Médecin remplaçant partie 7: visites à domicile

- Par l'auteur HDS Surcouf -
Récit érotique écrit par Surcouf [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Médecin remplaçant partie 7: visites à domicile Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Médecin remplaçant partie 7: visites à domicile
Après la soirée chez Alexia, je rentre chez moi, l’esprit en ébullition, dans un sentiment mêlé de fierté et d’excitation. Ce qui vient de se passer avec ma secrétaire est irréel, une parenthèse érotique et fantasque dans ma petite vie tranquille. Je n’arrive pas à réaliser que je viens de faire l’amour avec elle alors même qu’Alexandre ronflait dans la pièce voisine. Lorsque j’ai couché ma belle amante, je l’ai observé dormir dans le lit conjugal d’un sommeil de plomb, un sourire de cocu béat accroché à son visage. S’il savait comme je venais de faire jouir sa copine, qui ne demandait que cela! Bref, c’est donc gonflé d’orgueil que je m’endors en rentrant chez moi, plongeant immédiatement dans un sommeil sans rêves.
Le lendemain matin, c’est le jour des visites. Dehors, le soleil rayonne de mille feux et le ciel est radieux. J’en profite pour sortir du garage ma vieille Porsche 911 turbo 84 décapotable, histoire de profiter des belles routes bordant les rivages du lac d’Annecy. Je fais un détour par le cabinet pour y récupérer ma blouse et ma malette de visite. Alexia est déjà là, dans sa tenue blanche qui épouse allègrement les formes de son corps sculpté par les anges. Elle n’ose pas me regarder dans les yeux, visiblement gênée par la scène de la veille. Je m’approche d’elle et me penche pour la saluer, profitant de l’occasion pour déposer un baiser tendre et prolongé sur sa joue tremblante, agrémentant mon geste d’un mouvement de lèvres à peine perceptible qui la fait frémir de désir.
— Je files, dis-je alors qu’elle me tend la liste des adresses de mes patients de la matinée.

J’ai bien fait de sortir la Porsche, car le temps est idéal. La tournée matinale se déroule sans encombres, et j’enchaîne les cafés offerts par mes patients, la plupart était des personnes âgées incapables de se déplacer et surpris de ne pas voir Mme Paule mais un charmant jeune homme sur le palier de leur porte. A mesure que la matinée s’écoule, les cafés sont remplacés progressivement par des invitations à l’apéritif et les verres s’enchaînent, si bien que je me trouve au delà de la limite autorisée lorsque je remonte dans ma voiture pour rendre visite à mon dernier patient de la matinée. Le moteur turbo de ma belle allemande ronronne allègrement sur les routes de montagne, et l’auto s’inscrit parfaitement dans les courbes somptueuses, déroulant sous mes yeux un paysage merveilleux. Finalement, je m’engage sur la pente raide menant à la villa qui héberge mon dernier patient, située sur les hauteurs de Veyrier-du-Lac. C’est une immense propriété à la pelouse tondue au millimètre et aux buissons taillés à l’anglaise. La maison en elle-même est splendide, moderne, probablement l’oeuvre d’un architecte de renom, et le rez-de-chaussée est entièrement en baies vitrées donnant sur le lac. A côté des belles italiennes d’un rouge flamboyant qui trônent dans la cour, ma Porsche a l’air d’une vieille Twingo. Je me gare à côté de l’une d’entre elles, sors ma valise de mon coffre et vais sonner à la porte principale. Un majordome en costume m’ouvre et me demande l’objet de ma visite.
— Bonjour, je suis le docteur Karadjordjevic et je viens voir le petit Oscar. Sa mère a téléphoné à ma secrétaire hier pour me prévenir que sa bronchite n’était pas passée, alors, me voilà!
— Bien, je vais voir, répond-il. Madame Corbois, interpelle-t-il en direction du salon. Le docteur est là, il dit qu’il a rendez-vous pour Oscar.
— Le docteur… Ah… oui, c’est vrai! Faites-le entrer, répond une voix féminine depuis la pièce voisine.

