MAX et VALERIE acte 2 - histoire érotique

Acte II

Le lendemain fut une journée ordinaire, oubliant
même la discussion de la scène du soir. Le couple
se quitta au matin comme si de rien n’était, chacun
allant à son travail. Le soir ils se retrouvèrent
comme d’habitude. Ils préparèrent le diner toujours
comme d’habitude, avec juste en arrière-pensée
qu’ils seraient trois le vendredi suivant, car le
collègue Julien allait venir diner. Max et Valérie
n’abordèrent pas le sujet pendant les jours
suivants, et lorsque Julien arriva, ils l’accueillirent
comme si de rien n’était. Max et lui refirent
connaissance et pendant le repas, bien qu’il
s’aperçoive encore une fois que Julien regardait
Valérie avec envie, il ne dit rien, ni ne fit de signes
à Valérie de ce qu’il voyait ou pensait. Valérie
semblait cependant plus avenante que d’habitude,
qu’avec les amis qu’ils avaient en commun. Max
eut une drôle d’impression lorsqu’elle posa sa
main en riant sur le bras de Julien après une
blague, et qu’elle regarda Max avec un sourire un
peu amusé, voire coquin. Celui-ci rougit à ce
moment-là, donnant à la scène une impression
surréaliste, limite érotique pour Max qui se remit à
penser aux scénarios vécus avec sa chérie trois
jours plus tôt. Mais rien de plus.

