MAX et VALERIE acte 5 - histoire érotique

Acte V

Julien attrape son visage et le retourne vers lui…
Valérie se laisse aller et soupire fortement.
Il approche ses lèvres et l’embrasse goulument,
Valérie ouvre sa bouche et laisse entrer cette
langue gourmande qui explore à présent sa cavité
buccale, elle répond en lui rendant son baiser
passionné. Elle se retourne et se met à
califourchon sur lui et l’enserre de ses bras et
l’embrasse goulument, comme possédée par le
vice.
Valérie se sent très excitée et se laisse aller à
ses envies.
Elle prend même le dessus sur Julien
et, de ses mains, elle déboutonne son pantalon
puis fourre sa main dans son caleçon. Sous ses
doigts, elle sent que Julien ne lui a pas menti. Son
sexe est énorme, dur et épais comme un barreau
de chaise encore coincé dans son caleçon. Tout
en l’embrassant, elle sort la bête de son
sarcophage et le caresse avec ses deux mains…
Cette sensation de ce membre viril décuple son
excitation et tout en embrassant Julien à pleine
langue, elle masturbe ce sexe sans l’avoir encore
vu de ses yeux en face.

Julien n’est pas en reste, d’une main il caresse et
malaxe la poitrine de Valérie sous sa chemise et
de l’autre, il pétrit avec force ses fesses. Valérie
dans son excitation, se dit quelque chose de
curieux : « si Max n’intervient pas, je vais me
laisser baiser à fond devant lui et pas qu’une
fois. »
Pendant les quelques minutes suivantes,
Max ne bougera pas, il regarde sa chérie se lâcher
avec Julien sans réagir autrement qu’en se
masturbant, il semble tétanisé devant le spectacle
du miroir et il en rate pas une miette. D’elle-même,
Valérie enlève sa chemise et se retrouve poitrine
nue devant lui.
Julien qui jette sa bouche et son dévolu sur ses seins, suçant, léchant, pinçant avec
ses lèvres et sa langue les deux mamelons érigés.
Valérie gémit contre toute attente et soupire…
Julien lui susurre a l’oreille : « Je sais que ton mec
nous matte depuis la salle de bain, on fait quoi ? »
et Valérie de répondre, excitée et dans un souffle :
« Je sais, oui…et depuis un moment déjà. »
Julien, souriant et passionné : « Je le savais.
Alors, j’avais raison ? »
Valérie, dans un souffle : « Oui. J’étais pas sûre
qu’il laisse faire jusqu’au bout mais là… Donc je
crois que tu as carte blanche, « grand séducteur. »
Julien : « Vous aviez prévu ça ? Depuis
longtemps ? »
Valérie : « Plus ou moins. Ça t’embête ? »
Julien : « Non, au contraire, j’adore l’idée… »

Valérie se lève et enlève son jean et sa culotte qui
est déjà très humide, elle fait tomber ses dernières
barrières et comprend qu’elle peut laisser libre
cours à ses envies et comme elle sait que Max la
laissera faire sans aucun regret, elle se dit qu’elle
va en profiter. Julien se met nu rapidement et
s’assoit sur le clic-clac la bite dressée fière et
immense à la main. Valérie, nue, la voit enfin et
semble mêlée entre excitation et surprise, elle fixe
comme hypnotisée le mandrin de Julien…
Elle reste devant Julien debout, nue, sexe épilé et les
mains se caressant les seins naturellement.
Ils se matent et s’excitent mutuellement.
Valérie descend une main sur son sexe et caresse son clitoris
et de l’autre, titille la pointe de son sein gauche, elle
dévisage d’un air obscène son amant du soir.

Julien, lui, caresse son sexe, énorme et luisant.
Valérie se retourne et se penche en cambrant ses
reins, offrant son cul à la vue de Julien tout en
continuant à se caresser le sexe et en enfonçant
un ou deux doigts dans sa chatte luisante d’excitation.
Le visage tourné vers la salle de bain,
elle dit à haute voix : « Bébé ? Si tu m’entends…
Si tu veux en profiter, tu peux venir… Je suis
prête, j’ai très envie que tu me voies et que tu me
dises si je peux ou pas me faire baiser… »

Max, le cœur battant, se lève et sans dire un mot,
sort de la salle de bain le sexe dressé, fébrile, et
va s’assoir dans un des fauteuils face aux amants
qui le regardent s’installer tout en continuant à se
caresser. Il fait un signe approbateur à Julien et
Valérie réitère sa question.

