Médecin remplaçant partie 10 : Pris en flagrant délit

- Par l'auteur HDS Surcouf -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Médecin remplaçant partie 10 : Pris en flagrant délit Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Médecin remplaçant partie 10 : Pris en flagrant délit
Un mois passe, j’alterne les parties de jambes en l’air bestiales avec madame Corbois et les caresses rassurantes d’Alexia. Malheureusement, la première a ses règles et je reçois une violente punition de ne pas avoir réussi à la mettre enceinte. Madame Corbois m’ordonne de porter mon plug pendant 3 jours et j’ai du mal à m’asseoir. De plus, je ne peux pas voir Alexia de peur qu’elle ne découvre le pot-aux-roses. Deux nouvelles semaines passent, et je reçois un message de Madame Corbois, alors que j’examine mon dernier patient de la journée.
Mon petit Chéri, c’est le jour de mon ovulation, viens tout de suite, j’ai envie de toi, j’ai besoin que tu me baise et me remplisse de ta semence.

J’expédie la dernière consultation, salue Alexia de la main, et sort en vitesse de l’immeuble pour sauter dans la Porsche. Je fais fi des limitations de vitesse, de peur de faire attendre ma maîtresse, et remonte en trombe l’allée qui mère à sa grande maison. Mes pneus crissent lorsque je freine violemment. Je sors de la voiture et jette les clefs au majordome qui m’attends sur le pas de la porte.
— Bonjour, Simon ! Vous allez bien.
— Bonjour, Monsieur, répond-il, droit comme un i. Madame vous attend dans sa chambre.
Je grimpe 4 à 4 les marches de l’escalier qui mène à l’étage, pendant que Simon gare ma voiture dans le garage. J’arrive devant la porte de sa chambre, reprends mon souffle, tente de recoiffer mes cheveux et frappe à la porte.
— Nemanja, tu as fait vite, c’est bien. Entre.
Je pousse la porte de la suite parentale et entre ; Madame Corbois est debout près du lit, penchée sur la commode. Je distingue par la fente de son déshabillé la naissance de ses fesses rondes magnifiques. Elle se redresse, me sourit, et vient vers moi. Elle caresse ma joue de ses doigts manucurés et plonge ses yeux dans les miens avant de m’embrasser langoureusement.
— Mon petit chéri, tu sais que c’est le jour ! Je vais avoir besoin de ta semence. J’ai hâte que tu me mettes enceinte et que mon cocu de mari soit ravi d’élever des enfants qui ne sont pas de lui. Mais avant cela, je veux que tu me fasses plaisir. Fais-moi un massage, mon petit chou.
Elle enlève son peignoir en satin sous lequel elle est complètement nue. Elle reste quelques minutes face à moi afin de me permettre d’observer son corps magnifique, puis se retourne et s’allonge sur le lit. Je retire ma chemise, mes chaussures et mes chaussettes, et me saisit de l’huile de massage qui se trouve sur la commode.
Je fais couler de l’huile de monoï dans mes mains et commence à lui masser les épaules. Doucement, d’abord, puis de plus en plus fort, je m’attache à dénouer les muscles du haut de son dos. Elle ne peut réprimer de petits soupirs de plaisir, qui se transforment en légers gémissements lorsque je m’attaque au massage de sa nuque. Ce massage est vraiment exquis, complètement innocent, sans ambiguïtés, et elle se détend progressivement.
— Cette coiffure fait beaucoup trop coincée, Mme Corbois, dis-je en défaisant le chignon qui attache ses cheveux en arrière. Libérez-moi cette crinière brune, vous verrez que vous vous sentirez mieux.
Alors, je passe mes mains dans ses cheveux ainsi libres, et commence à lui masser le crâne. C’est une zone beaucoup plus érogène que son cou et elle commence à sentir son ventre se serrer sous l’effet d’un désir naissant. De sa position, elle ne peut voir mon visage, et ne peut que discerner la bosse que fait mon sexe sous mon pantalon.
