Médecin remplaçant partie 5: Alexia
Récit érotique écrit par Surcouf [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Médecin remplaçant partie 5: Alexia
Je suis restée immobile dans le hall de l’immeuble pendant de longues minutes avant de me ressaisir et de reprendre mon souffle. J’adore ce jeu. Chaque fois que je vois Nemanja, il y a comme un feu qui s’allume à l’intérieur de moi. Je dois me ressaisir. Je me suis déjà dit ça hier quand j’ai reçu son SMS provocateur, que j’ai réussi à cacher de justesse aux yeux d’Alexandre. Qu’est-ce qu’il cherchait ? Mais ce soir, rebelote, j’ai replongé dans son jeu. D’un autre côté, il me paraissait changé, presque timide. On a passé une super soirée, et j’ai bien besoin d’une bonne douche pour me nettoyer de la sueur de la salle de sport, et me changer les idées. Je fais couler l’eau pour la faire chauffer et je me déshabille dans la salle de bain. Ma culotte est trempée d’un mélange de sueur et de mouille, ce qui me fait repenser au baiser que Nemanja m’a glissé dans le cou avant de partir. A nouveau, une vague de frissons parcourt mon corps nu. Je jette la culotte au sale, attache mes cheveux en un chignon rapide pour ne pas les mouiller et me glisse dans la douche. L’eau chaude caresse ma peau tendue d’excitation, et mes tétons se dressent presque instantanément. Je tente de laisser aller mes pensées à autre chose pour me calmer, je me concentre sur le ruissellement de l’eau sur mon cou, mon dos, mes reins, mes fesses et mes jambes jusqu’aux mollets. Devant, j’aperçois des rivières qui se forment entre mes seins, cascadant jusqu’à mon pubis et descendant sur mes cuisses. Rien n’y fait, mon corps est toujours aussi tendu par le désir, je dois me soulager, alors je fais glisser lentement le pommeau de douche vers mon entrejambe, ce qui fait s’ériger mon clitoris presque instantanément. Je suis trempée au dehors comme en dedans, et je commence à me masser les seins avec le savon. Mes mains arpentent mon corps qui se délecte de mes caresses, et je les fais aller sur mon ventre, mes fesses et mon mont de vénus parfaitement épilé, jusqu’à mon clitoris. A cet instant, Alexandre entre dans la salle de bain.
—Tu es ici, chérie ? Ah oui, te voilà. Mmmm qu’est-ce que tu es bonne, comme ça, dans la douche, me dit-il en entrant. Attend un peu que je te rejoigne.
Il se déshabille rapidement puis se glisse dans la douche, derrière moi, et commence à me laver le dos.
—Ta journée s’est bien passée ? Ton nouveau patron n’a pas été trop méchant avec toi ? Tiens je l’ai croisé en bas de l’immeuble. Et la boxe ? Tu leur a encore mis une bonne fessée aux autres nanas ?
Je déteste quand il traite les filles de nanas. Je soupire alors qu’il abandonne mon dos pour se concentrer sur mes seins. J’ignore le fait qu’ils sont déjà bien propres et profite de ses caresses alors qu’il commence à me mordiller l’oreille. Je suis trempée.
—Très bien, dis-je, Nemanja a été plus que cordial aujourd’hui. Il fait du footing, tu sais ! J’aimerai bien que tu te remettes un peu au sport, ça te ferait du bien.
—Pour quoi faire, répond-il. Tu me dis toujours que tu adores ma petite bouée.
Je me retournes et lui souris en l’embrassant sur la bouche.
—Tu es parfait, ne t’inquiètes pas. Allez, dis-je en me retournant de nouveau, continues de me laver le dos.
Visiblement Alexandre a d’autres projets. Il fait glisser ses mains dans mon dos, et, pendant que l’un d’entre elle vient se glisser entre mes fesses et passe sur mon anus en me faisant pousser un petit cri de surprise, l’autre plonge en avant et vient caresser délicatement mon clitoris gonflé.
—Tu sais que je l’adore, celui-là ! Me susurre-t-il à l’oreille, accentuant sa pression.
