Méli-Mélo s'en vient, s'en va...
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Méli-Mélo s'en vient, s'en va...
Pourquoi restais-je donc ainsi à bader cette fille ?
Moi !
Sexy, Mylène tu fais le décor de mes fantasmes.
Génération, ma génération ... désenchantéeSexie, difficile d'écrire avec ce correcteur orthographique tyran.
Tyrann, me vient aussitôt à l'esprit, Azimov...
Odeur de la planète à l'ouverture du sas.
La fille, son entre-jambe et le vertige m'a submergé.
Mylène, ton show me chavireGarçon filles, je ne sais
En fait, voilà, je comprends toutMéli-Mélo, tu mènes ton monde autour de toiMais ton monde trouble le mondeEs-tu fille, es-tu garçon ?
Sans contre-façon.
Je cours loin devant en avant mais la fille me poursuit et je sais que je finirai chu au sol, nu et vulnérable.
Méli-Mélo, ton corps de garçon manqué, tes hanches étroites, ton sourire de Gavroche, tout vient en moi comme poème épique de Victor Hugo ou de Leslie, je ne sais...
La fille court de groupe en groupe, elle est conviviale. Et moi je suis là, perdu dans mes fantasmes. Amoureux ? Qui sait, que sera sera ... what ever will be will be.
Je voudrais ne plus rêver.
C'est dur de vivre vie normale.
Moi, j'aime mes envolées, mes HDS, mes histoires de sexe.
Méli-Mélo, reste avec moi, s'il te plait, vivons un bout de vie ensemble.
Mais rien n’est facile et je te vois, proie gracile des gars parisiens solides et bien établis, avocats associés et autres cadres dynamiques en expansion. Proie facile cette blonde ? Pas si tant que ça… Gamine à l’entrejambe glabre je te sais bien plus retorse qu’il n’y parait. Enfin, me semble…
Tu vas tu viens, tu tournes tu retournes tu passes et rapasses, et tous te badent bandant haut et ferme, turgescents, tumescents, turgides, te suivant des yeux comme un seul homme. Et les femmes itou, elles aussi. Trempées du coccyx au nombril. Comment t’y prends-tu donc ?
Et moi, dans mon coin, et je pense à Aznavour, petit homme qui du haut de ses trois pommes a su ferrer tant de belles femmes. Et conséquemment j’ai le moral.
Je mate ses petites fesses nappées de la maille fine de la robe claire. Le Gersey est tendu sur ses hanches et dessine sans discrétion l’amphore de son bassin. La ligne est pure et manifestement rien en dessous ne vient la perturber. Aurait-elle oublié ?
Je pense aux multiples opportunités qu’elle a eues aujourd’hui de garder des dessous à son goût et je me dis, elle a probablement trouvé une culotte haute fine et seyante, parfaite, qui ne marque ni la taille ni la cuisse.
A-t-elle subrepticement subtilisé un tanga Aubade de soie grège ? Et le porte ainsi obstensiblement comme drapeau, étendard invisible à l’oeil pourtant diablement exercé des mâles de l’assemblée ? Mâles, mâles, et je me sens coupable de discrimination, femelles aussi bien sûr ... il va sans dire.
Et j’étais parti encore une fois dans un délire de fétichisme de sous-vêtements ... tissus modernes, techniques, tellement fins tellement légers qu'on ne les devine ni sous les mailles les plus enrobantes, ni sur les chairs les plus tendres.
Méli-Mélo était ce soir-là comme un must de pub Dim, string connecté, et savait par son adresse IP cachée au creux du savant mélange polyamide/cotonnade/acrylique couleur chair, faire bander plusieurs millions de followers.
Tous nous analysions de nos yeux scanneurs ses courbes tracées par la maille de Gersey. Chacun d'entre nous avait cherché le point de singularité à même de révéler la présence, entre ses chairs et le voile tendu de la robe prétendant cacher, d'un dessous.
Je me sentais privilégié d'un peu la connaître. Mais, fi de privilège, j'ai vite compris qu'ici nombreux étaient les privilégiés. Cette fille, bien plus qu'être mienne, était notre...
Nôtre...
Je me sentais modeste, membre du groupe, gars de la famille.
Pourtant j'étais déterminé à la prendre et à la garder. Saurai-je y parvenir ?
