Mathilde découvre sa nouvelle entreprise
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mathilde découvre sa nouvelle entreprise
Mathilde venait d’être embauchée comme DRH dans une nouvelle entreprise et était en train de terminer avec satisfaction sa première semaine de travail.
Il était vendredi après-midi et traditionnellement il s’agissait d’une journée courte pour la plupart des employés. Aussi, dès midi, il n’y avait plus grand monde dans les couloirs. Et à 16h lorsqu’elle se rendit devant le copieur pour récupérer ses impressions, elle eut le sentiment d’être bien seule dans le bâtiment.
Alors qu’elle récupérait ses feuilles, elles entendit un bruit insolite provenant du fond du couloir. Puis plus aucun bruit. Elle se figea à l’affût d’un son. Comme rien ne se produisit, elle allait repartir, quand le bruit se fit à nouveau entendre. Elle en était persuadée : elle avait entendu des bruits d’ébats.
Entre étonnement, gêne et curiosité, elle longea le couloir en direction des sons. Suivant les bruits, à l’embranchement du couloir, elle fila à droite. Plus elle approchait du bureau du directeur, plus les bruits de plaisirs se faisaient forts.
Elle s’arrêta au niveau de la porte entrouverte du bureau. Elle pencha légèrement la tête. Elle y vit Céline, la responsable de la comptabilité, penchée en avant sur le bureau la jupe retroussée sur la taille. C’était une belle femme, d’une quarantaine d’années, des cheveux châtains avec des reflets blonds et toujours attachés. Elle avait de beaux yeux bleus et une peau naturellement hâlée. Elle était dynamique et toujours sûre d’elle.
Mathilde la voyait de trois quart dos et comme le visage de la comptable était tournée vers les fenêtres opposées cette dernière ne pouvait pas voir l’intruse. Derrière Céline s’affairait Alexandre, le directeur de l’entreprise, avec qui elle avait passé un entretien d’embauche quelques semaines auparavant.
Alors qu’elle aurait dû partir, Mathilde se sentit intriguée. Elle resta à observer le couple en train de baiser. Alexandre donnait de grands coups de reins tandis que sa partenaire gémissait sous les puissants assauts de son amant.
Le regard de Mathilde se porta sur les jambes nues de Céline qu’elle trouva belles et sur lesquelles un string rose s’étirait entre les genoux.
- Oui, comme ça ! Défonce-moi la chatte ! S’écria Céline.
Cette dernière tourna soudainement la tête à l’opposé des fenêtres et aperçut, un peu derrière elle, Mathilde blottie dans l’encadrement de la porte.
L’intruse tressaillit de surprise tandis que la comptable ne sembla pas gênée. Elle la fixa et lui sourit en continuant de se faire besogner par son partenaire comme si de rien n’était.
Mathilde et Céline restèrent un moment à se regarder, chacune trouvant du plaisir à fixer l’autre, jusqu’à ce que Mathilde, troublée, s’en aille finalement.
Elle regagna la tranquillité de son bureau. Elle était un peu déstabilisée par ce qui venait de se passer. Outre l’embarras de s’être immiscée dans cette intimité, elle était perturbée de ressentir des picotements dans son ventre.
N’étant plus capable de travailler, elle prit ses affaires et rentra précipitamment chez elle.
La semaine suivante, elle se trouvait fort gênée à chaque fois qu’elle était en présence de Céline. Mais cette dernière ne fit aucune allusion à ce qui s’était passé le vendredi précédent et se comportait normalement avec elle. Aussi, Mathilde finit-elle par ne plus repenser à cette fâcheuse situation, jusqu’au vendredi suivant. Vers les mêmes heures que la semaine précédente, elle s’interrogea pour savoir s’il s’agissait d’une relation récurrente ou d’un coup occasionnelle.
Ne pouvant contenir sa curiosité plus longtemps, à pas de loup, elle se dirigea vers le bureau du directeur. Elle ne croisa personne sur le trajet, l’entreprise étant toujours quasi déserte à cette heure.
En approchant, des bruits sans équivoques répondirent à ses interrogations. Elle se colla au mur, approcha doucement la tête de la porte. Elle vit alors Céline, couchée sur le bureau. Sa jupe était remontée sur son ventre et son amant, debout entre ses jambes qu’il tenait avec ses mains, la baisait avec énergie. La comptable avait les yeux fermés et poussait de petits gémissements de plaisir à chaque fois que la queue de son partenaire s’enfonçait au plus profond de son ventre.
Céline ouvrit les yeux, comme ayant ressentit la présence de Mathilde, et porta son regard sur cette dernière et lui sourit. Mathilde resta figée, incapable de bouger. Elle regardait sa collègue se faire prendre et la situation l’hypnotisait autant qu’elle l’excitait.
Céline ne dit rien et fixait l’intruse. Elle admirait cette jolie collègue qui avait au moins 10 ans de moins, brune, des cheveux ondulant de part et d’autre de son visage et un regard d’un noir profond. Elle avait une voix douce et était relativement réservée. Elle était toujours bien apprêtée et aimait se sentir belle mais n’en était pas hautaine pour autant. Elle restait simple et agréable à côtoyer.
La comptable semblait prendre beaucoup de plaisir également à être observée en train de faire l’amour. Mathilde pour sa part sentait son ventre s’enflammer en voyant la scène se dérouler sous ses yeux. Cette fois ci, elle resta plus longtemps, excitée par ce qui se passait. Sa chatte s’humidifia très vite tandis qu’elle ne pouvait détacher son regard de ce couple en train de se faire plaisir.
Soudain Alexandre poussa un râle de plaisir et vida ses couilles dans le ventre de la comptable. Cette dernière, en sentant son amant l’inonder, fût prise à son tour d’un orgasme. Mathilde admira le visage comblée de sa collègue puis reprit ses esprits et s’en alla à toute vitesse.
Elle repassa rapidement par son bureau et s’en alla, autant excitée que troublée.
Dans le courant de la semaine, elle se surprit à ressentir de l’impatience. Elle était pressée d’être à vendredi dans l’espoir de pouvoir observer le couple baiser. Elle se découvrait un plaisir de voyeuse.
Le jour tant attendu arriva et vers l’heure habituelle elle se trouva à son poste d’observation. Dès qu’elle arriva, elle croisa le regard de Céline qui fixait la porte, comme impatiente également de voir sa spectatrice, pressée de s’offrir à son regard concupiscent.
La comptable était allongée sur le bureau, ses jambes écartées autour du visage d’Alexandre qui lui administrait un cunnilingus.
