Méli-Mélo, au galop
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Méli-Mélo, au galop
Ma bite dans sa main chaude retrouvait consistance. Pourtant elle ne faisait aucun mouvement, ne pressait pas en cadence, ne cherchait rien, ni caresse ni sollicitation. Juste elle se contentait de la tenir.
Puis elle s'est assise. Assise les jambes repliées sous elle, hanches et bassin encore sous la couette, sans lâcher mon organe.
Son grand buste était sous mes yeux. Avec sa tête brune qui riait, parfaitement à l'aise d'exposer ainsi son thorax de garçon.
Je me suis assis, moi aussi et ma main est passée caressante sur les deux aréoles. Aréoles douces et fines, toutes gonflées du plaisir de la caresse, avec un téton saillant tout mou.
J'ai passé mes mains sur ses épaules sur son cou sur ses bras, partout. Ma bouche est allée à son tour parcourir sa peau et avaler les bourgeons tendres dont je devinais malgré la pénombre qu'ils étaient clairs. Étonnante morphologie d'une brune à la peau claire.
Je suçais les pointes tour à tour. Puis ma bouche grande ouverte j'ai aspiré la totalité de l'aréole, la faisant gonfler entre mes lèvres. D'un côté puis de l'autre.
Elle riait et m'a dis, crois-tu cette thérapie efficace pour les faire pousser ?
En tous cas, même si elle ne l'est pas elle a au moins l'avantage d'être agréable.
J'étais assis face à elle en lotus et mon érection était à la hauteur du plaisir que j'avais eu à jouer avec sa poitrine.
Elle a repoussé la couette et j'ai vu qu'elle était toute nue, sans le moindre poil. Elle s'est dépliée et a passé une jambe puis l'autre autour de mon bassin. Elle était face à moi, assise en tailleur elle aussi.
J'ai empaumé ses aisselles et l'ai soulevée, basculée en avant, sa tête sur mon épaule, ses lèvres dans mon cou. Elle, poussait de ses deux bras, mains à plat sur le drap du lit, pour se soulever.
Elle est descendue tout doucement, s'empalant sur ma tige décalottée encore humide. Son papillon a posé ses ailes sur le gland et je sentais l'agitation compulsive de ses intérieurs comme pour m'avaler tout cru tout entier.
Il m'a fallu une bonne dose de volonté pour ne pas l'embrocher d'un coup d'un seul mais au contraire laisser venir doucement et faire visite courtoise. Nous étions en communion sans nous être concertés et elle retenait de ses bras autant que moi des miens.
Quand elle a été abutée à mon pubis, j'ai posé mes mains sur ses fesses et l'ai tirée encore plus vers moi.
Cela a déclenché son orgasme.
Un orgasme violent et court.
Quand elle a été calmée, elle a dit, merci de n'être pas venu, toi. Souviens-toi, tu dois tout garder pour la bonne bouche.
La position était favorable à des mouvements réciproques et très vite je l'ai sentie repartir en jouissance, ses intérieurs me malaxant avec tant de conviction que j'avais du mal à me retenir de l'accompagner.
Elle est restée apaisée assez peu de temps, sa tignasse sur mon épaule. Puis elle a levé la tête pour m'embrasser. Un baiser fougueux. J'avais sur les lèvres sur la langue le goût de moi. Un goût nouveau que je ne connaissais pas.
Elle a ri et m'a dit, hein que ton jus d'amour sent bon ? Si tu veux bien, tu me réserves la prochaine fournée.
Moi, je pensais, lui faudra être prompte car je suis vraiment off limit.
Mes mains à ses fesses l'ont souvevée, de toute la longueur de ma tige puis je l'ai relâchée. Ma bite à coulissé dans le fourreau étroit trempé de ses émotions jusqu'à toucher le dur du col et s'immobiliser dans le souple au dessus. En arrêt. Je savais que c'était là le meilleur. Bien meilleur qu'activités de limage stackanovistes. Elle le savait aussi ou alors simplement l'a ressenti et ses jambes se sont refermées sur moi pour mieux me serrer et amplifier le contact du bout du gland sur le tissu fortement innervé au coeur d'elle.
Je m'y attendais, cela lui a suffit pour repartir en contractions de jouissance. Et elle s'est mise à chanter en longs rales musicaux.
Et moi je faisais le vide dans ma tête pour respecter sa demande.
