Maud, Charlotte et les hommes virils

- Par l'auteur HDS Micky -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Maud, Charlotte et les hommes virils Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2018 dans la catégorie Plus on est
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Maud, Charlotte et les hommes virils
Depuis quelques jours, Maud constatait que Charlotte n'allait pas bien. Toutes deux responsables d'une AMAP (association pour le maintien d'une agriculture paysanne), dont le travail consistait à servir d'intermédiaires entre producteurs alimentaires et consommateurs, via internet, elles travaillaient ensemble en permanence et avaient appris à se connaitre. Maud, proche de la quarantaine, yeux bleus, blonde pulpeuse et dynamique au visage rond, servait de tutrice à Charlotte, âgée de 25 ans, yeux verts, cheveux châtain clair, figure un peu anguleuse mais au corps irréprochable pour qui appréciait le genre mince et gracile. Interrompant son travail sur ordinateur, elle interpella Charlotte qui du coup délaissa aussi son clavier :- Dis-moi, j'ai l'impression que ça ne va pas fort chez toi depuis quelque temps. Qu'est-ce qui ne va pas ?
- Quoi ? Mais tout va bien.
- Mais non, ça ne va pas, je le vois bien. Tu es toujours triste, tu ne rigoles plus comme avant. Tu as un problème de santé ?
- Mais non, c'est pas ça.
- C'est quoi alors ? Un problème de coeur ? Ton copain t'a larguée ?
- Pas du tout. Je suis toujours avec lui. Mais... bon, ce n'est plus comme avant. J'ai l'impression que je ne l'intéresse plus. On a l'air d'un vieux couple.
- Et ça fait combien de temps que tu es avec lui ?
- Deux ans.
- Alors, c'est normal. Il y a une habitude qui s'est créée entre vous. Une espèce de routine. Je connais ça aussi. Mais avec mon mari, on essaie de casser cette routine.
- Et vous faites comment ?
- C'est quelque chose d'intime. Mais d'abord, je dois te poser une question personnelle. Tu réponds ou pas. Faites-vous souvent l'amour ?
- Euh... De moins en moins. Disons une fois par semaine environ.
- Une fois par semaine ? Mais c'est bien trop peu. A ton âge, moi, c'était tous les jours en moyenne. J'en avais besoin, c'était vital. Et tu aimes ça ou pas ?
- J'adore.
- Alors, cherche pas, ton problème, c'est que tu es en manque.
- De quoi ?
- De sexe pardi. Tu ne baises pas assez et tes hormones te le font sentir dans tout ton organisme, cerveau compris. Avec mon mari, on se fait régulièrement des plans culs, c'est le secret de la réussite de notre vie de couple.
Charlotte marqua un temps d'arrêt. La surprise se lisait sur son visage. Elle balbutia :- Des plans culs ?
- Oui, on sort de la routine du lit conjugal. Je pourrais te donner des détails mais le problème c'est toi, pas moi. Excuse-moi d'être un peu vulgaire mais il faut que tu ailles à la bite. Pas forcément celle de ton copain. Il faut que tu te fasses rentrer dedans. Et pour ça, il faut que tu sois sexy. Il fait beau, c'est le moment où jamais de montrer ton corps, qui est très joli. Mets-moi ton tablier au rencard et enfile une robe d'été. Tu dois bien avoir ça, non ?
- Oui mais elle est très très légère. Suis pas sûre que ça aille avec le boulot.
- Pas grave puisque c'est moi la patronne. Et débrouille-toi pour que ton mec le sache. Sur ce, revenons à nos commandes, on en reparle plus tard.

Charlotte eut un peu de mal à se reconcentrer sur son travail. Elle connaissait le franc parler de Maud mais là, elle avait vraiment fait très fort. Plan cul. Aller à la bite. C'était pour le moins inattendu de sa part... et néanmoins tentant. Elle avait raison au fond : elle ne faisait pas suffisamment l'amour. Les rapports sexuels avec son copain étaient devenus ternes et routiniers. Il manquait le grain de folie de leurs débuts. Et d'ailleurs, depuis cette discussion, une chaleur avait envahi son entrejambes. Elle suivrait la consigne.

