Max (5): Rencontre avec un couple candauliste
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2019 dans la catégorie Plus on est
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Max (5): Rencontre avec un couple candauliste
Vu vos mails et vos commentaires, je vais vous raconter une autre histoire de Max. Pour ceux qui veulent rentrer en contact avec lui, n’hésitez pas à me demander son mail en message privé.
Nous sommes en plein été, je n’ai pas réussi à prendre de congés mais d’un autre côté je n’ai pas trop insisté. Pour mon plus grand bonheur, je me retrouve donc célibataire pendant 3 semaines dans la capitale et je compte en profiter au maximum. Je vais enfin pouvoir donner libre court à mes envies et mes fantasmes. Je réactive mes différentes annonces et adresses internet à la recherche de moments bien chauds.
Il y a un moment, j’ai publié sur un site de rencontre, une annonce. Comme à chaque fois, j’ai précisé que j’étais à la recherche d’un couple, un homme ou une femme et c’est la réponse d’un couple qui a attiré surtout mon intention. Ils me précisent uniquement qu’ils ont tous les deux une petite soixantaine d’année et sont tous les deux bi. Ils me laissent un numéro de téléphone que je m’empresse de composer.
C’est une voix masculine et qui semble plutôt jeune qui me répond. Je lui explique que j’appelle à propos de l’annonce et il devient encore plus jovial. Il s’appelle Marc et sa femme c’est Anne. Nous nous décrivons, lui fait 1m80 pour 75 kilos, il est plutôt imberbe mais se rase totalement le corps, il a une belle queue de 17/4 cm. Sa femme mesure 1m65 pour 70 kilos, ses quelques rondeurs lui permettent d’avoir un joli 95D qui se tient encore très bien selon son homme.
Je me décris à mon tour et nous parlons de nos limites. Je sens que je vais passer d’excellents moments avec eux car nous avons les mêmes envies et les mêmes délires. Il me demande mon adresse mail pour m’envoyer des photos. Nous discutons encore un peu mais je suis trop pressé de découvrir les clichés alors je raccroche rapidement.
Je retourne derrière mon ordinateur et je les trouve plus qu’à mon goût. L’âge n’est pas du tout un problème pour moi surtout qu’ils sont pas beaucoup plus vieux que moi. Rien qu’en les admirant derrière l’écran je bande. Je peux pas m’empêcher de me branler en pensant à ce que nous allons vivre ensemble. Une fois que j’ai bien joui et que je me suis rincé, je m’empresse de leur donner rendez-vous, ce samedi, dans un supermarché pas loin de chez moi pour un premier contact et je leur propose d’ensuite laisser nos envies nous guider.
Le samedi matin, je me prépare bien pour notre premier rendez-vous. Je taille ma barbe, je me rase entièrement pour avoir le costume 3 pièces et le cul bien lisse. J’enferme ma tige dans un cockring en métal, par-dessus j’enfile uniquement un jean et un polo et je me rends au supermarché. J’arrive une bonne dizaine de minutes avant l’heure prévue, il me semble les avoir repérés, eux aussi sont en avance.
Le rendez-vous est à 13 heures au rayon de la nourriture pour animaux, ils sont devant les croquettes depuis 5 bonnes minutes donc c’est bien eux. Je les observe un moment et je profite que monsieur s’absente pour la rejoindre. Je m’arrête juste derrière elle, je fais mine de regarder les articles, je prends une boîte et comme j’ai convenu avec Marc, elle se retourne, m’observe des pieds à la tête et me demande:« Vous aimez les croquettes bio? »
Je lui fais un large sourire et l’admire à mon tour. Elle porte un haut blanc assez transparent, je vois immédiatement qu’elle n’a pas de soutien-gorge vu comme ses aréoles sont visibles. Ses seins, en forme de poire, commencent à me faire bander dans mon jean moulant, avec le cockring ça fait une grosse bosse. Elle porte un pantalon large qui ne laisse pas apparaître ses formes. Avant que son mari nous rejoigne, j'ai juste le temps de lui répondre:« Oui mais vous êtes tellement belle que vous me donnez d’autres envies. »
Nous sortons du supermarché pour faire un peu plus connaissance et jusque-là nous sommes tous d’accord. Je vois qu’ils sont très intéressés quand je leur parle du plaisir que j’ai à me travestir, je leur détaille mes tenues. Du coup il me demande combien de temps ça me prend pour m’habiller et me maquiller pour être « belle ». Je suis qu’à mes débuts alors je préfère assurer en leur disant une heure.