Il vient se coller contre moi et je sens son sexe turgescent contre mon dos. Je me cambre un peu plus pour le faire glisser entre mes fesses, et il gémit de plaisir. Il vient alors placer son sexe à l’entrée de mon vagin et, d’un violent coup de rein, le fait entrer à l’intérieur d’un seul coup. Son gland durci de désir vient se presser contre la paroi antérieure de mon vagin, et bien que le geste soit violent, je suis tellement trempée que je n’ai pas eu mal. Il vient placer une main sur mon sein droit tandis que l’autre titille toujours mon clitoris, et entreprend de rudes mouvements de va-et-vient dans mon vagin humide. Je me cambre au maximum pour faire venir son gland juste sur mon point G, et pose mes deux mains en avant sur la vitre de la douche sur laquelle s’est formée une couche de buée épaisse. Je sens son sexe qui pénètre mes petites lèvres et entre en moi de plus en plus vite, et de plus en plus violement à mesure qu’il accentue ses aller-retours, et je hurle, ne retenant pas mes cris de plaisir. Abandonnant mes seins et mon clitoris, il vient placer ses mains fermement sur mes hanches pour me pénétrer plus profondément, alors que je me cambre à m’en casser les reins, et que je me mets sur la pointe des pieds pour faciliter son action. Je sens l’orgasme monter au moment où j’entends derrière moi les râles d’Alexandre et je sens sa semence chaude se répandre dans mon vagin.
—Noooooon, dis-je. J’y étais presque ! pourquoi tu m’as pas prévenue ?
—Désolé bébé, mais tu es tellement bonne, j’ai pas pu résister. Chaque fois que je te prends en levrette et que je vois ton cul tendu, ton dos cambré et tes hanches parfaites, je ne peux pas me contrôler. Mais, je ne vais pas te laisser comme ça, et je vais te baiser à nouveau, ma chérie.
—Oh oui, tu vas me baiser, toute la nuit ! Et tu vas me faire jouir mon amour !
Il se sèche rapidement et sort de la salle de bain tandis que je me rince et tente d’évacuer son sperme de ma chatte souillée.
Je sors de la douche et me regarde dans le miroir, je contemple mes seins qui tiennent parfaitement en place, et me mets de profil pour évaluer le galbe de mes hanches et la convexité parfaite de mes fesses ruisselantes.
Je décide de faire une surprise à Alexandre et de mettre une tenue sexy pour l’exciter. Alors que j’enfile des talons hauts, un body en dentelle rouge fendu au niveau de la vulve et une jarretière assortie, je l’imagine allongé sur le lit et bandant comme un dieu, prêt à me faire monter au septième ciel. Je n’y suis pas encore mais la pensée de mon copain dans cette position me fait mouiller de plus belle. Je me regarde une dernière fois dans la glace, satisfaite du résultat, et laisse mes cheveux en chignon, libérant simplement une mèche de cheveux blonds devant mon oreille gauche, qui vient boucler naturellement jusqu’à ma clavicule. Satisfaite, je quitte la salle de bain en faisant balancer mes hanches, et entre dans la chambre simplement illuminée par la lampe de chevet.
A mon grand désespoir, je trouve Alexandre allongé nu sur le lit, mais profondément endormi, sa respiration lente produisant un affreux ronflement. Je suis tellement frustrée que je n’ai pas envie de le réveiller. Je jette avec rage mon body en direction de la salle de bain et le voit finir sa course sur le rebord du panier à linge sale, puis je mets ma nuisette en satin pour dormir. Je m’allonge dans mon lit et prends mon téléphone. 23h17. Ce mec est incroyable ! J’ouvres l’application messages et envoies un SMS à Nemanja “bien rentré ?”Quelques minutes plus tard, je reçois sa réponse. “Oui, merci. Je me couche à l’instant, seul dans mon grand lit froid” agrémentée d’un smiley clin d’œil.
Je souris devant l’allusion évidente, et réponds sur le même ton. “Mieux vaut dormir seul qu’à côté d’une locomotive”, en référence à Alexandre. “A demain”“Bonne nuit, Alexia.” Ce dernier mot me fait frissonner et me rappelle la manière dont il a prononcé mon nom en me quittant, tout à l’heure. J’éteins mon téléphone et me tourne sur le ventre pour m’abandonner dans les bras de Morphée, le sexe toujours humide et insatisfait, trempé du désir des deux hommes qui partagent ma vie.
