MEI

Récit érotique écrit par CDuvert [→ Accès à sa fiche auteur]
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MEI
La nuit était tombée sur la plage, baignée par la lumière argentée d'une pleine lune parfaite. L'eau caressait doucement le rivage, créant un chemin lumineux sur les vagues qui semblait mener directement à cette femme mystérieuse.
Elle avançait pieds nus dans l'écume, sa robe blanche immaculée ondulant autour de ses jambes fines. Le corsage brodé de perles épousait parfaitement sa poitrine généreuse, dévoilée par un décolleté audacieux qui laissait ses épaules nues. Ses longs cheveux noirs dansaient dans la brise marine, encadrant un visage aux traits délicats.
Au loin, une étrange structure sur pilotis se dressait, ses fenêtres illuminées comme des yeux curieux observant la scène. C'était là que tout avait commencé, dans ce pavillon isolé au bout du ponton.
Elle s'appelait Mei. Arrivée trois jours plus tôt dans ce lieu de villégiature isolé, elle cherchait à fuir un mariage arrangé par sa famille. Le propriétaire du pavillon, un homme d'affaires occidental nommé Victor, l'avait accueillie sans poser de questions. Grand, élégant, avec cette assurance tranquille des hommes habitués à obtenir ce qu'ils désirent.
Ce soir, il l'avait invitée à dîner. Le repas s'était déroulé dans une atmosphère électrique, leurs regards s'accrochant sans cesse par-dessus les bougies vacillantes. Il lui avait offert cette robe blanche, prétextant une soirée spéciale.
"Mets-la," avait-il murmuré en lui tendant le paquet, sa voix grave faisant vibrer quelque chose au creux de son ventre. "Je veux te voir dedans."
Dans la chambre attenante, elle s'était glissée dans le tissu soyeux, frissonnant en sentant la fraîcheur du satin contre sa peau nue. La robe était magnifique mais indécente - aucun sous-vêtement ne pouvait être porté sans transparaître ou déformer les lignes parfaites du vêtement. Ses tétons durcis pointaient légèrement sous le tissu, et l'absence de culotte lui procurait une sensation de liberté troublante, l'air caressant son intimité à chaque mouvement.
Quand elle était revenue dans la salle à manger, son regard s'était assombri de désir, ses pupilles dilatées ne laissant qu'un mince anneau d'iris.
"Tourne-toi," avait-il ordonné d'une voix rauque, sa pomme d'Adam montant et descendant alors qu'il déglutissait avec difficulté.
Elle avait obéi, sentant le tissu léger tournoyer autour de ses jambes, révélant par moments la courbe de ses fesses. Le corsage serré comprimait sa poitrine, faisant ressortir ses seins qui débordaient presque du décolleté, leurs pointes tendues visibles sous le tissu fin.
"Parfait," avait-il soufflé en se levant, l'érection visible sous son pantalon. "Maintenant, sors."
"Pardon?"
"Sur la plage. Je veux te voir marcher sur la plage sous la lune."
Elle avait hésité, mais quelque chose dans son regard l'avait poussée à obéir. L'excitation de l'interdit, peut-être. La certitude qu'il la regardait depuis la terrasse.
Maintenant, elle avançait dans l'eau tiède, sentant le tissu s'alourdir et coller à ses cuisses. L'eau léchait ses mollets, puis ses genoux. La robe, de plus en plus transparente, révélait les contours de son corps, la courbe de ses hanches, le triangle sombre entre ses jambes.
Soudain, elle sentit une présence derrière elle. Victor l'avait suivie. Sans un mot, il posa ses mains sur ses épaules nues, son souffle chaud dans sa nuque faisant dresser tous les poils de son corps.
"Tu es magnifique," murmura-t-il contre son oreille, son souffle chaud contrastant avec la brise marine. "Comme une déesse de la mer."
Ses mains glissèrent le long de ses bras, puis remontèrent pour effleurer la naissance de ses seins. Elle frémit mais ne se déroba pas, sentant son sexe se contracter d'anticipation.
"Personne ne peut nous voir ici," continua-t-il en faisant descendre lentement le haut de sa robe. "Juste la lune et les vagues."
Ses seins jaillirent, libérés du tissu contraignant, leurs pointes durcies par l'air marin et l'excitation. Victor les caressa doucement, pinçant légèrement les tétons qui se dressaient sous ses doigts. Il les roulait entre son pouce et son index, tirant légèrement jusqu'à lui arracher un gémissement de plaisir mêlé de douleur.
"J'ai envie de toi depuis que tu as franchi le seuil de ma porte," avoua-t-il en faisant glisser une main le long de son ventre, puis plus bas, soulevant le tissu mouillé de sa robe.
Mei gémit quand ses doigts trouvèrent son sexe déjà humide. Il écarta délicatement ses lèvres intimes, exposant son clitoris gonflé qu'il frôla d'abord du bout des doigts, puis qu'il caressa en cercles lents. Il la caressa lentement, explorant ses plis intimes tandis que son autre main continuait de jouer avec ses seins, alternant entre caresses légères et pincements plus fermes.
"Écarte les jambes," ordonna-t-il, sa voix trahissant son excitation.
Elle obéit, s'ouvrant à lui dans l'eau peu profonde. Ses doigts s'enfoncèrent en elle, d'abord un, puis deux, la pénétrant avec une lenteur délibérée qui la rendait folle. Il les courbait légèrement, cherchant ce point sensible à l'intérieur d'elle, le trouvant enfin et le massant avec insistance jusqu'à ce que ses jambes tremblent.
"Tu es si mouillée," murmura-t-il, son souffle s'accélérant. "Et pas seulement à cause de l'océan."
Il la retourna brusquement pour l'embrasser avec fougue, sa langue envahissant sa bouche tandis que ses mains relevaient complètement sa robe. Le tissu blanc flottait autour d'eux comme un nuage dans l'eau sombre. Elle sentit son érection presser contre son ventre, dure et imposante sous le tissu trempé de son pantalon.
"Ici," dit-il en la soulevant, ses mains fermes agrippant ses fesses nues. "Enroule tes jambes autour de moi."
Elle s'accrocha à lui, sentant son sexe dur contre son ventre. D'un geste rapide, il ouvrit son pantalon, libérant son membre gonflé de désir. Elle le sentit, chaud et pulsant contre son entrée, la tête de son sexe frottant contre ses lèvres intimes, s'enduisant de son humidité.
"Regarde-moi," ordonna-t-il en la pénétrant d'un coup sec, s'enfonçant jusqu'à la garde.
Mei cria, submergée par la sensation de le sentir entièrement en elle, étirant ses parois, touchant des points qu'elle ne savait même pas sensibles. Il commença à bouger, la pilonnant sans retenue, chaque coup de reins l'envoyant un peu plus haut vers l'extase. Ses ongles s'enfoncèrent dans les épaules de Victor, laissant des marques en croissant de lune sur sa peau bronzée.
L'eau clapotait autour d'eux, rythmant leurs mouvements frénétiques. La lune éclairait leurs corps enlacés, exposés aux éléments et à d'éventuels regards. Les vagues venaient lécher leurs corps unis, ajoutant une sensation supplémentaire à leur étreinte passionnée.
"Et si quelqu'un nous voyait?" haleta-t-elle, excitée par cette idée, son sexe se contractant autour de lui à cette pensée.
"Laisse-les regarder," grogna-t-il en accélérant ses coups de boutoir, son bassin claquant contre le sien avec un bruit mouillé obscène. "Laisse-les voir comme tu prends du plaisir."
Cette idée décupla son excitation. Elle imagina des yeux invisibles les observant depuis la plage, depuis les fenêtres illuminées des maisons lointaines, peut-être même depuis le pavillon sur pilotis. L'idée d'être vue, exposée dans cet acte intime, la rendait folle de désir.
Victor la porta jusqu'au rivage sans se retirer d'elle, son sexe pulsant à l'intérieur de son fourreau humide, puis l'allongea sur le sable humide. Sa robe, trempée et transparente, s'étalait autour d'elle comme les ailes d'un ange déchu.
"Je veux te voir jouir sous la lune," dit-il en reprenant ses va-et-vient, plus profonds, plus brutaux, son pubis frottant contre son clitoris à chaque poussée.
Ses doigts trouvèrent son clitoris qu'il frotta en cercles précis, alternant entre pressions légères et plus fermes. Mei se cambra, au bord de l'orgasme, son sexe se contractant rythmiquement autour du membre de Victor.
"Pas encore," ordonna-t-il en ralentissant, se retirant presque entièrement avant de s'enfoncer à nouveau avec une lenteur délibérée. "Pas avant que je te le dise."
Il la retourna sur le ventre, relevant ses hanches pour la pénétrer par derrière. Le sable collait à sa peau mouillée, créant une friction délicieuse contre ses seins écrasés sur le sol. Dans cette position, son sexe semblait encore plus imposant, touchant des endroits qu'il n'avait pas atteints auparavant, la remplissant complètement.
"Tu aimes ça, n'est-ce pas?" souffla-t-il en s'enfonçant profondément en elle, son gland butant contre son col de l'utérus à chaque poussée. "Être prise comme une chienne en chaleur sur une plage publique."
"Oui," gémit-elle, abandonnant toute pudeur, son corps entier tremblant sous ses assauts. "Oui, j'aime ça. Baise-moi plus fort."
Il accéléra, ses testicules lourds claquant contre son sexe à chaque poussée, le bruit obscène de leurs corps se mêlant au fracas des vagues. Une de ses mains s'enroula autour de ses cheveux, tirant sa tête en arrière tandis que l'autre maintenait fermement sa hanche, ses doigts s'enfonçant dans sa chair tendre.
"Maintenant," grogna-t-il, son rythme devenant erratique. "Jouis pour moi maintenant."
L'orgasme la traversa comme une vague de fond, secouant tout son corps. Elle hurla son plaisir à la lune, se contractant violemment autour du sexe de Victor qui continuait de la pilonner sans merci. Des vagues de plaisir se succédaient, faisant trembler ses jambes et contracter son ventre, son sexe pulsant autour de lui comme pour le traire.
Il jouit peu après, se déversant en elle avec un grognement animal, ses doigts s'enfonçant dans la chair tendre de ses hanches. Elle sentit son sperme chaud l'emplir, coulant le long de ses cuisses quand il se retira enfin.
Ils restèrent ainsi un moment, haletants, leurs corps luisants sous la lumière lunaire. Puis il se retira doucement et la retourna pour l'embrasser tendrement, sa langue caressant la sienne avec une douceur qui contrastait avec la brutalité de leur étreinte précédente.
"Ce n'est que le début," promit-il en caressant son visage, son pouce essuyant une larme de plaisir qui avait coulé sur sa joue. "La nuit est encore jeune."
Il l'aida à se relever, rajustant sa robe déchirée qui ne cachait plus grand-chose de son corps ravagé par le plaisir. Le tissu collait à sa peau, révélant chaque courbe, chaque détail de son anatomie. Entre ses cuisses, elle sentait leur mélange intime couler lentement, marquant son territoire.
"Retournons au pavillon," murmura-t-il en léchant une goutte d'eau salée sur son épaule, puis descendant vers son sein qu'il mordilla légèrement. "J'ai d'autres projets pour toi."
Mei frissonna d'anticipation, sachant que cette nuit marquerait le début d'une nouvelle vie pour elle. Une vie où elle explorerait des plaisirs dont elle n'avait jamais osé rêver.
Mei et Victor regagnèrent le pavillon sur pilotis, leurs corps encore frémissants de leur étreinte passionnée sur la plage. La robe blanche de Mei, désormais transparente et déchirée par endroits, ne dissimulait plus rien de ses courbes délicates ni des traces de leur union récente. Ses cheveux noirs, emmêlés par le vent marin et les mains possessives de Victor, encadraient son visage aux joues encore rougies par le plaisir.
En approchant de la structure illuminée qui se détachait contre le ciel nocturne, Mei remarqua plusieurs silhouettes se mouvant derrière les fenêtres. Son cœur s'accéléra.
"Tu attendais quelqu'un?" demanda-t-elle à Victor, sa voix trahissant une nervosité mêlée d'excitation.
Un sourire énigmatique se dessina sur les lèvres de Victor. "Disons que j'avais prévu une suite à notre soirée."
Lorsqu'ils franchirent le seuil du pavillon, Mei découvrit trois personnes confortablement installées dans le salon. Deux hommes et une femme, tous vêtus avec élégance, sirotaient des verres de champagne. À leur entrée, les conversations s'interrompirent et tous les regards se tournèrent vers eux.
"Ah, vous voilà enfin," lança l'un des hommes, grand et athlétique, aux cheveux blonds coupés court. "Nous commencions à nous impatienter."
La femme, une rousse aux courbes généreuses moulées dans une robe noire, se leva avec grâce. "Nous avons profité du spectacle en attendant. Très... instructif."
Mei sentit le sang affluer à ses joues en comprenant que ces inconnus les avaient observés sur la plage. L'idée qu'ils aient été témoins de ses moments les plus intimes avec Victor provoqua en elle un mélange de honte et d'excitation qu'elle ne put réprimer.