Anne me dicte la tenue dans laquelle je dois les attendre et me fait confiance pour le maquillage, Marc applaudit pour manifester sa réjouissance. Je leur donne mon adresse et ils vont aller manger pendant que je me prépare. Comme convenu, je les attends avec une petite robe courte noire, des bas et un string en dentelle de la même couleur. Je me suis bien appliqué pour me maquiller et j’ai même mis le parfum de ma femme. Une fois qu’ils sont garés, ils me font un texto pour m’annoncer leur arrivée.
Je déverrouille la porte avant qu’il ne sonne pour qu’ils rentrent dans mon pavillon alors que je les attends dans le salon, à genoux et bouche ouverte. Anne s’est changée, elle porte une robe bleu claire pas plus longue que la mienne, j’ai l’impression qu’elle n’a rien en dessous. Ils me rejoignent et s’assoient dans le canapé, j’attends gentiment que, comme convenu, je deviens leur jouet successif.
Alors qu’Anne s’approche de moi, je remarque seulement son magnifique rouge à lèvres rose très léger, j’ai envie de lui demander où elle l’a acheté mais ce n’est pas le moment. Elle se penche vers moi, son parfum musqué m’enivre. Elle empoigne mes cheveux derrière la tête et plaque sa bouche contre la mienne. Elle pose ses mains sur mes seins et me les malaxe férocement.
Quand ses lèvres quittent les miennes, elle m’aide à me relever. Alors que j’arrange ma robe, elle me demande de bouger comme une allumeuse. Je glisse mes jambes entre les siennes et je commence à onduler sensuellement du bassin. Je passe mes mains dans ses cheveux et quand elles descendent le long de son cou, elle tire la langue et invite la mienne à venir la rejoindre. Notre étreinte dur un moment.
Quand elle se décolle, elle soulève sa robe, la bloque derrière sa nuque et me dévoile sa chatte avec une petite touffe au-dessus et ses gros seins dont les tétons pointent déjà. Puis elle appuie sur mes épaules pour me faire mettre à genoux, la suite du programme est claire surtout que ses jambes sont bien écartées. Je m’approche doucement de son entre-jambe et commence par caresser sa chatte qui s’humidifie rapidement. Elle m’interrompt pour s’asseoir dans un fauteuil et avoir une meilleure position.
Une fois à genoux devant elle, avec 2 doigts j’écarte bien ses lèvres intimes pour dévoiler son clito qui est petit et bien caché. Je me penche pour que ma langue parte à sa recherche et les gémissements d’Anne me prouvent que je l’ai bien trouvé. Après l’avoir titillé un moment elle me dit:« Maintenant tu as 2 minutes pour me faire jouir sinon on part! »
Pas de temps à perdre, ma langue se balade sur tout son mont de Vénus. Ses petits cris de plaisir m’aident à repérer les points plus sensibles alors que je remonte mes mains pour stimuler sa grosse poitrine. En à peine quelques secondes je sens son corps se mettre à trembler, elle est vraiment très sensible du petit bouton alors je m’attarde sur lui. Elle appuie sur ma tête pour accentuer la pression et alors que ma bouche se remplie de mouille, elle me motive par des:« Suce salope! »Elle aime dominer et j’aime obéir donc nous sommes faits pour nous entendre.
Moins d’une minute plus tard son corps se cambre, sans aucun bruit, puis elle est prise de spasmes. Rapidement, elle écarte son visage de sa chatte, je vois ses lèvres intimes se contracter et un filet de cyprine couler vers sa raie. Ce spectacle me fait encore plus bander dans mon string.
