Me faire abaisser, humilier, exécuter des ordres...

- Par l'auteur HDS chrisSex1 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Me faire abaisser, humilier, exécuter des ordres... Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Me faire abaisser, humilier, exécuter des ordres...
Même de me faire lors d'activités sexuelles, ausculter de partout, de tous mes orifices également, un fantasme souvent que je nourri de vivre en vrai, que par des femmes aimant sexuellement dominer, humilier un garçon, même vieux. Me voir être contraint par des femmes vicelardes sexuelles en plus, à exécuter des ordres très rabaissants qu'ils seraient pour moi, je ne sais en vrai si je cèderais à leurs envies sur moi, leurs désirs sexuellement de m'assujettire à leur désir de disposer de moi à volonté, jusqu'à devoir faire des choses dégoutantes, humiliantes à fond, des choses indescriptibles mais qui les exciteraient à bloc, les feraient bondir tellement que leurs orgasmes les saisiraient des plus fortement, qu'elles même ne se seraient douté que cela leur arriverait de vivre. Qui d'ailleurs, en voudraient encore subir. Ces femmes seraient des nymphos , pour qui le sexe vécu ainsi, avec des acts crades, même répugnants, des faits sexuels indescriptibles écœurants, qui leur feraient honte même de révéler faire, exercer sur un homme qu'elles exploiteraient qu'à des fins uniquement sexuels, dont elles en auraient envie comme elles auraient envie de drogue, par exemple. Cette drogue serait pour elle, donc, du sexe, que pour du sexe, rien d'autre, que pour envie de sexe uniquement. Ces femmes seraient comme malades sexuelles, des prédatrices affamées sexuelles, même, je dirais, boulimiques sexuelles, jamais rassasié, toujours envie de sexe. Bon, j'exagère bien sur le cas de figure, mes fantasmes, mais bon. Me penser ainsi, voir même, capturé par des femmes malades sexuelles, vraiment des pures obsédées sexuelles, des femmes qui me séquestreraient pour pouvoir m'exploiter sans limite, sans fin, durablement dans le temps, qui me déshabilleraient entièrement et me maintiendraient tout nu, qui me dresseraient à coups de fouet, trique, cravache et ceintures, aux fesses, cuisses, mollets, sur le ventre, en plus de quelques gifles et de très fortes fessées cuisantes et bien dégradantes tellement humiliantes, cela, que pour du sexe, s'assouvir de moi pour leur compte, leur nom de femmes dominantes, pour assoir sur moi, leur suprématie de femmes supérieurs sur moi, leur autorité ferme. Sexuellement, en tout, tous instants et lieux, je serais dépendant d'elles , livré, donné corps et âme, devant obéir à leurs ordres sans contester, grogner, me plaindre, ni râler, juste que lorsque je me ferais fesser, fouetter, cravacher, que je recevrais le martinet, la tric, frapper sur le ventre, par ces femmes à qui désormais j'appartiendrais comme esclave sexuel, comme domestique, chien et objet sexuel, comme jouet sexuel, pantin même. Je leur servir de sextoy, de crachoir, voir aussi, de tapis de masturbation où elles pourront se frotter sur moi, se masturber, me souiller d'elles, de leur féminité, m'engluer de leurs baves, en se soulageant même de leurs besoins naturels sur moi. Mais elles me mettraient une main sur les yeux, ou un bandeau, tout choses pour ne pas que je les voies faire, se soulager sur moi. Il y aurait qu'elles qui pourraient me voir faire mes besoins, me regarder faire devant elles, sur leurs ordres, et à leurs pieds, tout comme, et parce que leur chien. En plus, devrais me soulager, tout nu, bien ouvrir les cuisses pour me donner à leurs visions, que tout de moi, de mon intimité à me soulager de mes besoins, se voie, qu'elle puisses étudier me jets, et la sortie, et tomber mes excréments pour vouloir s'exciter de m'humilier, me rabaisser, même de me régresser, me traiter vraiment en vrai petit garçon, qui tour à tour, me tiendraient même le zizi pendant mes besoins naturels. En plus, elles me regarderaient faire, dans les yeux, comme si elles étaient mes mamans, m'avaient conçu et pondu, reçu de leur ventre, d'entre leurs cuisses. Elle me parleraient tout comme vraies mamans, en vers moi, devenu leur petit garçon, qui me mettraient sur le pot, vérifieraient si et quand j'aurais envie de faire mon pipi, mon caca ou les deux. Examineraient mon bas ventre en le tâtant, passant les mains, pour observer au niveau de ma vessie si pleine, ainsi qu'elles me feraient me retourner, me baisser en bombant bien les fesses, qu'elles m'écarteraient afin de voir si je suis plein là aussi. Si mon anus semble vouloir se dilater, s'ouvrir, si des flatulences se produisent et qui, si pas encore sure, finiraient par me doigter, me fouiller bien, et tout au fond dur rectum. Que si je me crispais faute de gêne, d'humiliation totale et profond, quitte que quitte, tant pis pour le dégueu, si vulgaire, au contraire, allé, on le fouille et lui sort tout nous même, on s'en fout de ses sentiments, s'il à honte, même s'il n'aime pas se faire traiter de la sorte que par des femmes, tout nu devant elles, dominé, contraint, rien que pour nous assouvir, que du sexe, on le doigt et lui retire nous même le caca. Il nous sert aussi pour engraisser, servir à faire ses boues, nous produire du purain pour lui exploiter tout ça. Voici là, un fantasme de sexe extrême, bien hard, vulgaire, à, la fois animal ou bestial, aussi, de sexe rabaissant par regression, car traité comme un petit garçon, infantilisé et subissant de force en plus, le maternage et la suprématie de femmes, qui me feraient encrer dans le cerveau, qu'elles auraient bien pu être mes mamans, m'avoir fabriqué de la tête aux pieds, zizi, fesses, anus, rectum compris, testicles aussi, m'avoir porté dans leur ventre ou utérus, et reçu, souillé de leurs sang, de leur liquide amniotiques dont d'elles j'aurais pu être englué. Je ne sais si un tel fantasme sexuel avec des femmes, des femmes en seraient intéressé, les exciteraient sexuellement, elles même que de fantasmer lors d'activités sexuelles, masturbation également. A savoir.

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