Médiathèque - histoire érotique

Dans une médiathèque on trouve toute sorte de livres, de CD ou DVD. A condition d'y être abonné on peut tout avoir moyennant une redevance minime en début d'année. En principe tous les ouvrages disponibles sont à la disposition du public. C'est normalement la règle. Allez demander un ouvrage bien répertorié et introuvable. Je cherche un livre classé "érotique": c'est vrai qu'il est plutôt olé olé. Je cherche dans les rayons sans le trouver, ni par nom d'auteur, ni par le titre. Heureusement une jeune femme est à la disposition des abonnés. Je vais donc la voir. Elle regarde sur son ordinateur: le livre est bien là, par forcément où je cherchais: dans un endroit plus retiré: nous y allons ensemble. Elle trouve facilement, connaissant parfaitement les façons du classement. Elle le sort de sa place, regarde la couverture et rougi en me regardant. Elle a raison de rougir, la photo est des plus explicite: un couple entrain de faire l'amour. Elle garde le livre un moment dans la main avant de me le donner. Je le prends, elle le retient un moment. Je commence à comprendre son trouble, d'autant plus qu'elle me demande de l'attendre un instant. Je suis d'accord: elle me donne un baiser au coin des lèvres. Moins d'un quart d'heure plus tard, enfin elle est.
- Voulez vous me suivre,- Avec plaisir.
Je pense qu'elle connaît un endroit où nous pourrions feuilleter le bouquin. Cet endroit est à l'intérieur même du bâtiment. Nous entrons dans ce qui me semble être un vestiaire. Ce n'est pas encore là: vers le fond un petite porte donne dans un endroit qu'elle me dit connaître seule.
Simplement meublé à peine éclairé, un lieu propice à tout.
Ce tout pour le moment est un baiser sur la bouche: elle m'embrasse fort bien. Elle se serre contre moi. Je sens son bas ventre frotter contre le mien. Elle me fait bander. Elle le sens bien: elle continue. A mon tour d'aller à la recherche de ses trésors: toujours à travers ses vêtements je caresse un sein. Je continue en lui mettant directement la main au pubis. Elle écarte les jambes. Je la caresse à travers son jean. J'essaye de trouver la fermeture éclair. Il faut qu'elle m'aide. Je passe ma main dans le jean pour chercher ce qu'il y a dessous. Disons qu'il n'y a pas grand-chose, sinon un string des plus léger déjà bien mouillé. Je ne cherche pas longtemps son bouton que je caresse lentement. Elle n'essaye même pas de chercher ma queue pour ne s'occuper que de son plaisir qui monte. Elle jouit soudainement en poussant un énorme soupir:- Déshabillez moi.
- Et moi?
- Toi aussi.
- Tu veux que je te fasse l'amour ?
- Oui, maintenant;- Où, je ne vois rien.
Elle m'entraîne vers un endroit où se trouve ce qu'on peut appeler un lit.
Elle se couche simplement, me tend les bras. Je vais vers elle. Je ne veux pas la baiser de suite. Je pose ma tête sur ses cuisses, à la hauteur de son sexe: - Oui, j'aime: suces moi.
- Moi aussi j'aime, rend moi la même chose.
- Oui, à la condition que te me donne tout.
Si elle accepte déjà de tout prendre j'accepte. Je me couche près d'elle, je l'embrasse encore, je lui caresse les seins, je passe encore ma main sur son bouton: elle se tend en jouissant encore.
Je bande de plus en plus fort. Elle se sait puisqu'elle me branle également. Je vais entre ses jambes écartées. Je suis près, très près de son vagin. Je passe ma pine tout le long de ses lèvres intimes. Cette masturbation l'emmène encore au paradis des baiseuses. Elle m'arrête quand je suis juste à l'entrée de sa caverne. Je la lui mets à fond: elle gémit. Je commence les vas et viens: elle gémit plus fort. Pour elle qui prend un plaisir assez violant, elle veut que je sois encore plus en elle: elle passe ses jambes sur mes fesses. Elle s'y appuie poux m'aider dans mes mouvements.
Elle jouit encore alors que j'en suis à peine qu'au début de ma baise.
- Pourquoi tu as voulu qu'on baise ?
- A cause de la photo sur le livre.
- Je ne vois pas ce qu'il y a d'extraordinaire dans cette photo.
- Si, la femme que se fait mettre, c'est moi.
Je comprends le pourquoi du rosissement de ses joues et le besoin de baise. En attendant je parle d'elle, elle ne pense qu'à jouir. D'un seul coup, alors que j'allais jouir en elle, elle me fait sortir de son con.
- S'il te plait lèches moi le cul.
Je ne m'attendais pas à une telle demande. La voilà qui ce met en position, les fesses bien écartées, les reins soulevés. Je passe rapidement ma langue entre ses deux magnifiques globes. J'arrive à son anus. Je le lèche un peu, surtout au tour. Elle insiste. Je mets ma langue sur sa pastille qui s'écarte dès que je suis sur elle. Je dois y rentrer presque la longueur de ma langue. Elle gémit de plus en plus fort. Je sens une crispation de son anus quand elle jouit. C'est la première fois que je fais jouir une fille de cette façon.
