Mattéo arrive à Rome (2)
Récit érotique écrit par EricDeFrance [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mattéo arrive à Rome (2)
MATTEO
Mattéo arrive à Rome - 2e partie
Il était donc 20h40, ce lundi soir de la fin août, quand, vêtu d’un pantacourt et d’un tee-shirt, Mattéo arriva dans une étroite rue romaine, et ouvrit la porte d’un sauna, le coeur battant, avide de commencer sa nouvelle vie italienne par une soirée de sexe et de plaisir.
De l’extérieur l’endroit ne payait pas de mine, par souci de discrétion sans doute, peut-être aussi en raison de sa proximité du Vatican puisqu’on devait être à quelques 300 mètres de la place Saint-Pierre.
A l’intérieur par contre l’endroit était vaste et moderne, non pas neuf, mais rénové, apparemment récemment, aménagé avec goût. Tout semblait propre, et propice pour passer un bon moment.
Mattéo dut attendre un peu à la caisse avant que ce ne soit son tour, ça lui permit de se rendre compte que la clientèle semblait plutôt jeune, comme le lui avaient laissé entendre les quelques renseignements qu’il avait pu glaner sur internet.
Il se sentait calme, détendu, reposé, et fut émoustillé par les beaux jeunes mecs qui, comme lui, se trouvaient dans le vestiaire pour se changer et troquer leurs habits estivaux, déjà plutôt légers, contre une serviette et une paire de tongs.
Il repéra vite un jeune éphèbe blond, très à son goût, assis non loin de lui, et qui était en train de dévoiler un corps imberbe et finement musclé.
A en juger par les regards appuyés que lui adressait ce jeune, l’attirance était réciproque, ce qui flatta et rassura Mattéo, soucieux en permanence de vérifier si son charme opérait toujours.
Il ne put s’empêcher de lui adresser, après un sourire, quelques mots en italien, mais il comprit vite que le jeune homme était en réalité allemand et, manifestement, ne parlait ni italien ni français.
Qu’à cela ne tienne, ils n’étaient pas là pour parler, et Mattéo, pas timide pour deux sous, le prit par la main en lui disant, tel Bourvil dans La grande vadrouille : “come, come...”.
Le jeune blond le suivit volontiers, son physique excitait Mattéo, qui sentait un début d’érection qu’il avait du mal à cacher sous sa serviette, vu l’ampleur de son membre.
Ça faisait très longtemps qu’il n’avait rien fait avec un mec, depuis, en fait, l’aventure, d’un soir mais si marquante, avec Dimitri, et c’était en février.
Malgré son côté fanfaronneur, il appréhendait en fait la reprise de rapports sexuels avec les mecs, se demandait si ça lui plairait toujours, et même s’il saurait toujours faire...
Avec le jeune allemand, il se retrouva vite à la douche, au sauna c’est un passage obligé, dès qu’on quitte le vestiaire.
Une cabine était disponible, les deux jeunes gens refermèrent la porte derrière eux, enlevèrent leur serviette, et se firent face dans l’étroite douche.
Ils firent couler l’eau, et, sans se regarder, commencèrent à se toucher, se caresser, puis chacun se mit à laver l’autre avec le gel douche à disposition. Ils en étaient pour l’instant à la poitrine, mais ils se rendirent vite compte qu’ils bandaient tous deux déjà très fort, et se frottèrent la bite dressée.
Mattéo put voir que le jeune allemand en avait une particulièrement longue et épaisse, un peu comme la sienne, ça le fit sourire car il trouvait que ça contrastait avec son physique plutôt frêle - il était bien moins costaud que lui qui, déjà, ne l’était pas particulièrement.
En tout cas, Mattéo le trouvait très mignon, très séduisant. Tout en le caressant et en frottant sa queue contre la sienne, il réalisait qu’en fait il n’avait jamais couché avec un garçon blond, uniquement avec des bruns, des méditerranéens, des beurs, des brésiliens... mais jamais de blonds.
C’est une des raisons pour lesquelles la situation l’excitait particulièrement, et le ravissait d’autant plus qu’elle lui semblait symboliser la nouvelle vie qui était désormais la sienne, et la page qui devait vraiment se tourner.
Enfin, son regard croisa celui de ce jeune blond, les deux hommes s’adressèrent même un sourire, avant de baisser à nouveau les yeux, et de continuer à se frotter le corps avec le gel douche.
Mattéo sentit que c’était à lui de prendre les initiatives. Une fois rincés, il se baissa donc, et positionna sa tête au niveau de la queue du jeune allemand. Il eut vite fait d’ouvrir la bouche et d’engloutir le membre.