Je suis alors le majordome jusqu’au salon, où Mme Corbois m’attend, allongée sur un grand canapé de cuir écru, dans une tenue des plus décontractées. Elle porte un long déshabillé de satin soir dont la doublure légère laisse transparaître les contours de ses formes généreuses. Elle est allongée tel Cléopâtre dinant avec César, ses jambes repliées sous elle, dévoilant des bas noirs aux motifs délicats. La fente de son déshabillé laisse entrevoir l’une des attaches de son porte-jarretelle et ses longs cheveux auburn sont détachés et cascadent librement sur ses épaules à-demi nues. Cette tenue n’est pas pour me déplaire et je jalouse secrètement son mari, tant pour la richesse apparente de son patrimoine que pour la beauté et le raffinement de sa femme.
— Bonjour Docteur, me dit-elle. Je suis navré de vous recevoir dans cette tenue, j’avais complètement oublié votre visite. Asseyez-vous, je vous prie.
Elle se redresse alors et m’invite d’une main à m’asseoir sur la place située à côté d’elle, remontant de l’autre son déshabillé qui avait glissé en se redressant, dévoilant à mes yeux la peau blanche et délicate de son épaule gauche. Ses doigts aux ongles parfaitement manucurés saisissent le précieux tissu et le remontent sensuellement sur la fine épaule, puis elle prolonge son geste en caressant négligemment son décolleté du bout de sa main, la repliant dans la naissance de son opulente poitrine. Elle me regarde pendant de longues secondes en battant des cils, le regard toujours habillé de son fard-à-paupières violet, avant de reprendre la parole.
— Je suis navrée, docteur, vraiment. J’ai oublié de prévenir votre secrétaire, mais Oscar va mieux, depuis hier, et il est parti chez ses grands-parents ce matin pour les vacances. Je suis désolée de vous avoir fait venir si loin pour rien. Puis-je vous offrir un verre pour me faire pardonner?
— Ce n’est pas grave, madame Corbois, j’ai apprécié la balade jusqu’ici, le coin est magnifique et je dois vous avouer que la propriété est superbe! Cependant, je me vois dans l’obligation de vous refuser ce verre, car mes patients ont été très généreux de ce côté ci, et je doute de pouvoir rentrer chez moi en toute sécurité si je buvais un verre de plus.
— Oui, et j’imagine que vous avez d’autres patients à visiter. Je suis vraiment désolée de vous avoir dérangé pour rien.
— Il ne faut pas, madame, vraiment. Et puis, vous étiez ma dernière patiente alors, je n’ai pas vraiment perdu de temps.
Mme Corbois sauta sur l’occasion.
— Dans ce cas, vous ne pourrez pas me refuser un verre. Allez, venez, Martine cuisine toujours de trop, je serais ravie de partager ce repas avec vous. Dites-vous que c’est ma façon à moi de vous remercier de vous être déplacé.
Je me retrouve coincé et accepte finalement la proposition de ma patiente. Je pose ma mallette et me met à l’aise alors que Martine, la cuisinière, nous apporte le déjeuner. C’est un brunch délicieux agrémenté d’un vin rouge de choix, et nous devisons tous les deux, tant sur ma profession que sur sa vie à elle de rentière fortunée. Alors que je fais un plaisanterie, Mme Corbois éclate de rire et renverse son verre sur ma chemise blanche.
— Oh là là, je suis navrée, dit-elle. Vite, enlevez-la, je vais la donner à Martine pour qu’elle mette du produit dessus avant que la tâche ne sèche.
Alors, elle s’agenouille sur moi en faisant fi de toutes les règles de bienséance et déboutonne hâtivement ma chemise. Je ne sais pas si c’est l’effet du vin ou la vision de mes abdominaux sculptés, mais la bourgeoise reste fixée pendant quelques secondes sur mon torse nu avant de finalement me débarrasser de ma chemise souillée.
— Attendez, dis-je. Je ne peux pas rester comme cela, je n’ai pas de chemise de rechange.
— Venez, montons, je vais vous prêter une des chemises de mon mari en attendant.