Futur, garant de quelques chapitres encore à venir, lieu d'un conditionnel qui aurait ouvert, généreusement, une échappatoire...
Moi !
Sexy, Mylène tu fais le décor de mes fantasmes.
Génération, ma génération ... désenchantéeSexie, difficile d'écrire avec ce correcteur orthographique tyran.
Tyrann, me vient aussitôt à l'esprit, Azimov...
Odeur de la planète à l'ouverture du sas.
La fille, son entre-jambe et le vertige m'a submergé.
Mylène, ton show me chavireGarçon filles, je ne sais
En fait, voilà, je comprends toutMéli-Mélo, tu mènes ton monde autour de toiMais ton monde trouble le mondeEs-tu fille, es-tu garçon ?
Sans contre-façon.
Je cours loin devant en avant mais la fille me poursuit et je sais que je finirai chu au sol, nu et vulnérable.
Méli-Mélo, ton corps de garçon manqué, tes hanches étroites, ton sourire de Gavroche, tout vient en moi comme poème épique de Victor Hugo ou de Leslie, je ne sais...
La fille court de groupe en groupe, elle est conviviale. Et moi je suis là, perdu dans mes fantasmes. Amoureux ? Qui sait, que sera sera ... what ever will be will be.
Je voudrais ne plus rêver.
C'est dur de vivre vie normale.
Moi, j'aime mes envolées, mes HDS, mes histoires de sexe.
Méli-Mélo, reste avec moi, s'il te plait, vivons un bout de vie ensemble.
Mais rien n’est facile et je te vois, proie gracile des gars parisiens solides et bien établis, avocats associés et autres cadres dynamiques en expansion. Proie facile cette blonde ? Pas si tant que ça… Gamine à l’entrejambe glabre je te sais bien plus retorse qu’il n’y parait. Enfin, me semble…
Tu vas tu viens, tu tournes tu retournes tu passes et rapasses, et tous te badent bandant haut et ferme, turgescents, tumescents, turgides, te suivant des yeux comme un seul homme. Et les femmes itou, elles aussi. Trempées du coccyx au nombril. Comment t’y prends-tu donc ?
Et moi, dans mon coin, et je pense à Aznavour, petit homme qui du haut de ses trois pommes a su ferrer tant de belles femmes. Et conséquemment j’ai le moral.
Je mate ses petites fesses nappées de la maille fine de la robe claire. Le Gersey est tendu sur ses hanches et dessine sans discrétion l’amphore de son bassin. La ligne est pure et manifestement rien en dessous ne vient la perturber. Aurait-elle oublié ?
Je pense aux multiples opportunités qu’elle a eues aujourd’hui de garder des dessous à son goût et je me dis, elle a probablement trouvé une culotte haute fine et seyante, parfaite, qui ne marque ni la taille ni la cuisse.
A-t-elle subrepticement subtilisé un tanga Aubade de soie grège ? Et le porte ainsi obstensiblement comme drapeau, étendard invisible à l’oeil pourtant diablement exercé des mâles de l’assemblée ? Mâles, mâles, et je me sens coupable de discrimination, femelles aussi bien sûr ... il va sans dire.
Et j’étais parti encore une fois dans un délire de fétichisme de sous-vêtements ... tissus modernes, techniques, tellement fins tellement légers qu'on ne les devine ni sous les mailles les plus enrobantes, ni sur les chairs les plus tendres.
Méli-Mélo était ce soir-là comme un must de pub Dim, string connecté, et savait par son adresse IP cachée au creux du savant mélange polyamide/cotonnade/acrylique couleur chair, faire bander plusieurs millions de followers.
Tous nous analysions de nos yeux scanneurs ses courbes tracées par la maille de Gersey. Chacun d'entre nous avait cherché le point de singularité à même de révéler la présence, entre ses chairs et le voile tendu de la robe prétendant cacher, d'un dessous.
Je me sentais privilégié d'un peu la connaître. Mais, fi de privilège, j'ai vite compris qu'ici nombreux étaient les privilégiés. Cette fille, bien plus qu'être mienne, était notre...
Nôtre...
Je me sentais modeste, membre du groupe, gars de la famille.
Pourtant j'étais déterminé à la prendre et à la garder. Saurai-je y parvenir ?
Futur, garant de quelques chapitres encore à venir, lieu d'un conditionnel qui aurait ouvert, généreusement, une échappatoire...
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