Soudain, elle se relève, retire complètement sa robe et se met à déambuler devant moi en remuant bien toutes ses formes. Puis elle me tend une main pour que je me lève et m’ordonne de retirer ma robe pour me retrouver en string et bas. Elle vient derrière moi, tâter mon cul puis me fait mettre à 4 pattes pour mieux me malaxer les globes fessiers.
Je commence par recevoir quelques fessées très légères, ses mains retournent sur mon cul pour l’écarter, le masser et à nouveau le claquer. Pendant qu’elle écarte la ficelle de mon string, apparaît devant mon visage une belle paire de couilles lisses et pendantes comme je les aime avec une grosse bite circoncise surmontée d’un énorme gland rose et un méat très ouvert. J’avais complètement oublié la présence de son mari mais cette vision me ravit.
Alors que j’ai déjà la bouche qui s’ouvre, Anne m’ordonne de le sucer. Je commence par lécher ce champignon impressionnant, je le gobe, fais tournoyer ma langue tout autour et pointe l’entrée de son méat. Puis je fais lentement coulisser sa tige, raide et bien droite, entre mes lèvres. Alors que la queue de Marc continue de grossir dans ma bouche, je sens le froid d’un lubrifiant couler le long de ma raie et me faire frissonner de plaisir.
Elle balade son doigt tout autour de ma rondelle fraîchement rasée qui a réagi bien à ce contact. Je commence à onduler du bassin pour accompagner le mouvement de ses doigts quand elle dit à son mari:« Elle a une belle chatte comme tu les aimes. »Marc attrape fermement mon visage pour me baiser, violemment, la bouche alors que je sens un premier doigt dilater mon anus.
J’adore cette sensation d’être pris en sandwich, d’un côté par une belle bite qui glisse entre mes lèvres bien serrées et de l’autre un premier doigt et rapidement un deuxième. J’ai l’impression que le couple me baise en rythme de chaque côté de mon corps. Pendant qu’il me pilonne fermement, au milieu de mes gémissements j’entends Anne ordonner:« Baise cette cochonne pendant qu’elle me suce. »
Elle retire d’un coup sec ses doigts de mon cul, même s’il y avait que 2 doigts je sens un grand vide mais j’espère qu’il va être rapidement rempli. Je continue de sucer Marc pendant que sa femme va s’installer dans le canapé. Quand il me libère la bouche, j’avance à 4 pattes vers celle qui, je l’espère, va devenir ma maîtresse de cet été. Alors que je me glisse entre ses cuisses, elle m’ordonne de m’installer sur l’accoudoir.
Mon ventre est collé au bras du canapé, ma croupe est offerte à monsieur alors que je me penche sur l’entre-jambe de madame. Je tire la longue pour parcourir tout le con sous moi alors que je sens la queue de Marc me pénétrer d’un coup sec. Je sens nettement sa tige et ses veines, je tourne la tête et me rassure en voyant l’emballage d’un préservatif ultra fin sur la table basse.
Anne appuie sur ma tête pour que je retourne sur sa chatte et dicte à son mari:« Défonce-la! »Non seulement sa bite qui coulisse dans mon anneau anal me fait frémir de plaisir mais le fait qu’elle utilise le féminin pour me designer, m’excite encore plus. Alors que je la lèche goulûment je sens mes couilles battre contre mon corps au gré des coups de queue que je reçois.
Au bout de quelques minutes, Anne me dégage et se lève. Elle retire le chouchou qui retient ses cheveux pendant que son mari continue de me limer vigoureusement. Elle passe sous moi et alors que les coups de rein que je reçois ne ralentissent pas, elle empoigne mon costume 3 pièces. Elle entoure ma queue et mes couilles avec son élastique et fais un deuxième tour autour de mes bourses.
Ma tige est compressée et se sent à l’étroit, étrangement ça me fait encore plus durcir. Elle attrape mes couilles dans une ferme poigne et commence à les faire tourner comme si c’était des balles de décontraction. Je pousse des petits cris, j’ai mal mais ça me fait en même temps un bien fou. Entre ça et la queue de son mari qui glisse de plus en plus vite dans mes entrailles, je perds toute notion et suis uniquement porté par mon plaisir.