"Mei, je te présente mes amis," annonça Victor en posant une main possessive sur sa hanche. "Éric, Sophia et Laurent. Ils sont venus spécialement pour te rencontrer."
Le second homme, Laurent, plus mince et plus jeune que le premier, s'approcha de Mei. Ses yeux sombres la détaillèrent sans pudeur, s'attardant sur les zones où sa robe mouillée collait à sa peau.
"Ta description ne lui rendait pas justice, Victor," murmura-t-il en tendant la main pour effleurer une mèche de cheveux de Mei. "Elle est exquise."
Victor sourit, visiblement satisfait. "Je vous avais prévenus." Il se tourna vers Mei, son regard s'assombrissant. "Mes amis et moi partageons certains... divertissements. Ce soir, si tu le veux bien, tu seras notre invitée d'honneur."
Sophia s'approcha à son tour, un verre à la main qu'elle tendit à Mei. "Bois, ma belle. Ça t'aidera à te détendre."
Mei hésita un instant, puis prit le verre et en avala une longue gorgée. L'alcool lui brûla la gorge mais répandit rapidement une chaleur agréable dans tout son corps.
"Nous avons préparé quelques jeux pour la soirée," expliqua Éric en se levant à son tour. "Des jeux où tu seras le centre de toutes les attentions."
Victor passa derrière Mei et posa ses mains sur ses épaules. "Tu es libre de refuser," murmura-t-il à son oreille. "Mais je pense que tu pourrais y prendre goût."
Mei sentit son cœur battre à tout rompre. Une partie d'elle voulait fuir, mais une autre, plus primitive, plus puissante, était curieuse de découvrir ce qui l'attendait.
"Quel genre de jeux?" demanda-t-elle d'une voix qu'elle ne reconnut pas.
Sophia sourit, révélant des dents parfaites. "Le premier s'appelle 'Vérité ou Conséquence'. Mais notre version est un peu... particulière."
Laurent sortit un foulard de soie noire de sa poche. "Pour commencer, nous allons te bander les yeux. Cela rendra l'expérience plus intense."
Mei regarda Victor, cherchant son approbation. Il hocha imperceptiblement la tête, ses yeux brillant d'anticipation.
"D'accord," souffla-t-elle finalement.
Laurent s'approcha et noua délicatement le foulard autour de sa tête, plongeant Mei dans l'obscurité. Aussitôt, ses autres sens s'aiguisèrent. Elle perçut le bruissement des vêtements autour d'elle, sentit des mains inconnues défaire les lacets de sa robe déjà en lambeaux.
"Le jeu commence maintenant," murmura la voix de Victor tout près de son oreille. "Et crois-moi, ce n'est que le début d'une longue nuit de découvertes."
Privée de la vue, Mei se laissa guider vers ce qui semblait être le centre de la pièce, son corps nu frémissant sous les regards qu'elle devinait avides et les caresses qui commençaient déjà à explorer sa peau.
La nuit s'étirait, lourde de promesses sensuelles. Mei, le corps frémissant d'anticipation, se tenait au centre de la pièce, les yeux bandés par le foulard de soie noire. L'obscurité forcée exacerbait chacun de ses autres sens - le bruissement soyeux des vêtements qu'on retire, les respirations qui s'accéléraient autour d'elle, les effluves entêtants de parfums luxueux mêlés à l'odeur plus animale de l'excitation.
Soudain, elle sentit des mains sur elle. Douces, aux ongles légèrement pointus qui effleuraient sa peau nue comme des plumes. Puis d'autres, plus larges, plus rugueuses, avec des callosités qui créaient un contraste délicieux. Ces mains inconnues exploraient son corps sans retenue, s'appropriant chaque centimètre de sa peau. Elle ne savait pas à qui elles appartenaient et cette incertitude décuplait son excitation, faisant perler une humidité chaude entre ses cuisses.
Des doigts agiles défaisaient les derniers lambeaux de sa robe déjà déchirée par sa précédente étreinte avec Victor sur la plage. Le tissu glissa le long de son corps comme une caresse liquide, la laissant entièrement nue et vulnérable sous les regards qu'elle devinait avides.
"Tu es magnifique," murmura la voix de Sophia tout près de son oreille, son accent légèrement traînant ajoutant une sensualité supplémentaire à ses mots. "Ta peau est comme de la soie."
Mei sentit le souffle chaud et parfumé de la femme sur sa nuque, puis ses lèvres pulpeuses qui se posaient délicatement sur son cou. La langue de Sophia, humide et brûlante, traça un chemin sinueux jusqu'à son oreille, qu'elle mordilla doucement avant d'y glisser la pointe, mimant l'acte sexuel d'une manière qui fit frémir Mei jusqu'au plus profond de son être. Elle ne put retenir un gémissement qui sembla résonner dans la pièce silencieuse.
Pendant ce temps, d'autres mains - celles d'Éric ou de Laurent, elle ne savait pas - parcouraient son corps avec une assurance possessive. Elles s'attardèrent sur ses seins, les soupesant d'abord avec délicatesse avant de les pétrir avec une fermeté croissante. Ses tétons, déjà sensibilisés par sa précédente étreinte avec Victor, se dressèrent douloureusement sous ces caresses expertes, devenant deux pointes dures qui semblaient supplier qu'on s'occupe d'elles.
Comme en réponse à cette prière silencieuse, une bouche chaude - celle de Victor, elle en était presque certaine - se referma sur l'un d'eux, l'aspirant profondément. Sa langue tournoyait autour de l'aréole sensible avant de la taquiner du bout des dents, alternant entre succion puissante et mordillements délicats qui envoyaient des décharges électriques directement entre ses jambes.
"Écarte les jambes," ordonna la voix grave et autoritaire de Victor, son ton ne laissant place à aucune hésitation.
Mei obéit instinctivement, tremblante d'anticipation. Ses cuisses s'ouvrirent, exposant son sexe luisant d'humidité à la vue de tous. Elle sentit aussitôt des doigts se glisser entre ses lèvres intimes, les écartant délicatement pour mieux exposer son clitoris gonflé. Un pouce expert commença à le caresser en cercles lents et précis, tandis qu'un autre doigt - peut-être celui d'une autre personne - explorait son entrée trempée.
"Elle est déjà inondée," commenta Laurent d'une voix rauque, trahissant son excitation. "Sa chatte est si rose, si parfaite."
Les caresses s'intensifièrent. Sophia suçait et mordillait maintenant ses seins avec voracité, passant de l'un à l'autre, laissant des marques rouges sur la peau pâle de Mei. Pendant ce temps, les hommes exploraient chaque recoin de son corps - l'un d'eux, probablement Éric, s'était agenouillé entre ses jambes et soufflait doucement sur son sexe exposé, créant un contraste saisissant entre la chaleur de son souffle et la fraîcheur de l'air ambiant.
Mei haletait, perdue dans un tourbillon de sensations. Son corps n'était plus qu'un instrument entre les mains de ces musiciens experts, chacun jouant sa partition pour créer une symphonie de plaisir. Son bassin ondulait involontairement, cherchant plus de contact, plus de friction.
Soudain, elle sentit qu'on la soulevait. Plusieurs mains la portèrent avec précaution, la déplaçant dans la pièce. On l'allongea sur une surface douce et fraîche - probablement le grand lit qu'elle avait aperçu plus tôt dans la chambre principale. Des mains fermes écartèrent ses jambes, les maintenant ouvertes dans une position d'offre totale. Elle entendit le bruit caractéristique d'un emballage qu'on déchire, puis celui, plus subtil mais tout aussi reconnaissable, d'un préservatif qu'on déroule sur un sexe durci par le désir.
"Je vais te prendre maintenant," annonça Éric d'une voix qui ne cachait plus son excitation. "Et les autres vont regarder chaque seconde, chaque expression sur ton visage pendant que je te baise."
Mei gémit d'anticipation, son sexe se contractant à cette idée. Elle sentit le gland épais d'Éric se presser contre son entrée, s'enduisant de son humidité avant de commencer à la pénétrer avec une lenteur délibérée. Il était imposant, bien plus large que Victor, étirant délicieusement ses parois intimes jusqu'à la limite du supportable. Chaque centimètre gagné arrachait à Mei un gémissement plus aigu que le précédent.
"Putain, elle est serrée," grogna Éric, sa voix trahissant l'effort qu'il faisait pour se contrôler.
Une fois complètement enfoncé en elle, il resta immobile un instant, permettant à son corps de s'adapter à cette intrusion massive. Puis il commença à bouger, d'abord en retraits et poussées mesurés, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort. Chaque coup de reins faisait claquer ses testicules contre les fesses de Mei, produisant un bruit obscène qui résonnait dans la pièce.
Pendant ce temps, Sophia s'était installée près de sa tête, son corps nu et parfumé à portée de main. Mei sentit les doigts de la femme caresser ses lèvres, puis Sophia guida doucement mais fermement la bouche de Mei vers son sexe épilé et déjà luisant.
"Lèche-moi," ordonna-t-elle d'une voix qui ne souffrait aucun refus. "Montre-moi ce que cette jolie bouche sait faire."
Mei obéit avec un enthousiasme qui la surprit elle-même, sa langue explorant avidement les plis intimes de Sophia. Elle goûta sa saveur légèrement salée, sentit les contractions de son sexe quand elle trouva son clitoris gonflé et commença à le titiller du bout de la langue. Les gémissements de Sophia au-dessus d'elle l'encourageaient à continuer, à explorer plus profondément.
Pendant qu'elle se perdait dans cette exploration, Éric la pilonnait sans relâche, son rythme devenant de plus en plus erratique à mesure que son plaisir montait. Les mains de Victor et Laurent parcouraient son corps, pinçant ses tétons, caressant son ventre, s'attardant parfois sur son clitoris exposé pour ajouter à son plaisir.
L'odeur musquée de Sophia, les gémissements rauques des hommes qui les observaient, le claquement obscène des chairs moites qui se rencontrent, la sensation d'être remplie, possédée, utilisée pour le plaisir de tous... Tout se mélangeait dans un cocktail grisant de luxure pure qui submergeait Mei, effaçant toute pensée cohérente de son esprit.
L'orgasme la prit par surprise, déferlant sur elle comme une vague de fond. Il commença au plus profond de son ventre, là où le sexe d'Éric continuait de la marteler, puis se propagea en ondes concentriques jusqu'à l'extrémité de ses membres. Elle cria son plaisir contre le sexe de Sophia, son corps se contractant violemment autour du membre d'Éric, ses ongles s'enfonçant dans les cuisses de la femme au-dessus d'elle.
Son orgasme sembla déclencher celui de Sophia, qui se mit à onduler frénétiquement contre sa bouche, inondant ses lèvres d'une nouvelle vague d'humidité. Éric suivit peu après, s'enfonçant une dernière fois jusqu'à la garde avant de se figer, son sexe pulsant puissamment en elle tandis qu'il se déversait dans le préservatif.
Pendant quelques instants, seules leurs respirations haletantes troublèrent le silence de la pièce. Puis Mei sentit qu'on lui retirait son bandeau. La lumière tamisée l'éblouit momentanément. Quand sa vision s'éclaircit, elle vit les quatre visages qui l'entouraient, tous marqués par le désir et l'admiration.
Victor se pencha vers elle, ses yeux brillant d'une lueur prédatrice. "Tu as été parfaite," murmura-t-il en caressant sa joue. "Mais ce n'était que le début. La nuit est encore jeune, et chacun d'entre nous a des projets pour toi."
Laurent s'approcha à son tour, son sexe dressé témoignant de son excitation. "Mon tour maintenant," dit-il en sortant d'un tiroir proche plusieurs objets que Mei ne distinguait pas clairement. "Et j'ai quelques idées pour pousser tes limites un peu plus loin."
Mei frissonna, non de peur mais d'anticipation. Cette nuit promettait d'être la plus intense de sa vie, et elle était prête à se soumettre entièrement à ces nouveaux plaisirs.
La nuit avançait, baignant le pavillon sur pilotis d'une lueur bleutée semblable à celle qui enveloppait Mei lors de sa première rencontre avec Victor sur la plage. Laurent, le plus jeune des amis de Victor, s'approcha d'elle avec une détermination tranquille dans le regard. Son corps nu luisait sous la lumière tamisée, son sexe toujours dressé témoignant de son excitation.
"Allonge-toi au centre du lit," ordonna-t-il d'une voix douce mais ferme qui ne souffrait aucune contestation.
Mei obéit, encore frémissante de son précédent orgasme. Son corps était couvert d'une fine pellicule de sueur, ses cheveux noirs éparpillés sur les draps de soie comme une auréole sombre. Laurent ouvrit un tiroir de la table de nuit et en sortit quatre liens de soie noire.
"Écarte tes bras et tes jambes," commanda-t-il en dépliant les liens avec une lenteur délibérée.
Le cœur de Mei s'accéléra. Elle jeta un regard vers Victor qui l'observait depuis un fauteuil, son sexe à moitié durci dans sa main. Il hocha imperceptiblement la tête, l'encourageant silencieusement.