- Encules moi, maintenant.
Elle me dirige complètement. Elle est en levrette, l'orifice bien ouvert. Je n'ai qu'à y entrer. Je la lui mets comme demandé. Elle gémit encore. Je sens encore son sphincter se fermer et s'ouvrir en cadence pendant ses orgasmes. Je ce ne me retiens plus du tout. Je jouis dans cul.
Nous restons un moment immobiles: elle m'embrasse:- Tu baises bien. Tu m'as bien faire jouir.
- Toi aussi tu baises bien. Où as-tu appris tous ce que tu sais.
- En fac de lettre, avec un groupe de copains et copines avec qui nous faisions l'amour pour nous décontracter.
- Avec d'autres fille aussi ?
- Bien sur, j'aime les deux.
- Et la photo ?
- C'est quand je sortais de fac, pour me faire un peu d'argent. Je me souviens que le photographe m'a baisé ensuite avec le gars avec qui l'étais. Nous avons baisé à trois. J'étais comblée avec une bite devant et l'autre derrière. Depuis je n'ai jamais baisé ainsi.
- Tu les as revu ?
- Non, jamais. Par contre je revois souvent une de mes amies de l'époque qui comme moi aime bien baiser.
- Avec toi seule ?
Non avec moi et d'autres. Nous aimons baiser à plusieurs: tu pourrai venir au moins une fois, tu verrai comment nous baisons et comment nous aimons le faire à trois.
- Je veux bien. Quand ?
- Demain soir chez moi. A moins que tu préfères chez toi.
Finalement c'est chez moi que nous devons nous retrouver. J'ai la soirée pour lire mon fameux bouquin. C'est vrai que la fille est bien la même. Je lis cet ouvrage de la main gauche. Il est plus que licencieux.
Le lendemain mati je n'échappe pas à une envie de me branler. Je le fais avec une foule de raffinement. Je jouis.
Enfin le soir est là: ma conquête de la veille est là avec une autre fille qui de prime abord me paraît aussi délurée que l'autre. Les présentations sont vite faire:- Fine, mon amie qui aime les filles et les garçons. Yves qui m'a bien baisée hier.
- Tu crois qu'il aimera ce que nous nous faisons.
Je n'en crois pas mes oreilles. Ces deux filles pensent déjà à ce que je pourrai penser en les voyant s'aimer. J'aurai envie de participer, tout simplementSans attendre de signal, elles se déshabillent lentement sans moi. Je les regarde avec beaucoup d'envie. J'aimerai les baiser ensemble avec deux bites. Elles semblent bien loin de vouloir s'occuper de moi. Elles s'embrassent à bouche que veux-tu, se caressent sans arrêt. Fine, l'amante, commence à branler l'autre fille qui jouit vite à cause de ma présence. Fine écarte ses jambes pour que la bouche de notre amante vienne la sucer. Placée comme elle est je peux venir enculer Fine. Elle a une paire de fesses extraordinaires. Je les caresse avec la langue. Je ne peux arriver à lui mettre ma langue dans le cul: la place est prise en partie pas la bouche de celle qui la suce. Je crains un rejet de mon organe. Pas du tout elle accepte volontiers ma queue. Je la sodomise un bon moment: elle jouit fort bien entre la langue qui la lèche et ma bite dans le cul.
Quand je sors d'elle j'ai droit à la bouche de notre commune amante. Elle me suce aussi bien, sinon mieux que la veille. Je décharge dans la bouche. Elle ne garde pas tout: elle partage mon sperme avec sa compagne et en trouve encore assez pour m'en donner un peu dans la bouche.
Les deus filles ont toujours envie de jouir. Elles se branlent chacune de son coté, en montrant bien à l'autre leur sexe avec les doigts qui leurs donnent du plaisir. Je profite du spectacle: deux folles qui sans pudeur aucune se masturbent.
J'ai enfin la queue qui se redresse. Je leur dis que je vais en baiser une: qu'elles choisissent laquelle. Je les oblige à faire un choix cornélien: elles me veulent toutes deux.
Je me mets sur le dos, dans le lit: je les invite à me partager. Elles savent ce que je veux dire:elles l'ont déjà fait souvent: Fine vient sur ma figure: j'ai toute sa fente sur ma bouche. Ma langue a un drôle de travail: fouiller tout une fente de fille: agréable au toucher et au goût. Notre amante vient seule sur ma bite. Elle s'agenouille de part est d'autre. Elle s'empale sur ma bite, à ma décharge je ne sais trop où elle se la met: finalement l'étroitesse autour de ma pine me fait comprendre qu'elle se l'ai mise dans le cul. Elle se branle à la fois, à moins que ce ne soit Fine qui le lui fasse. Elles jouissent souvent, plus que moi en tout cas. Il me tarde de jouir, j'en ai mal à la bite. Enfin la délivrance pour moi. Je donne tout mon sperme.
Elles se relèvent: mon foutre coule du cul de mon amante. Elles s'embrassent encore. J'espère les avoir satisfaite. C'est sans doute vrai: elles me veulent pour le samedi suivant.