Maud et Sandrine (5)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 180 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Exorium ont reçu un total de 599 071 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 295 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Maud et Sandrine (5)
Maud et Sandrine ont passé les trois jours suivants à la piscine. Dans l’espoir que Luc et Martial finiraient par y refaire une apparition.
- Me dis pas qu’ils nous ont oubliées…- Nous oublier, nous ? Alors ça, c’est complètement Impossible !
Sandrine était tout de même sceptique.
- Oui, oh, alors ça ! Les mecs, une fois qu’ils ont tiré leur coup…Les deux petits puceaux, eux, par contre, leur tournaient toujours autour. Encore et encore. Sans trop oser malgré tout s’approcher vraiment.
Maud les trouvait attendrissants.
- Ils sont trop, tout timides comme ça. Avec leur petit air implorant. Ça donnerait presque envie.
- Oui, ben pas moi, alors là ! J’ai pas envie d’essuyer les plâtres.
- Ce qui peut aussi avoir son charme…Sandrine a fait la moue.
- Oui, oh !
Elles ont suivi des yeux le maître-nageur qui arpentait fièrement le bord de la piscine. En bombant tant qu’il pouvait le torse.
- Et lui ?
Au tour de Maud, cette fois, de faire la moue.
- Les types trop sûrs d’eux, comme ça, t’y trouves rarement ton compte. Ils font illusion, mais la plupart du temps, comment c’est décevant !
C’est juste au moment où elles allaient renoncer.
- Ils reviendront pas, les deux autres…- Oui. Faudrait peut-être bien penser à changer notre fusil d’épaule.
- Et à aller se chercher un autre terrain de chasse.
C’est juste à ce moment-là que…- Tiens, tiens ! Qui c’est que v’là !
Luc et Martial. Qui se sont approchés, tout sourire.
- Alors, les filles ! Ça va comme vous voulez ? On vous a manqué, j’espère !
Elles se sont regardées.
- Pas à moi, toujours !
- Ni à moi.
Luc les a menacées du doigt.
- Vous êtes de sales gosses. Mais on vous en veut pas. La preuve : on vous emmène.
- Où ça ?
- Chez un copain à nous. À qui on a beaucoup parlé de vous. Qui brûle d’envie de vous connaître. Et qui dispose, ce qui ne gâte rien, d’une immense piscine privée. Où on sera beaucoup plus tranquilles qu’ici…Elles ont fait mine d’hésiter. Pour la forme.
- Ça craint. On le connaît pas, ce type !
- Justement ! Ce sera l’occasion de faire connaissance.
* * *
Sandrine s’est extasiée.
- Ah, oui, quand même ! Le grand luxe, dis donc !
Il y avait deux types dans l’eau. Qui nageaient. À poil. Qui leur ont crié de les rejoindre.
- Venez ! Elle est super bonne !
Luc et Martial se sont désapés. Ils ont tout enlevé. Tout. Tout nus, eux aussi. Et ils les ont rejoints.
- Allez, les filles ! Avec nous !
Elles ne se sont pas fait prier.
- On va pas jouer les mijaurées…- Non, c’est pas notre style.
- D’autant que…- Oui, ça va être Noël, je crois bien ! Canons comme ils sont.
Elles ont pris tout leur temps. Pour se déshabiller. Pour tout enlever, elles aussi. Pour tâter l’eau, du bout du pied. Pour descendre les barreaux de l’échelle. Sous les encouragements des quatre mâles qui ne les quittaient pas des yeux.
- Allez ! Allez ! Elle est super bonne, on vous dit.
Elles s’y sont laissé glisser, l’une après l’autre.
Ont fait quelques longueurs de bassin. Tout en jetant des coups d’œil discrets, et néanmoins intéressés, sur l’anatomie des deux inconnus.
Elles se sont croisées. Un peu à l’écart.
- Pas mal ! Pas mal du tout !
- Ils s’entretiennent, ce qu’il y a de sûr !
- Et ils sont fort généreusement pourvus.
Elles sont remontées les premières. Se sont étendues au soleil. Ont fermé les yeux. Maud s’est assoupie.
