Maudites vacances (10) : Nuit et jour (épilogue)
Récit érotique écrit par Ecrivain2848 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Maudites vacances (10) : Nuit et jour (épilogue)
Cocufié plusieurs fois par jour et ridiculisé par le mec qui baise ma femme : il m’oblige à le sucer, et en prime depuis hier il a même commencé à me sodomiser pour pimenter le tout. Heureusement que ça se fait en l’absence de Corinne, sinon je crois que j’en mourrais de honte !
Jusqu’à présent, si les jours sont un enfer, les nuits sont calmes, mais je ne suis jamais tout à fait rassuré : le fait de dormir à trois dans le même lit (gigantesque, mais … quand même !) est toujours un peu angoissant pour moi.
Ce soir, je suis crevé et il faut que je récupère en dormant un minimum. Pour être sûr qu’il n’y ait pas de mauvaise surprise, je me suis mis entre Jonathan et Corinne. Comme ça, ils ne pourront pas batifoler sans que je m’en aperçoive. Cela dit, ils n’ont jamais tenté quoi que ce soit devant moi pendant la nuit : il faut croire que j’ai quand même droit à un minimum de considération.
Après extinction des feux, les respirations se calment et nous finissons tous les trois par sombrer dans les bras de Morphée.
(…)
Je suis réveillé en sursaut et je mets quelques secondes à comprendre ce qui se passe. Je sens quelqu’un qui s’affaire dans mon dos et qui me descend mon boxer. Avant que j’aie vraiment réalisé ce qui m’arrive, je me trouve entièrement nu. Dans la pénombre je distingue devant moi Corinne qui est visiblement en train de dormir. C’est donc Jonathan qui joue à je ne sais quoi. Je tourne la tête dans sa direction et lui chuchote tout doucement, pour ne pas réveiller Corinne :
- Mais … Qu’est-ce que tu fais ?
- Chut !
J’ai du mal à retrouver mes repères et à mettre mes idées en place. Je suis encore à moitié endormi et mes neurones sont paresseux. Mais les choses se précipitent. Je sens un glissement furtif dans mon dos, puis un contact froid et gluant dans la raie de mes fesses et sur mon anus. Je comprends en une fraction de seconde ce que Jonathan prépare : il veut me sodomiser, là, maintenant, tout de suite, alors que je suis à quarante ou cinquante centimètres de Corinne. Je suis outré et manifeste ma désapprobation :
- Non mais, ça va pas, non ?
- Chut ! Tais-toi, Corinne dort.
La panique me submerge. C’est pas possible, il faut réagir. Je sens déjà la queue raide de Jonathan qui glisse entre mes fesses, à la recherche de mon petit trou. J’essaie de me dégager de cette situation invraisemblable, mais Jonathanme tient par les hanches et ne veut pas que je lui échappe. Il s’ensuit une sorte de combat silencieux qui dure plusieurs secondes pendant lesquelles aucune issue ne semble se préciser clairement. Et puis tout à coup j’entends une sorte de soupir devant moi : Corinne s’agite dans son sommeil : elle est sur le point de se réveiller. Je suis pétrifié et m’immobilise aussitôt. Non, tout mais pas ça !
Je reste donc sans bouger et sans faire de bruit, attendant que Corinne replonge dans un sommeil profond. Mais ces quelques secondes me sont fatales : Jonathan, profitant de mon immobilité et de ma passivité, en profite pour avancer ses pions, ou plutôt sa queue. Il a glissé son braquemard dans ma raie, puis a réussi à positionner son gland sur ma rondelle. Maintenant il avance son bassin pour me sodomiser. L’entrée est lubrifiée par le gel, il me tient fermement par les hanches et moi, de mon côté, je n’ose plus bouger. J’essaie de me contracter pour résister, mais Jonathan ne renonce pas pour autant. Il pousse avec toujours plus de détermination et, pour être sûr de mener son entreprise à bien, il pose ses mains sur mes fesses, et les écarte pour pouvoir mieux passer.
La crainte de la douleur me fait lâcher prise, puis la panique me submerge quand je sens sa bite qui me rentre dans le cul une fois de plus. Oui, ça y est ! Je me fais sodomiser encore une fois par le mec qui cocufie ma femme depuis plusieurs jours, et je ne peux m’y opposer de peur de la réveiller. Jonathan me pénètre lentement, mais surement, puis s’immobilise au fond de mon cul, sans doute pour profiter de cette nouvelle victoire.Ensuite il me tire en arrière le plus loin qu’il peut, probablement pour m’éloigner de Corinne. Arrivé presque au bord du lit, il finit par me chuchoter tout doucement à l’oreille :
- Alors, ma poule, une petite sodomie nocturne pour le fun ?
- C’est pas du fun, c’est du viol.
- Je parie que t’auras une gaule d’enfer dans deux minutes.
- Espèce de salaud …
- Oui, vas-y, proteste pendant que je te lime, ça m’inspire …
Lentement et calmement pour ne pas réveiller Corinne, Jonathan commence à aller et venir dans mon cul, dans ce mouvement si caractéristique du mâle en train de saillir sa femelle, avec la lenteur de celui qui a tout son temps et qui sait qu’il est en terrain conquis.
J’ai beau solliciter toutes mes forces mentales, rien n’y fait : entre ce sexe qui va et vient dans mon cul et ces mains qui me flattent la croupe ou me tiennent par les hanches, inexorablement, l’excitation recommence à monter et je me mets à bander comme me l’avait prédit ce salaud de Jonathan. Je n’arrive pas à lutter et je suis de plus en plus à la merci de cette bite qui me ramone. Malgré la peur de me faire repérer par Corinne et la honte de me faire sodomiser, je bande et mon excitation ne semble pas devoir s’arrêter.