Contrairement à d’habitude, Céline était entièrement nue. Mathilde remarqua une robe et de jolis sous-vêtements qui jonchaient le sol. Elle vit aussi le boxer rouge du directeur traîner parterre. Elle se mit à penser qu’il devait être beau avec. C’était en effet un bel homme entre trente et quarante ans, toujours élégant malgré des tenus simples. Il était brun, une légère barbe grisonnante et des mains puissantes que Céline se surprit à désirer. Il était sportif et cela se lisait sur son corps que la jeune femme détailla avec envie.
Lorsque Céline vit sa voyeuse arriver, elle plongea sa main entre ses jambes et se caressa le clitoris en ne lâchant pas du regard Mathilde. Cette dernière ressentit une forte excitation devant ce geste. Ses tétons se mirent à pointer sous le tissus de son chemisier tandis que sa chatte s’humidifia très vite. Machinalement, elle se mit à se caresser les seins.
Alexandre se releva et pénétra avec fougue sa partenaire.
Pour les deux femmes, le regard noyé dans les yeux de l’autre, le temps semblait s’arrêter.
Soudain, Céline eu un orgasme qu’elle exprima de façon retenu mais avec les yeux toujours fixés sur la jeune DRH. Cette dernière ressentit un flot d’excitation la parcourir devant le plaisir partagé par la comptable.
« Regarde-moi ! Je vais jouir ! » s’exclama Alexandre d’une voix étouffée après quelques minutes de va-et-vient.
Mathilde eu l’impression de ressentir les jets de sperme inonder sa chatte lorsqu’elle entendit l’homme exprimer son plaisir. Ne voulant pas être là à la fin de l’ébat, elle reprit ses esprits et s’en alla rapidement.
Arrivée à son bureau, elle se cala dans son fauteuil, retroussa sa jupe et plongea sa main dans sa culotte. Elle n’eut pas besoin de se caresser longtemps avant d’atteindre à son tour un orgasme libérateur. Soulagée, elle partit en week-end.
Lorsqu’elles se croisaient, dans les couloirs, à la pause café ou lors des réunions, Mathilde voyait Céline d’un autre œil. Elle la regardait maintenant avec une certaine curiosité et surtout une palpable excitation. Bien qu’étant hétéro, elle se surprit à la désirer. Elle devait reconnaître qu’elle la trouvait belle.
Mathilde s’était caressée plusieurs fois dans son lit en repensant à Céline et à Alexandre. La comptable, le directeur, sa chatte, ses seins, sa queue, leurs ébats, le voyeurisme, tout l’excitait beaucoup.
Le vendredi arrivant, Mathilde, emportée par ses pulsions se faufila jusqu’au bureau du directeur où elle espérait bien l’y trouver avec sa maîtresse. Son souhait fut exhaussé, comme chaque semaine.
Elle y trouva Céline allongée sur le bureau. Elle ne la voyait pas vraiment mais avait plutôt la vision de ses jambes au milieu desquelles s’affairait Alexandre.
Son regard se fixa sur le directeur qui ne portait plus que sa chemise blanche. Elle scruta ses jambes musclées, remonta sur les cuisses puissantes et laissa son imagination se perdre sur les fesses de l’homme qu’elle imagina bien fermes, prise d’un puissant désir de les palper.
Elle se retrouva quelque peu envoûtée par ce corps et par les mouvements réguliers de son bassin. Le directeur ôta sa chemise et la jeta au sol. Mathilde pu alors observait avec délectation les belle fesses d’Alexandre avancer et reculer à chaque fois qu’il s’enfonçait au plus profond du ventre de Céline.
La jeune femme sentait le plaisir prendre possession de son corps. Les petits gémissements de sa collègue accentuait son excitation.
Alexandre aida Céline à se relever, et la guida sur le côté de la pièce, adossée au mur. En se déplaçant, Céline croisa le regard émoustillé de Mathilde. Elle lui sourit.
Plaquée contre le mur, Alexandre souleva une des jambes de sa partenaire et reprit possession de son corps. La comptable, la tête posée sur l’épaule de son amant fixait la jeune DRH, en ne fermant que brièvement les yeux lorsque qu’une vague de frisson la parcourait.
A la regarder ainsi, Mathilde avait l’impression de recevoir tout le flot de plaisir de Céline. Son corps brûlait de désir aussi glissa-t-elle sa main dans son intimité dévorée par le feu. Elle releva sa jupe puis se caressa au travers de sa lingerie. Puis, voulant avoir plus de sensation, elle glissa sa main dans son string vert en dentelle pour toucher son clitoris. Le contact de ses doigts sur son bouton dressé la fit tressaillir. Elle étouffa un gémissement de plaisir.
Mathilde observait les mouvements, les caresses, les bruits, et ressentait les sensations, les odeurs des corps en action tandis que ses doigts glissaient sur sa chatte humide avec entrain.
Céline la fixait, scrutant avec excitation la main de sa collègue s’agiter sous la dentelle de son string.
L’orgasme qui étreignit soudain la comptable résonna jusque dans le corps de Mathilde qui ne pu que laisser la jouissance l’envahir à son tour. Elle serra les jambes sur sa main emprisonnée dans son string, s’appuya contre la porte et se pinça les lèvres pour laisser passer l’orgasme qui déferlait.
Alors qu’elle s’éclipsait habituellement avant la fin de leurs ébats, elle choisit de rester encore alors qu’elle reprenait ses esprits. Elle voulait entendre Alexandre jouir à son tour.
Tandis qu’elle continuait à se caresser avec lenteur, elle entendit le directeur dire :
- Je vais bientôt jouir !
- Tu veux finir dans ma bouche ?
Il hocha de la tête et se recula tandis que Céline s’accroupissait. Elle prit le sexe en main et le branla avec dextérité. De sa position Mathilde ne voyait pas la queue d’Alexandre, à son grand regret. Céline s’en rendit compte et fit se tourner légèrement son amant pour offrir la vue de son sexe à la voyeuse.
Mathilde pu admirer le membre tendu de l’homme. Elle le trouva beau et eu tout de suite le désir d’en jouir à son tour.
Elle fut sortie de ses rêveries en entendant alors le râle de plaisir qu’il exprima en jouissant. Ses yeux se fixèrent sur la bouche de Céline dont la langue et les lèvres se couvrirent de la semence de son partenaire.
En fixant ostensiblement l’intruse, la comptable avala le sperme et passa sa langue sur ses lèvres pour en récupérer toutes les gouttes.
Bien qu’elle fut très excitée par ce qu’elle venait de voir, Mathilde s’éclipsa.
