Maud et Sandrine (4)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Maud et Sandrine (4)
Le téléphone. Minuit. Qui ça pouvait bien être à une heure pareille ? Maud a essuyé ses doigts gluants de mouille sur son grand tee-shirt de nuit, saisi son portable.
- Allô…- C’est moi ! C’est Sandrine ! Je te dérange pas ? Un peu, hein ? Parce que t’étais en train de repenser à notre après-midi à la piscine, je suis sûre… Et tu faisais pas que d’y repenser. Non ? Je me trompe ?
- Ben…Avec un petit rire.
- Comment c’était trop bien, n’empêche !
- Ah, ça ! Mais trop court. Beaucoup trop court. J’aurais bien joué les prolongations, moi !
- Et moi, donc ! Mais qu’est-ce tu veux ! Leurs bobonnes les attendaient à la maison. Oh, mais on remettra ça…- S’ils reviennent.
- Oh, ils reviendront ! Et cette fois, on échange. Tu prends Luc et moi, Martial.
Elles se sont tues.
Maud a fermé les yeux. Luc. La queue de Luc. Qui entrait et qui sortait. Qui voulait répandre sa semence. Qui l’exigeait. Et Sandrine offerte, béante, abandonnée. Sandrine dont les mamelles ballottaient au rythme des coups de boutoir du mâle qu’elle accueillait comblée. Dont les fesses s’ouvraient et se refermaient en cadence. Tandis qu’elle, de son côté, pendant ce temps-là, avec Martial… Comment ça avait été bon ! Non, mais comment ça avait été bon de faire ça ensemble. De se voir et de s’entendre. Ses doigts se sont faits plus pressants. Plus exigeants. Elle a doucement gémi. Sandrine aussi, à l’autre bout, là-bas. Elles ont haleté de concert. Ça s’est élancé. Envolé. Et elles ont clamé leur jouissance ensemble. À pleins poumons
* * *
On a sonné. Maud est allée ouvrir, encore tout ensommeillée. C’était Garance, sa voisine.
- Ah, c’est toi !
- Je peux entrer ?
Oui, bien sûr qu’elle pouvait ! Bien sûr.
- Je te fais un café.
Garance avait une trentaine d’années et, sans se fréquenter vraiment, elles entretenaient d’excellents rapports toutes les deux, se rendaient à l’occasion de menus services et passaient, de temps à autre, se dire un petit bonjour.
Garance a tourné longuement sa cuiller dans sa tasse.
- Oui, si je voulais te voir, c’est à propos d’Antoine.
- D’Antoine ?
C’était son petit ami, Antoine. Le dernier en date. Qui vivait depuis cinq ou six mois chez elle.
- Il est complètement sur les rotules. À cause de toi.
- De moi ! Comment ça de moi ?
- De toi, oui. Parce que c’est pas un reproche, je suis pareille, mais, à l’évidence, t’as une nature très volcanique. Il te faut ta dose quotidienne de plaisir. Voire plus. Et lui, du coup, il est constamment à l’affût. « Écoute ! Écoute ! T’entends ? Elle se branle encore, la voisine. Oui, elle se branle. Parce qu’il y a personne chez elle. Il y a pas de voiture en bas. Donc, elle se branle. » Et j’y attrape. Ce dont je ne me plains pas, bien au contraire. Mais ce qui, à lui, ne lui suffit pas. Il n’en dort plus. Ses nuits, il les passe l’oreille collée à la cloison. Des fois que ça te reprenne. Pas question de louper un épisode. Ah, non, alors ! Et il t’accompagne d’une main convaincue.
- Eh, ben, dis donc !
- Tu verrais la tête qu’il a. Il me fait peur. Un de ces quatre matins, ça va finir mal, tout ça ! Il va carrément tomber malade, oui !
Sauf qu’elle voyait pas trop ce qu’elle pouvait y faire, Maud.
- Je suis très expansive, je sais, mais je peux quand même pas…- Renoncer à te faire plaisir ? Oh, mais c’est pas ce que je te demande. Pas du tout ! Pas du tout !
Ben, c’était quoi, alors ?