Ce qu’il ressentit à ce moment-là lui procura beaucoup de bien. Il aimait sucer, et en eut aussitôt la confirmation, lui qui avait peur de ne plus savoir faire avec les mecs.
Il aimait la sensation d’une queue en bouche, et savourait d’autant plus l’instant présent.
En plus, il trouvait la queue de ce jeune particulièrement bonne : outre sa dimension, bien proportionnée, et qui remplissait sa bouche, il lui trouvait bon goût, et ce n’était pas uniquement dû à la douche récente. Il se faisait peut-être des idées, mais il lui trouvait un goût moins fort que celle des bruns qu’il avait jusque là sucés. La dernière, c’était celle de Dimitri, qu’il avait pipée alors qu’elle venait de sortir de son cul, alors forcément...
En comparaison, celle de ce jeune lui semblait peut-être plus fade, mais il la trouvait bonne, et prenait beaucoup de plaisir à la sucer.
Le jeune aussi prenait visiblement son pied. Il fermait les yeux, bandait à fond, et gémissait, et même grimaçait doucement. Il devait avoir 18 ou 19 ans, tout au plus, et était vraiment bandant.
Et puis quelle belle et bonne queue, elle devait faire au moins 20 cm. Il y a quelques minutes Mattéo avait pu se rendre compte qu’elle était à peu près dans les mêmes proportions que la sienne, qui faisait 21 cm, et aussi épaisse.
Très bonne en bouche donc, et Mattéo retrouvait les plaisirs de la fellation, qu’il avait un peu oubliés. Il l’aspirait à fond, et essayait de l’engloutir jusqu’en fond de gorge, comme il aimait faire, et savait faire. C’est là qu’il réalisa qu’elle était vraiment longue car il eut du mal à la prendre jusqu’au bout, et manqua s’étouffer.
Il adorait en tout cas la faire coulisser, et il se rendait compte que ça procurait beaucoup de plaisir au jeune allemand.
Au début Mattéo s’était demandé s’il n’était pas vierge, tellement il le trouvait gamin et emprunté. En fait ce devait être juste de la réserve et de la timidité car il commençait à se lâcher. Déjà il ne se gênait pas pour gémir quelque peu bruyamment, et puis il enserra les cheveux bouclés de Mattéo pour accompagner la pipe qui lui faisait prendre son pied.
Après Mattéo se dit que s’il venait au sauna c’est que quand même il ne devait pas être si puceau que ça.
La suite allait lui montrer qu’il ne l’était pas.
Et même qu’il savait y faire.
Déjà, à sa façon d’encaisser la sucée de Mattéo qui se régalait tellement qu’il faisait des mouvements de va-et-vient avec sa bouche de plus en plus rapides. Il enserrait la bite du jeune comme si elle était dans une chatte ou dans un cul, ce qui, il le savait, procurait un plaisir intense.
A un moment, le jeune se lâcha complètement, et se mit carrément à gueuler. Ça va qu’ils étaient au sauna, où, a priori, on vient pour ça, sinon ce n’aurait guère été discret.
Mattéo le regarda et, du coup, arrêta de sucer. Le jeune lui sourit, comme gêné d’avoir exprimé son plaisir aussi bruyamment.
Mattéo se releva et les deux hommes joignirent leurs lèvres pour un baiser bien baveux et bien langoureux.
Ça faisait longtemps qu’il n’avait pas embrassé un mec, le dernier, c’était Dimitri et lui qui jusque là n’aimait pas trop embrasser un mec avait vraiment beaucoup aimé. Mais c’était Dim...
Ce soir-là, à sa surprise et sa satisfaction, Mattéo éprouva beaucoup de plaisir à embrasser ce jeune blond qui, décidément, lui plaisait beaucoup.
Leur baiser fut particulièrement sensuel, et chauffa énormément Mattéo qui voulut que cette fois ce soit le jeune qui le suce. Il lui fit signe, et celui-ci descendit à hauteur de son sexe turgescent puis le mit en bouche goulûment.
Mattéo réalisa que ça faisait très, très longtemps qu’il ne s’était pas fait sucer. Dimitri, évidemment, ne l’avait pas sucé, et avant lui il avait eu sa phase “ marseillaise salope ” : il suçait ses coéquipiers ou les jeunes du centre de formation, mais, lui, personne ne le suçait.
Il savourait d’autant plus ce moment où il redécouvrait le plaisir de se faire sucer. En plus il avait la particularité de ne se faire sucer que par des mecs puisque Mélanie, sa femme, ne pratiquait pas la fellation, ça la dégoûtait.