Tout le week-end suivant, la jeune voyeuse se donna du plaisir en repensant à son couple. Elle se caressait dans son lit, sous la douche ou dans les toilettes publiques d’un supermarché. Ses doigts, des sextoys ou le frottement de son oreiller lui procuraient ses orgasmes.
Lorsque le vendredi suivant arriva, la situation changea cependant. Alors que Mathilde s’était glissée jusqu’au bureau un peu plus tôt que d’habitude, afin de profiter plus longuement des ébats du couple, elle y trouva Céline en train d’embrasser Alexandre avec fougue. Venant de se retrouver, ils avaient tous leurs vêtements. La jeune femme observait les bouches humides s’étreindre avec passion. Machinalement, elle ouvrit les lèvres qu’elle parcourut lentement avec sa langue. Alors que les mains de Céline malaxaient les fesses de son amant, son regard croisa celui de Mathilde, étant toujours à l’affût de sa présence.
Contrairement aux fois précédentes, elle ne se contenta pas de la regarder. De son index, elle lui fit signe d’approcher. Le cœur de Mathilde bondit dans sa poitrine. Comme la jeune RH ne bougeait pas, Céline dit :
- Viens, n’aie pas peur !
Alexandre se retourna, et pour la première fois, dans cette situation, son regard croisa celui de Mathilde. Elle sentit le rouge lui monter aux joues. Elle ne savait pas s’il était au courant de sa présence ces dernières semaines, cependant il ne se montra pas surpris.
Mathilde avança dans le bureau et approcha du couple. Un peu gênée, elle resta muette, tête baissée, comme prise en faute. Ce fût Céline qui brisa le silence
- Mets-toi à l’aise pour nous regarder, proposa-t-elle en désignant le fauteuil derrière le bureau.
La nouvelle venue alla s’asseoir, un peu mal à l’aise, le dos droit, les mains à plat sur ses genoux. Céline s’accroupit, sortit du pantalon avec difficulté la queue dressée et entama une fellation. De la voir faire, d’admirer la queue, d’une taille moyenne mais bien faite, glisser entre les lèvres de sa collègue, cela fit rapidement monter l’excitation dans le corps de Mathilde.
Doucement elle se détendit.
Son regard passait du visage satisfait d’Alexandre à celui appliqué de Céline. Les deux semblaient prendre beaucoup de plaisir, tout comme Mathilde qui se sentait de moins en moins étrangère dans la pièce.
La langue de la comptable s’enroulait avec vigueur autour du gland rose gonflé et suintant de désir. Ses mains glissaient avec un mouvement soutenu sur la queue luisante de salive. Mathilde sentit sa fente s’humidifier et se prit à imaginer ce sexe remplissant sa bouche.
Céline retroussa sa jupe et s’assit sur le coin du bureau. Elle garda un pied au sol et posa l’autre à côté d’une pile de dossiers. Elle écarta la délicate lingerie en dentelle et dévoila sa vulve entièrement lisse. Les yeux de Mathilde furent subjugués par la vue du sexe de sa collègue, qu’elle voyait aussi nettement pour la première fois et qu’elle trouva beau. Elle fut prise d’une folle envie d’y mettre sa bouche Le directeur plongea sa tête entre les jambes et se mit à lécher sa partenaire avec avidité.
Mathilde ne voyait plus trop l’intimité de Céline mais imaginait sans mal ce que son amant pouvait lui faire, guidée par les mouvements d’Alexandre ou les bruits de plaisir de la comptable.
La chaleur se faisait de plus en plus grande entre ses jambes à mesure qu’elle fantasmait sur la langue du directeur léchant sa propre chatte, se délectant de son jus. La jeune femme très excitée, se tortillait sur le fauteuil, caressait au travers du tissus ses mamelons dressés. Mathilde, ne tenant plus, s’adossa dans le siège, retroussa sa robe. Céline fixa avec envie la fente humide de sa collègue visible au travers du string en dentelle très transparent. La jeune RH plongea sa main sous le tissus et se caressa en poussant un profond soupir de satisfaction.
Alexandre se releva et pénétra avec douceur Céline qui poussa un léger gémissement de plaisir. Son amant glissa ses mains dans son soutien-gorge pour en libérer les seins qu’il désirait ressentir directement sous ses doigts.
Mathilde fixait le bassin du directeur qui dansait en rythme et ressentait une forte envie d’avoir ce sexe en elle. A défaut du membre d’Alexandre, elle enfonça deux doigts dans sa chatte trempée. Elle cala son mouvement sur celui de l’homme qu’elle observait.
Quant à la comptable, elle sentait l’orgasme monter en elle. Le sexe de son amant qui plongeait dans son ventre et la vue de la main de sa collègue qui bougeait frénétiquement sous la dentelle de son string jaune la rendait folle.
Pour faire durer le plaisir, Céline fit s’arrêter Alexandre et se releva. Elle l’embrassa longuement puis se mit à genoux entre les jambes de Mathilde. Elle approcha doucement son visage, en ne lâchant pas du regard la jeune femme qui avait cessé de se doigter. Elle écarta un peu plus le string et déposa sa langue sur sa vulve et remonta toute la fente jusqu’au clitoris. Les deux femmes se fixaient toujours. Céline poursuivit son cunnilingus avec passion.
Pendant qu’elle s’appliquait à donner du plaisir, Alexandre se plaça debout derrière Céline. Jambes pliées et mains posées sur les hanches de sa partenaire, il remit sa queue en elle et fit d’amples mouvements de bassin, de façon un peu animal.
Mathilde ne fixait plus Céline. Elle avait les yeux fermés et se laissait envahir par le plaisir. C’était la première fois qu’elle avait une relation avec une femme et trouvait que le cunnilingus de sa collègue était simplement divin.
A son grand regret, Céline arrêta là et se plaça dans la largeur du bureau, le genou gauche et les avants bras posés sur celui-ci. Son visage se retrouva proche du ventre de Mathilde. Son amant reprit son va-et-vient dans son dos. La jeune RH observait alternativement le visage de Céline et d’Alexandre qui exprimaient chacun à leur façon le plaisir qu’ils ressentaient. La comptable tendit la main et caressa le clitoris de la jeune femme.
Après un long pilonnage vigoureux de son amant, l’orgasme de Céline refit son apparition. Elle se laissa envahir cette fois par le plaisir qui déferla dans tout son corps. Pendant toute la durée de sa jouissance elle ne lâcha pas Mathilde du regard.
Peu après, Alexandre jouit à son tour en exprimant peu son plaisir.
- Tu as envie de la baiser ? demanda Céline à son amant.
- Ho oui !
- Et toi, tu voudrais qu’il te défonce la chatte ? s’enquit l’entremetteuse auprès de sa collègue.
