ces petits oeillets vierges.
Clément et Maxime avaient posé leurs têtes à la naissance de mes seins, ils se branlaient d'une main et caressaient ma chatte qui les honorait de petits jets de plaisir.
Leurs souffles étaient court et je percevais leur gémissements de jouissance.
- Ho oui, c'est bien mes jolis, vous m'excitez grave, j'aime voir vos jolis sexes que vous masturbez pour moi. Plus vite oui, comme ça, c'est bien.
Théo qui me sodomisait profondément à grand coup de reins.
Le moment était venu de montrer à ces jeunes, que je menais la danse.
Je contractais mes sphincters pressant au maximum le gland de Théo, dans le même temps je pénétrais profondément de mes deux doigts les anus de Maxime et de Clément. D'une petite pression sur leurs prostates, je déclenchais un feu d'artifice de jouissance.
Dans un cri à l'unisson, mes trois jeunes se crispaient sous l'effet de mes caresses.
Théo gratifiait mon cul de quatre longues et puissantes giclées, rythmées par les pressions successives de mon anus sur son gland.
Maxime et Clément éjaculaient copieusement dans leurs mains gauches.
Je souriait de voir leur évident embarras face à la situation. Je leurs tendait un mouchoir et j'éclatais de rire à les entendre me dire
- Merci madame.
Je me retournai et les regardais, je leur faisais à chacun une bise affectueuse et avec mon plus beau sourire je leur déclarai
- Bon les jeunes au second rang c'est mon mari, je vais le rejoindre car je l'aime et je ne fais jamais rien sans son consentement. Je leur montrais alors le message de Daniel.
- Tu as été au top ma chérie, tu as fait jouir ses trois jeunes de manière magistrale. Je t'aime et la vie nous comble de ces plaisirs que les jaloux possessifs ne connaitront jamais.
Et la cerise sur le gâteau, ce soir-là, notre équipe gagnait sur l'équipe que soutenaient nos trois jeunes étalons. Quelle belle victoire non.
Émilie m'avait rejoint après un long baiser, nous cheminions vers les nouvelles aventures que la vie voudrait bien encore nous offrir.
Je vais griller quelques étapes pour vous projeter dans l'année des premiers MMS. Nous étions alors un couple d'âges mûrs. Émilie m'avait donné deux enfants. Ses grossesses nous avaient révélé des aventures érotiques très particulières. Je vous raconterai plus tard.
Aujourd'hui je voudrais vous faire partager notre expérience lors des premières années MMS et autres échanges photos et vidéo. Émilie affichait une quarantaine rayonnante. Jeune elle attirait les messieurs d'un certain âge, et en cette année là c'était le regard des jeunes hommes qui m'amusait.
Match de basket Émilie rendez-vous au Stadium
Nous étions en plein hiver et ce soir-là au stadium, l'événement c'était la rencontre de basket de haut niveau qui opposait l'équipe locale de rouge vêtue au bleu champion de France.
Les places assises dans les gradins étant totalement réservées, elle avait obtenu d'être au dernier étage qui ne possédait pas de fauteuil et où le public se pressait contre la rambarde surplombée d'un Plexiglas qui dominait le parquet de jeu. Émilie passionnée de ce sport, m'avait demandé de la rejoindre, il m'était impossible d'être à l'heure ayant une réunion au bureau. Très en retard, je poussais la porte qui donnait accès aux gradins.
Entr’apercevait ma chérie pressée contre la rambarde. Je me glissais au travers de ce public compact, mais j'étais totalement stoppé au second rang sur sa droite. Impossible de la rejoindre.
Je voyais par contre très clairement les joyeux drilles qui se pressaient dans son dos
pour apercevoir les phases de jeux de nos sportifs.
Trois jeunes sous le charme d’Émilie
En surplomb, j'avais une vue plongeante sur le petit cul de ma femme qui s'agitait dans son jogging rouge à chaque panier de notre équipe. Elle sautait, les mains en l'air pour applaudir, ce qui avait pour effet de remonter son haut. Elle dévoilait alors son dos nu aux trois jeunes en jogging rouge, présents derrière elle.
Manifestement elle n'avait pas mis de soutien gorge. Ce constat n'avait pas échappé au grand rouquin posté dans son dos. Je le voyais s'empresser de rapporter l'information à ces deux copains de droite et de gauche.
Les bips de mon téléphone allaient alors se succéder avec ma chérie qui ouvrait le feu
- Chéri, tu arrives oui ou non.
- Je suis au second rang mais impossible de venir jusqu'à toi, trop de monde. Mais je vois que tu es en jeune compagnie. (Je joignais la photo des trois jeunots qui se pressaient de chaque côté et dans son dos)
Réceptionnant mon message, ma femme tournait la tête m'envoyant un large souri
- Oui tu as remarqué, le grand rouquin juste derrière moi, ne rate pas une occasion de se presser contre mon cul.
