Ménage de chantier
Récit érotique écrit par Love_in_pain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Ménage de chantier
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je travaille sur des chantiers de construction résidentielle, pour faire le ménage après la fin des travaux. Un soir, alors que nous devions être deux, je me retrouve seule puisque mon collègue est à l’hôpital pour une appendicite. Comme je n’ai que deux appartements à nettoyer, je ne demande pas de remplaçant pour m’aider à faire le boulot. À mon grand regret… ou à mon grand plaisir. C’était la canicule j’étais vêtue seulement d’un minishort et d’une camisole, j’avais ma musique a plein volume dans les oreilles, me remuant les fesses en rythme puisque me croyant seule. Je sentie tout-à-coup une main s’abattre sur mon épaule.
- AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!
- Bonjour beauté, mes copains et moi venions pour reprendre nos outils, quand nous sommes tombés sur un spectacle magnifique
- Ma… mais comment êtes-vous entrés ? Je suis la seule avec le promoteur à avoir la clé
- Le promoteur ? Mais le voilà
- Bonsoir, j’approuve totalement, le spectacle était magnifique regarder l’effet que vous nous faites
En disant ça ils sortent leurs queues dures comme le roc
- Comme c’est vendredi soir, personne ne viendra avant lundi, ce qui nous laisse amplement le temps de nous amuser, n’est-ce pas les gars ?
- Oh oui, répondirent tous en cœur
- Il n’en est pas question !!
- Les gars il semble qu’elle ne veuille pas nous aider à nous détendre volontairement, mais ce n’est pas grave, pas besoin de sa collaboration
Je fus saisie de chaque côté par deux géants, qui me soulevèrent comme si je ne pesais pas plus qu’une plume. J’ai été emmenée dans un autre appartement pas encore fini, puis ligotée aux quatre coins d’un cadre de porte. Je savais qu’il était inutile que je me débatte puisque j’étais seule et ligotée contre une dizaine peut-être même une quinzaine d’hommes forts, musclé alors que moi avec mon mètre 65 et mes 52 kg ne faisions pas le poids. Le promoteur s’approcha de moi, avec son couteau de chantier, et il découpa mes vêtements, me laissant nue et tremblante. J’avais seulement 19 ans, et peu d’expérience, mais je savais ce qui allait se passer. La panique m’envahie, et malgré les liens je me suis mise à ruer, une gifle sonore et douloureuse, interrompit toute révolte.
- Cesse de te débattre, sinon tu auras encore plus mal
- … non s’il-vous-plait, arrêter, je ne dirai rien
- Arrêter ? Mais nous n’avons pas encore commencé
Les larmes ce sont mises à couler le long de mes joues. Tête baissée, j’attendais la fin de mon cauchemar. Me voyant calmée les hommes s’approchèrent pour tâter cette beauté qui était à eux pour le week-end. Mes seins assez volumineux, malgré ma petite taille, furent pincés, étirés, tordus.
- Regardez-moi ces seins, ils donnent envie de mordre dedans
- Vas-y ne te gêne pas, mais fait attention il ne faudrait pas trop l’abîmer, sinon on ne pourra plus s’amuser
L’homme se pencha, saisi mon mamelon droit entre ces dents et mordit assez fort, puis il fît la même chose avec le gauche. Les autres hommes, ce caressaient la verge en attendant leurs tours de jouer avec moi. Mes yeux ce sont alors posé sur les deux hommes les plus éloignés de moi, je n’avais jamais vue de monstre pareil !! Leurs queues étaient gigantesques, je n’en avais jamais vue d’aussi grosse, même dans les films X visionnés sur internet. Le promoteur voyant mon sursaut, suivi mon regard, et sourit.
- C’est Mamadou et Abdellah ils ne parlent pas beaucoup le français, mais ils ne sont pas ici pour papoter n’est-ce pas ? dit-il en éclatant de rire
Un des hommes s’approche de moi, se penche et m’embroche d’un coup sec. La douleur est atroce. Il me besogne rapidement et jouis, à peine est-il sorti qu’une autre queue prend sa place, suivi d’une autre et d’une autre. La douleur diminue, puisque ma chatte est maintenant lubrifiée avec tout le sperme des précédents. Tous passèrent, il ne restait que Mamadou et Abdellah, ne sachant pas lequel était lequel, je ne pouvais pas dire lequel passa en premier, mais lorsque le deuxième m’embrocha, je me suis évanouie sous l’effet de la douleur. Je fût ramené à moi par une paire de baffe.