- Ho Oui ! je veux qu’il me baise, répondit simplement Mathilde.
Alexandre s’approcha du fauteuil et la jeune femme prit en bouche la queue flasque et gluante dans sa bouche. Céline s’assit sur le bureau, non loin d’eux, et se mit à caresser sa chatte de laquelle s’écoulait l’onctueuse semence de son amant. Ses doigts plein de sperme glissèrent avec douceur de part et d’autre de sa vulve pour son plus grand plaisir, tandis qu’elle les portait de temps en temps à sa bouche pour en savourer le jus.
Le membre du directeur retrouva sa vigueur sous les adroites attentions de sa jeune RH. Il vint se mettre entre ses jambes, à genoux, lécha avec gourmandise la chatte inondée de mouille. Longuement, il donna du plaisir sa jeune employée. Mathilde fermait les yeux, se laissant envahir par un immense plaisir jusqu’à ce qu’un orgasme s’empare de son corps. La jouissance fut à l’image de son excitation : très fort !
Alexandre se releva et dirigea sa queue vers le bas tandis que sa partenaire relevait le plus possible son bassin. Il plia ses genoux et dirigea son sexe vers l’entrée de l’intimité brûlante de sa partenaire qui réclamait encore du sexe. Le regard de Mathilde se porta sur le membre qui plongeait en rythme en elle et en était presque hypnotisée. Elle en avait eut envie depuis un moment et de le voir et le ressentir enfin lui procura rapidement beaucoup de plaisir.
Céline se caressait de plus belle, ressentant beaucoup d’excitation à voir son homme baiser la voyeuse qui s’immisçait depuis quelques semaines dans leurs ébats. Voyant la comptable se caresser, Alexandre ordonna à Mathilde :
- Va lui bouffer la chatte !
La jeune femme se releva et se pencha en direction de la vulve de sa collègue. Elle admira chaque centimètre de ce joli sexe, en huma les délicieuses odeurs puis se mit à la lécher. Au premier contact Céline exprima un soupir de plaisir. La jeune femme goûtait avec délectation un mélange savoureux de sécrétions vaginales et sperme.
Alexandre, derrière Mathilde, la prenait à nouveau, enfonçant avec lenteur son membre dans le ventre de son employée. Il poursuivit son lent va-et-vient en caressant et griffant le dos et les fesses de sa partenaire.
- Descends de ton bureau, dit le directeur à la comptable. Je vais vous baiser toutes les deux.
Céline obtempéra et vint s’accouder près de sa collègue. Leur visage, tourné l’un vers l’autre, était à quelques centimètres de distances. Elle pouvait sentir le souffle chaud de sa collègue à chaque gémissement de plaisir. Elle sentit les doigts d’Alexandre fouiller sa chatte et s’introduire en elle.
Alexandre vint se mettre derrière Céline et la baisa à son tour, tandis qu’il doigtait maintenant Mathilde. Il changea de position ainsi plusieurs fois, donnant du plaisir aux deux femmes.
Céline se releva et alla s’asseoir dans la fauteuil et se caressa la vulve tandis que Mathilde s’allongea sur le bureau. Les jambes relevés et posées sur la épaules d’Alexandre qui reprit se pénétration. Alors que le plaisir reprenait possession de son corps, Mathilde tourna la tête vers la porte du bureau. Elle espérer y apercevoir un voyeur à son tour, quelqu’un qui, attiré comme elle plusieurs semaines auparavant, serait venu se tapir dans l’embrasure de la porte pour observer leurs ébats. Cette personne aurait ressentit de l’excitation à les observer si bien qu’elle n’aurait pu résister à l’envie de se caresser devant eux.
- Tu voudrais que ce soit qui ? Demanda Céline qui avait comprit les pensées de la jeune femme.
- Arthur, répondit-elle après un moment de réflexion.
- Il est plutôt joli garçon, approuva la comptable.
Mathilde et mit alors à imaginer le jeune homme caché près de la porte, son sexe sortit de son pantalon en train de se masturber. Ils se fixeraient tous les deux, s’abreuvant du plaisir de l’autre. Elle pensa qu’au moment où elle aurait à nouveau un orgasme, son imaginaire voyeur jouirait en même temps, ne pouvant résister aux gémissements de plaisir qu’il entendrait, et répandrait son sperme sur la moquette du bureau.
La main d’Alexandre pressa sa joue pour lui faire tourner la tête. Il voulait qu’il la regarde pendant qu’il la prenait. Mathilde revint à la réalité et porta son regard enflammé sur son partenaire. Elle fit quelques entorses pour admirer Céline se caresser.
Cette dernière lâcha son sexe et se pencha vers la jeune femme pour lui donner un surcroît de plaisir. Elle se mit à lécher ses mamelons dressés et jouer avec le clitoris gonflé de désir, après avoir écarté un peu le string qui la gênait. Mathilde savourait de sentir ses bouts de chairs gonflés roulés sous la langue et les doigts de sa collègue.
A présent appuyée en avant sur le bureau, Alexandre la prenait par derrière. Mathilde jeta à nouveau un coup d’œil vers la porte, mais aucun intrus ne s’était hasardé jusqu’ici. Elle ferma alors les yeux et se laissa envahir par le plaisir. Le pouce de son amant s’aventura jusqu’à son anus et le pénétra avec douceur. La jeune femme ressentit une agréable chaleur l’envahir sous le lent va-et-vient digital.
Son plaisir augmenta encore. Les soupirs se faisaient gémissements. L’orgasme approchait. Une énième profonde pénétration de la queue dans son ventre, un nouveau mouvement du doigt dans son petit trou et la jouissance s’empara de son corps. Elle se mordit les lèvres pour contenir ses gémissements bien qu’elle aurait aimé exprimer son plaisir sans retenu. L’orgasme qui l’envahit était plus fort encore que le premier, tout son corps vibrait sous les ondes de plaisir.
- Je vais jouir aussi ! S’exclama Alexandre.
Le directeur se désaccoupla de la jeune femme et Céline attrapa le membre tendu. Elle le branla doucement jusqu’à qu’il jouisse et répande sa semence sur les fesses de Mathilde. La comptable se pencha sur le fesses et lécha les grosses gouttes de l’onctueux liquide.
Les trois amants réajustèrent leurs vêtements et les deux femmes retournèrent dans leur bureau en riant. Mathilde s’en alla aussitôt chez elle. Son corps était apaisé et son esprit léger. Elle avait vécut une expérience extraordinaire et avait hâte de recommencer.