Et ce jeune allemand suçait drôlement bien. Il devait avoir l’habitude, se dit Mattéo, de plus en plus attendri par ce gars dont il caressait les cheveux, qu’il trouvait particulièrement soyeux. Ça le changeait des cheveux raides ou crépus des mecs avec qui il baisait quand il était à Marseille.
Lui aussi prenait sa bite jusqu’à la garde et semblait ne pas avoir les mêmes problèmes que lui pour l’absorber en totalité.
Mattéo se sentit un peu vexé car ça voulait dire soit que ce jeune était plus doué que lui, soit qu’il en avait une plus grosse... Dans les deux cas, cela contrariait le fier Mattéo.
En plus, il avait une bouche chaude, et bien humide, et sa façon de sucer faisait monter Mattéo au septième ciel. Il a même dû faire un effort particulier sur lui pour ne pas jouir prématurément, ce qu’il aurait évidemment regretté.
Cette “ alerte ” le fit se ressaisir et le conduisit à interrompre la sucée du jeune qui lui semblait comme décidé à le pomper jusqu’à ce qu’il crache.
Il ne voulait pas lâcher le morceau, si l’on ose dire, et semblait avoir la bouche collée comme une ventouse à sa bite.
Il faillit même pour la deuxième fois le faire jouir.
Heureusement il se calma, ralentit ses mouvements autour de sa queue, et Mattéo put reprendre les choses en main, si l’on ose dire (bis...).
Le jeune allemand finit par retirer sa bouche, mais continua à lécher le membre déployé, dans sa longueur, avant, enfin, de se relever, et de revenir embrasser Mattéo, à qui il venait vraiment de faire vivre un moment de plaisir intense.
Lui aussi semblait prendre son pied, car il lui adressa un joli sourire.
Mattéo ressentit l’envie de le baiser, et de se caler avec lui dans une des cabines du sauna.
Il le prit par la main, les deux hommes sortirent de la douche et se séchèrent rapidement.
Toujours en le tenant par la main, Mattéo le conduisit dans la première cabine disponible - beaucoup étaient déjà occupées et fermées, certaines, restées ouvertes, étaient occupées par un mec, qui manifestement attendait de la compagnie en se paluchant.
Mattéo fit s’allonger le jeune garçon sur le dos, c’était l’occasion de bien le mater, il avait toujours le sexe bien en érection, et le tenait pour le maintenir à la verticale. Il était vraiment beau, se disait Mattéo qui le désirait du plus profond de son être, comme rarement il n’avait eu envie de prendre un mec.
Les cabines étaient bien équipées et avaient un triple distributeur, de préservatifs, de gel, et de papier absorbant.
Mattéo prit un préservatif, et le positionna autour de sa queue. Le jeune garçon lui fit signe de prendre aussi du gel, ce que fit Mattéo. Il s’en enduisit le membre protégé et en passa aussi autour de la rondelle du gars, qui se laissa faire et écarta les jambes, en position de passif soumis.
Mattéo se demanda un instant s’il n’était que passif, ou s’il était autoreverse. En tout cas, avec lui, il avait envie d’être actif, il avait l’impression que ça tombait bien et que les deux hommes pouvaient ainsi se compléter.
Tout était prêt pour la pénétration, et, à la surprise de Mattéo, sa bite rentra comme dans du beurre. Il se dit que c’était peut-être l’effet du gel ou peut-être, même si l’idée le surprenait, que ça voulait dire que que ce jeune allemand, qu’il avait pris pour un puceau, non seulement ne l’était pas, mais avait quelque habitude de se prendre des bites dans le fion.
En tout cas très vite il put amorcer des mouvements de va-et-vient que le jeune éphèbe encaissa sans problème. Certes il gémissait en ponctuant ainsi les allées et venues qu’imprimait Mattéo en lui avec sa queue, mais il n’avait pas l’air d’avoir particulièrement mal.
Pourtant Mattéo en avait une longue et épaisse, et certains gars, au cul trop serré, n’arrivaient pas à l’encaisser.
Ce n’était manifestement pas le cas de ce jeune qui, décidément, le surprenait par son expérience, et qui se faisait défoncer avec gourmandise.
Ça faisait très longtemps que Mattéo n’avait pas baisé un mec. Il n’arrivait même pas à se souvenir qui et quand ça pouvait être puisque le dernier avec qui il avait couché, c’était Dim, et c’est lui qui l’avait baisé, et même d’une façon sacrément brutale. Avant Dim c’était des beurs, actifs également. Non, le dernier qu’il avait pris, ce devait être un escort brésilien. Rien à voir donc, avec le pied qu’il prenait en baisant ce jeune allemand.
