Mélodie, Louisiane , 1997 - Part 7 et 8
Récit érotique écrit par Amdsoo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mélodie, Louisiane , 1997 - Part 7 et 8
7.Mr Saint
Quand elle croisa le regard de Theo, elle ne put percevoir la moindre gêne dans ses yeux, c’était comme si la transaction de la nuit précédente s’était refermée. Déstabilisée, elle se dit qu’il ne fallait finalement pas revenir sur ce qui c’était passe, de peur de déclencher une réaction dont elle serait encore la victime. Elle fit comme elle put dans les toilettes femmes pour se débarbouiller, elle avait du sperme séché dans les poils pubiens, et aussi sur ces longues jambes. Elle se brossa les dents avec insistance, comme si elle voulait se désinfecter.
Quand elle retourna au bureau, Theo lui tendit un sachet avec des médicaments.
« Il est temps que tu prennes ces pilules » « Qu’est-ce que c’est » « C’est pour la contraception et aussi des vitamines » Méfiante, Mélodie accepta le sachet et se dit qu’il était en effet judicieux à 18 ans de commencer à prendre la pilule, et éviter l’irréparable. Elle évita les « vitamines », elle prenait déjà son lait tous les matins, et était en parfaite forme.
Plus tard dans l’après-midi elle appela sa mère chez ses cousins, mais elle ne sut comment lui dire ce qui c’était passe, sa mère était toujours bloquée en attendant de voir comment la succession allait se passer. Elle décida de ne rien lui dire.
La journée s étira jusqu’ à 18h, les ouvriers étaient partis et le dernier camion était en train de sortir du parking, quand Theo débarqua dans son bureau.
« Prends tes affaires on va aller diner chez un ami, mais avant fais toi belle, je t’ai acheté cette robe, et aussi il faudra que tu mettes ces escarpins ».
« Mais je ne veux pas aller ailleurs qu’à la maison ! »« Ne sois pas bête, tu as eu du plaisir hier, Max m’a dit que tu as été très excitante, et très entreprenante, je pense que tu es faite pour ça, habilles toi sans trainer sinon je t’enferme dans le bureau et je reviens avec quelques mecs qui vont pas te louper » menaça t il Contrainte, Mélodie se changea, cela faisait du bien de mettre des affaires propres, après tout. La robe est mini, très sexy, et ne cachant pas grande chose de ses jambes, et de son dos qui était ouvert. Les sous-vêtements étaient colores, et aussi minimalistes. Sa petite culotte blanche de la veille était tâchée du sperme de l’un des violeurs, elle la jeta dans la poubelle. Quand elle chaussa les escarpins, elle réalisa qu’elle était devenu une femme sexy, et que peu d’homme serait indiffèrent, a son corps blanc, ses longues jambes galbées, et ses petits seins. Ses longs cheveux même si pas propres complétaient parfaitement l’image de la beauté de Louisiane.
Ils partirent en voiture tous les deux. 45 minutes plus tard, ils arrivèrent aux abords d’un grand manoir, elle ne put voir le nom car ils passèrent trop rapidement devant la grille d’entrée, mais la route en gravier continuait sur quelques centaines de mètres et ils garèrent la voiture devant la maison, imposante et très sombre.
Ils furent accueillis par le maitre d’hôtel, en livrée. Ces gens étaient des notables.
Ils pénétrèrent dans le salon, quatre hommes d’âge mur étaient en discussion, et avec eux deux femmes plus jeunes qu’eux, la trentaine. Theo introduisit Mélodie au maitre de maison, Mr Saint. Gerald Saint. Ils servirent un verre de vin blanc à Mélodie qu’elle engloutit, immédiatement sa tête était plus légère, elle pensa que cela aiderait à survivre la soirée.
Mr Saint demanda à l’une des femmes d’accompagner Mélodie dans une des nombreuses salles de bains à l’étage. La maison était immense, et on aurait un vieil hôtel aménagé en résidence.
Viviane, c’était le nom de son accompagnatrice, lui demanda de retirer ses habits et de prendre une douche.
« Je suis Viviane, je travaille pour Mr Saint, il est très exigeant sur la propreté » Mélodie se sentit gênée de se déshabiller devant elle. Elle fit glisser sa mini robe et détacha son soutien-gorge et son slip et rapidement fila sous la douche. Elle commençait à redouter ce qu’il allait se passer, quoique c’était assez évident, mais elle n’avait pas le choix. Elle penserait demain comment sortir de ce cauchemar et partir d’ici, loin de Theo.
Quand la douche fut terminée, Viviane l’aida à sécher ses cheveux, et à se rhabiller, elle n’avait pas d’autres habits à lui donner, Cela rassura Mélodie quelques peu, après tout Mr Saint n’allait pas la garder ici et donc cela se terminerait dans la soirée.
Elles redescendirent dans le salon mais les invites s’étaient déplacés dans la dining room. Le diner était servi. Theo était parti, et seuls les 4 hommes et la brunette s’étaient installés autour de la table.
« Ah la jolie Mélodie enfin toute propre » lança l’homme sur la gauche de Gerald. Ils rirent de sa blague.
Viviane se plaqua entre les deux autres hommes, et Mélodie sur la droite de Gerald. Le diner était assez sympathique, mais Mélodie n’avait pas grand-chose à dire, elle n’imaginait pas raconter ses déboires récents a ce type d’audience, à moins que justement c’était pour cela qu’elle avait été invitée. L’homme sur la gauche de Gerald était un grand propriétaire terrien, Mr Lance, les deux autres, Sam et David étaient des amis d’enfance de Mr Saint, un était chirurgien et l’autre avait des magasins à la ville. Tous ces hommes étaient mariés, mais étaient à certain point de leur mariage, ou ils cherchaient un plaisir en dehors de leurs femmes respectives. La conversation était très axée sur les aventures que l’un ou l’autre avait eu récemment.
Vers la fin du repas avant le dessert, Mélodie n’avait plus très faim déjà.
« Ah les femmes nous ont réservé une petite gâterie Messieurs pendant que nous prendrons le dessert » dit GeraldMr Saint donna la consigne secrète à Viviane qui fit un signe à Mélodie et lentement se glissa sous la table. Les trois femmes, Marie la Brunette, Viviane la jolie blonde et Mélodie, la plus junior se retrouvèrent sous la table. Les 4 hommes avaient déjà descendu leur pantalon et tenaient leur queue dans leur main, comme pour l’offrir à ces demoiselles. Marie prit la bite de Mr Lance dans sa bouche et de l’autre main branlait David, Viviane s’occupa de Sam, et Mélodie n’eut pas le choix que de s’occuper du patron, Mr Saint lui-même. Dégoutée mais résignée, elle s’appliqua a lui lécher le gland, enroulant sa langue et essayant de faire pénétrer cette queue épaisse dans sa bouche. Il semblait content et sa bite doubla en volume. En quelques minutes, Marie prit la première éjaculation au fond du palais, prenant soin de ne rien laisser tomber et salir le pantalon de l’invite. Puis elle passa à David qu’elle tenait de l’autre main. Viviane faisait des efforts mais ne parvenait pas à avaler complètement la bite de Sam, une bite de 20cm, il lui tenait la tête en essayant de la pousser le plus loin dans sa gorge. Mélodie avait plus de succès, Mr Saint commençait déjà à lâcher des gouttes de pré-sperme sur sa langue. Leur conversation continuait et les trois femmes allaient de leur tête et de leurs lèvres pour les satisfaire. Sam lâcha sa giclée sur le visage de Viviane, et elle s’empressa de le finir proprement. Puis Mr Saint attrapa la nuque de Mélodie, elle comprit qu’il allait décharger sous peu. Elle sentit le gland s’ouvrir et sa bouche se remplit d’un sperme épais, et très abondant. Viviane et Mélodie attendaient Marie qui s’attardait sur David. Viviane la rejoint et elles commencèrent à le sucer à deux langues. Puis David commença à éjaculer et Marie le prit bien profondément dans sa bouche, il finit en 4 ou 5 giclées et elles le sucèrent encore qqn instant.
Les invites s attardèrent encore deux heures, pendant ce temps, les femmes s’étaient refaites une beauté dans le parloir.
Vers 22H, David et Mr Lance partirent avec Marie. Mélodie se retrouva seule avec Mr Saint et Sam car Viviane se retira sans sa chambre, non sans lancer un dernier regard de soutien à sa jeune compagne d’infortune.
« Alors Sam que penses-tu de cette belle poupée de Mélodie » dit il « Très appétissante Gerald, il me tarde de la voir nue » « Allons dans la chambre que j’ai réservée alors » Mélodie était terrorisée, mais que pouvait-elle faire, devant ces deux hommes forts ?