Il était vendredi après-midi et traditionnellement il s’agissait d’une journée courte pour la plupart des employés. Aussi, dès midi, il n’y avait plus grand monde dans les couloirs. Et à 16h lorsqu’elle se rendit devant le copieur pour récupérer ses impressions, elle eut le sentiment d’être bien seule dans le bâtiment.
Alors qu’elle récupérait ses feuilles, elles entendit un bruit insolite provenant du fond du couloir. Puis plus aucun bruit. Elle se figea à l’affût d’un son. Comme rien ne se produisit, elle allait repartir, quand le bruit se fit à nouveau entendre. Elle en était persuadée : elle avait entendu des bruits d’ébats.
Entre étonnement, gêne et curiosité, elle longea le couloir en direction des sons. Suivant les bruits, à l’embranchement du couloir, elle fila à droite. Plus elle approchait du bureau du directeur, plus les bruits de plaisirs se faisaient forts.
Elle s’arrêta au niveau de la porte entrouverte du bureau. Elle pencha légèrement la tête. Elle y vit Céline, la responsable de la comptabilité, penchée en avant sur le bureau la jupe retroussée sur la taille. C’était une belle femme, d’une quarantaine d’années, des cheveux châtains avec des reflets blonds et toujours attachés. Elle avait de beaux yeux bleus et une peau naturellement hâlée. Elle était dynamique et toujours sûre d’elle.
Mathilde la voyait de trois quart dos et comme le visage de la comptable était tournée vers les fenêtres opposées cette dernière ne pouvait pas voir l’intruse. Derrière Céline s’affairait Alexandre, le directeur de l’entreprise, avec qui elle avait passé un entretien d’embauche quelques semaines auparavant.
Alors qu’elle aurait dû partir, Mathilde se sentit intriguée. Elle resta à observer le couple en train de baiser. Alexandre donnait de grands coups de reins tandis que sa partenaire gémissait sous les puissants assauts de son amant.
Le regard de Mathilde se porta sur les jambes nues de Céline qu’elle trouva belles et sur lesquelles un string rose s’étirait entre les genoux.
- Oui, comme ça ! Défonce-moi la chatte ! S’écria Céline.
Cette dernière tourna soudainement la tête à l’opposé des fenêtres et aperçut, un peu derrière elle, Mathilde blottie dans l’encadrement de la porte.
L’intruse tressaillit de surprise tandis que la comptable ne sembla pas gênée. Elle la fixa et lui sourit en continuant de se faire besogner par son partenaire comme si de rien n’était.
Mathilde et Céline restèrent un moment à se regarder, chacune trouvant du plaisir à fixer l’autre, jusqu’à ce que Mathilde, troublée, s’en aille finalement.
Elle regagna la tranquillité de son bureau. Elle était un peu déstabilisée par ce qui venait de se passer. Outre l’embarras de s’être immiscée dans cette intimité, elle était perturbée de ressentir des picotements dans son ventre.
N’étant plus capable de travailler, elle prit ses affaires et rentra précipitamment chez elle.
La semaine suivante, elle se trouvait fort gênée à chaque fois qu’elle était en présence de Céline. Mais cette dernière ne fit aucune allusion à ce qui s’était passé le vendredi précédent et se comportait normalement avec elle. Aussi, Mathilde finit-elle par ne plus repenser à cette fâcheuse situation, jusqu’au vendredi suivant. Vers les mêmes heures que la semaine précédente, elle s’interrogea pour savoir s’il s’agissait d’une relation récurrente ou d’un coup occasionnelle.
Ne pouvant contenir sa curiosité plus longtemps, à pas de loup, elle se dirigea vers le bureau du directeur. Elle ne croisa personne sur le trajet, l’entreprise étant toujours quasi déserte à cette heure.
En approchant, des bruits sans équivoques répondirent à ses interrogations. Elle se colla au mur, approcha doucement la tête de la porte. Elle vit alors Céline, couchée sur le bureau. Sa jupe était remontée sur son ventre et son amant, debout entre ses jambes qu’il tenait avec ses mains, la baisait avec énergie. La comptable avait les yeux fermés et poussait de petits gémissements de plaisir à chaque fois que la queue de son partenaire s’enfonçait au plus profond de son ventre.
Céline ouvrit les yeux, comme ayant ressentit la présence de Mathilde, et porta son regard sur cette dernière et lui sourit. Mathilde resta figée, incapable de bouger. Elle regardait sa collègue se faire prendre et la situation l’hypnotisait autant qu’elle l’excitait.
Céline ne dit rien et fixait l’intruse. Elle admirait cette jolie collègue qui avait au moins 10 ans de moins, brune, des cheveux ondulant de part et d’autre de son visage et un regard d’un noir profond. Elle avait une voix douce et était relativement réservée. Elle était toujours bien apprêtée et aimait se sentir belle mais n’en était pas hautaine pour autant. Elle restait simple et agréable à côtoyer.
La comptable semblait prendre beaucoup de plaisir également à être observée en train de faire l’amour. Mathilde pour sa part sentait son ventre s’enflammer en voyant la scène se dérouler sous ses yeux. Cette fois ci, elle resta plus longtemps, excitée par ce qui se passait. Sa chatte s’humidifia très vite tandis qu’elle ne pouvait détacher son regard de ce couple en train de se faire plaisir.
Soudain Alexandre poussa un râle de plaisir et vida ses couilles dans le ventre de la comptable. Cette dernière, en sentant son amant l’inonder, fût prise à son tour d’un orgasme. Mathilde admira le visage comblée de sa collègue puis reprit ses esprits et s’en alla à toute vitesse.
Elle repassa rapidement par son bureau et s’en alla, autant excitée que troublée.
Dans le courant de la semaine, elle se surprit à ressentir de l’impatience. Elle était pressée d’être à vendredi dans l’espoir de pouvoir observer le couple baiser. Elle se découvrait un plaisir de voyeuse.
Le jour tant attendu arriva et vers l’heure habituelle elle se trouva à son poste d’observation. Dès qu’elle arriva, elle croisa le regard de Céline qui fixait la porte, comme impatiente également de voir sa spectatrice, pressée de s’offrir à son regard concupiscent.
La comptable était allongée sur le bureau, ses jambes écartées autour du visage d’Alexandre qui lui administrait un cunnilingus.
Contrairement à d’habitude, Céline était entièrement nue. Mathilde remarqua une robe et de jolis sous-vêtements qui jonchaient le sol. Elle vit aussi le boxer rouge du directeur traîner parterre. Elle se mit à penser qu’il devait être beau avec. C’était en effet un bel homme entre trente et quarante ans, toujours élégant malgré des tenus simples. Il était brun, une légère barbe grisonnante et des mains puissantes que Céline se surprit à désirer. Il était sportif et cela se lisait sur son corps que la jeune femme détailla avec envie.
