Me faire éxaminer, assister et fouiller pedant que....
Récit érotique écrit par chrisSex1 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Me faire éxaminer, assister et fouiller pedant que....
Mon histoire en zone rouge, comme dominé aussi, ayant été assisté entièrement nu, dévêtu intégralement par Françoise qui aimait fortement le sexe, toutes choses concernant la sexualité, plus encore, le sexe crade, les actes sexuels sales. Plus Françoise, le prénom de cette fille, plutôt une jeune femme allant vers la quarantaine, moi à l'époque, étant aussi dans cette tranche d'âge, à juste un an plus âgé qu'elle. Bref. Je me connaissais avoir aussi un penchant fort déjà pour le sexe, ai fantasmé souvent être dominé par contre, ou soumis à une femme, voir plusieurs même, mais bon. Je ne pensais pas lorsque je fantasmais en me masturbant, me voir être kidnappé pour commencer, par un groupe de femmes prédatrices sexuelles, ayant pour choix d'hommes, un homme par exemple, comme moi, sans grande valeur, sans ou peu d'études, de bas rang social, moindre physiquement, ni trop beau, ni trop moche. Asse bien qui puisse attirer des attentions de femmes obsédées sexuelles, qui puisse exciter de son physique, même si maigre, gros, piètrement fagoté, vêtu, de par sa façon de regarder, de gesticuler, marcher, de bouger en marchant, en courant, fonction si debout, accroupi, à genoux, penché, aussi si légèrement habillé fonction des saisons, du temps, ses aspects, formes, si des rondeurs, à niveau de ses entre jambes, si parties intimes quelque peu apparentes, ou repérables visuellement au travers d'un short, ou culotte courte, survêtement, en plus des élastiques du slip, caleçon, boxer, ajouté la raie inter fessière, la forme même des fesses qui attirerait direct, les regards de femmes obsédées sexuelles sur ce genre de garçon, de ce qu'elles devineraient de lui, son intimité physique, voir de sa sexualité. D'ailleurs, Françoise, ma relation amoureuse, mais surtout sexuelle, vu comment les choses entre nous ont tourné, son allé, un soir d'invitation à ce que je vienne chez elle, pas uniquement pour simplement manger , m'avait donc demandé de me présenter chez elle, très légèrement vêtu, juste d'un tee short sur le dos, des tennis légères aux pieds, sans coquettes, ou chaussettes, puis uniquement sur les fesses, soit un short, ou culotte courte, selon ce que je pouvais avoir, rien d'autre, pas de slip, aucune autre culotte. Elle voulait deviner les choses de moi, de tout mon corps, pouvoir deviner les formes de mes entre cuisses, pénis, testicules, si tout se ballotait entre mes jambes, si le zizi était flasque ou si je subissais des érections , si j'avais envie de sexe, peut importe, elle aimait me voir être en proie à ses regards sur moi, ses envies de sexe, ses désirs de réaliser ses fantasmes en vrai en plus. Fantasmes fous, qui l'excitait à fond de réaliser avec moi, sur moi, bien gênant pour moi, même si Françoise parvenait par ses envies sur moi, à fortement provoquer que je lui présente, lui donne de très fortes érections à ce que je me retrouve franchement bien échaudé, excité à bloque, et enfin, que la aussi je jouisse fortement, comme elle rêvait faire jouir un garçon, le masturber jusqu'à lui faire gicler à plusieurs fois d'affilé, son sperme, en étudiant mes comportements, comment je réagissais à ses regards, ses paroles, à sa façon de me traiter, de me dominer, de me faire céder à ses envies de sexe sur moi, à en prendre elle même plaisir, parfois même, quelque part, très vicieux. Elle étudiait constamment mes réaction, mes mouvements, même de la tête, mes regards, comment je réagissais sexuellement à ce qu'elle me gouverne à sa façon, que pour du sexe, fonction de ses exigences sexuelles, ses envies de moi à ce que je me donne entièrement à ses follies. Me voir succomber à elle, à consentir de la laisser me traiter comme elle voulait, autant de fois qu'elle le désirait, qu'elle choisisse des moments, des instants, jours, heures, des lieux, ou endroits, de toutes les positions, les conditions, même des supports, au sol, par terre, sur le lit, que je sois debout, accroupi, à genoux, sur le ventre ou le dos, la position des jambes, si me voulait être donné sous ses yeux, les cuisses grandes écartées, me