M’attrapant par le bras, elle m’entraine à l’étage jusqu’à sa chambre. C’est une suite immense avec une salle de bain attenante, et un dressing aussi grand que mon appartement. Elle fouille dans les affaires de son mari avant de me tendre une chemise identique à la mienne, bien que plus large et plus petite.
— Je suis désolé, mais je ne vais pas rentrer dedans, dis-je.
— En effet, observe-t-elle. Mon mari est bien plus petit et plus costaud que vous. Et quand je dis costaud, c’est un euphémisme. Venez.
Elle me prend de nouveau la main et m'entraîne jusqu’à la chambre. Le lit est immense, et la chambre est entourée de fenêtres donnant sur le lac et les montagnes alentours, tandis qu’une bibliothèque complète le tableau, sur tout le pourtour de la pièce, juste sous les carreaux. Je suis debout, dos au lit, et Mme Corbois me fait face. Elle me regarde droit dans les yeux, les siens sont illuminés par une flamme ardente de désir, et elle parcourt mon torse nu de ses doigts, ce qui a pour effet de faire se dresser les poils sur mes bras et grossir la bosse de mon pantalon.
— Bien, dit-elle. Je pense qu’il va falloir nous occuper pendant que Martine nettoie votre chemise. Et puis, je dois me faire pardonner de vous avoir fait venir pour rien et vous remercier pour ce que vous avez fait pour moi la dernière fois.
— Je… ce n’est pas nécessaire… il n’y a pas lieu de…— Taisez-vous, dit-elle en plaçant un doigt sur mes lèvres.
— Mais enfin, votre mari… Martine, le majordome, il va savoir.
Elle dépose un baiser de ses lèvres charnues sur les miennes pour couper court à mes protestations avant de me pousser violemment sur le lit conjugal.
— Silence, j’ai dit! Mes employés me sont entièrement dévoués et ne répèteront rien à mon mari. Ne faites pas votre mijaurée car je sais que vous avez profité de la situation dans votre cabinet, l’autre jour. Alors, je vais vous remercier pour cela, puis vous allez me faire jouir. Je veux que mon mari m'entende hurler jusqu’aux Etats-Unis, c’est bien clair?
Ne me laissant pas le temps de protester, elle s’agenouille sur moi et griffe mon torse de ses ongles qui laissent des traces sanguinolentes derrière eux. Mes tétons s’érigent sous la douleur et elle se met à les pincer en me fixant de son regard perçant. Elle s’agenouille au bord du lit et entreprend de défaire la boucle de ma ceinture ce qui fait affluer le sang dans mon sexe qui se gonfle et me fait oublier instantanément toutes les réserves que j’avais jusqu’alors. Me débarrassant de mes vêtements inutiles, elle reste pendant quelques secondes en admiration devant mon chibre tendu, caressant d’un doigt ses veines gonflées, avant de commencer à l’astiquer avec application. Je ne sais pas combien madame Corbois a eu d’amants, mais elle semble connaître par coeur le sexe des hommes, et m’excite au plus haut point avant même de poser ses lèvres sur ma verge turgescente. Lorsqu’elle s’y décide finalement, je peine à contenir la jouissance qui menace. Heureusement que j’ai les couilles bien vides du sexe de la veille, car ne n’aurais pu résister autrement. Mme Corbois est une déesse. Elle m’a ordonné de me relever et est agenouillée à mes pieds, son déshabillé ouvert me laissant une vue plongeante sur sa poitrine laiteuse. Ses lèvres épousent les moindres aspérités de mon sexe et sa gorge s’ouvre à chaque plongée que fait sa tête vers la naissance de ma bite qui n’a jamais été aussi grosse. Tout en agissant ainsi, elle me regarde avec des yeux de chienne qui vient de faire une bêtise et tente d’éviter une réprimande. Je ne peux soutenir ce regard qui m'excite au plus haut point. Sa main droite toujours vissée à la base de mon sexe accompagne de mouvements circulaires les va-et-vient de sa tête sur mon chibre, tandis que sa main gauche malaxe allègrement mes couilles pendantes, son index venant titiller innocemment la rondelle rosée de mon anus, qui se contracte sous les caresses, provoquant dans mon ventre un plaisir insoupçonné. Au bout d’une minute environs, sa bouche abandonne ma verge pour venir s’occuper de mes couilles. Elle les lustre consciencieusement avec sa langue, puis abandonne ses lappements pour venir les aspirer l’une après l’autre, comme si elle voulait les avaler. Sa main droite désormais plus libre amplifie ses mouvements de va-et-vient sur mon sexe bandé alors que sa langue vient titiller mon raphé médian, cette bande fibreuse reliant mes bourses à mon anus, provoquant là encore des sentiments nouveaux.
