MAX et VALERIE acte 8 fin de la premiere partie - histoire érotique

Acte VIII

Sans dire un mot, Valérie sourit à Julien, elle se
redresse toujours assise sur Max qui semble
perdu entre deux feux.
Julien imperturbable continue de la toiser en se
caressant.
Julien : « Bah, dis donc, z’êtes des chauds tous
les deux, et toi Valérie, tu es vraiment
incroyablement excitante.
Valérie toujours amusée : « On croyait que tu
dormais, on voulait pas te déranger. »
Julien : « C’était juste un petit somme réparateur,
mais ça fait un bon moment que je vous regarde
discrètement et franchement, ce que j’ai entendu
était des plus adorablement « pervers et coquin ».
Valérie : « En tout cas, ça a l’air de te plaire. »
Valérie se retourne vers Max et d’un air
faussement désolé, elle lui dit : « Je peux pas le
laisser comme ça, non ? »
Max pouffe de rire : « Tu te sens encore
capable ? »
Valérie, directe : « Bah, oui (en regardant Julien)
carrément… (À Max)… Si tu veux bien ? »
Max les regarde l’un après l’autre, Valérie semble
encore excitée et Julien aussi. Il dit dans un souffle
: « Allez, si tu en as envie, fais toi plaisir, mon
amour. »
Valérie se levant, dégoulinante des jouissances du
couple, dit : « Je vais vite fait me rafraîchir car je
suis trempée. »
Julien : « Ça serait dommage, reste comme ça. » Il
s’approche d’elle, la soulève sans ménagement, la
retourne et l’allonge sur le ventre sur la table de la
cuisine, il lui écarte les jambes et en pose une sur
la table. Valérie souriante se laisse faire, les
cuisses écartées, son vagin luisant. Julien se
positionne derrière elle et la saisit par la taille et
sans ménagement, glisse son sexe en elle d’un
coup. Valérie émet un cri sec et Julien se met à la
besogner avec force.
À nouveau Max qui s’est redressé et se tient
debout à côté d’eux, voit Julien écarteler Valérie
virilement. Valérie la tête dans les assiettes de la
table, subit les assauts du « mandrin » de Julien.
Elle cherche des yeux Max et lui tend la main, il la
prend et la tient, il ressent à présent toutes les
vibrations des coups de boutoirs de l’amant à
travers la main de sa chérie, qui elle, halète et crie
son plaisir.
Valérie : « Hooo Bébé, il me baise trop bien, lui
aussi sa bite me remplit ma petite chatte, c’est trop
bon, c’est fort, j’aime ça… »
Julien, tout en besognant Valérie : « Alors Max?
Ça te fait quoi de voir que ta petite copine est une
vraie cochonne qui en redemande ? »
Max, jouant le jeu et commençant à s’assumer :
« Je crois que j’ai de la chance d’avoir une femme
comme elle, plus elle est « salope », plus elle
m’excite, j’aime l’entendre prendre son pied, c’est
le top. »
Julien se penchant de tout son corps sur Valérie,
retourne son visage et devant Max, de manière
suggestive, attrape sa bouche et y enfourne sa
langue. Valérie complètement soumise, accepte ce
baiser torride. Tout en faisant cela, il pénètre en
force le sexe de Valérie qui geint de manière
sonore.
Valérie en « transe », devient de plus en pluslubrique,
elle attrape la queue de son amant, elle
le sort de son antre, se retourne face à lui et
s’assoit sur la table en écartant outrageusement
ses jambes et son sexe, elle lui fait comprendre
qu’elle veut qu’il la baise face à elle de la même
manière.
Julien l’agrippe et la pénètre sauvagement en la
faisant crier de plaisir. Valérie couine, gémit, crie
son plaisir, et n’arrête pas de provoquer son amant
en lui disant : « Plus fort, vas-y, baise moi… oui,
encore. » Le sexe de Julien tape littéralement sur
celui de Valérie qui enfourne sans difficulté les 23
cm en érection.
À un moment, Julien étant beaucoup plus grand
qu’elle, l’attrape dans ses bras et la baise en la
soulevant directement sur son sexe, ce qui donne
l’impression qu’elle est empalée dessus. Max se
délecte de la scène, il vit ses fantasmes tels qu’il
les avait rêvés. Valérie s’accrochant au cou de
Julien se laisse baiser avec plaisir. Julien, tout en
portant sa conquête, se dirige vers le salon et la
dépose sur le clic clac en se retirant sexuellement
d’elle…
Julien : « Mets-toi à quatre pattes, coquine, tu
seras plus à l’aise et mets-toi face à ton mec, je
veux qu’il voie ta tête. »
Valérie s’exécute et se cambre au maximum,
Julien la reprend vaginalement, mais prend un
rythme plus régulier et profond. Max se positionne
devant elle et lui prend les mains, Valérie les yeux
dans le vague se laisse faire.
