Méli-Mélo, Fortissimo
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Méli-Mélo, Fortissimo
J'ai raconté notre atterrissage dans le champ de luzerne et le pas de réseau de l'iPhone.
J'ai demandé s'il était possible de passer un coup de fil au copain qui devait venir nous récupérer.
Il nous a fait entrer et m'a montré le combiné gris comme autrefois sur la console. Il m'a laissé et a mené les deux filles à la cheminée dans laquelle crépitait un feu joyeux.
En les rejoignant j'ai dit, répondeur, il me faudra rappeler un peu plus tard.
Les filles étaient superbes dans le rouge agité du bois brûlant.
L'une, grande, plate de devant mais rigolote de sa bouille de gamine et de ses cuisses nues.
L'autre, chevelure luxuriante blond vénitien sombre, morphologie orientale, visage mat et plein, chaleureuse comme le sont les filles de là-bas. Er surtout le pull bien plein, comme promesse.
Elles avaient gardé les bonnets sur leur têtes et la scène avait quelque chose de Millet.
Pas de Tennessee ... ne mélangeons pas les genres.
Le fermier, un grand gars jeune et costaud, badait.
Il m'a dit, moi voilà longtemps que je rêve de faire du ballon. Depuis que j'ai lu Jules Verne et les quatre-vingt jours, rouge et or ou alors bibliothèque verte.
Je vous fais une offre, je vous héberge ce soir et demain vous m'emmenez. C'est comme une auto, votre truc, on peut monter à quatre, non ? Votre copain et son Range de toutes façons, on est à deux heures de Paris, viendra pas ce soir.
Moi, j'avais compris que ce gars-là était bien plus intéressé par mes deux gonzesses que par un tour, façon baptème, en aréostat.
Les filles m'ont regardé avec des yeux qui disaient oui.
Les filles, elles sont comme ça...
J'ai rappelé le copain, j'ai dit, va on se démerdera, vaque donc à tes occupations de samedi soir. Bon vent.
Les filles avaient tombé les bonnets et les pulls.
Le fermier avait sorti les bouteilles et riait.
Moi, j'ai dit, si on reste faudrait quand même rentrer la nacelle, le brûleur, le propane.
On est partis tous les deux dans son pick-up quérir le matos pour le remiser dans sa grange.
À notre retour, les filles avaient dressé la table de bois épais, nappe, couverts, omelette et charcutailles. On voyait bien qu'elles étaient chez elles, en pays conquis. Les bouteilles de rouge nous tendaient les bras. Le fermier était sympa et surtout plaisait bien aux deux filles.
Moi, je me disais, prendra l'une me laissera l'autre. Enfin j'espère...
Au fromage, il a dit, je vais faire couler le jacuzzi..
Nous, on s'est regardés. Ébahis. Putain ce mec de fermier !!!
Il a dit, savez ici, si on veut avoir des gonzesses dans son lit de temps à autre, faut se bouger. Internet le WiFi la télé HD le Bluetooth les CD Blu-ray Amazon et Meetic. Qu'est-ce vous croyez, qu'on est pas branchés ?
L'a dit, moi je fais des céréales. Des centaines de tonnes de céréales, plus en une année que ce pays est capable d'en bouffer en un siècle au petit déjeuner.
On est allés au jacuzzi. Pièce voûtée, pierres apparentes, chaleur humide.
Mon amie a laissé couler la robe hippie sur ses chevilles. Son torse tout plat et mon caleçon blanc sur ses hanches. Je la trouvais magnifique. Mais j'ai vite compris que je n'étais pas le seul à apprécier ses aréoles finement gonflées et ses tétons roses, tout juste saillants.
Izïa m'a serré la main pour partager son émotion et le fermier, lui, matait sans vergogne et on comprenait parfaitement qu'il en était raide.
Elle a voulu abaisser le caleçon. Pour entrer dans le bassin bouillonnant.
Izïa l'a retenue, se tournant vers notre hôte a demandé, devons nous vraiment nous dévêtir entièrement ?
Le fermier n'a pas dit un mot. Il a trituré la boucle de sa ceinture, dégageant l'ardillon et d'un coup d'un seul a fait glisser pantalon et sous-vêtement jusqu'au sol, les enjambant en présentant comme étendard un organe époustouflant. Comme le grenadier de la chanson, long comme le bras, gros comme la jambe.
Envoyant le teeshirt rejoindre ses autres frusques, il est entré dans le jacuzzi en conquérant.
