Matin d'hiver

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Matin d'hiver Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Matin d'hiver
Matin d'hiver


On a tous connu ces matins ou coincés sous la couette, nous n'avions pas du tout envie de nous lever, seulement envie de rester là, comme ce matin là ou, blottis l'un contre l'autre, contre le corps de mon doudou, la chaleur du corps de mon doudou, la douceur de sa peau. Je me serrais contre lui et je le caressais. Ce matin n'avait rien de vraiment spécial, juste qu'on ne travaillait pas. C'était sans doutes un dimanche ou un samedi ou un jour de vacance, je sais plus moi. Enfin c'était un jour de congé !

Je me réveille toujours un peu avant lui, en semaine aussi remarquez et si j'en ai le temps, j'aime bien me blottir tout contre lui et profiter de ces moments de calme et de confort douillet, si , si , il est douillet ! Il est plein de poils très doux, une véritable fourrure, un peu dans le genre nounours. Pendant un long moment il restait là, totalement inerte, la tête confortablement installée sur l'oreiller et un léger sourire satisfait sur les lèvres. Je le caressais, je passais ma main sur son torse puis je la descendais sur son ventre puis encore un peu plus bas. J'arrivais au niveau de son sexe. Je sentais alors sa queue qui se relevait, elle prenait du volume, se relevait et rapidement s'étalait, énorme, sur son ventre.

Sentant cela, j'avais ma queue qui se réveillait elle aussi. Je la sentais se contracter et envahir toute la place dans sa cage, remarquez il n'y en avait pas beaucoup. La pression à cet endroit montait très vite et très fort. J'avais l'habitude et je n'en tenait pas rigueur. Je bandais comme je pouvais c'est tout. !

Avec douceur, je lui caressait la queue, son gland était chaud après une longue nuit passée sous la couette. Il n'était pas encore réveillé mais je le sentais qui frissonnait, ce n'était pas le froid. La température était très agréable sous cette couette.

Je plongeais en dessous, et sans lui laisser le temps de réagir, c'est vrai qu'il se réveillait lentement, je prenais sa queue dans ma bouche ? Là je l'ai senti réagir, tout son corps à tremblé et il a poussé un très léger gémissement. Je savais que j'étais sur la bonne route, celle qui conduit à son plaisir. Son plaisir c'était aussi le mien.

Son plaisir était désormais pour moi le seul moyen que j'avais pour parvenir à mon propre plaisir.

Je lui suçais la queue, je prenais son gland lisse et brillant dans ma bouche, dans ma gorge et je le caressais avec ma langue. Je m'allongeais sur lui, sous la couette, la température montait. Je le sentais qui se détendait . Tous ses muscles se détendaient, s'étiraient. Avec une main je lui caressais le torse, avec l'autre je lui tripotais les couilles et enfin avec ma bouche je lui suçais goulûment la queue. C'était un moment de grande tendresse.

Je sentais sa main qui me caressait les cheveux et avec l'autre main il me caressait les fesses. Un doigt arrivait rapidement à mon petit trou caché au milieu de cette grosse ride. C'était agréable et je lui rendais ce plaisir qu'il faisait naître en moi.

Son gland s'écrasait contre ma gorge, j'appuyais mon visage contre son ventre puis je le relevais. Je sentais sa grosse bite glisser de plus en plus vite sur ma langue. J'appuyais contre son gland avec ma langue de toutes mes forces. De cette manière on ne peut pas faire mal, au contraire.

Par moment je me retirais totalement et alors je lui gobais délicatement les couilles, là non plus ça ne fait pas mal mais quelquefois ça fait un peu flipper. Je savais que c'était son cas, aussi j'y allais avec une extrême douceur ? Je le sentais se contracter ou se détendre selon les moments. Il me caressait toujours les cheveux.

Vous aviez compris qu'il était totalement réveillé maintenant.

Sans prévenir il passait à l'action et me glissait un doigt dans mon anus, il y allait direct, à sec, sans ménagement ! J'ai sursauté mais il appuyait aussi sur ma tête et je ne parvenais pas à relever la tête, je gardais, un peu contraint, sa queue bien à fond dans ma gorge. Bon c'est vrai que c'est moi qui avait commencé, je ne me plaignais donc pas et continuais à lui donner toute ma douceur.

