Max et Valérie Acte 7 - histoire érotique

Acte VII


Plusieurs minutes passent dans un silence bestial.
Julien, avachi sur le lit, semble anesthésié,
endormi. Max, assis dans son siège, lui, est pensif
de toutes ces émotions.
Le bruit de la douche dans la salle de bain semble
être le seul lien avec la réalité.
Max revient doucement à ce qui s’est passé, il
réfléchit, pense, il réalise qu’il a vécu un fantasme
incroyable et que l’amour de sa vie le lui a offert
sur un plateau en peu de temps, entre le moment
de la découverte de sa sexualité et de son
fantasme et la réalisation de celui-ci.
Ce qui le trouble, c’est la facilité avec laquelle
Valérie s’y soit pliée. Il se lève et la rejoint dans la
salle de bain, au moment même où elle sort de la
douche et s’essuie avec une serviette. Valérie le
voit et le regarde avec un sourire mêlé de
satisfaction, de tendresse et d’étonnement.
Valérie, doucement, lui caressant la joue : « Ça va,
toi ? »
Max : « Oui, on va dire ça, je vais bien, et toi ? »
Valérie : « Ça va. (Elle sourit.) Mais j’en reviens
pas de ce que je viens de faire devant toi. Et
surtout, jusqu’où je suis allée avec lui. »
Max : « Moi aussi. »
Valérie : « J’avais l’impression de n’être plus moi￾même… »
Max : « Moi pareil, en fait j’avais l’impression de
voir quelqu’un d’autre par moment, tellement je ne
m’y attendais pas et comment tu as réagi
sexuellement avec lui, je t’avais jamais vu comme
ça. »
Valérie, inquiète : « Ah ? Je dois le prendre
comment ? Bien ? Pas bien ? »
Max : « Non non, t’inquiète pas, je peux pas t’en
vouloir, tu sais, c’est moi qui t’es laissée, voire
même poussée à le faire, c’est pas ça qui me
questionne… »
Valérie, attentive à ce que Max lui dit : « Et c’est
quoi, alors ? »
Max : « On aurait dit que tu en avais envie comme
si tu l’avais déjà fait ou comme si tu étais déjà
habituée à le faire, comme si tu l’avais toujours
voulu. »
Valérie, pensive : « Oui, je me suis dit la même
chose, et même si je t’assure que c’est la première
fois, c’était comme si mon corps et mes émotions
le réclamaient ou l’avaient toujours souhaité en
fait, et très honnêtement, je pensais pas que j’en
aurais autant envie. »
Max : « Ça m’a fait bizarre, tu sais, autant que ça
m’a excité, j’avais l’impression que c’était comme
dans mon rêve de l’autre jour, c’était troublant de
le voir en vrai. »
Valérie : « Oui, je te comprends, et moi, plus c’était
osé, hard, plus j’en avais envie, j’ai du mal à
réaliser cette espèce de nymphomanie latente en
moi, et j’ai peur que tu te détaches de moi après
ça, que tu penses que je suis « une dingue du
cul », que j’aimerais te faire cocu à longueur de
temps. »
Max : « Bah, ça m’excite autant que j’ai peur de la
même chose, dans le sens où j’ai peur que tu
veuilles plus de moi, que je te suffise pas car je
suis pas aussi performant que les mecs comme
Julien. »
Valérie : « Bah non, j’ai toujours autant envie de toi
et mes sentiments pour toi dépassent largement
mon côté « perverse », je pense… J’ai plus besoin
de ton amour que de ce genre de plans, le seul
truc que je me dis c’est que j’ai réussi quelque
chose que je pensais pas être capable de faire
mais que, au fond, sans oser le dire, je
fantasmais. »
Max : « Tu penses que c’était juste qu’un fantasme
d’une fois pour toi ? »
Valérie : « Si c’est ton souhait, oui, bien sûr. »
Max : « Et sinon ? »
Valérie : « Sinon quoi ? »
Max : « Bah, si jamais je te disais on stoppe tout,
tu serais pas frustrée ? »
Valérie : « Bah, je vais pas te mentir, j’ai adoré ça,
mais si tu ne voulais plus qu’on le fasse, même si
ça devait me « frustrer » comme tu dis, je préfère
ne rien faire et me contenter de toi, plutôt que tu
me quittes. »
Max, ému : « Ça me touche ça, Bébé. »
Valérie : « Je t’aime, Max, n’en doute jamais… et
quelles que soient tes décisions, je ne te trahirai
jamais. »
Max : « Oui, j’ai compris. »
Le couple s’enlace tendrement, quelques minutes
passent, un silence règne dans l’appartement.