*****Le soir même, Charlotte se présenta au local de l'AMAP avec une courte robe décolletée dans le dos jusqu'au ras des fesses, révélant à la fois un dos parfaitement bronzé par les séances de plage "topless" et l'absence de soutien-gorge, très visible devant où ses petits seins se dissimulaient à peine sous une étoffe fendue jusqu'au plexus.
- Wouahou, lâcha Maud en la voyant. Je ne la connaissais pas, celle-là. Tu la mets souvent ?
- Seulement pour aller en boite avec mon mec. Quand il m'a vu partir avec, il a un peu tiqué mais j'ai dit que j'avais très chaud au local et que c'était ce que j'avais de plus léger.
- Bien. Maintenant, laisse faire les choses.

Les premiers clients arrivèrent et comme il fallait s'en douter, les éléments mâles ne furent pas indifférents à la tenue de Charlotte. Certains glissèrent une allusion grivoise sur sa robe mais la plupart se contentèrent de mater discrètement le dos superbe et les seins libres de la jeune femme. A la fin de la distribution, celle-ci était mûre pour un coït sauvage. Maud lui fit un clin d'oeil :- Bonne soirée ma cocotte, ça va être ta fête.
Mais de fête il n'y eut point. Kevin, le petit ami de Charlotte, lui fit une scène pour s'être présentée "dans une tenue indécente" au travail. De dépit, elle claqua la porte après avoir fait sa valise et s'en fut chez Maud raconter sa déconvenue. Celle-ci lui proposa de l'héberger en l'absence de son mari, parti en mission à l'étranger. "Histoire de te refaire un moral", lui dit-elle. Et d'ajouter :- Après demain, Michel, notre producteur principal, organise une petite fête dans son exploitation. On va y aller, ça nous changera les idées. Et pas en tablier, hein ? On y va mignonnes.

*******
Le lendemain soir, Maud et Charlotte firent leur entrée dans la ferme de Michel, pavoisée pour l'occasion. Une grande table, particulièrement bien garnie, attendait les invités. L'arrivée des deux femmes fut très remarquée. Particulièrement celle de Charlotte qui avait sorti de son armoire une brassière qui lui découvrait tout le ventre et le bas du dos et une jupe si courte qu'il n'était pas impossible de voir sa culotte chaque fois qu'elle se baissait. "Tu es un véritable appel au viol" lui avait soufflé Maud en la voyant. Mais celle-ci, avec son corsage généreusement déboutonné sur le devant, sans soutien-gorge, les seins pointant sous la soie avec arrogance, et avec son mini short dévoilant ses jambes galbées et bronzées, inspirait tout autant l'acte sexuel. Les éléments mâles présents à la fête tournèrent autour d'elles comme des mouches, au grand dam de quelques épouses dont la tenue était nettement plus conventionnelle.