Gerald la conduisit et Sam leur emboita le pas. Sam regardait les hanches de Mélodie sous sa petite robe, son cul serait bien en sa possession se dit-il. Il en avait l’eau a la bouche.
Ils s assirent dans deux fauteuils. Mélodie devant eux, dans cette robe qui ne cachait rien. Et toujours ce gout de sperme dans la bouche.
« Enlevés ta robe » dit Gerald. Elle fit glisser à ses pieds la petite robe noire. Ses poils cachaient bien sa petite fente et elle gardait les jambes relativement jointes malgré les escarpins.
« Enlèves ton slip et écartes un peu les cuisses » dit Sam Elle s exécuta, du fait de sa morphologie, Mélodie avait un écart important entre ses cuisses, cela exposait encore plus sa vulve et la bosse de ses poils.
« En effet une belle petite chatte qu’on a envie de bouffer » rirent ils « Je te propose que tu lui bouffes la chatte, et je vais occuper sa bouche. » dit Mr Saint en se levant.
Sam déplaça Mélodie vers le sofa, elle se mis à quatre pattes, il lui laissa ses escarpins. Elle semblait minuscule par rapport à eux, mais une force et une énergie émanaient d’elle. Mélodie savait ce qu’il allait se passer, et quelque part cela aurait pu être plus sordide, ces deux hommes étaient des gentlemen, ils ne puaient pas comme dans le camion, et sa chance était qu’elle était aussi sous contraception, mais elle redoutait la « première fois », elle aurait tant aimé que ce soit Matt, mais avec ses 23 cm cela aurait été certainement une autre affaire.
Gerald prit place devant Mélodie et s’assit sur le sofa, il la tira a lui par la nuque, et elle le prit dans sa bouche, c’était la 2eme fois de la soirée ou elle le suçait, sa bouche connaissait déjà le gout de sa queue. Sam avait introduit un doigt dans sa chatte, et elle mouillait contre son grès. Elle gémit très légèrement.
« Un vrai moteur cette poupée, elle démarre au quart de tour, de la vraie cochonne, Theo s est pas foutu de nous » dit-il.
Mélodie suçait Mr Saint comme sous la table précédemment, sa stratégie était de le faire jouir au plus vite et qu’elle puisse partir d’ici. Sam léchait son cul, pourquoi les hommes aiment tant ça ? se dit elle… mais elle se sentait propre et cela lui procurait un plaisir inavouable. Le doigt de Sam rentrait et sortait de son vagin en même temps.
« Une vraie guillotine a bite son vagin » Mélodie maugréa, essayant de plus en plus de prendre Mr Saint au plus profond, espérant toujours sentir son foutre se répandre comme ça. Mais il bandait très fort et appréciait sans toutefois vouloir lâcher son sperme. Les trois bougeaient en rythme, Mélodie se balançant d’arrière en avant, un doigt puis deux dans son vagin, et sa gorge profondément empalée sur le pénis de Mr Saint. Pendant plusieurs minutes, Mélodie sentit comme un énorme plaisir qui montait en elle, comme une vague intense, sa chatte semblait fuir des jus intimes, et Sam recueillait ses fluides précieux et les buvait comme un assoiffe.
« Ah une chatte de 18ans, c’est performant ! » Dit-il.
« Changeons de position » dit Gerald Il passa à l’arrière et Sam, a son grand regret, dut abandonner la chatte ouverte de la jeune fille.
Mélodie avait perdu sa course avec Mr Saint, Il ne lui avait pas joui dans la bouche comme elle espérait. Il se tenait à genoux sur le sofa, son sexe droit de la pipe qu’il avait reçu. Mélodie avait stimulé l’homme mur a un point ou cela lui faisait presque mal, il fallait maintenant qu’il éteigne le feu qui lui brulait le gland, la seule façon était la chatte inondée de Mélodie pour le satisfaire.
Sam lui mis sa queue dans la bouche, une énorme queue, pleins de veines bleues, et des bourses puissantes. Mr Saint appuya son gland contre l entre du vagin de Mélodie
Ça va faire un peu mal mais cela va aller » dit-il. Mélodie se contracta.
« Surtout pas, cela fera encore plus mal, laisses la rentrer » dit-il comme en réponse.
Son gland rentra de 1cm, puis 2 cm, la chatte de Mélodie s’ouvrait lentement sur cette bite moyenne, sa première bite. Mélodie crut qu’elle allait la déchirer mais Sam essayait aussi de faire rentrer sa bite au plus profond de sa gorge, elle avait du mal à respirer. D’un coup, la queue de Gerald entra de moitié et buta sur l’hymen de la jeune fille, Elle hurla.
« Oh non non non. «Gerald attrapa les deux seins de la jeune fille comme des poignées, et appuya de toute sa force., attirant la jeune fille en l empalant sur sa bite dressée.
« Arhhhhhh » dit elleLa bite rentra d’un coup jusqu’ a la garde, et les jolis poils blonds de Mélodie étaient perlées de tout le jus dont elle exultait. Il se mit à bouger en harmonie avec Sam. Mélodie crut perdre la tête, d’un côté la bite la transperçait, et de l’autre l’énorme bite de Sam voulait l’étouffer. Après quelques minutes, elle avait beaucoup moins mal, Gerald entreprit de la bourrer de grand coups de queue. Dans cette position, elle ne pouvait pas se protéger, et sa vulve était pleinement exposée à cet assaut. Quand son orgasme arriva, elle crut qu’elle était en train de s’évanouir, mais en fait l’impression était plus forte et tout son corps se mit à frissonner, pour la deuxième fois de sa vie, elle avait un orgasme et cette fois c’était par la pénétration. Gerald sentit le vagin de la jeune fille se contracter, et cet effet lui fit exploser dans son trou. Il remplit de 4 giclées le corps tendu de la fille. Quand il se retira de son vagin, du sang mêlé a du sperme tomba sur le soja.
Elle était une femme désormais. Mais il lui fallait en venir à bout du deuxième homme !
Sam la fit se lever et s’asseoir sur lui, avec son dos face à lui, elle avait les jambes de part et d’autre de Sam, et ne pouvait donc pas voir son visage. Elle tremblait encore de son orgasme mais comprit ce que Sam voulait, elle s empala sur son sexe dresse. Mais le gland de Sam était presque deux fois plus large que celui de Mr Saint, il la saisit par la taille et la pressa contre lui, de cette façon, l’angle entre son pénis et l’entrée du vagin de Mélodie était plus en ligne. En forçant, elle sentit comme un faible barrage céder, et sa vulve s’ouvrit encore plus, ses petites lèvres se détendirent et le gland progressa dans sa grotte intime. Un sentiment d’être totalement « remplie » l inonda, le pénis de Sam continuait sa course de plus en plus, et elle eut l’impression qu’il allait arriver jusqu’ à sa bouche ! C’était incroyable, son petit corps de jeune fille produisait des sucs et des liquides pour accommoder cet énorme engin, comme sur commande. Elle sentit la bite remonter puis descendre, Sam entamait un limage précis. Il s’arrêtait au bout de son vagin, un peu trop court pour être horriblement douloureux mais suffisant pour la posséder totalement. Mr Saint s’était installé dans le fauteuil faisant face à elle. Il avait toujours sa queue dégonflée a la main. Le spectacle était très érotique : la jeune fille prise par cet homme puissant, et son pénis allant et venant entre les parois de son vagin vaincu. Ses petits seins étaient accrochés très haut et rebondissaient en cadence. Aucun risque qu’ils ne se décrochent se dit Mr Saint.
Au bout de quelques minutes il accéléra et elle dut se soulever un peu sur ses longues et fines jambes pour qu’il puisse gagner en amplitude. Les bourses tapaient contre son clitoris, et elle ressentit un double plaisir monter en elle. Sam continua encore quelques minutes, il ne voyait que le dos de Mélodie, et ses fesses rondes. Il lui tenait les jambes fermement en les écartant de manière à la pénétrer au plus profond, cela devrait être dur pour cette petite pensa-t-il, des femmes plus mures lui avaient dit qu’il leur faisait mal parfois, mais Mélodie encaissait ses attaques sans trop râler.
« De la graine de salope mon cher ami « dit Sam à l’adresse de Gerald.
Dans un dernier élan, il commença à gicler son foutre au plus profond du vagin de Mélodie. Elle sentit ce liquide bouillant aller au-delà de son vagin, dans le col de l’utérus. Ne sachant trop quoi faire, elle continua de chevaucher Sam en le laissant finir de se vider dans sa chatte. Mélodie n’avait pas eu de deuxième orgasme, mais était contente que tout cela soit fini.