C’est le sentiment d’une présence, à ses côtés, qui l’a tirée du sommeil. Allongé auprès d’elle, appuyé sur un coude, Luc la contemplait. Et la désirait. Elle a fait celle qui ne s’était aperçue de rien. Elle a refermé les yeux. C’était bon. C’était si bon son regard sur elle. C’était si bon son désir sur elle. Il lui a effleuré la joue. Tout léger. En aile de papillon. Ses paupières. Ses lèvres. Il est descendu. Le menton. Le cou. S’est approché d’un sein. S’en est approprié le téton. Y a posé ses lèvres. L’a enserré entre ses dents. Elle a respiré plus vite. Plus fort. Et puis il y a eu une main sur son genou. La main, entre ses paupières mi-closes, de l’un des deux inconnus. Une main qui a cheminé le long de sa cuisse. Qui en a entrepris l’inexorable ascension. Le pli de l’aine. Les premiers contreforts de la chatte. Envie. Tellement. Elle s’est tendue vers elle. Vers lui. Entrouverte. Offerte.
Une voix. Mâle. Profonde.
- Mais c’est qu’elle mouille comme une vraie petite cochonne, la Madame !
Elle a senti une queue, décalottée, qui palpitait contre son téton. Qui se frottait, toute soyeuse, contre lui. Elle a ouvert les yeux. C’était Luc. Celle de Luc. L’impressionnante queue de Luc. Qu’elle a prise entre ses doigts.
- Viens !
Qu’elle a guidée jusqu’à sa bouche. Fait courir le long de ses lèvres. Dont elle a emprisonné le gland entre ses dents. Qu’elle a agacé du bout de la langue.
À côté, à la fois tout près et très loin, Sandrine a hurlé.
- Oh, oui ! Baisez-moi ! Pilonnez-moi ! Encore ! Plus fort ! Plus fort !
En bas, l’inconnu continuait son exploration. Savant. Subtil. Comment il savait y faire, ce salaud ! Maud s’est élancée, du bas-ventre, contre lui. Mais qu’il la prenne ! Qu’il la prenne ! Oh, s’il te plaît !
Il l’a fait. Il l’a pénétrée. Emplie. Et elle a joui. Très vite. Une première fois. Puis une deuxième. Avant qu’ils se répandent. Tous les deux. Luc dans sa bouche et l’inconnu dans sa chatte.
- Me dis pas qu’ils nous ont oubliées…- Nous oublier, nous ? Alors ça, c’est complètement Impossible !
Sandrine était tout de même sceptique.
- Oui, oh, alors ça ! Les mecs, une fois qu’ils ont tiré leur coup…Les deux petits puceaux, eux, par contre, leur tournaient toujours autour. Encore et encore. Sans trop oser malgré tout s’approcher vraiment.
Maud les trouvait attendrissants.
- Ils sont trop, tout timides comme ça. Avec leur petit air implorant. Ça donnerait presque envie.
- Oui, ben pas moi, alors là ! J’ai pas envie d’essuyer les plâtres.
- Ce qui peut aussi avoir son charme…Sandrine a fait la moue.
- Oui, oh !
Elles ont suivi des yeux le maître-nageur qui arpentait fièrement le bord de la piscine. En bombant tant qu’il pouvait le torse.
- Et lui ?
Au tour de Maud, cette fois, de faire la moue.
- Les types trop sûrs d’eux, comme ça, t’y trouves rarement ton compte. Ils font illusion, mais la plupart du temps, comment c’est décevant !
C’est juste au moment où elles allaient renoncer.
- Ils reviendront pas, les deux autres…- Oui. Faudrait peut-être bien penser à changer notre fusil d’épaule.
- Et à aller se chercher un autre terrain de chasse.
C’est juste à ce moment-là que…- Tiens, tiens ! Qui c’est que v’là !
Luc et Martial. Qui se sont approchés, tout sourire.
- Alors, les filles ! Ça va comme vous voulez ? On vous a manqué, j’espère !
Elles se sont regardées.
- Pas à moi, toujours !
- Ni à moi.
Luc les a menacées du doigt.
- Vous êtes de sales gosses. Mais on vous en veut pas. La preuve : on vous emmène.
- Où ça ?