— Je vais jouir, dis-je finalement, articulant difficilement entre les râles de plaisir que me procure Mme Corbois.
— Pas question, répond-elle, en abandonnant mon sexe, en se relevant face à moi et en me jetant une nouvelle fois sur le lit de son mari. Tu vas me faire jouir d’abord. Elle laissa glisser son déshabillé de satin noir à ses pieds et reste ainsi debout devant moi, seulement vêtue de ses bas, ses porte-jarretelles, et un string ficelle noir dont on a peine à discerner le tissu tellement il est fin. Je discerne en transparence le contour de ses lèvres et de son clitoris, et je constate que depuis sa dernière consultation, elle s’est débarassé des poils qui ornaient son mont de Vénus et se présente à moi comme une jeune fille immaculée. Cette métaphore n’est que de courte durée car elle s’avançe alors vers moi et s’empale d’un coup sec sur ma bite tendue, prenant à peine le temps de décaler la ficelle du string de l’entrée de son vagin. Je laisse échapper un cri de douleur lorsque la peau désormais sèche de mon sexe frotte avec force contre les parois exiguës de son antre, mais ce dernier se lubrifie rapidement et la douleur s’estompe tandis que la bourgeoise entame une danse lascive sur mon ventre. Elle agrémente ses va-et-vient de contractions volontaires de son vagin contre mon chibre qui menace à tout moment de se répandre en vagues ininterrompues de semence dans son corps. Alors, je me concentre sur ses seins que je malaxe avec vigueur, les faisant se frotter l’un contre l’autre, jouant avec ses tétons qui s’érigent presque aussitôt. Je les pince, les triture, les titille et les fait rouler sous mes doigts tandis qu’elle se tortille de plaisir intensifiant ses mouvements de bassin sur mon ventre. J’ai trop envie de goûter à ces mamelles tombantes et exsangues, alors j’attire avec force Mme Corbois vers moi, pour amener ses seins à mes lèvres avides. Elle se rattrape de justesse sur ses avant-bras et se laisse aller à mes caresses. J’empoigne d’une main son sein gauche et porte le téton rosé à mes lèvres. En même temps, je cambre le dos, m’appuie sur mes pieds, et besogne violemment ma bourgeoise qui se cambre à son tour et vient s’enfoncer un peu plus sur mon sexe, acceptant avec force cris mes coups de boutoir. Au bout de quelques temps, elle prend appui sur mes pectoraux pour se redresser et s’enfiler bien profondément sur mon pieu et me dit:— Je veux que tu me fasse jouir. Maintenant. Mais je t’interdis de finir. C’est compris?
M’exécutant, je reprends mon travail, jouant habilement avec son téton érigé, tandis que mon autre main vient se placer contre son clitoris, que mon pouce masse avec application. En quelques secondes, elle explose dans un hurlement de bonheur, son vagin venant se contracter en vagues successives sur mon sexe. Je tente désespérément de résister à mon désir et à mes bourses qui me font mal tellement elles n’ont qu’une seule envie, déverser dans cet grotte chaude et humide ma semence, qui pourrait venir la féconder, étant donné que je viens de lui retirer sa contraception.