- Ma chérie, je pense qu'il s'empresse de le dire à ses copains. Dit donc, trois jeunots dans la vingtaine que tes charmes font bander, franchement ça m'excite.
- À ce point là, Daniel tu es incorrigible, mais c'est vrai qu'ils ont tendance à me serrer de plus en plus.
- En même temps ma douce, ce n'est pas tous les jours qu'il voit une femme mettre un haut de jogging sans soutien-gorge, là tu fais fort.
- Ben quoi, ce serait bien la première fois que tu me le reprocherais. J'ai encore la chance d'avoir une poitrine ferme alors j'en profite. Et si tu veux tout savoir, j'ai la culotte assortie à mon soutien-gorge. (Smiley rire).
- Ah d'accord donc pas de culotte non plus. Un petit smiley pour toi ma chérie (petite cochonne rose)
- Ouah, le rouquin vient de me mettre sa main sur ma fesse droite.
Effectivement je voyais clairement ce grand gaillard caresser la hanche et la fesse droite de ma femme.
Maintenant il se saisissait de ses deux hanches pour lui faire cambrer les reins.
- Mon chéri c'est clair, le rouquin me serre de près et son excitation s'exprime clairement dans mon sillon fessier. Je lui mets une baffe ou on profite.
- Ma chérie je suis clairement excité. Vu d'ici, tu as trois gamins rouges comme des tomates dans ton dos.
- Ben mon amour je ne sais pas pour les tomates, mais pour la carotte elle est longue et grosse, et le gaillard me l'agite lentement de bas en haut dans la raie. Tu veux profiter du spectacle.
- Arrête vilaine tu me fais bander, cette situation est follement excitante.
- Ça t'excite de voir ces petits jeunots tenter leur chance.
- Non ce qui m'excite c'est te voir prendre du plaisir tu le sais bien.
- Alors mon chéri profite du spectacle.
Je voyais alors Émilie accrocher son téléphone à la rambarde l’objectif tourné vers elle je découvrais alors, les visages de trois garçons qui souriaient de la situation. Ma petite femme m'envoyait un petit coup d'oeil coquin.
Elle tirait légèrement vers le bas, la fermeture éclair de sa veste de jogging. Ce geste n'avait pas échappé à ses deux jeunes voisins de droite et de gauche qui, découvrant le sillon de ses seins.
S'empressait d'en informer le grand rouquin qui se penchait au-dessus de son épaule gauche pour profiter du paysage.
Je deviens spectateur, Émilie raconte.
Je savais que Daniel était excité de me voir entouré de ces trois jeunes excités.
À ma droite le petit brun se prénommait Clément, derrière moi c'était Théo et à ma gauche le chevelu frisé Maxime.
J'avais effectivement formé un joli décolleté en baissant la fermeture de mon haut de jogging.
Les grimaces de Clément à l'adresse de ses deux potes ne m'avaient pas échappé et le doigt au-dessus de ma tête leur indiquait clairement ou il fallait regarder.
Théo qui me tenait par les hanches se penchait par-dessus mon épaule gauche, pour évaluer si ma poitrine était aussi bandante que mes fesses, avec lesquelles il jouait depuis quelques minutes.
Je sentais la chaleur de son souffle dans mon cou, et ses lèvres se rapprochaient de mon oreille.
Nos trois jeunes passent à l'action
- Alors jolie madame, vous êtes seule et en plus vous soutenez l'équipe adverse.
- Je ne suis pas seule, je suis mariée et il est vrai que je suis pour les rouges et mon prénom est Émilie.
- Émilie ton mari n'est pas là et c'est tant mieux car franchement tu nous excites grave moi et mes copains.
Le coquin en prononçant ces mots avait glissé ses deux mains sous mon jogging et malaxait sans ménagement les deux seins.
- Ouah les gars elle n'a pas de soutif la belle.
- Tu déconnes
- Non regardez
Il enlevait ses mains, Clément d'un coup sec baissait totalement ma Fermeture Éclair, dévoilant totalement ma poitrine. Maxime s'était immédiatement emparé de mon téton gauche et Clément du droit. Avec la fougue de leur jeunesse ils tiraient pressaient tapotant parfois le dessous de mes seins pour les faire tressaillir.
- Ho les jeunes je crois que nous ne sommes pas à jeu égal.
- Qu'est-ce que tu veux dire
- Vous me mettez les seins à l'air alors présentez-moi vos jolies queues.
- Mince alors vous ne manquez pas d'air.
- Quoi, vos copines ne vous parlent pas comme ça !
Sans les laisser respirer, je glissais mes deux mains dans leurs joggings.
- Ah ! la vache elle me touche les couilles.
Effectivement je caressais leurs testicules et les griffais gentiment de mes ongles. Je m'emparais de la base de leurs verges et les gratifiais de petites pressions de l'anneau que je formais de mon pouce et mon index.