Laurent attacha d'abord ses poignets, nouant les liens de soie aux montants du lit avec une dextérité qui trahissait l'habitude. La soie était douce contre sa peau, mais les nœuds étaient solides, immobilisant efficacement ses bras. Il passa ensuite à ses chevilles, les écartant largement avant de les fixer aux pieds du lit.
"Parfait," murmura-t-il en contemplant son œuvre.
Mei était maintenant complètement exposée, offerte, incapable du moindre mouvement. Son sexe luisant s'ouvrait comme une fleur entre ses cuisses écartées, encore humide de son précédent orgasme et de l'excitation renouvelée que provoquait sa position vulnérable.
Laurent retourna au tiroir et en sortit plusieurs objets qu'il disposa soigneusement sur le lit à côté d'elle. Un vibromasseur de taille imposante, un petit œuf vibrant relié à une télécommande, un flacon de lubrifiant et plusieurs pinces à tétons.
"Tu as déjà utilisé des jouets?" demanda-t-il en ouvrant le flacon de lubrifiant dont l'odeur fruitée se répandit dans l'air.
"Non," avoua Mei, sa voix à peine plus forte qu'un murmure.
Laurent sourit, visiblement ravi de cette réponse. "Alors je vais t'initier."
Il versa une généreuse quantité de lubrifiant sur ses doigts et les approcha du sexe exposé de Mei. Elle tressaillit au premier contact, la fraîcheur du gel contrastant avec la chaleur de son intimité. Les doigts de Laurent explorèrent délicatement ses plis, s'attardant sur son clitoris qu'il massa en cercles lents.
"Regardez comme elle est sensible," commenta-t-il à l'intention des autres qui s'étaient installés autour du lit pour observer la scène.
Sophia s'était assise sur les genoux d'Éric, son dos contre son torse, tandis qu'il caressait distraitement ses seins. Victor s'était rapproché, son regard intense ne quittant pas le visage de Mei, guettant chaque expression de plaisir.
Laurent prit le petit œuf vibrant et l'alluma à la puissance minimale. Un bourdonnement discret emplit la pièce. Il l'approcha du sexe de Mei, le faisant d'abord glisser le long de ses lèvres extérieures, puis remontant vers son clitoris.
"Oh!" s'exclama Mei, surprise par l'intensité de la sensation.
Laurent sourit et commença à faire des cercles autour de son bouton sensible, sans jamais le toucher directement, créant une frustration délicieuse qui fit se tordre Mei contre ses liens. Puis, sans prévenir, il pressa l'œuf directement sur son clitoris et augmenta la puissance.
Le corps de Mei se tendit comme un arc, un cri étranglé s'échappant de sa gorge. La vibration était intense, presque trop, envoyant des vagues de plaisir qui se propageaient dans tout son corps. Laurent maintint l'œuf en place, observant avec fascination les réactions de Mei.
"Elle va jouir," murmura Sophia, sa main glissant entre ses propres cuisses.
Laurent retira brusquement l'œuf, arrachant un gémissement de frustration à Mei. Son bassin se souleva, cherchant désespérément à retrouver cette stimulation.
"Pas encore," dit Laurent en caressant l'intérieur de sa cuisse. "Je veux te faire durer."
Il prit alors le vibromasseur plus large et l'enduisit généreusement de lubrifiant. L'objet brillait sous la lumière, imposant et intimidant. Laurent le positionna à l'entrée du sexe de Mei et commença à le pousser lentement.
Mei haleta en sentant l'objet l'étirer, plus large que le sexe d'Éric qui l'avait prise précédemment. Laurent le faisait pénétrer millimètre par millimètre, observant attentivement son visage pour s'assurer qu'il ne lui faisait pas mal.
"Respire," conseilla-t-il. "Détends-toi et accueille-le."
Mei prit une profonde inspiration et sentit son corps s'ouvrir, acceptant finalement l'intrusion. Laurent poussa le vibromasseur jusqu'à ce qu'il soit presque entièrement enfoncé en elle, puis l'activa.
L'effet fut immédiat et dévastateur. Le jouet vibrait puissamment contre ses parois internes, stimulant des points qu'elle ne savait même pas sensibles. Mei se mit à gémir sans retenue, tirant sur ses liens qui la maintenaient impitoyablement en place.
"Putain, c'est magnifique," souffla Éric qui s'était mis à caresser son sexe durci tout en continuant à pétrir les seins de Sophia.
Laurent jouait avec le vibromasseur, le faisant aller et venir lentement, le tournant parfois pour changer l'angle de stimulation. Avec son autre main, il reprit l'œuf vibrant et le posa à nouveau sur le clitoris exposé de Mei.
La double stimulation était presque insupportable. Mei sentait un orgasme monumental se construire au creux de son ventre, plus puissant que tout ce qu'elle avait connu auparavant. Ses gémissements se transformèrent en cris, son corps entier tremblait sous l'assaut du plaisir.
"Pas encore," ordonna Laurent en retirant à nouveau l'œuf, laissant uniquement le vibromasseur en elle. "Je veux que tu me supplies."
Mei gémit de frustration, son corps couvert de sueur, ses hanches se soulevant désespérément pour chercher plus de stimulation.
"S'il te plaît," haleta-t-elle. "S'il te plaît, laisse-moi jouir."
Laurent sourit, satisfait. "Pas avant que tu m'aies donné du plaisir aussi."
Il se déplaça vers la tête du lit, son sexe dressé à quelques centimètres du visage de Mei. D'une main, il continuait à faire aller et venir le vibromasseur en elle, de l'autre, il guida son membre vers ses lèvres.
"Ouvre la bouche," ordonna-t-il. "Et montre-moi ce que tu sais faire."
Mei obéit, ouvrant largement la bouche pour accueillir son sexe. Laurent s'y enfonça lentement, savourant la chaleur humide qui l'enveloppait. Il commença à bouger, poussant de plus en plus profondément, attentif à ne pas l'étouffer.
"Putain, sa bouche est divine," grogna-t-il en accélérant légèrement le rythme.
Autour du lit, les autres s'étaient mis à se caresser ouvertement. Victor se masturbait en regardant intensément le visage de Mei, ses expressions alors qu'elle s'efforçait d'accueillir le sexe de Laurent dans sa bouche tout en subissant les vibrations incessantes du jouet en elle. Sophia s'était tournée sur les genoux d'Éric et le chevauchait maintenant, son dos cambré offrant une vue parfaite de leur union à Mei.
Laurent augmenta la puissance du vibromasseur tout en continuant à pilonner la bouche de Mei. Elle gémissait autour de son sexe, les vibrations de sa gorge ajoutant à son plaisir. Ses hanches se soulevaient frénétiquement, cherchant désespérément à atteindre l'orgasme qui lui était refusé.
"Tu veux jouir?" demanda Laurent en ralentissant ses mouvements dans sa bouche.
Mei hocha frénétiquement la tête, les yeux suppliants.
"Alors fais-moi jouir d'abord," exigea-t-il. "Montre-moi à quel point tu es douée avec cette jolie bouche."
Mei redoubla d'efforts, utilisant sa langue pour caresser le dessous de son gland à chaque va-et-vient, creusant ses joues pour créer une succion plus intense. Laurent grogna d'approbation, ses mouvements devenant plus erratiques.
"Je vais jouir," annonça-t-il, sa voix tendue par l'effort. "Et tu vas tout avaler."
Il s'enfonça profondément une dernière fois et se figea, son sexe pulsant dans la bouche de Mei alors qu'il se déversait. Elle avala docilement, les yeux fermés, concentrée sur la sensation du vibromasseur qui continuait de la torturer délicieusement.
Dès que Laurent se retira de sa bouche, il reprit l'œuf vibrant et le pressa fermement contre son clitoris gonflé.
"Maintenant," dit-il simplement. "Jouis pour nous."
L'orgasme explosa en elle comme un raz-de-marée, balayant tout sur son passage. Son corps entier se tendit contre les liens, ses cris résonnant dans la pièce. Les vagues de plaisir se succédaient sans fin, amplifiées par les vibrations incessantes des jouets et les regards avides qui ne la quittaient pas.
Quand enfin les derniers soubresauts s'estompèrent, Laurent éteignit les jouets et les retira doucement. Mei resta allongée, haletante, épuisée, son corps luisant de sueur, ses cuisses trempées de son propre plaisir.
"Je crois qu'il est temps de te libérer," murmura Sophia en se penchant sur elle, son parfum enivrant - un mélange de jasmin et de musc - envahissant les narines de Mei.
Avec des gestes délicats mais assurés, Sophia défit les nœuds qui retenaient les poignets de Mei. Ses doigts s'attardèrent sur la peau marquée par les liens, y traçant de petits cercles apaisants. Puis elle passa aux chevilles, prenant son temps, caressant la courbe du mollet, l'arche du pied, avant de défaire complètement les entraves.
"Tourne-toi," ordonna doucement Sophia. "Sur le ventre."
Mei obéit, ses membres engourdis retrouvant peu à peu leur mobilité. Elle sentit le matelas s'affaisser quand Sophia monta sur le lit et s'installa à califourchon sur ses cuisses. Les mains de la rousse se posèrent sur ses épaules et commencèrent à les masser avec expertise.
"Tu es tendue," constata Sophia, ses pouces trouvant et défaisant méthodiquement chaque nœud de tension. "Laisse-moi t'aider à te détendre."
Ses mains descendirent le long de la colonne vertébrale de Mei, s'attardant sur chaque vertèbre, puis s'écartèrent pour masser ses flancs, frôlant la naissance de ses seins à chaque passage. Mei soupira de bien-être, son corps s'abandonnant sous ces caresses expertes.
"C'est ça," encouragea Sophia. "Laisse-toi aller."
Les hommes s'étaient installés autour du lit, silencieux mais attentifs. Victor avait pris place dans un fauteuil près de la fenêtre, son regard intense ne quittant pas les deux femmes. Éric et Laurent s'étaient assis sur un canapé bas, leurs sexes à demi dressés témoignant de leur excitation renouvelée.
Les mains de Sophia descendirent plus bas, massant les fesses fermes de Mei, les pétrissant avec une appréciation non dissimulée. Ses pouces s'aventurèrent dans le sillon entre ses fesses, effleurant son intimité arrière sans s'y attarder, puis glissèrent entre ses cuisses, trouvant son sexe encore sensible.
"Tu es encore si mouillée," murmura Sophia avec approbation. "Tourne-toi maintenant. Je veux voir ton visage."
Mei se retourna, exposant sa nudité au regard appréciateur de Sophia. La rousse était magnifique dans sa propre nudité - sa peau laiteuse parsemée de taches de rousseur, ses seins généreux aux tétons roses dressés, la toison rousse soigneusement taillée entre ses cuisses.
"Tu n'as jamais été avec une femme, n'est-ce pas?" demanda Sophia en se penchant pour effleurer les lèvres de Mei des siennes.
"Non," avoua Mei, son cœur s'accélérant d'anticipation.
"Alors laisse-moi te montrer ce qu'une femme peut faire pour une autre femme," sourit Sophia. "Nous connaissons notre corps mieux que n'importe quel homme."
Elle se pencha et captura les lèvres de Mei dans un baiser profond, sa langue s'insinuant entre ses lèvres avec une douceur insistante. Contrairement aux baisers plus brutaux des hommes, celui-ci était langoureux, exploratoire, une danse sensuelle plutôt qu'une conquête.
Les mains de Sophia trouvèrent les seins de Mei, les caressant avec une délicatesse que seule une autre femme pouvait avoir. Ses doigts effleuraient à peine les tétons sensibles, créant une frustration délicieuse qui fit gémir Mei contre ses lèvres.
"Patience," murmura Sophia en s'écartant légèrement. "Nous avons toute la nuit."
Elle traça un chemin de baisers le long du cou de Mei, s'attardant sur la clavicule, puis descendit vers ses seins. Sa langue tournoya autour d'un téton, le taquinant sans jamais le toucher directement, puis elle souffla doucement dessus, provoquant une chair de poule exquise.
"Regarde-les," chuchota Sophia en désignant les hommes d'un mouvement de tête. "Regarde comme ils nous dévorent des yeux. Ils se touchent en nous regardant, mais ils n'ont pas le droit de participer. Pas encore."
Mei tourna la tête et vit en effet les trois hommes qui les observaient avec une intensité presque palpable. Victor se masturbait lentement, son regard brûlant fixé sur elles. Éric et Laurent faisaient de même, leurs respirations de plus en plus audibles dans le silence de la pièce.
"Ils adorent nous voir ensemble," continua Sophia en prenant enfin un téton dans sa bouche, l'aspirant profondément.
Mei gémit, son dos s'arquant sous la sensation. Les lèvres et la langue de Sophia créaient un plaisir différent de celui des hommes - plus doux mais tout aussi intense, comme si elle savait exactement quelle pression appliquer, quel rythme adopter.
Sophia passa à l'autre sein, lui accordant la même attention minutieuse, puis commença à descendre, traçant un chemin humide le long du ventre plat de Mei. Ses mains écartèrent doucement ses cuisses, exposant son sexe luisant aux regards de tous.
"Tu es si belle ici," murmura Sophia en effleurant les lèvres intimes de Mei du bout des doigts. "Si parfaite."