Le lendemain matin, je suis réveillé par les caresses d’Alexandre. Je sens sa gaule matinale se presser contre mes fesses et je mouille immédiatement. Sa main pétrit mon sein gauche tandis qu’il me lèche l’oreille tendrement.
— Non, pas maintenant, dis-je. Je dois aller au travail.
— Allez, juste un coup, histoire de me faire pardonner pour hier soir, répond-il.
— Pour que tu finisse en deux minutes et m’abandonne une nouvelle fois ?
Ma réponse est acerbe mais je sens encore la frustration glacée entre mes cuisses.
— Désolé bébé, ça n’arrivera plus. Qu’est-ce que je peux faire pour me faire pardonner ?
Je regarde ma montre, il est 7h55. J’ai 5 min avant de me lever. Je le regarde dans les yeux et lui dit sur un ton sévère :— Descend. Occupe-toi de moi.
— A vos ordres, majesté, dit-il plein d’espoir.
Je m’allonge sur le dos et replies mes jambes, les écartant suffisamment pour laisser Alexandre glisser sa tête entre mes cuisses. Il commence par embrasser mon mont de vénus. Avec l’épilation au laser, il est parfaitement nu et lisse, et sa langue glisse aisément dessus, tourne autour de mon grain de beauté, puis descend lentement sur mes grandes lèvres. Avec deux doigts, il les presse l’une contre l’autre, ce qui lance des décharges électriques dans mon bas-ventre, puis il fait glisser sa langue dans le pli de ma cuisse, là où la peau est la plus sensible. Je ne peux réprimer un cri de surprise. Consciencieusement, Alexandre lèche, aspire, caresse mes lèvres intimes et ose glisser sa langue à l’intérieur. La tiédeur de sa langue sur mon vagin me fait mouiller de plus belle, j’ai envie de plus, j’ai envie qu’il mette un doigt, deux, sa bite, j’ai envie qu’il me prenne comme un fou mais je ne dis rien. Il remonte alors sur mon clitoris et glisse un doigt dans mon vagin.
— C’est trempé commente-t-il.
— Tais-toi et continues.
Il s’applique vraiment à me faire oublier son affront de la veille et sa langue est habile sur mon clitoris. Il tourne, agace, mordille et aspire dans un rythme infernal qui me fait mouiller comme jamais. J’attrape alors ses cheveux et les presse contre mon entrejambe en lui ordonnant de rajouter un doigt. Il s’exécute aussitôt, ses doigts sont partout, mes parois trempée font des bruits de succion à chaque mouvement et mon clitoris est droit, tendu par le désir. Il le mordille une dernière fois et je jouis dans un hurlement de bonheur. Mes reins se soulèvent et je me tords, laissant aller mon corps à ce plaisir soudain, totalement soumise aux vagues de chaleur qui m’envahissent.
Alors que l’orgasme disparaît, mon vagin se contracte de nouveau, appelant de ses vœux la bite d’Alexandre, que je vois dressée d’excitation. J’ai envie qu’il me pénètre, qu’il me déchire, qu’il me fasse hurler à réveiller les voisins. Mais je décide de le punir pour hier soir, alors je l’embrasse tendrement, me dirige vers la douche en roulant des fesses pour le faire bouillir, et mets l’eau à couler. Alors que je rentre dans la cabine, j’entends dans ma chambre le réveil sonner. Il est 8h00, le cochon m’aura fait jouir en moins de 5 min. Je note pour moi-même de lui redemander plus fréquemment ce genre de gâterie matinale, alors que le liquide brulant coule déjà sur mes tétons érigés.