Comme je le craignais, Jonathan vérifie l’état de mon sexe. Ma bite est dure comme du bois. Il doit jubiler. C’est sa grande fierté : il baise ma femme et en prime il me fait jouir en m’enculant. La totale ! Après quelques minutes de ce traitement, il me passe un mouchoir et me chuchote doucement à l’oreille.
- Vas-y, ma poule lâche-toi si tu ne veux pas que je t’encule jusqu’au petit matin.
« Ma poule ! » Déjà que je ne supporte pas quand il appelle Corinne ainsi, mais là, c’est le pompon ! Le pire, c’est que je n’ai pas d’autre choix que de lui obéir car je le crois bien capable de continuer à me ramoner pendant une éternité si je n’accède pas à sa demande. De toute façon, je suis en train de prendre un pied pas possible avec cette queue qui rentre et sort de mon cul en me procurant des sensations incroyables. Et puis, toujours la crainte de réveiller Corinne ... Heureusement que nous nous sommes éloignés d’elle car nos mouvements se sont accélérés. Malgré le risque de la réveiller, Jonathan fait un nouveau commentaire à voix basse.
- Alors, ma salope, tu prends ton pied, hein ?
Je ne réponds pas, je ne veux pas lui faire ce plaisir, même si je sais qu’il a raison. Tout en écoutant la respiration de Corinne qui semble toujours dormir à poings fermés, je calme ma propre respiration et retiens mon envie de gémir pour faire un minimum de bruit. Bon sang, c’est vrai que je suis une vraie salope. Je me fais quasiment violer et j’arrive à y prendre du plaisir …
Non, c’est trop, je ne peux plus tenir. Je me décide à me finir et me branle à toute vitesse, toujours avec le souci de faire le moins de bruit possible. Quand je finis par éjaculer dans mon mouchoir, je suis fier de moi car j’ai réussi à le faire en silence, sans réveiller Corinne. De peur que Jonathan n’ait rien remarqué, je l’informe en chuchotant :
- C’est bon, salaud, tu m’as eu.
Comme prévu, Jonathan peut à présent se lâcher à son tour, ce qu’il ne manque pas de faire : des coups plus profonds et plus rapides, ses mains qui agrippent mes hanches et mes fesses. Bien qu’ayant éjaculé, je me délecte de cette intrusion et ces attouchements possessifs. Quelques dizaines de secondes de ce traitement plus tard, il se bloque en moi et lâche la purée, en évitant de faire du bruit, mais en murmurant quand-même :
- Ouais … C’est super … Je t’engrosse, ma salope !
Le retour au silence absolu et à l’immobilité totale est rapide. Je planque mon mouchoir sous l’oreiller, je récupère mon boxer et l’enfile discrètement, puis je décide de me rendormir. Aussi incroyable que cela puisse paraitre, je me sens merveilleusement bien, calme, détendu et comblé. Une douce volupté m’enveloppe pendant que je sombre dans le sommeil. Non, décidément, je crois que je suis un peu bizarre … Ce que je viens de subir ressemble plutôt à un cauchemar, non ? Alors pourquoi est-ce que je me sens si bien ?
(…)
J’ai du dormir comme une souche, car quand je me réveille, il fait déjà jour. J’ai instantanément tous les sens en éveil. J’ai bien récupéré des émotions de ces derniers jours, je me sens en forme mais inquiet. Je suis seul dans le lit. Jonathan et Corinne sont déjà levés. Mauvais signe, ça !
J’enfile une robe de chambre à toute vitesse et sors de la chambre en silence. Quelle heure est-il ? Je ne sais pas et je m’en fous. Où sont-ils tous les deux ? Que font-ils ? Je n’en sais rien mais je crains le pire, comme d’habitude. Je me dirige vers la cuisine. J’entends des bruits de voix. Ils sont en train de prendre le petit-déjeuner ? Non, ce serait trop beau. Je caresse cet espoir quelques secondes mais je dois vite déchanter. Ce n’est pas une discussion de petit déjeuner, ce sont des soupirs et des gémissements. C’est pas vrai ?! Il est en train de la baiser ! Mais je n’aurai donc aucun répit ? Maudites vacances !
Je m’approche à pas furtifs et risque un œil dans la cuisine. Oui, c’est bien ça, ils sont tous les deux à poil et il est en train de se la faire. Ça a du se décider à toute vitesse, car je vois par terre la nuisette et la robe de chambre de Corinne ainsi que le boxer de Jonathan. Ils me tournent le dos tous les deux, du coup je peux mater sans risquer de me faire voir. Corinne est penchée, appuyée sur la table, et Jonathan la prend par derrière.
- Salope, tu m’excites trop à remuer du cul comme ça. Vas-y, continue, j’adore …
- Mmmm … C’est ça qu’on appelle le matin triomphant ? Espèce de bouc en rut !
- Toi, t’es une vraie bombe : plus je te baise, plus j’ai envie de te baiser !
- Mmmm, oui, c’est bon, tu peux y aller mon cochon … C’est pas mal … Oui, encore, comme ça !
Classique, mais toujours aussi bandant. Je suis habitué, maintenant : le voyeur lubrique qui se tripote en regardant sa femme se faire tringler. Deux minutes plus tard, j’ai la trique et je m’astique en les regardant et en les écoutant. Ils ont l’air pressés ce matin. Peut-être qu’ils ont peur d’être interrompus ? Mon excitation monte au rythme de leurs grognements, de leurs gémissements et de leurs commentaires. Je vais bientôt éjaculer. Je ne me pose plus de questions. La honte et la souffrance sont au second plan. Seul compte l’instant présent et le plaisir que je peux en tirer.