Elle se pencha et souffla doucement sur le clitoris gonflé de Mei, provoquant un frisson qui remonta le long de sa colonne vertébrale. Puis, sans prévenir, elle donna un long coup de langue qui fit crier Mei de surprise et de plaisir.
"C'est ça," encouragea Victor depuis son fauteuil, sa voix rauque de désir. "Montre-lui ce que tu sais faire, Sophia."
Encouragée, Sophia redoubla d'efforts, sa langue explorant chaque recoin du sexe de Mei avec une précision dévastatrice. Elle alternait entre de larges coups de langue qui parcouraient toute sa fente et des mouvements plus ciblés autour de son clitoris, sans jamais établir un rythme prévisible.
Mei haletait, ses mains s'agrippant aux draps, son bassin ondulant involontairement contre la bouche de Sophia. La sensation était indescriptible - différente de tout ce qu'elle avait connu auparavant. La langue de Sophia semblait connaître exactement les points à stimuler, la pression à appliquer, le moment où ralentir et celui où accélérer.
"Tourne-toi," ordonna soudain Sophia en se redressant. "Je veux que nous nous goûtions mutuellement."
Mei comprit ce qu'elle voulait et se repositionna, permettant à Sophia de s'allonger sur elle dans la position du 69. Le sexe de la rousse était maintenant juste au-dessus de son visage, offert à sa bouche, tandis que Sophia reprenait sa délicieuse torture entre ses cuisses.
Avec une hésitation initiale rapidement remplacée par la curiosité et le désir, Mei leva la tête et donna un premier coup de langue timide. Le goût de Sophia - légèrement salé, musqué mais étrangement addictif - l'encouragea à continuer. Elle explora les plis intimes de la rousse, imitant ce que celle-ci lui faisait, apprenant par l'exemple.
Les gémissements étouffés de Sophia contre son sexe lui indiquèrent qu'elle était sur la bonne voie. Enhardis, ses mouvements devinrent plus assurés, sa langue trouvant le clitoris gonflé de Sophia et commençant à le caresser en cercles lents.
Autour d'elles, les hommes s'étaient rapprochés, leurs respirations lourdes se mêlant aux gémissements des deux femmes. L'odeur de musc et de sexe emplissait la pièce, créant une atmosphère enivrante de luxure pure.
Sophia glissa deux doigts dans le sexe de Mei tout en continuant à lécher son clitoris. La double stimulation fit voir des étoiles à Mei, qui redoubla d'efforts entre les cuisses de Sophia, déterminée à lui rendre le plaisir qu'elle lui donnait.
"Putain, c'est la chose la plus érotique que j'ai jamais vue," grogna Éric, sa main accélérant sur son sexe.
Les doigts de Sophia trouvèrent ce point spécial à l'intérieur de Mei, celui qui la faisait se cambrer de plaisir. Elle le massa sans relâche tout en suçant son clitoris avec une intensité croissante.
L'orgasme prit Mei par surprise, déferlant sur elle comme une vague de fond. Elle cria contre le sexe de Sophia, son corps entier se tendant sous l'assaut du plaisir. Ses cuisses se refermèrent instinctivement autour de la tête de Sophia, qui ne ralentit pas, prolongeant son extase jusqu'à ce qu'elle la supplie d'arrêter, trop sensible pour supporter davantage.
Sophia se redressa, son visage luisant de l'essence de Mei, un sourire satisfait sur les lèvres. "Tu apprends vite," complimenta-t-elle en se retournant pour faire face à Mei. "Mais tu n'as pas fini ton travail."
Elle s'installa à califourchon sur le visage de Mei, son sexe à quelques centimètres de sa bouche. "Fais-moi jouir maintenant," ordonna-t-elle doucement. "Montre aux garçons ce que tu as appris."
Mei obéit avec enthousiasme, sa langue trouvant immédiatement le clitoris de Sophia et commençant à le caresser avec une assurance nouvelle. Sophia se mit à onduler contre sa bouche, contrôlant le rythme et la pression, utilisant le visage de Mei pour son propre plaisir.
"C'est ça," gémit-elle, une main agrippant la tête de lit, l'autre tenant les cheveux de Mei pour la maintenir en place. "Juste comme ça."
Les hommes s'étaient encore rapprochés, formant un cercle autour du lit. Victor s'était placé près de la tête de Mei, son sexe dressé à quelques centimètres de son visage et de celui de Sophia. Laurent et Éric étaient de chaque côté, leurs mains accélérant sur leurs membres tendus.
Sophia sentit son orgasme approcher et accentua ses mouvements, se frottant sans retenue contre la bouche de Mei. "Je vais jouir," haleta-t-elle, ses cuisses se mettant à trembler. "Oh putain, je vais jouir."
L'orgasme la traversa comme une décharge électrique, son corps se raidissant avant de convulser contre le visage de Mei. Elle cria son plaisir sans retenue, son sexe pulsant contre la langue de Mei qui continuait de la caresser, prolongeant son extase.
Quand enfin elle s'écarta, épuisée et satisfaite, elle se pencha pour embrasser Mei, goûtant sa propre essence sur ses lèvres. "Tu es une élève douée," murmura-t-elle avec un sourire complice.
Victor s'approcha, son sexe toujours dressé témoignant de son excitation. "C'était magnifique," dit-il, sa voix rauque de désir contenu. "Mais maintenant, je crois que c'est à notre tour de vous montrer ce que les hommes peuvent faire."
"Il est temps de passer à quelque chose de plus... intense," murmura-t-il en caressant la joue de Mei. "Nous voulons tous te posséder. En même temps."
Le cœur de Mei s'accéléra. Elle avait déjà été prise par Éric, puis Laurent avait utilisé sa bouche, mais l'idée d'être possédée par les trois hommes simultanément éveillait en elle un mélange de peur et d'excitation vertigineuse.
"Je... je n'ai jamais..." balbutia-t-elle.
"Nous serons doux," promit Victor en l'aidant à se redresser. "Du moins au début."
Sophia, qui observait la scène depuis le bord du lit, sourit avec une complicité féminine. "Ne t'inquiète pas," dit-elle en tendant un flacon de lubrifiant à Laurent. "Je veillerai à ce qu'ils prennent soin de toi."
Laurent prit le flacon avec un sourire prédateur. "Je m'occupe de la préparer," annonça-t-il.
Victor acquiesça et guida Mei vers le centre du lit. "Mets-toi à quatre pattes," ordonna-t-il doucement mais fermement.
Mei obéit, son corps tremblant légèrement d'anticipation. Dans cette position, elle se sentait terriblement exposée, ses fesses offertes aux regards, son sexe luisant visible entre ses cuisses.
Laurent s'agenouilla derrière elle, versant une généreuse quantité de lubrifiant sur ses doigts. "Détends-toi," murmura-t-il en caressant la courbe de ses fesses. "Je vais te préparer pour ce qui va suivre."
Ses doigts lubrifiés trouvèrent l'entrée de son intimité arrière, la caressant en cercles lents pour la détendre. Mei se crispa instinctivement au premier contact, mais les caresses patientes de Laurent et les murmures encourageants de Sophia l'aidèrent à se relaxer progressivement.
Pendant ce temps, Victor s'était positionné devant elle, son sexe dressé à hauteur de son visage. "Ouvre la bouche," ordonna-t-il en guidant son membre vers ses lèvres.
Mei accueillit son sexe, sa langue tournoyant autour du gland sensible tandis que Laurent insérait délicatement un premier doigt dans son anus. La sensation était étrange, inconfortable au début, mais pas douloureuse grâce au lubrifiant abondant et à la patience de Laurent.
Éric, qui attendait son tour, s'était glissé sous elle, son visage entre ses cuisses. Sa langue trouva son clitoris et commença à le caresser habilement, ajoutant une vague de plaisir qui contrebalançait l'inconfort initial de la préparation anale.
"C'est ça," encouragea Laurent en insérant un deuxième doigt, les écartant légèrement pour étirer doucement son anneau de chair. "Tu t'ouvres si bien pour moi."
Mei gémit autour du sexe de Victor, qui avait commencé à bouger lentement dans sa bouche, contrôlant sa profondeur pour ne pas l'étouffer. Les sensations contradictoires - la plénitude dans sa bouche, la langue d'Éric sur son clitoris, les doigts de Laurent qui l'étiraient - créaient un cocktail enivrant de sensations.
Sophia s'était approchée, caressant les seins pendants de Mei, pinçant légèrement ses tétons pour ajouter à son plaisir. "Regarde-la," murmura-t-elle aux hommes. "Elle est faite pour ça."
Après plusieurs minutes de cette préparation méticuleuse, Laurent retira ses doigts. "Elle est prête," annonça-t-il en enfilant un préservatif qu'il enduisit généreusement de lubrifiant.
Victor se retira de la bouche de Mei. "Changeons de position," dit-il. "Éric, allonge-toi."
Éric obéit, s'allongeant sur le dos, son sexe dressé vers le plafond. Victor guida Mei au-dessus de lui. "Descends sur lui," ordonna-t-il. "Prends-le en toi."
Mei s'abaissa lentement, sentant le sexe d'Éric s'enfoncer dans son intimité déjà humide. Elle gémit en le sentant la remplir complètement, s'arrêtant un instant pour s'habituer à sa présence.
"Penche-toi en avant," instruisit Laurent en se positionnant derrière elle.
Mei se pencha, offrant ses fesses à Laurent tout en restant empalée sur Éric. Elle sentit la pression du sexe lubrifié de Laurent contre son anus, puis la lente intrusion alors qu'il commençait à la pénétrer avec une patience délibérée.
"Oh mon dieu," haleta-t-elle, submergée par la sensation d'être si pleine, si étirée.
"Respire," conseilla Sophia en caressant ses cheveux. "Détends-toi et accueille-le."
Laurent s'enfonçait millimètre par millimètre, attentif à chaque réaction de Mei. Quand il fut finalement entièrement en elle, il s'immobilisa, lui laissant le temps de s'adapter à cette double pénétration.
"Maintenant, ouvre la bouche," ordonna Victor en se positionnant devant elle, son sexe à hauteur de son visage.
Mei obéit, accueillant le membre de Victor entre ses lèvres. Elle était maintenant remplie dans chaque orifice, possédée complètement par les trois hommes. La sensation était indescriptible - un mélange de plénitude absolue, de vulnérabilité totale et d'un plaisir qui dépassait l'entendement.
Les hommes commencèrent à bouger, d'abord lentement et avec précaution, établissant un rythme coordonné. Éric poussait vers le haut, Laurent se retirait, Victor s'enfonçait dans sa bouche. Puis ils inversaient, créant une vague continue de sensations qui submergeait Mei.
Sophia observait la scène, ses doigts s'activant entre ses propres cuisses. "C'est magnifique," murmura-t-elle. "Tu les prends si bien, tous les trois."
Le rythme s'accéléra progressivement, les mouvements devenant plus profonds, plus insistants. Mei n'était plus qu'un réceptacle de plaisir, son corps entier vibrant sous l'assaut coordonné des trois hommes. Chaque poussée d'Éric frottait contre ce point sensible à l'intérieur d'elle, chaque pénétration de Laurent envoyait des vagues de sensations nouvelles et intenses, chaque mouvement de Victor dans sa bouche complétait cette symphonie charnelle.
L'orgasme se construisait en elle comme une tempête à l'horizon, immense et inévitable. Elle sentait son corps se tendre, ses muscles intimes se contracter autour des sexes qui la possédaient.
"Elle va jouir," annonça Sophia qui observait attentivement les signes. "Je le vois sur son visage."
Les hommes intensifièrent leurs efforts, leurs mouvements devenant plus erratiques à mesure que leur propre plaisir montait. L'orgasme explosa finalement en Mei, plus puissant que tout ce qu'elle avait connu auparavant. Son corps entier convulsa, ses cris étouffés par le sexe de Victor, ses muscles internes pulsant violemment autour d'Éric et Laurent.
Sa jouissance déclencha celle des hommes. Victor fut le premier, se retirant au dernier moment pour se déverser sur son visage et sa poitrine. Laurent suivit peu après, s'enfonçant une dernière fois avant de se figer, son sexe pulsant dans son intimité arrière. Éric fut le dernier, soulevant ses hanches pour s'enfoncer profondément en elle alors qu'il atteignait l'extase.
Pendant quelques instants, seules leurs respirations haletantes troublèrent le silence de la pièce. Puis, avec une délicatesse surprenante après une telle intensité, les hommes se retirèrent un à un. Mei s'effondra sur le lit, épuisée mais comblée comme jamais auparavant.
Sophia s'approcha avec un linge humide, nettoyant doucement les traces de leur plaisir sur le corps de Mei. "Tu as été incroyable," murmura-t-elle avec admiration.
Victor s'allongea à côté d'elle, caressant ses cheveux emmêlés. "Tu es pleine de surprises, Mei," dit-il avec un sourire satisfait. "Je crois que tu as trouvé ta place parmi nous."
Mei ferma les yeux, son corps encore traversé de spasmes résiduels de plaisir. Cette nuit avait changé sa vie à jamais. Elle avait découvert des aspects d'elle-même qu'elle n'aurait jamais soupçonnés, des plaisirs dont elle n'aurait jamais osé rêver.
