Maudites vacances (8) : On joue à cache-cache ?

- Par l'auteur HDS Ecrivain2848 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Maudites vacances (8) : On joue à cache-cache ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Maudites vacances (8) : On joue à cache-cache ?
Maudites vacances ! Comme je le craignais après notre promenade au clair de lune, je suis totalement à la merci de mon « copain » Jonathan. Il faut reconnaître qu’il est franc, direct et qu’il tient ses promesses : il se tape ma femme sous mon nez depuis deux jours, et maintenant, comme si ça ne lui suffisait pas, je dois lui faire des gâteries quand il en éprouve le désir. Je ne sais pas comment j’ai réussi à me mettre dans une situation pareille, c’est vraiment une histoire de fous ! Il a trouvé mes points faibles : je suis un cocu incapable de réagir quand il baise ma femme, honteux mais en même temps excité, et, pire que tout, fasciné par ce salopard et surtout par sa queue. Du coup, je me cache, je joue les voyeurs et je me masturbe pendant qu’il se tape Corinne et, de fil en aiguille, j’en suis arrivé à tailler une pipe au mec qui me fait cocu ! Maintenant je suis coincé : je dois m’absenter sous un prétexte quelconque pour qu’il puisse profiter de ma femme, et, quand elle n’est pas là, c’est l’inverse : je dois le sucer pour le satisfaire encore et encore, et pour éviter qu’il révèle tout à Corinne. Le problème, c’est que Jonathan est insatiable : plus ça va, plus il en veut. Il a trouvé son rythme de croisière : six fois par jour ! Tiens, je vous raconte mon troisième jour de vacances :
9 heures. Quand Jonathan entend Corinne partir avec la voiture, il ne perd pas une seconde. Nous avons passé tous les trois une nuit chaste dans son gigantesque lit, alors il veut se rattraper. Il écarte les draps et va droit au but :
- Putain, ma salope, regarde-moi ça comme j’ai la gaule ! Tu m’as trop bien sucé hier soir et j’en ai encore des frissons. En plus j’étais tellement excité cette nuit que j’ai regretté ma promesse de ne pas toucher à ta femme. Il va falloir que tu me montres tes talents, mon vieux, je suis en manque …
Effectivement, Jonathan est en érection. Je ne vais pas pouvoir me défiler. Je préfère ne pas discuter, de toutes façons j’ai toujours le dessous et je finis par me faire avoir, alors, allons-y ! Je contemple un instant sa grosse queue fièrement dressée, tendue et impatiente. C’est vrai que ça me fascine. J’ai du mal à le reconnaître mais c’est pourtant la vérité. Je m’approche ; il est allongé sur le dos en attente de mes soins. Assez d’hésitation, j’y vais. J’ouvre ma bouche en grand et l’enfourne aussi profondément que possible. Je suis à nouveau troublé par cette colonne de chair qui grossit dans ma bouche. Allez, c’est parti ! Soumis et obéissant, je le suce comme il faut, bien profondément, lentement, sensuellement. Il gémit, il commente, il déverse des obscénités et ça me motive. C’est ça qui m’étonne le plus : plus il utilise un langage crû, plus j’ai honte et plus ça m’excite. À n’y rien comprendre …
- Ouais … C’est génial … Putain, tu suces comme une vraie salope, toi ! Continue, oui, comme ça … J’adore …
- …
- Super, oui … Encore … Voilà une journée qui commence bien … Oui, c’est bon, continue, j’ai envie de juter dans ta bouche …
- …
- Oui, branle-moi la tige, c’est super … C’est une bonne mise en forme … Une pipe comme ça au réveil, c’est que du bonheur !
- …
Je le suce ainsi pendant de longues minutes. Ce salopard doit le faire exprès : il se retient pour que je le suce plus longtemps. Il prend son pied mais il fait durer car Corinne n’est pas près de revenir, alors il en profite … Je n’ai pas le choix, je ne me pose pas de question et je fais ce qu’il me demande. Je m’aperçois que j’arrive à l’avaler de plus en plus profondément sans m’étouffer. Il aime, on dirait, à entendre ses grognements et ses gémissements.