Ça y est : ils n’arrivent plus à se contenir, ils commencent à baiser de façon plus brutale et bruyante, la fin n’est pas loin. Corinne a un orgasme, Jonathan ne va pas tarder à y passer aussi. C’est le moment que je choisis pour me finir comme les autres fois. J’éjacule dans mon mouchoir et je me sauve sans demander mon reste pendant que Jonathan pousse un long gémissement rauque en se vidant dans la chatte de ma femme. Tu parles d’un début de journée !
(…)
Corinne, comme tous les matins ou presque, est partie faire des courses en ville. Je me retrouve seul avec Jonathan et je sais ce que ça veut dire. C’est un homme d’habitude, et qui ne lâche jamais un avantage acquis. Je vais avoir droit au grand jeu, comme hier matin, et ça pourrait bien prendre du temps, sachant que Corinne ne risque pas de nous interrompre.
Quelques minutes plus tard, mes prédictions se confirment : on se retrouve dans la chambre comme hier et Jonathan me réclame une fellation. Je suis habitué maintenant et je finis par trouver ça presque naturel. Le rituel se met donc en place :Jonathan est allongé en attente de mes soins. Je me penche vers lui et le prends en bouche, puis je joue avec sa queue pour la faire grossir encore plus. Ça fonctionne bien : il durcit sous ma langue, mais j’ai encore une incertitude : il va éjaculer dans ma bouche ou me sodomiser ? Mystère … En attendant, j’accomplis ma tâche consciencieusement. Jonathan est aux anges, je le suce toujours aussi bien car il est déjà en train de soupirer, de gémir et de me traiter de salope.
Encore quelques longues minutes (ce salopard sait bien se retenir pour faire durer le plaisir) et j’ai la réponse à mon interrogation : il me fait allonger sur le dos et se met en position pour me sodomiser. Il me refait le coup du « regarde-moi dans les yeux pendant que je t’encule », que je trouve incroyablement humiliant et mystérieusement excitant (je dois être maso, quand même !). Un peu de gel, puis il me pénètre donc en m’observant, et s’arrête avec sa bite plantée bien profond. Il contemple son œuvre. Enfin, le petit sourire du baiseur fier de lui au coin des lèvres, il commence à aller et venir en moi. Une fois de plus j’ai la gaule pendant que je me fais limer, pour ma plus grande honte et mon plus grand plaisir. Je me dis que pour mettre fin à tout ça, comme les autres fois, le mieux que j’ai à faire est encore de me masturber, mais quand je fais mine de prendre ma queue et de me branler, Jonathan interrompt mon geste et, sans cesser d’aller et venir en moi, me saisit les deux poignets qu’il immobilise en pesant de tout son poids.
- Mais, qu’est-ce que tu fais ?
- Je veux vérifier un truc : si t’es vraiment la salope que je pense, tu vas juter rien qu’en te faisant limer le cul.
- T’es vraiment un pervers, toi ! Ça va t’apporter quoi ?
- Même si je préfère baiser ta femme, c’est quand même aussi assez sympa de te faire jouir en t’enfonçant ma bite dans le cul. En plus, j’ai envie de prendre le temps de te bourrer et de te faire gueuler, ma poule !
Encore ce « ma poule » que je ne supporte décidément pas. Ce qui m’inquiète le plus, c’est que je crains bien qu’iln’arrive à ses fins : le plaisir monte lentement mais surement pendant qu’il me besogne : je suis immobilisé et presque captif alors qu’il me sodomise, et, finalement, ça m’excite encore plus. Le fait qu’il me traite de salope ou qu’il commente la situation avec des mots cochons et qu’il me domine de tout son poids ajoute aussi à cette excitation. Je suis comme hypnotisé par son regard et par son envie de me faire jouir, je n’arrive pas à résister. Si ça continue ainsi, je vais avoir la honte suprême d’éjaculer rien qu’avec sa bite qui me ramone le cul. Plus j’y pense, plus je me rends compte que ce serait l’aboutissement de ces situations humiliantes que j’endure depuis plusieurs jours. Ce jeu pervers monte encore d’un niveau. Jonathan le sadique encule Nicolas le honteux, et tous les deux sont en train de prendre leur pied.
Oui, c’est ça, je me rends bien compte que je n’arrive pas à calmer ce plaisir qui monte en moi. Je suis subjugué une fois de plus par ce pervers qui m’impose une jouissance que je voudrais éviter à tout prix. Malheureusement pour moi, je n’ai pas la force de résister. Je capitule. C’est foutu. J’ai définitivement perdu la bataille. Je suis déjà en train de pousser des cris de plaisir et Jonathan l’a bien compris. Il continue de plus belle, il rentre et sort sa queue de mon cul dans un rythme lancinant et inexorable. Il observe et écoute chacune de mes réactions. Il fait durer pour lui comme pour moi. Je vais devenir fou.
- Alors, t’aimes ça, hein, ma petite salope ?
- Ahhh ! Salaud, j’en peux plus, je t’en prie …
- Mmmm … Qu’est-ce que tu dis ? T’en veux encore ?
- Ahhh ! C’est bon, espèce de gros dégoûtant, finis ce que t’as à faire …
- Mmmm … J’adore quand tu gueules comme ça … J’adore quand tu pètes les plombs.
- Oui, c’est ça … Finis-moi, ... Espèce de pervers.
- Oh, que j’aime ça ! Plus je te bourre, plus t’en redemande, hein !
- Ahhh ! Ohhhh …
Mes gémissements et mes cris sont ininterrompus maintenant. La honte me submerge au rythme de cette grosse bite qui me ramone le cul. Toutes mes forces m’abandonnent. Je rentre dans un orgasme qui s’éternise et je pousse un long cri, tout près de suffoquer. Ma queue se raidit encore et crache plusieurs giclées de sperme pendant que je perds pied et que je secoue la tête à droite et à gauche en fermant les yeux.
- Ouais, ouais … Vas-y, salope, lâche-toi … Tu vois que j’avais raison : t’aimes prendre ma bite dans ton cul, il n’y pas à dire … Tiens, je vais me finir aussi, pour la peine.