Il aimait cette position, qui lui permettait d’avoir une vue directe et plongeante sur le corps de ce jeune qui, décidément, lui faisait beaucoup d’effet.
Cette position lui convenait, et convenait à sa queue, qu’il arrivait à introduire jusqu’au bout, et sans difficultés.
Le jeune fermait les yeux, et encaissait le pilonnage dont il faisait l’objet. Mattéo lui aussi gémissait de plaisir, et rythmait ainsi ses mouvements de va-et-vient.
Il s’arrêta un instant, pour savourer à la fois le moment et le spectacle de ce jeune, offert à lui, qu’il avait sous les yeux.
Il avait relevé la jambe, et Mattéo la tenait de la main droite. Il lui demanda, en français, si ça allait, et le jeune, qui semblait avoir compris, acquiesça.
C’était le moment de lui porter l’estocade. Mattéo reprit donc son va-et-vient, il était en sueur, du fait de la chaleur dans cette petite cabine, malgré la clim dans le sauna, du fait aussi de la chaleur de ce coït particulièrement intense.
Le jeune mit sa tête en arrière, ouvrit la bouche en grand, et poussa de petits cris sous les coups de butoir de Mattéo qui le baisait bien à fond, alternait les mouvements rapides, et plus lents, ce qui était en train de les amener tous deux progressivement vers la jouissance, et même l’extase.
Mattéo lui aussi mit la tête et le haut du corps en arrière pour enfoncer son pieu encore davantage dans les entrailles du jeune qui avait relevé ses bras à l’arrière de sa tête et respirait bruyamment.
Mattéo sentit la sauce monter et ne la retint pas davantage. Dans un véritable hurlement il cracha sa purée et ressentit des soubressauts dans tout le corps.
L’un d’eux fit ressortir sa bite, toujours protégée par le latex.
Il la réintroduisit et amorça à nouveau, malgré la jouissance survenue, de petits mouvements de va-et-vient.
Cela lui permit aussi de faire jouir le jeune allemand.
Mattéo lui prit la bite et commença à la branler. Pour accompagner le mouvement, il se retira et remplaça sa bite, qui avait fini par débander, par ses doigts.
Il vit que ça fit de l’effet au jeune, qui émettait des soupirs particulièrement rauques et bandait bien à fond.
L’éjaculation était proche, le jeune vint se finir en prenant sa bite en main et en la secouant énergiquement pendant que Mattéo continuait à le doigter de façon de plus en plus rapide.
A son tour le jeune poussa un hurlement, Mattéo retira ses doigts, et le sperme jaillit de sa bite pour inonder tout son ventre, jusque même sa poitrine.
Ça y est, les deux hommes avaient joui, Mattéo s’affala à côté du jeune et le caressa doucement sur le flan.
Le jeune se tourna vers lui et vint lui faire un smack en disant : “good, very good “, dans un langage international.
Mattéo lui répondit, en français et en soupirant : “ moi aussi j’ai pris mon pied... c’était trop bon...“.
Les deux hommes eurent besoin de quelques minutes pour reprendre leur souffle et leurs esprits.
En anglais, le jeune lui expliqua qu’il allait devoir y aller, Mattéo comprit que sa famille l’attendait et qu’il allait partir pour une autre ville.
Dommage car Mattéo aurait bien pris un verre avec lui, voire aurait remis le couvert un peu plus tard dans la soirée, mais le jeune semblait pressé, ou n’avait pas envie, il ne savait pas, et ne saurait jamais.
C’est le lot de ces baises rapides dans des saunas, avec des inconnus avec qui pendant quelques minutes on a l’impression de vivre une histoire d’amour tellement la baise est intense et excitante, mais une fois que c’est fini tout retombe, et on est presque contents et soulagés de se quitter.
Un dernier smack, et le jeune quitta la cabine. Mattéo, lui, s’allongea, il était en sueur, mais n’avait pas le corps souillé de sperme, et il avait la flemme d’aller prendre une douche. Il avait même la flemme d’aller fermer la porte, que le jeune allemand avait laissée grande ouverte.
Il ferma les yeux, et finit par s’endormir.
Mattéo arrive à Rome - 2e partie
Il était donc 20h40, ce lundi soir de la fin août, quand, vêtu d’un pantacourt et d’un tee-shirt, Mattéo arriva dans une étroite rue romaine, et ouvrit la porte d’un sauna, le coeur battant, avide de commencer sa nouvelle vie italienne par une soirée de sexe et de plaisir.