C’est pas possible, ça va jamais finir : je commence à avoir des crampes car ça doit faire un quart d’heure que je suce la queue de ce salopard. Je suis presque surpris quand il finit par gueuler, se lâcher et éjaculer dans ma bouche en me traitant de salope une fois de plus. J’avale son sperme avec humilité et docilité. Je suis bizarrement fier de moi, même si je n’ai visiblement pas le beau rôle.
À peine Jonathan a-t-il repris son souffle qu’il s’active à saisir ma queue pour en vérifier l’état.
- C’est bien ce que je pensais, ma salope : ça t’excite tellement de me sucer que tu bandes comme un bouc ! En fait, t’es un peu comme ta femme, ça te plait de t’occuper de ma queue, hein ?
Le salaud : voilà qu’il recommence comme hier, à m’insulter et à me branler en même temps, et je n’arrive pas à lui résister. Je me laisse masturber sans résister. Il accélère tout en commentant la scène et en annonçant le programme de la journée.L’excitation et le plaisir montent et submergent ma volonté. J’ai honte d’être si faible, mais ça ne m’empêche pas de prendre mon pied. Jonathan a trouvé un rythme diaboliquement brutal et excitant à la fois et je dois m’y soumettre comme si j’étais sa chose.
- Alors, mon chou, tu aimes la branlette, à ce que je vois … Je vais te branler à chaque fois que tu me suceras, on va faire une équipe du tonnerre, tu vas voir. T’aimes ça, hein ma salope ?
- Je … Je … Ohhh … Oui … Ouiii …
- Tu veux que je m’arrête ?
- Non … Non …. Continue … Encore …
- T’inquiète pas, je suis un vrai copain, je vais te faire juter … Et puis ensuite, quand ta femme reviendra, tu iras faire un tour pour que je puisse la baiser, hein ?
- Ohhh … Oui …
- C’est bien, c’est très bien. Tu te cacheras et pendant que je la tringlerai, tu pourras te branler encore une fois, hein ?
- Oui … Oui …
- Allez, vas-y maintenant, montre-moi comment tu jutes !
Incroyable : à peine quelques secondes après cet ordre, j’éjacule sur mon ventre. Jonathan contemple son œuvre en rigolant.

(…)
11 heures. Jonathan et Corinne font de la bronzette au bord de la piscine. Je viens de partir en prétendant vouloir faire une promenade dans la campagne environnante, mais je suis revenu aussitôt en me cachant pour regarder ce qui se passe. Je ne suis pas déçu. Ils jouent à « je t’attrape et je me sauve », et, évidemment, Jonathan a réussi à coincer Corinne. Elle fait semblant de se débattre et de résister, mais c’est pour mieux l’exciter. Pendant qu’il la tient, il lui arrache son maillot de bains avec les dents. Il finit par obtenir un peu plus d’obéissance et de calme. C’est bon, elle est entièrement nue maintenant. Il va pouvoir s’occuper d’elle comme il faut. Elle est vaincue, elle se laisse lécher les seins et mordiller les tétons. On va encore avoir droit au grand jeu.
Moi, je suis allongé dans un buisson à quelques dizaines de mètres de là. J’ai des jumelles pour mieux mater. Je bande comme un âne quand je vois ce qui se passe ; j’entends les gémissements de ma femme qui montent en puissance. La salope ! Elle se laisse aller pour mieux l’exciter. Quant à lui, il est aux anges. Il sait que je suis planqué dans le buisson, il m’a vu et il s’arrange pour m’offrir les meilleurs angles de vue pendant qu’il lutine ma femme.
