Médecin remplaçant partie 8: Dîner d'initiation (2/2)

- Par l'auteur HDS Surcouf -
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Récit libertin : Médecin remplaçant partie 8: Dîner d'initiation (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Médecin remplaçant partie 8: Dîner d'initiation (2/2)
Voici enfin la suite des aventures de Nemanja. La relation avec Mme Corbois prend une tournure des plus...inattendues. N'hésitez pas à me faire part de vos remarques en commentaires et à me contacter si vous souhaiter échanger davantage. Bonne lecture!

— Bien. Allons diner. Je meurs de faim.

Je ramasse mon pantalon et commence à l’enfiler, mais Mme Corbois m’interrompt d’un ton autoritaire.
— Non. Je veux que tu restes nu. Je veux pouvoir admirer ton corps d’éphèbe pendant que je me restaure.
— D’accord, dis-je en abandonnant mon pantalon.
Vlan ! La main de Mme Corbois vient gifler ma joue déjà rosie par les claques précédentes.
— Qu’est-ce que je t’ai dit ? Tu ne me réponds pas sur ce ton.
— Pardon, maîtresse.
— C’est mieux.
Elle empoigne mon sexe tendu et violacé et me force à la suivre jusqu’à la salle à manger. C’est une pièce immense occupée en son centre par une immense table rectangulaire en ébène. Martine a installé le couvert aux deux extrémités de la pièce. Mme Corbois me dit de m’installer à l’une des extrémités de la table, tandis qu’elle se rend à l’autre. Ses longues jambes se croisent à chaque pas faisant danser ses hanches et ses fesses alléchantes, tandis que ses talons claquent sur le carrelage immaculé. J’essaie de ne pas regarder ce spectacle envoutant car chaque afflux de sang dans ma verge est plus douloureux, à cause de l’anneau métallique qui empêche le sang de s’en évacuer. Ma maîtresse se retourne finalement et s’assoit face à moi. Elle m’ordonne de faire de même et je m’exécute. Alors que mes fesses nues touchent le siège de cuir de la chaise, le gode s’insère un peu plus profondément dans mon fondement, m’arrachant un grognement de surprise.
Martine arrive quelques instants plus tard une énorme soupière à la main. Elle s’approche de Mme Corbois et s’apprête à la servir lorsque cette dernière l’interrompt.
— Merci Martine. Mais laissez. Notre docteur se fera un plaisir de nous servir, n’est-ce pas ?
— Oui, maîtresse, dis-je en baissant la tête.
Alors que la cuisinière repart, je m’avance à mon tour vers la délicieuse Mme Corbois. Son chemisier est mal boutonné, lundi avec mardi, et laisse entrevoir la naissance de sa poitrine laiteuse. Je lui fais remarquer cela et elle me remercie en me proposant de le reboutonner moi-même. J’accepte de peur de ses représailles et déboutonne avec application son chemisier blanc. Ses seins sont à l’étroit dans le carcan de dentelle de son soutien-gorge. Elle voit que je suis en train de les reluquer et me propose de les libérer. Je dégrafe habilement les baleines de ce dernier qui saute en libérant la poitrine de ma patiente.
— Prends-les ! m’ordonne-elle.
Je prends les seins dans mes larges mains calleuses et les soupèse. Ils sont doux, à la fois lourds et légers dans mes paumes, et s’ils ont perdu de leur fermeté de jeunesse, leur relative élasticité est très agréable et les rends souples et moelleux au toucher. Je les malaxe allègrement et fait rouler sous mes doigts les mamelons qui se sont érigés sous mes caresses. Voyant qu’elle ne s’oppose pas à mon initiative, je pose ma bouche sur son sein droit et fait passer ma langue sur le téton tendu. Je tourne autour, le mordille et le presse, puis le suce délicatement tandis que ma maîtresse se tortille sous mes caresses. Elle croise et décroise ses jambes afin de mobiliser les boules de geisha qui sont emprisonnées dans son intimité et qui massent les parois de son vagin qui se trempe de nouveau d’excitation.
— Cela suffit, dit-elle finalement. Arrête et sers-moi ma soupe.
Je me relève et m’exécute, déposant dans son assiette en porcelaine une grande louchée du potage verdâtre que nous a cuisiné Martine. Alors que je me sers à mon tour, Mme Corbois empoigne mon sexe toujours tendu et commence à faire des aller-retours le long de mon manche. Elle me regarde avec son air autoritaire et intensifie ses mouvements. Ses caresses sont aussi douloureuses que délicieuses, et mon sexe violacé est sur le point d’exploser.
— Je t’interdis de jouir, dit-elle.
— Je… D’accord, maîtresse, mais pas trop longtemps… je ne pourrais pas me retenir éternellement.
— Tu te retiendras aussi longtemps que je l’ordonnerai, c’est clair ?