De l’extérieur l’endroit ne payait pas de mine, par souci de discrétion sans doute, peut-être aussi en raison de sa proximité du Vatican puisqu’on devait être à quelques 300 mètres de la place Saint-Pierre.
A l’intérieur par contre l’endroit était vaste et moderne, non pas neuf, mais rénové, apparemment récemment, aménagé avec goût. Tout semblait propre, et propice pour passer un bon moment.
Mattéo dut attendre un peu à la caisse avant que ce ne soit son tour, ça lui permit de se rendre compte que la clientèle semblait plutôt jeune, comme le lui avaient laissé entendre les quelques renseignements qu’il avait pu glaner sur internet.
Il se sentait calme, détendu, reposé, et fut émoustillé par les beaux jeunes mecs qui, comme lui, se trouvaient dans le vestiaire pour se changer et troquer leurs habits estivaux, déjà plutôt légers, contre une serviette et une paire de tongs.
Il repéra vite un jeune éphèbe blond, très à son goût, assis non loin de lui, et qui était en train de dévoiler un corps imberbe et finement musclé.
A en juger par les regards appuyés que lui adressait ce jeune, l’attirance était réciproque, ce qui flatta et rassura Mattéo, soucieux en permanence de vérifier si son charme opérait toujours.
Il ne put s’empêcher de lui adresser, après un sourire, quelques mots en italien, mais il comprit vite que le jeune homme était en réalité allemand et, manifestement, ne parlait ni italien ni français.
Qu’à cela ne tienne, ils n’étaient pas là pour parler, et Mattéo, pas timide pour deux sous, le prit par la main en lui disant, tel Bourvil dans La grande vadrouille : “come, come...”.
Le jeune blond le suivit volontiers, son physique excitait Mattéo, qui sentait un début d’érection qu’il avait du mal à cacher sous sa serviette, vu l’ampleur de son membre.
Ça faisait très longtemps qu’il n’avait rien fait avec un mec, depuis, en fait, l’aventure, d’un soir mais si marquante, avec Dimitri, et c’était en février.
Malgré son côté fanfaronneur, il appréhendait en fait la reprise de rapports sexuels avec les mecs, se demandait si ça lui plairait toujours, et même s’il saurait toujours faire...
Avec le jeune allemand, il se retrouva vite à la douche, au sauna c’est un passage obligé, dès qu’on quitte le vestiaire.
Une cabine était disponible, les deux jeunes gens refermèrent la porte derrière eux, enlevèrent leur serviette, et se firent face dans l’étroite douche.
Ils firent couler l’eau, et, sans se regarder, commencèrent à se toucher, se caresser, puis chacun se mit à laver l’autre avec le gel douche à disposition. Ils en étaient pour l’instant à la poitrine, mais ils se rendirent vite compte qu’ils bandaient tous deux déjà très fort, et se frottèrent la bite dressée.
Mattéo put voir que le jeune allemand en avait une particulièrement longue et épaisse, un peu comme la sienne, ça le fit sourire car il trouvait que ça contrastait avec son physique plutôt frêle - il était bien moins costaud que lui qui, déjà, ne l’était pas particulièrement.
En tout cas, Mattéo le trouvait très mignon, très séduisant. Tout en le caressant et en frottant sa queue contre la sienne, il réalisait qu’en fait il n’avait jamais couché avec un garçon blond, uniquement avec des bruns, des méditerranéens, des beurs, des brésiliens... mais jamais de blonds.
C’est une des raisons pour lesquelles la situation l’excitait particulièrement, et le ravissait d’autant plus qu’elle lui semblait symboliser la nouvelle vie qui était désormais la sienne, et la page qui devait vraiment se tourner.
Enfin, son regard croisa celui de ce jeune blond, les deux hommes s’adressèrent même un sourire, avant de baisser à nouveau les yeux, et de continuer à se frotter le corps avec le gel douche.
Mattéo sentit que c’était à lui de prendre les initiatives. Une fois rincés, il se baissa donc, et positionna sa tête au niveau de la queue du jeune allemand. Il eut vite fait d’ouvrir la bouche et d’engloutir le membre.
Ce qu’il ressentit à ce moment-là lui procura beaucoup de bien. Il aimait sucer, et en eut aussitôt la confirmation, lui qui avait peur de ne plus savoir faire avec les mecs.
Il aimait la sensation d’une queue en bouche, et savourait d’autant plus l’instant présent.
