Mathilde et Eliette
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Mathilde et Eliette
Eliette me fait la tête parce que je suis sortie avec Mathilde. Je n’ai rien fait de répréhensif. D’accord je couche avec Eliette, la plus part du temps. Je n’ai aucun contrat avec elle. Mathilde m’a fait une bonne impression la première fois que nous nous sommes vues : jolie visage, poitrine bien pleine, fesses joufflues sans parler du reste que je n’ai connu que plus tard. J’aime les jolies filles sexy. C’est dans ma nature. Je ne regrette qu’une seule chose, ne pas être un homme pour posséder ce qui fait leur charme. Mathilde ne m’a pas résisté. Je l’ai attiré en ne lui promettant de la faire jouir sans risque.
Nous nous sommes rencontré au stage de l’entreprise. Nous ne travaillons pas dans le même service, nous avons bavardé entre les interventions. J’ai su comme ça qu’elle était bisexuelle. J’en ai profité lâchement, rares sont les nanas que je peu baiser facilement. C’est le soir dans l’hôtel où nous étions que tout a démarré. Je l’ai suivie simplement dans sa chambre sous un prétexte futile. Une fois dans les lieux, j’ai pu la prendre dans mes bras sans trop de difficulté. J‘avais un bras sur ses hanches et l’autre autour de son cou. Mes lèvres n’ont eu aucune difficulté pour se poser sur les siennes. J’aime cette incertitude pendant le premier baiser. Je n’ai senti aucune résistance, au contraire quand ma langue a cherché la sienne. Elle est venue contre moi presque de suite. Ses bras sont aussi venus m’entourer. J’avais affaire à une fille qui ne me rejetait pas.
J’en ai profité pour descendre une main sur ses fesses. Je relevais le bas de sa jupe pour toucher sa peau.
Elle tendait ses fesses vers ma main. Je découvrais leur douceur. Elle portait une culotte très correcte, trop peut-être, qui me permettait de passer la main sous l’élastique. J’ai caressé les deux globes de ses fesses. Si j’avais pu, je les aurais embrassés avant d’aller plus loin. J’ai pu aller jusqu’en bas, avec un doigt mis dans sa raie, sur son anus. Je lui y mis deux phalanges. J’aurai pu y mettre ma dernière tant elle me livrait son arrière train. J’ai été conquise quand elle s’est mise à me prendre un sein dans sa main. Elle a passé sa main sous le t-shirt, trouvé mon sein nu et caressé très doucement, indiquant par là qu’elle savait bien baiser avec une autre.
Nous nous sommes trouvées vite nues et couchées. Nous nous embrassions à bouche que veux tu. Sa langue était fraiche dans ma bouche. Je lui caressais la poitrine avant de mettre ma main sur son pubis où je restais un moment pour la faire s’impatienter, elle avait écarté les jambes. Je n’avais que peu de chemin à faire pour rejoindre la vallée de cyprine. Quand j’ai sauté le pas, j’ai de suite trouvé son clitoris. Je ne sais pourquoi, il me semblait qu’elle devait l’avoir énorme. Il était tout simplement normal, comme le mien, comme celui d’Eliette. Je l’ai branlé pendant qu’elle cherchait elle aussi mon bouton que je lui donnais. Nos mains allaient en cadence. Pourtant elle a jouit juste avant moi.
- Tu as aimé ?
- Bien sur, tu vas me faire jouir encore, tu vas me branler le con ?
- Non après, je vais te sucer d’abord. Tu dois avoir bon gout ?
Son gout, je le connais déjà, j’ai sucé mon doigt qui la branlait. Je vais au pied du lit. Je reste allongée, ma tête vers son sexe. Je peux enfin le voir : il me plait avec ses lèvres inégales et son petit trou, réellement petit, plissé et sombre. Je sais comment je vais la faire jouir : ma langue dans sa grotte, mon nez sur le clitoris et deux doigts dans le cul. Elle sera entièrement occupé, surtout si je lui donne un doigt de la main libre dans sa bouche pour qu’elle le suce aussi.
J’arrive lentement sur son sexe en ayant léché ses cuisses à l’intérieur depuis le genoux jusqu’à son bijou. Ma langue passe entre ses lèvres intimes. Je trouve enfin tout son gout qui est excitant. Pourquoi le jus des filles est-il si excitant dans ma bouche. Je pénètre dans son trou, son vagin est le plus mouillé de sa crevasse. Je balade ma langue en cherchant toujours les endroits les plus sensibles. Elle gémit sans cesse.
Mon nez, habitué à la chose frotte son clitoris. Je sens et son bouton et son odeur de cyprine plus forte à cet endroit. Je lui donne deux doigts dans la bouche. Elle a compris que les sucer ajoute à ses plaisirs. Quand lentement j’entre dans son cul elle se crispe un peu. Pour se détendre aussitôt après. Elle est dans les vapeurs de sexe et des orgasme sans fin. Elle jouit deux ou trois fois avant qu’à mon tour je lui demande de me rendre ce que je viens de lui donner.