- Ah non ! Pas question que tu manques une seule minute du spectacle
Le dernier fini par éjaculer, je croyais mon cauchemar terminé… erreur il ne faisait que commencer. Ils m’ont détaché et traîner, à moitié inerte, vers une pile de planche, je fus à nouveau ligoter, mais à quatre patte cette fois. Le promoteur, qui semblait le plus sadique, prit alors un câble et d’un coup sec me fouetta le dos, puis les coups ce mirent à pleuvoir, mais il savait ce qu’il fesait puisque le sang ne coula pas.
- Il n’est pas plus joli son dos ainsi marqué ?
- Oh oui !! Mais ces fesses ne sont pas assez rouges
Les coups reprirent, mais cette fois sur mes fesses, qui chauffèrent atrocement, rapidement.
- Vous êtes satisfait de la couleur ?
- Oui patron !
Un doigt vint me titiller la rondelle, puis s’enfonça d’un coup, un deuxième puis un troisième virent rejoindre rapidement le premier. Les doigts sortirent, et un gland les remplacèrent aussitôt. La brûlure fût atroce, et encore une fois je m’évanouie. Une nouvelle paire de baffe me ramena aussi sec à la vie. J’hurlais de douleur et j’étais secoué de sanglot.
- Un volontaire pour la bâillonner ?
Une queue ce présenta devant mes lèvres, et s’enfonça directement au fond de ma gorge, me donnant un haut-le-cœur.
- Si tu vomis, je te fais bouffer tout ce qui est sorti
Je ravalais péniblement ma bile et je tentai de me détendre pour calmer la nausée. J’étais embroché par les deux bouts, je me faisais secouée d’avant en arrière violemment. Puis celui au derrière moi ce vida dans mes boyaux et sorti, aussitôt remplacer par un autre. Même chose pour ma bouche, ils ne me laissaient aucun répit. Le promoteur se pencha vers mon oreille pour murmurer
- Il ne reste plus que Mamadou et Abdellah
Puis il éclata d’un rire sadique. Lorsque j’ai senti le gigantesque gland pressé ma rondelle, j’ai paniquée et je me suis débattue, nouvelle paire de baffe.
- Ne te débat pas et détend toi sinon tu souffriras encore plus parce que de toute façon ils entreront tous les deux
Je tentais de me détendre, mais rien à faire. Quand il commença à s’enfoncer, je me suis sentie scinder en deux. La douleur et la sensation de brûlure était inimaginable. Heureusement il éjacula rapidement et ce fût autour du dernier, qui lui non plus ne dura pas longtemps, tellement ils étaient à l’étroit. Il éjacula dans un rugissement. Un petit répit me fut accorder, mais pas assez long à mon goût. Détachée à nouveau et traîner dans une autre pièce où il y avait une pile de bâche. Le promoteur ce coucha au centre et deux des mastodontes me placèrent au-dessus de lui, je me retrouvais empaler sur sa queue, heureusement pas trop grosse. Il me tira vers lui pour m’embrasser, je suppose, mais je suppose mal, c’est plutôt pour libérer l’accès à ma porte arrière. Un gland ce presse contre elle et s’enfonce sans plus de cérémonie. Mon cri fût aussitôt étouffé par un mandrin s’enfonçant dans ma gorge. Rien ne pouvait arrêter mes larmes, j’étais secouée de sanglot.
Le promoteur resta bien calé au fond de ma chatte malmenée, et les queues ce succédèrent dans mon fondement. Lorsque je vis le sourire carnassier de cet homme je su qui arrivait derrière moi : Mamadou et Abdellah. J’eue un moment de surprise lorsqu’il se retira, mais ce fût pour laisser sa place à un des deux monstres.