Jonathan, après avoir ralenti pour me regarder jouir comme un dingue, et maintenant que je me suis vidé, se décide à présent à conclure. Il accélère et me donne des coups de reins puissants. Le pire, c’est que, bien qu’ayant éjaculé, je ressens encore du plaisir à sentir cette queue aller et venir en moi. L’orgasme s’est éteint du côté de mon sexe, mais je suis encore irradié par une jouissance anale. Mes gémissements sont moins forts, mais la volupté qui m’inonde reste merveilleusement agréable. J’ouvre les yeux pour voir Jonathan s’acharner sur moi. Je me sens toujours aussi honteux, mais rien n’y fait, au contraire. Plus je me fais pistonner le cul, plus j’aime. Ça dure encore quelques dizaines de secondes mais nous sommes au bout : Jonathan pousse des grognements de bucheron pendant qu’il finit de me bourrer le cul, puis se bloque en poussant un long cri rauque et en se vidant en moi.
Le calme est enfin revenu et je vais pouvoir passer à autre chose. Mais une voix inattendue se fait entendre et nous sursautons tous les deux. C’est Corinne.
- Bravo, les mecs ! En voilà un spectacle instructif ! Il me semblait bien que vous me cachiez quelque chose tous les deux. J’avais vu juste.
Je suis comme pétrifié. J’avais tout supporté, tout enduré pour éviter ce genre de situation et voilà que ça me tombe dessus d’un coup. Je viens d’avoir la honte de ma vie en me faisant sodomiser et en jouissant comme une salope, mais l’humiliation va encore plus loin : ça vient de se passer devant ma femme !
- Jonathan, je te savais pervers et obsédé, mais toi, Nicolas, tu m’as bien eue ! Quand je pense que j'avais du remords à te cocufier ... Pour la peine, je vais t’en faire voir, du pays ! …
Connaissant Corinne, je crains le pire.
(…)
Maudites vacances ! Chaque fois que j’y pense, je me souviens de cette plongée inexorable dans la honte et l’humiliation et de ce moment où Corinne m’a surpris en train de prendre du plaisir à me faire sodomiser par mon rival. À partir de ce moment-là, j’ai eu droit à toutes les variantes : comme si l’imagination de Jonathan ne suffisait pas, c’est Corinne qui s’est mise à monter les enchères.
Pour la fin de ces vacances j’ai eu droit à toutes sortes de parties à trois (ou quatre) dans lesquelles j’ai eu un rôle souvent peu reluisant. Elle a "officialisé" toutes mes humiliations : elle m’a obligé à la regarder pendant qu’elle baisait, à me branler, à sucer Jonathan, à me faire sodomiser par lui pendant qu’elle et sa copine mataient et commentaient.
Puis pendant des semaines et des mois, jamais à cours d'imagination, elle s'est acharnée, a inventé toutes sortes de trucs avec d’autres types, chez nous, dans le train, en voiture et ailleurs … Avec des hommes, mais aussi des femmes, … J'ai tenté de trouver une place moins humiliante, de jouer un rôle plus valorisant, et j'y suis parfois parvenu. Mais bizarrement, je dois avouer que la volupté de se faire dominer en étant cocu, passif ou voyeur est finalement plus intense que tout ce que j'ai connu par ailleurs. Maintenant, Corinne m'associe à ces étranges perversions et j'y prends goût au point de ne plus vouloir m’en passer. Un de ces jours, je vous raconterai peut-être quelques épisodes croustillants de ma nouvelle vie sexuelle, dans lesquels je n’ai pas toujours le dessous …
Vous trouvez que je ne suis quand même qu’un faible, un minable, une lopette ? C’est un point de vue qui se défend mais que je trouve simpliste et réducteur : je pense que les gens comme moi qui se laissent dominer peuvent aussi être considérées comme des personnes :
- ouvertes d’esprit,
- adaptables,
- acceptant l’innovation et l’inconnu,
- capables de se remettre en cause et d’accepter des options nouvelles,
- prêtes à partager et à s’adapter au plaisir des autres,
- capable d’encourager et de stimuler l’imagination de ses partenaires.
C’est quand même plus valorisant de voir les choses ainsi, non ?
En tout cas, on ne peut nier que c’est grâce à des gens comme moi que des femmes comme Corinne et des hommes comme Jonathan peuvent donner leur pleine mesure !
Jusqu’à présent, si les jours sont un enfer, les nuits sont calmes, mais je ne suis jamais tout à fait rassuré : le fait de dormir à trois dans le même lit (gigantesque, mais … quand même !) est toujours un peu angoissant pour moi.
Ce soir, je suis crevé et il faut que je récupère en dormant un minimum. Pour être sûr qu’il n’y ait pas de mauvaise surprise, je me suis mis entre Jonathan et Corinne. Comme ça, ils ne pourront pas batifoler sans que je m’en aperçoive. Cela dit, ils n’ont jamais tenté quoi que ce soit devant moi pendant la nuit : il faut croire que j’ai quand même droit à un minimum de considération.
Après extinction des feux, les respirations se calment et nous finissons tous les trois par sombrer dans les bras de Morphée.
(…)
Je suis réveillé en sursaut et je mets quelques secondes à comprendre ce qui se passe. Je sens quelqu’un qui s’affaire dans mon dos et qui me descend mon boxer. Avant que j’aie vraiment réalisé ce qui m’arrive, je me trouve entièrement nu. Dans la pénombre je distingue devant moi Corinne qui est visiblement en train de dormir. C’est donc Jonathan qui joue à je ne sais quoi. Je tourne la tête dans sa direction et lui chuchote tout doucement, pour ne pas réveiller Corinne :
- Mais … Qu’est-ce que tu fais ?
- Chut !