Tandis que je me sèche et réfléchis à la tenue que je vais bien pouvoir mettre aujourd’hui, je vois le body d’hier qui traîne encore sur le rebord du panier à linge sale. Allez, pourquoi pas ! Je sens que ça va rendre Alexandre fou de jalousie de me voir porter des dessous sexy au boulot, et puis, si ça peut faire tourner la tête de Nemanja, ça fera d’une pierre deux coups. J’enfile le tissu de dentelle rouge et je sens la lanière fendue du bas qui vient serrer mes lèvres l’une contre l’autre. Je suis toute comprimée dedans, mes seins sont titillés par la dentelle délicate de Victoria’s Secret. En haut, les bretelles se rejoignent dans le dos en une seule qui descend le long de ma colonne vertébrale. En mettant un dos nu, cela intrigue énormément et donne envie de savoir ce que cache ce délicat appendice. Par-dessus, j’opte pour une combinaison noire au dos fendu laissant apparaître en filigrane la frivolité de mes dessous. Je mets des bottines noires, une veste en daim marron clair que j’apprécie particulièrement pour l’intersaison et prends mon petit sac à main assorti. Alors que je déambule dans les rues d’Annecy, je sens les regards des hommes se retourner sur moi. Certes, ma veste est fermée et cache à ces voyeurs mon décolleté plongeant, mais je ne peux cacher que la combinaison moule parfaitement mes fesses galbées par le body. A chaque pas, je sens le tissu frotter contre ma peau, pressant un peu plus mes lèvres l’une contre l’autre dans une sensation délicieuse.
J’arrive au cabinet à neuf heures moins cinq. Je suis la première. Je laisse mon manteau sur le porte-manteau et me dirige vers le vestiaire. Aujourd’hui, pas question de me changer, je vais rester en combi, au pire, si ça ne plaît pas à Nemanja et qu’il trouve cette tenue inappropriée, cela lui donnera une bonne raison de me réprimander.
Je suis donc face à la glace, et me contemple de pied en cap. Cette combinaison me moule vraiment parfaitement, et je m’excite moi-même en me regardant. Dans la précipitation, j’ai simplement mis du mascara ce matin, alors, comme j’ai un peu de temps, je sors ma trousse de maquillage de mon sac. J’opte pour rehausser mon regard d’un fin trait d’eyeliner qui soutien mes yeux bleu nuit, et je décide de mettre une touche de rouge à lèvres carmin sur ma bouche. Voilà, c’est parfait ! Au moment de sortir, cédant à une impulsion soudaine, je dépose un baiser sur la glace, imprimant sur le miroir la marque de mes lèvres pulpeuses. Ca donnera des idées à Nemanja.
Le voilà qui entre alors même que je me rasseyait à mon bureau et déposait mon sac derrière moi. Penchée en avant, tournant le dos à la porte, il aura eu une vue splendide sur mon arrière-train, rien de mieux pour commencer la journée ! Nous nous saluons respectivement, et je surprends son regard furtif vers mon décolleté, puis il se dirige vers le vestiaire pour mettre sa blouse. Il me sourit en sortant, surement qu’il aura vu la trace de rouge-à-lèvres, et entre dans son cabinet. Je fais entrer le premier patient.
La matinée se déroule calmement, je n’ai pas beaucoup de travail. J’en profite pour poursuivre sur mon ordinateur la lecture d’un article passionnant sur la condition féminine dans les œuvres de Gauguin, quand le téléphone sonne. Je décroche, abandonnant ma lecture, et notre sur un post-it un rendez-vous pour la visite à domicile du jeudi. Une certaine Mme Corbois dont le fils, qui a été mis sous antibiotiques lundi, est toujours alité.
Comme la veille, Nemanja va courir avant le déjeuner. Alors qu’il sort torse nu du vestiaire, son maillot de corps sur l’épaule, je me prends à fantasmer sur son corps. J’ai envie de caresser sa peau, sentir sous mes doigts les muscles saillants de ses pectoraux et de ses abdominaux, de planter mes ongles dans son dos et de laisser des marques de rouge à lèvres dans son cou. Il sort. Enfin. Alors que j’arrivais dans l’ascenseur, ce matin, une lanière du body a glissé entre mes lèvres, torturant à chaque mouvement mon pauvre clitoris, la dentelle irritant également l’entrée de mon vagin. Je profite de ma solitude pour remédier à cela. Je fais tomber le haut de ma combinaison, elle est sexy mais vraiment pas pratique dans ce genre de situations, et fait glisser les manches, découvrant le haut de mon body. Je glisse un doigt dans mon entrejambe et fait glisser la fine lanière baladeuse, la remettant à sa place. A ce moment, je sens un liquide tiède sur mes doigts. Je suis trempée. Instinctivement, je porte les doigts à ma bouche pour gouter ma cyprine. Mmmm, c’est délicieux. Je suis tentée de glisser un doigt à l’intérieur. Mon majeur glisse en premier entre mes lèvres humides et remonte sur mon clitoris, il en fait délicatement le tour alors que celui-ci s’érige sous la tendre pression de la pulpe du doigt. C’est ensuite au tour de mon index d’entrer dans la danse, accompagnant le premier dans ses mouvements de circonvolution autour des piliers battants de mon bouton rosé. Je porte mes doigts à ma bouche et en humecte les phalanges, puis plonge directement majeur et mon annulaire dans la moiteur de mon sexe. Ils trouvent rapidement le chemin de mon point G et commencent à faire des mouvements de pression contre la paroi antérieure quand j’entends la clef tourner dans la serrure. Merde !