Sam lui caressa longuement ses seins qui il trouvait très beaux, laissant sa bite se dégonflée lentement à l’intérieur de Mélodie.
Mr Saint était dur à nouveau d’avoir vu une telle scène. Mélodie se dégagea de Sam, et du foutre inonda ses cuisses. Sam lui avait vraiment rempli le vagin. Le sperme était plus clair, car plus récent. Presque comme de l’huile.
Elle se mis genou devant Mr Saint et entreprit de le sucer.
« Sans les mains » dit-il. Mélodie mit ses bras derrière son dos.
Il entrait profondément dans sa gorge, ayant joui précédemment, il reconstruisait son orgasme avec des assauts puissants. Mélodie étouffait à moitié, entre ses jambes nues, son vagin ouvert suppurait toujours et une petite flaque s’était forme sous elle. Sam se rapprocha et proposa qu’elle lèche la flaque pour lubrifier son palais. Elle résista mais l’idée n’était pas mauvaise, elle aspira le sperme sur le parquet en l enroulant autour de sa langue. Mr Saint lui fit ouvrir la bouche et lui déposa un gros crachat dans le fond de la gorge. Puis il ré enfonça son pénis brutalement. Au bout de quelques minutes, elle réussit à le prendre entier dans sa gorge, grâce aux lubrifiants le gland pouvait glisser plus facilement. Sa bite était engloutie par la petite bouche de Mélodie, et Sam lui tenait la tête en pression, elle ne pouvait pas reculer. Mr Saint se servit de ce support pour accélérer la cadence, elle respirait alternativement, quand la bite ne bloquait pas sa trachée. L’impression était effarante, elle était transformée en une machine à faire jouir cet homme qui la regardait si intensément. Il la ramona pendant 10 minutes qui sembla une éternité, la mâchoire de Mélodie lui brulait. Puis finalement, elle détecta un changement, c’était comme si son pénis avait gonflé subitement, la vague arrivait. Il retira sa queue et lui ordonna de laisser sa bouche ouverte. De longues jets de sperme sortirent du gland et pénétrèrent sa bouche entrouverte, mais aussi éclaboussèrent ses joues et son menton. Elle regardait ce gland dilaté qui laissait perler une dernière goutte de liquide. Elle aspira cette goutte pour ne rien laisser tomber. Elle avait été léchée, pénétrée dans deux positions, et avait bu le sperme de ces deux hommes. Elle se sentait épuisée.
Sam signala à Gerald qu’il raccompagnerait Mélodie chez elle.
Vers 23h30, la voiture s’arrêta dans l’allée et Mélodie, toujours en robe noire et pieds nus car ses escarpins lui avaient fait des énormes ampoules, le quitta. Elle tomba comme une pierre sur son lit et s endormit. Sa chatte la brulait et un liquide jaunâtre avait tache son slip, ses cheveux et ses poils pubiens sentaient l’homme, elle avait leur sueur sur elle. Elle prendrait sa douche mais d’abord…. Récupérer…
 8.GérardGérard se levait tous les matins avec une trique d’adolescent. Malgré la branlette avant de se coucher, il avait tous les matins une gaule de bois. Depuis que Mélodie était là, il la surveillait, l espionnait, et savait que son père avait la main mise sur la petite beauté. Avec l’accord de son père, il avait falsifié les registres du bureau, mettant en doute le travail de Mélodie. Cela lui avait valu une nuit à sucer les deux camionneurs, cela l amusait d’imaginer la petite poupée seule et nue avec ces deux idiots. A la fois, il était jaloux d eux, mais il attendait avec impatience quand il pourrait lui utiliser le corps de cette fille.
Rien que d’y penser en journée, il fallait qu’il se branle pour apaiser le feu qui le dévorait.
Il descendit dans la cuisine et prépara le cocktail pour Mélodie. Depuis une semaine, il prenait un verre a lait pour y verser les estrogènes en sachet qu’il avait acheté par correspondance, estrogenolit qui diluait pour ne pas rendre Mélodie trop suspicieuse. Ces estrogènes lui feraient grossir ses petits seins. De plus les estrogènes accélèrent le plaisir et la recherche du plaisir, rendant plus malléable la jeune fille. Il y avait des risques médicaux mais Gérard avait jugé que cela n’était pas un problème. Son père n’était pas au courant.
Cela l amusait tous les matins de la voir prendre son grand verre de « lait » sans savoir qu’il contenait tout ça. Il eut l’idée de se branler soudainement, le fait de penser à Mélodie le rendait fou. Il sortit sa verge et il ne fut pas long à produire une éjaculation très fournie qui inonda le fond du verre qui contenait déjà la préparation a base d estrogène. Il sourît, Mélodie boirait tous les matins son sperme frais et ne s’en rendrait même pas compte !. Il ajouta le reste de lait et remua. Puis il remit le verre dans le frigo. Mélodie le boirait à son réveil.
Theo croisa Gérard et lui raconta ce qui c’était passe la veille, il demanda à Gérard de réveiller Mélodie au plus tard à 9h00, mais elle avait gagné une heure de sommeil de plus, car Mr Saint avait été ravi de sa soirée. Gérard acquiesça et Theo partit au bureau.
Vers 9h00, il monta dans la chambre de Mélodie, elle n’était pas ferme, Theo avait fait attention à retirer les serrures dans toute la maison sauf sa propre chambre.
Elle était là, encore dans sa robe qui lui était remontée sur le haut de ses cuisses, il entrevit la culotte tachée, et ne put s’empêcher de rester la quelques minutes à la contempler, Elle était magnifique. Elle respirait lentement, ses seins se soulevaient très lentement. Il imagina que ses seins avaient participes abondamment à la soirée de la veille. Il eut envie de la déshabiller et la violer mais ce n’était pas le moment.
Il la réveilla en lui touchant le bras délicatement, elle souffla et s étira et le regarda hébétée.
« Debout il est 9h05, départ dans 30mn » dit-il. Il lui tendit le verre qu’il avait amené. Elle le prit assoiffée, et le vida intégralement, elle avait besoin de force. Elle n aima pas Gérard mais il était le seul qui n’avait pas abuse d’elle et donc elle se sentait en relative confiance avec lui tout en sachant qu’il n’oserait jamais tromper son père.
Elle se leva du lit et traversa la chambre, son petit cul rebondissait. Gérard la regarda aller dans la salle de Bain. Gérard se leva et quitta la chambre.
Vers 10h00 Mélodie et lui arrivèrent au bureau. Elle se demandait ce qu’elle allait avoir à faire, mais Theo lui avait pris ses papiers, son argent, et il gardait un œil sur le téléphone. Pas facile de se soustraire à son attention.
« Aujourd’hui, je vais te montrer ton bureau, suis-moi » Etonnée Mélodie lui emboita le pas. Elle portait un jean et un t-shirt, afin de limiter ce que les ouvriers pourraient voir d’elle. Ils arrivèrent devant les toilettes des ouvriers, il n’y avait qu’une porte pour les toilettes femmes, mais les toilettes hommes formaient un petit bâtiment. Il la poussa a intérieur, surprise, elle découvrit une chaise.
« Tu vas t asseoir la, et quand un homme rentrera tu lui proposeras tes services » « Quoi ?! comment ça !? » rouspéta-t-elle.
Il la gifla et sa joue la brula énormément.
« 10$ pour te voir nue, 20$ la pipe, et 30$ pour que tu avales. Tu as compris ? » « Oui Monsieur… » dit-elle, abattue.
« Ah et tu ne peux pas rester habiller comme ça, retires ton jean, tu resteras en culotte et T shift » Elle enleva son jean serré et lui donna.
« Pas de pénétration, c’est interdit » continua t il Au moins cela était ça de sauve, elle allait devoir endure une longue journée.
Il partit en fermant la porte, elle pensa l’ouvrir et s’enfuir mais sans pantalon, sans argent, que pourrait-il lui arriver, elle ne connaissait même pas ou elle était réellement.
10 minutes plus tard, elle entendit des pas, Gérard expliquait comment cela se passait à intérieur a deux ouvriers, des clients.
La porte s’ouvrit, elle était assise sur la chaise, ses belles jambes croisées sous elle.
« Ils veulent te voir nue seulement, enlèves ta culotte et ton t-shirt » dit Gérard.
Les deux hommes étaient en sueur, il faisait une telle chaleur dehors, même dans ces toilettes il faisait chaud.
Elle retira son Tshin et rougit un peu, elle avait son soutien-gorge mais les deux hommes étaient fixes sur ses seins. Elle dégrafa son soutien-gorge et le place derrière elle. Elle passa sa main sous ses seins comme pour les remettre à l’endroit, Ce n’était pas la peine, ils étaient fièrement tendus et avaient trouvé toute l’attention des deux hommes.