En plus, il trouvait la queue de ce jeune particulièrement bonne : outre sa dimension, bien proportionnée, et qui remplissait sa bouche, il lui trouvait bon goût, et ce n’était pas uniquement dû à la douche récente. Il se faisait peut-être des idées, mais il lui trouvait un goût moins fort que celle des bruns qu’il avait jusque là sucés. La dernière, c’était celle de Dimitri, qu’il avait pipée alors qu’elle venait de sortir de son cul, alors forcément...
En comparaison, celle de ce jeune lui semblait peut-être plus fade, mais il la trouvait bonne, et prenait beaucoup de plaisir à la sucer.
Le jeune aussi prenait visiblement son pied. Il fermait les yeux, bandait à fond, et gémissait, et même grimaçait doucement. Il devait avoir 18 ou 19 ans, tout au plus, et était vraiment bandant.
Et puis quelle belle et bonne queue, elle devait faire au moins 20 cm. Il y a quelques minutes Mattéo avait pu se rendre compte qu’elle était à peu près dans les mêmes proportions que la sienne, qui faisait 21 cm, et aussi épaisse.
Très bonne en bouche donc, et Mattéo retrouvait les plaisirs de la fellation, qu’il avait un peu oubliés. Il l’aspirait à fond, et essayait de l’engloutir jusqu’en fond de gorge, comme il aimait faire, et savait faire. C’est là qu’il réalisa qu’elle était vraiment longue car il eut du mal à la prendre jusqu’au bout, et manqua s’étouffer.
Il adorait en tout cas la faire coulisser, et il se rendait compte que ça procurait beaucoup de plaisir au jeune allemand.
Au début Mattéo s’était demandé s’il n’était pas vierge, tellement il le trouvait gamin et emprunté. En fait ce devait être juste de la réserve et de la timidité car il commençait à se lâcher. Déjà il ne se gênait pas pour gémir quelque peu bruyamment, et puis il enserra les cheveux bouclés de Mattéo pour accompagner la pipe qui lui faisait prendre son pied.
Après Mattéo se dit que s’il venait au sauna c’est que quand même il ne devait pas être si puceau que ça.
La suite allait lui montrer qu’il ne l’était pas.
Et même qu’il savait y faire.
Déjà, à sa façon d’encaisser la sucée de Mattéo qui se régalait tellement qu’il faisait des mouvements de va-et-vient avec sa bouche de plus en plus rapides. Il enserrait la bite du jeune comme si elle était dans une chatte ou dans un cul, ce qui, il le savait, procurait un plaisir intense.
A un moment, le jeune se lâcha complètement, et se mit carrément à gueuler. Ça va qu’ils étaient au sauna, où, a priori, on vient pour ça, sinon ce n’aurait guère été discret.
Mattéo le regarda et, du coup, arrêta de sucer. Le jeune lui sourit, comme gêné d’avoir exprimé son plaisir aussi bruyamment.
Mattéo se releva et les deux hommes joignirent leurs lèvres pour un baiser bien baveux et bien langoureux.
Ça faisait longtemps qu’il n’avait pas embrassé un mec, le dernier, c’était Dimitri et lui qui jusque là n’aimait pas trop embrasser un mec avait vraiment beaucoup aimé. Mais c’était Dim...
Ce soir-là, à sa surprise et sa satisfaction, Mattéo éprouva beaucoup de plaisir à embrasser ce jeune blond qui, décidément, lui plaisait beaucoup.
Leur baiser fut particulièrement sensuel, et chauffa énormément Mattéo qui voulut que cette fois ce soit le jeune qui le suce. Il lui fit signe, et celui-ci descendit à hauteur de son sexe turgescent puis le mit en bouche goulûment.
Mattéo réalisa que ça faisait très, très longtemps qu’il ne s’était pas fait sucer. Dimitri, évidemment, ne l’avait pas sucé, et avant lui il avait eu sa phase “ marseillaise salope ” : il suçait ses coéquipiers ou les jeunes du centre de formation, mais, lui, personne ne le suçait.
Il savourait d’autant plus ce moment où il redécouvrait le plaisir de se faire sucer. En plus il avait la particularité de ne se faire sucer que par des mecs puisque Mélanie, sa femme, ne pratiquait pas la fellation, ça la dégoûtait.
Et ce jeune allemand suçait drôlement bien. Il devait avoir l’habitude, se dit Mattéo, de plus en plus attendri par ce gars dont il caressait les cheveux, qu’il trouvait particulièrement soyeux. Ça le changeait des cheveux raides ou crépus des mecs avec qui il baisait quand il était à Marseille.
Lui aussi prenait sa bite jusqu’à la garde et semblait ne pas avoir les mêmes problèmes que lui pour l’absorber en totalité.