Après avoir massé son crâne pendant plusieurs minutes, je fais le tour du lit et me mets au niveau de son dos. Au lieu de verser l’huile dans ma main, je fais délibérément couler le liquide froid sur son dos nu et elle laisse échapper un petit cri de surprise alors que je sens ses tétons s’ériger. Le liquide coule le long de son dos puis au creux de ses reins avant que je ne commence à l’étaler avec vigueur de mes mains. Ce sont des mains puissantes, rugueuses, qui pétrissent son dos avec une force empreinte d’érotisme. Je descends progressivement jusqu’à la naissance de ses fesses, sans aller plus loin, afin de maîtriser le désir de ma maîtresse et de pousser plus avant son excitation. Abandonnant son dos, je commence à lui masser les cuisses. Mes mains font des mouvement amples, larges, et chaque fois qu’elles passent entre ses cuisses, elle est parcourue d’un frisson de plaisir et sent son intimité s’humidifier un peu plus. A un moment, ma main remonte légèrement trop entre ses cuisses, et glisse entre ses lèvres trempées.
—Mmmm… houlà, dit-elle, surprise et excitée à la fois.
— Désolé, réponds-je en mentant.
J’ai senti à quel point mes caresses lui font de l’effet et deux minutes plus tard, je réitère la même manœuvre, accentuant encore un peu la pression de mes doigts contre sa fente humide.
— Monsieur, je crois que vous dépassez la limite de vos compétences, dit-elle en se tortillant dans une attitude lascive.
— Oh, non, madame, rassurez-vous ce n’est qu’une infime parcelle de mes compétences, je peux vous le garantir, dis-je, en continuant mon massage de votre vulve.
— Mmmm… arrête… c’est bon… Je...
— Je suis là pour votre plaisir, dis-je sans arrêter mon massage intime. Et je sens que vous appréciez cette partie du service, vous mouillez terriblement !
J’insère un doigt dans sa chatte trempée qui l’aspire aussitôt avec un bruit de succion. Elle se cambrez légèrement et commence à onduler en gémissant, faisant s’activer mes doigts à l’intérieur de son ventre.
Elle se cambre davantage afin de m’offrir son sexe trempé de désir. Mes doigts s’activent avec dextérité et son clitoris se rempli de sang. De ma main libre, je commence à le titiller et à l’agacer subtilement, et elle succombe rapidement, jouissant avec force quelques jets de cyprine qui viennent maculer le tissu délicat des draps. Son corps est pris de tremblement et elle convulse pendant de longues secondes avant de s’écrouler, radieuse.
— Donne-la moi, dit-elle en s’agenouillant à mes pieds, ouvrant la boucle de mon pantalon et le faisant glisser au bas de mes chevilles.
Elle libère mon sexe et le caresse d’un doigt avant de faire aller une main experte le long de sa hampe pour l’estimer. Sa taille et son épaisseur l’impressionne à chaque fois et elle se mord la lèvre d’envie et d’excitation. Elle fait courir un doigt sur ses veines gonflées avant de l’enfourner dans sa bouche, décalottant mon prépuce non circoncis.
Madame Corbois me procure une fellation experte, comme à son habitude, tout en titillant d’un doigt ma rondelle. J’ai appris à prendre beaucoup de plaisir dans cette pratique et mon petit trou s’ouvre automatiquement pour venir l’accueillir. Elle parvient rapidement à me faire parvenir sur le point de l’orgasme, mais se retire au dernier moment et me pousse sur le lit afin de me chevaucher. Je suis allongé, immobile, tout mon corps tendu, et ma maîtresse ondule amoureusement sur mon chibre gonflé comme jamais. Je ne peux pas résister à la puissance de ses iris clair qui semblent me sonder à chaque regard. Elle va et vient, empalée sur mon mandrin dressé, jouissant allègrement et plantant ses ongles dans les muscles de mes pectoraux. Je caresse ses seins et en torture les bouts pour agrémenter son orgasme fabuleux. Au bout de quelques minutes, Madame Corbois se retourne, en Andromaque inversée, et commence à me baiser en faisant onduler son cul sur ma verge. La vision de ce séant énorme et délicieux est trop pour moi, et je fourre un index rageur dans la rondelle de ma maitresse tout en flattant son cul de fessées appuyées. Elle râle, gémit et hurle son plasir. Nous sommes tellement absorbés par notre partie de jambes en l’air que nous n’entendons pas la voiture se garer dans la cour, ni les pas monter les escaliers. Alors, la porte s’ouvre, et un petit homme replet aux cheveux grisonnants entre dans la pièce.
