Méli-Mélo, enfin du cul...
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Méli-Mélo, enfin du cul...
Soleil filtrant sur les côtés du rideau. Je me réveille. Enfin, non, "on" me réveille. Une boule de fourrure sombre balaye ma poitrine et repousse la couette vers le bas. Elle s'attarde sur mes tétons, les suce, les aspire. Une main chaude est sur mon ventre, puis une autre à ma taille. Il est tard. L'iPhone n'a pas sonné. Normal, on est dimanche. Je referme les yeux et je reste allongé sur le dos encore un peu endormi. Les mains sont descendues symétriques sur mes hanches. La bouche chaude et humide est sur mon nombril. Une langue pointue s'introduit dans la cuvette plissée puis passe son chemin. La chevelure agace mon pubis et chatouille mes poils. Je reste inerte, immobile, abandonné.
Je sais ce qui va arriver.
En plus je me dis, ça craint. Je pense avec inquiétude aux deux incisives blanches. Je pense à ces gros engins de chantier, Liebherr, Cat, JCB, jaunes avec le scraper sur le devant.
Heureusement, mon engin à moi est au repos. Tendre et recroquevillé. Modeste en dimension.
Sa bouche aux lèvres rouges ... je suis dans mon imaginaire ... se pose sur le prépuce. Je sens le chaud je sens le mouillé. Ses lèvres ont pris le petit bout de chair comme on prend le corktype d'une Craven.
Puis elle a aspiré. Les peaux se sont retroussées et c'est le gland tout entier qui est venu à sa bouche, dilatant le muscle labial, forçant l'ouverture buccale.
Sa langue, douce et râpeuse à la fois a fait aubade, caresse enveloppante.
L'obstacle de ses dents de devant avait été passé sans séquelle apparente.
Les deux mains avaient contourné mes fesses et étaient à présent crispées sous mes cuisses et tiraient pour les relever. Mon bassin a basculé en avant sur l'invite et son front poussait, chaud, sur mes couilles. Quelques uns de ses cheveux venaient entre mes cuisses agasser mon petit trou.
Ma verge molle était maintenant entièrement happée par son gosier et je sentais le contact de sa luette sur l'extrémité de mon gland. Les dents que je craignais tant était maintenant en contact léger de la racine du bitos, au pubis.
Bien entendu, qui dit bitos, dit que très vite la chose a pris son expansion et que, passée la luette, le gros gland gonflé de sang s'est aventuré à la glotte et y a trouvé, dans les mouvements de déglutition rythmiques qu'elle pratiquait, épanouissement jouissif.
Souvent, alors, les filles s'échappent. Celle-ci, point. Elle m'a gardé entre langue et palais pour recueillir avec ferveur tout ce que je donnais. Et le boire sans en rien perdre, rien.
Moi j'avais, à portée, ses fesses. Ma main les a caressées. L'une, l'autre puis le creux d'entre elles. Elle appréciait et cambrait son postérieur en invite à poursuivre.
Ses fesses étaient douces étaient lisses. Ses cuisses étaient fines. Et ma main parcourait sa peau, légère et veloutée. Elle appréciait cette réciprocité et je sentais son appétence à plus encore de proximité. Je sentais cela à une légère vibration de sa tendre intimité et à une sorte de crispation que celle-ci avait à l'encontre de ma main, en ouverture.
Sa langue allait au plus bas de ma pine et appuyée sur l'urètre, elle remontait jusqu'au plus haut, juste en dessous du gland pour tirer tout ce qui pouvait encore rester de liquide séminal. Et elle était en aspiration, en succion. Manifestement cette fille aimait le foutre et n'en voulait pas laisser perdre moindre goutte.
Quand elle a senti que mon organe perdait sa rigidité, elle l'a doucement laisser partir, accompagnant le mouvement d'un léger raclement de ses deux incisives sur toute la longueur de la tige. Comme pour dire, vois à quoi tu as échappé.
Elle est revenue près de moi, a tiré la couette sur nous et a enfoui sa tignasse brune dans mon cou.
Sa main, sous la couette avait pris possession de ma bite et la tenait serrée comme on tient la main d'un enfant au passage clouté.
Ma main à sa nuque la gardait contre moi en protection.
Je croyais qu'elle voulait encore dormir, mais non. Ses yeux se sont levés vers moi et j'ai eu un vrai plaisir à regarder sa bouille de gamine innocente ennamourée qui me badait dans la semi-obscurité joyeuse du soleil incident.
Elle m'a dit, j'ai lu hier dans Elle que les hormones des garçons étaient bons pour les seins des filles.
Alors, si tu veux bien, garde-moi tout, ne gaspille rien.