Mattéo se sentit un peu vexé car ça voulait dire soit que ce jeune était plus doué que lui, soit qu’il en avait une plus grosse... Dans les deux cas, cela contrariait le fier Mattéo.
En plus, il avait une bouche chaude, et bien humide, et sa façon de sucer faisait monter Mattéo au septième ciel. Il a même dû faire un effort particulier sur lui pour ne pas jouir prématurément, ce qu’il aurait évidemment regretté.
Cette “ alerte ” le fit se ressaisir et le conduisit à interrompre la sucée du jeune qui lui semblait comme décidé à le pomper jusqu’à ce qu’il crache.
Il ne voulait pas lâcher le morceau, si l’on ose dire, et semblait avoir la bouche collée comme une ventouse à sa bite.
Il faillit même pour la deuxième fois le faire jouir.
Heureusement il se calma, ralentit ses mouvements autour de sa queue, et Mattéo put reprendre les choses en main, si l’on ose dire (bis...).
Le jeune allemand finit par retirer sa bouche, mais continua à lécher le membre déployé, dans sa longueur, avant, enfin, de se relever, et de revenir embrasser Mattéo, à qui il venait vraiment de faire vivre un moment de plaisir intense.
Lui aussi semblait prendre son pied, car il lui adressa un joli sourire.
Mattéo ressentit l’envie de le baiser, et de se caler avec lui dans une des cabines du sauna.
Il le prit par la main, les deux hommes sortirent de la douche et se séchèrent rapidement.
Toujours en le tenant par la main, Mattéo le conduisit dans la première cabine disponible - beaucoup étaient déjà occupées et fermées, certaines, restées ouvertes, étaient occupées par un mec, qui manifestement attendait de la compagnie en se paluchant.
Mattéo fit s’allonger le jeune garçon sur le dos, c’était l’occasion de bien le mater, il avait toujours le sexe bien en érection, et le tenait pour le maintenir à la verticale. Il était vraiment beau, se disait Mattéo qui le désirait du plus profond de son être, comme rarement il n’avait eu envie de prendre un mec.
Les cabines étaient bien équipées et avaient un triple distributeur, de préservatifs, de gel, et de papier absorbant.
Mattéo prit un préservatif, et le positionna autour de sa queue. Le jeune garçon lui fit signe de prendre aussi du gel, ce que fit Mattéo. Il s’en enduisit le membre protégé et en passa aussi autour de la rondelle du gars, qui se laissa faire et écarta les jambes, en position de passif soumis.
Mattéo se demanda un instant s’il n’était que passif, ou s’il était autoreverse. En tout cas, avec lui, il avait envie d’être actif, il avait l’impression que ça tombait bien et que les deux hommes pouvaient ainsi se compléter.
Tout était prêt pour la pénétration, et, à la surprise de Mattéo, sa bite rentra comme dans du beurre. Il se dit que c’était peut-être l’effet du gel ou peut-être, même si l’idée le surprenait, que ça voulait dire que que ce jeune allemand, qu’il avait pris pour un puceau, non seulement ne l’était pas, mais avait quelque habitude de se prendre des bites dans le fion.
En tout cas très vite il put amorcer des mouvements de va-et-vient que le jeune éphèbe encaissa sans problème. Certes il gémissait en ponctuant ainsi les allées et venues qu’imprimait Mattéo en lui avec sa queue, mais il n’avait pas l’air d’avoir particulièrement mal.
Pourtant Mattéo en avait une longue et épaisse, et certains gars, au cul trop serré, n’arrivaient pas à l’encaisser.
Ce n’était manifestement pas le cas de ce jeune qui, décidément, le surprenait par son expérience, et qui se faisait défoncer avec gourmandise.
Ça faisait très longtemps que Mattéo n’avait pas baisé un mec. Il n’arrivait même pas à se souvenir qui et quand ça pouvait être puisque le dernier avec qui il avait couché, c’était Dim, et c’est lui qui l’avait baisé, et même d’une façon sacrément brutale. Avant Dim c’était des beurs, actifs également. Non, le dernier qu’il avait pris, ce devait être un escort brésilien. Rien à voir donc, avec le pied qu’il prenait en baisant ce jeune allemand.
Il aimait cette position, qui lui permettait d’avoir une vue directe et plongeante sur le corps de ce jeune qui, décidément, lui faisait beaucoup d’effet.
Cette position lui convenait, et convenait à sa queue, qu’il arrivait à introduire jusqu’au bout, et sans difficultés.