Au fil de la soirée, deux gaillards chevelus, barbus et poilus, à peine descendus de leur tracteur, établirent un cordon sanitaire autour des deux femmes qui acceptèrent d'autant plus volontiers leur parrainage qu'ils étaient drôles et serviables, s'occupant de remplir leur assiette mais aussi leur verre et tenant conversation sans vulgarité. Techniciens agricoles employés par Michel, ils étaient pour les deux femmes une source d'information précieuse sur la culture et ses incertitudes.
La soirée avançait, beaucoup d'invités étaient déjà partis, mais Sébastien et Boris (les deux agriculteurs) n'avaient pas l'intention de laisser filer les deux filles de l'AMAP. Ils leur proposèrent de finir la soirée dans une boite de nuit rurale toute proche.
- Personne ne nous attend, pourquoi pas alors, décréta Maud, embarquant d'autorité Charlotte dans l'aventure.
Dans la boite, les quatre se rapprochèrent et une véritable intimité était en train de se nouer sur la piste de danse comme autour de leur table. Profitant d'un moment où les deux hommes ne s'occupaient pas d'elles, Maud souffla à l'oreille de Charlotte :- On va baiser ce soir. Tu prends lequel ?
- Euh... tu vas un peu vite, non ?
- Tu ne vas pas commencer à faire ta mijaurée. Ne me dis pas qu'il ne se passe rien dans ta culotte. Depuis tout à l'heure, tu te comportes comme une chatte en chaleur. Les deux mecs sont chauds bouillants. Et pas de risque qu'ils débandent, ce sont deux costauds. Pas des poètes certes, mais ils en ont visiblement entre les jambes et c'est l'essentiel. Tu as vu le devant de leur pantalon ? Bien rempli, non ? Alors, lequel tu veux ?
- Ben... je sais pas... Boris est mignon.
- Ouais, et je parie qu'il a une grosse bite aussi, il va te faire reluire, le cochon. Bon, je te laisse Boris et je prends Sébastien. Je vais lui annoncer la couleur : on va tous baiser ensemble. Ils doivent bien avoir une tanière quelque part. Allez, j'y vais.

Un rien médusée, Charlotte vit Maud parler à l'oreille de Sébastien puis les deux se lever, appeler Boris et mettre le cap vers la voiture du duo avec Charlotte dans leur sillage. Une tension érotique régnait dans l'habitacle. A l'arrière, Sébastien et Maud étaient passés au stade du pré-accouplement. Tous les deux dépoitraillés, ils se caressaient mutuellement la poitrine en se bécotant, Maud les mains dans l'épaisse toison de son futur amant et celui-ci roulant entre ses doigts les pointes de seins érigées de sa future maitresse. A l'avant, Charlotte sentait monter en elle une chaleur qu'elle identifia aussitôt : le besoin d'être pénétrée. Lorsque Boris, tout en conduisant, laissa sa main droite glisser sur la cuisse découverte de sa passagère, il ne rencontra aucune résistance. Il l'insinua même sous la mini-jupe à la rencontre du slip et sentit le léger mouvement de hanches de Charlotte venant à la rencontre du doigt fureteur. Il identifia une humidité révélatrice et se rassura : la fille était disposée à baiser avec lui. Il aurait bien poursuivi l'exploration mais la nécessité de la conduite mobilisait ses deux mains. Un coup d'oeil dans le rétroviseur l'informa qu'à l'arrière, le couple improvisé était passé au stade supérieur, confirmé par les bruits de succion qu'il entendait depuis quelques minutes. La belle blonde taillait une pipe à ce veinard de Sébastien, béat, la tête calée sur le dossier du siège. "Une vorace, celle-là", se dit-il. Il était temps d'arriver à destination, sans quoi la voiture se transformerait en lupanar.

******
Sébastien vivait dans une ferme isolée. Son pénis en érection sortait encore de la braguette lorsqu'il descendit de la voiture pour inviter ses hôtes à entrer. La visite des lieux fut assez brève car les quatre protagonistes n'aspiraient plus qu'à une chose : s'accoupler. Ils gagnèrent une chambre où un vaste lit les attendait. Sébastien retira la couette, révélant un simple drap. Maud sortit deux préservatifs de son sac, et deux autres en réserve, preuve qu'elle avait préparé son affaire. Elle déclara en se débarrassant de son chemisier et de son short :- Les gars, j'espère que vous allez être à la hauteur car on est super chaudes toutes les deux, hein Charlotte ? Ma copine, ça fait un moment qu'elle n'a pas été bien baisée. Vous allez vous y mettre tous les deux, il faut qu'elle sorte de là rassasiée et comblée. Sinon, je vous traine dans la boue...