J'avais envie de sucer à nouveau ses tétons. Je l'ai repoussée en arrière et elle s'est étendue sur le dos. Il m'a fallu la quitter mais une petite pause était bienvenue, un peu d'air frais calmerait mon impatience.
J'étais à quatre pattes, la queue dressée entre les jambes, à suçoter son thorax. Elle avait la tête en arrière, bouche bée et j'entendais la chanson de ses plaisirs, comme guide à mes caresses.
Cette absence de seins était bien plus sensible que les nibars standards. Les tétons se levaient dès que j'approchais les doigts ou les lèvres, les aréoles étaient gonflées et le moindre effleurement déclenchait des ronronnements de satisfaction.
Jusqu'au moment où j'ai entendu la chanson que je savais, la chanson de son plaisir. Elle s'éclatait de mes lèvres sur sa poitrine !
Elle s'est alors emparé de ma bite et en quelques mouvements de pompe elle a provoqué mon épanchement. Elle s'est promptement glissée en dessous de moi pour boire à ma queue comme le veau boit au pis.
Ce faisant elle me présentait son pubis glabre avec fente charnue de gamine et languette rose qui dépassait.
Je n'ai pas réfléchi et, posé sur mes coudes, mes deux mains écartant ses cuisses pour mieux l'ouvrir, j'ai plongé mes lèvres dans le doux luisant pour boire moi aussi ses humeurs claires.
Elle n'était plus affairée sous moi, probablement n'avais-je plus rien à donner, et s'abandonnait, écartelée, à ses propres sensations. Je me doutais qu'il suffirait de peu pour l'envoyer une fois encore au nirvâna. Quand ma langue est venue balayer son petit bouton, elle a repris sa chanson. Mes lèvres ont aspiré puis repoussé la peau, dégageant la petite tête pour l'offrir à ma langue titillante. Et elle est repartie...
Je n'ai pas attendu et me suis roulé sur elle, la prenant dans mes bras, lui offrant, en un baiser long, retour de son offrande de tout à l'heure. Elle m'a dit, moi je connais l'odeur de moi. Tous les soirs je me délecte de humer mon gousset.
Elle a chopé une fois encore ma tige de sa main chaude et, la jugeant apte, s'est ouverte, cuisses levées, à ma visite.
J'avoue que c'en était trop pour moi et que je me suis emballé, comme cheval sur plage déserte, dans un galop effréné et que je n'ai eu aucun scrupule à l'accompagner dans son orgasme suivant.
Puis elle s'est assise. Assise les jambes repliées sous elle, hanches et bassin encore sous la couette, sans lâcher mon organe.
Son grand buste était sous mes yeux. Avec sa tête brune qui riait, parfaitement à l'aise d'exposer ainsi son thorax de garçon.
Je me suis assis, moi aussi et ma main est passée caressante sur les deux aréoles. Aréoles douces et fines, toutes gonflées du plaisir de la caresse, avec un téton saillant tout mou.
J'ai passé mes mains sur ses épaules sur son cou sur ses bras, partout. Ma bouche est allée à son tour parcourir sa peau et avaler les bourgeons tendres dont je devinais malgré la pénombre qu'ils étaient clairs. Étonnante morphologie d'une brune à la peau claire.
Je suçais les pointes tour à tour. Puis ma bouche grande ouverte j'ai aspiré la totalité de l'aréole, la faisant gonfler entre mes lèvres. D'un côté puis de l'autre.
Elle riait et m'a dis, crois-tu cette thérapie efficace pour les faire pousser ?
En tous cas, même si elle ne l'est pas elle a au moins l'avantage d'être agréable.
J'étais assis face à elle en lotus et mon érection était à la hauteur du plaisir que j'avais eu à jouer avec sa poitrine.
Elle a repoussé la couette et j'ai vu qu'elle était toute nue, sans le moindre poil. Elle s'est dépliée et a passé une jambe puis l'autre autour de mon bassin. Elle était face à moi, assise en tailleur elle aussi.
J'ai empaumé ses aisselles et l'ai soulevée, basculée en avant, sa tête sur mon épaule, ses lèvres dans mon cou. Elle, poussait de ses deux bras, mains à plat sur le drap du lit, pour se soulever.
Elle est descendue tout doucement, s'empalant sur ma tige décalottée encore humide. Son papillon a posé ses ailes sur le gland et je sentais l'agitation compulsive de ses intérieurs comme pour m'avaler tout cru tout entier.