Quand Valérie réagit et dit : « Il est toujours là? »
Max : « Heu oui, je crois, on va voir ? »
Valérie : « Si il est encore là, on lui dit quoi ? »
Max : « Bah rien, on va pas lui dire qu’on regrette,
c’était pas le cas non ? »
Valérie, sourire en coin : « Bah non… »
Max, provocant : « Bah, dis donc, on dirait que t’es
pas rassasiée ? »
Valérie, répondant à la provocation : « Ah ça, ça
dépend de toi, ça… »
Max : « Donc… si je t’autorisais à… »
Valérie, souriante et mutine : « Bah et toi, t’aurais
encore envie que je le fasse ? »
Max, souriant : « Autant que toi, je pense. »
Valérie, avec un sourire énigmatique : « On verra
bien. »
Valérie enfile un peignoir, Max se rafraîchit, puis ils
sortent de la salle de bain.
Arrivés dans la chambre, ils s’aperçoivent, hilares,
que Julien s’est endormi dans la même position
que lorsque Max avait rejoint Valérie dans la salle
de bain.
Julien nu, sur le dos en travers du lit, exhibant ses
généreux attributs, semble dans les bras de
Morphée.
Max et Valérie, souriant avec humour, décident
d’aller à la cuisine se servir un encas, la nuit
avancée et leurs aventures sexuelles les ayant
affamés, ils décident de laisser Julien se reposer
un peu.
Arrivés dans la cuisine, Valérie dit
sarcastiquement : « Bah, tant pis hein, j’ai dû trop
le crever ». Ils pouffent tous les deux. Max dit :
« Sérieux ?… Après ce qu’il t’a mis, tu en voulais
encore ? »
Valérie, souriant de manière coquine : « T’as l’air
d’en douter ? Et toi, tu m’aurais laissée faire ? »
Max, un temps, regardant avec envie : « Je suis
tellement curieux de voir de quoi et jusqu’où tu
veux aller que, franchement… oui carrément… ça
me plairait beaucoup… »
Valérie : « Bah, si tu veux qu’on continue
l’expérience, je vais pas dire non… Je te mentirais
si je te disais que tous ces délires ne m’excitent
pas. Mais il faut que tu sois d’accord et que ce soit
des « trips » en accord tous les deux. Si, un jour, tu
veux pas que je fasse des trucs, dis le moi ou
même si tu veux que je fasse des trucs qui
t’exciteraient, alors je crois que rien ne me ferait
peur si tu es avec moi et que tu approuves. Et si je
devais ou tu devais t’égarer sentimentalement et
que tu as des doutes sur quoi que ce soit, il faut
qu‘on arrête tout… »
Max : « Je suis d’accord… On est un de ces
couples « libertins », alors ? »
Valérie : « On a qu’à essayer, non ? Ça te
déplairait pas, je pense ? »
Max, cynique et souriant : « Apparemment, toi non
plus ? »
Valérie, mutine et en regardant droit dans les yeux
son homme : « Exactement. » Avec aplomb.
Ils pouffent tous les deux, et tout en dévorant leurs
encas, Valérie, tout sourire et en mangeant, dit :
« Franchement, t’as vu la taille de sa bite ?… Je
pensais pas que c’était possible… »
Max : « C’est clair, je me sens « schtroumpf » à
côté de lui… (Valérie rigole). Sérieux, t’as ressenti
quoi quand il te baisait ? »
Valérie : « C’est un truc de dingue, une sensation
d’être remplie, et c’était terriblement excitant, je le
sentais au maximum au fond de moi. Au début
j’avais peur d’avoir mal, mais j’étais trop excitée, je
mouillais comme une folle, et ça rentrait tout seul,
je pense que le fait que tu sois là, il y avait un côté
« pervers » qui était très torride, savoir que tu te
branlais en me regardant, j’étais devenue
complètement « nympho » quoi… Rien que d’y
repenser, ça m’excite en fait. »
Max, devenant rouge : « Ouais, j’avoue moi aussi.