Izïa avait en mains mon caleçon et l'avait descendu jusqu'aux mollets de mon amie. Izïa était pliée en deux, ses fesses sous mon nez et moi je bichais de voir sa fente moulée par le slip qu'elle arborait sous sa jupe courte. Bien pleine la jupe et le slip aussi.
Mon amie était toute nue debout, toute fine de son pubis glabre épilé et de sa fente très basse, comme cachée entre ses cuisses. On aurait dit une statue grecque.
Elle est entrée à son tour dans les eaux et l'écume chaudes.
Izïa m'a rapidement mis à poil et m'a suivi, elle aussi, rejoindre les deux autres. Elle avait ainsi marqué la partition. Ce soir, je serais à elle... Et cela me convenait.
Sacré bon week end... Surtout qu'Izïa, non seulement avait des nibars magnifiques, lourds, bronzés de moultes étés à les présenter aux cieux ensoleillés, arborant deux tétines énormes comme fraises andalouses mûries sous serre ambiance Tchernobyl, mais encore elle présentait du nombril jusqu'au haut des cuisses une toison épaisse, sombre, noire, luxuriante, foisonnante, inouïe.
Moi je pensais, avec sa chevelure blonde lisse à peine bouclée, occidentale, comment peut-elle porter pareille fourrure pubienne de brune orientale frisée a giorno ?
Mais la fille m'a pris la main et nous sommes entrés dans les eaux bouillonnantes chaudes rejoindre les deux autres.
Et les questions ethniques se sont dissoutes dans l'eau chaude du bain mécanique.
Mon amie avait disparu en apnée, nous n'étions plus que trois assis sur la banquette de polyéthylène les uns à côté des autres, le dos ravagé des bouches soufflantes en gargouillis pulsants.
Tous les trois nous regardions floue sous l'eau la tignasse claire de notre amie affairée entre les cuisses de l'hôte. Et chacun de penser qu'elle avait une sacrée allonge pour rester ainsi sous l'eau si longtemps. Malgré les bulles ... ou bien se nourrissait-elle des bulles pour respirer ?
Moi je pensais, ces deux filles sont vraiment différentes, l'une toute lisse de devant, la vulve comme reculée entre ses cuisses, cachée, l'autre, chatte luxuriante ouverte en bon accueil de lèvres charnues à la pilosité débordante et sourire vertical de bienvenue.
J'avais compris que m'était dévolue, ce soir-là, la Méditerréranénne et qu'il me faudrait laisser en conséquence mon amie de la veille aux appétits féroces du fermier.
La fille avait l'air d'apprécier ... enfin de vouloir, de bien vouloir ... je veux dire d'en vouloir, la coquine. C'est vrai, je le savais, l'aimait ça ... s'éclater. Et boire. Et cet homme paraissait à la hauteur, à même de répondre à ses ambitions, à ses appétits, à sa fringale.
Izïa était, elle, femme discrête et se contentait des flux aqueux chauds et bouillonnants. Elle ne cherchait pas à tripoter, ses mains restaient sages. Ses yeux étaient baissés, braqués sur ses genoux. Ses deux superbes nibars dardaient haut leurs fraises noires et j'avais bien du mal à retenir mes mains de les empaumer.
Notre hôte arborait une mine ravie et nous n'avions aucun doute, ni elle ni moi, sur ce que notre amie lui faisait subir, subaquatique ment. Surtout connaissant son appétence pour les sucs des garçons.
Après onction de divers baumes balsamiques détergents dont le fermier avait pléthore sur ses étagères, nous avons pris chacun notre tour douche rinçante pour finir chauds et secs en peignoirs devant la cheminée.
Mon amie avait définitivement opté pour le rural, manifestement confiante en mon intérêt pour les atours épanouis d'Izïa.
Le fermier semblait subjugué par le corps juvénile et androïde de la grande blonde, exactement comme je l'avais été moi-même la veille.
Petite rincette à l'alcool blanc sans étiquette aucune, manifestement distillé à la cocotte minute tuyau rouge dans la baignoire, et puis nous nous sommes séparés, eux à gauche chez lui, nous à droite dans la chambre d'amis.
Izïa m'a dit, ferme bien la porte sinon on ne pourra pas dormir de la nuit, vu qu'ils sont en face sur le palier. Non seulement elle prend son pied toutes les cinq minutes mais encore elle chante ses voluptés en trilles sans retenue, tu la connais pas...