J'espère que vous aurez apprécié le changement de point de vue, fin du warm up, les choses sérieuses commencent! Dites moi si vous voulez que je continues un peu avec la vision d'Alexia, ou bien si vous préférez que je reprenne le point de vue de Nemanja. Merci pour tous vos commentaires encourageants!!!
—Tu es ici, chérie ? Ah oui, te voilà. Mmmm qu’est-ce que tu es bonne, comme ça, dans la douche, me dit-il en entrant. Attend un peu que je te rejoigne.
Il se déshabille rapidement puis se glisse dans la douche, derrière moi, et commence à me laver le dos.
—Ta journée s’est bien passée ? Ton nouveau patron n’a pas été trop méchant avec toi ? Tiens je l’ai croisé en bas de l’immeuble. Et la boxe ? Tu leur a encore mis une bonne fessée aux autres nanas ?
Je déteste quand il traite les filles de nanas. Je soupire alors qu’il abandonne mon dos pour se concentrer sur mes seins. J’ignore le fait qu’ils sont déjà bien propres et profite de ses caresses alors qu’il commence à me mordiller l’oreille. Je suis trempée.
—Très bien, dis-je, Nemanja a été plus que cordial aujourd’hui. Il fait du footing, tu sais ! J’aimerai bien que tu te remettes un peu au sport, ça te ferait du bien.
—Pour quoi faire, répond-il. Tu me dis toujours que tu adores ma petite bouée.
Je me retournes et lui souris en l’embrassant sur la bouche.
—Tu es parfait, ne t’inquiètes pas. Allez, dis-je en me retournant de nouveau, continues de me laver le dos.
Visiblement Alexandre a d’autres projets. Il fait glisser ses mains dans mon dos, et, pendant que l’un d’entre elle vient se glisser entre mes fesses et passe sur mon anus en me faisant pousser un petit cri de surprise, l’autre plonge en avant et vient caresser délicatement mon clitoris gonflé.
—Tu sais que je l’adore, celui-là ! Me susurre-t-il à l’oreille, accentuant sa pression.
Il vient se coller contre moi et je sens son sexe turgescent contre mon dos. Je me cambre un peu plus pour le faire glisser entre mes fesses, et il gémit de plaisir. Il vient alors placer son sexe à l’entrée de mon vagin et, d’un violent coup de rein, le fait entrer à l’intérieur d’un seul coup. Son gland durci de désir vient se presser contre la paroi antérieure de mon vagin, et bien que le geste soit violent, je suis tellement trempée que je n’ai pas eu mal. Il vient placer une main sur mon sein droit tandis que l’autre titille toujours mon clitoris, et entreprend de rudes mouvements de va-et-vient dans mon vagin humide. Je me cambre au maximum pour faire venir son gland juste sur mon point G, et pose mes deux mains en avant sur la vitre de la douche sur laquelle s’est formée une couche de buée épaisse. Je sens son sexe qui pénètre mes petites lèvres et entre en moi de plus en plus vite, et de plus en plus violement à mesure qu’il accentue ses aller-retours, et je hurle, ne retenant pas mes cris de plaisir. Abandonnant mes seins et mon clitoris, il vient placer ses mains fermement sur mes hanches pour me pénétrer plus profondément, alors que je me cambre à m’en casser les reins, et que je me mets sur la pointe des pieds pour faciliter son action. Je sens l’orgasme monter au moment où j’entends derrière moi les râles d’Alexandre et je sens sa semence chaude se répandre dans mon vagin.