Elle avançait pieds nus dans l'écume, sa robe blanche immaculée ondulant autour de ses jambes fines. Le corsage brodé de perles épousait parfaitement sa poitrine généreuse, dévoilée par un décolleté audacieux qui laissait ses épaules nues. Ses longs cheveux noirs dansaient dans la brise marine, encadrant un visage aux traits délicats.
Au loin, une étrange structure sur pilotis se dressait, ses fenêtres illuminées comme des yeux curieux observant la scène. C'était là que tout avait commencé, dans ce pavillon isolé au bout du ponton.
Elle s'appelait Mei. Arrivée trois jours plus tôt dans ce lieu de villégiature isolé, elle cherchait à fuir un mariage arrangé par sa famille. Le propriétaire du pavillon, un homme d'affaires occidental nommé Victor, l'avait accueillie sans poser de questions. Grand, élégant, avec cette assurance tranquille des hommes habitués à obtenir ce qu'ils désirent.
Ce soir, il l'avait invitée à dîner. Le repas s'était déroulé dans une atmosphère électrique, leurs regards s'accrochant sans cesse par-dessus les bougies vacillantes. Il lui avait offert cette robe blanche, prétextant une soirée spéciale.
"Mets-la," avait-il murmuré en lui tendant le paquet, sa voix grave faisant vibrer quelque chose au creux de son ventre. "Je veux te voir dedans."
Dans la chambre attenante, elle s'était glissée dans le tissu soyeux, frissonnant en sentant la fraîcheur du satin contre sa peau nue. La robe était magnifique mais indécente - aucun sous-vêtement ne pouvait être porté sans transparaître ou déformer les lignes parfaites du vêtement. Ses tétons durcis pointaient légèrement sous le tissu, et l'absence de culotte lui procurait une sensation de liberté troublante, l'air caressant son intimité à chaque mouvement.
Quand elle était revenue dans la salle à manger, son regard s'était assombri de désir, ses pupilles dilatées ne laissant qu'un mince anneau d'iris.
"Tourne-toi," avait-il ordonné d'une voix rauque, sa pomme d'Adam montant et descendant alors qu'il déglutissait avec difficulté.
Elle avait obéi, sentant le tissu léger tournoyer autour de ses jambes, révélant par moments la courbe de ses fesses. Le corsage serré comprimait sa poitrine, faisant ressortir ses seins qui débordaient presque du décolleté, leurs pointes tendues visibles sous le tissu fin.
"Parfait," avait-il soufflé en se levant, l'érection visible sous son pantalon. "Maintenant, sors."
"Pardon?"
"Sur la plage. Je veux te voir marcher sur la plage sous la lune."
Elle avait hésité, mais quelque chose dans son regard l'avait poussée à obéir. L'excitation de l'interdit, peut-être. La certitude qu'il la regardait depuis la terrasse.
Maintenant, elle avançait dans l'eau tiède, sentant le tissu s'alourdir et coller à ses cuisses. L'eau léchait ses mollets, puis ses genoux. La robe, de plus en plus transparente, révélait les contours de son corps, la courbe de ses hanches, le triangle sombre entre ses jambes.
Soudain, elle sentit une présence derrière elle. Victor l'avait suivie. Sans un mot, il posa ses mains sur ses épaules nues, son souffle chaud dans sa nuque faisant dresser tous les poils de son corps.
"Tu es magnifique," murmura-t-il contre son oreille, son souffle chaud contrastant avec la brise marine. "Comme une déesse de la mer."
Ses mains glissèrent le long de ses bras, puis remontèrent pour effleurer la naissance de ses seins. Elle frémit mais ne se déroba pas, sentant son sexe se contracter d'anticipation.
"Personne ne peut nous voir ici," continua-t-il en faisant descendre lentement le haut de sa robe. "Juste la lune et les vagues."
Ses seins jaillirent, libérés du tissu contraignant, leurs pointes durcies par l'air marin et l'excitation. Victor les caressa doucement, pinçant légèrement les tétons qui se dressaient sous ses doigts. Il les roulait entre son pouce et son index, tirant légèrement jusqu'à lui arracher un gémissement de plaisir mêlé de douleur.
"J'ai envie de toi depuis que tu as franchi le seuil de ma porte," avoua-t-il en faisant glisser une main le long de son ventre, puis plus bas, soulevant le tissu mouillé de sa robe.
Mei gémit quand ses doigts trouvèrent son sexe déjà humide. Il écarta délicatement ses lèvres intimes, exposant son clitoris gonflé qu'il frôla d'abord du bout des doigts, puis qu'il caressa en cercles lents. Il la caressa lentement, explorant ses plis intimes tandis que son autre main continuait de jouer avec ses seins, alternant entre caresses légères et pincements plus fermes.
"Écarte les jambes," ordonna-t-il, sa voix trahissant son excitation.
Elle obéit, s'ouvrant à lui dans l'eau peu profonde. Ses doigts s'enfoncèrent en elle, d'abord un, puis deux, la pénétrant avec une lenteur délibérée qui la rendait folle. Il les courbait légèrement, cherchant ce point sensible à l'intérieur d'elle, le trouvant enfin et le massant avec insistance jusqu'à ce que ses jambes tremblent.
"Tu es si mouillée," murmura-t-il, son souffle s'accélérant. "Et pas seulement à cause de l'océan."
Il la retourna brusquement pour l'embrasser avec fougue, sa langue envahissant sa bouche tandis que ses mains relevaient complètement sa robe. Le tissu blanc flottait autour d'eux comme un nuage dans l'eau sombre. Elle sentit son érection presser contre son ventre, dure et imposante sous le tissu trempé de son pantalon.
"Ici," dit-il en la soulevant, ses mains fermes agrippant ses fesses nues. "Enroule tes jambes autour de moi."
Elle s'accrocha à lui, sentant son sexe dur contre son ventre. D'un geste rapide, il ouvrit son pantalon, libérant son membre gonflé de désir. Elle le sentit, chaud et pulsant contre son entrée, la tête de son sexe frottant contre ses lèvres intimes, s'enduisant de son humidité.
"Regarde-moi," ordonna-t-il en la pénétrant d'un coup sec, s'enfonçant jusqu'à la garde.
Mei cria, submergée par la sensation de le sentir entièrement en elle, étirant ses parois, touchant des points qu'elle ne savait même pas sensibles. Il commença à bouger, la pilonnant sans retenue, chaque coup de reins l'envoyant un peu plus haut vers l'extase. Ses ongles s'enfoncèrent dans les épaules de Victor, laissant des marques en croissant de lune sur sa peau bronzée.
L'eau clapotait autour d'eux, rythmant leurs mouvements frénétiques. La lune éclairait leurs corps enlacés, exposés aux éléments et à d'éventuels regards. Les vagues venaient lécher leurs corps unis, ajoutant une sensation supplémentaire à leur étreinte passionnée.
"Et si quelqu'un nous voyait?" haleta-t-elle, excitée par cette idée, son sexe se contractant autour de lui à cette pensée.
"Laisse-les regarder," grogna-t-il en accélérant ses coups de boutoir, son bassin claquant contre le sien avec un bruit mouillé obscène. "Laisse-les voir comme tu prends du plaisir."
Cette idée décupla son excitation. Elle imagina des yeux invisibles les observant depuis la plage, depuis les fenêtres illuminées des maisons lointaines, peut-être même depuis le pavillon sur pilotis. L'idée d'être vue, exposée dans cet acte intime, la rendait folle de désir.
Victor la porta jusqu'au rivage sans se retirer d'elle, son sexe pulsant à l'intérieur de son fourreau humide, puis l'allongea sur le sable humide. Sa robe, trempée et transparente, s'étalait autour d'elle comme les ailes d'un ange déchu.
"Je veux te voir jouir sous la lune," dit-il en reprenant ses va-et-vient, plus profonds, plus brutaux, son pubis frottant contre son clitoris à chaque poussée.
Ses doigts trouvèrent son clitoris qu'il frotta en cercles précis, alternant entre pressions légères et plus fermes. Mei se cambra, au bord de l'orgasme, son sexe se contractant rythmiquement autour du membre de Victor.
"Pas encore," ordonna-t-il en ralentissant, se retirant presque entièrement avant de s'enfoncer à nouveau avec une lenteur délibérée. "Pas avant que je te le dise."
Il la retourna sur le ventre, relevant ses hanches pour la pénétrer par derrière. Le sable collait à sa peau mouillée, créant une friction délicieuse contre ses seins écrasés sur le sol. Dans cette position, son sexe semblait encore plus imposant, touchant des endroits qu'il n'avait pas atteints auparavant, la remplissant complètement.
"Tu aimes ça, n'est-ce pas?" souffla-t-il en s'enfonçant profondément en elle, son gland butant contre son col de l'utérus à chaque poussée. "Être prise comme une chienne en chaleur sur une plage publique."
"Oui," gémit-elle, abandonnant toute pudeur, son corps entier tremblant sous ses assauts. "Oui, j'aime ça. Baise-moi plus fort."
Il accéléra, ses testicules lourds claquant contre son sexe à chaque poussée, le bruit obscène de leurs corps se mêlant au fracas des vagues. Une de ses mains s'enroula autour de ses cheveux, tirant sa tête en arrière tandis que l'autre maintenait fermement sa hanche, ses doigts s'enfonçant dans sa chair tendre.
"Maintenant," grogna-t-il, son rythme devenant erratique. "Jouis pour moi maintenant."
L'orgasme la traversa comme une vague de fond, secouant tout son corps. Elle hurla son plaisir à la lune, se contractant violemment autour du sexe de Victor qui continuait de la pilonner sans merci. Des vagues de plaisir se succédaient, faisant trembler ses jambes et contracter son ventre, son sexe pulsant autour de lui comme pour le traire.
Il jouit peu après, se déversant en elle avec un grognement animal, ses doigts s'enfonçant dans la chair tendre de ses hanches. Elle sentit son sperme chaud l'emplir, coulant le long de ses cuisses quand il se retira enfin.
Ils restèrent ainsi un moment, haletants, leurs corps luisants sous la lumière lunaire. Puis il se retira doucement et la retourna pour l'embrasser tendrement, sa langue caressant la sienne avec une douceur qui contrastait avec la brutalité de leur étreinte précédente.
"Ce n'est que le début," promit-il en caressant son visage, son pouce essuyant une larme de plaisir qui avait coulé sur sa joue. "La nuit est encore jeune."
Il l'aida à se relever, rajustant sa robe déchirée qui ne cachait plus grand-chose de son corps ravagé par le plaisir. Le tissu collait à sa peau, révélant chaque courbe, chaque détail de son anatomie. Entre ses cuisses, elle sentait leur mélange intime couler lentement, marquant son territoire.
"Retournons au pavillon," murmura-t-il en léchant une goutte d'eau salée sur son épaule, puis descendant vers son sein qu'il mordilla légèrement. "J'ai d'autres projets pour toi."
Mei frissonna d'anticipation, sachant que cette nuit marquerait le début d'une nouvelle vie pour elle. Une vie où elle explorerait des plaisirs dont elle n'avait jamais osé rêver.
Mei et Victor regagnèrent le pavillon sur pilotis, leurs corps encore frémissants de leur étreinte passionnée sur la plage. La robe blanche de Mei, désormais transparente et déchirée par endroits, ne dissimulait plus rien de ses courbes délicates ni des traces de leur union récente. Ses cheveux noirs, emmêlés par le vent marin et les mains possessives de Victor, encadraient son visage aux joues encore rougies par le plaisir.
En approchant de la structure illuminée qui se détachait contre le ciel nocturne, Mei remarqua plusieurs silhouettes se mouvant derrière les fenêtres. Son cœur s'accéléra.
"Tu attendais quelqu'un?" demanda-t-elle à Victor, sa voix trahissant une nervosité mêlée d'excitation.
Un sourire énigmatique se dessina sur les lèvres de Victor. "Disons que j'avais prévu une suite à notre soirée."
Lorsqu'ils franchirent le seuil du pavillon, Mei découvrit trois personnes confortablement installées dans le salon. Deux hommes et une femme, tous vêtus avec élégance, sirotaient des verres de champagne. À leur entrée, les conversations s'interrompirent et tous les regards se tournèrent vers eux.
"Ah, vous voilà enfin," lança l'un des hommes, grand et athlétique, aux cheveux blonds coupés court. "Nous commencions à nous impatienter."
La femme, une rousse aux courbes généreuses moulées dans une robe noire, se leva avec grâce. "Nous avons profité du spectacle en attendant. Très... instructif."
Mei sentit le sang affluer à ses joues en comprenant que ces inconnus les avaient observés sur la plage. L'idée qu'ils aient été témoins de ses moments les plus intimes avec Victor provoqua en elle un mélange de honte et d'excitation qu'elle ne put réprimer.
"Mei, je te présente mes amis," annonça Victor en posant une main possessive sur sa hanche. "Éric, Sophia et Laurent. Ils sont venus spécialement pour te rencontrer."
Le second homme, Laurent, plus mince et plus jeune que le premier, s'approcha de Mei. Ses yeux sombres la détaillèrent sans pudeur, s'attardant sur les zones où sa robe mouillée collait à sa peau.
