Maud et Sandrine (7)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Maud et Sandrine (7)
Maud a interminablement fait tourner sa cuiller dans sa tasse.
- Tu crois que c’est vrai ?
Elles étaient installées, toutes les deux, à une terrasse de café, sur l’avenue. Tout un tas de gens allaient et venaient autour d’elles, perdus dans leurs pensées.
- Hein ? Tu crois que c’est vrai ?
- Quoi donc ?
- Ce qu’il a dit, Boris. Qu’autant de types qu’on voudrait il pourrait nous amener, la prochaine fois, si on avait envie.
- Ça prouve au moins une chose, c’est qu’il compte bien qu’il y ait une prochaine fois.
- Oui, oh, ben ça, évidemment ! Non, mais quelle soirée ! J’en ai encore la chatte tout émerveillée.
Elle a poussé un profond soupir.
- Non, moi, la seule chose que je regrette, c’est qu’ils n’aient pas fini par se faire le cul, Boris et Augustin. Parce que alors là, moi, ça, c’est un truc…- Ça viendra. Ça viendra forcément. C’est comme… Non, mais t’imagines ? Si c’est vrai ce qu’il a dit… Avoir tout un cheptel de mâles à ta disposition. Dont tu peux faire tout ce qui te passe par la tête.
Et Maud s’est prise à rêver. À voix haute.
- Six ou sept, moi, je m’en verrais bien. Six ou sept qui seraient là autour de moi, à poil, autour de la piscine. Avec lesquels j’aurais été d’emblée très claire : un seul d’entre eux, au bout du compte, aurait mes faveurs. Si bien qu’ils sont prêts à tout pour attirer mon attention. Pour être celui-là. Tout. Absolument tout. Alors moi, évidemment, je fais durer. Tant que je peux. Je me repais de leurs queues dressées, prêtes à exploser, qui me supplient. Qui m’implorent : « Moi ! Moi ! Choisis-moi ! Moi ! » J’hésite. Il faut bien pourtant que je finisse par me décider. Celui-là, allez ! Je lui soupèse les coucougnettes. Je le décalotte. Je fais la moue. Mouais ! Peut-être. Non. Tout compte fait, faut encore que je réfléchisse. Et je reprends mes explorations. Jusqu’à ce qu’il y en ait un qui, incapable de se retenir plus longtemps, me gicle sur les doigts. Ce sera lui qui, maintenant qu’il a déchargé, sera à même de tenir beaucoup plus longtemps la distance. Qui me laissera le temps d’arriver à mes fins. Je le refais bander. Il ne demande que ça. Je m’ouvre à lui. Il est heureux. Tellement ! Triomphant. Il me pilonne avec une détermination ! Avec une énergie ! Les autres, autour, en ont pris leur parti. Ils regardent. Ils se rincent l’œil. C’est toujours ça ! À défaut d’autre chose. Et leurs queues explosent, les unes après les autres. Ils jouissent. Il jouit. Je jouis. Putain, que c’est bon !
- Et moi, dans tout ça ?
- Toi ? Ah, non ! Pas de concurrence. Je suis toute seule avec eux. T’es planquée dans un coin, toi, si tu veux, à suivre le déroulement des opérations. Et puis, le coup d’après, on fait l’inverse. Toi, sur la sellette. Et moi, à te regarder faire en compagnie, si possible, de Boris et d’Augustin. Et peut-être même aussi de Luc et de Martial. Tant qu’à faire ! Bon, mais allez ! On se bouge ? On fait quelque chose ? Parce que c’est en train de me mettre dans un de ces états, moi, de parler de ça !
Elles se sont levées.
Et Sandrine a proposé qu’elles aillent faire un peu de shopping.
- Ça nous changera les idées. J’ai besoin d’un nouveau maillot n’importe comment.
Elles se sont faufilées dans les petites rues commerçantes. Ont déambulé d’une vitrine à l’autre.
C’est Maud qui l’a remarqué.
- Là ! T’as vu ?
- Non. Quoi ?
- Le vendeur derrière sa caisse. C’est-y pas mignon comme tout, ça ?
Sandrine a abondé dans son sens.
- Ah, oui, dis donc ! Oui. C’est ravissant. Faut aller voir ça de plus près. Ça s’impose.
Elles sont entrées. Ont longuement déambulé entre les portants. Chuchoté.
- Il est canon ! Non, mais comment il est canon !
- Et ses yeux ! T’as vu ses yeux ?
- Il a quoi ? Vingt-cinq ans, à tout casser.
- Un peu jeune, mais bon…- On s’en fout de ça !
- Complètement.
Sandrine s’est emparée d’un maillot deux pièces couleur parme. D’un autre dans des tons vert amande.
- Je peux aller essayer ?
Bien sûr qu’elle pouvait ! Bien sûr !