—Noooooon, dis-je. J’y étais presque ! pourquoi tu m’as pas prévenue ?
—Désolé bébé, mais tu es tellement bonne, j’ai pas pu résister. Chaque fois que je te prends en levrette et que je vois ton cul tendu, ton dos cambré et tes hanches parfaites, je ne peux pas me contrôler. Mais, je ne vais pas te laisser comme ça, et je vais te baiser à nouveau, ma chérie.
—Oh oui, tu vas me baiser, toute la nuit ! Et tu vas me faire jouir mon amour !
Il se sèche rapidement et sort de la salle de bain tandis que je me rince et tente d’évacuer son sperme de ma chatte souillée.
Je sors de la douche et me regarde dans le miroir, je contemple mes seins qui tiennent parfaitement en place, et me mets de profil pour évaluer le galbe de mes hanches et la convexité parfaite de mes fesses ruisselantes.
Je décide de faire une surprise à Alexandre et de mettre une tenue sexy pour l’exciter. Alors que j’enfile des talons hauts, un body en dentelle rouge fendu au niveau de la vulve et une jarretière assortie, je l’imagine allongé sur le lit et bandant comme un dieu, prêt à me faire monter au septième ciel. Je n’y suis pas encore mais la pensée de mon copain dans cette position me fait mouiller de plus belle. Je me regarde une dernière fois dans la glace, satisfaite du résultat, et laisse mes cheveux en chignon, libérant simplement une mèche de cheveux blonds devant mon oreille gauche, qui vient boucler naturellement jusqu’à ma clavicule. Satisfaite, je quitte la salle de bain en faisant balancer mes hanches, et entre dans la chambre simplement illuminée par la lampe de chevet.
A mon grand désespoir, je trouve Alexandre allongé nu sur le lit, mais profondément endormi, sa respiration lente produisant un affreux ronflement. Je suis tellement frustrée que je n’ai pas envie de le réveiller. Je jette avec rage mon body en direction de la salle de bain et le voit finir sa course sur le rebord du panier à linge sale, puis je mets ma nuisette en satin pour dormir. Je m’allonge dans mon lit et prends mon téléphone. 23h17. Ce mec est incroyable ! J’ouvres l’application messages et envoies un SMS à Nemanja “bien rentré ?”Quelques minutes plus tard, je reçois sa réponse. “Oui, merci. Je me couche à l’instant, seul dans mon grand lit froid” agrémentée d’un smiley clin d’œil.
Je souris devant l’allusion évidente, et réponds sur le même ton. “Mieux vaut dormir seul qu’à côté d’une locomotive”, en référence à Alexandre. “A demain”“Bonne nuit, Alexia.” Ce dernier mot me fait frissonner et me rappelle la manière dont il a prononcé mon nom en me quittant, tout à l’heure. J’éteins mon téléphone et me tourne sur le ventre pour m’abandonner dans les bras de Morphée, le sexe toujours humide et insatisfait, trempé du désir des deux hommes qui partagent ma vie.
Le lendemain matin, je suis réveillé par les caresses d’Alexandre. Je sens sa gaule matinale se presser contre mes fesses et je mouille immédiatement. Sa main pétrit mon sein gauche tandis qu’il me lèche l’oreille tendrement.
— Non, pas maintenant, dis-je. Je dois aller au travail.
— Allez, juste un coup, histoire de me faire pardonner pour hier soir, répond-il.
— Pour que tu finisse en deux minutes et m’abandonne une nouvelle fois ?
Ma réponse est acerbe mais je sens encore la frustration glacée entre mes cuisses.
— Désolé bébé, ça n’arrivera plus. Qu’est-ce que je peux faire pour me faire pardonner ?
Je regarde ma montre, il est 7h55. J’ai 5 min avant de me lever. Je le regarde dans les yeux et lui dit sur un ton sévère :— Descend. Occupe-toi de moi.
— A vos ordres, majesté, dit-il plein d’espoir.