"Ta description ne lui rendait pas justice, Victor," murmura-t-il en tendant la main pour effleurer une mèche de cheveux de Mei. "Elle est exquise."
Victor sourit, visiblement satisfait. "Je vous avais prévenus." Il se tourna vers Mei, son regard s'assombrissant. "Mes amis et moi partageons certains... divertissements. Ce soir, si tu le veux bien, tu seras notre invitée d'honneur."
Sophia s'approcha à son tour, un verre à la main qu'elle tendit à Mei. "Bois, ma belle. Ça t'aidera à te détendre."
Mei hésita un instant, puis prit le verre et en avala une longue gorgée. L'alcool lui brûla la gorge mais répandit rapidement une chaleur agréable dans tout son corps.
"Nous avons préparé quelques jeux pour la soirée," expliqua Éric en se levant à son tour. "Des jeux où tu seras le centre de toutes les attentions."
Victor passa derrière Mei et posa ses mains sur ses épaules. "Tu es libre de refuser," murmura-t-il à son oreille. "Mais je pense que tu pourrais y prendre goût."
Mei sentit son cœur battre à tout rompre. Une partie d'elle voulait fuir, mais une autre, plus primitive, plus puissante, était curieuse de découvrir ce qui l'attendait.
"Quel genre de jeux?" demanda-t-elle d'une voix qu'elle ne reconnut pas.
Sophia sourit, révélant des dents parfaites. "Le premier s'appelle 'Vérité ou Conséquence'. Mais notre version est un peu... particulière."
Laurent sortit un foulard de soie noire de sa poche. "Pour commencer, nous allons te bander les yeux. Cela rendra l'expérience plus intense."
Mei regarda Victor, cherchant son approbation. Il hocha imperceptiblement la tête, ses yeux brillant d'anticipation.
"D'accord," souffla-t-elle finalement.
Laurent s'approcha et noua délicatement le foulard autour de sa tête, plongeant Mei dans l'obscurité. Aussitôt, ses autres sens s'aiguisèrent. Elle perçut le bruissement des vêtements autour d'elle, sentit des mains inconnues défaire les lacets de sa robe déjà en lambeaux.
"Le jeu commence maintenant," murmura la voix de Victor tout près de son oreille. "Et crois-moi, ce n'est que le début d'une longue nuit de découvertes."
Privée de la vue, Mei se laissa guider vers ce qui semblait être le centre de la pièce, son corps nu frémissant sous les regards qu'elle devinait avides et les caresses qui commençaient déjà à explorer sa peau.
La nuit s'étirait, lourde de promesses sensuelles. Mei, le corps frémissant d'anticipation, se tenait au centre de la pièce, les yeux bandés par le foulard de soie noire. L'obscurité forcée exacerbait chacun de ses autres sens - le bruissement soyeux des vêtements qu'on retire, les respirations qui s'accéléraient autour d'elle, les effluves entêtants de parfums luxueux mêlés à l'odeur plus animale de l'excitation.
Soudain, elle sentit des mains sur elle. Douces, aux ongles légèrement pointus qui effleuraient sa peau nue comme des plumes. Puis d'autres, plus larges, plus rugueuses, avec des callosités qui créaient un contraste délicieux. Ces mains inconnues exploraient son corps sans retenue, s'appropriant chaque centimètre de sa peau. Elle ne savait pas à qui elles appartenaient et cette incertitude décuplait son excitation, faisant perler une humidité chaude entre ses cuisses.
Des doigts agiles défaisaient les derniers lambeaux de sa robe déjà déchirée par sa précédente étreinte avec Victor sur la plage. Le tissu glissa le long de son corps comme une caresse liquide, la laissant entièrement nue et vulnérable sous les regards qu'elle devinait avides.
"Tu es magnifique," murmura la voix de Sophia tout près de son oreille, son accent légèrement traînant ajoutant une sensualité supplémentaire à ses mots. "Ta peau est comme de la soie."
Mei sentit le souffle chaud et parfumé de la femme sur sa nuque, puis ses lèvres pulpeuses qui se posaient délicatement sur son cou. La langue de Sophia, humide et brûlante, traça un chemin sinueux jusqu'à son oreille, qu'elle mordilla doucement avant d'y glisser la pointe, mimant l'acte sexuel d'une manière qui fit frémir Mei jusqu'au plus profond de son être. Elle ne put retenir un gémissement qui sembla résonner dans la pièce silencieuse.
Pendant ce temps, d'autres mains - celles d'Éric ou de Laurent, elle ne savait pas - parcouraient son corps avec une assurance possessive. Elles s'attardèrent sur ses seins, les soupesant d'abord avec délicatesse avant de les pétrir avec une fermeté croissante. Ses tétons, déjà sensibilisés par sa précédente étreinte avec Victor, se dressèrent douloureusement sous ces caresses expertes, devenant deux pointes dures qui semblaient supplier qu'on s'occupe d'elles.
Comme en réponse à cette prière silencieuse, une bouche chaude - celle de Victor, elle en était presque certaine - se referma sur l'un d'eux, l'aspirant profondément. Sa langue tournoyait autour de l'aréole sensible avant de la taquiner du bout des dents, alternant entre succion puissante et mordillements délicats qui envoyaient des décharges électriques directement entre ses jambes.
"Écarte les jambes," ordonna la voix grave et autoritaire de Victor, son ton ne laissant place à aucune hésitation.
Mei obéit instinctivement, tremblante d'anticipation. Ses cuisses s'ouvrirent, exposant son sexe luisant d'humidité à la vue de tous. Elle sentit aussitôt des doigts se glisser entre ses lèvres intimes, les écartant délicatement pour mieux exposer son clitoris gonflé. Un pouce expert commença à le caresser en cercles lents et précis, tandis qu'un autre doigt - peut-être celui d'une autre personne - explorait son entrée trempée.
"Elle est déjà inondée," commenta Laurent d'une voix rauque, trahissant son excitation. "Sa chatte est si rose, si parfaite."
Les caresses s'intensifièrent. Sophia suçait et mordillait maintenant ses seins avec voracité, passant de l'un à l'autre, laissant des marques rouges sur la peau pâle de Mei. Pendant ce temps, les hommes exploraient chaque recoin de son corps - l'un d'eux, probablement Éric, s'était agenouillé entre ses jambes et soufflait doucement sur son sexe exposé, créant un contraste saisissant entre la chaleur de son souffle et la fraîcheur de l'air ambiant.
Mei haletait, perdue dans un tourbillon de sensations. Son corps n'était plus qu'un instrument entre les mains de ces musiciens experts, chacun jouant sa partition pour créer une symphonie de plaisir. Son bassin ondulait involontairement, cherchant plus de contact, plus de friction.
Soudain, elle sentit qu'on la soulevait. Plusieurs mains la portèrent avec précaution, la déplaçant dans la pièce. On l'allongea sur une surface douce et fraîche - probablement le grand lit qu'elle avait aperçu plus tôt dans la chambre principale. Des mains fermes écartèrent ses jambes, les maintenant ouvertes dans une position d'offre totale. Elle entendit le bruit caractéristique d'un emballage qu'on déchire, puis celui, plus subtil mais tout aussi reconnaissable, d'un préservatif qu'on déroule sur un sexe durci par le désir.
"Je vais te prendre maintenant," annonça Éric d'une voix qui ne cachait plus son excitation. "Et les autres vont regarder chaque seconde, chaque expression sur ton visage pendant que je te baise."
Mei gémit d'anticipation, son sexe se contractant à cette idée. Elle sentit le gland épais d'Éric se presser contre son entrée, s'enduisant de son humidité avant de commencer à la pénétrer avec une lenteur délibérée. Il était imposant, bien plus large que Victor, étirant délicieusement ses parois intimes jusqu'à la limite du supportable. Chaque centimètre gagné arrachait à Mei un gémissement plus aigu que le précédent.
"Putain, elle est serrée," grogna Éric, sa voix trahissant l'effort qu'il faisait pour se contrôler.
Une fois complètement enfoncé en elle, il resta immobile un instant, permettant à son corps de s'adapter à cette intrusion massive. Puis il commença à bouger, d'abord en retraits et poussées mesurés, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort. Chaque coup de reins faisait claquer ses testicules contre les fesses de Mei, produisant un bruit obscène qui résonnait dans la pièce.
Pendant ce temps, Sophia s'était installée près de sa tête, son corps nu et parfumé à portée de main. Mei sentit les doigts de la femme caresser ses lèvres, puis Sophia guida doucement mais fermement la bouche de Mei vers son sexe épilé et déjà luisant.
"Lèche-moi," ordonna-t-elle d'une voix qui ne souffrait aucun refus. "Montre-moi ce que cette jolie bouche sait faire."
Mei obéit avec un enthousiasme qui la surprit elle-même, sa langue explorant avidement les plis intimes de Sophia. Elle goûta sa saveur légèrement salée, sentit les contractions de son sexe quand elle trouva son clitoris gonflé et commença à le titiller du bout de la langue. Les gémissements de Sophia au-dessus d'elle l'encourageaient à continuer, à explorer plus profondément.
Pendant qu'elle se perdait dans cette exploration, Éric la pilonnait sans relâche, son rythme devenant de plus en plus erratique à mesure que son plaisir montait. Les mains de Victor et Laurent parcouraient son corps, pinçant ses tétons, caressant son ventre, s'attardant parfois sur son clitoris exposé pour ajouter à son plaisir.
L'odeur musquée de Sophia, les gémissements rauques des hommes qui les observaient, le claquement obscène des chairs moites qui se rencontrent, la sensation d'être remplie, possédée, utilisée pour le plaisir de tous... Tout se mélangeait dans un cocktail grisant de luxure pure qui submergeait Mei, effaçant toute pensée cohérente de son esprit.
L'orgasme la prit par surprise, déferlant sur elle comme une vague de fond. Il commença au plus profond de son ventre, là où le sexe d'Éric continuait de la marteler, puis se propagea en ondes concentriques jusqu'à l'extrémité de ses membres. Elle cria son plaisir contre le sexe de Sophia, son corps se contractant violemment autour du membre d'Éric, ses ongles s'enfonçant dans les cuisses de la femme au-dessus d'elle.
Son orgasme sembla déclencher celui de Sophia, qui se mit à onduler frénétiquement contre sa bouche, inondant ses lèvres d'une nouvelle vague d'humidité. Éric suivit peu après, s'enfonçant une dernière fois jusqu'à la garde avant de se figer, son sexe pulsant puissamment en elle tandis qu'il se déversait dans le préservatif.
Pendant quelques instants, seules leurs respirations haletantes troublèrent le silence de la pièce. Puis Mei sentit qu'on lui retirait son bandeau. La lumière tamisée l'éblouit momentanément. Quand sa vision s'éclaircit, elle vit les quatre visages qui l'entouraient, tous marqués par le désir et l'admiration.
Victor se pencha vers elle, ses yeux brillant d'une lueur prédatrice. "Tu as été parfaite," murmura-t-il en caressant sa joue. "Mais ce n'était que le début. La nuit est encore jeune, et chacun d'entre nous a des projets pour toi."
Laurent s'approcha à son tour, son sexe dressé témoignant de son excitation. "Mon tour maintenant," dit-il en sortant d'un tiroir proche plusieurs objets que Mei ne distinguait pas clairement. "Et j'ai quelques idées pour pousser tes limites un peu plus loin."
Mei frissonna, non de peur mais d'anticipation. Cette nuit promettait d'être la plus intense de sa vie, et elle était prête à se soumettre entièrement à ces nouveaux plaisirs.
La nuit avançait, baignant le pavillon sur pilotis d'une lueur bleutée semblable à celle qui enveloppait Mei lors de sa première rencontre avec Victor sur la plage. Laurent, le plus jeune des amis de Victor, s'approcha d'elle avec une détermination tranquille dans le regard. Son corps nu luisait sous la lumière tamisée, son sexe toujours dressé témoignant de son excitation.
"Allonge-toi au centre du lit," ordonna-t-il d'une voix douce mais ferme qui ne souffrait aucune contestation.
Mei obéit, encore frémissante de son précédent orgasme. Son corps était couvert d'une fine pellicule de sueur, ses cheveux noirs éparpillés sur les draps de soie comme une auréole sombre. Laurent ouvrit un tiroir de la table de nuit et en sortit quatre liens de soie noire.
"Écarte tes bras et tes jambes," commanda-t-il en dépliant les liens avec une lenteur délibérée.
Le cœur de Mei s'accéléra. Elle jeta un regard vers Victor qui l'observait depuis un fauteuil, son sexe à moitié durci dans sa main. Il hocha imperceptiblement la tête, l'encourageant silencieusement.
Laurent attacha d'abord ses poignets, nouant les liens de soie aux montants du lit avec une dextérité qui trahissait l'habitude. La soie était douce contre sa peau, mais les nœuds étaient solides, immobilisant efficacement ses bras. Il passa ensuite à ses chevilles, les écartant largement avant de les fixer aux pieds du lit.
"Parfait," murmura-t-il en contemplant son œuvre.