Et il lui a indiqué la cabine. Une cabine dont elle a pris grand soin, comme par inadvertance, de ne pas tirer le rideau jusqu’au bout. Il s’en fallait d’une bonne vingtaine de centimètres.
Maud a fait mine d’aller s’intéresser de très près au rayon des petits hauts. À l’abri duquel elle a pu le surveiller tout à loisir. Ah, il matait, le cochon ! Pour la mater, il la matait, la Sandrine ! Il se régalait. Et elle, la connaissant, elle devait jouer le jeu à fond. Lui offrir une foule d’aperçus saisissants sur son anatomie.
Elle a pris tout son temps, fini par repousser le rideau, fait son apparition dans le petit maillot parme qui lui dessinait les fesses et le minou au plus près.
- Il y aurait pas une glace en pied quelque part ? Parce qu’il y a pas de recul là-dedans. On se rend pas compte.
Il y avait, oui.
Elle s’y est contemplée. De face. De dos. De profil. Elle a recommencé. Encore et encore.
- Qu’est-ce t’en penses ?
- Que ça te va pas mal.
- Et vous, M’sieur ? C’est votre métier. Vous avez l’habitude. Comment vous me trouvez ?
Maud s’est esclaffée.
- À son goût, ça, c’est sûr. Il te bande dessus comme un furieux.
Sandrine l’a fixé en bas.
- Ah, mais oui, dis donc ! Oui. Et pas qu’un peu !
Il a souri. Un peu rougi. Ce qui lui donnait un charme fou.
- C’est que…- C’est que quoi ? Je te plais ? T’as envie de moi ? C’est ça ?
C’était ça, oui.
Encore son sourire. Non, mais comment il était craquant, ce type !
- Bon, alors confidence pour confidence, tu me déplais pas non plus. Si bien qu’on devrait pouvoir trouver un terrain d’entente, non ?
Il était bien de cet avis.
- Ah, oui alors !
- Eh bien action ! Et t’as intérêt à assurer ! D’autant que tu m’as tout l’air d’être équipé pour ça !
Elle a avancé la main. L’a empoigné à travers le pantalon.
- On va voir de quoi c’est capable, tout cet attirail.
Il a fait signe à Maud. Le rideau ! Le rideau métallique. Fallait le baisser. Là-bas, à gauche, le mécanisme. Elle l’a actionné. C’est descendu.
Maud lui a défait sa ceinture.
- Allez, on met tout ça à l’air…Et le pantalon aussi est descendu. Ainsi que le boxer.
(à suivre)
- Tu crois que c’est vrai ?
Elles étaient installées, toutes les deux, à une terrasse de café, sur l’avenue. Tout un tas de gens allaient et venaient autour d’elles, perdus dans leurs pensées.
- Hein ? Tu crois que c’est vrai ?
- Quoi donc ?
- Ce qu’il a dit, Boris. Qu’autant de types qu’on voudrait il pourrait nous amener, la prochaine fois, si on avait envie.
- Ça prouve au moins une chose, c’est qu’il compte bien qu’il y ait une prochaine fois.
- Oui, oh, ben ça, évidemment ! Non, mais quelle soirée ! J’en ai encore la chatte tout émerveillée.
Elle a poussé un profond soupir.
- Non, moi, la seule chose que je regrette, c’est qu’ils n’aient pas fini par se faire le cul, Boris et Augustin. Parce que alors là, moi, ça, c’est un truc…- Ça viendra. Ça viendra forcément. C’est comme… Non, mais t’imagines ? Si c’est vrai ce qu’il a dit… Avoir tout un cheptel de mâles à ta disposition. Dont tu peux faire tout ce qui te passe par la tête.
Et Maud s’est prise à rêver. À voix haute.
- Six ou sept, moi, je m’en verrais bien. Six ou sept qui seraient là autour de moi, à poil, autour de la piscine. Avec lesquels j’aurais été d’emblée très claire : un seul d’entre eux, au bout du compte, aurait mes faveurs. Si bien qu’ils sont prêts à tout pour attirer mon attention. Pour être celui-là. Tout. Absolument tout. Alors moi, évidemment, je fais durer. Tant que je peux. Je me repais de leurs queues dressées, prêtes à exploser, qui me supplient. Qui m’implorent : « Moi ! Moi ! Choisis-moi ! Moi ! » J’hésite. Il faut bien pourtant que je finisse par me décider. Celui-là, allez ! Je lui soupèse les coucougnettes. Je le décalotte. Je fais la moue. Mouais ! Peut-être. Non. Tout compte fait, faut encore que je réfléchisse. Et je reprends mes explorations. Jusqu’à ce qu’il y en ait un qui, incapable de se retenir plus longtemps, me gicle sur les doigts. Ce sera lui qui, maintenant qu’il a déchargé, sera à même de tenir beaucoup plus longtemps la distance. Qui me laissera le temps d’arriver à mes fins. Je le refais bander. Il ne demande que ça. Je m’ouvre à lui. Il est heureux. Tellement ! Triomphant. Il me pilonne avec une détermination ! Avec une énergie ! Les autres, autour, en ont pris leur parti. Ils regardent. Ils se rincent l’œil. C’est toujours ça ! À défaut d’autre chose. Et leurs queues explosent, les unes après les autres. Ils jouissent. Il jouit. Je jouis. Putain, que c’est bon !