Je m’allonge sur le dos et replies mes jambes, les écartant suffisamment pour laisser Alexandre glisser sa tête entre mes cuisses. Il commence par embrasser mon mont de vénus. Avec l’épilation au laser, il est parfaitement nu et lisse, et sa langue glisse aisément dessus, tourne autour de mon grain de beauté, puis descend lentement sur mes grandes lèvres. Avec deux doigts, il les presse l’une contre l’autre, ce qui lance des décharges électriques dans mon bas-ventre, puis il fait glisser sa langue dans le pli de ma cuisse, là où la peau est la plus sensible. Je ne peux réprimer un cri de surprise. Consciencieusement, Alexandre lèche, aspire, caresse mes lèvres intimes et ose glisser sa langue à l’intérieur. La tiédeur de sa langue sur mon vagin me fait mouiller de plus belle, j’ai envie de plus, j’ai envie qu’il mette un doigt, deux, sa bite, j’ai envie qu’il me prenne comme un fou mais je ne dis rien. Il remonte alors sur mon clitoris et glisse un doigt dans mon vagin.
— C’est trempé commente-t-il.
— Tais-toi et continues.
Il s’applique vraiment à me faire oublier son affront de la veille et sa langue est habile sur mon clitoris. Il tourne, agace, mordille et aspire dans un rythme infernal qui me fait mouiller comme jamais. J’attrape alors ses cheveux et les presse contre mon entrejambe en lui ordonnant de rajouter un doigt. Il s’exécute aussitôt, ses doigts sont partout, mes parois trempée font des bruits de succion à chaque mouvement et mon clitoris est droit, tendu par le désir. Il le mordille une dernière fois et je jouis dans un hurlement de bonheur. Mes reins se soulèvent et je me tords, laissant aller mon corps à ce plaisir soudain, totalement soumise aux vagues de chaleur qui m’envahissent.
Alors que l’orgasme disparaît, mon vagin se contracte de nouveau, appelant de ses vœux la bite d’Alexandre, que je vois dressée d’excitation. J’ai envie qu’il me pénètre, qu’il me déchire, qu’il me fasse hurler à réveiller les voisins. Mais je décide de le punir pour hier soir, alors je l’embrasse tendrement, me dirige vers la douche en roulant des fesses pour le faire bouillir, et mets l’eau à couler. Alors que je rentre dans la cabine, j’entends dans ma chambre le réveil sonner. Il est 8h00, le cochon m’aura fait jouir en moins de 5 min. Je note pour moi-même de lui redemander plus fréquemment ce genre de gâterie matinale, alors que le liquide brulant coule déjà sur mes tétons érigés.
Tandis que je me sèche et réfléchis à la tenue que je vais bien pouvoir mettre aujourd’hui, je vois le body d’hier qui traîne encore sur le rebord du panier à linge sale. Allez, pourquoi pas ! Je sens que ça va rendre Alexandre fou de jalousie de me voir porter des dessous sexy au boulot, et puis, si ça peut faire tourner la tête de Nemanja, ça fera d’une pierre deux coups. J’enfile le tissu de dentelle rouge et je sens la lanière fendue du bas qui vient serrer mes lèvres l’une contre l’autre. Je suis toute comprimée dedans, mes seins sont titillés par la dentelle délicate de Victoria’s Secret. En haut, les bretelles se rejoignent dans le dos en une seule qui descend le long de ma colonne vertébrale. En mettant un dos nu, cela intrigue énormément et donne envie de savoir ce que cache ce délicat appendice. Par-dessus, j’opte pour une combinaison noire au dos fendu laissant apparaître en filigrane la frivolité de mes dessous. Je mets des bottines noires, une veste en daim marron clair que j’apprécie particulièrement pour l’intersaison et prends mon petit sac à main assorti. Alors que je déambule dans les rues d’Annecy, je sens les regards des hommes se retourner sur moi. Certes, ma veste est fermée et cache à ces voyeurs mon décolleté plongeant, mais je ne peux cacher que la combinaison moule parfaitement mes fesses galbées par le body. A chaque pas, je sens le tissu frotter contre ma peau, pressant un peu plus mes lèvres l’une contre l’autre dans une sensation délicieuse.