Après quelques minutes de ce traitement, Anne lâche mes bourses mais laisse l’élastique, je me sens libéré mais j’ai aussi un manque. Elle retourne s’installer dans le canapé et m’offre sa moule à déguster. Alors que ma bouche s’occupe de son petit bouton, je glisse, successivement, 2 doigts en elle. Je masse les parois internes de son utérus en insistant surtout avec mon majeur. Elle a l’air de beaucoup apprécier vu comme elle couine.
J’explore toutes ses aspérités qui me font penser à un cannelé pendant que Marc continue à me marteler le cul. Quand je commence à appuyer plus fermement dessus, elle se redresse et ce met à hurler. De peur de lui avoir fait mal, je retire lentement mais doigts mais elle me hurle dessus:« Continue salope! Encore, encore… »
Plus mes doigts se renfoncent en elle plus ses « encore » se transforme en cris de joie. Mais ce n’est pas elle qui est en train de jouir, je sens la queue de Marc tressauter dans mes entrailles. Sa tige titille encore plus ma prostate ce qui fait sursauter ma queue toujours enfermée dans le chouchou de madame. Grâce à la fine capote, je sens totalement les contractions de son sexe comme s’il ne portait rien mais malheureusement le plastique retient ses giclées qui ne viennent pas tapisser mes entrailles.
Alors que je m’applique toujours sur l’entre-jambe de sa femme, Marc décule d’un coup sec. Il remplace son sexe directement par 2 doigts et rapidement un troisième vient aussi me limer entre les fesses. Lorsque je fais jouir Anne, son mari rajoute son auriculaire dans mon cul. Je prends un plaisir fou à sentir mes entrailles se dilater ainsi, je retrouve les sensations que j’avais grâce à ma première dominatrice (voir « La main de la domina »).
Une fois que madame a repris ses esprits, son mari place ses doigts en poire et les ouvre lentement pour dilater encore plus ma rondelle. Tout en travaillant mon cul, il demande à sa femme:« On la fiste? »Moi qui en meure d’envie, je suis heureux de l’entendre répondre:« Vas-y! Je suis sûre qu’elle aime ça. »
Ses 5 doigts travaillent ma chatte déjà bien ouverte, je sens ma bite (toujours enfermée dans le chouchou) venir taper contre mon ventre. Je pousse bien sur mes sphincter pour le laisser rentrer. En seulement quelques minutes mon cul est prêt à accueillir toute sa main mais Anne, que je continue de lécher, se lève en déclamant:« Je passe la première! »
Les doigts de Marc sont toujours en moi, je me cambre encore plus sur l’accoudoir et je sens la main de madame remplacer celle de monsieur. Elle la fait tout doucement glisser dans mes entrailles et, comme elle est plus fine, la rentre très facilement. Marc garde sa place et descend ses doigts le long de mon périnée et vient empoigner ma tige pour me branler au rythme des mouvements de la main de sa femme.
Ce traitement est trop puissant pour moi, je sens que je ne vais pas résister longtemps alors je lui demande d’arrêter pour que lui aussi puisse me fister. La main d’Anne tournoie encore un peu en moi puis recule lentement. Celle de son mari (recouverte de lubrifiant) la rejoint et j’ai maintenant 10 doigts sur ma rondelle. Ils échangent très facilement leur position et Marc n’a aucun mal à me fister à son tour.
Plus ses doigts s’enfoncent en moins plus j’ai mal à la queue, quand ils atteignent le fond une longue giclée, libératrice, de sperme vient s’étaler sur l’extérieur du canapé. Alors qu’il agite sa main dans ma chatte, je sens un deuxième jet sortir mais moins fort. Pendant que les dernières gouttes coulent de mon méat, mon sphincter se referme déjà. Je compresse tellement ses doigts que Marc essaye de retirer sa main mais elle reste bloquée. Je souffle très fort et pousse un bon coup, il me quitte en me faisant assez mal mais ça en valait le coup.