- Je te réservais le meilleur pour la fin
Je fût maintenue solidement en place et l’autre s’enfonça derrière. Je croyais avoir goûtée à la pire douleur, mais je me trompais. Lourdement. J’avais l’impression qu’un fer chauffé à blanc s’enfonçait en moi. La dernière chose dont je me souvienne avant mon évanouissement, c’est le rire démoniaque du promoteur. Je me suis réveillée quelques temps plus tard, sans savoir combien de temps c’était écoulé, ligotée et suspendue à une poutre. J’étais ligotée de tel façon que ma chatte et mon cul étaient facilement accessible.
- Bon elle se réveille, on va pouvoir recommencer à s’amuser
Les coups de fouet commencèrent à pleuvoir de tous les côté à la fois. Ma peau se marbra rapidement de rainure rouge vif.
- Et maintenant que voulez-vous essayer ?
- Une double vaginale !!
- Une double anale !!
Je fût horrifier d’entendre ça. Finalement l’option double vaginale avec Mamadou et Abdellah retint la majorité. Sans prendre la peine de détacher mes membres, ils me descendirent de la poutre et m’empalèrent directement sur le premier, couché au sol, le deuxième s’approcha, colla sa queue sur celle de son copain et commença à forcer le passage sous les vivat des spectateurs. Quand ils furent bien installé au fond de ma chatte, qui n’était plus qu’un trou béant, ils commencèrent à faire des va-et-vient lent puis de plus en plus rapide, jusqu’à l’explosion. Ils se retirèrent puis m’abandonnèrent au milieu des bâches, tous les hommes m’encerclèrent et m’éjaculèrent, un mélange de sperme et d’urine, partout sur le corps, visant particulièrement mon visage.
Ils me détachèrent et je restai seule avec le promoteur.
- Tu as aimée ?
- Oui merci mon amour, il faudra recommencer, peut-être avec plus de grosse queue et plus de participant
- D’accord, maintenant vient, rentrons à la maison pour que tu prennes un bon bain
- Oh oui ! Et tu me feras l’amour après le bain?
- Tu es insatiable, me dit-il avec de l’amour dans les yeux
Je travaille sur des chantiers de construction résidentielle, pour faire le ménage après la fin des travaux. Un soir, alors que nous devions être deux, je me retrouve seule puisque mon collègue est à l’hôpital pour une appendicite. Comme je n’ai que deux appartements à nettoyer, je ne demande pas de remplaçant pour m’aider à faire le boulot. À mon grand regret… ou à mon grand plaisir. C’était la canicule j’étais vêtue seulement d’un minishort et d’une camisole, j’avais ma musique a plein volume dans les oreilles, me remuant les fesses en rythme puisque me croyant seule. Je sentie tout-à-coup une main s’abattre sur mon épaule.
- AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!
- Bonjour beauté, mes copains et moi venions pour reprendre nos outils, quand nous sommes tombés sur un spectacle magnifique
- Ma… mais comment êtes-vous entrés ? Je suis la seule avec le promoteur à avoir la clé
- Le promoteur ? Mais le voilà
- Bonsoir, j’approuve totalement, le spectacle était magnifique regarder l’effet que vous nous faites
En disant ça ils sortent leurs queues dures comme le roc
- Comme c’est vendredi soir, personne ne viendra avant lundi, ce qui nous laisse amplement le temps de nous amuser, n’est-ce pas les gars ?
- Oh oui, répondirent tous en cœur
- Il n’en est pas question !!
- Les gars il semble qu’elle ne veuille pas nous aider à nous détendre volontairement, mais ce n’est pas grave, pas besoin de sa collaboration
Je fus saisie de chaque côté par deux géants, qui me soulevèrent comme si je ne pesais pas plus qu’une plume. J’ai été emmenée dans un autre appartement pas encore fini, puis ligotée aux quatre coins d’un cadre de porte. Je savais qu’il était inutile que je me débatte puisque j’étais seule et ligotée contre une dizaine peut-être même une quinzaine d’hommes forts, musclé alors que moi avec mon mètre 65 et mes 52 kg ne faisions pas le poids. Le promoteur s’approcha de moi, avec son couteau de chantier, et il découpa mes vêtements, me laissant nue et tremblante. J’avais seulement 19 ans, et peu d’expérience, mais je savais ce qui allait se passer. La panique m’envahie, et malgré les liens je me suis mise à ruer, une gifle sonore et douloureuse, interrompit toute révolte.