Elle rechigne un peu, elle n’aime pas lécher un con. Pourtant elle accepte un 69. Je ne la comprend pas. Nous nous mettons en position, sa langue remplis bien son rôle sur ma faille. Elle me fait jouir plutôt bien. Je sais pourtant qu’Eliette me lèche bien mieux.
Le stage dure trois jours, nous avons passé deux nuit ensemble à baiser.
Quand nous en finissons en rentrant à la maisons, j’embrase Eliette sur la bouche en lui touchant le bas ventre comme à chaque fois. Elle n’a qu’un seul désir : baiser.
- Je me suis ennuyée sans toi.
- Je ne pouvais pas ne pas aller à ce stage.
- Je sais…………. Je me suis branlé avec le gode, chaque soir et matin en pensant à toi.
- Et moi…….. Pardonne moi, je t’ai trompé avec une autre fille et j’ai bien jouit avec elle, moins qu’avec toi.
Elle me flanque une gifle méritée. Je dois me faire pardonner. La seule façon que je connaisse est de lui faire l’amour. Encore faut-il qu’elle accepte mes baisers et caresses. Elle se dérobe maintenant, son désir pour moi semble éteint.
Je ne connais qu’une seule solution : l’exciter. Je vais me coucher directement en me mettant nue. Rien que de faire devant elle ces simples gestes m’excite moi-même. J’ai envie de jouir aussi je ne me gêne pas pour prendre mon plaisir. Je m’installe de façon à ce qu’elle voit ma fente entière quand j’ai écarté mes jambes. Si son regard reste posé sur mon sexe, je sais que la partie sera gagnée. Je commence à me masturber et enfin elle regarde sans quitter ma main des yeux. Je jouis ainsi quand n’y tenant plus, elle m’enjambe pour me donner toute sa vallée heureuse sur mes lèvres. Elle aussi pose ses lèvres sur les miennes, enfin, celles du bas. Je sens son corps sur le mien. J’écarte les cuisses en les levant pour qu’elle me suce comme j’aime.
Enfin je sens à nouveau sa tête à l’endroit qui semble fait juste pour ça, juste entre mes jambes, sur mon sexe. Sa langue connait tous les chemins qui me mènent à l’extase. Elle me lèche tellement bien que j’en oubli un moment son plaisir. C’est quand elle se frotte à moi que je pense enfin à lui passer la langue sur son bouton. Elle gémit longtemps et juste avant son orgasme, elle pousse un petit cri.
Je préfère la baiser elle plutôt que Mathilde. Qu’elle idée j’ai eu de tromper Eliette avec l’autre boudin.
Nous nous sommes rencontré au stage de l’entreprise. Nous ne travaillons pas dans le même service, nous avons bavardé entre les interventions. J’ai su comme ça qu’elle était bisexuelle. J’en ai profité lâchement, rares sont les nanas que je peu baiser facilement. C’est le soir dans l’hôtel où nous étions que tout a démarré. Je l’ai suivie simplement dans sa chambre sous un prétexte futile. Une fois dans les lieux, j’ai pu la prendre dans mes bras sans trop de difficulté. J‘avais un bras sur ses hanches et l’autre autour de son cou. Mes lèvres n’ont eu aucune difficulté pour se poser sur les siennes. J’aime cette incertitude pendant le premier baiser. Je n’ai senti aucune résistance, au contraire quand ma langue a cherché la sienne. Elle est venue contre moi presque de suite. Ses bras sont aussi venus m’entourer. J’avais affaire à une fille qui ne me rejetait pas.
J’en ai profité pour descendre une main sur ses fesses. Je relevais le bas de sa jupe pour toucher sa peau.
Elle tendait ses fesses vers ma main. Je découvrais leur douceur. Elle portait une culotte très correcte, trop peut-être, qui me permettait de passer la main sous l’élastique. J’ai caressé les deux globes de ses fesses. Si j’avais pu, je les aurais embrassés avant d’aller plus loin. J’ai pu aller jusqu’en bas, avec un doigt mis dans sa raie, sur son anus. Je lui y mis deux phalanges. J’aurai pu y mettre ma dernière tant elle me livrait son arrière train. J’ai été conquise quand elle s’est mise à me prendre un sein dans sa main. Elle a passé sa main sous le t-shirt, trouvé mon sein nu et caressé très doucement, indiquant par là qu’elle savait bien baiser avec une autre.