Je hoche la tête en signe d’acquiescement et tente de résister à la vague de désir qui monte en moi. Sa main experte accélère encore la cadence et je la supplie d’arrêter, mais elle insiste, son visage étant déformé par un rictus sadique qui finit de m’achever. Alors, cédant finalement à son traitement exquis et au délicieux massage du gode dans mon fondement, je jouis abondamment, déversant ma semence en jets puissant qui viennent finir leur course dans la soupe de ma maîtresse. Cette jouissance apaise légèrement la douleur de mon sexe qui diminue de volume mais ne peux pas reprendre sa forme normale, toujours prisonnier de l’anneau qui le maintenait en érection. Je n’ose pas regarder Mme Corbois et redoute sa punition. Elle ne dit rien, prend sa cuillère en argent et remue le potage afin d’y intégrer mon foutre opalescent. Une fois le mélange devenu homogène, elle prend une cuillère qu’elle avale avec un bruit de succion.
— Délicieux, dit-elle, mais je trouve cela dommage d’avoir gâché tout ce sperme qui aurait pu finir dans ma chatte humide. C’est de ma faute, tu m’avais prévenu, j’aurais dû arrêter plus tôt, lorsque tu me l’a gentiment demandé. Peu importe, ce qui est fait est fait.
Je suis soulagé par les paroles de ma maîtresse qui semble vouloir pardonner ma désobéissance.
— Cependant, tu m’as désobéi, dit-elle. Et tu sais que je vais devoir te punir. Pour commencer, passe sous la table, je veux que tu me fasse jouir.
Je m’accroupis sous la table et relève le tailleur de ma maitresse. J’ai une vue parfaite sur sa vulve imberbe, étant donné qu’elle n’a pas remis sa culotte après nos ébats de début de soirée. Je glisse ma langue dans l’interstice humide et sens le gout de mon sperme mélangé à sa mouille qui coule entre ses lèvres. Avec application, je nettoie sa chatte souillée par ma semence et entreprends de masser avec application son clitoris. J’entends le raclement régulier de la cuillère contre l’assiette et les bruits de succion de ma maîtresse qui savoure sa soupe si originalement assaisonnée, et m’applique à détourner son attention. Alors que ma langue s’active toujours sur le bouton rosé de son clitoris, j’insère deux doigts dans sa fente dégoulinante. Je sens le contact métallique des boules de geisha sous mes doigts et hésite à les en sortir, afin de récupérer la clef qui libérera mon sexe, mais je commence à apprendre la soumission à laquelle s’attend ma patiente et je n’en fais rien. Au contraire, j’utilise les boules pour masser efficacement chaque recoin de son intimité, et je sens les parois de son vagin s’humidifier davantage. Les bruits de cuillère se sont arrêtés et je sens le corps de mon amante se contracter. D’une main, elle commence à se masser les seins, tandis qu’elle glisse l’autre dans ma tignasse brune et plaque ma tête sur son clitoris avec autorité. J’accentue mon cunnilingus et les caresses de mes doigts, elle gémit, se tord, pousse des cris de plaisir, et exulte finalement en inondant mon visage de cyprine. Elle jouit avec force et maintient ma tête plaquée contre son sexe afin que ce moment se prolonge. Je continue mon massage jusqu’à ce qu’elle m’ordonne d’arrêter et de me relever. Empoignant toujours mes cheveux de sa main gauche, elle tire ma tête en arrière et dépose sur mes lèvres un langoureux baiser.
— C’est bien. Tu t’es en partie fait pardonner. Mais ce n’est pas suffisant. Mange vite ta soupe, le reste du diner va arriver.
Je prends mon assiette creuse et me prépare à me servir lorsqu’elle m’interrompt.
— Non, dans un bol. Et mets-toi à genoux.
Je m’exécute, et m’agenouille face à elle. Elle prend le bol, me demande d’ouvrir la bouche et déverse dans ma gorge le liquide encore brûlant. Je manque de m’étouffer mais j’arrive à déglutir et à avaler le potage. Cependant, une partie de la soupe a débordé et a coulé le long de la jambe de ma maîtresse et sur son pied.
— Nettoie ! ordonne-elle.
Je prends une serviette et m’apprête à la nettoyer quand elle m’arrête.
— Pas comme ça. Lèche !
Je m’exécute, et lape avidement le liquide étendu sur la jambe et le pied de ma maîtresse. Cela m’excite au plus haut point et mon sexe redevient douloureux. Je ne suis pas fétichiste, mais son pied délicat habillé dans cette chaussure de cuir noir révèle en moi un désir caché.
Alors que je m’applique à nettoyer mon erreur, le majordome entre dans la pièce avec le dîner. Il ne semble pas remarquer l’homme nu qui lèche la jambe de sa patronne à moitié nue et ne fait aucune remarque. Pour ma part, je suis un peu gêné et m’arrête dans mon action, afin de tenter de dissimuler ma nudité à ce nouvel arrivant.
— Qui t’a dit de t’arrêter ? me demande Mme Corbois. Qu’as-tu donc ? Serait-ce la présence de Simon qui te gêne ainsi ?
Je hoche la tête en signe d’affirmation.