Ça y est ! Il l’a pénétrée et maintenant il la prend en levrette. De temps en temps il tourne la tête vers moi comme pour me dire « Regarde comment je la baise, ta femme ! ». Corinne est en train de jouir comme une bonne salope qui se fait ramoner et qui prend son pied. Elle ne peut pas me voir car elle est de profil. Ses seins ondulent au rythme des coups de queue qu’il lui met. Il varie et fait durer, comme les fois précédentes. De temps en temps il la bourre en la tenant par les hanches, à d’autres moments il ralentit et se penche pour lui prendre ses gros seins à pleines mains, puis il recommence à accélérer. Il commente, fier de son coup, il la traite de tous les noms pour mieux asseoir sa domination, il lui flatte la croupe comme si c’était sa pouliche, parfois même il lui met des claques sur les fesses … Cette salope gueule à chaque initiative, jouit comme une dingue. Moi, j’en peux plus, c’est trop, je me finis car ces deux-là m’excitent à baiser comme des bêtes assoiffées de sexe. J’éjacule en silence pendant qu’eux sont en train de se lâcher en gueulant. Je me retire discrètement et misérablement, la queue entre les jambes, sans me faire repérer.
(…)
14 heures. Sous un prétexte bidon (déplacer quelques meubles), Jonathan m’a demandé de le suivre à l’étage. J’ai compris le truc mais je ne peux pas me défiler, alors j’ai pris l’air le plus naturel et je l’ai suivi. Ça n’a pas traîné : dès qu’il a pu, il a baissé son maillot et m’a fait agenouiller pour que je puisse le sucer. Il jette un coup d’œil par la fenêtre pour vérifier que Corinne reste bien allongée à se faire bronzer au bord de la piscine. Moi, comme un toutou obéissant, je lui suce la queue, lui caresse les couilles et lui branle la tige. Je joue la suceuse de service avec application. J’arrive à le faire bander en trente secondes. Je suis maintenant le roi de la pipe ! Cette fois, ça se fait très vite, car il veut me juter dans la bouche et comme il n’a pas envie que Corinne vienne nous interrompre … Ce serait dommage de se priver d’une bouche comme la mienne, serviable et docile, capable de te faire grimper aux rideaux à tout moment !
Il me chuchote des obscénités, mais au lieu de faire durer, il abrège. Il me guide, me donne des ordres, me caresse la tête (oui, c’est ça, comme un toutou !). Cinq minutes plus tard, c’est plié, il se raidit, émet un petit grognement étouffé et me gicle dans la bouche. J’avale tout, maintenant je suis habitué. Comme les fois précédentes, il me renvoie l’ascenseur à sa manière et me masturbe de force. Je suis contre le mur, soumis au va-et-vient brutal de sa main sur ma queue. Il sourit, fier de son pouvoir, tout en continuant à me traiter de cocu et de salope ce qui, bizarrement, a pour effet de me stimuler. J’en suis à la troisième branlette de la journée mais je ne m’en lasse pas et l’excitation monte très vite. La peur de nous faire surprendre nous oblige l’un et l’autre à ne pas traîner. Cinq minutes plus tard, je pousse un gémissement étouffé et j’éjacule en serrant les dents. Une fellation et une masturbation en dix minutes. Qui dit mieux ?
(…)
16 h 30 : Cette terrasse et cette piscine, c’est le baisodrome local. Je sais que Jonathan veut se taper Corinne, et, si je ne dégage pas, il va le faire comme si je n’existais pas, et ça, je veux l’éviter à tout prix. J’anticipe le truc en racontant que j’ai trop chaud et que j’ai envie de faire une sieste au frais, dans la chambre. Comme ça, je m’éclipse discrètement, mais je reviens pour observer ce qui se passe, planqué derrière les rideaux du salon. Cette fois, il ne lui saute pas dessus comme un bouc en rut. Il se passe plusieurs minutes pendant lesquelles il s’organise, il se prépare. Il va se baigner dans la piscine. Comme il fait chaud et qu’il vante la fraicheur de l’eau, Corinne ne tarde pas à le rejoindre. C’est reparti pour des jeux d’eau, bousculade et chahut. Quelques minutes plus tard, Corinne s’est arrangée pour perdre son haut de maillot. C’est foutu. Les seins de Corinne, il y a de quoi réveiller un eunuque. Jonathan a les yeux qui lui sortent de la tête. Je sais qu’il tuerait père et mère pour pouvoir s’occuper de ses seins, mais il n’a pas besoin d’en arriver là. Deux minutes plus tard, ils ont trouvé un nouveau jeu. Corinne fait la planche et Jonathan lui lèche les seins avec application. Elle roucoule pour mieux l’exciter. Il a déjà une bosse qui déforme son maillot (et moi aussi). Encore une variante de cocufiage dans la piscine en perspective.
