Médecin de service pour visites à domicile. - histoire érotique

Un médecin d’opérette propose des visites gynéco plutôt hard et à domicile…
CHAPITRE 1 :
1 - Préambule
Il fut un temps par très lointain, où par le biais d’annonces dans quelques revues spécialisées puis désormais sur internet, je proposais à des couples ou à des groupes d’amis et d’amies, de me rendre chez eux, faire des " visites gynéco " à domicile lors de soirées chaudes organisées sur ce thème. Chacun dans son enfance a sans doute déjà " joué au docteur ", ou du moins, en a eu très envie ! C’est donc dans cette intention et avec ces jeux là en arrière-pensée, que je me rendais à ces soirées, invité par les organisateurs…
Mes études (partielles et maintenant lointaines) de médecine m’ont donné une assez bonne connaissance de l’anatomie intime de la femme (et de l’homme aussi du reste !) et du fonctionnement de cette anatomie (c’est-à-dire : la physiologie sexuelle). Même si ensuite je suis allé faire tout autre chose, plutôt que de devenir médecin, j’ai néanmoins gardé de cette formation initiale, le goût de l’auscultation détaillée de l’intimité féminine…
Une passion comme une autre, me direz-vous. D’aucuns même, penserons qu’ils ne voient aucun intérêt à ce genre d’examen, arguant que les sexes des femmes sont tous pareils, faits sur le même modèle et que " lorsque l’on en a vu un, on en a vu cent ! ".

Je m’inscris personnellement en faux sur cet adage et je maintiens que leur sexe présente une telle diversité, qu’il y a là une véritable source d’inspiration pour ceux qui savent l’observer. Cela va de celui que l’on ne voit qu’à peine, emprisonné qu’il est sous de grandes lèvres épaisses et fermées, à celui toujours ouvert, tant il est large et débordant, avec tous les intermédiaires possibles… Chacune a le sien et aucune n’a le même ! Il faudrait une multitude de photos accolées pour saisir la très grande variété de formes et de taille (Photo 01)… Au même titre que pour un visage, les différents éléments qui composent un sexe de femme, et ils sont nombreux, offrent des combinatoires d’une infinie diversité…
Pour réaliser ces "auscultations à domicile", j’ai donc mis au point un petit "protocole de visite" qui sert de trame aux diverses mises en scène que je mets en place dans ce genre d’examens gynécos en réunion, chez des particuliers…
Sans trop entrer dans le détail, je vous livre ci-dessous les grandes lignes de ce protocole et dans un deuxième temps, je vous conterai quelques anecdotes remarquables de ces visites dont certaines d’ailleurs ont été mises en récits…
Le résumé du protocole ci-après est le résultat d’une bonne vingtaine d’expériences faites sur le terrain auprès de " patientes ", toutes consentantes. J’insiste bien sur ce point : ces femmes étaient tout à fait d’accord, même si assez souvent ces visites étaient réalisées à la demande du mari ou de l’amant. Mais il n’empêche, que le plus souvent ces auscultations correspondent aux fantasmes des femmes concernées et comme vous le verrez par la suite, la plupart du temps, ces dames ensuite, en redemandent !…
D’abord, disons d’emblée, que ce protocole ne saurait être confondu avec un organigramme immuable. Au contraire, les étapes, moments, phases et procédures qui le construisent, peuvent être déplacés, enrichis ou supprimés en fonction des diverses situations rencontrées et des ambiances à l’œuvre lors de ces soirées…
2 - Les préparatifs, mise en place et installation de la consultation :
Comme je ne dispose pratiquement jamais dans ces moments là, de table spécialisée (c’est-à-dire de table gynécologique avec repose-pieds, tablette-tiroir, cuvette escamotable, etc.), je demande à ce que l’essentiel soit préparé avant le début de la séance par les hôtes qui reçoivent. Une table normale avec un petit matelas peu épais ou des couvertures, des serviettes, papier essuie-tout, etc. Le reste tient dans une mallette : gants, petits appareils d’auscultation et objets nécessaires à ce type d’examen, ce qui donne plus de souplesse lors de déplacements.
Je suis parfois accompagné d’un ami plus jeune et complice, Laurent, qui me sert " d’assistant ". Je le présente à l’assemblée comme un interne ou un élève-médecin… A sept ou huit reprises, lors de soirées à plusieurs couples, c’est Cécilia, une amie, superbe et " très libérée ", qui m’a servi d’assistante (Photo 02). Nous y reviendrons plus loin…
Nous sommes vêtus d’une blouse blanche ou verte, tenue vestimentaire médicale très propre et conventionnelle (Photo 03). Avec stéthoscope autour du cou, souvent avec le masque stérile, et parfois la lampe de tête... Les gants seront utilisés systématiquement pour tout contact et attouchement et bien évidemment changés pour chaque patiente…
Les outils et instruments ont tous été stérilisés après usage et avant leur rangement. Ils sont maintenus en parfait état dans de la gaze et avec les gels de stérilisation professionnels. Ils seront de nouveau stérilisés en début d’examen devant la ou les patientes. Ils sont toujours emballés dans une gaze stérile.

De ce point de vue aussi, nous sommes très " cleans " et très professionnels.

3 – Le protocole : accueil à la consultation, entretien médical et préliminaires :
Il y a bien sûr un protocole d’entretien plus développé et plus précis, je m’en tiendrai ici aux grandes lignes… L’assistant(e) prend des notes… J’y reviendrai dans les récits qui suivent…
Ce deuxième point de l’entretien préalable, est essentiellement utilisé dans les visites gynécos à domicile qui concernent la patiente, souvent unique, son mari ou compagnon et parfois une troisième personne, un ami le plus souvent ; l’amant en titre, parfois.
Dans les soirées partouses à nombreux participants, avec 5 à 6 femmes à ausculter, voire plus, je passe presque directement à la phase suivante ci-dessous…
4 – Le protocole : prise de mesures préalables à l’examen approfondi...

Je commence presque toujours par un examen des seins. Ceci afin de permettre à la patiente d’entrer progressivement dans la démarche du jeu du docteur (et pour moi d’évaluer sa bonne disposition à ce jeu…), je commence une série de mesures dites : "petites mesures de références ", effectuées avec les instruments "médicaux" ad hoc et traditionnels. Ce sont : le tour de poitrine, la profondeur des bonnets, le diamètre des aréoles, celui des tétons, la longueur de ceux-ci (Photos 04 & 05)… Autant de petites mesures encore assez anodines à ce stade-là qui sont plutôt prétexte à démarrer les choses et surtout à effleurer, à toucher légèrement la poitrine de la patiente...

Ces mesures seront ensuite utilisées avec d’autres, plus intimes, dans des formules qui définissent plusieurs coefficients et indices.
Ce sont par exemple : " le coefficient de coquinerie ", " l’indice du frémissement érotique ", ou encore " l’indice vulvaire de sensibilité à la langue ", etc. ; ou d’autres formules, intégrant de nombreux paramètres, déterminant par exemple : " le degré de désir de bites ", et bien d’autres encore que nous détaillerons par la suite, au fur et à mesure des situations…
Après ces petites mesures de mise en train, je procède à un examen des seins dont je fais une description très précise, transcrite sur un document par l’assistant. Examen assorti d’une palpation très approfondie et que chacun sait faire évidemment, même sans être médecin !...

A suivre…