Maintenant que nous avons joui tous les trois, nous avons besoin de reprendre des forces et mon cul a besoin de se reposer. Une fois que nous avons repris un peu nos esprits, je leur propose de grignoter quelques choses avant de continuer à explorer nos corps et nous donner du plaisir….
Nous sommes en plein été, je n’ai pas réussi à prendre de congés mais d’un autre côté je n’ai pas trop insisté. Pour mon plus grand bonheur, je me retrouve donc célibataire pendant 3 semaines dans la capitale et je compte en profiter au maximum. Je vais enfin pouvoir donner libre court à mes envies et mes fantasmes. Je réactive mes différentes annonces et adresses internet à la recherche de moments bien chauds.
Il y a un moment, j’ai publié sur un site de rencontre, une annonce. Comme à chaque fois, j’ai précisé que j’étais à la recherche d’un couple, un homme ou une femme et c’est la réponse d’un couple qui a attiré surtout mon intention. Ils me précisent uniquement qu’ils ont tous les deux une petite soixantaine d’année et sont tous les deux bi. Ils me laissent un numéro de téléphone que je m’empresse de composer.
C’est une voix masculine et qui semble plutôt jeune qui me répond. Je lui explique que j’appelle à propos de l’annonce et il devient encore plus jovial. Il s’appelle Marc et sa femme c’est Anne. Nous nous décrivons, lui fait 1m80 pour 75 kilos, il est plutôt imberbe mais se rase totalement le corps, il a une belle queue de 17/4 cm. Sa femme mesure 1m65 pour 70 kilos, ses quelques rondeurs lui permettent d’avoir un joli 95D qui se tient encore très bien selon son homme.
Je me décris à mon tour et nous parlons de nos limites. Je sens que je vais passer d’excellents moments avec eux car nous avons les mêmes envies et les mêmes délires. Il me demande mon adresse mail pour m’envoyer des photos. Nous discutons encore un peu mais je suis trop pressé de découvrir les clichés alors je raccroche rapidement.
Je retourne derrière mon ordinateur et je les trouve plus qu’à mon goût. L’âge n’est pas du tout un problème pour moi surtout qu’ils sont pas beaucoup plus vieux que moi. Rien qu’en les admirant derrière l’écran je bande. Je peux pas m’empêcher de me branler en pensant à ce que nous allons vivre ensemble. Une fois que j’ai bien joui et que je me suis rincé, je m’empresse de leur donner rendez-vous, ce samedi, dans un supermarché pas loin de chez moi pour un premier contact et je leur propose d’ensuite laisser nos envies nous guider.
Le samedi matin, je me prépare bien pour notre premier rendez-vous. Je taille ma barbe, je me rase entièrement pour avoir le costume 3 pièces et le cul bien lisse. J’enferme ma tige dans un cockring en métal, par-dessus j’enfile uniquement un jean et un polo et je me rends au supermarché. J’arrive une bonne dizaine de minutes avant l’heure prévue, il me semble les avoir repérés, eux aussi sont en avance.
Le rendez-vous est à 13 heures au rayon de la nourriture pour animaux, ils sont devant les croquettes depuis 5 bonnes minutes donc c’est bien eux. Je les observe un moment et je profite que monsieur s’absente pour la rejoindre. Je m’arrête juste derrière elle, je fais mine de regarder les articles, je prends une boîte et comme j’ai convenu avec Marc, elle se retourne, m’observe des pieds à la tête et me demande:« Vous aimez les croquettes bio? »
Je lui fais un large sourire et l’admire à mon tour. Elle porte un haut blanc assez transparent, je vois immédiatement qu’elle n’a pas de soutien-gorge vu comme ses aréoles sont visibles. Ses seins, en forme de poire, commencent à me faire bander dans mon jean moulant, avec le cockring ça fait une grosse bosse. Elle porte un pantalon large qui ne laisse pas apparaître ses formes. Avant que son mari nous rejoigne, j'ai juste le temps de lui répondre:« Oui mais vous êtes tellement belle que vous me donnez d’autres envies. »
Nous sortons du supermarché pour faire un peu plus connaissance et jusque-là nous sommes tous d’accord. Je vois qu’ils sont très intéressés quand je leur parle du plaisir que j’ai à me travestir, je leur détaille mes tenues. Du coup il me demande combien de temps ça me prend pour m’habiller et me maquiller pour être « belle ». Je suis qu’à mes débuts alors je préfère assurer en leur disant une heure.