Charlotte offrit son dos à Boris qui dégrafa, non sans difficulté, la brassière, après quoi il lui caressa les seins avec une douceur qui la surprit, venant de mains aussi puissantes. Déjà nue et cuisses ouvertes sur le lit, Maud offrait sa vulve à la bouche de Sébastien qui mélangeait sa barbe fournie aux poils pubiens de la blonde. Charlotte se débarrassa en même temps de sa mini-jupe et de son slip, qui se révéla être un string, puis se mit à plat ventre sur le lit, tout à côté de Maud. Boris considéra le joli cul et l'embrassa, caressant la chair de sa barbe. Charlotte frémit de désir et se retourna, cuisses ouvertes à son tour et murmurant :- Viens maintenant, je peux plus attendre.

Avec un rien de sadisme, Boris lambina pour coiffer sa capote, histoire de laisser Charlotte mater son torse puissant et son plantureux pénis, moins long mais plus épais que celui de Sébastien, lequel se relevait après avoir bien lubrifié le vagin de Maud de sa langue. Le hasard fit que les deux techniciennes de l'AMAP furent pénétrées en même temps dans une position symétrique, leur amant debout au bord du lit, entouré par les jambes nerveuses de leur partenaire. La pièce s'emplit aussitôt de cris féminin de plaisir, mêlés au choc des peaux et des muqueuses mais aussi des grincements du lit, chahuté sur ses bases. Car les deux gars besognaient dur, encouragés par l'enthousiasme de leur partenaire mais aussi désireux de s'épater l'un l'autre. L'avertissement de Maud avait sonné comme un avertissement à leurs oreilles de mâles : pas question de décevoir deux beautés pareilles. Ce n'était pas tous les jours qu'ils pouvaient sauter des filles de cet acabit.
Totalement remplie, Charlotte ripostait comme elle pouvait pour rendre à l'homme le plaisir qu'il lui donnait. Le côté bestial de son partenaire la ravissait et lui faisait prendre conscience qu'elle n'avait pas été baisée, vraiment baisée, depuis des lustres. Plus bavarde, Maud encourageait son tringleur avec des mots crus bien sentis où il était essentiellement question de sa bite et de la nécessité impérieuse qu'il avait de la maintenir dans le même état de rigidité. Charlotte se contentait de "oui" et de "encore", ce qui suffisait largement pour stimuler son mâle. Elle était maintenant pliée en deux, les chevilles contre les oreilles de Boris qui plongeait ses yeux dans les siens en lui demandant s'il était assez dur. C'était évidemment le cas et Charlotte le rassura en l'embrassant. Puis Maud sonna la fin de la première période en déclarant :- Les gars, on échange maintenant et vous nous prenez toutes les deux par derrière.

A quatre pattes et à nouveau côte à côte, au bord du lit, les deux femmes reçurent les assauts simultanés de Sébastien et Boris, à ceci près que Charlotte sentit la queue longue et fine du premier l'envahir plus profondément encore que celle du second. C'était la première fois qu'elle pratiquait l'échangisme et cette découverte ne l'étonna qu'à moitié, comme si elle était dans l'ordre des choses de cette nuit torride.
- C'est bon hein ? souffla Maud en se tournant vers Charlotte.
Oui, c'était sacrément bon et la plus jeune des deux se montait à l'instant reconnaissante à son aînée de lui avoir permis cette libération hormonale. Elle n'aurait jamais imaginé se trouver dans une pareille situation en sa compagnie et au fond, elle la rassurait. Elle l'observa en train de glisser sa main entre ses jambes à la recherche des couilles de Boris et l'imita aussitôt, ce qui déclencha chez les deux hommes une rafale de coups de bite qui firent monter les décibels dans la chambre. Une nouvelle phase suivit, les deux hommes cette fois allongés sur le lit et chevauchés par deux walkyries roulant des hanches en piaillant. Au bord de l'éjaculation, Sébastien demanda grâce à Maud, qui accepta de faire une pause, à charge pour les deux paysans de ne pas débander, sous peine de sanction.