« La culotte, dépêches toi, ils n’ont pas une heure ! » lança Gérard. Les hommes rirent.
Elle tira sur son slip, et sa touffe apparut dans toute sa splendeur, les hommes n’avaient jamais vu une vraie rousse, une fille aussi belle et avec un corps aussi harmonieux. Elle était nue devant ses deux hommes, et ne sachant pas trop quoi faire.
« Approchez-vous messieurs »Ils entourèrent la jolie rousse et sortirent leur bite de leur pantalon de travail.
« Vous pouvez toucher, mais pas de pipe sinon c’est 20$ » Ils s’empressèrent de toucher ce corps qui leur était offert, pour 10$ c était cadeau et en plus ils étaient les premiers de la journée. Une main sur un sein, l’autre en train de se branler. Mélodie les regardait dans les yeux, comme pour implorer qu’ils l’aident.
« Quelle belle pute, je l’avais vu avant-hier au bureau, je ne savais pas qu’elle faisait des prestations clients spéciales » « Ordre de Theo, elle doit apprendre le métier, et aller au-devant des demandes des clients » L’un des hommes mit sa main entre ses cuisses, et elle les referma aussitôt.
« Ouvres tes cuisses, cela fait partie du package » Il renvoya la main et entreprit de la toucher, d’abord les poils qu’il commença à caresser puis à tirer légèrement « Vous me faites mal ! ». Ils se mirent à rire.
Le 2eme homme lui pinça le tetons du sein, et tourna le mamelon. Elle grimaça, l’autre avait mis un doigt dans sa chatte et lui ramonait l’entrée du vagin. Elle était encore douloureuse de la veille et du traitement de Sam.
« S’il vous plait je peux vous branler ? » dit-elle, pour abréger la souffrance.
« C’est autorisé » dit GérardElle attrapa l’une et l’autre des bites tendues a elle et commença à les branler, libérant immédiatement un jus qui lui coulait entre les doigts, ces hommes n’étaient pas propres. Ils continuèrent a lui tirer sur les poils de la chatte, et a lui pincer les fesses, les seins, et à toucher ses longues jambes. Elle sentit la raideur dans l’une des bites, et il cracha son sperme sur ses seins.
« Oh » dit-elle, comme surprise de recevoir cette éjaculation, elle le termina, et se concentra sur l’autre.
« Dommage que je n’ai pas 30$ je t’aurais bien craché dans ta petite bouche » dit-il.
« Tiens prends ça en attendant » et il lui éjacula au visage. Plusieurs fois, c’était écœurant, elle était toute collante.
Ils remontèrent leur pantalon, et urinèrent rapidement.
« Bien, pas trop mal, le patron sera content » dit Gérard et il referma la porte.
Mélodie était sous le choc, ces deux hommes l’avaient mise dans un tel état, elle se regarda dans le miroir a moitie défoncé, elle était recouverte de foutre, sur ses seins, son visage, et un peu dans ses beaux cheveux roux… Elle entreprit de se laver rapidement. Elle n’eut pas le temps de se rhabiller que quelques minutes plus tard, deux autres hommes ouvrirent la porte et lui demandèrent la pipe.
Ils s approchèrent et elle les prit en bouche toute de suite. Ils bandaient durement déjà, elle passait de l’un a l’autre. L’un d’entre eux entreprit de lui malaxer les seins avec brutalité.
« Je ne suis pas une vache ! » dit-elle pour se défendre« Non tu es moins que ça ! » et il continua encore plus fort. Quand elle essaya de l’en dissuader, il la gifla violement sur le sein. La douleur était très intense. Ses seins pointus et dressés étaient malheureusement trop attractifs, et tous les hommes présents en profitaient, soit gentiment, soit brutalement. Elle continua et l’un des deux hommes lui enfonça la bite très profondément, elle se mit à vomir soudainement, mais il garda son sexe bien appuyé au fond de sa gorge, éjaculant à plusieurs reprises, et mélangeant son sperme a son petit déjeuner. Quand il retira sa queue, Mélodie se vomit dessus, sur ses seins et entre ses jambes, c’était horrible. Le deuxième homme lui mis instantanément sa verge dans sa bouche, elle n’eut pas d’autre choix que de continuer à le sucer, et il jouit aussi dans sa bouche fatiguée. De longues giclées de sperme épais qui lui coulèrent dans sa gorge rouge et enflammée. Son estomac fit des bruits sonores comme pour se plaindre de tout ce jus infâme qu’il recevait. Elle qui n’avait jamais vu de bite le mois dernier, elle était devenu un déversoir à foutre.
Les deux hommes se rhabillèrent mais ils n’étaient pas encore partis que 5 hommes poussèrent la porte.
Mélodie était dans un état pitoyable. Du vomi sur ses seins, du foutre au bords de ses lèvres, et sur son visage.
« Et voilà la super nana dont tout le monde parle » « En effet, elle a dû être pas mal, dans le temps. » « ha ha ha »« Regardes ces beaux nichons » « Écartes un peu les jambes salope »Elle s’exécuta, en pleurs. Elle ne savait plus quoi faire. En l’espace d’un mois sa vie avait bascule, et elle était la victime de Theo. Elle se transformait en pute, et même ça c’était voir les choses positivement.
« Désole Mélodie, mais je n’y suis pour rien » dit Gérard gravement Elle le regarda, il était certainement pour rien dans tout ça, se dit elle… Si elle avait su que c’était son idée de la mettre au boulot dans les toilettes… « Belle petite chatte, mais tu devrais te raser, on pourrait mieux voir ton petit bijou » lui dit un des ouvriers, un type assez grand et qui avait déjà sa bite a la main, un énorme machin pas propre qu’il astiquait en faisant coulisser d avant en arrière un gros prépuce qui dévoilait un gland presque noir tellement il était foncé.
« Attends on va la nettoyer un peu » dit le mexicain sur sa droite. Il tenait sa verge comme un tuyau d’arrosage.
« Amène la dans les chiottes » Le grand type la saisit par le bras, et Mélodie se redressa. Elle était pieds nus, et le sol était très sale, du vomi, du sperme collant, et de l’urine. Nue au milieu de ces hommes, ils étaient 7 maintenant car la porte était grande ouverte, et les gens allaient et venaient, elle était l’attraction du moment.
Il l’assit sur les toilettes, et lui écarta ses jambes rousses, les cuisses bien ouvertes, les hommes en bavaient. L’un d’eux ne put se retenir et cracha son foutre sur son ventre.
« Attendez les gars, faut la nettoyer » Il se mit à lui uriner dessus, sur sa peau blanche et immaculée. Mélodie fut surprise, et laisse l’homme vider sa vessie sur elle. L’urine sentait très fort. Les hommes se succédèrent, jet de pisses sur ses cheveux, son visage, dégoulinant sur sa poitrine, ses seins et entre ses cuisses. Elle se sentit dégradée comme jamais.
Puis successivement, ils se mirent à se branler, lui demandant de bien écarter ses jambes, et de toucher son clitoris. Elle ressentit un plaisir à se masturber devant ces hommes, vieux, jeunes, grand, moche ou bien fait. Elle était leur petite princesse, celle qu’ils n’auraient jamais dû avoir, celle d’un autre monde, et pourtant elle était à leur merci, leur crachat, leur sperme, leur urine et leur bon vouloir.
Tout au long de la matinée, une cinquantaine d’hommes vinrent voir la jolie rousse qui faisait des pipes pour 20$, qui se laissait pisser et cracher dessus, et qui avalait du foutre pour 30$. Elle avala le sperme d’une vingtaine d’entre eux, tous lui touchèrent ses seins, beaucoup s aventurèrent a lui toucher son clitoris qui la brulait, car ces hommes avec leurs gros doigts sales ne la ménageaient pas et tournaient et pinçaient son sexe sans merci.
Vers midi, Gérard la fit sortir et la poussa dans les toilettes femmes. Une autre femme était présente, une femme de ménage, qui l’aida à lui nettoyer le visage. Elle se regarda dans le miroir, ses yeux rougis par les pleurs, elle avait du sperme partout, elle était couverte de plaques jaunes et collantes, ses poils pubiens la grattaient, les lèvres de son vagin étaient détendues car certains hommes avaient tiré sur ces chairs brutalement, comme pour voir à l’intérieur d’elle.
Ses habits avaient disparu, elle était nue, splendide, même si déconfite, et arborait toujours cette grandeur que seules les belles femmes possèdent.
Gérard lui apporta ses vêtements, qu’elle enfila sur sa peau collante. Elle avait décidé de fuir Theo mais elle devait auparavant parler à Matt, et obtenir son aide. Il viendrait certainement à son secours.