Julien pendant ce temps-là, tout en la baisant,
commence à masser l’anus de sa partenaire avec
son pouce et l’insère dans de subtils va-et-vient.
Valérie a bien compris et détend son sphincter afin
de laisser ce corps étranger exciter son
fondement. Le pouce de Julien laisse sa place à
un puis deux puis trois doigts qui écartent, triturent
son cul, afin de la préparer à une sodomie qui
semble inévitable et puissante. Valérie regarde
avec excitation et anxiété son homme qui a
compris ce qui allait se passer. Valérie et lui ont
déjà pratiqué la sodomie, mais de toute évidence,
jamais avec un tel « braquemard », Valérie allait
déguster.
Julien, cesse son activité vaginale, ressort et se
positionne devant l’anneau rougi et dilaté prêt à en
découdre. Il place devant le couple son gland sur
la rondelle de la jeune fille et pousse lentement
ses 23 cm jaillissants.
Valérie plonge sa tête dans le dossier du canapé
et serre très fortement la main de Max. Elle crie un
« houuuu » entre douleur et excitation. Le gland
ainsi qu’une partie du sexe de Julien sont entrés
dans l’anus qui se détend et se déforme sous la
pression. À mi-chemin, il commence un lent va-et-vient,
Valérie expire fort et essaie de se contenir dans
ses cris.
Elle pleure, entre douleur et extase et râle de plus
en plus fort à chaque fois qu’il s’enfonce en elle.
Au bout de quelques minutes de ce traitement la
bite de Julien est intégralement enfoncée et ses
assauts de plus en plus rapides. Les
gémissements de douleur de Valérie laissent place
à des gémissements de plaisir.
Tandis que Julien la pénètre avec facilité à
présent, il alterne ses va-et-vient entre son vagin
et son anus…
Max voit avec étonnement les deux orifices de sa
copine complètements dilatés, béants, engouffrant
sans pudeur les attributs virils de Julien.
Valérie, en sueur, toute rouge, se laisse aller à son
plaisir et jouit deux fois d’affilée à quelques
minutes d’intervalles, elle commence à fatiguer et
ça se lit sur son visage du fait, certainement, de
tous les plaisirs de la nuit.
Tandis que Julien lui, inlassablement, continue de
la besogner de manière mécanique et endurante.
Il lui dit : «  Alors ça y est, tu fatigues ? Tu vas crier
« grâce », je le sens. »
Ces derniers mots provocateurs redonnent du
courage à Valérie qui d’elle-même reprend de la
vigueur et se redresse en jetant un regard en
arrière vers son amant et d’un air assuré, elle lui
lance : « Pas tant que tu n’auras pas joui. » Et elle
se re-cambre encore plus, lui tendant ses orifices
dans un acte final obscène… Julien la reprenant
puissamment dans son vagin, accélère alors sa
besogne et pilonne sa chatte dégoulinante. Elle
encaisse sans broncher… et continue de haleter
telle une sportive voulant gagner une épreuve
d’endurance.
Julien, au bout de quelques minutes, grogne et se
contracte puis on devine qu’il se lâche et déverse
sa semence au fond de sa partenaire qui, elle,
sourit et prend du plaisir à se sentir remplie. Elle
dit tout haut : « Ah, Bébé, il jouit en moiii, c’est
bon, putain, de sentir ça… » Julien sort du vagin,
sa bite se ramollissant doucement, un surplus de
sperme régurgitant abondamment sur les cuisses
de Valérie et dégoulinant sur le clic clac… Max,
dans cette vision, caresse le visage de Valérie qui
l’embrasse sensuelement… Puis, elle se retourne,
en fait de même avec son amant en lui disant :
« Merci, c’était bon.  »
Les amants se séparent en douceur. Chancelante,
Valérie se dirige vers la salle de bain sans un
regard pour les deux hommes, usée et fatiguée.
Après s’être désaltérés, douchés, salués, ils se
séparent afin de profiter d’un repos salvateur.
Dehors, à travers la fenêtre, l’aube pointe à
l’horizon, les trois protagonistes de ce fantasme
s’endorment, Julien seul dans le clic clac et les
deux amoureux dans leur lit.