— Chérie, je suis rentré ! Que… qu’est-ce que tu fais ?
Le pauvre cocu tombe nez à nez avec la vision de sa femme, chevauchant un inconnu sur le lit conjugal. Madame Corbois fait face à la porte, et ses seins ballotent alors qu’elle ondule sur mon pieu, ses mains posées sur mes chevilles.
— Arrête tout de suite, non mais ça ne va pas, non ? dit le mari désabusé.
— Oh ta gueule, Hervé, tu ne vois pas que je suis en train de me faire défoncer. Ferme-la et vient plutôt me lécher, j’ai la chatte en feu.
A ma grande surprise, le mari ne réplique pas, pose son cartable sur une chaise et desserre le nœud de sa cravate pour venir s’agenouiller au bord du lit. Madame Corbois agrippe les cheveux de son mari et plaque sa tête contre son con humide. Soumis, le cocu commence à lapper le clitoris de ma maîtresse et à le sucer avec application. Je sens sa langue déraper à la base de ma bite.
— Oui, comme ça, c’est bien, chien, dit Madame Corbois, sur le même ton autoritaire qu’elle employait avec moi. Lèche-lui les couilles, il en a, lui au moins.
Hervé s’exécute et je ne peux qu’apprécier les coups de langue dont il me gratifie alors que je suis en train de baiser sa femme. Elle se caresse le clitoris avec énergie et jute abondamment, inondant le visage de son mari.
— A poil ! ordonne-elle finalement. Montre à Nemanja la loppe que tu es vraiment.
Le mari s’exécute et je découvre son pénis enfermé dans une cage de chasteté qui l’empêche de bander. Le pauvre n’a pas été gâté par la nature, et il a un tout petit pénis, ce que Madame Corbois ne manque pas de lui faire remarquer en le comparant à la taille de mon chibre démesuré. Hervé s’allonge sur le lit et sa femme s’agenouille sur lui pour qu’il lui lèche la chatte, alors que je me mets derrière elle pour la prendre en levrette. Le pauvre mari donne tout ce qu’il a pour donner du plaisir à sa femme s’activant sur ses seins et son clitoris, tandis que je lime avec force la chatte trempée de ma maîtresse.
— Malaxe-lui les couille, Hervé, ordonna Madame Corbois. Trais-les, aspire-les, fais-le jouir, je veux qu’il me remplisse de sa semence et de ses gênes bien plus nobles que les tiens !
J’intensifie mes mouvements de bassin, et, avec le traitement d’Hervé, je parviens rapidement au bord de la jouissance. Je ne me suis pas masturbé depuis trois jours et j’ai les couilles lourdes et remplies. Alors, lorsque madame Corbois contracte finalement les parois de sa chatte, je me vide en longues giclées de sperme qui la remplissent complètement et débordent sur les côtés. Bien éduqué, Hervé nettoie tout ce qui déborde et avant goulument le mélange de mon foutre et des sécrétions de sa femme.
Aux anges, Madame Corbois s’allonge sur le lit et me demande de la rejoindre. Nous nous étreignons longuement pendant que son mari cocu était encore occupé à la nettoyer de la formidable quantité de foutre dont je l’avais arrosée.


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