Elle prit alors une nouvelle initiative qui stupéfia Charlotte, malgré l'état d'excitation extrême dans laquelle elle se trouvait, et bien qu'elle ne fût nullement, du haut de ses 25 ans, rassasiée :- Vous allez la prendre tous les deux ensemble en sandwich. Et après, ce sera mon tour, et vous avez intérêt à ne pas gicler avant.
Un court débat eut lieu pour savoir qui entrerait dans le cul de Charlotte, celle-ci peu versée dans la sodomie et un peu craintive mais Maud la rassura. Elle opta pour la queue longue et fine de Sébastien pour la déflorer. Charlotte escalada Boris, incitée par Maud à se pencher en avant, et Sébastien, après avoir humidifié l'anneau de Charlotte, entra lentement en elle, la faisant crier de douleur. Mais rapidement, le plaisir de la double pénétration l'emporta. Les encouragements de Maud, placée en observatrice, eurent raison des réticences de sa collègue qui finit par trouver la bonne cadence et par ressentir ce plaisir si particulier procuré par deux pénis dans son tréfonds. Elle ressentit même un orgasme fulgurant qui alerta Maud :- Lâchez-la maintenant, c'est mon tour, décréta-t-elle aux deux hommes, pas loin eux aussi de se soulager dans leur capote.

Ils en changèrent avant d'enfiler Maud dans la même configuration, pendant que Charlotte reprenait ses esprits. Le fessier charnu qui s'offrait à Sébastien lui offrit un regain de tension pénienne et il s'y enfonça avec volupté, rencontrant une résistance plus réduite qu'avec la précédente. Plus rompue à l'exercice, Maud se laissa vite aller, bombardant ses deux amants réunis en elle d'épithètes les plus variés, mettant à la fois en doute leur virilité et célébrant celle-ci. Sébastien fut le premier à jouir dans son fondement en lâchant un cri rauque et en ressentant une véritable déflagration dans ses jambes. Mais Boris bandait toujours et Maud tressautait littéralement sur sa queue, prise dans une frénésie de stupre qui finit par la prendre au cervelet et à déclencher un orgasme bruyant. Boris put alors se libérer de l'extrême tension qui régnait dans son bas-ventre et expulsa un tel flot de sperme qu'il faillit en percer sa capote. Une puissante odeur séminale mêlée de sueur emplit la chambre. Les deux femmes furent les premières à gagner la douche toute proche pendant que les deux hommes récupéraient. Tous se retrouvèrent un peu plus tard, nus autour d'un verre. Maud leur délivra un satisfecit :- Bravo les gars, vous avez été à la hauteur, on ne le dira pas sauf si on nous le demande...
Les rires éclatèrent. Il restait aux deux hommes à raccompagner les deux femmes à leur voiture, non sans avoir espéré des retrouvailles proches. Mais leurs partenaires, sans les décourager, demeurèrent dans le vague. Et c'est alors que le jour se levait presque qu'elles rejoignirent leur lit, épuisées mais comblées.

Le lendemain, assez tard dans la matinée, au petit-déjeuner, Maud interrogea Charlotte :- Alors, cela t'a fait du bien, cette soirée.
- Oui beaucoup. Mais je me demande si je vais renouer avec Kevin. Franchement, au lit, ce n'est pas ça après ce que j'ai vécu hier soir.
- Tu as tort. Reste avec lui. Mais fais-lui comprendre que tu en veux plus, beaucoup plus. Et sinon, qu'il te laisse vivre ta vie comme je vis la mienne. Des Boris et des Sébastien, il y en a plein pour une belle fille comme toi. Si tu le veux bien sûr.
- Et tu vas tout raconter à ton mari ?
- Je ne sais pas, ça dépendra ce qu'il aura fait lui-même là où il est. On est un couple libre mais on ne se dit pas toujours tout. En tout cas, quand il reviendra, ce sera sa fête, crois-moi.
Et c'est sur cette déclaration, qui donna beaucoup à penser à Charlotte, que toutes les deux regagnèrent leur poste de travail.

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