- C’est que… On est entre femmes, hein ! Je peux te parler franchement. C’est que je me disais que peut-être, s’il se passait quelque chose entre vous, il verrait les choses autrement. Tu perdrais de ton mystère. Il arrêterait de focaliser sur toi. De t’idéaliser.
- Si je comprends bien, tu voudrais qu’il me saute, quoi !
- J’aurais pas dit ça comme ça, mais à terme, oui. Après l’avoir fait passer d’abord par tout un tas de petites étapes intermédiaires.
- Et pourquoi pas ? Je suis ouverte à beaucoup de choses, moi, tu sais…- C’est ce que j’avais cru comprendre, en effet. C’est bien pour ça que je me suis montrée aussi directe. Alors, c’est oui ?
- Bien sûr que c’est oui.
* * *
Ça a beaucoup amusé Sandrine.
- Ah, oui ! Carrément ! Eh ben dis donc ! Il est canon au moins ?
- Pour autant que j’aie pu en juger, pas mal, oui !
- Elle prend des risques, la fille !
- Oui, oh, j’y crois qu’à moitié, moi, à son histoire. Peut-être qu’il m’écoute monter dans les tours, oui. Sûrement, même. Mais c’est pas aussi démesuré qu’elle veut bien le dire. Non, ce qu’il y a, à mon avis, c’est qu’elle crève d’envie de voir son mec s’envoyer en l’air avec une autre. C’est son truc, ça ! Et elle va y prendre un de ces pieds !
* * *
Ce fut le surlendemain.
- Tu passes boire l’apéro ?
- J’arrive.
Vêtue d’un tee-shirt sous lequel elle avait laissé ses seins libres. Et d’un pantalon qui la moulait au plus près.
Antoine s’est activé autour des verres, des bouteilles, des amuse-gueule. Il a déplacé une chaise, une autre. A remis la première à sa place initiale. A fini par s’asseoir.
Et Garance a attaqué.
- Bon, ben ça y est ! Enfin ! Tu la vois de tout près, cette Maud. T’es content ?
Il s’est agité sur son fauteuil de jardin. A croisé, décroisé, recroisé les jambes. Retrouvé un semblant de sérénité.
- Qu’est-ce tu racontes !
- Tu sais très bien ce que je veux dire. Depuis le temps qu’elle t’excite, la voisine.
Il a eu un rire un peu forcé.
- N’importe quoi !
- Pas n’importe quoi, non ! Tu passes pas ton temps à l’épier à travers les volets peut-être, quand elle part le matin et quand elle rentre le soir ? À d’autres occasions aussi. Faut que je précise ?
Il a rendu les armes.
- C’est que…- Tu la trouves à ton goût. Oui, oh, ben ça, je sais. Et Maud par ci. Et Maud par là. Et, chaque fois, t’as la queue qui se dresse.
- Tu vas me faire passer pour…- Pour ce que tu es. Au moins, comme ça, maintenant, elle est au courant. Les choses sont claires.
Maud a volé à son secours.
- Ça se commande pas, ça, l’attirance.
Il lui a lancé un regard plein de reconnaissance.
- Ben, bien sûr ! Non. Et puis vous êtes tellement…Elle s’est penchée en avant. Qu’il puisse profiter de ses seins.
Il a respiré plus vite. Dégluti.
Garance a constaté.
- Il bande. Non, mais comment il bande !
- Eh bien, laisse-le bander !
Et Maud s’est penchée un peu plus en avant encore. Les lui a doucement fait osciller sous le nez dans l’échancrure du tee-shirt.
- Ils te plaisent ?
Il a fait signe que oui. Oh, oui !
Elle s’est approchée de lui. Approchée encore.
- Tu penses à eux quand tu te branles ?
Il les dévorait des yeux.
Il a encore fait signe que oui.
Elle a retiré son tee-shirt.
- Alors vas-y !
Il ne s’est pas fait prier. Il a sorti sa queue. Sur laquelle il s’est acharné. Sans les quitter un seul instant des yeux. Vite. De plus en plus vite.
Et il a supplié.
- Ta chatte ! Fais-moi voir ta chatte !
Juste avant de gicler. Dans un grand râle.
Elle a remis son tee-shirt.
