Merci belle maman ... - histoire érotique

Merci belle maman …

Je suis mariée depuis un an et je n’ai pas connu la jouissance, au début je croyais que c’était normal de ne ressentir qu’un plaisir limité, c’est en discutant avec Murielle ma belle mère chez qui nous vivons pour l’instant, que j’ai compris que je passais à coté de quelque chose d’important
Elle me parlait quelquefois du plaisir qu’elle prenait en faisant l’amour, mais que Paul, mon beau père n’y était pour rien c’est là qu’elle a compris que se fils était comme son père, un raté en matière de sexe
Au fur et a mesure de nos conversations, nous devenions complices, j’ai deviné que ses jouissances elle les avait grâce à leur ami gynécologue

- Robert est un homme charmant qui connait le sexe de la femme sur le bout des doigts, si j’ose dire ! Il m’a fait découvrir le mien, car je n’osais pas pratiquer certaines caresses et pratiques, c’est peut être ton cas ?
- Je ne sais pas ? pourtant je me touche quelquefois, en cachette de fabien bien sûr
- Il ne te manipule pas le clitoris ? avec les doigts ou la langue ?
- Clitoris ?
- Oui Valérie, c’est le petit bourgeon qui est situé au dessus de ta fente
- Ah oui, fabien ne veux absolument pas approcher sa bouche et ses doigts de mon entre jambes, ‘c’est trop sale’ dit-il, il se contente de prendre son propre plaisir, une fois ceci fait il disparait me laissant insatisfaite et la chatte engluée
- Quel imbécile, nos hommes sont charmants mais ils ont des petites bites, c’est une raison valable pour qu’ils soient cocus, mais toi ? tu te touche le clito ?
- C'est-à-dire que lorsque je l’effleure ça me provoque des décharges électriques,
- Donc tu es normale, il faut bien le lubrifier avant de poser tes doigts dessus, tu veux que je te montre ? entre femmes il n’y a pas de honte à s’entraider et se dévoiler
- Vous me faites rougir Murielle
- Prend exemple, je retire ma culotte, fait de même …

Murielle relève sa jupe et fait glisser sa culotte, de suite je remarque la différence avec la mienne qui est en coton épais et distendu, tandis que la sienne est petite, en tissu de couleurs, l’entre-jambe couvre a peine son sexe et aucun poils ne dépasse, les miens courent jusqu’a mes cuisses

- Mon dieu ! tu porte ça comme sous-vêtement ? et ce buisson noir ? il faut tailler ça !
- C’est fabien qui les achète, pour mes poils, il me défend d’y toucher
- Quel couillon, qu’il soit content ou pas tu va tailler là-dedans, et arrange toi pour porter des strings sans qu’il le sache, tu verras c’est le début du plaisir
- Oui Murielle
- Tu permets que j’écarte ta fourrure ? … huuuummm tu as une adorable petite chatte…. Ton clitoris est tout à fait normal … ne bouge pas je vais enfoncer un doigt pour prélever de la cyprine …. C’est bien ce que je pensais, rien que de parler entre nous, tu mouille normalement
- Je me sens toute chose …
- Laisse toi aller Valérie, ne lutte pas contre tes préjugés, muuuummmm, ton clito gonfle a vue d’œil, si je ne me retenais pas je te lécherais …

Sans mon accord, elle se jette entre mes cuisses que j’ouvre en grand, son souffle chaud est comme une brise d’été sur ma motte en friche, sa langue devenue pointue se fraie un passage dans ma jungle pour séparer mes lèvres intimes, inconsciemment je pose mes mains sur sa tête pour ne pas qu’elle se retire
J’avance au maximum mon cul sur le canapé afin de lui offrir ma moule qui se liquéfie, elle s’arrange pour que son nez frotte sur mon clitoris, c’est comme si j’avais envie de pisser, je vais défaillir, j’essaie de contenir des hurlements de joie, mais impossible de refreiner la vague liquide, sa bouche redouble de succions accompagnées de râles qui ne sont pas de souffrances, mes cuisses tremblent encore lorsqu’elle se redresse le visage englué

- Pourquoi n’as-tu pas laissé sortir cet orgasme ? Car c’est un orgasme que tu viens d’avoir !
- Je vous ais souillé la bouche ….
- Si tu savais comme je me suis régalée ! donc, une bonne queue te ferait voir des étoiles … veut-tu que je présente a robert afin qu’il t’examine ?
- Fabien ne voudras jamais
- Ne lui en parle surtout pas pour l’instant, moi, je l’ai fait admettre a ton beau père, après beaucoup de ténacité, je le vois le mardi, jour de sa fermeture
- Je veux bien essayer une fois, uniquement si vous êtes là alors …
- L’essayer, c’est l’adopter, une jeune petite caille comme toi va le faire bondir de joie, nous allons faire de toi une bombe sexuelle
- Que va-t-il me faire ??
- Que du bien, mais rase une bonne partie de tes poils, comme les miens, juste une touffe sur le pubis, laisse gueuler mon fils, il faut que ton trou à bite soit accessible
- D’accord Murielle, encore merci pour cet … orgasme ?
- Une belle jouissance effectivement, mais c’est a charge de revanche
- Vous aimeriez que je vous le fasse ?
- Plus tard, d’abord le gynéco !