Moi je pensais, si je la connais. Mais je me suis tu.
J'ai demandé s'il était possible de passer un coup de fil au copain qui devait venir nous récupérer.
Il nous a fait entrer et m'a montré le combiné gris comme autrefois sur la console. Il m'a laissé et a mené les deux filles à la cheminée dans laquelle crépitait un feu joyeux.
En les rejoignant j'ai dit, répondeur, il me faudra rappeler un peu plus tard.
Les filles étaient superbes dans le rouge agité du bois brûlant.
L'une, grande, plate de devant mais rigolote de sa bouille de gamine et de ses cuisses nues.
L'autre, chevelure luxuriante blond vénitien sombre, morphologie orientale, visage mat et plein, chaleureuse comme le sont les filles de là-bas. Er surtout le pull bien plein, comme promesse.
Elles avaient gardé les bonnets sur leur têtes et la scène avait quelque chose de Millet.
Pas de Tennessee ... ne mélangeons pas les genres.
Le fermier, un grand gars jeune et costaud, badait.
Il m'a dit, moi voilà longtemps que je rêve de faire du ballon. Depuis que j'ai lu Jules Verne et les quatre-vingt jours, rouge et or ou alors bibliothèque verte.
Je vous fais une offre, je vous héberge ce soir et demain vous m'emmenez. C'est comme une auto, votre truc, on peut monter à quatre, non ? Votre copain et son Range de toutes façons, on est à deux heures de Paris, viendra pas ce soir.
Moi, j'avais compris que ce gars-là était bien plus intéressé par mes deux gonzesses que par un tour, façon baptème, en aréostat.
Les filles m'ont regardé avec des yeux qui disaient oui.
Les filles, elles sont comme ça...
J'ai rappelé le copain, j'ai dit, va on se démerdera, vaque donc à tes occupations de samedi soir. Bon vent.
Les filles avaient tombé les bonnets et les pulls.
Le fermier avait sorti les bouteilles et riait.
Moi, j'ai dit, si on reste faudrait quand même rentrer la nacelle, le brûleur, le propane.
On est partis tous les deux dans son pick-up quérir le matos pour le remiser dans sa grange.
À notre retour, les filles avaient dressé la table de bois épais, nappe, couverts, omelette et charcutailles. On voyait bien qu'elles étaient chez elles, en pays conquis. Les bouteilles de rouge nous tendaient les bras. Le fermier était sympa et surtout plaisait bien aux deux filles.
Moi, je me disais, prendra l'une me laissera l'autre. Enfin j'espère...
Au fromage, il a dit, je vais faire couler le jacuzzi..
Nous, on s'est regardés. Ébahis. Putain ce mec de fermier !!!
Il a dit, savez ici, si on veut avoir des gonzesses dans son lit de temps à autre, faut se bouger. Internet le WiFi la télé HD le Bluetooth les CD Blu-ray Amazon et Meetic. Qu'est-ce vous croyez, qu'on est pas branchés ?
L'a dit, moi je fais des céréales. Des centaines de tonnes de céréales, plus en une année que ce pays est capable d'en bouffer en un siècle au petit déjeuner.
On est allés au jacuzzi. Pièce voûtée, pierres apparentes, chaleur humide.
Mon amie a laissé couler la robe hippie sur ses chevilles. Son torse tout plat et mon caleçon blanc sur ses hanches. Je la trouvais magnifique. Mais j'ai vite compris que je n'étais pas le seul à apprécier ses aréoles finement gonflées et ses tétons roses, tout juste saillants.
Izïa m'a serré la main pour partager son émotion et le fermier, lui, matait sans vergogne et on comprenait parfaitement qu'il en était raide.
Elle a voulu abaisser le caleçon. Pour entrer dans le bassin bouillonnant.
Izïa l'a retenue, se tournant vers notre hôte a demandé, devons nous vraiment nous dévêtir entièrement ?
Le fermier n'a pas dit un mot. Il a trituré la boucle de sa ceinture, dégageant l'ardillon et d'un coup d'un seul a fait glisser pantalon et sous-vêtement jusqu'au sol, les enjambant en présentant comme étendard un organe époustouflant. Comme le grenadier de la chanson, long comme le bras, gros comme la jambe.
Envoyant le teeshirt rejoindre ses autres frusques, il est entré dans le jacuzzi en conquérant.