- Chez un copain à nous. À qui on a beaucoup parlé de vous. Qui brûle d’envie de vous connaître. Et qui dispose, ce qui ne gâte rien, d’une immense piscine privée. Où on sera beaucoup plus tranquilles qu’ici…Elles ont fait mine d’hésiter. Pour la forme.
- Ça craint. On le connaît pas, ce type !
- Justement ! Ce sera l’occasion de faire connaissance.
* * *
Sandrine s’est extasiée.
- Ah, oui, quand même ! Le grand luxe, dis donc !
Il y avait deux types dans l’eau. Qui nageaient. À poil. Qui leur ont crié de les rejoindre.
- Venez ! Elle est super bonne !
Luc et Martial se sont désapés. Ils ont tout enlevé. Tout. Tout nus, eux aussi. Et ils les ont rejoints.
- Allez, les filles ! Avec nous !
Elles ne se sont pas fait prier.
- On va pas jouer les mijaurées…- Non, c’est pas notre style.
- D’autant que…- Oui, ça va être Noël, je crois bien ! Canons comme ils sont.
Elles ont pris tout leur temps. Pour se déshabiller. Pour tout enlever, elles aussi. Pour tâter l’eau, du bout du pied. Pour descendre les barreaux de l’échelle. Sous les encouragements des quatre mâles qui ne les quittaient pas des yeux.
- Allez ! Allez ! Elle est super bonne, on vous dit.
Elles s’y sont laissé glisser, l’une après l’autre.
Ont fait quelques longueurs de bassin. Tout en jetant des coups d’œil discrets, et néanmoins intéressés, sur l’anatomie des deux inconnus.
Elles se sont croisées. Un peu à l’écart.
- Pas mal ! Pas mal du tout !
- Ils s’entretiennent, ce qu’il y a de sûr !
- Et ils sont fort généreusement pourvus.
Elles sont remontées les premières. Se sont étendues au soleil. Ont fermé les yeux. Maud s’est assoupie.
C’est le sentiment d’une présence, à ses côtés, qui l’a tirée du sommeil. Allongé auprès d’elle, appuyé sur un coude, Luc la contemplait. Et la désirait. Elle a fait celle qui ne s’était aperçue de rien. Elle a refermé les yeux. C’était bon. C’était si bon son regard sur elle. C’était si bon son désir sur elle. Il lui a effleuré la joue. Tout léger. En aile de papillon. Ses paupières. Ses lèvres. Il est descendu. Le menton. Le cou. S’est approché d’un sein. S’en est approprié le téton. Y a posé ses lèvres. L’a enserré entre ses dents. Elle a respiré plus vite. Plus fort. Et puis il y a eu une main sur son genou. La main, entre ses paupières mi-closes, de l’un des deux inconnus. Une main qui a cheminé le long de sa cuisse. Qui en a entrepris l’inexorable ascension. Le pli de l’aine. Les premiers contreforts de la chatte. Envie. Tellement. Elle s’est tendue vers elle. Vers lui. Entrouverte. Offerte.
Une voix. Mâle. Profonde.
- Mais c’est qu’elle mouille comme une vraie petite cochonne, la Madame !
Elle a senti une queue, décalottée, qui palpitait contre son téton. Qui se frottait, toute soyeuse, contre lui. Elle a ouvert les yeux. C’était Luc. Celle de Luc. L’impressionnante queue de Luc. Qu’elle a prise entre ses doigts.
- Viens !
Qu’elle a guidée jusqu’à sa bouche. Fait courir le long de ses lèvres. Dont elle a emprisonné le gland entre ses dents. Qu’elle a agacé du bout de la langue.
À côté, à la fois tout près et très loin, Sandrine a hurlé.
- Oh, oui ! Baisez-moi ! Pilonnez-moi ! Encore ! Plus fort ! Plus fort !
En bas, l’inconnu continuait son exploration. Savant. Subtil. Comment il savait y faire, ce salaud ! Maud s’est élancée, du bas-ventre, contre lui. Mais qu’il la prenne ! Qu’il la prenne ! Oh, s’il te plaît !
Il l’a fait. Il l’a pénétrée. Emplie. Et elle a joui. Très vite. Une première fois. Puis une deuxième. Avant qu’ils se répandent. Tous les deux. Luc dans sa bouche et l’inconnu dans sa chatte.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Exorium
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...