Lorsque Céline vit sa voyeuse arriver, elle plongea sa main entre ses jambes et se caressa le clitoris en ne lâchant pas du regard Mathilde. Cette dernière ressentit une forte excitation devant ce geste. Ses tétons se mirent à pointer sous le tissus de son chemisier tandis que sa chatte s’humidifia très vite. Machinalement, elle se mit à se caresser les seins.
Alexandre se releva et pénétra avec fougue sa partenaire.
Pour les deux femmes, le regard noyé dans les yeux de l’autre, le temps semblait s’arrêter.
Soudain, Céline eu un orgasme qu’elle exprima de façon retenu mais avec les yeux toujours fixés sur la jeune DRH. Cette dernière ressentit un flot d’excitation la parcourir devant le plaisir partagé par la comptable.
« Regarde-moi ! Je vais jouir ! » s’exclama Alexandre d’une voix étouffée après quelques minutes de va-et-vient.
Mathilde eu l’impression de ressentir les jets de sperme inonder sa chatte lorsqu’elle entendit l’homme exprimer son plaisir. Ne voulant pas être là à la fin de l’ébat, elle reprit ses esprits et s’en alla rapidement.
Arrivée à son bureau, elle se cala dans son fauteuil, retroussa sa jupe et plongea sa main dans sa culotte. Elle n’eut pas besoin de se caresser longtemps avant d’atteindre à son tour un orgasme libérateur. Soulagée, elle partit en week-end.
Lorsqu’elles se croisaient, dans les couloirs, à la pause café ou lors des réunions, Mathilde voyait Céline d’un autre œil. Elle la regardait maintenant avec une certaine curiosité et surtout une palpable excitation. Bien qu’étant hétéro, elle se surprit à la désirer. Elle devait reconnaître qu’elle la trouvait belle.
Mathilde s’était caressée plusieurs fois dans son lit en repensant à Céline et à Alexandre. La comptable, le directeur, sa chatte, ses seins, sa queue, leurs ébats, le voyeurisme, tout l’excitait beaucoup.
Le vendredi arrivant, Mathilde, emportée par ses pulsions se faufila jusqu’au bureau du directeur où elle espérait bien l’y trouver avec sa maîtresse. Son souhait fut exhaussé, comme chaque semaine.
Elle y trouva Céline allongée sur le bureau. Elle ne la voyait pas vraiment mais avait plutôt la vision de ses jambes au milieu desquelles s’affairait Alexandre.
Son regard se fixa sur le directeur qui ne portait plus que sa chemise blanche. Elle scruta ses jambes musclées, remonta sur les cuisses puissantes et laissa son imagination se perdre sur les fesses de l’homme qu’elle imagina bien fermes, prise d’un puissant désir de les palper.
Elle se retrouva quelque peu envoûtée par ce corps et par les mouvements réguliers de son bassin. Le directeur ôta sa chemise et la jeta au sol. Mathilde pu alors observait avec délectation les belle fesses d’Alexandre avancer et reculer à chaque fois qu’il s’enfonçait au plus profond du ventre de Céline.
La jeune femme sentait le plaisir prendre possession de son corps. Les petits gémissements de sa collègue accentuait son excitation.
Alexandre aida Céline à se relever, et la guida sur le côté de la pièce, adossée au mur. En se déplaçant, Céline croisa le regard émoustillé de Mathilde. Elle lui sourit.
Plaquée contre le mur, Alexandre souleva une des jambes de sa partenaire et reprit possession de son corps. La comptable, la tête posée sur l’épaule de son amant fixait la jeune DRH, en ne fermant que brièvement les yeux lorsque qu’une vague de frisson la parcourait.
A la regarder ainsi, Mathilde avait l’impression de recevoir tout le flot de plaisir de Céline. Son corps brûlait de désir aussi glissa-t-elle sa main dans son intimité dévorée par le feu. Elle releva sa jupe puis se caressa au travers de sa lingerie. Puis, voulant avoir plus de sensation, elle glissa sa main dans son string vert en dentelle pour toucher son clitoris. Le contact de ses doigts sur son bouton dressé la fit tressaillir. Elle étouffa un gémissement de plaisir.
Mathilde observait les mouvements, les caresses, les bruits, et ressentait les sensations, les odeurs des corps en action tandis que ses doigts glissaient sur sa chatte humide avec entrain.
Céline la fixait, scrutant avec excitation la main de sa collègue s’agiter sous la dentelle de son string.
L’orgasme qui étreignit soudain la comptable résonna jusque dans le corps de Mathilde qui ne pu que laisser la jouissance l’envahir à son tour. Elle serra les jambes sur sa main emprisonnée dans son string, s’appuya contre la porte et se pinça les lèvres pour laisser passer l’orgasme qui déferlait.
Alors qu’elle s’éclipsait habituellement avant la fin de leurs ébats, elle choisit de rester encore alors qu’elle reprenait ses esprits. Elle voulait entendre Alexandre jouir à son tour.
Tandis qu’elle continuait à se caresser avec lenteur, elle entendit le directeur dire :
- Je vais bientôt jouir !
- Tu veux finir dans ma bouche ?
Il hocha de la tête et se recula tandis que Céline s’accroupissait. Elle prit le sexe en main et le branla avec dextérité. De sa position Mathilde ne voyait pas la queue d’Alexandre, à son grand regret. Céline s’en rendit compte et fit se tourner légèrement son amant pour offrir la vue de son sexe à la voyeuse.
Mathilde pu admirer le membre tendu de l’homme. Elle le trouva beau et eu tout de suite le désir d’en jouir à son tour.
Elle fut sortie de ses rêveries en entendant alors le râle de plaisir qu’il exprima en jouissant. Ses yeux se fixèrent sur la bouche de Céline dont la langue et les lèvres se couvrirent de la semence de son partenaire.
En fixant ostensiblement l’intruse, la comptable avala le sperme et passa sa langue sur ses lèvres pour en récupérer toutes les gouttes.
Bien qu’elle fut très excitée par ce qu’elle venait de voir, Mathilde s’éclipsa.
Tout le week-end suivant, la jeune voyeuse se donna du plaisir en repensant à son couple. Elle se caressait dans son lit, sous la douche ou dans les toilettes publiques d’un supermarché. Ses doigts, des sextoys ou le frottement de son oreiller lui procuraient ses orgasmes.