- Une autre fois, ma chatte…- Quand ? Quand ?
- On verra. Penses-y bien d’ici là…
- Allô…- C’est moi ! C’est Sandrine ! Je te dérange pas ? Un peu, hein ? Parce que t’étais en train de repenser à notre après-midi à la piscine, je suis sûre… Et tu faisais pas que d’y repenser. Non ? Je me trompe ?
- Ben…Avec un petit rire.
- Comment c’était trop bien, n’empêche !
- Ah, ça ! Mais trop court. Beaucoup trop court. J’aurais bien joué les prolongations, moi !
- Et moi, donc ! Mais qu’est-ce tu veux ! Leurs bobonnes les attendaient à la maison. Oh, mais on remettra ça…- S’ils reviennent.
- Oh, ils reviendront ! Et cette fois, on échange. Tu prends Luc et moi, Martial.
Elles se sont tues.
Maud a fermé les yeux. Luc. La queue de Luc. Qui entrait et qui sortait. Qui voulait répandre sa semence. Qui l’exigeait. Et Sandrine offerte, béante, abandonnée. Sandrine dont les mamelles ballottaient au rythme des coups de boutoir du mâle qu’elle accueillait comblée. Dont les fesses s’ouvraient et se refermaient en cadence. Tandis qu’elle, de son côté, pendant ce temps-là, avec Martial… Comment ça avait été bon ! Non, mais comment ça avait été bon de faire ça ensemble. De se voir et de s’entendre. Ses doigts se sont faits plus pressants. Plus exigeants. Elle a doucement gémi. Sandrine aussi, à l’autre bout, là-bas. Elles ont haleté de concert. Ça s’est élancé. Envolé. Et elles ont clamé leur jouissance ensemble. À pleins poumons
* * *
On a sonné. Maud est allée ouvrir, encore tout ensommeillée. C’était Garance, sa voisine.
- Ah, c’est toi !
- Je peux entrer ?
Oui, bien sûr qu’elle pouvait ! Bien sûr.
- Je te fais un café.
Garance avait une trentaine d’années et, sans se fréquenter vraiment, elles entretenaient d’excellents rapports toutes les deux, se rendaient à l’occasion de menus services et passaient, de temps à autre, se dire un petit bonjour.
Garance a tourné longuement sa cuiller dans sa tasse.
- Oui, si je voulais te voir, c’est à propos d’Antoine.
- D’Antoine ?
C’était son petit ami, Antoine. Le dernier en date. Qui vivait depuis cinq ou six mois chez elle.
- Il est complètement sur les rotules. À cause de toi.
- De moi ! Comment ça de moi ?
- De toi, oui. Parce que c’est pas un reproche, je suis pareille, mais, à l’évidence, t’as une nature très volcanique. Il te faut ta dose quotidienne de plaisir. Voire plus. Et lui, du coup, il est constamment à l’affût. « Écoute ! Écoute ! T’entends ? Elle se branle encore, la voisine. Oui, elle se branle. Parce qu’il y a personne chez elle. Il y a pas de voiture en bas. Donc, elle se branle. » Et j’y attrape. Ce dont je ne me plains pas, bien au contraire. Mais ce qui, à lui, ne lui suffit pas. Il n’en dort plus. Ses nuits, il les passe l’oreille collée à la cloison. Des fois que ça te reprenne. Pas question de louper un épisode. Ah, non, alors ! Et il t’accompagne d’une main convaincue.
- Eh, ben, dis donc !
- Tu verrais la tête qu’il a. Il me fait peur. Un de ces quatre matins, ça va finir mal, tout ça ! Il va carrément tomber malade, oui !
Sauf qu’elle voyait pas trop ce qu’elle pouvait y faire, Maud.
- Je suis très expansive, je sais, mais je peux quand même pas…- Renoncer à te faire plaisir ? Oh, mais c’est pas ce que je te demande. Pas du tout ! Pas du tout !
Ben, c’était quoi, alors ?
- C’est que… On est entre femmes, hein ! Je peux te parler franchement. C’est que je me disais que peut-être, s’il se passait quelque chose entre vous, il verrait les choses autrement. Tu perdrais de ton mystère. Il arrêterait de focaliser sur toi. De t’idéaliser.
