Méli-Mélo au boulot
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Méli-Mélo au boulot
Bien sûr on est rentrés dimanche soir tous les deux et je l’ai ramenée chez elle pour un petit picnic au salon, elle en lotus sur le tapis, moi dans le canapé, à grignoter sur la table basse des tapas picards décongelés au micro-onde.
Elle avait voulu rentrer chez elle pour se coucher tôt. Elle travaillait le lendemain et se devait d’être fraîche et reposée. J’ai compris qu’elle n'allait pas tarder à me virer pour dormir seule et solitaire.
Elle riait en se penchant pour ramasser les assiettes vides sur le tapis en exposant sous mon nez ses petites fesses qui encadraient la parenthèse charnue de son abricot de gamine tout brillant. Elle a dit, quand je pense que j’ai passé la journée d’aujourd’hui cul nu et que demain je vais porter plus d’un millier de culottes…
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas.
Elle a dit, demain je fais un shooting pour La Redoute. Slips, boxers, strings, culottes, tangas, shorties. Mettre dix fois la même culotte, en blanc, en jaune, en bleu, en rouge, en noir, même en fushia. Et chaque fois les poses devant l’écran bleu… Tu verrais le tableau !
Moi je pensais, pour les culottes, ça va avec ses jambes fines, son pubis étroit et son ventre plat. Mais quid des soutifs coordonnés ? Pas possible de faire des photos convenables de balconnets vides. Je pensais, peut être Photoshop ?
Ou alors elle se fait doubler...
Elle m'a dit, tu sais les photos de culottes sont cadrées et sur la table de montage comme sur l'écran du Mac, les assistants préposés aux catalogues taillent sans scrupules. Il est rare que je sois en pied pour ces photos de fiches produit.
Je pensais, c'est bien dommage de ne pas voir sa bouille rigolote avec ces deux dents devant. Ça ferait vendre les slips comme des petits pains. Chez la Redoute, ils n'ont pas le sens du marketing. En plus son torse de garçon manqué avec ces petites aréoles roses à peine gonflées est troublant au possible, autant pour un client fille que pour un gars.
Elle m'a dit, en un grand sourire éclatant de blanc, les photographes pour les sous-vêtements féminins sont toujours des femmes. Doivent penser, à la production que les filles sont plus sensibles que les mecs au charme des tangas et autres strings. C'est vrai que les gars, eux, n'attendent qu'une chose c'est que les filles quittent leur culotte. Sont pas sensibles à l'emballage ... ces idiots-là.
Moi, j'aime bien vaquer le cul à l'air libre, mais la plupart des filles préfèrent porter des dessous, même sous les robes. Quand la jupe est courte, je peux comprendre, pour éviter l'accident de culotte cher à Paris Hilton en descendant de calèche. Mais avec une robe de cotonnade légère genre Laura Ashley, t'es bien mieux sans rien, comme en chemise de nuit. En plus petit courant d'air quand tu marches pour te rafraîchir les idées et la moule...
En plus tous les gars te matent, et pas que dans les yeux. Moi, j'aime ça. Les gars quand ils te matent, on sent bien qu'ils ont la queue raide et plein d'affinités pour toi. Moi, j'aime ça.
Et elle me regardait avec sa bouille de blonde filasse et ses deux dents de devant comme une invite à l'embrasser, à la biser, à la serrer dans mes bras.
Et puis, comme je l'avais prémoni, elle m'a viré, va et rentre chez toi, toi et ta Carrera 4S, moi j'ai besoin d'être belle demain. Avec un berlingot bien net. Vu qu'il ne me faut pas pourrir la collection d'été de la Redoute à Roubaix.
Tu les vois, obligés de mettre au rebut mille culottes à cause de toi et de tes offrandes trop généreuses ?
Elle a ajouté, si tu veux me rejoindre, je finis à 18h au studio Daguerre, c'est dans le XVIème. Pas moyen de se garer, tu passes pile à 6h je serai devant la porte, tu m'embarques, on ira dîner au vernissage d'un petit con branché, j'ai un carton.