Quand elle croisa le regard de Theo, elle ne put percevoir la moindre gêne dans ses yeux, c’était comme si la transaction de la nuit précédente s’était refermée. Déstabilisée, elle se dit qu’il ne fallait finalement pas revenir sur ce qui c’était passe, de peur de déclencher une réaction dont elle serait encore la victime. Elle fit comme elle put dans les toilettes femmes pour se débarbouiller, elle avait du sperme séché dans les poils pubiens, et aussi sur ces longues jambes. Elle se brossa les dents avec insistance, comme si elle voulait se désinfecter.
Quand elle retourna au bureau, Theo lui tendit un sachet avec des médicaments.
« Il est temps que tu prennes ces pilules » « Qu’est-ce que c’est » « C’est pour la contraception et aussi des vitamines » Méfiante, Mélodie accepta le sachet et se dit qu’il était en effet judicieux à 18 ans de commencer à prendre la pilule, et éviter l’irréparable. Elle évita les « vitamines », elle prenait déjà son lait tous les matins, et était en parfaite forme.
Plus tard dans l’après-midi elle appela sa mère chez ses cousins, mais elle ne sut comment lui dire ce qui c’était passe, sa mère était toujours bloquée en attendant de voir comment la succession allait se passer. Elle décida de ne rien lui dire.
La journée s étira jusqu’ à 18h, les ouvriers étaient partis et le dernier camion était en train de sortir du parking, quand Theo débarqua dans son bureau.
« Prends tes affaires on va aller diner chez un ami, mais avant fais toi belle, je t’ai acheté cette robe, et aussi il faudra que tu mettes ces escarpins ».
« Mais je ne veux pas aller ailleurs qu’à la maison ! »« Ne sois pas bête, tu as eu du plaisir hier, Max m’a dit que tu as été très excitante, et très entreprenante, je pense que tu es faite pour ça, habilles toi sans trainer sinon je t’enferme dans le bureau et je reviens avec quelques mecs qui vont pas te louper » menaça t il Contrainte, Mélodie se changea, cela faisait du bien de mettre des affaires propres, après tout. La robe est mini, très sexy, et ne cachant pas grande chose de ses jambes, et de son dos qui était ouvert. Les sous-vêtements étaient colores, et aussi minimalistes. Sa petite culotte blanche de la veille était tâchée du sperme de l’un des violeurs, elle la jeta dans la poubelle. Quand elle chaussa les escarpins, elle réalisa qu’elle était devenu une femme sexy, et que peu d’homme serait indiffèrent, a son corps blanc, ses longues jambes galbées, et ses petits seins. Ses longs cheveux même si pas propres complétaient parfaitement l’image de la beauté de Louisiane.
Ils partirent en voiture tous les deux. 45 minutes plus tard, ils arrivèrent aux abords d’un grand manoir, elle ne put voir le nom car ils passèrent trop rapidement devant la grille d’entrée, mais la route en gravier continuait sur quelques centaines de mètres et ils garèrent la voiture devant la maison, imposante et très sombre.
Ils furent accueillis par le maitre d’hôtel, en livrée. Ces gens étaient des notables.
Ils pénétrèrent dans le salon, quatre hommes d’âge mur étaient en discussion, et avec eux deux femmes plus jeunes qu’eux, la trentaine. Theo introduisit Mélodie au maitre de maison, Mr Saint. Gerald Saint. Ils servirent un verre de vin blanc à Mélodie qu’elle engloutit, immédiatement sa tête était plus légère, elle pensa que cela aiderait à survivre la soirée.
Mr Saint demanda à l’une des femmes d’accompagner Mélodie dans une des nombreuses salles de bains à l’étage. La maison était immense, et on aurait un vieil hôtel aménagé en résidence.
Viviane, c’était le nom de son accompagnatrice, lui demanda de retirer ses habits et de prendre une douche.
« Je suis Viviane, je travaille pour Mr Saint, il est très exigeant sur la propreté » Mélodie se sentit gênée de se déshabiller devant elle. Elle fit glisser sa mini robe et détacha son soutien-gorge et son slip et rapidement fila sous la douche. Elle commençait à redouter ce qu’il allait se passer, quoique c’était assez évident, mais elle n’avait pas le choix. Elle penserait demain comment sortir de ce cauchemar et partir d’ici, loin de Theo.
Quand la douche fut terminée, Viviane l’aida à sécher ses cheveux, et à se rhabiller, elle n’avait pas d’autres habits à lui donner, Cela rassura Mélodie quelques peu, après tout Mr Saint n’allait pas la garder ici et donc cela se terminerait dans la soirée.
Elles redescendirent dans le salon mais les invites s’étaient déplacés dans la dining room. Le diner était servi. Theo était parti, et seuls les 4 hommes et la brunette s’étaient installés autour de la table.
« Ah la jolie Mélodie enfin toute propre » lança l’homme sur la gauche de Gerald. Ils rirent de sa blague.
Viviane se plaqua entre les deux autres hommes, et Mélodie sur la droite de Gerald. Le diner était assez sympathique, mais Mélodie n’avait pas grand-chose à dire, elle n’imaginait pas raconter ses déboires récents a ce type d’audience, à moins que justement c’était pour cela qu’elle avait été invitée. L’homme sur la gauche de Gerald était un grand propriétaire terrien, Mr Lance, les deux autres, Sam et David étaient des amis d’enfance de Mr Saint, un était chirurgien et l’autre avait des magasins à la ville. Tous ces hommes étaient mariés, mais étaient à certain point de leur mariage, ou ils cherchaient un plaisir en dehors de leurs femmes respectives. La conversation était très axée sur les aventures que l’un ou l’autre avait eu récemment.
Vers la fin du repas avant le dessert, Mélodie n’avait plus très faim déjà.
« Ah les femmes nous ont réservé une petite gâterie Messieurs pendant que nous prendrons le dessert » dit GeraldMr Saint donna la consigne secrète à Viviane qui fit un signe à Mélodie et lentement se glissa sous la table. Les trois femmes, Marie la Brunette, Viviane la jolie blonde et Mélodie, la plus junior se retrouvèrent sous la table. Les 4 hommes avaient déjà descendu leur pantalon et tenaient leur queue dans leur main, comme pour l’offrir à ces demoiselles. Marie prit la bite de Mr Lance dans sa bouche et de l’autre main branlait David, Viviane s’occupa de Sam, et Mélodie n’eut pas le choix que de s’occuper du patron, Mr Saint lui-même. Dégoutée mais résignée, elle s’appliqua a lui lécher le gland, enroulant sa langue et essayant de faire pénétrer cette queue épaisse dans sa bouche. Il semblait content et sa bite doubla en volume. En quelques minutes, Marie prit la première éjaculation au fond du palais, prenant soin de ne rien laisser tomber et salir le pantalon de l’invite. Puis elle passa à David qu’elle tenait de l’autre main. Viviane faisait des efforts mais ne parvenait pas à avaler complètement la bite de Sam, une bite de 20cm, il lui tenait la tête en essayant de la pousser le plus loin dans sa gorge. Mélodie avait plus de succès, Mr Saint commençait déjà à lâcher des gouttes de pré-sperme sur sa langue. Leur conversation continuait et les trois femmes allaient de leur tête et de leurs lèvres pour les satisfaire. Sam lâcha sa giclée sur le visage de Viviane, et elle s’empressa de le finir proprement. Puis Mr Saint attrapa la nuque de Mélodie, elle comprit qu’il allait décharger sous peu. Elle sentit le gland s’ouvrir et sa bouche se remplit d’un sperme épais, et très abondant. Viviane et Mélodie attendaient Marie qui s’attardait sur David. Viviane la rejoint et elles commencèrent à le sucer à deux langues. Puis David commença à éjaculer et Marie le prit bien profondément dans sa bouche, il finit en 4 ou 5 giclées et elles le sucèrent encore qqn instant.
Les invites s attardèrent encore deux heures, pendant ce temps, les femmes s’étaient refaites une beauté dans le parloir.
Vers 22H, David et Mr Lance partirent avec Marie. Mélodie se retrouva seule avec Mr Saint et Sam car Viviane se retira sans sa chambre, non sans lancer un dernier regard de soutien à sa jeune compagne d’infortune.
« Alors Sam que penses-tu de cette belle poupée de Mélodie » dit il « Très appétissante Gerald, il me tarde de la voir nue » « Allons dans la chambre que j’ai réservée alors » Mélodie était terrorisée, mais que pouvait-elle faire, devant ces deux hommes forts ?