16 h 50 : C’est devenu chaud. Simple et classique, mais très chaud : ils sont tous les deux dans le petit bain, Corinne penchée en avant, cambrée et les mains reposant sur le bord de la piscine pendant que Jonathan est en train de la pénétrer par derrière à grands coups de bite. Tantôt il la tient par les hanches, tantôt il lui pelote les seins. Quand il trouve qu’elle ne jouit pas assez fort, il invente un truc : il commente la scène, ou il lui caresse le clitoris, ou il lui pince les tétons, ou il accélère, ou il ralentit, ou il change de position. Il regarde dans ma direction. Il sait que je suis là à mater comme un misérable et ça a l’air de lui plaire. Il me fait un petit signe de connivence. C’est vraiment une ordure mais je ne peux m’empêcher de l’envier, de l’admirer, d’être fasciné par son audace. Il baise ma femme furieusement, il en dispose à sa guise et cette salope jouit et jouit encore et en redemande.
17 h 10 : Malgré mon excitation, j’ai réussi à me retenir d’éjaculer. J’ai décidé de me caler sur leur rythme. J’y arrive super bien. Maintenant, ça fait vingt bonnes minutes qu’il la ramone. Elle a eu au moins trois orgasmes et à chaque fois j’ai cru devenir fou de honte et d’excitation. Quand enfin Jonathan se lâche, je peux moi aussi me libérer. Nous jutons à quelques secondes d’intervalles, lui dans la chatte de ma femme assise au bord de la piscine, penchée en arrière et offrant ses seins dardés à la vue de Jonathan, moi dans un mouchoir, planqué derrière les rideaux. Je me sens malgré tout fier de moi d’avoir réussi à contrôler aussi bien mon éjaculation. Oui, c’est vrai, je me contente de peu …
(…)
19 h 00 : Cette fois-ci, c’est moi qui fais de la bronzette sur un transat entre deux passages dans la piscine, mais l’heure du dîner approche. Corinne se lève et se dirige vers la chambre pour se changer (je suppose). Jonathan me jette un clin d’œil complice et la suit quelques minutes plus tard. En fait, il nous refait le coup d’hier soir, mais avec ma bénédiction. J’attends un peu et me lève à mon tour. Je me dirige silencieusement vers la chambre (qui elle-même donne dans la salle de bains). Pas besoin de mener une enquête approfondie, il suffit de se diriger au bruit. J’entends Corinne qui gémit, il doit être déjà en train de la limer. J’arrive devant la chambre, la porte est entrebâillée, je m’approche tout doucement et à pas de velours pour ne pas qu’on m’entende et qu’onne me voit pas.
Bingo ! Jonathan est en train de baiser ma femme en levrette et il a bien préparé mon angle de vue : trois quart dos. Comme ça, je peux voir la grosse bite de Jonathan qui rentre et sort de la chatte de ma femme. Je peux contempler le cul de Corinne, ses hanches que Jonathan agrippe avec autorité, ses seins qui bougent au gré des coups de reins qu’elle encaisse. Idéal pour un voyeur comme moi : je suis tout près, j’ai une vue super excitante de ma femme qui se fait enfiler, j’entends tout (comme d’habitude, ça gémit, ça gueule, ça grogne et ça commente), mais je ne risque pas de me faire repérer puisque Corinne me tourne presque le dos.
À un moment donné, Jonathan tourne la tête dans ma direction. Il m’a vu et il me fait un clin d’œil. Le salaud. D’accord, il sait que je suis là, mais je trouve toujours aussi humiliant cette complicité, ce regard de connivence qui semble dire « Une belle salope, ta femme, t’as vu comme elle aime se faire ramoner par ma grosse queue ?! ».