À la fin du repas, Julien proposa que lui et Valérie
se mettent au travail sur leur dossier en cours. Ils
s’installèrent au salon, sortant livres et carnets et
ordinateur et se mirent au travail pendant que Max
faisait la vaisselle et rangeait la cuisine… Il ne put
s’empêcher de les regarder alors qu’ils lui
tournaient le dos, assis en tailleur autour de la
table basse, Julien, un bras en appui sur le sol
juste derrière le dos de Valérie qui, elle, tapait sur
l’ordi. À un moment, Julien se tourna vers lui et lui
sourit. Max lui rendit son sourire, tandis qu’il
sentait une étrange sensation dans son bas
ventre. Il retourna à sa vaisselle tandis que Julien
retournait à son travail. Max décida d’aller
s’allonger dans la chambre regarder une série sur
la télé. Il commençait à s’assoupir quand Valérie
entra dans la chambre et lui fit un petit bisou.
Max somnolent lui demanda : « Ça va ? Vous
avancez bien ? »
Valérie : « Oui, ça va, et toi, tu vas bien ? »
Max : « Bah, oui, comme quelqu’un qui s’ennuie
un peu. »
Valérie, en rigolant, s’approcha doucement de son
oreille et lui susurra : « Tu préférerais peut-être
que ce soit un de tes rêves qui se passe dans le
salon ? »
Max, souriant : « T’es sérieuse, ou bien ? »
Valérie : « Mais non, grand bêta. Mais avoue que
ça t’exciterait qu’il puisse se passer quelque
chose, non ? »
Max : « Bah, maintenant que tu le dis, ça risque
oui, de me retourner le cerveau. T’es maligne, toi.
Mais franchement, t’es chiée de me dire ça
maintenant, en plus vous êtes tous les deux là…
Je peux m’imaginer des trucs. »
Valérie : « Bah, si ça te met dans les mêmes
conditions que l'autre soir, va falloir que je te
provoque un peu. »
En disant cette dernière phrase, Max regarda
Valérie dans les yeux, elle avait un regard
légèrement lubrique, pétillant, provocateur.
Max : « T’es sérieuse, tu ferais quoi ? Fais gaffe
parce que je pense qu’il faudrait pas grand-chose
pour qu’il te saute dessus, tu te croirais capable de
quoi avec lui ? »
Valérie : « Bah, je me demande ce que je serais
capable de faire pour exciter mon mec, dit-elle en
regardant Max avec érotisme. »
Max : « Du coup, avoues, tu y penses
sérieusement, là ? Maintenant ? »
Valérie : « Je sais pas, j’y ai pensé, c’est vrai, mais
pour l‘instant, je pense pas que ce soit possible.
Mais si il me faisait des avances, ça te ferait
quoi ? » dit-elle dans un sourire provocateur.
Max : « Me cherche pas, Bébé, ça m’exciterait
grave, je pense. Mais ça me parait peu probable et
toi tu en penserais quoi, s’il te draguait
ouvertement ?
Valérie : « En vrai ou en fantasme ? »
Max : « Bah, toi. En fantasme et en vrai ? »
Valérie : « Bah, depuis hier, je t’avoue qu’en
fantasme, c’est grave excitant d’imaginer que tu
me materais en train de baiser avec un autre. J’y
ai pas mal pensé aujourd’hui, oui et surtout depuis
qu’il est là, et plus pour te voir t’exciter qu’autre
chose d’ailleurs, car lui, en tant que mec, il est pas
mal, c’est vrai, mais faudrait qu’il en ait une très
grosse et ça, j’en sais rien, j’ai pas été voir (elle
pouffe). Mais en vrai, je sais pas, ça dépendrait de
ce que toi, tu voudrais que je fasse si jamais il
essayait. »
Max : « Bah, je sais pas quoi te dire, c’est à la fois
excitant d’imaginer des trucs mais de les voir en
vrai et puis je me dis que faut pas que tu fasses ça
que pour moi, faudrait que tu en aies envie
aussi. »
Valérie : « Moi, ça m’excite de te savoir excité…
dit-elle l’œil coquin… et de t’imaginer te branler
devant moi en mode cochonne, bah, j’avoue que
je sais pas si je me laisserais pas faire… Même
avec lui, si il me provoquait et en plus, si il est
aussi bien bâti en haut qu’en bas… je dis pas
que… »
Max : « Bah, tu dis ça et tu vas aller là-bas, me
laissant tout seul avec des fantasmes plein la
tête. »
Valérie, passant la main sur la bosse de son jean :
« Dis-moi ? Ça te plairait que je le provoque une
peu ? Pour voir, toi tu mattes à travers la porte de
la salle de bain via le miroir. Il donne direct sur le
salon et sans qu’il puisse te voir… On essaie juste
pour voir de le provoquer un tout petit peu… Je
calmerai le jeu si il va trop loin. Ou si tu es pas
d’accord, au pire, tu m’appelles pour prétexter un
truc et on arrête… »
Tout en disant cela, l’érection de Max se fait plus
palpitante sous les doigts de Valérie qui s’en
aperçoit et semble excitée de jouer à ce jeu de
séduction. Elle sourit malicieusement.
Max : « Allez chiche… Vas-y, t’as mon feu vert
mais tu comptes faire comment ? »
Valérie : « Attends… Elle se dirige vers la penderie
et enlève son vieux chandail. Elle est seins nus en
dessous, sa jolie poitrine de 85C avec des tétons
roses assez proéminents et pointus, dû sans doute
à la situation. Elle enfile une chemise blanche bien
décolletée. Mais pas transparente non plus.
Néanmoins, elle permet d’en montrer un peu plus
à Julien qui doit se douter de rien. Mais cette
tenue lui donne un côté sexy et plus érotique tout
en restant sage, mettant son cou et sa poitrine en
valeur, néanmoins…
Elle se tourne vers Max et lui dit : « Ça va comme
ça, c’est plus chaud non ? » Elle rigole et se
rapproche de Max sensuellement et lui dit :
« Alors, t’es sûr de vouloir laisser ta chérie se faire
draguer par un autre mec, ce soir? »
Moi, taquin : « Je sais pas qui va draguer l’autre
du coup ? »
Elle pouffe. Puis elle dit en faisant la fille sexy :
« Oui, mais avoue que ça te plait, non ? »
Max : « Je te mentirai si je te disais non… »
Valérie : « Alors… j’y vais ? »
Max, fébrile : « Bah, oui, va falloir, mais votre
travail ? Ça va pas bloquer le truc ? »
Valérie : « Ho, ça… C’est quasiment bouclé…
Mais y’a d’autres dossiers à étudier, dit-elle d’un
air mystérieux. »
Max : « Ah, lequel ? »
Valérie : « Va t’il vouloir une fille comme moi ? Va
t’il tenter quelque chose, sachant que tu es à coté?
Si oui, est-il à la hauteur de ton fantasme?
Et vais je oser le faire si jamais ça marche ?
Et enfin, vas￾tu aimer ça vraiment ? »
Max : « Et oui, grandes questions… Y’en a une où
je peux te répondre. »Valérie : « Laquelle ? »
Max : « La dernière et c’est un grand OUI. »
Valérie : « Moi, je peux te dire que j’ai la réponse à
une aussi. »
Max : « Laquelle ? »
Valérie : « Vais-je oser si ça marche ? »
Max, très excité : « Et ?… »
Valérie : « Vue ton excitation… je pense que je
pourrais bien t’étonner… et je te dis (elle
s’approche de lui près de son oreille) Oui, je le
ferai. »
Max, la provoquant : « Alors, le fais pas attendre
plus longtemps… »
Valérie, se redressant : « Si ça se trouve, y’aura
rien, on fantasme plus qu’autre chose… »
Max : « Tiens ? Tu as dit « on fantasme »… Tu t’es
trahie, ma vieille. Avoue que ça te fait envie
aussi. »
Valérie, souriant couinement : « Oui, j’avoue,
carrément. (Elle prend une inspiration, ajuste son
décolleté.) Allez, à tout à l’heure… Petit cochon
voyeur, amuse-toi bien… »
Et elle sort en souriant.