- Et moi, dans tout ça ?
- Toi ? Ah, non ! Pas de concurrence. Je suis toute seule avec eux. T’es planquée dans un coin, toi, si tu veux, à suivre le déroulement des opérations. Et puis, le coup d’après, on fait l’inverse. Toi, sur la sellette. Et moi, à te regarder faire en compagnie, si possible, de Boris et d’Augustin. Et peut-être même aussi de Luc et de Martial. Tant qu’à faire ! Bon, mais allez ! On se bouge ? On fait quelque chose ? Parce que c’est en train de me mettre dans un de ces états, moi, de parler de ça !
Elles se sont levées.
Et Sandrine a proposé qu’elles aillent faire un peu de shopping.
- Ça nous changera les idées. J’ai besoin d’un nouveau maillot n’importe comment.
Elles se sont faufilées dans les petites rues commerçantes. Ont déambulé d’une vitrine à l’autre.
C’est Maud qui l’a remarqué.
- Là ! T’as vu ?
- Non. Quoi ?
- Le vendeur derrière sa caisse. C’est-y pas mignon comme tout, ça ?
Sandrine a abondé dans son sens.
- Ah, oui, dis donc ! Oui. C’est ravissant. Faut aller voir ça de plus près. Ça s’impose.
Elles sont entrées. Ont longuement déambulé entre les portants. Chuchoté.
- Il est canon ! Non, mais comment il est canon !
- Et ses yeux ! T’as vu ses yeux ?
- Il a quoi ? Vingt-cinq ans, à tout casser.
- Un peu jeune, mais bon…- On s’en fout de ça !
- Complètement.
Sandrine s’est emparée d’un maillot deux pièces couleur parme. D’un autre dans des tons vert amande.
- Je peux aller essayer ?
Bien sûr qu’elle pouvait ! Bien sûr !
Et il lui a indiqué la cabine. Une cabine dont elle a pris grand soin, comme par inadvertance, de ne pas tirer le rideau jusqu’au bout. Il s’en fallait d’une bonne vingtaine de centimètres.
Maud a fait mine d’aller s’intéresser de très près au rayon des petits hauts. À l’abri duquel elle a pu le surveiller tout à loisir. Ah, il matait, le cochon ! Pour la mater, il la matait, la Sandrine ! Il se régalait. Et elle, la connaissant, elle devait jouer le jeu à fond. Lui offrir une foule d’aperçus saisissants sur son anatomie.
Elle a pris tout son temps, fini par repousser le rideau, fait son apparition dans le petit maillot parme qui lui dessinait les fesses et le minou au plus près.
- Il y aurait pas une glace en pied quelque part ? Parce qu’il y a pas de recul là-dedans. On se rend pas compte.
Il y avait, oui.
Elle s’y est contemplée. De face. De dos. De profil. Elle a recommencé. Encore et encore.
- Qu’est-ce t’en penses ?
- Que ça te va pas mal.
- Et vous, M’sieur ? C’est votre métier. Vous avez l’habitude. Comment vous me trouvez ?
Maud s’est esclaffée.
- À son goût, ça, c’est sûr. Il te bande dessus comme un furieux.
Sandrine l’a fixé en bas.
- Ah, mais oui, dis donc ! Oui. Et pas qu’un peu !
Il a souri. Un peu rougi. Ce qui lui donnait un charme fou.
- C’est que…- C’est que quoi ? Je te plais ? T’as envie de moi ? C’est ça ?
C’était ça, oui.
Encore son sourire. Non, mais comment il était craquant, ce type !
- Bon, alors confidence pour confidence, tu me déplais pas non plus. Si bien qu’on devrait pouvoir trouver un terrain d’entente, non ?
Il était bien de cet avis.
- Ah, oui alors !
- Eh bien action ! Et t’as intérêt à assurer ! D’autant que tu m’as tout l’air d’être équipé pour ça !
Elle a avancé la main. L’a empoigné à travers le pantalon.
- On va voir de quoi c’est capable, tout cet attirail.
Il a fait signe à Maud. Le rideau ! Le rideau métallique. Fallait le baisser. Là-bas, à gauche, le mécanisme. Elle l’a actionné. C’est descendu.
Maud lui a défait sa ceinture.
- Allez, on met tout ça à l’air…Et le pantalon aussi est descendu. Ainsi que le boxer.
(à suivre)
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