Mais il y a toujours pire. Maintenant qu’il sait que je suis aux premières loges, il s’enhardit : il se penche vers la table de nuit, saisit un tube de gel, s’en met un peu sur le doigt. Je frissonne, terrorisé et impuissant. Il va la sodomiser et je vais voir ça en direct, à deux mètres de moi.
Quand Corinne réalise ce qui l’attend, c’est trop tard. Elle jouit trop fort, elle est donc incapable d’empêcher Jonathan de mener à bien son entreprise. Il est déjà en train de lui doigter le cul. Elle proteste malgré tout, mais c’est pour la forme.
- Non, pas par là, pas ce soir …
- Mais si, ma belle, faut pas que tu perdes la main …
- Espèce de gros dégoutant, je ne veux pas, arrête !
- Qu’est-ce que tu dis ? Je n’ai pas bien compris …
Tout en disant ça, il ressort sa queue du vagin de ma femme et se met en position pour la sodomiser.
- Cochon ! Salaud ! T’as très bien entendu ! Ohhhhh !
Ça y est, c’est plié : il vient de lui écarter les fesses et de lui enfoncer sa bite dans le cul. Le cri d’indignation et de surprise qu’elle pousse n’est pas très convaincant. Maintenant qu’il l’a emmanchée jusqu’à la garde, il s’immobilise un instant pour savourer sa victoire. Il a pris possession des lieux, il lui caresse les fesses, lui met un petite tape pour bien montrer qui est le maître. Corinne ne bouge pas. Elle est vaincue, résignée. Elle attend docilement.
Moi, j’ai une trique d’enfer. Je suis subjugué par ce spectacle et je ne vois plus qu’une solution à mon problème : masturbation puis éjaculation pour la cinquième fois de la journée. J’ai sorti ma queue et je commence à me branler en me calant sur le rythme de Jonathan qui sodomise ma femme : tout doucement au départ, comme dans un ralenti ultra sensuel, puis de plus en plus vite pour finir par lui bourrer le cul comme une brute.
Jonathan peut être fier de son coup : Corinne pousse des feulements de jouissance à chaque fois qu’il s’enfonce dans son fondement. Il a trouvé le bon tempo et il s’en régale. Je vois nettement sa grosse queue qui dilate l’anus de ma femme à chaque poussée. Il s’amuse même à lui écarter les fesses pour que nous puissions mieux voir l’un et l’autre. Mais tout ceci n’est rien à côté de la bande son qui accompagne cette sodomie.
- Alors, ma poule, ça te plait de te faire casser le cul ?
- Ahhh ! Salaud !
- Mmmm … T’aimes sentir ma grosse bite dans ton cul ?
- Ohhh ! Ohhh !
- Réponds-moi, salope !
- Ohhh ! Je … Je t’en prie …
- J’entends rien !
- Salaud ! Oui, c’est ça, j’aime …
- Qu’est-ce-que tu dis ?
- Espèce de vicieux ! Vas-y, c’est bon, rentre-moi ta bite dans le cul !
- Mmmm, j’aime quand tu me parles comme ça, ça m’inspire.
- Ahhhh ! Oui, comme ça ! Encore ! Défonce-moi !
… et ainsi de suite. Comme à chaque fois, ils se lâchent comme des bêtes. J’ai l’impression que Corinne prend encore plus de plaisir quand elle se fait sodomiser. Pour Jonathan et moi, c’est pareil. Le fait que je sois derrière lui à les regarder doit encore plus le motiver, et moi je suis possédé par la vision de ma femme qui se fait dominer et enculer ainsi tout en prenant un plaisir incroyable.
Pendant cinq ou dix minutes Jonathan bourre ainsi le cul de ma femme pendant que je me masturbe en essayant de ne pas éjaculer trop tôt. L’excitation réussit à calmer partiellement ma honte et ma souffrance, mais j’ai quand même conscience de ne pas être dans une position très enviable.