Valérie : « Bébé, je peux ? Tu veux bien ? »
Max : « Oui, vas-y. Julien, donne lui du plaisir. »
Julien : « C’est un chouette cadeau que vous
m’offrez, les amoureux. »

Julien se redresse du canapé et caresse les
fesses tendues de Valérie, celle-ci se cambre et se
met carrément à quatre pattes. Julien se glisse
sous elle, mettant sa tête et sa langue sur son
sexe et commence à lécher son vagin trempé,
enfouissant sa langue dans son repère chaud et
mordillant son clitoris. Valérie gémit fort et ondule
de plaisir, ne boudant pas sur la crispation de ses
reins sous la langue gourmande de Julien.
Tout en se faisant lécher, elle se caresse le clitoris,
sentant ses doigts se mélanger avec la langue agile de
Julien.
Valérie se donne et se cambre à fond et
feule sa jouissance dans un spasme ultime, sa
respiration haletante se fige, tandis que Julien
aspire et lape la cyprine dégoulinante jusqu’à la
dernière goutte.
Valérie se retourne vers Julien,
son visage est luisant de sa jouissance.
Elle s’approche de lui et l’embrasse goulument en
attrapant son sexe avec ses deux mains.
Jetant un regard vers Max qui semble hypnotisé, Valérie se
penche sur le braquemard tendu de Julien et, tout
en regardant son amoureux, commence à lécher
le gland rougi et protubérant de Julien.
Celui-ci soupire d’aise lorsque Valérie enfourne sa bite
dans sa bouche chaude, Valérie comprend et
assume son désir de sexe devant son homme. Sa
langue tournoyant sur le gland sensible de Julien,
elle sait que, ce faisant, elle excite Max.

Julien dans un souffle lui parle : « Humm trop
bien… Suce-moi bien à fond… Te prive pas… Tu
aimes sucer ? Et tu aimes jouer à la coquine
devant ton homme ? Ça se sent. »

Valérie acquiesce avec un son qui mélange un
gargouillement et un soupir… Elle parvient à dire :
« C’est trop excitant » dans un souffle.
Julien continue : « Prends ma queue le plus loin
que tu peux dans ta bouche… »

Valérie se positionne et enfonce sa bite dans sa
gorge quelques secondes, Julien appuyant sur sa
tête, il fait quelques allers et retours rapides, puis,
dans un bruit d’étouffement, Valérie régurgite
l’énorme sexe entre salive et glaire. Après avoir
repris son souffle, elle recommence encore, sa
gorge semble se déformer,
Max voit le chibre de Julien s’engouffrer dans sa bouche.
Valérie, courageuse, se laisse complètement baiser la
bouche par cet énorme bite encore plusieurs
fois…
Puis Max se redresse et dit en prenant sa
tête dans ses mains : « On passe aux choses
sérieuses ? »
Et Valérie de reprendre haletante : « Même pas peur… »

Julien sourit, prend Valérie et l’allonge sur le dos
sur le canapé, il lui écarte les jambes en remontant
ses genoux et place son sexe sur son ventre,
Valérie caresse le sexe bandé, immense.
Celui-ci est si long qu’il dépasse presque le nombril de
Valérie.
Puis, d’elle-même, elle lui dit : « Vas-y, viens. »
Julien enfile un préservatif puis, une fois
enfilé, sort un tube de gel lubrifiant de sa poche de
jean et en enduit son sexe et celui de Valérie avec.

Puis il place son gland à l’entrée de son vagin en
le frottant sur sa vulve et son clitoris trempé de
désir.
Max n’en perd pas une miette et s’approche de sa
dulcinée étendue sur le clic-clac, il se positionne
derrière sa tête et lui caresse les épaules puis les
seins.

Valérie tend les bras vers lui en arrière et attrape
son visage, lui faisant comprendre qu’elle voulait
qu’il l’embrasse.

Max lui donne ses lèvres et ils s’embrassent
passionnément, la bouche de Valérie a un gout
salé de sueur et d’excitation, elle joue avec sa
langue.

Pendant ce temps, Julien commence à s’introduire
doucement dans le sexe de Valérie.

Celle-ci émet dans un souffle une espèce de cri
étouffé. La grosseur du sexe de Julien étire les
parois d’un vagin non habitué à ce type de
traitement. Valérie émet un « Houuu,  la vache, je
la sens énorme. » à Max qui lève la tête et observe
Julien qui, tenant sa bite d’une main ferme, pousse
dans la chatte de Valérie et s’enfonce tout
doucement.

Max voit même le mont de vénus de Valérie se
déformer légèrement lorsque celui-ci arrive à
s’enfoncer de quelques centimètres dans son
sexe.

Valérie gémit d’un « Haannn » sonore. Julien
demande alors à Max d’une voix étouffée
« Tiens lui les jambes, s’il te plait » sans réagir et
machinalement, Max attrape les mollets de sa
fiancée et lui maintient les jambes en l’air et
suffisamment écartées pendant que Julien de sa
main libre, caresse avec le pouce le clitoris
décapuchonné et humide, il s’enfonce centimètre
par centimètre en faisant des allers et retours en
elle. Valérie gémît entre plaisir et surprise de sentir
un si gros sexe en elle.