Mei était maintenant complètement exposée, offerte, incapable du moindre mouvement. Son sexe luisant s'ouvrait comme une fleur entre ses cuisses écartées, encore humide de son précédent orgasme et de l'excitation renouvelée que provoquait sa position vulnérable.
Laurent retourna au tiroir et en sortit plusieurs objets qu'il disposa soigneusement sur le lit à côté d'elle. Un vibromasseur de taille imposante, un petit œuf vibrant relié à une télécommande, un flacon de lubrifiant et plusieurs pinces à tétons.
"Tu as déjà utilisé des jouets?" demanda-t-il en ouvrant le flacon de lubrifiant dont l'odeur fruitée se répandit dans l'air.
"Non," avoua Mei, sa voix à peine plus forte qu'un murmure.
Laurent sourit, visiblement ravi de cette réponse. "Alors je vais t'initier."
Il versa une généreuse quantité de lubrifiant sur ses doigts et les approcha du sexe exposé de Mei. Elle tressaillit au premier contact, la fraîcheur du gel contrastant avec la chaleur de son intimité. Les doigts de Laurent explorèrent délicatement ses plis, s'attardant sur son clitoris qu'il massa en cercles lents.
"Regardez comme elle est sensible," commenta-t-il à l'intention des autres qui s'étaient installés autour du lit pour observer la scène.
Sophia s'était assise sur les genoux d'Éric, son dos contre son torse, tandis qu'il caressait distraitement ses seins. Victor s'était rapproché, son regard intense ne quittant pas le visage de Mei, guettant chaque expression de plaisir.
Laurent prit le petit œuf vibrant et l'alluma à la puissance minimale. Un bourdonnement discret emplit la pièce. Il l'approcha du sexe de Mei, le faisant d'abord glisser le long de ses lèvres extérieures, puis remontant vers son clitoris.
"Oh!" s'exclama Mei, surprise par l'intensité de la sensation.
Laurent sourit et commença à faire des cercles autour de son bouton sensible, sans jamais le toucher directement, créant une frustration délicieuse qui fit se tordre Mei contre ses liens. Puis, sans prévenir, il pressa l'œuf directement sur son clitoris et augmenta la puissance.
Le corps de Mei se tendit comme un arc, un cri étranglé s'échappant de sa gorge. La vibration était intense, presque trop, envoyant des vagues de plaisir qui se propageaient dans tout son corps. Laurent maintint l'œuf en place, observant avec fascination les réactions de Mei.
"Elle va jouir," murmura Sophia, sa main glissant entre ses propres cuisses.
Laurent retira brusquement l'œuf, arrachant un gémissement de frustration à Mei. Son bassin se souleva, cherchant désespérément à retrouver cette stimulation.
"Pas encore," dit Laurent en caressant l'intérieur de sa cuisse. "Je veux te faire durer."
Il prit alors le vibromasseur plus large et l'enduisit généreusement de lubrifiant. L'objet brillait sous la lumière, imposant et intimidant. Laurent le positionna à l'entrée du sexe de Mei et commença à le pousser lentement.
Mei haleta en sentant l'objet l'étirer, plus large que le sexe d'Éric qui l'avait prise précédemment. Laurent le faisait pénétrer millimètre par millimètre, observant attentivement son visage pour s'assurer qu'il ne lui faisait pas mal.
"Respire," conseilla-t-il. "Détends-toi et accueille-le."
Mei prit une profonde inspiration et sentit son corps s'ouvrir, acceptant finalement l'intrusion. Laurent poussa le vibromasseur jusqu'à ce qu'il soit presque entièrement enfoncé en elle, puis l'activa.
L'effet fut immédiat et dévastateur. Le jouet vibrait puissamment contre ses parois internes, stimulant des points qu'elle ne savait même pas sensibles. Mei se mit à gémir sans retenue, tirant sur ses liens qui la maintenaient impitoyablement en place.
"Putain, c'est magnifique," souffla Éric qui s'était mis à caresser son sexe durci tout en continuant à pétrir les seins de Sophia.
Laurent jouait avec le vibromasseur, le faisant aller et venir lentement, le tournant parfois pour changer l'angle de stimulation. Avec son autre main, il reprit l'œuf vibrant et le posa à nouveau sur le clitoris exposé de Mei.
La double stimulation était presque insupportable. Mei sentait un orgasme monumental se construire au creux de son ventre, plus puissant que tout ce qu'elle avait connu auparavant. Ses gémissements se transformèrent en cris, son corps entier tremblait sous l'assaut du plaisir.
"Pas encore," ordonna Laurent en retirant à nouveau l'œuf, laissant uniquement le vibromasseur en elle. "Je veux que tu me supplies."
Mei gémit de frustration, son corps couvert de sueur, ses hanches se soulevant désespérément pour chercher plus de stimulation.
"S'il te plaît," haleta-t-elle. "S'il te plaît, laisse-moi jouir."
Laurent sourit, satisfait. "Pas avant que tu m'aies donné du plaisir aussi."
Il se déplaça vers la tête du lit, son sexe dressé à quelques centimètres du visage de Mei. D'une main, il continuait à faire aller et venir le vibromasseur en elle, de l'autre, il guida son membre vers ses lèvres.
"Ouvre la bouche," ordonna-t-il. "Et montre-moi ce que tu sais faire."
Mei obéit, ouvrant largement la bouche pour accueillir son sexe. Laurent s'y enfonça lentement, savourant la chaleur humide qui l'enveloppait. Il commença à bouger, poussant de plus en plus profondément, attentif à ne pas l'étouffer.
"Putain, sa bouche est divine," grogna-t-il en accélérant légèrement le rythme.
Autour du lit, les autres s'étaient mis à se caresser ouvertement. Victor se masturbait en regardant intensément le visage de Mei, ses expressions alors qu'elle s'efforçait d'accueillir le sexe de Laurent dans sa bouche tout en subissant les vibrations incessantes du jouet en elle. Sophia s'était tournée sur les genoux d'Éric et le chevauchait maintenant, son dos cambré offrant une vue parfaite de leur union à Mei.
Laurent augmenta la puissance du vibromasseur tout en continuant à pilonner la bouche de Mei. Elle gémissait autour de son sexe, les vibrations de sa gorge ajoutant à son plaisir. Ses hanches se soulevaient frénétiquement, cherchant désespérément à atteindre l'orgasme qui lui était refusé.
"Tu veux jouir?" demanda Laurent en ralentissant ses mouvements dans sa bouche.
Mei hocha frénétiquement la tête, les yeux suppliants.
"Alors fais-moi jouir d'abord," exigea-t-il. "Montre-moi à quel point tu es douée avec cette jolie bouche."
Mei redoubla d'efforts, utilisant sa langue pour caresser le dessous de son gland à chaque va-et-vient, creusant ses joues pour créer une succion plus intense. Laurent grogna d'approbation, ses mouvements devenant plus erratiques.
"Je vais jouir," annonça-t-il, sa voix tendue par l'effort. "Et tu vas tout avaler."
Il s'enfonça profondément une dernière fois et se figea, son sexe pulsant dans la bouche de Mei alors qu'il se déversait. Elle avala docilement, les yeux fermés, concentrée sur la sensation du vibromasseur qui continuait de la torturer délicieusement.
Dès que Laurent se retira de sa bouche, il reprit l'œuf vibrant et le pressa fermement contre son clitoris gonflé.
"Maintenant," dit-il simplement. "Jouis pour nous."
L'orgasme explosa en elle comme un raz-de-marée, balayant tout sur son passage. Son corps entier se tendit contre les liens, ses cris résonnant dans la pièce. Les vagues de plaisir se succédaient sans fin, amplifiées par les vibrations incessantes des jouets et les regards avides qui ne la quittaient pas.
Quand enfin les derniers soubresauts s'estompèrent, Laurent éteignit les jouets et les retira doucement. Mei resta allongée, haletante, épuisée, son corps luisant de sueur, ses cuisses trempées de son propre plaisir.
"Je crois qu'il est temps de te libérer," murmura Sophia en se penchant sur elle, son parfum enivrant - un mélange de jasmin et de musc - envahissant les narines de Mei.
Avec des gestes délicats mais assurés, Sophia défit les nœuds qui retenaient les poignets de Mei. Ses doigts s'attardèrent sur la peau marquée par les liens, y traçant de petits cercles apaisants. Puis elle passa aux chevilles, prenant son temps, caressant la courbe du mollet, l'arche du pied, avant de défaire complètement les entraves.
"Tourne-toi," ordonna doucement Sophia. "Sur le ventre."
Mei obéit, ses membres engourdis retrouvant peu à peu leur mobilité. Elle sentit le matelas s'affaisser quand Sophia monta sur le lit et s'installa à califourchon sur ses cuisses. Les mains de la rousse se posèrent sur ses épaules et commencèrent à les masser avec expertise.
"Tu es tendue," constata Sophia, ses pouces trouvant et défaisant méthodiquement chaque nœud de tension. "Laisse-moi t'aider à te détendre."
Ses mains descendirent le long de la colonne vertébrale de Mei, s'attardant sur chaque vertèbre, puis s'écartèrent pour masser ses flancs, frôlant la naissance de ses seins à chaque passage. Mei soupira de bien-être, son corps s'abandonnant sous ces caresses expertes.
"C'est ça," encouragea Sophia. "Laisse-toi aller."
Les hommes s'étaient installés autour du lit, silencieux mais attentifs. Victor avait pris place dans un fauteuil près de la fenêtre, son regard intense ne quittant pas les deux femmes. Éric et Laurent s'étaient assis sur un canapé bas, leurs sexes à demi dressés témoignant de leur excitation renouvelée.
Les mains de Sophia descendirent plus bas, massant les fesses fermes de Mei, les pétrissant avec une appréciation non dissimulée. Ses pouces s'aventurèrent dans le sillon entre ses fesses, effleurant son intimité arrière sans s'y attarder, puis glissèrent entre ses cuisses, trouvant son sexe encore sensible.
"Tu es encore si mouillée," murmura Sophia avec approbation. "Tourne-toi maintenant. Je veux voir ton visage."
Mei se retourna, exposant sa nudité au regard appréciateur de Sophia. La rousse était magnifique dans sa propre nudité - sa peau laiteuse parsemée de taches de rousseur, ses seins généreux aux tétons roses dressés, la toison rousse soigneusement taillée entre ses cuisses.
"Tu n'as jamais été avec une femme, n'est-ce pas?" demanda Sophia en se penchant pour effleurer les lèvres de Mei des siennes.
"Non," avoua Mei, son cœur s'accélérant d'anticipation.
"Alors laisse-moi te montrer ce qu'une femme peut faire pour une autre femme," sourit Sophia. "Nous connaissons notre corps mieux que n'importe quel homme."
Elle se pencha et captura les lèvres de Mei dans un baiser profond, sa langue s'insinuant entre ses lèvres avec une douceur insistante. Contrairement aux baisers plus brutaux des hommes, celui-ci était langoureux, exploratoire, une danse sensuelle plutôt qu'une conquête.
Les mains de Sophia trouvèrent les seins de Mei, les caressant avec une délicatesse que seule une autre femme pouvait avoir. Ses doigts effleuraient à peine les tétons sensibles, créant une frustration délicieuse qui fit gémir Mei contre ses lèvres.
"Patience," murmura Sophia en s'écartant légèrement. "Nous avons toute la nuit."
Elle traça un chemin de baisers le long du cou de Mei, s'attardant sur la clavicule, puis descendit vers ses seins. Sa langue tournoya autour d'un téton, le taquinant sans jamais le toucher directement, puis elle souffla doucement dessus, provoquant une chair de poule exquise.
"Regarde-les," chuchota Sophia en désignant les hommes d'un mouvement de tête. "Regarde comme ils nous dévorent des yeux. Ils se touchent en nous regardant, mais ils n'ont pas le droit de participer. Pas encore."
Mei tourna la tête et vit en effet les trois hommes qui les observaient avec une intensité presque palpable. Victor se masturbait lentement, son regard brûlant fixé sur elles. Éric et Laurent faisaient de même, leurs respirations de plus en plus audibles dans le silence de la pièce.
"Ils adorent nous voir ensemble," continua Sophia en prenant enfin un téton dans sa bouche, l'aspirant profondément.
Mei gémit, son dos s'arquant sous la sensation. Les lèvres et la langue de Sophia créaient un plaisir différent de celui des hommes - plus doux mais tout aussi intense, comme si elle savait exactement quelle pression appliquer, quel rythme adopter.
Sophia passa à l'autre sein, lui accordant la même attention minutieuse, puis commença à descendre, traçant un chemin humide le long du ventre plat de Mei. Ses mains écartèrent doucement ses cuisses, exposant son sexe luisant aux regards de tous.
"Tu es si belle ici," murmura Sophia en effleurant les lèvres intimes de Mei du bout des doigts. "Si parfaite."
Elle se pencha et souffla doucement sur le clitoris gonflé de Mei, provoquant un frisson qui remonta le long de sa colonne vertébrale. Puis, sans prévenir, elle donna un long coup de langue qui fit crier Mei de surprise et de plaisir.