- Cesse de te débattre, sinon tu auras encore plus mal
- … non s’il-vous-plait, arrêter, je ne dirai rien
- Arrêter ? Mais nous n’avons pas encore commencé
Les larmes ce sont mises à couler le long de mes joues. Tête baissée, j’attendais la fin de mon cauchemar. Me voyant calmée les hommes s’approchèrent pour tâter cette beauté qui était à eux pour le week-end. Mes seins assez volumineux, malgré ma petite taille, furent pincés, étirés, tordus.
- Regardez-moi ces seins, ils donnent envie de mordre dedans
- Vas-y ne te gêne pas, mais fait attention il ne faudrait pas trop l’abîmer, sinon on ne pourra plus s’amuser
L’homme se pencha, saisi mon mamelon droit entre ces dents et mordit assez fort, puis il fît la même chose avec le gauche. Les autres hommes, ce caressaient la verge en attendant leurs tours de jouer avec moi. Mes yeux ce sont alors posé sur les deux hommes les plus éloignés de moi, je n’avais jamais vue de monstre pareil !! Leurs queues étaient gigantesques, je n’en avais jamais vue d’aussi grosse, même dans les films X visionnés sur internet. Le promoteur voyant mon sursaut, suivi mon regard, et sourit.
- C’est Mamadou et Abdellah ils ne parlent pas beaucoup le français, mais ils ne sont pas ici pour papoter n’est-ce pas ? dit-il en éclatant de rire
Un des hommes s’approche de moi, se penche et m’embroche d’un coup sec. La douleur est atroce. Il me besogne rapidement et jouis, à peine est-il sorti qu’une autre queue prend sa place, suivi d’une autre et d’une autre. La douleur diminue, puisque ma chatte est maintenant lubrifiée avec tout le sperme des précédents. Tous passèrent, il ne restait que Mamadou et Abdellah, ne sachant pas lequel était lequel, je ne pouvais pas dire lequel passa en premier, mais lorsque le deuxième m’embrocha, je me suis évanouie sous l’effet de la douleur. Je fût ramené à moi par une paire de baffe.
- Ah non ! Pas question que tu manques une seule minute du spectacle
Le dernier fini par éjaculer, je croyais mon cauchemar terminé… erreur il ne faisait que commencer. Ils m’ont détaché et traîner, à moitié inerte, vers une pile de planche, je fus à nouveau ligoter, mais à quatre patte cette fois. Le promoteur, qui semblait le plus sadique, prit alors un câble et d’un coup sec me fouetta le dos, puis les coups ce mirent à pleuvoir, mais il savait ce qu’il fesait puisque le sang ne coula pas.
- Il n’est pas plus joli son dos ainsi marqué ?
- Oh oui !! Mais ces fesses ne sont pas assez rouges
Les coups reprirent, mais cette fois sur mes fesses, qui chauffèrent atrocement, rapidement.
- Vous êtes satisfait de la couleur ?
- Oui patron !
Un doigt vint me titiller la rondelle, puis s’enfonça d’un coup, un deuxième puis un troisième virent rejoindre rapidement le premier. Les doigts sortirent, et un gland les remplacèrent aussitôt. La brûlure fût atroce, et encore une fois je m’évanouie. Une nouvelle paire de baffe me ramena aussi sec à la vie. J’hurlais de douleur et j’étais secoué de sanglot.
- Un volontaire pour la bâillonner ?
Une queue ce présenta devant mes lèvres, et s’enfonça directement au fond de ma gorge, me donnant un haut-le-cœur.
- Si tu vomis, je te fais bouffer tout ce qui est sorti
Je ravalais péniblement ma bile et je tentai de me détendre pour calmer la nausée. J’étais embroché par les deux bouts, je me faisais secouée d’avant en arrière violemment. Puis celui au derrière moi ce vida dans mes boyaux et sorti, aussitôt remplacer par un autre. Même chose pour ma bouche, ils ne me laissaient aucun répit. Le promoteur se pencha vers mon oreille pour murmurer
- Il ne reste plus que Mamadou et Abdellah
Puis il éclata d’un rire sadique. Lorsque j’ai senti le gigantesque gland pressé ma rondelle, j’ai paniquée et je me suis débattue, nouvelle paire de baffe.