Lorsque le vendredi suivant arriva, la situation changea cependant. Alors que Mathilde s’était glissée jusqu’au bureau un peu plus tôt que d’habitude, afin de profiter plus longuement des ébats du couple, elle y trouva Céline en train d’embrasser Alexandre avec fougue. Venant de se retrouver, ils avaient tous leurs vêtements. La jeune femme observait les bouches humides s’étreindre avec passion. Machinalement, elle ouvrit les lèvres qu’elle parcourut lentement avec sa langue. Alors que les mains de Céline malaxaient les fesses de son amant, son regard croisa celui de Mathilde, étant toujours à l’affût de sa présence.
Contrairement aux fois précédentes, elle ne se contenta pas de la regarder. De son index, elle lui fit signe d’approcher. Le cœur de Mathilde bondit dans sa poitrine. Comme la jeune RH ne bougeait pas, Céline dit :
- Viens, n’aie pas peur !
Alexandre se retourna, et pour la première fois, dans cette situation, son regard croisa celui de Mathilde. Elle sentit le rouge lui monter aux joues. Elle ne savait pas s’il était au courant de sa présence ces dernières semaines, cependant il ne se montra pas surpris.
Mathilde avança dans le bureau et approcha du couple. Un peu gênée, elle resta muette, tête baissée, comme prise en faute. Ce fût Céline qui brisa le silence
- Mets-toi à l’aise pour nous regarder, proposa-t-elle en désignant le fauteuil derrière le bureau.
La nouvelle venue alla s’asseoir, un peu mal à l’aise, le dos droit, les mains à plat sur ses genoux. Céline s’accroupit, sortit du pantalon avec difficulté la queue dressée et entama une fellation. De la voir faire, d’admirer la queue, d’une taille moyenne mais bien faite, glisser entre les lèvres de sa collègue, cela fit rapidement monter l’excitation dans le corps de Mathilde.
Doucement elle se détendit.
Son regard passait du visage satisfait d’Alexandre à celui appliqué de Céline. Les deux semblaient prendre beaucoup de plaisir, tout comme Mathilde qui se sentait de moins en moins étrangère dans la pièce.
La langue de la comptable s’enroulait avec vigueur autour du gland rose gonflé et suintant de désir. Ses mains glissaient avec un mouvement soutenu sur la queue luisante de salive. Mathilde sentit sa fente s’humidifier et se prit à imaginer ce sexe remplissant sa bouche.
Céline retroussa sa jupe et s’assit sur le coin du bureau. Elle garda un pied au sol et posa l’autre à côté d’une pile de dossiers. Elle écarta la délicate lingerie en dentelle et dévoila sa vulve entièrement lisse. Les yeux de Mathilde furent subjugués par la vue du sexe de sa collègue, qu’elle voyait aussi nettement pour la première fois et qu’elle trouva beau. Elle fut prise d’une folle envie d’y mettre sa bouche Le directeur plongea sa tête entre les jambes et se mit à lécher sa partenaire avec avidité.
Mathilde ne voyait plus trop l’intimité de Céline mais imaginait sans mal ce que son amant pouvait lui faire, guidée par les mouvements d’Alexandre ou les bruits de plaisir de la comptable.
La chaleur se faisait de plus en plus grande entre ses jambes à mesure qu’elle fantasmait sur la langue du directeur léchant sa propre chatte, se délectant de son jus. La jeune femme très excitée, se tortillait sur le fauteuil, caressait au travers du tissus ses mamelons dressés. Mathilde, ne tenant plus, s’adossa dans le siège, retroussa sa robe. Céline fixa avec envie la fente humide de sa collègue visible au travers du string en dentelle très transparent. La jeune RH plongea sa main sous le tissus et se caressa en poussant un profond soupir de satisfaction.
Alexandre se releva et pénétra avec douceur Céline qui poussa un léger gémissement de plaisir. Son amant glissa ses mains dans son soutien-gorge pour en libérer les seins qu’il désirait ressentir directement sous ses doigts.
Mathilde fixait le bassin du directeur qui dansait en rythme et ressentait une forte envie d’avoir ce sexe en elle. A défaut du membre d’Alexandre, elle enfonça deux doigts dans sa chatte trempée. Elle cala son mouvement sur celui de l’homme qu’elle observait.
Quant à la comptable, elle sentait l’orgasme monter en elle. Le sexe de son amant qui plongeait dans son ventre et la vue de la main de sa collègue qui bougeait frénétiquement sous la dentelle de son string jaune la rendait folle.
Pour faire durer le plaisir, Céline fit s’arrêter Alexandre et se releva. Elle l’embrassa longuement puis se mit à genoux entre les jambes de Mathilde. Elle approcha doucement son visage, en ne lâchant pas du regard la jeune femme qui avait cessé de se doigter. Elle écarta un peu plus le string et déposa sa langue sur sa vulve et remonta toute la fente jusqu’au clitoris. Les deux femmes se fixaient toujours. Céline poursuivit son cunnilingus avec passion.
Pendant qu’elle s’appliquait à donner du plaisir, Alexandre se plaça debout derrière Céline. Jambes pliées et mains posées sur les hanches de sa partenaire, il remit sa queue en elle et fit d’amples mouvements de bassin, de façon un peu animal.
Mathilde ne fixait plus Céline. Elle avait les yeux fermés et se laissait envahir par le plaisir. C’était la première fois qu’elle avait une relation avec une femme et trouvait que le cunnilingus de sa collègue était simplement divin.
A son grand regret, Céline arrêta là et se plaça dans la largeur du bureau, le genou gauche et les avants bras posés sur celui-ci. Son visage se retrouva proche du ventre de Mathilde. Son amant reprit son va-et-vient dans son dos. La jeune RH observait alternativement le visage de Céline et d’Alexandre qui exprimaient chacun à leur façon le plaisir qu’ils ressentaient. La comptable tendit la main et caressa le clitoris de la jeune femme.
Après un long pilonnage vigoureux de son amant, l’orgasme de Céline refit son apparition. Elle se laissa envahir cette fois par le plaisir qui déferla dans tout son corps. Pendant toute la durée de sa jouissance elle ne lâcha pas Mathilde du regard.
Peu après, Alexandre jouit à son tour en exprimant peu son plaisir.
- Tu as envie de la baiser ? demanda Céline à son amant.
- Ho oui !
- Et toi, tu voudrais qu’il te défonce la chatte ? s’enquit l’entremetteuse auprès de sa collègue.
- Ho Oui ! je veux qu’il me baise, répondit simplement Mathilde.
Alexandre s’approcha du fauteuil et la jeune femme prit en bouche la queue flasque et gluante dans sa bouche. Céline s’assit sur le bureau, non loin d’eux, et se mit à caresser sa chatte de laquelle s’écoulait l’onctueuse semence de son amant. Ses doigts plein de sperme glissèrent avec douceur de part et d’autre de sa vulve pour son plus grand plaisir, tandis qu’elle les portait de temps en temps à sa bouche pour en savourer le jus.
