Maud et Sandrine (8)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Maud et Sandrine (8)
- Pas mal, hein !
Maud était bien aussi de cet avis.
- Pas mal du tout, oui. Ça, c’est de la queue ! Harmonieuse et tout et toutElle a avancé la main. Effleuré les coucougnettes.
- Eh là ! Pas touche. C’est moi qui l’ai trouvé.
- Oh, mais on peut bien partager. Quand il y en a pour une, il y en a pour deux.
- S’il a rien contre…Lui ? Rien du tout. Non. Au contraire.
- Ben, tu parles ! Il est ravi de l’aubaine.
Et leurs mains, à toutes les deux, lui ont couru sur la queue. En même temps. S’y sont rencontrées. Rejointes. À la lui enserrer. À la lui décalotter. À lui en agacer le bout. À lui flatter les couilles.
Maud a constaté.
- Il y a un cœur qui lui bat dedans. Il va gicler. Et ça va pas tarder.
Ce qui ne convenait pas du tout à Sandrine.
- Ah, non, hein ! Pas déjà. Pas sans s’être d’abord occupé de moi. Il a pas le droit.
Elles l’ont lâché.
S’occuper d’elles ? Oh, mais il demandait pas mieux !
- Eh ben alors ! Allez !
Il a attiré Sandrine contre lui. Il lui a sorti un sein. Le deuxième. Il y a posé les lèvres. En a fait dresser tour à tour les pointes. Son autre main, il l’a glissée dans la culotte du maillot. Où il a fourragé. Exploré. Visité. Sandrine a respiré plus vite. Haleté. Elle s’est déculottée. Il l’y a aidé, impatient. Elle a posé ses fesses sur la caisse, s’est renversée en arrière. Elle a ouvert les jambes. Et elle a supplié.
- Bouffe-moi la chatte ! Bouffe-la-moi !
Il s’est agenouillé devant elle. D’abord un petit coup de langue au hasard. Sa saveur. Ses senteurs. Il est monté, très vite, débusquer le petit bouton. Qu’il a voluptueusement savouré. Savamment dégusté. Sandrine s’est cabrée. S’est ouverte plus au large encore.
- Oh, c’est trop ! C’est trop ! C’est trop bon !
Ses pieds ont martelé le sol.
- Ça vient ! Ça vient ! Je viens.
Maud s’est penchée sur elle. Tout près. Ses yeux dans les siens.
- Jouis ! Jouis ! J’adore ça, te voir jouir.
Et son plaisir l’a transpercée. Elle l’a éperdument sangloté, les doigts crispés dans les cheveux du type. Qui a continué à lui lécher délicieusement la chatte. Trempée. Envie. De sa queue. De se sentir remplie. Tellement. Elle l’a arrêté. Lui a fait relever la tête.
- Viens me fourrer maintenant ! Viens !
Elle l’a accueilli dans un grand râle de bonheur. S’est refermée sur lui.
- Elle est à moi ! Tu es à moi ! Je veux ta semence. Je la veux.
Et elle l’a eue. Dans un grand déferlement de jouissance.
- Oh, merci ! Merci.
Maud lui a caressé les joues. Les paupières. Les lèvres.
- Ce que t’es belle quand tu prends ton pied !
* * *
Sandrine était d’avis qu’il fallait peut-être bien le laisser rouvrir maintenant.
- Les clients doivent se demander ce qui se passe.
- Oh, j’ai bien le temps…- Ben oui, c’est lui, le patron.
Ça, Maud, elle n’en était pas si sûre.
- Moi, je croirais plutôt qu’il est étudiant, que c’est papa-maman, les patrons. Et qu’il vient gentiment les aider à ses moments perdus. C’est-à-dire, en réalité, se rincer allègrement l’œil sur ce qui se passe dans les cabines d’essayage. Non, c’est pas ça ? Avoue !
Il a ri.
- Un peu.
- Un peu ? Alors là, je suis bien tranquille. T’es constamment à l’affût, oui ! Ah, tu t’en donnes à cœur-joie, hein ! Surtout quand ça se termine comme aujourd’hui. Que tu peux tirer ton coup. Ça t’arrive souvent ?
Il a haussé les épaules.
- Pas tellement.
- Pas autant que tu le souhaiterais. Ben, c’est pour ça ! Les occasions, faut pas hésiter à les exploiter à fond. Non ? T’es pas de mon avis ?
Il l’était, si !
- Ça tombe bien, moi aussi.
Et Maud s’est résolument penchée sur sa queue. Qui a fait un bond. Dont elle a posé les couilles au creux de sa main. Qu’elle a encore fait grossir. En en sollicitant le bout avec son pouce.
Elle s’est longuement absorbée dans sa contemplation.
- Tu sais que ce que t’as là entre les jambes, c’est tout particulièrement indiqué pour la sodomie ? Juste le bon calibre. Ni trop ni pas assez.
Elle a ri. D’un petit rire haut perché.
- Eh, mais regardez-moi ça ! Elle prend encore de l’ampleur, l’autre ! Ah, ça te tente ce truc-là, hein ? T’as une copine ?
Il avait, oui.
- Une copine qui te laisse pas aller rendre visite à son petit trou de derrière. C’est pas gentil. Il va falloir remédier à ça.
Il a voulu glisser sa main sous sa robe.
Elle l’a doucement repoussé.
- Sois pas impatient comme ça ! Les bonnes choses, il faut d’abord les attendre un peu. Ce n’en est que meilleur quand elles arrivent. Allez, ouvre-nous le rideau !
Il s’est rhabillé. À regret.
- Vous reviendrez, c’est sûr ?