Gerald la conduisit et Sam leur emboita le pas. Sam regardait les hanches de Mélodie sous sa petite robe, son cul serait bien en sa possession se dit-il. Il en avait l’eau a la bouche.
Ils s assirent dans deux fauteuils. Mélodie devant eux, dans cette robe qui ne cachait rien. Et toujours ce gout de sperme dans la bouche.
« Enlevés ta robe » dit Gerald. Elle fit glisser à ses pieds la petite robe noire. Ses poils cachaient bien sa petite fente et elle gardait les jambes relativement jointes malgré les escarpins.
« Enlèves ton slip et écartes un peu les cuisses » dit Sam Elle s exécuta, du fait de sa morphologie, Mélodie avait un écart important entre ses cuisses, cela exposait encore plus sa vulve et la bosse de ses poils.
« En effet une belle petite chatte qu’on a envie de bouffer » rirent ils « Je te propose que tu lui bouffes la chatte, et je vais occuper sa bouche. » dit Mr Saint en se levant.
Sam déplaça Mélodie vers le sofa, elle se mis à quatre pattes, il lui laissa ses escarpins. Elle semblait minuscule par rapport à eux, mais une force et une énergie émanaient d’elle. Mélodie savait ce qu’il allait se passer, et quelque part cela aurait pu être plus sordide, ces deux hommes étaient des gentlemen, ils ne puaient pas comme dans le camion, et sa chance était qu’elle était aussi sous contraception, mais elle redoutait la « première fois », elle aurait tant aimé que ce soit Matt, mais avec ses 23 cm cela aurait été certainement une autre affaire.
Gerald prit place devant Mélodie et s’assit sur le sofa, il la tira a lui par la nuque, et elle le prit dans sa bouche, c’était la 2eme fois de la soirée ou elle le suçait, sa bouche connaissait déjà le gout de sa queue. Sam avait introduit un doigt dans sa chatte, et elle mouillait contre son grès. Elle gémit très légèrement.
« Un vrai moteur cette poupée, elle démarre au quart de tour, de la vraie cochonne, Theo s est pas foutu de nous » dit-il.
Mélodie suçait Mr Saint comme sous la table précédemment, sa stratégie était de le faire jouir au plus vite et qu’elle puisse partir d’ici. Sam léchait son cul, pourquoi les hommes aiment tant ça ? se dit elle… mais elle se sentait propre et cela lui procurait un plaisir inavouable. Le doigt de Sam rentrait et sortait de son vagin en même temps.
« Une vraie guillotine a bite son vagin » Mélodie maugréa, essayant de plus en plus de prendre Mr Saint au plus profond, espérant toujours sentir son foutre se répandre comme ça. Mais il bandait très fort et appréciait sans toutefois vouloir lâcher son sperme. Les trois bougeaient en rythme, Mélodie se balançant d’arrière en avant, un doigt puis deux dans son vagin, et sa gorge profondément empalée sur le pénis de Mr Saint. Pendant plusieurs minutes, Mélodie sentit comme un énorme plaisir qui montait en elle, comme une vague intense, sa chatte semblait fuir des jus intimes, et Sam recueillait ses fluides précieux et les buvait comme un assoiffe.
« Ah une chatte de 18ans, c’est performant ! » Dit-il.
« Changeons de position » dit Gerald Il passa à l’arrière et Sam, a son grand regret, dut abandonner la chatte ouverte de la jeune fille.
Mélodie avait perdu sa course avec Mr Saint, Il ne lui avait pas joui dans la bouche comme elle espérait. Il se tenait à genoux sur le sofa, son sexe droit de la pipe qu’il avait reçu. Mélodie avait stimulé l’homme mur a un point ou cela lui faisait presque mal, il fallait maintenant qu’il éteigne le feu qui lui brulait le gland, la seule façon était la chatte inondée de Mélodie pour le satisfaire.
Sam lui mis sa queue dans la bouche, une énorme queue, pleins de veines bleues, et des bourses puissantes. Mr Saint appuya son gland contre l entre du vagin de Mélodie
Ça va faire un peu mal mais cela va aller » dit-il. Mélodie se contracta.
« Surtout pas, cela fera encore plus mal, laisses la rentrer » dit-il comme en réponse.
Son gland rentra de 1cm, puis 2 cm, la chatte de Mélodie s’ouvrait lentement sur cette bite moyenne, sa première bite. Mélodie crut qu’elle allait la déchirer mais Sam essayait aussi de faire rentrer sa bite au plus profond de sa gorge, elle avait du mal à respirer. D’un coup, la queue de Gerald entra de moitié et buta sur l’hymen de la jeune fille, Elle hurla.
« Oh non non non. «Gerald attrapa les deux seins de la jeune fille comme des poignées, et appuya de toute sa force., attirant la jeune fille en l empalant sur sa bite dressée.
« Arhhhhhh » dit elleLa bite rentra d’un coup jusqu’ a la garde, et les jolis poils blonds de Mélodie étaient perlées de tout le jus dont elle exultait. Il se mit à bouger en harmonie avec Sam. Mélodie crut perdre la tête, d’un côté la bite la transperçait, et de l’autre l’énorme bite de Sam voulait l’étouffer. Après quelques minutes, elle avait beaucoup moins mal, Gerald entreprit de la bourrer de grand coups de queue. Dans cette position, elle ne pouvait pas se protéger, et sa vulve était pleinement exposée à cet assaut. Quand son orgasme arriva, elle crut qu’elle était en train de s’évanouir, mais en fait l’impression était plus forte et tout son corps se mit à frissonner, pour la deuxième fois de sa vie, elle avait un orgasme et cette fois c’était par la pénétration. Gerald sentit le vagin de la jeune fille se contracter, et cet effet lui fit exploser dans son trou. Il remplit de 4 giclées le corps tendu de la fille. Quand il se retira de son vagin, du sang mêlé a du sperme tomba sur le soja.
Elle était une femme désormais. Mais il lui fallait en venir à bout du deuxième homme !
Sam la fit se lever et s’asseoir sur lui, avec son dos face à lui, elle avait les jambes de part et d’autre de Sam, et ne pouvait donc pas voir son visage. Elle tremblait encore de son orgasme mais comprit ce que Sam voulait, elle s empala sur son sexe dresse. Mais le gland de Sam était presque deux fois plus large que celui de Mr Saint, il la saisit par la taille et la pressa contre lui, de cette façon, l’angle entre son pénis et l’entrée du vagin de Mélodie était plus en ligne. En forçant, elle sentit comme un faible barrage céder, et sa vulve s’ouvrit encore plus, ses petites lèvres se détendirent et le gland progressa dans sa grotte intime. Un sentiment d’être totalement « remplie » l inonda, le pénis de Sam continuait sa course de plus en plus, et elle eut l’impression qu’il allait arriver jusqu’ à sa bouche ! C’était incroyable, son petit corps de jeune fille produisait des sucs et des liquides pour accommoder cet énorme engin, comme sur commande. Elle sentit la bite remonter puis descendre, Sam entamait un limage précis. Il s’arrêtait au bout de son vagin, un peu trop court pour être horriblement douloureux mais suffisant pour la posséder totalement. Mr Saint s’était installé dans le fauteuil faisant face à elle. Il avait toujours sa queue dégonflée a la main. Le spectacle était très érotique : la jeune fille prise par cet homme puissant, et son pénis allant et venant entre les parois de son vagin vaincu. Ses petits seins étaient accrochés très haut et rebondissaient en cadence. Aucun risque qu’ils ne se décrochent se dit Mr Saint.
Au bout de quelques minutes il accéléra et elle dut se soulever un peu sur ses longues et fines jambes pour qu’il puisse gagner en amplitude. Les bourses tapaient contre son clitoris, et elle ressentit un double plaisir monter en elle. Sam continua encore quelques minutes, il ne voyait que le dos de Mélodie, et ses fesses rondes. Il lui tenait les jambes fermement en les écartant de manière à la pénétrer au plus profond, cela devrait être dur pour cette petite pensa-t-il, des femmes plus mures lui avaient dit qu’il leur faisait mal parfois, mais Mélodie encaissait ses attaques sans trop râler.
« De la graine de salope mon cher ami « dit Sam à l’adresse de Gerald.
Dans un dernier élan, il commença à gicler son foutre au plus profond du vagin de Mélodie. Elle sentit ce liquide bouillant aller au-delà de son vagin, dans le col de l’utérus. Ne sachant trop quoi faire, elle continua de chevaucher Sam en le laissant finir de se vider dans sa chatte. Mélodie n’avait pas eu de deuxième orgasme, mais était contente que tout cela soit fini.
Sam lui caressa longuement ses seins qui il trouvait très beaux, laissant sa bite se dégonflée lentement à l’intérieur de Mélodie.