Y’a un côté « cochonne nymphomane » chez toi
qui me fait bander… Rien que de penser à tout ça,
ça recommence. (Elle sourit)… Et c’est pire que de
regarder un film de cul… Tu pourrais faire
« encore plus, encore dans le sexe » que j’en
aurais encore plus envie… »
Valérie, curieuse: « Tu penses à quoi en disant
ça ? »
Max, souriant de façon énigmatique: «  A plein de
trucs cochons… »
Valérie souriante et répondant sa provocation : « 
Méfie-toi, Bébé… tu vas me provoquer et je suis
joueuse, t’as vu? »
Max, entreprenant : « Alors ? Tu veux jouer ? »
Valérie : « Vas-y, commande un truc, tu verras… »
Max se lève, sort son sexe qui semble avoir repris
de la vigueur: « Bah, commence par me sucer et je
vais te dire ce que j’aimerais et si jamais ça te
choque, t’as qu’à enlever mon sexe de ta
bouche… sinon tu continues… jusqu’au bout
comme tout à l’heure… »
Valérie, souriante : « Pfff trop facile… ça
m’étonnerait que j’arrête alors. »
Elle prend le sexe de Max et commence à lui
prodiguer une fellation langoureuse.
Max : « hummm, vas-y Bébé ta langue et ta
bouche sur mon sexe, c’est trop bon. » Il
poursuit : « Alors peut-être qu’un jour, j’aimerais te
voir te faire prendre analement… ?  » Valérie, tout
en suçant, sourit et avale le sexe plus
intensément.  Max comprend que c’est également
quelque chose d’envisageable… Il
continue : « Peut-être qu’un jour j’aimerais te voir
avec une autre fille?… » Valérie continue à
prendre sa bite et accélère le mouvement. Max
semble intarissable: « Peut-être qu’un jour, on
pourrait aller dans un club baiser avec d’autres
couples… » Valérie semble aussi excitée que lui
car, ce faisant, Max voit sa main se glisser sous
son peignoir, il devine que Valérie se caresse. Il
poursuit « Et peut-être qu’un jour je te verrai
comme une fille qui, dans des films X, baise avec
plein de mecs, (Valérie gémit) te voir te faire
prendre dans tous les trous.  » Valérie halète et
d’une main, branle sa chatte, de l’autre branle la
bite de son homme en le suçant et le regardant
droit dans les yeux.
Max se sent prêt à jouir, il poursuit difficilement :
« Te voir pleine de sperme dans ton cul, ta chatte,
ta bouche… » Valérie semble prendre son pied car
elle gémit plus fort, elle arrête de le sucer et se
jetant sur lui, le force à s’allonger sur le sol de la
cuisine, elle l’enfourche et place, sans cesser de le
regarder dans les yeux, son sexe dans sa chatte
et commence à le chevaucher de manière
frénétique, d’une manière crue et autoritaire et dis
à Max : « Continue, tu m’excites dans tout ce que
tu m’as dit… »
Max soumis continue de lui proposer des choses
sexuelles hard : « Humm, Bébé, je te veux chienne
lubrique, te faire baiser pour mon plaisir avec des
mecs avec des bites énormes. » Valérie se
cambre de plaisir, elle caresse un de ses seins
d’une main, et son autre disparait derrière elle.
Max devine qu’elle se doigte le cul en même
temps. Il poursuit essayant de ne pas jouir trop
afin de profiter de cet instant unique : « Te voir
séduire des couples, faire cocu un mari, le baiser
devant sa femme. »
Valérie excitée se met aussi à jouer avec les
fantasmes de son homme : « Humm, oui, plein de
bites de blacks, par exemple… Et toi aussi, tu me
dirais ce que je dois faire et je t’obéirai… Je
boufferai des queues… »
Puis elle regarde Max et dans un regard fou et
lubrique, elle lui dit : « Tes fantasmes m’excitent,
Bébé et tu sais moi, ça m’exciterait aussi de
commander et te diriger aussi ou une autre fille qui
se ferait baiser sous mes ordres, et même te la
donner, d’en faire « une chienne » comme moi…
hummm, ça me rend folle, ça m’excite tout ça… »
Valérie accélère les mouvements du bassin et Max
dans un râle jouit puissamment en elle, une
seconde plus tard, il sent que Valérie jouit
également et sent l’éjaculation de sa copine mêlée
à la sienne envahir chaudement son sexe encore
profondément ancré dans le sien… Ils râlent de
concert, Valérie s’écroule sur son homme en
haletant. Tous les deux sont au sol, encastrés l’un
dans l’autre, reprenant leur souffle.
Valérie dans un souffle et en rigolant, blottie dans
les bras de son homme, lui dit à l’oreille : « On est
des vrais cochons. »
Max tourne la tête, il fait signe à Valérie d’en faire
autant et tous les deux encore dans leur position
amoureuse, voient Julien nu debout dans
l’ouverture de la porte de la cuisine, qui les
regarde en souriant et en se masturbant.