J’ai du mal à retrouver mes repères et à mettre mes idées en place. Je suis encore à moitié endormi et mes neurones sont paresseux. Mais les choses se précipitent. Je sens un glissement furtif dans mon dos, puis un contact froid et gluant dans la raie de mes fesses et sur mon anus. Je comprends en une fraction de seconde ce que Jonathan prépare : il veut me sodomiser, là, maintenant, tout de suite, alors que je suis à quarante ou cinquante centimètres de Corinne. Je suis outré et manifeste ma désapprobation :
- Non mais, ça va pas, non ?
- Chut ! Tais-toi, Corinne dort.
La panique me submerge. C’est pas possible, il faut réagir. Je sens déjà la queue raide de Jonathan qui glisse entre mes fesses, à la recherche de mon petit trou. J’essaie de me dégager de cette situation invraisemblable, mais Jonathanme tient par les hanches et ne veut pas que je lui échappe. Il s’ensuit une sorte de combat silencieux qui dure plusieurs secondes pendant lesquelles aucune issue ne semble se préciser clairement. Et puis tout à coup j’entends une sorte de soupir devant moi : Corinne s’agite dans son sommeil : elle est sur le point de se réveiller. Je suis pétrifié et m’immobilise aussitôt. Non, tout mais pas ça !
Je reste donc sans bouger et sans faire de bruit, attendant que Corinne replonge dans un sommeil profond. Mais ces quelques secondes me sont fatales : Jonathan, profitant de mon immobilité et de ma passivité, en profite pour avancer ses pions, ou plutôt sa queue. Il a glissé son braquemard dans ma raie, puis a réussi à positionner son gland sur ma rondelle. Maintenant il avance son bassin pour me sodomiser. L’entrée est lubrifiée par le gel, il me tient fermement par les hanches et moi, de mon côté, je n’ose plus bouger. J’essaie de me contracter pour résister, mais Jonathan ne renonce pas pour autant. Il pousse avec toujours plus de détermination et, pour être sûr de mener son entreprise à bien, il pose ses mains sur mes fesses, et les écarte pour pouvoir mieux passer.
La crainte de la douleur me fait lâcher prise, puis la panique me submerge quand je sens sa bite qui me rentre dans le cul une fois de plus. Oui, ça y est ! Je me fais sodomiser encore une fois par le mec qui cocufie ma femme depuis plusieurs jours, et je ne peux m’y opposer de peur de la réveiller. Jonathan me pénètre lentement, mais surement, puis s’immobilise au fond de mon cul, sans doute pour profiter de cette nouvelle victoire.Ensuite il me tire en arrière le plus loin qu’il peut, probablement pour m’éloigner de Corinne. Arrivé presque au bord du lit, il finit par me chuchoter tout doucement à l’oreille :
- Alors, ma poule, une petite sodomie nocturne pour le fun ?
- C’est pas du fun, c’est du viol.
- Je parie que t’auras une gaule d’enfer dans deux minutes.
- Espèce de salaud …
- Oui, vas-y, proteste pendant que je te lime, ça m’inspire …
Lentement et calmement pour ne pas réveiller Corinne, Jonathan commence à aller et venir dans mon cul, dans ce mouvement si caractéristique du mâle en train de saillir sa femelle, avec la lenteur de celui qui a tout son temps et qui sait qu’il est en terrain conquis.
J’ai beau solliciter toutes mes forces mentales, rien n’y fait : entre ce sexe qui va et vient dans mon cul et ces mains qui me flattent la croupe ou me tiennent par les hanches, inexorablement, l’excitation recommence à monter et je me mets à bander comme me l’avait prédit ce salaud de Jonathan. Je n’arrive pas à lutter et je suis de plus en plus à la merci de cette bite qui me ramone. Malgré la peur de me faire repérer par Corinne et la honte de me faire sodomiser, je bande et mon excitation ne semble pas devoir s’arrêter.
Comme je le craignais, Jonathan vérifie l’état de mon sexe. Ma bite est dure comme du bois. Il doit jubiler. C’est sa grande fierté : il baise ma femme et en prime il me fait jouir en m’enculant. La totale ! Après quelques minutes de ce traitement, il me passe un mouchoir et me chuchote doucement à l’oreille.
- Vas-y, ma poule lâche-toi si tu ne veux pas que je t’encule jusqu’au petit matin.
« Ma poule ! » Déjà que je ne supporte pas quand il appelle Corinne ainsi, mais là, c’est le pompon ! Le pire, c’est que je n’ai pas d’autre choix que de lui obéir car je le crois bien capable de continuer à me ramoner pendant une éternité si je n’accède pas à sa demande. De toute façon, je suis en train de prendre un pied pas possible avec cette queue qui rentre et sort de mon cul en me procurant des sensations incroyables. Et puis, toujours la crainte de réveiller Corinne ... Heureusement que nous nous sommes éloignés d’elle car nos mouvements se sont accélérés. Malgré le risque de la réveiller, Jonathan fait un nouveau commentaire à voix basse.
- Alors, ma salope, tu prends ton pied, hein ?
Je ne réponds pas, je ne veux pas lui faire ce plaisir, même si je sais qu’il a raison. Tout en écoutant la respiration de Corinne qui semble toujours dormir à poings fermés, je calme ma propre respiration et retiens mon envie de gémir pour faire un minimum de bruit. Bon sang, c’est vrai que je suis une vraie salope. Je me fais quasiment violer et j’arrive à y prendre du plaisir …
Non, c’est trop, je ne peux plus tenir. Je me décide à me finir et me branle à toute vitesse, toujours avec le souci de faire le moins de bruit possible. Quand je finis par éjaculer dans mon mouchoir, je suis fier de moi car j’ai réussi à le faire en silence, sans réveiller Corinne. De peur que Jonathan n’ait rien remarqué, je l’informe en chuchotant :
- C’est bon, salaud, tu m’as eu.