Le jeune fermait les yeux, et encaissait le pilonnage dont il faisait l’objet. Mattéo lui aussi gémissait de plaisir, et rythmait ainsi ses mouvements de va-et-vient.
Il s’arrêta un instant, pour savourer à la fois le moment et le spectacle de ce jeune, offert à lui, qu’il avait sous les yeux.
Il avait relevé la jambe, et Mattéo la tenait de la main droite. Il lui demanda, en français, si ça allait, et le jeune, qui semblait avoir compris, acquiesça.
C’était le moment de lui porter l’estocade. Mattéo reprit donc son va-et-vient, il était en sueur, du fait de la chaleur dans cette petite cabine, malgré la clim dans le sauna, du fait aussi de la chaleur de ce coït particulièrement intense.
Le jeune mit sa tête en arrière, ouvrit la bouche en grand, et poussa de petits cris sous les coups de butoir de Mattéo qui le baisait bien à fond, alternait les mouvements rapides, et plus lents, ce qui était en train de les amener tous deux progressivement vers la jouissance, et même l’extase.
Mattéo lui aussi mit la tête et le haut du corps en arrière pour enfoncer son pieu encore davantage dans les entrailles du jeune qui avait relevé ses bras à l’arrière de sa tête et respirait bruyamment.
Mattéo sentit la sauce monter et ne la retint pas davantage. Dans un véritable hurlement il cracha sa purée et ressentit des soubressauts dans tout le corps.
L’un d’eux fit ressortir sa bite, toujours protégée par le latex.
Il la réintroduisit et amorça à nouveau, malgré la jouissance survenue, de petits mouvements de va-et-vient.
Cela lui permit aussi de faire jouir le jeune allemand.
Mattéo lui prit la bite et commença à la branler. Pour accompagner le mouvement, il se retira et remplaça sa bite, qui avait fini par débander, par ses doigts.
Il vit que ça fit de l’effet au jeune, qui émettait des soupirs particulièrement rauques et bandait bien à fond.
L’éjaculation était proche, le jeune vint se finir en prenant sa bite en main et en la secouant énergiquement pendant que Mattéo continuait à le doigter de façon de plus en plus rapide.
A son tour le jeune poussa un hurlement, Mattéo retira ses doigts, et le sperme jaillit de sa bite pour inonder tout son ventre, jusque même sa poitrine.
Ça y est, les deux hommes avaient joui, Mattéo s’affala à côté du jeune et le caressa doucement sur le flan.
Le jeune se tourna vers lui et vint lui faire un smack en disant : “good, very good “, dans un langage international.
Mattéo lui répondit, en français et en soupirant : “ moi aussi j’ai pris mon pied... c’était trop bon...“.
Les deux hommes eurent besoin de quelques minutes pour reprendre leur souffle et leurs esprits.
En anglais, le jeune lui expliqua qu’il allait devoir y aller, Mattéo comprit que sa famille l’attendait et qu’il allait partir pour une autre ville.
Dommage car Mattéo aurait bien pris un verre avec lui, voire aurait remis le couvert un peu plus tard dans la soirée, mais le jeune semblait pressé, ou n’avait pas envie, il ne savait pas, et ne saurait jamais.
C’est le lot de ces baises rapides dans des saunas, avec des inconnus avec qui pendant quelques minutes on a l’impression de vivre une histoire d’amour tellement la baise est intense et excitante, mais une fois que c’est fini tout retombe, et on est presque contents et soulagés de se quitter.
Un dernier smack, et le jeune quitta la cabine. Mattéo, lui, s’allongea, il était en sueur, mais n’avait pas le corps souillé de sperme, et il avait la flemme d’aller prendre une douche. Il avait même la flemme d’aller fermer la porte, que le jeune allemand avait laissée grande ouverte.
Il ferma les yeux, et finit par s’endormir.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci de votre retour, suis très touché par vos compliments, grand merci.
Oui il y a une suite, mais elle est encore en cours de rédaction
Il y a même deux suites prévues, la soirée de Mattéo au sauna n’est pas finie…
Oui il y a une suite, mais elle est encore en cours de rédaction
Il y a même deux suites prévues, la soirée de Mattéo au sauna n’est pas finie…
Magnifique !
Le fond et la forme sont parfaits, les descriptions aussi précise qu'érotiques, un magnifique moment de plaisir entre deux superbes jeunes hommes.
A suivre bien évidemment, merci !
Le fond et la forme sont parfaits, les descriptions aussi précise qu'érotiques, un magnifique moment de plaisir entre deux superbes jeunes hommes.
A suivre bien évidemment, merci !