C'est difficilement que son doigt entrait en moi, il ne glissait pas et pour cause mais ça restait agréable. Plus d'une fois il m'avait fait jouir rien qu'en me faisant ça. Là aussi j'ai bien cru que j'allais éjaculer, je jouissais, ou en tout cas j'éprouvais un immense plaisir.

Il imprimait un mouvement de rotation avec son doigt, il le tournait comme s'il dessinait un cercle contre les parois de mon cul, à chaque tour il entrait un peu plus profond. Au départ le plaisir se limitait à mon anus mais peu de temps plus tard c'était la prostate, ma prostate qui hurlait de plaisir.

Je ne m'arrêtais pas de lui sucer la queue, je n'étais pas le seul à être satisfait, je savais que lui aussi était très content, et cette satisfaction, c'est à moi qu'il la devait. Mon plaisir,c'est lui qui me le donnait. Je ne pouvais pas vraiment gémir, j'avais la bouche pleine mais je faisais des petits bruits avec mon nez.

Je lui caressait aussi sa fourrure, son ventre, son torse, partout ou cette magnifique fourrure le recouvrait, c'était un ours, et même mieux, c'était un vrai grizzly. Saut au niveau de la taille bien sûr. Il n'était pas petit, juste un peu plus grand que moi, et avait de très beaux muscles bien développés un peu partout.

Le muscle qui m'avait occupé en premier n'était pas vraiment un muscle mais il pouvait le faire bander aussi. Oui chez lui il n'y avait pas que la queue qui bandait, ses muscles aussi bandaient.

Je me glissait contre son corps, je remontais mes baisers le long de son corps. Je sentais son pénis qui continuait à se manifester contre son ventre, contre le mien, je sentais mes couilles qui s'écrasaient entre nos cuisses. Ma cage à bite était dure et ferme et mes couilles, bien fermes, bien dures s'écrasaient mollement pour mon plaisir.

Sa peau, sa fourrure étaient douces et j'adorais glisser mes doigts contre lui et le caresser. Je remontais en glissant mon corps sur le sien, nous nous embrassions avec fougue au moment ou nos lèvres se rencontraient.

Je saisissais un tube de gel lubrifiant, je me soulevais, et avec une main, je lui lubrifiais généreusement la queue, je la relevais et me positionnais avec précision, son gland juste face à mon cul.

Alors je poussais, je me poussais contre sa queue et je détendais mon anus. Mon partenaire me faisait un large sourire, là, il ne faisait rien, il me laissait faire.

Je sentais mon cul se dilater, lentement, c'est moi qui contrôlais le mouvement, il ne devait pas être trop rapide, trop violent. Je sentais son pénis qui m'élargissait l'ouverture de mon anus puis qui glissait lentement en moi. Là je manquait d'air et je faisais une pause.

Je respirais fort,je remplissais mes poumons bien à fond puis reprenais, je m'enfonçais de nouveau un peu plus profond. Là je coinçais, c'était un peu trop. Ce n'était pas la première fois que je me prenais sa queue dans le cul mais quelquefois j'avais un peu de mal. En général c'était signe d'un très grand plaisir à venir.

Là je ne bougeais plus, je me relevais à moitié et sa queue ressortait de fait des mon cul.

Il s'est alors relevé en appuyant sur ses jambes, il s'est relevé de toutes ses forces. Tout est allé très vite ! Il saisissait mes cheville et tirait mes pieds vers lui.

Je perdais alors tout appui et m'écroulais, empalé jusqu'à la garde sur son énorme bite. J'ai poussé un cri, il s'est laissé retombé et je suis retombé moi aussi, sur lui. C'était une situation à la fois jouissive et terrifiante. J'avais passé le moment de la douleur, je n'avais pas encore atteint celui de l'orgasme mais il venait, je le sentais il venait.

Tout mon corps tremblait, je respirais fort et je gémissais. Je me cambrais, je me redressais, mes jambes allongées contre lui, mes chevilles sous ses bras. Je ne pouvais plus me redresser. Il se soulevait, il soulevait son bassin en appuyant sur ses jambes et moi j'en prenais plein le cul.