Il m'a fallu une bonne dose de volonté pour ne pas l'embrocher d'un coup d'un seul mais au contraire laisser venir doucement et faire visite courtoise. Nous étions en communion sans nous être concertés et elle retenait de ses bras autant que moi des miens.
Quand elle a été abutée à mon pubis, j'ai posé mes mains sur ses fesses et l'ai tirée encore plus vers moi.
Cela a déclenché son orgasme.
Un orgasme violent et court.
Quand elle a été calmée, elle a dit, merci de n'être pas venu, toi. Souviens-toi, tu dois tout garder pour la bonne bouche.
La position était favorable à des mouvements réciproques et très vite je l'ai sentie repartir en jouissance, ses intérieurs me malaxant avec tant de conviction que j'avais du mal à me retenir de l'accompagner.
Elle est restée apaisée assez peu de temps, sa tignasse sur mon épaule. Puis elle a levé la tête pour m'embrasser. Un baiser fougueux. J'avais sur les lèvres sur la langue le goût de moi. Un goût nouveau que je ne connaissais pas.
Elle a ri et m'a dit, hein que ton jus d'amour sent bon ? Si tu veux bien, tu me réserves la prochaine fournée.
Moi, je pensais, lui faudra être prompte car je suis vraiment off limit.
Mes mains à ses fesses l'ont souvevée, de toute la longueur de ma tige puis je l'ai relâchée. Ma bite à coulissé dans le fourreau étroit trempé de ses émotions jusqu'à toucher le dur du col et s'immobiliser dans le souple au dessus. En arrêt. Je savais que c'était là le meilleur. Bien meilleur qu'activités de limage stackanovistes. Elle le savait aussi ou alors simplement l'a ressenti et ses jambes se sont refermées sur moi pour mieux me serrer et amplifier le contact du bout du gland sur le tissu fortement innervé au coeur d'elle.
Je m'y attendais, cela lui a suffit pour repartir en contractions de jouissance. Et elle s'est mise à chanter en longs rales musicaux.
Et moi je faisais le vide dans ma tête pour respecter sa demande.
J'avais envie de sucer à nouveau ses tétons. Je l'ai repoussée en arrière et elle s'est étendue sur le dos. Il m'a fallu la quitter mais une petite pause était bienvenue, un peu d'air frais calmerait mon impatience.
J'étais à quatre pattes, la queue dressée entre les jambes, à suçoter son thorax. Elle avait la tête en arrière, bouche bée et j'entendais la chanson de ses plaisirs, comme guide à mes caresses.
Cette absence de seins était bien plus sensible que les nibars standards. Les tétons se levaient dès que j'approchais les doigts ou les lèvres, les aréoles étaient gonflées et le moindre effleurement déclenchait des ronronnements de satisfaction.
Jusqu'au moment où j'ai entendu la chanson que je savais, la chanson de son plaisir. Elle s'éclatait de mes lèvres sur sa poitrine !
Elle s'est alors emparé de ma bite et en quelques mouvements de pompe elle a provoqué mon épanchement. Elle s'est promptement glissée en dessous de moi pour boire à ma queue comme le veau boit au pis.
Ce faisant elle me présentait son pubis glabre avec fente charnue de gamine et languette rose qui dépassait.
Je n'ai pas réfléchi et, posé sur mes coudes, mes deux mains écartant ses cuisses pour mieux l'ouvrir, j'ai plongé mes lèvres dans le doux luisant pour boire moi aussi ses humeurs claires.
Elle n'était plus affairée sous moi, probablement n'avais-je plus rien à donner, et s'abandonnait, écartelée, à ses propres sensations. Je me doutais qu'il suffirait de peu pour l'envoyer une fois encore au nirvâna. Quand ma langue est venue balayer son petit bouton, elle a repris sa chanson. Mes lèvres ont aspiré puis repoussé la peau, dégageant la petite tête pour l'offrir à ma langue titillante. Et elle est repartie...
Je n'ai pas attendu et me suis roulé sur elle, la prenant dans mes bras, lui offrant, en un baiser long, retour de son offrande de tout à l'heure. Elle m'a dit, moi je connais l'odeur de moi. Tous les soirs je me délecte de humer mon gousset.
Elle a chopé une fois encore ma tige de sa main chaude et, la jugeant apte, s'est ouverte, cuisses levées, à ma visite.
J'avoue que c'en était trop pour moi et que je me suis emballé, comme cheval sur plage déserte, dans un galop effréné et que je n'ai eu aucun scrupule à l'accompagner dans son orgasme suivant.
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