Se dégageant de mon pieu, elle s’avance sur mon torse et vient s’asseoir sur mon visage, posant sa vulve dégoulinante sur mon nez et mes lèvres. Soumis à sa volonté, je lappe consciencieusement le jus brillant de sa jouissance, et m’applique à fourrager son vagin brûlant de ma langue experte. Mon nez se presse contre son clitoris et je joue avec son bouton qui réagit aussitôt et se gonfle légèrement. Mon travail consciencieux ne tarde pas à provoquer chez ma patiente un deuxième orgasme, et elle m'inonde le visage de sa cyprine que j’avale goulument. Mon pénis a profité de ce moment pour calmer ses ardeurs et je me sens de nouveau apte à besogner avec soin ma bourgeoise. Je la retourne sur le lit, la couche sur son flanc droit, ramène sous elle une jambe, m’assois à califourchon sur son autre jambe tendue, et la pénètre de toute la longueur de mon sexe dans cette position. Elle peine à respirer sous mes coups de boutoir et ne tarde pas à jouir une troisième fois, inondant les draps de ses fluides corporels, qui jaillissent en torrents de sa vulve dont l’orifice est bouché par mon sexe imposant.
— Prends moi en levrette, me dit elle, en se relevant, jambes tremblantes, et en s’installant face à l’une des parois vitrées, prenant appui de ses bras sur la bibliothèque. La vue de ce cul parfait fait tressauter de plaisir ma verge turgescente, et je fais glisser le string trempé de Mme Corbois jusqu’à ses genoux, avant de m’insérer violemment dans ses entrailles. Je la ramone ardemment en prenant appui sur ses hanches pour venir écraser mon grand dur comme de la pierre contre le fond de son vagin, tandis que mes couilles claquent en rythme contre ses fesses et sa vulve ruisselante. Les cris de ma belle rentière s’échappent par une fenêtre ouverte et font s’envoler des tourterelles nichées dans un sapin voisin. Si je redoutais que son majordome ou sa cuisinière aient entendu nos ébats jusqu’à présent, je n'émets désormais plus aucune réserve là-dessus et me demande même si la propriété voisine, située pourtant à plus d’un hectare de celle des Corbois, n’a pas entendu les hurlements de mon amante.

Cette position étant ma préférée, et la cambrure experte de ma partenaire amplifiant mon plaisir, je suis le premier à venir sur le point de l’orgasme.
— Je vais jouir, dis-je, prévenant ma patiente pour qu’elle s’extirpe, au risque de se retrouver pleine de mon foutre fertile.
— Non, pas comme ca, je veux que tu jouisse sur mon visage, dit elle en se retournant et en s’agenouillant devant moi.
Alors, elle reprend sa fellation experte, ses mains s’activant avec précision tandis que ses lèvres aspirent mon sexe tendu de désir. Sans crier gare, alors que je ne m’y attendais pas, elle enfonçe brusquement son majeur gauche, qui était occupé à titiller mon anus, dans mon fondement. Je sursaute de surprise et tente de manifester mon absence de consentement, lorsqu’elle replie son doigt vers l’avant et commença à masser avec expérience les lobes de ma prostate. En quelques secondes, je succombe à la jouissance, mon corps parcouru par l’orgasme le plus puissant que je n’ai jamais eu, et mon foutre se déversant en vagues successives sur le visage angélique de ma bourgeoise. Une fois mon éjaculation terminée, elle essuie d’un doigt les coulées de sperme qui s’étalent sur son visage et les porte à sa bouche, suçant sur son doigt manucuré le produit de ma semence. Une fois débarbouillée, elle m’astique le manche avec application et le nettoie parfaitement en me regardant pendant sa besogne, redevenant la chienne obéissante qui me suçait tout à l’heure. Même si j’arrives désormais à soutenir son regard, j’ai peur que la vue de ces yeux ronds et de ce regard profond et troublant ne me fassent rebander immédiatement. Elle se redresse finalement et approche son visage du mien, tenait dans sa main droite ma bite à demi molle telle une laisse et me dit:— Merci docteur, j’ai adoré ce dessert, mais je risque d’avoir encore faim. Resterez-vous dîner?

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