Izïa avait en mains mon caleçon et l'avait descendu jusqu'aux mollets de mon amie. Izïa était pliée en deux, ses fesses sous mon nez et moi je bichais de voir sa fente moulée par le slip qu'elle arborait sous sa jupe courte. Bien pleine la jupe et le slip aussi.
Mon amie était toute nue debout, toute fine de son pubis glabre épilé et de sa fente très basse, comme cachée entre ses cuisses. On aurait dit une statue grecque.
Elle est entrée à son tour dans les eaux et l'écume chaudes.
Izïa m'a rapidement mis à poil et m'a suivi, elle aussi, rejoindre les deux autres. Elle avait ainsi marqué la partition. Ce soir, je serais à elle... Et cela me convenait.
Sacré bon week end... Surtout qu'Izïa, non seulement avait des nibars magnifiques, lourds, bronzés de moultes étés à les présenter aux cieux ensoleillés, arborant deux tétines énormes comme fraises andalouses mûries sous serre ambiance Tchernobyl, mais encore elle présentait du nombril jusqu'au haut des cuisses une toison épaisse, sombre, noire, luxuriante, foisonnante, inouïe.
Moi je pensais, avec sa chevelure blonde lisse à peine bouclée, occidentale, comment peut-elle porter pareille fourrure pubienne de brune orientale frisée a giorno ?
Mais la fille m'a pris la main et nous sommes entrés dans les eaux bouillonnantes chaudes rejoindre les deux autres.
Et les questions ethniques se sont dissoutes dans l'eau chaude du bain mécanique.
Mon amie avait disparu en apnée, nous n'étions plus que trois assis sur la banquette de polyéthylène les uns à côté des autres, le dos ravagé des bouches soufflantes en gargouillis pulsants.
Tous les trois nous regardions floue sous l'eau la tignasse claire de notre amie affairée entre les cuisses de l'hôte. Et chacun de penser qu'elle avait une sacrée allonge pour rester ainsi sous l'eau si longtemps. Malgré les bulles ... ou bien se nourrissait-elle des bulles pour respirer ?
Moi je pensais, ces deux filles sont vraiment différentes, l'une toute lisse de devant, la vulve comme reculée entre ses cuisses, cachée, l'autre, chatte luxuriante ouverte en bon accueil de lèvres charnues à la pilosité débordante et sourire vertical de bienvenue.
J'avais compris que m'était dévolue, ce soir-là, la Méditerréranénne et qu'il me faudrait laisser en conséquence mon amie de la veille aux appétits féroces du fermier.
La fille avait l'air d'apprécier ... enfin de vouloir, de bien vouloir ... je veux dire d'en vouloir, la coquine. C'est vrai, je le savais, l'aimait ça ... s'éclater. Et boire. Et cet homme paraissait à la hauteur, à même de répondre à ses ambitions, à ses appétits, à sa fringale.
Izïa était, elle, femme discrête et se contentait des flux aqueux chauds et bouillonnants. Elle ne cherchait pas à tripoter, ses mains restaient sages. Ses yeux étaient baissés, braqués sur ses genoux. Ses deux superbes nibars dardaient haut leurs fraises noires et j'avais bien du mal à retenir mes mains de les empaumer.
Notre hôte arborait une mine ravie et nous n'avions aucun doute, ni elle ni moi, sur ce que notre amie lui faisait subir, subaquatique ment. Surtout connaissant son appétence pour les sucs des garçons.
Après onction de divers baumes balsamiques détergents dont le fermier avait pléthore sur ses étagères, nous avons pris chacun notre tour douche rinçante pour finir chauds et secs en peignoirs devant la cheminée.
Mon amie avait définitivement opté pour le rural, manifestement confiante en mon intérêt pour les atours épanouis d'Izïa.
Le fermier semblait subjugué par le corps juvénile et androïde de la grande blonde, exactement comme je l'avais été moi-même la veille.
Petite rincette à l'alcool blanc sans étiquette aucune, manifestement distillé à la cocotte minute tuyau rouge dans la baignoire, et puis nous nous sommes séparés, eux à gauche chez lui, nous à droite dans la chambre d'amis.
Izïa m'a dit, ferme bien la porte sinon on ne pourra pas dormir de la nuit, vu qu'ils sont en face sur le palier. Non seulement elle prend son pied toutes les cinq minutes mais encore elle chante ses voluptés en trilles sans retenue, tu la connais pas...
Moi je pensais, si je la connais. Mais je me suis tu.
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