C'est à peu près à ce moment que j'ai commencé à jouir.

Sa bite me défonçait les entrailles, il se laissait retombé puis se soulevait encore. Ses mouvements étaient saccadés,violents, rapides, réguliers. Je me faisait secouer de haut en bas sans pouvoir réagir. Je ne pense pas que j'en avais vraiment envie mais c'était trop intense et si j'avais eu le choix, j'aurais réagi, je me serais dégagé.

Je me cramponnais à ce que je trouvais, c'est à dire rien. Je me retrouvais transformé en un pantin désarticulé, soulevé par accoue qui retombait sans pouvoir ni résister ni me dégager.

Je la connaissais cette queue, un peu plus de vingt centimètres sur un très gros diamètre. Je me l'étais déjà prise dans le cul, et j'aimais les sensations fortes. J'aime surtout ce moment ou on je ne peux plus décider, ou je ne peux plus que subir. Ce moment ou submergé, on ne contrôle plus rien. Ou le plaisir intense devient la seule chose qui compte. Tout le reste est oublié.

Sa queue me massait la prostate avec régularité, elle me dilatait aussi mon cul jusqu'à la limite de la déchirure, et me remplissait les entrailles jusqu'à déborder.

Il finissait par se calmer, je ne bougeais plus. Il repliait les jambes et redressait son torse. Je me retrouvais toujours assis son son pénis mais il était alors en position du lotus. Il refermait ses bras autour de moi, j'en faisais de même.

J'étais submergé de plaisir, un plaisir intense, tellement intense qu'il était presque douloureux. Je savais que j'aurais mal au cul pendant au moins toute la journée, mais cette idée ne me faisait pas peur.

On se calmait, on reprenait nos caresses, nos baisers, je respirais toujours très fort. Il continuait à me soulever et à me laisser retomber mais avec moins de force, bien plus de douceur et toujours autant de régularité. Il se balançait sur ses fesses et m’entraînait avec lui dans cette danse très sensuelle.

Je jouissais mais je jutais aussi, je n'éjaculais pas, je jutais. Un filet liquide blanc et épais coulait de ma cage. Il coulait abondamment sans que je ne ressente rien. Enfin rien à ce niveau. Tout se passait par derrière, mes sensation venaient de mon cul, et là c'était une jouissance qui durait maintenant depuis un long moment et ne voulait pas, ni se terminer ni se calmer. J'ai cru mourir. Mais franchement je ne pense pas qu'on puisse mourir de plaisir, surtout si on a un cœur solide … Sinon, je ne dis pas !

Je l'ai senti se contracter, ses mouvements sont devenus plus saccadés, il s'est mis à gémir, il jouissait, il éjaculait et il jouissait. Lui avait encore la possibilité de faire les deux. Il ne s'en privait pas !

Il m'a fait sauter sur ses cuisses avec plus de force au moment ou il éjaculait en moi. J'ai crié, ce n'était que du plaisir mais quel plaisir.

Puis j'ai senti tout son corps se détendre, redevenir tout mou, un peu comme avant qu'il ne se réveille.

Rapidement sa queue s'est réduite également et là je n'avais plus la moindre difficulté à la garder dans mon cul.

C'était un tout autre plaisir. Une grosse molle encore bien ferme était encore installée dans mon cul. Je la sentais et ça devenait comme une douce caresse. Une douce caresse dans mes entrailles et sur ma prostate.

Le plaisir continuait encore. C'était maintenant un plaisir doux, par réflexe je contractais mon cul, et à chaque fois que je faisais ça je sentais cette grosse masse sortir, glisser hors de moi.

Puis sa queue est ressortie, de nouveau un flot de liquide blanc et épais coulait de ma cage et un autre flot coulait lui de mon cul. La ce n'était pas ma semence.

Mais c'était bon.

Des matins comme celui-ci, c'est pas tous les matins. Mon doudou est souvent en voyage dans la semaine. Mais quand nous sommes ensemble …

Oulala vous avez vu ce que ça donne.


Fin


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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Texte coquin : Matin d'hiver
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