Anne me dicte la tenue dans laquelle je dois les attendre et me fait confiance pour le maquillage, Marc applaudit pour manifester sa réjouissance. Je leur donne mon adresse et ils vont aller manger pendant que je me prépare. Comme convenu, je les attends avec une petite robe courte noire, des bas et un string en dentelle de la même couleur. Je me suis bien appliqué pour me maquiller et j’ai même mis le parfum de ma femme. Une fois qu’ils sont garés, ils me font un texto pour m’annoncer leur arrivée.
Je déverrouille la porte avant qu’il ne sonne pour qu’ils rentrent dans mon pavillon alors que je les attends dans le salon, à genoux et bouche ouverte. Anne s’est changée, elle porte une robe bleu claire pas plus longue que la mienne, j’ai l’impression qu’elle n’a rien en dessous. Ils me rejoignent et s’assoient dans le canapé, j’attends gentiment que, comme convenu, je deviens leur jouet successif.
Alors qu’Anne s’approche de moi, je remarque seulement son magnifique rouge à lèvres rose très léger, j’ai envie de lui demander où elle l’a acheté mais ce n’est pas le moment. Elle se penche vers moi, son parfum musqué m’enivre. Elle empoigne mes cheveux derrière la tête et plaque sa bouche contre la mienne. Elle pose ses mains sur mes seins et me les malaxe férocement.
Quand ses lèvres quittent les miennes, elle m’aide à me relever. Alors que j’arrange ma robe, elle me demande de bouger comme une allumeuse. Je glisse mes jambes entre les siennes et je commence à onduler sensuellement du bassin. Je passe mes mains dans ses cheveux et quand elles descendent le long de son cou, elle tire la langue et invite la mienne à venir la rejoindre. Notre étreinte dur un moment.
Quand elle se décolle, elle soulève sa robe, la bloque derrière sa nuque et me dévoile sa chatte avec une petite touffe au-dessus et ses gros seins dont les tétons pointent déjà. Puis elle appuie sur mes épaules pour me faire mettre à genoux, la suite du programme est claire surtout que ses jambes sont bien écartées. Je m’approche doucement de son entre-jambe et commence par caresser sa chatte qui s’humidifie rapidement. Elle m’interrompt pour s’asseoir dans un fauteuil et avoir une meilleure position.
Une fois à genoux devant elle, avec 2 doigts j’écarte bien ses lèvres intimes pour dévoiler son clito qui est petit et bien caché. Je me penche pour que ma langue parte à sa recherche et les gémissements d’Anne me prouvent que je l’ai bien trouvé. Après l’avoir titillé un moment elle me dit:« Maintenant tu as 2 minutes pour me faire jouir sinon on part! »
Pas de temps à perdre, ma langue se balade sur tout son mont de Vénus. Ses petits cris de plaisir m’aident à repérer les points plus sensibles alors que je remonte mes mains pour stimuler sa grosse poitrine. En à peine quelques secondes je sens son corps se mettre à trembler, elle est vraiment très sensible du petit bouton alors je m’attarde sur lui. Elle appuie sur ma tête pour accentuer la pression et alors que ma bouche se remplie de mouille, elle me motive par des:« Suce salope! »Elle aime dominer et j’aime obéir donc nous sommes faits pour nous entendre.
Moins d’une minute plus tard son corps se cambre, sans aucun bruit, puis elle est prise de spasmes. Rapidement, elle écarte son visage de sa chatte, je vois ses lèvres intimes se contracter et un filet de cyprine couler vers sa raie. Ce spectacle me fait encore plus bander dans mon string.
Soudain, elle se relève, retire complètement sa robe et se met à déambuler devant moi en remuant bien toutes ses formes. Puis elle me tend une main pour que je me lève et m’ordonne de retirer ma robe pour me retrouver en string et bas. Elle vient derrière moi, tâter mon cul puis me fait mettre à 4 pattes pour mieux me malaxer les globes fessiers.