- Ne te débat pas et détend toi sinon tu souffriras encore plus parce que de toute façon ils entreront tous les deux
Je tentais de me détendre, mais rien à faire. Quand il commença à s’enfoncer, je me suis sentie scinder en deux. La douleur et la sensation de brûlure était inimaginable. Heureusement il éjacula rapidement et ce fût autour du dernier, qui lui non plus ne dura pas longtemps, tellement ils étaient à l’étroit. Il éjacula dans un rugissement. Un petit répit me fut accorder, mais pas assez long à mon goût. Détachée à nouveau et traîner dans une autre pièce où il y avait une pile de bâche. Le promoteur ce coucha au centre et deux des mastodontes me placèrent au-dessus de lui, je me retrouvais empaler sur sa queue, heureusement pas trop grosse. Il me tira vers lui pour m’embrasser, je suppose, mais je suppose mal, c’est plutôt pour libérer l’accès à ma porte arrière. Un gland ce presse contre elle et s’enfonce sans plus de cérémonie. Mon cri fût aussitôt étouffé par un mandrin s’enfonçant dans ma gorge. Rien ne pouvait arrêter mes larmes, j’étais secouée de sanglot.
Le promoteur resta bien calé au fond de ma chatte malmenée, et les queues ce succédèrent dans mon fondement. Lorsque je vis le sourire carnassier de cet homme je su qui arrivait derrière moi : Mamadou et Abdellah. J’eue un moment de surprise lorsqu’il se retira, mais ce fût pour laisser sa place à un des deux monstres.
- Je te réservais le meilleur pour la fin
Je fût maintenue solidement en place et l’autre s’enfonça derrière. Je croyais avoir goûtée à la pire douleur, mais je me trompais. Lourdement. J’avais l’impression qu’un fer chauffé à blanc s’enfonçait en moi. La dernière chose dont je me souvienne avant mon évanouissement, c’est le rire démoniaque du promoteur. Je me suis réveillée quelques temps plus tard, sans savoir combien de temps c’était écoulé, ligotée et suspendue à une poutre. J’étais ligotée de tel façon que ma chatte et mon cul étaient facilement accessible.
- Bon elle se réveille, on va pouvoir recommencer à s’amuser
Les coups de fouet commencèrent à pleuvoir de tous les côté à la fois. Ma peau se marbra rapidement de rainure rouge vif.
- Et maintenant que voulez-vous essayer ?
- Une double vaginale !!
- Une double anale !!
Je fût horrifier d’entendre ça. Finalement l’option double vaginale avec Mamadou et Abdellah retint la majorité. Sans prendre la peine de détacher mes membres, ils me descendirent de la poutre et m’empalèrent directement sur le premier, couché au sol, le deuxième s’approcha, colla sa queue sur celle de son copain et commença à forcer le passage sous les vivat des spectateurs. Quand ils furent bien installé au fond de ma chatte, qui n’était plus qu’un trou béant, ils commencèrent à faire des va-et-vient lent puis de plus en plus rapide, jusqu’à l’explosion. Ils se retirèrent puis m’abandonnèrent au milieu des bâches, tous les hommes m’encerclèrent et m’éjaculèrent, un mélange de sperme et d’urine, partout sur le corps, visant particulièrement mon visage.
Ils me détachèrent et je restai seule avec le promoteur.
- Tu as aimée ?
- Oui merci mon amour, il faudra recommencer, peut-être avec plus de grosse queue et plus de participant
- D’accord, maintenant vient, rentrons à la maison pour que tu prennes un bon bain
- Oh oui ! Et tu me feras l’amour après le bain?
- Tu es insatiable, me dit-il avec de l’amour dans les yeux
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
je n'ai qu'un commentaire .... masturbation obligatoire bienfaitrice ! merci ma grande et bisous partout
j'adore ton recit ma belle
j'ai hate de lire le prochain qui est en preparation
Pleins de fessee sur ton joli cul
Cello
j'ai hate de lire le prochain qui est en preparation
Pleins de fessee sur ton joli cul
Cello