Comme prévu, Jonathan peut à présent se lâcher à son tour, ce qu’il ne manque pas de faire : des coups plus profonds et plus rapides, ses mains qui agrippent mes hanches et mes fesses. Bien qu’ayant éjaculé, je me délecte de cette intrusion et ces attouchements possessifs. Quelques dizaines de secondes de ce traitement plus tard, il se bloque en moi et lâche la purée, en évitant de faire du bruit, mais en murmurant quand-même :
- Ouais … C’est super … Je t’engrosse, ma salope !
Le retour au silence absolu et à l’immobilité totale est rapide. Je planque mon mouchoir sous l’oreiller, je récupère mon boxer et l’enfile discrètement, puis je décide de me rendormir. Aussi incroyable que cela puisse paraitre, je me sens merveilleusement bien, calme, détendu et comblé. Une douce volupté m’enveloppe pendant que je sombre dans le sommeil. Non, décidément, je crois que je suis un peu bizarre … Ce que je viens de subir ressemble plutôt à un cauchemar, non ? Alors pourquoi est-ce que je me sens si bien ?
(…)
J’ai du dormir comme une souche, car quand je me réveille, il fait déjà jour. J’ai instantanément tous les sens en éveil. J’ai bien récupéré des émotions de ces derniers jours, je me sens en forme mais inquiet. Je suis seul dans le lit. Jonathan et Corinne sont déjà levés. Mauvais signe, ça !
J’enfile une robe de chambre à toute vitesse et sors de la chambre en silence. Quelle heure est-il ? Je ne sais pas et je m’en fous. Où sont-ils tous les deux ? Que font-ils ? Je n’en sais rien mais je crains le pire, comme d’habitude. Je me dirige vers la cuisine. J’entends des bruits de voix. Ils sont en train de prendre le petit-déjeuner ? Non, ce serait trop beau. Je caresse cet espoir quelques secondes mais je dois vite déchanter. Ce n’est pas une discussion de petit déjeuner, ce sont des soupirs et des gémissements. C’est pas vrai ?! Il est en train de la baiser ! Mais je n’aurai donc aucun répit ? Maudites vacances !
Je m’approche à pas furtifs et risque un œil dans la cuisine. Oui, c’est bien ça, ils sont tous les deux à poil et il est en train de se la faire. Ça a du se décider à toute vitesse, car je vois par terre la nuisette et la robe de chambre de Corinne ainsi que le boxer de Jonathan. Ils me tournent le dos tous les deux, du coup je peux mater sans risquer de me faire voir. Corinne est penchée, appuyée sur la table, et Jonathan la prend par derrière.
- Salope, tu m’excites trop à remuer du cul comme ça. Vas-y, continue, j’adore …
- Mmmm … C’est ça qu’on appelle le matin triomphant ? Espèce de bouc en rut !
- Toi, t’es une vraie bombe : plus je te baise, plus j’ai envie de te baiser !
- Mmmm, oui, c’est bon, tu peux y aller mon cochon … C’est pas mal … Oui, encore, comme ça !
Classique, mais toujours aussi bandant. Je suis habitué, maintenant : le voyeur lubrique qui se tripote en regardant sa femme se faire tringler. Deux minutes plus tard, j’ai la trique et je m’astique en les regardant et en les écoutant. Ils ont l’air pressés ce matin. Peut-être qu’ils ont peur d’être interrompus ? Mon excitation monte au rythme de leurs grognements, de leurs gémissements et de leurs commentaires. Je vais bientôt éjaculer. Je ne me pose plus de questions. La honte et la souffrance sont au second plan. Seul compte l’instant présent et le plaisir que je peux en tirer.
Ça y est : ils n’arrivent plus à se contenir, ils commencent à baiser de façon plus brutale et bruyante, la fin n’est pas loin. Corinne a un orgasme, Jonathan ne va pas tarder à y passer aussi. C’est le moment que je choisis pour me finir comme les autres fois. J’éjacule dans mon mouchoir et je me sauve sans demander mon reste pendant que Jonathan pousse un long gémissement rauque en se vidant dans la chatte de ma femme. Tu parles d’un début de journée !
(…)
Corinne, comme tous les matins ou presque, est partie faire des courses en ville. Je me retrouve seul avec Jonathan et je sais ce que ça veut dire. C’est un homme d’habitude, et qui ne lâche jamais un avantage acquis. Je vais avoir droit au grand jeu, comme hier matin, et ça pourrait bien prendre du temps, sachant que Corinne ne risque pas de nous interrompre.
Quelques minutes plus tard, mes prédictions se confirment : on se retrouve dans la chambre comme hier et Jonathan me réclame une fellation. Je suis habitué maintenant et je finis par trouver ça presque naturel. Le rituel se met donc en place :Jonathan est allongé en attente de mes soins. Je me penche vers lui et le prends en bouche, puis je joue avec sa queue pour la faire grossir encore plus. Ça fonctionne bien : il durcit sous ma langue, mais j’ai encore une incertitude : il va éjaculer dans ma bouche ou me sodomiser ? Mystère … En attendant, j’accomplis ma tâche consciencieusement. Jonathan est aux anges, je le suce toujours aussi bien car il est déjà en train de soupirer, de gémir et de me traiter de salope.
