Mémoire d'Adrien, dépucelé par sa tante
Récit érotique écrit par Adrien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2008 dans la catégorie Pour la première fois
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Mémoire d'Adrien, dépucelé par sa tante
<p>C'était pendant les vacances, dans la maison où toute la famille se réunissait en pleine campagne. L'avantage du site est qu'il n'y a pas de télé et que les dialogues sont fertiles et interessants. Un jour je me retrouvais seul avec ma tante mère de deux gamins de deux et trois ans. Je la trouvais jolie et dans ses robes d'été elle était encore plus belle. Ses robes courtes en tissus léger, laissant la lumière passer à travers et je pouvais aisément voir ses formes que les maternités n'avait pas abîmées.
Donc, nous nous retrouvions tous les deux, je terminais la lecture d'un livre et elle de ranger les affaires de ses bambins. Son mari (mon oncle) avait terminé ses vacances et était remonté sur Paris. De temps en temps je quittais ma lecture pour mater cette femme qui me plaisait tant, non sans surprendre quelques gestes qui m'excitaient. Par exemple, elle se jetait dans un fauteuil en face de moi et sa robe dans le mouvement remontait et je pouvait voir le gras du haut de sa cuisse et parfois je voyais sa culotte.
Elle n'était pas imperméable à mes regards et en rajoutait, certainement pour m'exciter. Je lui faisais des confidences et elle me posais des questions sur les filles, mes fantasmes... de manière que je fnissais toujours par bander. Ce soir là, elle m'excta tellement que je la pointe de mon short me trahissait et elle s'en amusa...
Elle s'approcha de moi et me chuchota "Si on allait se coucher Adrien ? il se fait tard"
puis elle posa sa main sur ma bosse, ce qui m'excita encore plus... Avec ma main j'appuyais sur la sienne pour qu'elle ne la retire pas. Elle me regardait droit dans les yeux, ayant l'air de dire -on va faire des bêtises, attention- mais mon regard la suppliait et elle accepta de bouger sa main. Mon sexe n'était pas énorme mais très tendu. Elle descendit cette main vers la cuisse pour la remonter par la jambe de mon short entrebaillé. Elle continua à caresser ma tige par dessus le slip qu'elle finit par détourner en passant sous l'élastic entrant carrément en contac avec la chair. Que sa main était chaude et douce et que j'étais bien... elle fit ensuite passer mon sexe par la jambe et le resortit pour le mettre à l'air. Elle l'examina un bon moment le décalottant lentement puis après deux ou trois aller retour décida de le mettre dans sa bouche.
elle caressait maintenant les boules pendant qu'elle entamait cette fellation improvisée. Quel plaisir, j'ai eu à ce moment là et quel plaisir elle prenait aussi à sucer ce petit membre fin et lisse. Elle se délectait et s'arrêtait pour passer sa langue sur ses lèvres pour reprendre ensuite sa sucion. Elle arrivait à enfoncer tout mon sexe dans la bouche et même avec mes boules sans poil. Elle prenait tout son temps et ouvrait grand la bouche pour m'absorber et pincait les lèvres pour relacher. Ne pouvant plus me retenir je tendis mon corps et je lâchais quelques gouttes de sperme dans sa bouche. J'entendis un hummm de gourmandise quand elle avala mon jus.
Elle me fit jurer de ne rien dire à personne et biensûr. Mais, ne perdant pas le Nord, j'acceptais à la condition qu'elle m'apprenne à faire l'amour. Ce qu'elle fit les jours qui succédèrent. Nous revoyant principalement les étés, ils nous étaient difficile de nous rencontrer pour faire l'amour, aujourd'hui ce n'est plus qu'un souvenir, j'ai 45 ans et elle en a 60.
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Donc, nous nous retrouvions tous les deux, je terminais la lecture d'un livre et elle de ranger les affaires de ses bambins. Son mari (mon oncle) avait terminé ses vacances et était remonté sur Paris. De temps en temps je quittais ma lecture pour mater cette femme qui me plaisait tant, non sans surprendre quelques gestes qui m'excitaient. Par exemple, elle se jetait dans un fauteuil en face de moi et sa robe dans le mouvement remontait et je pouvait voir le gras du haut de sa cuisse et parfois je voyais sa culotte.
Elle n'était pas imperméable à mes regards et en rajoutait, certainement pour m'exciter. Je lui faisais des confidences et elle me posais des questions sur les filles, mes fantasmes... de manière que je fnissais toujours par bander. Ce soir là, elle m'excta tellement que je la pointe de mon short me trahissait et elle s'en amusa...
Elle s'approcha de moi et me chuchota "Si on allait se coucher Adrien ? il se fait tard"
puis elle posa sa main sur ma bosse, ce qui m'excita encore plus... Avec ma main j'appuyais sur la sienne pour qu'elle ne la retire pas. Elle me regardait droit dans les yeux, ayant l'air de dire -on va faire des bêtises, attention- mais mon regard la suppliait et elle accepta de bouger sa main. Mon sexe n'était pas énorme mais très tendu. Elle descendit cette main vers la cuisse pour la remonter par la jambe de mon short entrebaillé. Elle continua à caresser ma tige par dessus le slip qu'elle finit par détourner en passant sous l'élastic entrant carrément en contac avec la chair. Que sa main était chaude et douce et que j'étais bien... elle fit ensuite passer mon sexe par la jambe et le resortit pour le mettre à l'air. Elle l'examina un bon moment le décalottant lentement puis après deux ou trois aller retour décida de le mettre dans sa bouche.
elle caressait maintenant les boules pendant qu'elle entamait cette fellation improvisée. Quel plaisir, j'ai eu à ce moment là et quel plaisir elle prenait aussi à sucer ce petit membre fin et lisse. Elle se délectait et s'arrêtait pour passer sa langue sur ses lèvres pour reprendre ensuite sa sucion. Elle arrivait à enfoncer tout mon sexe dans la bouche et même avec mes boules sans poil. Elle prenait tout son temps et ouvrait grand la bouche pour m'absorber et pincait les lèvres pour relacher. Ne pouvant plus me retenir je tendis mon corps et je lâchais quelques gouttes de sperme dans sa bouche. J'entendis un hummm de gourmandise quand elle avala mon jus.
Elle me fit jurer de ne rien dire à personne et biensûr. Mais, ne perdant pas le Nord, j'acceptais à la condition qu'elle m'apprenne à faire l'amour. Ce qu'elle fit les jours qui succédèrent. Nous revoyant principalement les étés, ils nous étaient difficile de nous rencontrer pour faire l'amour, aujourd'hui ce n'est plus qu'un souvenir, j'ai 45 ans et elle en a 60.
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