Pensez que j'ai acquissé à deux mains dont une à sa fesse gauche, l'autre à son cou, relevant sa joue pour mieux la biser.
Avec la langue.
Elle avait voulu rentrer chez elle pour se coucher tôt. Elle travaillait le lendemain et se devait d’être fraîche et reposée. J’ai compris qu’elle n'allait pas tarder à me virer pour dormir seule et solitaire.
Elle riait en se penchant pour ramasser les assiettes vides sur le tapis en exposant sous mon nez ses petites fesses qui encadraient la parenthèse charnue de son abricot de gamine tout brillant. Elle a dit, quand je pense que j’ai passé la journée d’aujourd’hui cul nu et que demain je vais porter plus d’un millier de culottes…
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas.
Elle a dit, demain je fais un shooting pour La Redoute. Slips, boxers, strings, culottes, tangas, shorties. Mettre dix fois la même culotte, en blanc, en jaune, en bleu, en rouge, en noir, même en fushia. Et chaque fois les poses devant l’écran bleu… Tu verrais le tableau !
Moi je pensais, pour les culottes, ça va avec ses jambes fines, son pubis étroit et son ventre plat. Mais quid des soutifs coordonnés ? Pas possible de faire des photos convenables de balconnets vides. Je pensais, peut être Photoshop ?
Ou alors elle se fait doubler...
Elle m'a dit, tu sais les photos de culottes sont cadrées et sur la table de montage comme sur l'écran du Mac, les assistants préposés aux catalogues taillent sans scrupules. Il est rare que je sois en pied pour ces photos de fiches produit.
Je pensais, c'est bien dommage de ne pas voir sa bouille rigolote avec ces deux dents devant. Ça ferait vendre les slips comme des petits pains. Chez la Redoute, ils n'ont pas le sens du marketing. En plus son torse de garçon manqué avec ces petites aréoles roses à peine gonflées est troublant au possible, autant pour un client fille que pour un gars.
Elle m'a dit, en un grand sourire éclatant de blanc, les photographes pour les sous-vêtements féminins sont toujours des femmes. Doivent penser, à la production que les filles sont plus sensibles que les mecs au charme des tangas et autres strings. C'est vrai que les gars, eux, n'attendent qu'une chose c'est que les filles quittent leur culotte. Sont pas sensibles à l'emballage ... ces idiots-là.
Moi, j'aime bien vaquer le cul à l'air libre, mais la plupart des filles préfèrent porter des dessous, même sous les robes. Quand la jupe est courte, je peux comprendre, pour éviter l'accident de culotte cher à Paris Hilton en descendant de calèche. Mais avec une robe de cotonnade légère genre Laura Ashley, t'es bien mieux sans rien, comme en chemise de nuit. En plus petit courant d'air quand tu marches pour te rafraîchir les idées et la moule...
En plus tous les gars te matent, et pas que dans les yeux. Moi, j'aime ça. Les gars quand ils te matent, on sent bien qu'ils ont la queue raide et plein d'affinités pour toi. Moi, j'aime ça.
Et elle me regardait avec sa bouille de blonde filasse et ses deux dents de devant comme une invite à l'embrasser, à la biser, à la serrer dans mes bras.
Et puis, comme je l'avais prémoni, elle m'a viré, va et rentre chez toi, toi et ta Carrera 4S, moi j'ai besoin d'être belle demain. Avec un berlingot bien net. Vu qu'il ne me faut pas pourrir la collection d'été de la Redoute à Roubaix.
Tu les vois, obligés de mettre au rebut mille culottes à cause de toi et de tes offrandes trop généreuses ?
Elle a ajouté, si tu veux me rejoindre, je finis à 18h au studio Daguerre, c'est dans le XVIème. Pas moyen de se garer, tu passes pile à 6h je serai devant la porte, tu m'embarques, on ira dîner au vernissage d'un petit con branché, j'ai un carton.
Pensez que j'ai acquissé à deux mains dont une à sa fesse gauche, l'autre à son cou, relevant sa joue pour mieux la biser.
Avec la langue.
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