Le membre du directeur retrouva sa vigueur sous les adroites attentions de sa jeune RH. Il vint se mettre entre ses jambes, à genoux, lécha avec gourmandise la chatte inondée de mouille. Longuement, il donna du plaisir sa jeune employée. Mathilde fermait les yeux, se laissant envahir par un immense plaisir jusqu’à ce qu’un orgasme s’empare de son corps. La jouissance fut à l’image de son excitation : très fort !
Alexandre se releva et dirigea sa queue vers le bas tandis que sa partenaire relevait le plus possible son bassin. Il plia ses genoux et dirigea son sexe vers l’entrée de l’intimité brûlante de sa partenaire qui réclamait encore du sexe. Le regard de Mathilde se porta sur le membre qui plongeait en rythme en elle et en était presque hypnotisée. Elle en avait eut envie depuis un moment et de le voir et le ressentir enfin lui procura rapidement beaucoup de plaisir.
Céline se caressait de plus belle, ressentant beaucoup d’excitation à voir son homme baiser la voyeuse qui s’immisçait depuis quelques semaines dans leurs ébats. Voyant la comptable se caresser, Alexandre ordonna à Mathilde :
- Va lui bouffer la chatte !
La jeune femme se releva et se pencha en direction de la vulve de sa collègue. Elle admira chaque centimètre de ce joli sexe, en huma les délicieuses odeurs puis se mit à la lécher. Au premier contact Céline exprima un soupir de plaisir. La jeune femme goûtait avec délectation un mélange savoureux de sécrétions vaginales et sperme.
Alexandre, derrière Mathilde, la prenait à nouveau, enfonçant avec lenteur son membre dans le ventre de son employée. Il poursuivit son lent va-et-vient en caressant et griffant le dos et les fesses de sa partenaire.
- Descends de ton bureau, dit le directeur à la comptable. Je vais vous baiser toutes les deux.
Céline obtempéra et vint s’accouder près de sa collègue. Leur visage, tourné l’un vers l’autre, était à quelques centimètres de distances. Elle pouvait sentir le souffle chaud de sa collègue à chaque gémissement de plaisir. Elle sentit les doigts d’Alexandre fouiller sa chatte et s’introduire en elle.
Alexandre vint se mettre derrière Céline et la baisa à son tour, tandis qu’il doigtait maintenant Mathilde. Il changea de position ainsi plusieurs fois, donnant du plaisir aux deux femmes.
Céline se releva et alla s’asseoir dans la fauteuil et se caressa la vulve tandis que Mathilde s’allongea sur le bureau. Les jambes relevés et posées sur la épaules d’Alexandre qui reprit se pénétration. Alors que le plaisir reprenait possession de son corps, Mathilde tourna la tête vers la porte du bureau. Elle espérer y apercevoir un voyeur à son tour, quelqu’un qui, attiré comme elle plusieurs semaines auparavant, serait venu se tapir dans l’embrasure de la porte pour observer leurs ébats. Cette personne aurait ressentit de l’excitation à les observer si bien qu’elle n’aurait pu résister à l’envie de se caresser devant eux.
- Tu voudrais que ce soit qui ? Demanda Céline qui avait comprit les pensées de la jeune femme.
- Arthur, répondit-elle après un moment de réflexion.
- Il est plutôt joli garçon, approuva la comptable.
Mathilde et mit alors à imaginer le jeune homme caché près de la porte, son sexe sortit de son pantalon en train de se masturber. Ils se fixeraient tous les deux, s’abreuvant du plaisir de l’autre. Elle pensa qu’au moment où elle aurait à nouveau un orgasme, son imaginaire voyeur jouirait en même temps, ne pouvant résister aux gémissements de plaisir qu’il entendrait, et répandrait son sperme sur la moquette du bureau.
La main d’Alexandre pressa sa joue pour lui faire tourner la tête. Il voulait qu’il la regarde pendant qu’il la prenait. Mathilde revint à la réalité et porta son regard enflammé sur son partenaire. Elle fit quelques entorses pour admirer Céline se caresser.
Cette dernière lâcha son sexe et se pencha vers la jeune femme pour lui donner un surcroît de plaisir. Elle se mit à lécher ses mamelons dressés et jouer avec le clitoris gonflé de désir, après avoir écarté un peu le string qui la gênait. Mathilde savourait de sentir ses bouts de chairs gonflés roulés sous la langue et les doigts de sa collègue.
A présent appuyée en avant sur le bureau, Alexandre la prenait par derrière. Mathilde jeta à nouveau un coup d’œil vers la porte, mais aucun intrus ne s’était hasardé jusqu’ici. Elle ferma alors les yeux et se laissa envahir par le plaisir. Le pouce de son amant s’aventura jusqu’à son anus et le pénétra avec douceur. La jeune femme ressentit une agréable chaleur l’envahir sous le lent va-et-vient digital.
Son plaisir augmenta encore. Les soupirs se faisaient gémissements. L’orgasme approchait. Une énième profonde pénétration de la queue dans son ventre, un nouveau mouvement du doigt dans son petit trou et la jouissance s’empara de son corps. Elle se mordit les lèvres pour contenir ses gémissements bien qu’elle aurait aimé exprimer son plaisir sans retenu. L’orgasme qui l’envahit était plus fort encore que le premier, tout son corps vibrait sous les ondes de plaisir.
- Je vais jouir aussi ! S’exclama Alexandre.
Le directeur se désaccoupla de la jeune femme et Céline attrapa le membre tendu. Elle le branla doucement jusqu’à qu’il jouisse et répande sa semence sur les fesses de Mathilde. La comptable se pencha sur le fesses et lécha les grosses gouttes de l’onctueux liquide.
Les trois amants réajustèrent leurs vêtements et les deux femmes retournèrent dans leur bureau en riant. Mathilde s’en alla aussitôt chez elle. Son corps était apaisé et son esprit léger. Elle avait vécut une expérience extraordinaire et avait hâte de recommencer.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour cette histoire très bien écrite et très excitante. La montée du désir de la jeune RH est très bien décrite et s’est accompagnée, en ce qui me concerne d’un accroissement de la dureté de mon sexe. Et je ne parle pas de l’apothéose finale
Quel délicieux récit. Je bande comme jamais. À lire d'une main.
Je n'ai jamais lu de récits aussi excitants.
Bravo.
Je n'ai jamais lu de récits aussi excitants.
Bravo.