- Si je comprends bien, tu voudrais qu’il me saute, quoi !
- J’aurais pas dit ça comme ça, mais à terme, oui. Après l’avoir fait passer d’abord par tout un tas de petites étapes intermédiaires.
- Et pourquoi pas ? Je suis ouverte à beaucoup de choses, moi, tu sais…- C’est ce que j’avais cru comprendre, en effet. C’est bien pour ça que je me suis montrée aussi directe. Alors, c’est oui ?
- Bien sûr que c’est oui.
* * *
Ça a beaucoup amusé Sandrine.
- Ah, oui ! Carrément ! Eh ben dis donc ! Il est canon au moins ?
- Pour autant que j’aie pu en juger, pas mal, oui !
- Elle prend des risques, la fille !
- Oui, oh, j’y crois qu’à moitié, moi, à son histoire. Peut-être qu’il m’écoute monter dans les tours, oui. Sûrement, même. Mais c’est pas aussi démesuré qu’elle veut bien le dire. Non, ce qu’il y a, à mon avis, c’est qu’elle crève d’envie de voir son mec s’envoyer en l’air avec une autre. C’est son truc, ça ! Et elle va y prendre un de ces pieds !
* * *
Ce fut le surlendemain.
- Tu passes boire l’apéro ?
- J’arrive.
Vêtue d’un tee-shirt sous lequel elle avait laissé ses seins libres. Et d’un pantalon qui la moulait au plus près.
Antoine s’est activé autour des verres, des bouteilles, des amuse-gueule. Il a déplacé une chaise, une autre. A remis la première à sa place initiale. A fini par s’asseoir.
Et Garance a attaqué.
- Bon, ben ça y est ! Enfin ! Tu la vois de tout près, cette Maud. T’es content ?
Il s’est agité sur son fauteuil de jardin. A croisé, décroisé, recroisé les jambes. Retrouvé un semblant de sérénité.
- Qu’est-ce tu racontes !
- Tu sais très bien ce que je veux dire. Depuis le temps qu’elle t’excite, la voisine.
Il a eu un rire un peu forcé.
- N’importe quoi !
- Pas n’importe quoi, non ! Tu passes pas ton temps à l’épier à travers les volets peut-être, quand elle part le matin et quand elle rentre le soir ? À d’autres occasions aussi. Faut que je précise ?
Il a rendu les armes.
- C’est que…- Tu la trouves à ton goût. Oui, oh, ben ça, je sais. Et Maud par ci. Et Maud par là. Et, chaque fois, t’as la queue qui se dresse.
- Tu vas me faire passer pour…- Pour ce que tu es. Au moins, comme ça, maintenant, elle est au courant. Les choses sont claires.
Maud a volé à son secours.
- Ça se commande pas, ça, l’attirance.
Il lui a lancé un regard plein de reconnaissance.
- Ben, bien sûr ! Non. Et puis vous êtes tellement…Elle s’est penchée en avant. Qu’il puisse profiter de ses seins.
Il a respiré plus vite. Dégluti.
Garance a constaté.
- Il bande. Non, mais comment il bande !
- Eh bien, laisse-le bander !
Et Maud s’est penchée un peu plus en avant encore. Les lui a doucement fait osciller sous le nez dans l’échancrure du tee-shirt.
- Ils te plaisent ?
Il a fait signe que oui. Oh, oui !
Elle s’est approchée de lui. Approchée encore.
- Tu penses à eux quand tu te branles ?
Il les dévorait des yeux.
Il a encore fait signe que oui.
Elle a retiré son tee-shirt.
- Alors vas-y !
Il ne s’est pas fait prier. Il a sorti sa queue. Sur laquelle il s’est acharné. Sans les quitter un seul instant des yeux. Vite. De plus en plus vite.
Et il a supplié.
- Ta chatte ! Fais-moi voir ta chatte !
Juste avant de gicler. Dans un grand râle.
Elle a remis son tee-shirt.
- Une autre fois, ma chatte…- Quand ? Quand ?
- On verra. Penses-y bien d’ici là…
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