"C'est ça," encouragea Victor depuis son fauteuil, sa voix rauque de désir. "Montre-lui ce que tu sais faire, Sophia."
Encouragée, Sophia redoubla d'efforts, sa langue explorant chaque recoin du sexe de Mei avec une précision dévastatrice. Elle alternait entre de larges coups de langue qui parcouraient toute sa fente et des mouvements plus ciblés autour de son clitoris, sans jamais établir un rythme prévisible.
Mei haletait, ses mains s'agrippant aux draps, son bassin ondulant involontairement contre la bouche de Sophia. La sensation était indescriptible - différente de tout ce qu'elle avait connu auparavant. La langue de Sophia semblait connaître exactement les points à stimuler, la pression à appliquer, le moment où ralentir et celui où accélérer.
"Tourne-toi," ordonna soudain Sophia en se redressant. "Je veux que nous nous goûtions mutuellement."
Mei comprit ce qu'elle voulait et se repositionna, permettant à Sophia de s'allonger sur elle dans la position du 69. Le sexe de la rousse était maintenant juste au-dessus de son visage, offert à sa bouche, tandis que Sophia reprenait sa délicieuse torture entre ses cuisses.
Avec une hésitation initiale rapidement remplacée par la curiosité et le désir, Mei leva la tête et donna un premier coup de langue timide. Le goût de Sophia - légèrement salé, musqué mais étrangement addictif - l'encouragea à continuer. Elle explora les plis intimes de la rousse, imitant ce que celle-ci lui faisait, apprenant par l'exemple.
Les gémissements étouffés de Sophia contre son sexe lui indiquèrent qu'elle était sur la bonne voie. Enhardis, ses mouvements devinrent plus assurés, sa langue trouvant le clitoris gonflé de Sophia et commençant à le caresser en cercles lents.
Autour d'elles, les hommes s'étaient rapprochés, leurs respirations lourdes se mêlant aux gémissements des deux femmes. L'odeur de musc et de sexe emplissait la pièce, créant une atmosphère enivrante de luxure pure.
Sophia glissa deux doigts dans le sexe de Mei tout en continuant à lécher son clitoris. La double stimulation fit voir des étoiles à Mei, qui redoubla d'efforts entre les cuisses de Sophia, déterminée à lui rendre le plaisir qu'elle lui donnait.
"Putain, c'est la chose la plus érotique que j'ai jamais vue," grogna Éric, sa main accélérant sur son sexe.
Les doigts de Sophia trouvèrent ce point spécial à l'intérieur de Mei, celui qui la faisait se cambrer de plaisir. Elle le massa sans relâche tout en suçant son clitoris avec une intensité croissante.
L'orgasme prit Mei par surprise, déferlant sur elle comme une vague de fond. Elle cria contre le sexe de Sophia, son corps entier se tendant sous l'assaut du plaisir. Ses cuisses se refermèrent instinctivement autour de la tête de Sophia, qui ne ralentit pas, prolongeant son extase jusqu'à ce qu'elle la supplie d'arrêter, trop sensible pour supporter davantage.
Sophia se redressa, son visage luisant de l'essence de Mei, un sourire satisfait sur les lèvres. "Tu apprends vite," complimenta-t-elle en se retournant pour faire face à Mei. "Mais tu n'as pas fini ton travail."
Elle s'installa à califourchon sur le visage de Mei, son sexe à quelques centimètres de sa bouche. "Fais-moi jouir maintenant," ordonna-t-elle doucement. "Montre aux garçons ce que tu as appris."
Mei obéit avec enthousiasme, sa langue trouvant immédiatement le clitoris de Sophia et commençant à le caresser avec une assurance nouvelle. Sophia se mit à onduler contre sa bouche, contrôlant le rythme et la pression, utilisant le visage de Mei pour son propre plaisir.
"C'est ça," gémit-elle, une main agrippant la tête de lit, l'autre tenant les cheveux de Mei pour la maintenir en place. "Juste comme ça."
Les hommes s'étaient encore rapprochés, formant un cercle autour du lit. Victor s'était placé près de la tête de Mei, son sexe dressé à quelques centimètres de son visage et de celui de Sophia. Laurent et Éric étaient de chaque côté, leurs mains accélérant sur leurs membres tendus.
Sophia sentit son orgasme approcher et accentua ses mouvements, se frottant sans retenue contre la bouche de Mei. "Je vais jouir," haleta-t-elle, ses cuisses se mettant à trembler. "Oh putain, je vais jouir."
L'orgasme la traversa comme une décharge électrique, son corps se raidissant avant de convulser contre le visage de Mei. Elle cria son plaisir sans retenue, son sexe pulsant contre la langue de Mei qui continuait de la caresser, prolongeant son extase.
Quand enfin elle s'écarta, épuisée et satisfaite, elle se pencha pour embrasser Mei, goûtant sa propre essence sur ses lèvres. "Tu es une élève douée," murmura-t-elle avec un sourire complice.
Victor s'approcha, son sexe toujours dressé témoignant de son excitation. "C'était magnifique," dit-il, sa voix rauque de désir contenu. "Mais maintenant, je crois que c'est à notre tour de vous montrer ce que les hommes peuvent faire."
"Il est temps de passer à quelque chose de plus... intense," murmura-t-il en caressant la joue de Mei. "Nous voulons tous te posséder. En même temps."
Le cœur de Mei s'accéléra. Elle avait déjà été prise par Éric, puis Laurent avait utilisé sa bouche, mais l'idée d'être possédée par les trois hommes simultanément éveillait en elle un mélange de peur et d'excitation vertigineuse.
"Je... je n'ai jamais..." balbutia-t-elle.
"Nous serons doux," promit Victor en l'aidant à se redresser. "Du moins au début."
Sophia, qui observait la scène depuis le bord du lit, sourit avec une complicité féminine. "Ne t'inquiète pas," dit-elle en tendant un flacon de lubrifiant à Laurent. "Je veillerai à ce qu'ils prennent soin de toi."
Laurent prit le flacon avec un sourire prédateur. "Je m'occupe de la préparer," annonça-t-il.
Victor acquiesça et guida Mei vers le centre du lit. "Mets-toi à quatre pattes," ordonna-t-il doucement mais fermement.
Mei obéit, son corps tremblant légèrement d'anticipation. Dans cette position, elle se sentait terriblement exposée, ses fesses offertes aux regards, son sexe luisant visible entre ses cuisses.
Laurent s'agenouilla derrière elle, versant une généreuse quantité de lubrifiant sur ses doigts. "Détends-toi," murmura-t-il en caressant la courbe de ses fesses. "Je vais te préparer pour ce qui va suivre."
Ses doigts lubrifiés trouvèrent l'entrée de son intimité arrière, la caressant en cercles lents pour la détendre. Mei se crispa instinctivement au premier contact, mais les caresses patientes de Laurent et les murmures encourageants de Sophia l'aidèrent à se relaxer progressivement.
Pendant ce temps, Victor s'était positionné devant elle, son sexe dressé à hauteur de son visage. "Ouvre la bouche," ordonna-t-il en guidant son membre vers ses lèvres.
Mei accueillit son sexe, sa langue tournoyant autour du gland sensible tandis que Laurent insérait délicatement un premier doigt dans son anus. La sensation était étrange, inconfortable au début, mais pas douloureuse grâce au lubrifiant abondant et à la patience de Laurent.
Éric, qui attendait son tour, s'était glissé sous elle, son visage entre ses cuisses. Sa langue trouva son clitoris et commença à le caresser habilement, ajoutant une vague de plaisir qui contrebalançait l'inconfort initial de la préparation anale.
"C'est ça," encouragea Laurent en insérant un deuxième doigt, les écartant légèrement pour étirer doucement son anneau de chair. "Tu t'ouvres si bien pour moi."
Mei gémit autour du sexe de Victor, qui avait commencé à bouger lentement dans sa bouche, contrôlant sa profondeur pour ne pas l'étouffer. Les sensations contradictoires - la plénitude dans sa bouche, la langue d'Éric sur son clitoris, les doigts de Laurent qui l'étiraient - créaient un cocktail enivrant de sensations.
Sophia s'était approchée, caressant les seins pendants de Mei, pinçant légèrement ses tétons pour ajouter à son plaisir. "Regarde-la," murmura-t-elle aux hommes. "Elle est faite pour ça."
Après plusieurs minutes de cette préparation méticuleuse, Laurent retira ses doigts. "Elle est prête," annonça-t-il en enfilant un préservatif qu'il enduisit généreusement de lubrifiant.
Victor se retira de la bouche de Mei. "Changeons de position," dit-il. "Éric, allonge-toi."
Éric obéit, s'allongeant sur le dos, son sexe dressé vers le plafond. Victor guida Mei au-dessus de lui. "Descends sur lui," ordonna-t-il. "Prends-le en toi."
Mei s'abaissa lentement, sentant le sexe d'Éric s'enfoncer dans son intimité déjà humide. Elle gémit en le sentant la remplir complètement, s'arrêtant un instant pour s'habituer à sa présence.
"Penche-toi en avant," instruisit Laurent en se positionnant derrière elle.
Mei se pencha, offrant ses fesses à Laurent tout en restant empalée sur Éric. Elle sentit la pression du sexe lubrifié de Laurent contre son anus, puis la lente intrusion alors qu'il commençait à la pénétrer avec une patience délibérée.
"Oh mon dieu," haleta-t-elle, submergée par la sensation d'être si pleine, si étirée.
"Respire," conseilla Sophia en caressant ses cheveux. "Détends-toi et accueille-le."
Laurent s'enfonçait millimètre par millimètre, attentif à chaque réaction de Mei. Quand il fut finalement entièrement en elle, il s'immobilisa, lui laissant le temps de s'adapter à cette double pénétration.
"Maintenant, ouvre la bouche," ordonna Victor en se positionnant devant elle, son sexe à hauteur de son visage.
Mei obéit, accueillant le membre de Victor entre ses lèvres. Elle était maintenant remplie dans chaque orifice, possédée complètement par les trois hommes. La sensation était indescriptible - un mélange de plénitude absolue, de vulnérabilité totale et d'un plaisir qui dépassait l'entendement.
Les hommes commencèrent à bouger, d'abord lentement et avec précaution, établissant un rythme coordonné. Éric poussait vers le haut, Laurent se retirait, Victor s'enfonçait dans sa bouche. Puis ils inversaient, créant une vague continue de sensations qui submergeait Mei.
Sophia observait la scène, ses doigts s'activant entre ses propres cuisses. "C'est magnifique," murmura-t-elle. "Tu les prends si bien, tous les trois."
Le rythme s'accéléra progressivement, les mouvements devenant plus profonds, plus insistants. Mei n'était plus qu'un réceptacle de plaisir, son corps entier vibrant sous l'assaut coordonné des trois hommes. Chaque poussée d'Éric frottait contre ce point sensible à l'intérieur d'elle, chaque pénétration de Laurent envoyait des vagues de sensations nouvelles et intenses, chaque mouvement de Victor dans sa bouche complétait cette symphonie charnelle.
L'orgasme se construisait en elle comme une tempête à l'horizon, immense et inévitable. Elle sentait son corps se tendre, ses muscles intimes se contracter autour des sexes qui la possédaient.
"Elle va jouir," annonça Sophia qui observait attentivement les signes. "Je le vois sur son visage."
Les hommes intensifièrent leurs efforts, leurs mouvements devenant plus erratiques à mesure que leur propre plaisir montait. L'orgasme explosa finalement en Mei, plus puissant que tout ce qu'elle avait connu auparavant. Son corps entier convulsa, ses cris étouffés par le sexe de Victor, ses muscles internes pulsant violemment autour d'Éric et Laurent.
Sa jouissance déclencha celle des hommes. Victor fut le premier, se retirant au dernier moment pour se déverser sur son visage et sa poitrine. Laurent suivit peu après, s'enfonçant une dernière fois avant de se figer, son sexe pulsant dans son intimité arrière. Éric fut le dernier, soulevant ses hanches pour s'enfoncer profondément en elle alors qu'il atteignait l'extase.
Pendant quelques instants, seules leurs respirations haletantes troublèrent le silence de la pièce. Puis, avec une délicatesse surprenante après une telle intensité, les hommes se retirèrent un à un. Mei s'effondra sur le lit, épuisée mais comblée comme jamais auparavant.
Sophia s'approcha avec un linge humide, nettoyant doucement les traces de leur plaisir sur le corps de Mei. "Tu as été incroyable," murmura-t-elle avec admiration.
Victor s'allongea à côté d'elle, caressant ses cheveux emmêlés. "Tu es pleine de surprises, Mei," dit-il avec un sourire satisfait. "Je crois que tu as trouvé ta place parmi nous."
Mei ferma les yeux, son corps encore traversé de spasmes résiduels de plaisir. Cette nuit avait changé sa vie à jamais. Elle avait découvert des aspects d'elle-même qu'elle n'aurait jamais soupçonnés, des plaisirs dont elle n'aurait jamais osé rêver.
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Les avis des lecteurs
Ce texte est parfaitement écrit sans vulgarité avec beaucoup de douceur de de sensualité et d’érotisme une initiation complète de la jeune ingenue
DANIEL
DANIEL