J’arrive au cabinet à neuf heures moins cinq. Je suis la première. Je laisse mon manteau sur le porte-manteau et me dirige vers le vestiaire. Aujourd’hui, pas question de me changer, je vais rester en combi, au pire, si ça ne plaît pas à Nemanja et qu’il trouve cette tenue inappropriée, cela lui donnera une bonne raison de me réprimander.
Je suis donc face à la glace, et me contemple de pied en cap. Cette combinaison me moule vraiment parfaitement, et je m’excite moi-même en me regardant. Dans la précipitation, j’ai simplement mis du mascara ce matin, alors, comme j’ai un peu de temps, je sors ma trousse de maquillage de mon sac. J’opte pour rehausser mon regard d’un fin trait d’eyeliner qui soutien mes yeux bleu nuit, et je décide de mettre une touche de rouge à lèvres carmin sur ma bouche. Voilà, c’est parfait ! Au moment de sortir, cédant à une impulsion soudaine, je dépose un baiser sur la glace, imprimant sur le miroir la marque de mes lèvres pulpeuses. Ca donnera des idées à Nemanja.
Le voilà qui entre alors même que je me rasseyait à mon bureau et déposait mon sac derrière moi. Penchée en avant, tournant le dos à la porte, il aura eu une vue splendide sur mon arrière-train, rien de mieux pour commencer la journée ! Nous nous saluons respectivement, et je surprends son regard furtif vers mon décolleté, puis il se dirige vers le vestiaire pour mettre sa blouse. Il me sourit en sortant, surement qu’il aura vu la trace de rouge-à-lèvres, et entre dans son cabinet. Je fais entrer le premier patient.
La matinée se déroule calmement, je n’ai pas beaucoup de travail. J’en profite pour poursuivre sur mon ordinateur la lecture d’un article passionnant sur la condition féminine dans les œuvres de Gauguin, quand le téléphone sonne. Je décroche, abandonnant ma lecture, et notre sur un post-it un rendez-vous pour la visite à domicile du jeudi. Une certaine Mme Corbois dont le fils, qui a été mis sous antibiotiques lundi, est toujours alité.
Comme la veille, Nemanja va courir avant le déjeuner. Alors qu’il sort torse nu du vestiaire, son maillot de corps sur l’épaule, je me prends à fantasmer sur son corps. J’ai envie de caresser sa peau, sentir sous mes doigts les muscles saillants de ses pectoraux et de ses abdominaux, de planter mes ongles dans son dos et de laisser des marques de rouge à lèvres dans son cou. Il sort. Enfin. Alors que j’arrivais dans l’ascenseur, ce matin, une lanière du body a glissé entre mes lèvres, torturant à chaque mouvement mon pauvre clitoris, la dentelle irritant également l’entrée de mon vagin. Je profite de ma solitude pour remédier à cela. Je fais tomber le haut de ma combinaison, elle est sexy mais vraiment pas pratique dans ce genre de situations, et fait glisser les manches, découvrant le haut de mon body. Je glisse un doigt dans mon entrejambe et fait glisser la fine lanière baladeuse, la remettant à sa place. A ce moment, je sens un liquide tiède sur mes doigts. Je suis trempée. Instinctivement, je porte les doigts à ma bouche pour gouter ma cyprine. Mmmm, c’est délicieux. Je suis tentée de glisser un doigt à l’intérieur. Mon majeur glisse en premier entre mes lèvres humides et remonte sur mon clitoris, il en fait délicatement le tour alors que celui-ci s’érige sous la tendre pression de la pulpe du doigt. C’est ensuite au tour de mon index d’entrer dans la danse, accompagnant le premier dans ses mouvements de circonvolution autour des piliers battants de mon bouton rosé. Je porte mes doigts à ma bouche et en humecte les phalanges, puis plonge directement majeur et mon annulaire dans la moiteur de mon sexe. Ils trouvent rapidement le chemin de mon point G et commencent à faire des mouvements de pression contre la paroi antérieure quand j’entends la clef tourner dans la serrure. Merde !
J'espère que vous aurez apprécié le changement de point de vue, fin du warm up, les choses sérieuses commencent! Dites moi si vous voulez que je continues un peu avec la vision d'Alexia, ou bien si vous préférez que je reprenne le point de vue de Nemanja. Merci pour tous vos commentaires encourageants!!!
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