Mauvaise surprise - Terme inadéquat
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mauvaise surprise - Terme inadéquat
Mauvaise surprise
— Tu me dis que tu fais jamais de baise avec une fille contre un mur ou un capot, avec juste la culotte baissée et la braguette ouverte ?
— Jamais fait. Et c’est pas un manque d’occasion, c’est que je ne veux pas.
— Tu trouves pas ça excitant du tout ?
— Bon allez, je te dis la vérité. Ça m’est arrivé deux ou trois fois et ça m’a donné des mauvaises surprises.
— Tu t’es fait sucer par une fille qui s’est avérée être un garçon ?
— Non ! Mais il y a quand même eu tromperie sur la marchandise. Je l’ai baisée à la va-vite, et c’était tellement top qu’on a voulu se revoir pour passer la nuit ensemble. Là, je l’ai vu entièrement nue et tout a foutu le camp. Ses si beaux seins tombaient et étaient écrabouillés, ses cuisses étaient flasques, sans son maquillage sa peau était terne… Bref !
— Le problème, c’est donc pas le sexe improvisé : c’est l’addition sexe improvisé plus nuit à ton appart’. Mauvais ménage ! Les filles que je baise dans la rue, si ça se trouve elles seraient bien moins appétissantes si je les emmenais à l’hôtel. Du coup, justement j’en reste à la baise de rue.
— Je me fais pas à l’idée de coucher avec une fille qui n’est pas celle que je pense. Je veux être sûr ! C’est pour ça que je la préfère toute nue et démaquillée. D’ailleurs au lit, avant de les déshabiller je les démaquille. Elles en sont étonnées mais aiment plutôt bien. Tu te souviens des rituels autour de Louis XVI et Marie Antoinette ? Chaque matin la cour assistait à leur toilette. Les voir nus permettait de vérifier qu’ils n’avaient aucune maladie grave visible. Et donc que le royaume était gouverné par des gens en bonne santé. Quelque part c’est un peu le même principe. Bonne santé ou non, c’est pas mon problème. Surtout, je veux que le cadeau soit à la hauteur de l’emballage, autrement je suis pas intéressé.
— Alors que pour ma part, m’en tenir à l’emballage me convient parfaitement. On pourrait s’associer : j’attrape l’emballage et toi ensuite tu le déballes.
Terme inadéquat
— Faudrait arrêter avec ce terme : « partenaire ». Vraiment pas du tout approprié.
— Plus un ! On devrait plutôt dire « amant », « mec », « petit copain » ou que sais-je, même pour le coup d’un soir.
— T’as pas compris : je parle du terme « partenaire » dans le cadre du travail.
— Ah ? Tu voudrais quoi à la place ?
— « Collaborateur » par exemple.
— Ça fait nazi.
— N’importe quoi.
— Qu’est-ce qui te gêne au juste dans le terme « partenaire » ?
— Ben, le fait qu’on l’utilise pour deux cas très différents : le travail et la baise. On dit qu’il faut pas mélanger travail et baise et pour ma part je suis d’accord. Commençons par ne pas faire de mélange grammatical.
— La langue française est ainsi que veux-tu, il y a des tas de mots à plusieurs significations.
— Au bureau on n’arrête pas de me présenter des « partenaires ». À chaque fois j’ai une image de sexe qui me vient à l’esprit et je me déconcentre dans mon travail. Pas possible !
— La raison pour laquelle tu voudrais qu’on arrête de prononcer le mot est inavouable, voilà le problème…
Un nouvel épisode de « Dialogues Interdits » chaque samedi à partir de 7 H.
— Tu me dis que tu fais jamais de baise avec une fille contre un mur ou un capot, avec juste la culotte baissée et la braguette ouverte ?
— Jamais fait. Et c’est pas un manque d’occasion, c’est que je ne veux pas.
— Tu trouves pas ça excitant du tout ?
— Bon allez, je te dis la vérité. Ça m’est arrivé deux ou trois fois et ça m’a donné des mauvaises surprises.
— Tu t’es fait sucer par une fille qui s’est avérée être un garçon ?
— Non ! Mais il y a quand même eu tromperie sur la marchandise. Je l’ai baisée à la va-vite, et c’était tellement top qu’on a voulu se revoir pour passer la nuit ensemble. Là, je l’ai vu entièrement nue et tout a foutu le camp. Ses si beaux seins tombaient et étaient écrabouillés, ses cuisses étaient flasques, sans son maquillage sa peau était terne… Bref !
— Le problème, c’est donc pas le sexe improvisé : c’est l’addition sexe improvisé plus nuit à ton appart’. Mauvais ménage ! Les filles que je baise dans la rue, si ça se trouve elles seraient bien moins appétissantes si je les emmenais à l’hôtel. Du coup, justement j’en reste à la baise de rue.
— Je me fais pas à l’idée de coucher avec une fille qui n’est pas celle que je pense. Je veux être sûr ! C’est pour ça que je la préfère toute nue et démaquillée. D’ailleurs au lit, avant de les déshabiller je les démaquille. Elles en sont étonnées mais aiment plutôt bien. Tu te souviens des rituels autour de Louis XVI et Marie Antoinette ? Chaque matin la cour assistait à leur toilette. Les voir nus permettait de vérifier qu’ils n’avaient aucune maladie grave visible. Et donc que le royaume était gouverné par des gens en bonne santé. Quelque part c’est un peu le même principe. Bonne santé ou non, c’est pas mon problème. Surtout, je veux que le cadeau soit à la hauteur de l’emballage, autrement je suis pas intéressé.
— Alors que pour ma part, m’en tenir à l’emballage me convient parfaitement. On pourrait s’associer : j’attrape l’emballage et toi ensuite tu le déballes.
Terme inadéquat
— Faudrait arrêter avec ce terme : « partenaire ». Vraiment pas du tout approprié.
— Plus un ! On devrait plutôt dire « amant », « mec », « petit copain » ou que sais-je, même pour le coup d’un soir.
— T’as pas compris : je parle du terme « partenaire » dans le cadre du travail.
— Ah ? Tu voudrais quoi à la place ?
— « Collaborateur » par exemple.
— Ça fait nazi.
— N’importe quoi.
— Qu’est-ce qui te gêne au juste dans le terme « partenaire » ?
— Ben, le fait qu’on l’utilise pour deux cas très différents : le travail et la baise. On dit qu’il faut pas mélanger travail et baise et pour ma part je suis d’accord. Commençons par ne pas faire de mélange grammatical.
— La langue française est ainsi que veux-tu, il y a des tas de mots à plusieurs significations.
— Au bureau on n’arrête pas de me présenter des « partenaires ». À chaque fois j’ai une image de sexe qui me vient à l’esprit et je me déconcentre dans mon travail. Pas possible !
— La raison pour laquelle tu voudrais qu’on arrête de prononcer le mot est inavouable, voilà le problème…
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