Je sais ce qui va arriver.
En plus je me dis, ça craint. Je pense avec inquiétude aux deux incisives blanches. Je pense à ces gros engins de chantier, Liebherr, Cat, JCB, jaunes avec le scraper sur le devant.
Heureusement, mon engin à moi est au repos. Tendre et recroquevillé. Modeste en dimension.
Sa bouche aux lèvres rouges ... je suis dans mon imaginaire ... se pose sur le prépuce. Je sens le chaud je sens le mouillé. Ses lèvres ont pris le petit bout de chair comme on prend le corktype d'une Craven.
Puis elle a aspiré. Les peaux se sont retroussées et c'est le gland tout entier qui est venu à sa bouche, dilatant le muscle labial, forçant l'ouverture buccale.
Sa langue, douce et râpeuse à la fois a fait aubade, caresse enveloppante.
L'obstacle de ses dents de devant avait été passé sans séquelle apparente.
Les deux mains avaient contourné mes fesses et étaient à présent crispées sous mes cuisses et tiraient pour les relever. Mon bassin a basculé en avant sur l'invite et son front poussait, chaud, sur mes couilles. Quelques uns de ses cheveux venaient entre mes cuisses agasser mon petit trou.
Ma verge molle était maintenant entièrement happée par son gosier et je sentais le contact de sa luette sur l'extrémité de mon gland. Les dents que je craignais tant était maintenant en contact léger de la racine du bitos, au pubis.
Bien entendu, qui dit bitos, dit que très vite la chose a pris son expansion et que, passée la luette, le gros gland gonflé de sang s'est aventuré à la glotte et y a trouvé, dans les mouvements de déglutition rythmiques qu'elle pratiquait, épanouissement jouissif.
Souvent, alors, les filles s'échappent. Celle-ci, point. Elle m'a gardé entre langue et palais pour recueillir avec ferveur tout ce que je donnais. Et le boire sans en rien perdre, rien.
Moi j'avais, à portée, ses fesses. Ma main les a caressées. L'une, l'autre puis le creux d'entre elles. Elle appréciait et cambrait son postérieur en invite à poursuivre.
Ses fesses étaient douces étaient lisses. Ses cuisses étaient fines. Et ma main parcourait sa peau, légère et veloutée. Elle appréciait cette réciprocité et je sentais son appétence à plus encore de proximité. Je sentais cela à une légère vibration de sa tendre intimité et à une sorte de crispation que celle-ci avait à l'encontre de ma main, en ouverture.
Sa langue allait au plus bas de ma pine et appuyée sur l'urètre, elle remontait jusqu'au plus haut, juste en dessous du gland pour tirer tout ce qui pouvait encore rester de liquide séminal. Et elle était en aspiration, en succion. Manifestement cette fille aimait le foutre et n'en voulait pas laisser perdre moindre goutte.
Quand elle a senti que mon organe perdait sa rigidité, elle l'a doucement laisser partir, accompagnant le mouvement d'un léger raclement de ses deux incisives sur toute la longueur de la tige. Comme pour dire, vois à quoi tu as échappé.
Elle est revenue près de moi, a tiré la couette sur nous et a enfoui sa tignasse brune dans mon cou.
Sa main, sous la couette avait pris possession de ma bite et la tenait serrée comme on tient la main d'un enfant au passage clouté.
Ma main à sa nuque la gardait contre moi en protection.
Je croyais qu'elle voulait encore dormir, mais non. Ses yeux se sont levés vers moi et j'ai eu un vrai plaisir à regarder sa bouille de gamine innocente ennamourée qui me badait dans la semi-obscurité joyeuse du soleil incident.
Elle m'a dit, j'ai lu hier dans Elle que les hormones des garçons étaient bons pour les seins des filles.
Alors, si tu veux bien, garde-moi tout, ne gaspille rien.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sûr que quand elle dit lire ELLE, on se fait une idée du genre de cette fille.
A moins qu'elle ne confonde avec le Guêpier.
Avec les filles, on ne sait pas ... on ne sait jamais.
Enfin, vous saurez, vous, probablement au prochain épisode de quoi il retourne
Enfin, je veux dire, s'il faut ou non la retourner.
A moins qu'elle ne confonde avec le Guêpier.
Avec les filles, on ne sait pas ... on ne sait jamais.
Enfin, vous saurez, vous, probablement au prochain épisode de quoi il retourne
Enfin, je veux dire, s'il faut ou non la retourner.
Ah ! Bon ! elle (il ?) dit que les filles aiment les hormones des garçons sur leurs seins. Un indice sur le sexe de de l'androgyne ?