- Mais oui !
- Promis ?
- Juré !
Maud était bien aussi de cet avis.
- Pas mal du tout, oui. Ça, c’est de la queue ! Harmonieuse et tout et toutElle a avancé la main. Effleuré les coucougnettes.
- Eh là ! Pas touche. C’est moi qui l’ai trouvé.
- Oh, mais on peut bien partager. Quand il y en a pour une, il y en a pour deux.
- S’il a rien contre…Lui ? Rien du tout. Non. Au contraire.
- Ben, tu parles ! Il est ravi de l’aubaine.
Et leurs mains, à toutes les deux, lui ont couru sur la queue. En même temps. S’y sont rencontrées. Rejointes. À la lui enserrer. À la lui décalotter. À lui en agacer le bout. À lui flatter les couilles.
Maud a constaté.
- Il y a un cœur qui lui bat dedans. Il va gicler. Et ça va pas tarder.
Ce qui ne convenait pas du tout à Sandrine.
- Ah, non, hein ! Pas déjà. Pas sans s’être d’abord occupé de moi. Il a pas le droit.
Elles l’ont lâché.
S’occuper d’elles ? Oh, mais il demandait pas mieux !
- Eh ben alors ! Allez !
Il a attiré Sandrine contre lui. Il lui a sorti un sein. Le deuxième. Il y a posé les lèvres. En a fait dresser tour à tour les pointes. Son autre main, il l’a glissée dans la culotte du maillot. Où il a fourragé. Exploré. Visité. Sandrine a respiré plus vite. Haleté. Elle s’est déculottée. Il l’y a aidé, impatient. Elle a posé ses fesses sur la caisse, s’est renversée en arrière. Elle a ouvert les jambes. Et elle a supplié.
- Bouffe-moi la chatte ! Bouffe-la-moi !
Il s’est agenouillé devant elle. D’abord un petit coup de langue au hasard. Sa saveur. Ses senteurs. Il est monté, très vite, débusquer le petit bouton. Qu’il a voluptueusement savouré. Savamment dégusté. Sandrine s’est cabrée. S’est ouverte plus au large encore.
- Oh, c’est trop ! C’est trop ! C’est trop bon !
Ses pieds ont martelé le sol.
- Ça vient ! Ça vient ! Je viens.
Maud s’est penchée sur elle. Tout près. Ses yeux dans les siens.
- Jouis ! Jouis ! J’adore ça, te voir jouir.
Et son plaisir l’a transpercée. Elle l’a éperdument sangloté, les doigts crispés dans les cheveux du type. Qui a continué à lui lécher délicieusement la chatte. Trempée. Envie. De sa queue. De se sentir remplie. Tellement. Elle l’a arrêté. Lui a fait relever la tête.
- Viens me fourrer maintenant ! Viens !
Elle l’a accueilli dans un grand râle de bonheur. S’est refermée sur lui.
- Elle est à moi ! Tu es à moi ! Je veux ta semence. Je la veux.
Et elle l’a eue. Dans un grand déferlement de jouissance.
- Oh, merci ! Merci.
Maud lui a caressé les joues. Les paupières. Les lèvres.
- Ce que t’es belle quand tu prends ton pied !
* * *
Sandrine était d’avis qu’il fallait peut-être bien le laisser rouvrir maintenant.
- Les clients doivent se demander ce qui se passe.
- Oh, j’ai bien le temps…- Ben oui, c’est lui, le patron.
Ça, Maud, elle n’en était pas si sûre.
- Moi, je croirais plutôt qu’il est étudiant, que c’est papa-maman, les patrons. Et qu’il vient gentiment les aider à ses moments perdus. C’est-à-dire, en réalité, se rincer allègrement l’œil sur ce qui se passe dans les cabines d’essayage. Non, c’est pas ça ? Avoue !
Il a ri.
- Un peu.
- Un peu ? Alors là, je suis bien tranquille. T’es constamment à l’affût, oui ! Ah, tu t’en donnes à cœur-joie, hein ! Surtout quand ça se termine comme aujourd’hui. Que tu peux tirer ton coup. Ça t’arrive souvent ?
Il a haussé les épaules.
- Pas tellement.
- Pas autant que tu le souhaiterais. Ben, c’est pour ça ! Les occasions, faut pas hésiter à les exploiter à fond. Non ? T’es pas de mon avis ?
Il l’était, si !
- Ça tombe bien, moi aussi.
Et Maud s’est résolument penchée sur sa queue. Qui a fait un bond. Dont elle a posé les couilles au creux de sa main. Qu’elle a encore fait grossir. En en sollicitant le bout avec son pouce.
Elle s’est longuement absorbée dans sa contemplation.
- Tu sais que ce que t’as là entre les jambes, c’est tout particulièrement indiqué pour la sodomie ? Juste le bon calibre. Ni trop ni pas assez.
Elle a ri. D’un petit rire haut perché.
- Eh, mais regardez-moi ça ! Elle prend encore de l’ampleur, l’autre ! Ah, ça te tente ce truc-là, hein ? T’as une copine ?
Il avait, oui.
- Une copine qui te laisse pas aller rendre visite à son petit trou de derrière. C’est pas gentil. Il va falloir remédier à ça.
Il a voulu glisser sa main sous sa robe.
Elle l’a doucement repoussé.
- Sois pas impatient comme ça ! Les bonnes choses, il faut d’abord les attendre un peu. Ce n’en est que meilleur quand elles arrivent. Allez, ouvre-nous le rideau !
Il s’est rhabillé. À regret.
- Vous reviendrez, c’est sûr ?
- Mais oui !
- Promis ?
- Juré !
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