mettre les mains aux fesses, cuisses, m'écarter elle même la raie pour vouloir étudier mon anus, l'ausculter, éxaminer si mon anus réagissait bien à ses attouchements, lorsque Françoise décidait de me doigter, pénétrant son doigt au plus loin que je pouvait le recevoir dans mon rectum, et qu'elle pouvait aussi me le pénétrer. Françoise me fouillait profondément, longuement, agitait son doigt en le tourant, aussi, en me buttant pour accentuer mon humiliation, mes gêne, ma honte, que faisait des vas et des viens, des accoups. Elle aimait m'humilier en me faisant bien savoir que j'avais plein de caca tout au fond, qu'elle voulait le voir faire devant elle, voir sortir de mon trou, voir et regarder mon anus se dilater, s'ouvrir, forcé par son doigt, et le caca qui commençait à se montrer, et à me souiller l'anus, la raie des fesses, les poils, en plus des pets, des couinements anales, des gargouillements et des clapotis provoqués pat son doigt, mes excréments en sortant, que Françoise elle même me descendait en m'ordonnant de pousser, en même temps qu'elle cherchait avec son doigt tout au fond de moi mon caca, le descendait et me l'extirpait entièrement de mon rectum. Elle insistait à me fouiller, à tout me sortir les excréments, jusqu'à me voir, me regarder tout bien me soulager, me vider devant elle, pour envie sexuelle de me dominer, décider de moi, de m'humilier, une façon à elle d'assoir sur moi, sa supériorité de femme, son autorité ferme et décidé. Elle aimait avoir cette posture, me maîtriser, de m'exploiter sexuellement à fond. J'étais à elle, sa propriété, son objet sexuel, son jouet, esclave de ses envies de sexe. Même si ces faits vécus, étaient que des jeux en fait, pour autant, bien réels, et j'avoue que même si gêné, abaissé, m'être ainsi vu être trait" de la sorte par Françoise, tant qu'elle aimait, en voulait de moi, tant que cela l'excitait à fond, la faisait bien jouir, et s'en régalait de moi, moi, j'en étais étrangement des plus excité que jamais avant elle, une fille ne m'avait fait jouir, qui m'avait autant excité, masturber et fait autant, avec force, éjaculer à ce point, gicler du sperme bien constant, gluant , onctueux que Françoise aimait me lécher, avaler, recevoir dans ses mains, sa bouche, sur sa langue, sperme qu'elle aimait étudier, sentir, me tripoter de ses doigts ou les sucer, fonction. Même si fou soit cette façon de se livrer à activités sexuelles, à masturbations constantes, elle aimait, et j'aimais aussi. Bestiale, animal, serte, avec beaucoup de vulgarité de mots, de regards, de gestes, de positions, mais elle et moi, aimions ça. Françoise me maintenait tout le temps, nu toute une journée, tout un weekend même, tout nu, excité à fond, et sale. Me donnait des fessées, me punissait. Aussi, ne voulait jamais, que je décide des choses moi même, ni de me toucher le zizi, les fesses, les cuisses, que je décide moi même de me masturber, même de faire mes besoins naturels. Je devais lui faire connaitre mes envies de faire mes besoins, de mentionner de quoi j'avais envie de faire, et que je me présente à elle pour me faire déculotter, examiner au bas ventre, l'anus, si dilaté, s'il tendait à s'ouvrir, qui me fouillait d'un doigt pour voir où en était mon caca. Puis, soit me déculottait simplement, me baissait les culottes jusqu'aux chevilles, ou totalement, m'ordonnant de me laisser faire, de soulever mes vêtements de corps pendant qu'elle me doigtait après m'avoir d'ailleurs tapper sur les fesses, en me demandant vertement de me retourner pour vouloir me fouiller, voir si je ne mentais pas d'avoir envie de pipi et de caca. De là, soit uniquement les culottes baissées, soit elle me mettait tout nu, et me prenant par un bras, sèchement me demandait d'être à ses pieds, et me menait ainsi, nu, rougissant de honte, dans son wc et me faisait faire devant elle, qui me tenait le zizi, me doigtait, devant pousser, me laisser faire, aller, la laissant me vider d'un doigt mes excréments, jusqu'à très forte excitation, érection et éjaculation, sauf, si elle décidait de faire tarder en obstruant d'in doigt ou paume de main, le fait que je jouisse trop vite, que j'éjacule trop vite aussi, c'est elle qui décidait de moi/
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