Nous nous sommes trouvées vite nues et couchées. Nous nous embrassions à bouche que veux tu. Sa langue était fraiche dans ma bouche. Je lui caressais la poitrine avant de mettre ma main sur son pubis où je restais un moment pour la faire s’impatienter, elle avait écarté les jambes. Je n’avais que peu de chemin à faire pour rejoindre la vallée de cyprine. Quand j’ai sauté le pas, j’ai de suite trouvé son clitoris. Je ne sais pourquoi, il me semblait qu’elle devait l’avoir énorme. Il était tout simplement normal, comme le mien, comme celui d’Eliette. Je l’ai branlé pendant qu’elle cherchait elle aussi mon bouton que je lui donnais. Nos mains allaient en cadence. Pourtant elle a jouit juste avant moi.
- Tu as aimé ?
- Bien sur, tu vas me faire jouir encore, tu vas me branler le con ?
- Non après, je vais te sucer d’abord. Tu dois avoir bon gout ?
Son gout, je le connais déjà, j’ai sucé mon doigt qui la branlait. Je vais au pied du lit. Je reste allongée, ma tête vers son sexe. Je peux enfin le voir : il me plait avec ses lèvres inégales et son petit trou, réellement petit, plissé et sombre. Je sais comment je vais la faire jouir : ma langue dans sa grotte, mon nez sur le clitoris et deux doigts dans le cul. Elle sera entièrement occupé, surtout si je lui donne un doigt de la main libre dans sa bouche pour qu’elle le suce aussi.
J’arrive lentement sur son sexe en ayant léché ses cuisses à l’intérieur depuis le genoux jusqu’à son bijou. Ma langue passe entre ses lèvres intimes. Je trouve enfin tout son gout qui est excitant. Pourquoi le jus des filles est-il si excitant dans ma bouche. Je pénètre dans son trou, son vagin est le plus mouillé de sa crevasse. Je balade ma langue en cherchant toujours les endroits les plus sensibles. Elle gémit sans cesse.
Mon nez, habitué à la chose frotte son clitoris. Je sens et son bouton et son odeur de cyprine plus forte à cet endroit. Je lui donne deux doigts dans la bouche. Elle a compris que les sucer ajoute à ses plaisirs. Quand lentement j’entre dans son cul elle se crispe un peu. Pour se détendre aussitôt après. Elle est dans les vapeurs de sexe et des orgasme sans fin. Elle jouit deux ou trois fois avant qu’à mon tour je lui demande de me rendre ce que je viens de lui donner.
Elle rechigne un peu, elle n’aime pas lécher un con. Pourtant elle accepte un 69. Je ne la comprend pas. Nous nous mettons en position, sa langue remplis bien son rôle sur ma faille. Elle me fait jouir plutôt bien. Je sais pourtant qu’Eliette me lèche bien mieux.
Le stage dure trois jours, nous avons passé deux nuit ensemble à baiser.
Quand nous en finissons en rentrant à la maisons, j’embrase Eliette sur la bouche en lui touchant le bas ventre comme à chaque fois. Elle n’a qu’un seul désir : baiser.
- Je me suis ennuyée sans toi.
- Je ne pouvais pas ne pas aller à ce stage.
- Je sais…………. Je me suis branlé avec le gode, chaque soir et matin en pensant à toi.
- Et moi…….. Pardonne moi, je t’ai trompé avec une autre fille et j’ai bien jouit avec elle, moins qu’avec toi.
Elle me flanque une gifle méritée. Je dois me faire pardonner. La seule façon que je connaisse est de lui faire l’amour. Encore faut-il qu’elle accepte mes baisers et caresses. Elle se dérobe maintenant, son désir pour moi semble éteint.
Je ne connais qu’une seule solution : l’exciter. Je vais me coucher directement en me mettant nue. Rien que de faire devant elle ces simples gestes m’excite moi-même. J’ai envie de jouir aussi je ne me gêne pas pour prendre mon plaisir. Je m’installe de façon à ce qu’elle voit ma fente entière quand j’ai écarté mes jambes. Si son regard reste posé sur mon sexe, je sais que la partie sera gagnée. Je commence à me masturber et enfin elle regarde sans quitter ma main des yeux. Je jouis ainsi quand n’y tenant plus, elle m’enjambe pour me donner toute sa vallée heureuse sur mes lèvres. Elle aussi pose ses lèvres sur les miennes, enfin, celles du bas. Je sens son corps sur le mien. J’écarte les cuisses en les levant pour qu’elle me suce comme j’aime.
Enfin je sens à nouveau sa tête à l’endroit qui semble fait juste pour ça, juste entre mes jambes, sur mon sexe. Sa langue connait tous les chemins qui me mènent à l’extase. Elle me lèche tellement bien que j’en oubli un moment son plaisir. C’est quand elle se frotte à moi que je pense enfin à lui passer la langue sur son bouton. Elle gémit longtemps et juste avant son orgasme, elle pousse un petit cri.
Je préfère la baiser elle plutôt que Mathilde. Qu’elle idée j’ai eu de tromper Eliette avec l’autre boudin.
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