Les caresses vaginales de Julien lui donnent beaucoup de plaisir
et elle se sent très excitée.
Déjà 15 bons centimètres en elle et Julien
commence à présent à la limer plus fort et, à
chaque fois, il semble pousser son sexe en elle de
plus en plus loin… Les mains agrippées au cou de
Max, elle tressaille à chaque pénétration de Julien
en lâchant des petits cris étouffés.
Max lui demande doucement : « Ça va ? Tu aimes
ça ? »
Valérie entre deux souffles lui répond : « Oui, mais
c’est très fort et intense, je le sens qui me remplit,
hoooo, c’est chaud et puissant et… hou… j’ai
l’impression qu’il me tape au fond du vagin à
chaque fois… Max, il en a vraiment une énorme tu
sais… »
Max : « Je confirme, oui, elle est grosse et quand il
est en toi, je la vois presque à travers ton ventre
qui ondule, c’est impressionnant. Ça va, tu
supportes ? »
Valérie, dans un souffle : « Oui, de mieux en
mieux, je crois. »
Julien, lui, ne parle pas. Il se concentre à sa
besogne et s’enfonce encore plus à chaque
pénétration. Valérie encaisse à chaque fois un peu
plus le « chibre » de son partenaire.

Chaque fois Valérie émet un petit cri sec et
sonore. Au bout de quelques minutes de ce
traitement, Max est surpris de voir qu’à présent,
Julien défonce littéralement sa copine qui semble
en transe, la bouche ouverte et les yeux hagards,
Valérie prend le « marteau pilon » de Julien jusqu’à
son maximum.
Les testicules de son amant claquent à présent sur ses fesses,
les jambes en l’air et son vagin dilaté font que le corps de Valérie
n’est plus qu’un réceptacle à la débauche de
stupre qu’offre cet accouplement.
Max est tétanisé de voir cela, son sexe raide proche du visage de
Valérie, cogne sur son front.

Chose incroyable, malgré les assauts de Julien qui
la secoue fortement, elle cherche de sa bouche
ouverte à gober le sexe de son chéri. Dans une
légère contorsion, elle arrive à avaler la bite de
son homme et suit le mouvement de va-et-vient
avec sa bouche, le rythme que lui impose l’action
énergique de Julien.

Valérie commence alors à gémir en rythme, son
sexe ruisselant mouille abondamment la bite de
Julien qui, à présent, entre et sort à fond de sa
chatte.

Gobant tant bien que mal le sexe de Max, on
l’entend limite hurler son plaisir, légèrement
étouffée par sa fellation.

Valérie profite d’un mouvement pour arrêter de
sucer Max, puis dans un regard de folie, s’adresse
à Julien d’une voix rauque que Max ne lui
connaissait pas : « Vas-y, baise moi fort, défonce
moi, baise moi encore avec ta grosse bite. »
Puis à Max : « T’as vu, mon Bébé… Je me fais prendre
comme tu l’as toujours voulu, devant toi… »
Max : « Oui, vas-y, prends ton pied, Bébé, tu
m’excites comme ça… »
Valérie, le souffle court, lui répond : « il va me faire
jouir, tu sais. »

À peine ces mots prononcés que Valérie explose
en cambrant son corps et semble se tétaniser. Elle
crie: « Je vais jouir, oh… punaiiiise… »

En effet, le vagin de Valérie inonde à la fois le
sexe de Julien qui se fige au fond d’elle et Max voit
la mouille de sa chérie couler sur le clic clac et sur
les couilles de son amant. Elle crie de plaisir puis
se cambre d’un coup en criant : « Ah ouiiiiiii, je
jouiiis, c’est trop bon, putaiiin » puis elle retombe
en haletant fortement comme si elle était prise de
petits spasmes à chaque respiration.

Julien toujours en elle ne bouge plus… Valérie
ouvre les yeux fiévreusement et regarde Max qui
la toise avec un sourire vainqueur…
Julien essoufflé s’adresse alors à elle : « Alors ?
T’en penses quoi ? »

Valérie, reprenant sa respiration : « C’est terrible,
c’est une sensation bizarre. (Elle s’adresse à Max
d’un air coupable.) Désolé, Bébé, mais j’ai jamais
connu ça… »

Julien, souriant : « Tu veux que j’arrête ? »
Valérie, regardant Max d’un air interrogateur :
« C’est comme tu veux ? Moi, ça va… »
Max lui dit en la rassurant : « C’est comme tu en
as envie… Moi j’aime te regarder et t’entendre
prendre du plaisir. »

Valérie regarde à nouveau Julien en rigolant : « Et
toi, tu en veux encore ? »
Julien sortant sa bite d’un coup du vagin de Valérie
dans un « plop », tenant sa bite à la main la
regarde et lui dit : « Je sais pas, qu’est-ce que tu
en penses ? »

Le sexe de Julien est luisant de mouille mais droit
comme un « i » et palpitant de désir dans son
fourreau de plastique taille XXL.

Il se branle doucement d’un air de dire « encore ».
Il rétorque : « Si tu te sens capable de tenir la
corde, ça peut durer un bon moment. »