— Simon, la vue du Dr Karadjordjevic dans cette posture vous importune-elle ? demande-elle à son employé.
— Aucunement, Madame, répond l’intéressé.
— Tu vois, il n’y a rien à craindre, dit-elle. Simon n’a rien à faire d’une lopette telle que toi. Il te faut apprendre encore bien des choses, avant que tu ne deviennes l’esclave que tu mérites d’être. Regarde. Simon, comment me trouves-tu ?
— Splendide, répond le majordome, en restant droit comme un i.
— Et la vue de ma poitrine dénudée te fait-elle quelque effet ?
— Évidemment, Madame, qui resterait indifférent à un tel don de la nature ! Je bande comme un taureau à vous regarder ainsi.
— Mmmm… Quel flatteur vous êtes. Je veux en avoir le cœur net. Nemanja, vérifie que les propos de Simon sont exacts.
Interloqué, je défais la boucle de la ceinture du majordome et fait glisser son pantalon jusqu’à ses genoux. Il porte un boxer en coton blanc sous lequel on voit poindre la bosse de son sexe en érection. D’un regard vers Mme Corbois, je comprends que cela ne lui suffit pas, et je baisse à son tour le boxer, me retrouvant nez à nez avec un sexe érigé d’une taille acceptable. Mme Corbois se lève et caresse d’une main mon visage, puis passe son index le long de la hampe de son majordome qui se contracte sous le contact des doigts de sa patronne.
— Nous n’allons pas laisser ce sexe dans cet état, dit-elle. Nemanja, occupe t’en !
Je suis trop choqué pour oser bouger ni dire quoi que ce soit. Devant l’absence de réaction de ma part, ma maitresse pose sa main dans ma nuque et presse mes lèvres contre le gland turgescent du majordome. Passif et désœuvré, j’ouvre la bouche et me laisse remplir pour la première fois par le sexe d’un homme. Le contact est étonnant, à la fois dur et fragile, et je sens les veines gonflées de Simon sous ma langue. Ne voulant pas décevoir ma maîtresse, je m’active et fais des aller retours le long de la hampe tendue. Mme Corbois semble satisfaite de moi, aussi glisse-elle un doigt dans son entrejambe pour en extraire les geishas.
— C’est bien, dit-elle. Tu apprends vite. Si tu le fais jouir, je te libèrerai du gode et de l’anneau. Allez, suce-le !
Je m’exécute, et m’applique à bien avaler ce sexe jusqu’au fond de ma gorge. Je masse avec la main les grosses couilles pendantes de Simon tandis que ma langue s’active sur son gland. Elles sont énormes et j’appréhende la quantité de foutre qu’elles peuvent bien pouvoir contenir. De son côté, Mme Corbois s’est placée devant son majordome et le laisse pétrir avec force son énorme poitrine tandis qu’elle caresse avec délicatesse le torse poilu de son employé afin d’écourter mon supplice. Au bout de quelques minutes, je sens le sexe de Simon se tendre, et tout son corps se contracte alors qu’il se vide en salves dans ma gorge. Comme je le redoutait, il déverse dans ma bouche une quantité énorme de foutre amer et épicé, que je recrache aussitôt le long de son manche avec un haut le cœur. Mme Corbois m’ordonne d’avaler et de nettoyer avec application ce sexe qui m’a été offert. Je la regarde droit dans les yeux, et refuse avec fermeté, lui disant que je n’avalerai pas ce sperme ni ne resuçerai jamais la bite de Simon ni aucune autre, qu’elle le veuille ou non.
— Mmmm, j’adore quand tu me résiste, mon petit chéri, me dit-elle. Et je vais accepter ta requête. Si tu refuses les relations homosexuelles, soit, je ne te les imposerai plus. Et je te garderai juste pour moi, désormais. Viens, assied toi et dine, nous allons discuter de la suite de notre relation.
Au cours du dîner, nous nous sommes mis d’accord sur les conditions de notre relation et de ma soumission. Je devrais lui être totalement dévoué, et disponible pour elle à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Je devrais m’habiller comme elle l’ordonnera et porter les jouets qu’elle voudra, quand elle le voudra. Enfin, elle prit la petite clef d’argent cachée dans la boule de geisha et libéra mon sexe du carcan qui le retenait prisonnier. Elle retira le gode qu’elle avait mis dans mon fondement et m’autorisa à me rhabiller. Alors que je m’apprêtais à partir, elle me dit, du même ton autoritaire qu’elle avait eu plus tôt dans la soirée.
— D’ailleurs, j’allais oublier. J’ai bien réfléchi, depuis que tu m’as rempli de ta semence sans protection, tout à l’heure. Je ne vais pas prendre la pilule du lendemain et je ne vais pas remettre de stérilet. Je veux que tu me replisse régulièrement pour me rendre enceinte. Est-ce que c’est clair ?
— Limpide dis-je, sans critiquer la demander de ma maitresse, complètement soumis à sa volonté.
— Parfait. Allez, va mon petit chéri, tu dois te reposer, je risque de faire appel à toi bientôt.

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