Je commence par recevoir quelques fessées très légères, ses mains retournent sur mon cul pour l’écarter, le masser et à nouveau le claquer. Pendant qu’elle écarte la ficelle de mon string, apparaît devant mon visage une belle paire de couilles lisses et pendantes comme je les aime avec une grosse bite circoncise surmontée d’un énorme gland rose et un méat très ouvert. J’avais complètement oublié la présence de son mari mais cette vision me ravit.
Alors que j’ai déjà la bouche qui s’ouvre, Anne m’ordonne de le sucer. Je commence par lécher ce champignon impressionnant, je le gobe, fais tournoyer ma langue tout autour et pointe l’entrée de son méat. Puis je fais lentement coulisser sa tige, raide et bien droite, entre mes lèvres. Alors que la queue de Marc continue de grossir dans ma bouche, je sens le froid d’un lubrifiant couler le long de ma raie et me faire frissonner de plaisir.
Elle balade son doigt tout autour de ma rondelle fraîchement rasée qui a réagi bien à ce contact. Je commence à onduler du bassin pour accompagner le mouvement de ses doigts quand elle dit à son mari:« Elle a une belle chatte comme tu les aimes. »Marc attrape fermement mon visage pour me baiser, violemment, la bouche alors que je sens un premier doigt dilater mon anus.
J’adore cette sensation d’être pris en sandwich, d’un côté par une belle bite qui glisse entre mes lèvres bien serrées et de l’autre un premier doigt et rapidement un deuxième. J’ai l’impression que le couple me baise en rythme de chaque côté de mon corps. Pendant qu’il me pilonne fermement, au milieu de mes gémissements j’entends Anne ordonner:« Baise cette cochonne pendant qu’elle me suce. »
Elle retire d’un coup sec ses doigts de mon cul, même s’il y avait que 2 doigts je sens un grand vide mais j’espère qu’il va être rapidement rempli. Je continue de sucer Marc pendant que sa femme va s’installer dans le canapé. Quand il me libère la bouche, j’avance à 4 pattes vers celle qui, je l’espère, va devenir ma maîtresse de cet été. Alors que je me glisse entre ses cuisses, elle m’ordonne de m’installer sur l’accoudoir.
Mon ventre est collé au bras du canapé, ma croupe est offerte à monsieur alors que je me penche sur l’entre-jambe de madame. Je tire la longue pour parcourir tout le con sous moi alors que je sens la queue de Marc me pénétrer d’un coup sec. Je sens nettement sa tige et ses veines, je tourne la tête et me rassure en voyant l’emballage d’un préservatif ultra fin sur la table basse.
Anne appuie sur ma tête pour que je retourne sur sa chatte et dicte à son mari:« Défonce-la! »Non seulement sa bite qui coulisse dans mon anneau anal me fait frémir de plaisir mais le fait qu’elle utilise le féminin pour me designer, m’excite encore plus. Alors que je la lèche goulûment je sens mes couilles battre contre mon corps au gré des coups de queue que je reçois.
Au bout de quelques minutes, Anne me dégage et se lève. Elle retire le chouchou qui retient ses cheveux pendant que son mari continue de me limer vigoureusement. Elle passe sous moi et alors que les coups de rein que je reçois ne ralentissent pas, elle empoigne mon costume 3 pièces. Elle entoure ma queue et mes couilles avec son élastique et fais un deuxième tour autour de mes bourses.
Ma tige est compressée et se sent à l’étroit, étrangement ça me fait encore plus durcir. Elle attrape mes couilles dans une ferme poigne et commence à les faire tourner comme si c’était des balles de décontraction. Je pousse des petits cris, j’ai mal mais ça me fait en même temps un bien fou. Entre ça et la queue de son mari qui glisse de plus en plus vite dans mes entrailles, je perds toute notion et suis uniquement porté par mon plaisir.