Encore quelques longues minutes (ce salopard sait bien se retenir pour faire durer le plaisir) et j’ai la réponse à mon interrogation : il me fait allonger sur le dos et se met en position pour me sodomiser. Il me refait le coup du « regarde-moi dans les yeux pendant que je t’encule », que je trouve incroyablement humiliant et mystérieusement excitant (je dois être maso, quand même !). Un peu de gel, puis il me pénètre donc en m’observant, et s’arrête avec sa bite plantée bien profond. Il contemple son œuvre. Enfin, le petit sourire du baiseur fier de lui au coin des lèvres, il commence à aller et venir en moi. Une fois de plus j’ai la gaule pendant que je me fais limer, pour ma plus grande honte et mon plus grand plaisir. Je me dis que pour mettre fin à tout ça, comme les autres fois, le mieux que j’ai à faire est encore de me masturber, mais quand je fais mine de prendre ma queue et de me branler, Jonathan interrompt mon geste et, sans cesser d’aller et venir en moi, me saisit les deux poignets qu’il immobilise en pesant de tout son poids.
- Mais, qu’est-ce que tu fais ?
- Je veux vérifier un truc : si t’es vraiment la salope que je pense, tu vas juter rien qu’en te faisant limer le cul.
- T’es vraiment un pervers, toi ! Ça va t’apporter quoi ?
- Même si je préfère baiser ta femme, c’est quand même aussi assez sympa de te faire jouir en t’enfonçant ma bite dans le cul. En plus, j’ai envie de prendre le temps de te bourrer et de te faire gueuler, ma poule !
Encore ce « ma poule » que je ne supporte décidément pas. Ce qui m’inquiète le plus, c’est que je crains bien qu’iln’arrive à ses fins : le plaisir monte lentement mais surement pendant qu’il me besogne : je suis immobilisé et presque captif alors qu’il me sodomise, et, finalement, ça m’excite encore plus. Le fait qu’il me traite de salope ou qu’il commente la situation avec des mots cochons et qu’il me domine de tout son poids ajoute aussi à cette excitation. Je suis comme hypnotisé par son regard et par son envie de me faire jouir, je n’arrive pas à résister. Si ça continue ainsi, je vais avoir la honte suprême d’éjaculer rien qu’avec sa bite qui me ramone le cul. Plus j’y pense, plus je me rends compte que ce serait l’aboutissement de ces situations humiliantes que j’endure depuis plusieurs jours. Ce jeu pervers monte encore d’un niveau. Jonathan le sadique encule Nicolas le honteux, et tous les deux sont en train de prendre leur pied.
Oui, c’est ça, je me rends bien compte que je n’arrive pas à calmer ce plaisir qui monte en moi. Je suis subjugué une fois de plus par ce pervers qui m’impose une jouissance que je voudrais éviter à tout prix. Malheureusement pour moi, je n’ai pas la force de résister. Je capitule. C’est foutu. J’ai définitivement perdu la bataille. Je suis déjà en train de pousser des cris de plaisir et Jonathan l’a bien compris. Il continue de plus belle, il rentre et sort sa queue de mon cul dans un rythme lancinant et inexorable. Il observe et écoute chacune de mes réactions. Il fait durer pour lui comme pour moi. Je vais devenir fou.
- Alors, t’aimes ça, hein, ma petite salope ?
- Ahhh ! Salaud, j’en peux plus, je t’en prie …
- Mmmm … Qu’est-ce que tu dis ? T’en veux encore ?
- Ahhh ! C’est bon, espèce de gros dégoûtant, finis ce que t’as à faire …
- Mmmm … J’adore quand tu gueules comme ça … J’adore quand tu pètes les plombs.
- Oui, c’est ça … Finis-moi, ... Espèce de pervers.
- Oh, que j’aime ça ! Plus je te bourre, plus t’en redemande, hein !
- Ahhh ! Ohhhh …
Mes gémissements et mes cris sont ininterrompus maintenant. La honte me submerge au rythme de cette grosse bite qui me ramone le cul. Toutes mes forces m’abandonnent. Je rentre dans un orgasme qui s’éternise et je pousse un long cri, tout près de suffoquer. Ma queue se raidit encore et crache plusieurs giclées de sperme pendant que je perds pied et que je secoue la tête à droite et à gauche en fermant les yeux.
- Ouais, ouais … Vas-y, salope, lâche-toi … Tu vois que j’avais raison : t’aimes prendre ma bite dans ton cul, il n’y pas à dire … Tiens, je vais me finir aussi, pour la peine.
Jonathan, après avoir ralenti pour me regarder jouir comme un dingue, et maintenant que je me suis vidé, se décide à présent à conclure. Il accélère et me donne des coups de reins puissants. Le pire, c’est que, bien qu’ayant éjaculé, je ressens encore du plaisir à sentir cette queue aller et venir en moi. L’orgasme s’est éteint du côté de mon sexe, mais je suis encore irradié par une jouissance anale. Mes gémissements sont moins forts, mais la volupté qui m’inonde reste merveilleusement agréable. J’ouvre les yeux pour voir Jonathan s’acharner sur moi. Je me sens toujours aussi honteux, mais rien n’y fait, au contraire. Plus je me fais pistonner le cul, plus j’aime. Ça dure encore quelques dizaines de secondes mais nous sommes au bout : Jonathan pousse des grognements de bucheron pendant qu’il finit de me bourrer le cul, puis se bloque en poussant un long cri rauque et en se vidant en moi.
Le calme est enfin revenu et je vais pouvoir passer à autre chose. Mais une voix inattendue se fait entendre et nous sursautons tous les deux. C’est Corinne.
- Bravo, les mecs ! En voilà un spectacle instructif ! Il me semblait bien que vous me cachiez quelque chose tous les deux. J’avais vu juste.
Je suis comme pétrifié. J’avais tout supporté, tout enduré pour éviter ce genre de situation et voilà que ça me tombe dessus d’un coup. Je viens d’avoir la honte de ma vie en me faisant sodomiser et en jouissant comme une salope, mais l’humiliation va encore plus loin : ça vient de se passer devant ma femme !
- Jonathan, je te savais pervers et obsédé, mais toi, Nicolas, tu m’as bien eue ! Quand je pense que j'avais du remords à te cocufier ... Pour la peine, je vais t’en faire voir, du pays ! …
Connaissant Corinne, je crains le pire.