Les dernières secondes sont frénétiques et bestiales. C’est trop, je n’en peux plus, je finis par gicler dans mon mouchoir pendant que Jonathan pistonne ma femme à toute vitesse en grognant. Corinne est dans une sorte de semi inconscience orgasmique. Elle n’est plus que cris et gémissements. Quelques secondes après moi, Jonathan se bloque et éjacule dans un long cri. Moi, je suis déjà en train de me sauver en silence après m’être essuyé.
(…)
22 h 30 : Jonathan propose une promenade digestive. Corinne décline l’invitation, sous prétexte qu’elle est fatiguée (tu parles, elle s’est fait baiser trois fois et a fini par une bonne sodomie, il faut qu’elle récupère si elle veut recommencer demain). Moi, comme un con, je dis oui et pourtant je sais ce qui m’attend. Jonathan va encore me demander de le sucer au clair de lune, c’est évident. Finalement, je commence à le connaître et il n’a pas tant d’imagination que ça : dès qu’il a trouvé un truc qui marche, il s’y accroche.
Un quart d’heure plus tard, c’est reparti avec une petite variante bucolique. Il est allongé dans une clairière isolée, en haut d’une colline qui surplombe le paysage. C’est un spectacle féérique sous la lune, et c’est encore mieux quand on se fait tailler une pipe : c’est ce que je m’emploie à faire. Je suis devenu un expert : j’en suis à ma quatrième fellation en 24 heures et, à entendre Jonathan gémir, je suis plutôt doué.
J’ai l’impression de vivre par procuration : plus Jonathan baise ma femme, plus je le suce et plus ça m’excite. Ça devrait être l’inverse, mais non : je bande encore et je sais comment ça va finir.
25 minutes plus tard, je suis encore en train de sucer ce salopard. Il est vraiment très fort pour se retenir. L’air est doux, il est confortablement allongé, il regarde le ciel et le paysage, il soupire, conquis par ma langue, ma bouche, mes lèvres, mes caresses sur ses couilles. Par moments, je risque la crampe alors je m’arrête et je le branle, puis, quand j’ai récupéré, je recommence. C’est pas possible, on va y passer la nuit ! En fait, je le comprends. Quand on a une bonne suceuse à sa disposition, pourquoi se fatiguer ? Il faut se laisser aller au plaisir et ne pas se dépêcher.
Au bout d’une demi-heure, il finit par capituler et lâcher prise (faut dire que j’ai trouvé une technique de fellation à laquelle on ne peut pas résister éternellement). J’ai encore droit à plusieurs giclées de sperme que j’avale avec la satisfaction de celui qui a bien fait son travail. Jonathan est un homme de parole et d’habitude : il s’occupe de moi quelques secondes plus tard. Cette fois-ci, c’est moi qui suis allongé et qui contemple le paysage, c’est lui qui me branle.
La situation n’est pas du tout la même, je me sens ridicule à me faire branler ainsi, mais je prends quand même un sacré plaisir : ce soir Jonathan est sympa, il a décidé d’être moins brutal et de faire durer un peu plus. Je me laisse faire (de toutes façons, suis-je capable d’autre chose ?) et, pendant plusieurs minutes, je me fais masturber comme un puceau pendant que Jonathan annonce déjà la journée du lendemain. Je me sens presque serein, en tout cas de moins en moins angoissé : à part me faire surprendre par Corinne et d’être encore plus ridicule, que peut-il m’arriver de pire que depuis ces trois derniers jours ? Qu’est-ce que Jonathan peut encore inventer d’autre ?
Je finis par jouir au bout de quelques minutes d’une masturbation honteuse mais jouissive. Ce que je ne sais pas à cet instant, c’est que quand on a touché le fond, on peut encore creuser plus bas. Maudites vacances !

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Super ! Mais il manque la partie 7, non ?

très, trés bonne histoire, mais Jonathan va t'il soumettre la femme a ses fantasmes pervers, voire jouer l'amant dominateur pour tester le mari dans ces capacités de cocu soumis.....quitte a se faire aider par des copains devant son mari....vite, vite la suite avec + d'acteurs.

Histoire Erotique
Vite vite! La suite! Très agréable a lire, avec une évolution toute crescendo des plus plaisante.



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