Mr Saint était dur à nouveau d’avoir vu une telle scène. Mélodie se dégagea de Sam, et du foutre inonda ses cuisses. Sam lui avait vraiment rempli le vagin. Le sperme était plus clair, car plus récent. Presque comme de l’huile.
Elle se mis genou devant Mr Saint et entreprit de le sucer.
« Sans les mains » dit-il. Mélodie mit ses bras derrière son dos.
Il entrait profondément dans sa gorge, ayant joui précédemment, il reconstruisait son orgasme avec des assauts puissants. Mélodie étouffait à moitié, entre ses jambes nues, son vagin ouvert suppurait toujours et une petite flaque s’était forme sous elle. Sam se rapprocha et proposa qu’elle lèche la flaque pour lubrifier son palais. Elle résista mais l’idée n’était pas mauvaise, elle aspira le sperme sur le parquet en l enroulant autour de sa langue. Mr Saint lui fit ouvrir la bouche et lui déposa un gros crachat dans le fond de la gorge. Puis il ré enfonça son pénis brutalement. Au bout de quelques minutes, elle réussit à le prendre entier dans sa gorge, grâce aux lubrifiants le gland pouvait glisser plus facilement. Sa bite était engloutie par la petite bouche de Mélodie, et Sam lui tenait la tête en pression, elle ne pouvait pas reculer. Mr Saint se servit de ce support pour accélérer la cadence, elle respirait alternativement, quand la bite ne bloquait pas sa trachée. L’impression était effarante, elle était transformée en une machine à faire jouir cet homme qui la regardait si intensément. Il la ramona pendant 10 minutes qui sembla une éternité, la mâchoire de Mélodie lui brulait. Puis finalement, elle détecta un changement, c’était comme si son pénis avait gonflé subitement, la vague arrivait. Il retira sa queue et lui ordonna de laisser sa bouche ouverte. De longues jets de sperme sortirent du gland et pénétrèrent sa bouche entrouverte, mais aussi éclaboussèrent ses joues et son menton. Elle regardait ce gland dilaté qui laissait perler une dernière goutte de liquide. Elle aspira cette goutte pour ne rien laisser tomber. Elle avait été léchée, pénétrée dans deux positions, et avait bu le sperme de ces deux hommes. Elle se sentait épuisée.
Sam signala à Gerald qu’il raccompagnerait Mélodie chez elle.
Vers 23h30, la voiture s’arrêta dans l’allée et Mélodie, toujours en robe noire et pieds nus car ses escarpins lui avaient fait des énormes ampoules, le quitta. Elle tomba comme une pierre sur son lit et s endormit. Sa chatte la brulait et un liquide jaunâtre avait tache son slip, ses cheveux et ses poils pubiens sentaient l’homme, elle avait leur sueur sur elle. Elle prendrait sa douche mais d’abord…. Récupérer…
 8.GérardGérard se levait tous les matins avec une trique d’adolescent. Malgré la branlette avant de se coucher, il avait tous les matins une gaule de bois. Depuis que Mélodie était là, il la surveillait, l espionnait, et savait que son père avait la main mise sur la petite beauté. Avec l’accord de son père, il avait falsifié les registres du bureau, mettant en doute le travail de Mélodie. Cela lui avait valu une nuit à sucer les deux camionneurs, cela l amusait d’imaginer la petite poupée seule et nue avec ces deux idiots. A la fois, il était jaloux d eux, mais il attendait avec impatience quand il pourrait lui utiliser le corps de cette fille.
Rien que d’y penser en journée, il fallait qu’il se branle pour apaiser le feu qui le dévorait.
Il descendit dans la cuisine et prépara le cocktail pour Mélodie. Depuis une semaine, il prenait un verre a lait pour y verser les estrogènes en sachet qu’il avait acheté par correspondance, estrogenolit qui diluait pour ne pas rendre Mélodie trop suspicieuse. Ces estrogènes lui feraient grossir ses petits seins. De plus les estrogènes accélèrent le plaisir et la recherche du plaisir, rendant plus malléable la jeune fille. Il y avait des risques médicaux mais Gérard avait jugé que cela n’était pas un problème. Son père n’était pas au courant.
Cela l amusait tous les matins de la voir prendre son grand verre de « lait » sans savoir qu’il contenait tout ça. Il eut l’idée de se branler soudainement, le fait de penser à Mélodie le rendait fou. Il sortit sa verge et il ne fut pas long à produire une éjaculation très fournie qui inonda le fond du verre qui contenait déjà la préparation a base d estrogène. Il sourît, Mélodie boirait tous les matins son sperme frais et ne s’en rendrait même pas compte !. Il ajouta le reste de lait et remua. Puis il remit le verre dans le frigo. Mélodie le boirait à son réveil.
Theo croisa Gérard et lui raconta ce qui c’était passe la veille, il demanda à Gérard de réveiller Mélodie au plus tard à 9h00, mais elle avait gagné une heure de sommeil de plus, car Mr Saint avait été ravi de sa soirée. Gérard acquiesça et Theo partit au bureau.
Vers 9h00, il monta dans la chambre de Mélodie, elle n’était pas ferme, Theo avait fait attention à retirer les serrures dans toute la maison sauf sa propre chambre.
Elle était là, encore dans sa robe qui lui était remontée sur le haut de ses cuisses, il entrevit la culotte tachée, et ne put s’empêcher de rester la quelques minutes à la contempler, Elle était magnifique. Elle respirait lentement, ses seins se soulevaient très lentement. Il imagina que ses seins avaient participes abondamment à la soirée de la veille. Il eut envie de la déshabiller et la violer mais ce n’était pas le moment.
Il la réveilla en lui touchant le bras délicatement, elle souffla et s étira et le regarda hébétée.
« Debout il est 9h05, départ dans 30mn » dit-il. Il lui tendit le verre qu’il avait amené. Elle le prit assoiffée, et le vida intégralement, elle avait besoin de force. Elle n aima pas Gérard mais il était le seul qui n’avait pas abuse d’elle et donc elle se sentait en relative confiance avec lui tout en sachant qu’il n’oserait jamais tromper son père.
Elle se leva du lit et traversa la chambre, son petit cul rebondissait. Gérard la regarda aller dans la salle de Bain. Gérard se leva et quitta la chambre.
Vers 10h00 Mélodie et lui arrivèrent au bureau. Elle se demandait ce qu’elle allait avoir à faire, mais Theo lui avait pris ses papiers, son argent, et il gardait un œil sur le téléphone. Pas facile de se soustraire à son attention.
« Aujourd’hui, je vais te montrer ton bureau, suis-moi » Etonnée Mélodie lui emboita le pas. Elle portait un jean et un t-shirt, afin de limiter ce que les ouvriers pourraient voir d’elle. Ils arrivèrent devant les toilettes des ouvriers, il n’y avait qu’une porte pour les toilettes femmes, mais les toilettes hommes formaient un petit bâtiment. Il la poussa a intérieur, surprise, elle découvrit une chaise.
« Tu vas t asseoir la, et quand un homme rentrera tu lui proposeras tes services » « Quoi ?! comment ça !? » rouspéta-t-elle.
Il la gifla et sa joue la brula énormément.
« 10$ pour te voir nue, 20$ la pipe, et 30$ pour que tu avales. Tu as compris ? » « Oui Monsieur… » dit-elle, abattue.
« Ah et tu ne peux pas rester habiller comme ça, retires ton jean, tu resteras en culotte et T shift » Elle enleva son jean serré et lui donna.
« Pas de pénétration, c’est interdit » continua t il Au moins cela était ça de sauve, elle allait devoir endure une longue journée.
Il partit en fermant la porte, elle pensa l’ouvrir et s’enfuir mais sans pantalon, sans argent, que pourrait-il lui arriver, elle ne connaissait même pas ou elle était réellement.
10 minutes plus tard, elle entendit des pas, Gérard expliquait comment cela se passait à intérieur a deux ouvriers, des clients.
La porte s’ouvrit, elle était assise sur la chaise, ses belles jambes croisées sous elle.
« Ils veulent te voir nue seulement, enlèves ta culotte et ton t-shirt » dit Gérard.
Les deux hommes étaient en sueur, il faisait une telle chaleur dehors, même dans ces toilettes il faisait chaud.
Elle retira son Tshin et rougit un peu, elle avait son soutien-gorge mais les deux hommes étaient fixes sur ses seins. Elle dégrafa son soutien-gorge et le place derrière elle. Elle passa sa main sous ses seins comme pour les remettre à l’endroit, Ce n’était pas la peine, ils étaient fièrement tendus et avaient trouvé toute l’attention des deux hommes.