Après quelques minutes de ce traitement, Anne lâche mes bourses mais laisse l’élastique, je me sens libéré mais j’ai aussi un manque. Elle retourne s’installer dans le canapé et m’offre sa moule à déguster. Alors que ma bouche s’occupe de son petit bouton, je glisse, successivement, 2 doigts en elle. Je masse les parois internes de son utérus en insistant surtout avec mon majeur. Elle a l’air de beaucoup apprécier vu comme elle couine.
J’explore toutes ses aspérités qui me font penser à un cannelé pendant que Marc continue à me marteler le cul. Quand je commence à appuyer plus fermement dessus, elle se redresse et ce met à hurler. De peur de lui avoir fait mal, je retire lentement mais doigts mais elle me hurle dessus:« Continue salope! Encore, encore… »
Plus mes doigts se renfoncent en elle plus ses « encore » se transforme en cris de joie. Mais ce n’est pas elle qui est en train de jouir, je sens la queue de Marc tressauter dans mes entrailles. Sa tige titille encore plus ma prostate ce qui fait sursauter ma queue toujours enfermée dans le chouchou de madame. Grâce à la fine capote, je sens totalement les contractions de son sexe comme s’il ne portait rien mais malheureusement le plastique retient ses giclées qui ne viennent pas tapisser mes entrailles.
Alors que je m’applique toujours sur l’entre-jambe de sa femme, Marc décule d’un coup sec. Il remplace son sexe directement par 2 doigts et rapidement un troisième vient aussi me limer entre les fesses. Lorsque je fais jouir Anne, son mari rajoute son auriculaire dans mon cul. Je prends un plaisir fou à sentir mes entrailles se dilater ainsi, je retrouve les sensations que j’avais grâce à ma première dominatrice (voir « La main de la domina »).
Une fois que madame a repris ses esprits, son mari place ses doigts en poire et les ouvre lentement pour dilater encore plus ma rondelle. Tout en travaillant mon cul, il demande à sa femme:« On la fiste? »Moi qui en meure d’envie, je suis heureux de l’entendre répondre:« Vas-y! Je suis sûre qu’elle aime ça. »
Ses 5 doigts travaillent ma chatte déjà bien ouverte, je sens ma bite (toujours enfermée dans le chouchou) venir taper contre mon ventre. Je pousse bien sur mes sphincter pour le laisser rentrer. En seulement quelques minutes mon cul est prêt à accueillir toute sa main mais Anne, que je continue de lécher, se lève en déclamant:« Je passe la première! »
Les doigts de Marc sont toujours en moi, je me cambre encore plus sur l’accoudoir et je sens la main de madame remplacer celle de monsieur. Elle la fait tout doucement glisser dans mes entrailles et, comme elle est plus fine, la rentre très facilement. Marc garde sa place et descend ses doigts le long de mon périnée et vient empoigner ma tige pour me branler au rythme des mouvements de la main de sa femme.
Ce traitement est trop puissant pour moi, je sens que je ne vais pas résister longtemps alors je lui demande d’arrêter pour que lui aussi puisse me fister. La main d’Anne tournoie encore un peu en moi puis recule lentement. Celle de son mari (recouverte de lubrifiant) la rejoint et j’ai maintenant 10 doigts sur ma rondelle. Ils échangent très facilement leur position et Marc n’a aucun mal à me fister à son tour.
Plus ses doigts s’enfoncent en moins plus j’ai mal à la queue, quand ils atteignent le fond une longue giclée, libératrice, de sperme vient s’étaler sur l’extérieur du canapé. Alors qu’il agite sa main dans ma chatte, je sens un deuxième jet sortir mais moins fort. Pendant que les dernières gouttes coulent de mon méat, mon sphincter se referme déjà. Je compresse tellement ses doigts que Marc essaye de retirer sa main mais elle reste bloquée. Je souffle très fort et pousse un bon coup, il me quitte en me faisant assez mal mais ça en valait le coup.
Maintenant que nous avons joui tous les trois, nous avons besoin de reprendre des forces et mon cul a besoin de se reposer. Une fois que nous avons repris un peu nos esprits, je leur propose de grignoter quelques choses avant de continuer à explorer nos corps et nous donner du plaisir….
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