Théo était resté tétanisé. Mais se reprenant, il venait de glisser ses deux mains dans mon pantalon de jogging
- Ho les mecs je rêve, elle n'a pas de culotte. Mais c'est dingue
- Théo, arrête de parler ne soit pas timide et met ta jolie queue au chaud entre mes fesses.
Il avait baissé mon pantalon juste sous le galbe de mes fesses, je sentais à présent sa jeune queue frotter ma raie culière. Son excitation était telle que son gland inondait carrément mon petit oeillet.
- Émilie, je n'arriverai pas à atteindre ta chatte tu n'es pas suffisamment cambrée.
- Mon grand Théo qui te parle de prendre ma chatte. C'est le domaine privé de mon mari.
- Désolé je croyais que..
- Alors mon grand, tu ignores donc l'entrée des artistes. Ne soit pas timide glisse ton gland dans mon petit cul à moins que tu préfères te masturber.
De mes deux mains, je masturbais maintenant mes deux acolytes de droite et de gauche. Ils n'étaient pas bien gros, l'émotion ou la peur d'être vu, je titillais leurs glands de mes index, étalant le liquide que m'offraient leurs méats.
Une initiation pour Théo
Théo s'était enhardi, son gland pénétrait avec délicatesse mon anus. Mon expérience me permettait de l'aider. Par mes petites poussées maîtrisées, mon anus serrait puis relâchait le bout de son gland.
Les gémissements de Théo, me confirmaient l'efficacité de mes petites pressions anales sur son membre.
- Ah ! Émilie tu es diabolique, c'est dingue ton cul est divin, c'est chaud et tellement serré.
- Alors mon Théo, encule-moi ne soit pas timide. Profites-en car nous ne nous reverrons jamais plus.
- Non pourquoi
- Parce que seule la première fois est bonne mon grand et que je suis mariée.
Il me pénétrait alors d'un grand coup de reins rageur, la foule hurlait au rythme du match heureusement car ce grand rouquin à chaque saillie me faisait crier. Les deux mains de ses collègues qui masturbaient violemment ma chatte étaient inondées par ma jouissance. Je m'adressai à eux deux.
- Les jeunes faites moi plaisir, j'adore voir un homme se masturber. Alors allez-y.
Je libérais leurs sexes dont ils se saisissaient imprimant un mouvement qu'ils maitrisaient parfaitement au regard de leur âge.
Je glissais alors mes deux mains sur leurs jolis petits culs que je caressais. J'entendais leurs gémissements. Je savais par avance, que je déclencherai quand je le souhaiterais, leurs éjaculations.
Petits doigts et index écartant sur leurs fesses, je commençais avec chatouiller leurs petits anus serrés.
Mes annulaires et majeurs encore humides du liquide que m'avaient offert leurs glands frémissants, dessinaient de petits cercles qui, à chaque tour, faisaient trembler ces petits oeillets vierges.
Clément et Maxime avaient posé leurs têtes à la naissance de mes seins, ils se branlaient d'une main et caressaient ma chatte qui les honorait de petits jets de plaisir.
Leurs souffles étaient court et je percevais leur gémissements de jouissance.
- Ho oui, c'est bien mes jolis, vous m'excitez grave, j'aime voir vos jolis sexes que vous masturbez pour moi. Plus vite oui, comme ça, c'est bien.
Théo qui me sodomisait profondément à grand coup de reins.
Le moment était venu de montrer à ces jeunes, que je menais la danse.
Je contractais mes sphincters pressant au maximum le gland de Théo, dans le même temps je pénétrais profondément de mes deux doigts les anus de Maxime et de Clément. D'une petite pression sur leurs prostates, je déclenchais un feu d'artifice de jouissance.
Dans un cri à l'unisson, mes trois jeunes se crispaient sous l'effet de mes caresses.
Théo gratifiait mon cul de quatre longues et puissantes giclées, rythmées par les pressions successives de mon anus sur son gland.
Maxime et Clément éjaculaient copieusement dans leurs mains gauches.
Je souriait de voir leur évident embarras face à la situation. Je leurs tendait un mouchoir et j'éclatais de rire à les entendre me dire
- Merci madame.
Je me retournai et les regardais, je leur faisais à chacun une bise affectueuse et avec mon plus beau sourire je leur déclarai
- Bon les jeunes au second rang c'est mon mari, je vais le rejoindre car je l'aime et je ne fais jamais rien sans son consentement. Je leur montrais alors le message de Daniel.
- Tu as été au top ma chérie, tu as fait jouir ses trois jeunes de manière magistrale. Je t'aime et la vie nous comble de ces plaisirs que les jaloux possessifs ne connaitront jamais.
Et la cerise sur le gâteau, ce soir-là, notre équipe gagnait sur l'équipe que soutenaient nos trois jeunes étalons. Quelle belle victoire non.
Émilie m'avait rejoint après un long baiser, nous cheminions vers les nouvelles aventures que la vie voudrait bien encore nous offrir.
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J AI adoré ce recit subtil et original, bandant. histoire vraie ou pas?