« La culotte, dépêches toi, ils n’ont pas une heure ! » lança Gérard. Les hommes rirent.
Elle tira sur son slip, et sa touffe apparut dans toute sa splendeur, les hommes n’avaient jamais vu une vraie rousse, une fille aussi belle et avec un corps aussi harmonieux. Elle était nue devant ses deux hommes, et ne sachant pas trop quoi faire.
« Approchez-vous messieurs »Ils entourèrent la jolie rousse et sortirent leur bite de leur pantalon de travail.
« Vous pouvez toucher, mais pas de pipe sinon c’est 20$ » Ils s’empressèrent de toucher ce corps qui leur était offert, pour 10$ c était cadeau et en plus ils étaient les premiers de la journée. Une main sur un sein, l’autre en train de se branler. Mélodie les regardait dans les yeux, comme pour implorer qu’ils l’aident.
« Quelle belle pute, je l’avais vu avant-hier au bureau, je ne savais pas qu’elle faisait des prestations clients spéciales » « Ordre de Theo, elle doit apprendre le métier, et aller au-devant des demandes des clients » L’un des hommes mit sa main entre ses cuisses, et elle les referma aussitôt.
« Ouvres tes cuisses, cela fait partie du package » Il renvoya la main et entreprit de la toucher, d’abord les poils qu’il commença à caresser puis à tirer légèrement « Vous me faites mal ! ». Ils se mirent à rire.
Le 2eme homme lui pinça le tetons du sein, et tourna le mamelon. Elle grimaça, l’autre avait mis un doigt dans sa chatte et lui ramonait l’entrée du vagin. Elle était encore douloureuse de la veille et du traitement de Sam.
« S’il vous plait je peux vous branler ? » dit-elle, pour abréger la souffrance.
« C’est autorisé » dit GérardElle attrapa l’une et l’autre des bites tendues a elle et commença à les branler, libérant immédiatement un jus qui lui coulait entre les doigts, ces hommes n’étaient pas propres. Ils continuèrent a lui tirer sur les poils de la chatte, et a lui pincer les fesses, les seins, et à toucher ses longues jambes. Elle sentit la raideur dans l’une des bites, et il cracha son sperme sur ses seins.
« Oh » dit-elle, comme surprise de recevoir cette éjaculation, elle le termina, et se concentra sur l’autre.
« Dommage que je n’ai pas 30$ je t’aurais bien craché dans ta petite bouche » dit-il.
« Tiens prends ça en attendant » et il lui éjacula au visage. Plusieurs fois, c’était écœurant, elle était toute collante.
Ils remontèrent leur pantalon, et urinèrent rapidement.
« Bien, pas trop mal, le patron sera content » dit Gérard et il referma la porte.
Mélodie était sous le choc, ces deux hommes l’avaient mise dans un tel état, elle se regarda dans le miroir a moitie défoncé, elle était recouverte de foutre, sur ses seins, son visage, et un peu dans ses beaux cheveux roux… Elle entreprit de se laver rapidement. Elle n’eut pas le temps de se rhabiller que quelques minutes plus tard, deux autres hommes ouvrirent la porte et lui demandèrent la pipe.
Ils s approchèrent et elle les prit en bouche toute de suite. Ils bandaient durement déjà, elle passait de l’un a l’autre. L’un d’entre eux entreprit de lui malaxer les seins avec brutalité.
« Je ne suis pas une vache ! » dit-elle pour se défendre« Non tu es moins que ça ! » et il continua encore plus fort. Quand elle essaya de l’en dissuader, il la gifla violement sur le sein. La douleur était très intense. Ses seins pointus et dressés étaient malheureusement trop attractifs, et tous les hommes présents en profitaient, soit gentiment, soit brutalement. Elle continua et l’un des deux hommes lui enfonça la bite très profondément, elle se mit à vomir soudainement, mais il garda son sexe bien appuyé au fond de sa gorge, éjaculant à plusieurs reprises, et mélangeant son sperme a son petit déjeuner. Quand il retira sa queue, Mélodie se vomit dessus, sur ses seins et entre ses jambes, c’était horrible. Le deuxième homme lui mis instantanément sa verge dans sa bouche, elle n’eut pas d’autre choix que de continuer à le sucer, et il jouit aussi dans sa bouche fatiguée. De longues giclées de sperme épais qui lui coulèrent dans sa gorge rouge et enflammée. Son estomac fit des bruits sonores comme pour se plaindre de tout ce jus infâme qu’il recevait. Elle qui n’avait jamais vu de bite le mois dernier, elle était devenu un déversoir à foutre.
Les deux hommes se rhabillèrent mais ils n’étaient pas encore partis que 5 hommes poussèrent la porte.
Mélodie était dans un état pitoyable. Du vomi sur ses seins, du foutre au bords de ses lèvres, et sur son visage.
« Et voilà la super nana dont tout le monde parle » « En effet, elle a dû être pas mal, dans le temps. » « ha ha ha »« Regardes ces beaux nichons » « Écartes un peu les jambes salope »Elle s’exécuta, en pleurs. Elle ne savait plus quoi faire. En l’espace d’un mois sa vie avait bascule, et elle était la victime de Theo. Elle se transformait en pute, et même ça c’était voir les choses positivement.
« Désole Mélodie, mais je n’y suis pour rien » dit Gérard gravement Elle le regarda, il était certainement pour rien dans tout ça, se dit elle… Si elle avait su que c’était son idée de la mettre au boulot dans les toilettes… « Belle petite chatte, mais tu devrais te raser, on pourrait mieux voir ton petit bijou » lui dit un des ouvriers, un type assez grand et qui avait déjà sa bite a la main, un énorme machin pas propre qu’il astiquait en faisant coulisser d avant en arrière un gros prépuce qui dévoilait un gland presque noir tellement il était foncé.
« Attends on va la nettoyer un peu » dit le mexicain sur sa droite. Il tenait sa verge comme un tuyau d’arrosage.
« Amène la dans les chiottes » Le grand type la saisit par le bras, et Mélodie se redressa. Elle était pieds nus, et le sol était très sale, du vomi, du sperme collant, et de l’urine. Nue au milieu de ces hommes, ils étaient 7 maintenant car la porte était grande ouverte, et les gens allaient et venaient, elle était l’attraction du moment.
Il l’assit sur les toilettes, et lui écarta ses jambes rousses, les cuisses bien ouvertes, les hommes en bavaient. L’un d’eux ne put se retenir et cracha son foutre sur son ventre.
« Attendez les gars, faut la nettoyer » Il se mit à lui uriner dessus, sur sa peau blanche et immaculée. Mélodie fut surprise, et laisse l’homme vider sa vessie sur elle. L’urine sentait très fort. Les hommes se succédèrent, jet de pisses sur ses cheveux, son visage, dégoulinant sur sa poitrine, ses seins et entre ses cuisses. Elle se sentit dégradée comme jamais.
Puis successivement, ils se mirent à se branler, lui demandant de bien écarter ses jambes, et de toucher son clitoris. Elle ressentit un plaisir à se masturber devant ces hommes, vieux, jeunes, grand, moche ou bien fait. Elle était leur petite princesse, celle qu’ils n’auraient jamais dû avoir, celle d’un autre monde, et pourtant elle était à leur merci, leur crachat, leur sperme, leur urine et leur bon vouloir.
Tout au long de la matinée, une cinquantaine d’hommes vinrent voir la jolie rousse qui faisait des pipes pour 20$, qui se laissait pisser et cracher dessus, et qui avalait du foutre pour 30$. Elle avala le sperme d’une vingtaine d’entre eux, tous lui touchèrent ses seins, beaucoup s aventurèrent a lui toucher son clitoris qui la brulait, car ces hommes avec leurs gros doigts sales ne la ménageaient pas et tournaient et pinçaient son sexe sans merci.
Vers midi, Gérard la fit sortir et la poussa dans les toilettes femmes. Une autre femme était présente, une femme de ménage, qui l’aida à lui nettoyer le visage. Elle se regarda dans le miroir, ses yeux rougis par les pleurs, elle avait du sperme partout, elle était couverte de plaques jaunes et collantes, ses poils pubiens la grattaient, les lèvres de son vagin étaient détendues car certains hommes avaient tiré sur ces chairs brutalement, comme pour voir à l’intérieur d’elle.
Ses habits avaient disparu, elle était nue, splendide, même si déconfite, et arborait toujours cette grandeur que seules les belles femmes possèdent.
Gérard lui apporta ses vêtements, qu’elle enfila sur sa peau collante. Elle avait décidé de fuir Theo mais elle devait auparavant parler à Matt, et obtenir son aide. Il viendrait certainement à son secours.
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