(…)
Maudites vacances ! Chaque fois que j’y pense, je me souviens de cette plongée inexorable dans la honte et l’humiliation et de ce moment où Corinne m’a surpris en train de prendre du plaisir à me faire sodomiser par mon rival. À partir de ce moment-là, j’ai eu droit à toutes les variantes : comme si l’imagination de Jonathan ne suffisait pas, c’est Corinne qui s’est mise à monter les enchères.
Pour la fin de ces vacances j’ai eu droit à toutes sortes de parties à trois (ou quatre) dans lesquelles j’ai eu un rôle souvent peu reluisant. Elle a "officialisé" toutes mes humiliations : elle m’a obligé à la regarder pendant qu’elle baisait, à me branler, à sucer Jonathan, à me faire sodomiser par lui pendant qu’elle et sa copine mataient et commentaient.
Puis pendant des semaines et des mois, jamais à cours d'imagination, elle s'est acharnée, a inventé toutes sortes de trucs avec d’autres types, chez nous, dans le train, en voiture et ailleurs … Avec des hommes, mais aussi des femmes, … J'ai tenté de trouver une place moins humiliante, de jouer un rôle plus valorisant, et j'y suis parfois parvenu. Mais bizarrement, je dois avouer que la volupté de se faire dominer en étant cocu, passif ou voyeur est finalement plus intense que tout ce que j'ai connu par ailleurs. Maintenant, Corinne m'associe à ces étranges perversions et j'y prends goût au point de ne plus vouloir m’en passer. Un de ces jours, je vous raconterai peut-être quelques épisodes croustillants de ma nouvelle vie sexuelle, dans lesquels je n’ai pas toujours le dessous …
Vous trouvez que je ne suis quand même qu’un faible, un minable, une lopette ? C’est un point de vue qui se défend mais que je trouve simpliste et réducteur : je pense que les gens comme moi qui se laissent dominer peuvent aussi être considérées comme des personnes :
- ouvertes d’esprit,
- adaptables,
- acceptant l’innovation et l’inconnu,
- capables de se remettre en cause et d’accepter des options nouvelles,
- prêtes à partager et à s’adapter au plaisir des autres,
- capable d’encourager et de stimuler l’imagination de ses partenaires.
C’est quand même plus valorisant de voir les choses ainsi, non ?
En tout cas, on ne peut nier que c’est grâce à des gens comme moi que des femmes comme Corinne et des hommes comme Jonathan peuvent donner leur pleine mesure !
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14 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
L'intelligence de la femme trop stupide trop nulle
Histoire nulle qui tourne en rond et qui aurait pu se resumer en jn seul episode … si on pour repondre a une des lectrice non tous les hommes ne revent pas de se faire prendre le fion et sucer un autre homme ! D’ou sortez vous cette idée?
peu d'avis de lectrices mais, effectivement il est bi et candauliste, ce qui est une bonne chose,pourra t-il s'en passer?
J'ai adoré ces récits. J'aurai aimé plus de détails sur la fin et sur ce qui s'est passée lors de la découverte par Corinne.
Nicolas est un soumis, bi, et c'est parfait comme ça pour le plus grand bonheur de tout le monde.
Vivement que l'on est d'autres aventures.
Si nicolas peut nous raconter tout ce qui s'est déroulé une fois la découverte par Corinne, ça serait bien.
Nicolas est un soumis, bi, et c'est parfait comme ça pour le plus grand bonheur de tout le monde.
Vivement que l'on est d'autres aventures.
Si nicolas peut nous raconter tout ce qui s'est déroulé une fois la découverte par Corinne, ça serait bien.
inutile de l'insulter, à moins que ne soit de la jalousie!!le seul hic, c'est qu'il ne pourra plus s'en passer, tant mieux pour sa conjointe!bi et candauliste, le mec idéal!!
Fin de récit prévisible. c'était écris et couru d'avance. fin d'histoire baclé afin de cloturer le récit au plus vite. L'histoire à dégringolé au fil des épisodes.
dommage que sa finisse comme ca jaurai aimer la suite
au contraire c'est très bien, au moins ta femme prend son pied et toi aussi,la plupart des mecs rêvent de se faire mettre et de sucer!!je fais de même avec mon conjoint.nous faisons aussi régulièrement l'amour!!
Au contraire, je trouve qu'il a raison de prendre son plaisir aussi comme sa femme !
J'aimerai bien être à sa place
J'aimerai bien être à sa place
Nicolas a révélé sa vraie personnalité, finalement il était temps.
S'il est heureux d’être soumis à sa femme et à son amant, tant mieux pour lui et aussi pour eux. qu’ils en profitent bien.
S'il est heureux d’être soumis à sa femme et à son amant, tant mieux pour lui et aussi pour eux. qu’ils en profitent bien.
Ts ca est reel? Je trouve juste domage de ne pas avoir profité pour reprendre le dessus et de bien baiser ta petite salope de femme mais tu a lair daimer cette soumission ajoute au cando elle doi seclater bravo kan meme petit cocu
Il n'y a rien de pire que de trouver des fausses excuses a sa faiblesse, pauvre Nicolas obligé de subir et même d'aimer sa a cause de cette faiblesse, on dirait le syndrome de Stockholm, l'otage qui se met a aimer son ravisseur car il est au bord du gouffre a n'a d'autre choix pour s'en sortir.
Il est simplement candauliste et bi, c'est tout donc pas la peine de l'insulter^^
C'est ton commentaire qui fait preuve de connerie... ;)
C'est ton commentaire qui fait preuve de connerie... ;)
Il n'y a rien de valorisant à se faire sauter comme une salope que t'es devenu, par le mec qui baise ta femme nuit et jour sans réagir, décidement Nicolas c'est juste un pauvre con, voilà.