Le lundi soir Murielle m’a confirmé le rendez vous, le matin je me suis taillée dans la fourrure, rien que de sentir le string qu’elle m’a donné frotter sur mes lèvres m’excite, j’ai été obligée de mettre une protection pour ne pas mouiller ma jupe
J’ai une boule au ventre lorsqu’elle sonne au cabinet médical, et un grand choc lorsque je la vois embrasser le docteur à pleine bouche qui n’hésite pas à lui passer une main au cul, elle glousse de plaisir…. il n’a sur lui qu’une blouse blanche très courte, j’aperçois ses attribut poilus lorsqu’il se déplace

- C’est ta petite protégée ? beau brin de fille !
- C’est Valérie, ma bru, que mon fils n’arrive pas à satisfaire
- Nous allons remédier a cela, entrez et mettez vous a l’aise, je commence par qui ?
- Nous somment là pour ma belle fille, mais je ne compte pas tenir la chandelle, je vais participer
- Déshabillez-vous Valérie que je puisse juger si vous êtes apte a accéder au titre de femme, je ne vous cacherais pas que je suis débordé, j’ai des clientes de plus en plus exigeantes
- Fait un effort robert, fait le pour moi
- Si c’est une bonne élève je la confierais à Victor… Aaaahh effectivement, y’a rien à jeter, beau cul, beaux nichons, allongez vous sur la table, les pieds dans les étriers, je vais vous examiner sans spéculum

Le toubib s’équipe d’une lampe frontale, j’ai honte car il va découvrir que je dégouline, avec deux doigts il écarte mes lèvres

- Tu a vu ce filament de cyprine robert ?
- Elle est très excitée, c’est plein de jus au fond …écoute ce bruit mouillé que font mes doigts
- Moi aussi je suis enfondue, lèche là, elle est bonne, je me suis déjà régalée avec sa minette

La bouche de l’homme se ventouse a ma vulve, la tête ne bouge pas mais sa langue travaille énergiquement en profondeur, des doigts titillent mon anus, je vais jouir s’il continue, mais soudain, il se redresse me laissant une impression d’inachevé

- J’ai trop envie de me la taper, tu veux te faire bouffer le mille-feuilles ? Prend sa place, elle va te lécher
- Oui Murielle je vais vous lécher j’ai envie d’essayer, mais robert va me prendre ?
- Bien sûr ma belle que je vais te baiser et regarde avec quoi …
- Mon dieu quel outil !
- Ce n’est pas une quéquette de gamin comme vos mecs !

Ma chatte redouble de suintements, ça me coule a l’intérieur des cuisses, les jambes droites, je me penche sur la chatte au parfum de femme en chaleur, Murielle me guide tandis que le docteur fouille mon entre jambes d’une main et avec l’autre tape sur mes fesses avec sa trique de chair

- Je vais explorer le fond de ta gaine vaginale laissé vierge par ton mari
- Mmuuuuuummmmmm !
- Elle est douée pour lécher la salope ! enfonce lui ta bite sans ménagement, elle va hurler de joie
- Voilàààààààààààààààà ….. ça rentre comme dans une motte de beurre
- HHHUUUUUUUUUMMMMMM !

Je me sens pleine d’un gros bâton a la fois doux et dur, il coulisse d’abord lentement puis, prend de la vitesse, l’homme se tient a mes seins, les bouts sont roulés entre les doigts, c’est simplement sublime, irréel
Murielle hurle de bonheur, parce que dans le feu de l’action je lui mords le bouton, mais finalement elle apprécie cette douce torture
Plus il me tape dans le vagin plus j’arrose les couilles de robert, ma belle mère me donne généreusement sa liqueur à boire, quel bon après midi je passe là ! Soudain le docteur lâche mes nibars et saisi mes hanches, il reste collé a moi, sa queue frétille dans mon con, des jets saccadés fusent en moi, mes jambes fléchissent, ma tête et mon ventre explosent dans une jouissance phénoménale
Je me laisse glisser a genoux, la queue encore raide est expulsée de mon corps, mon vagin se vide dans un bruit qui me fait honte
Je me retrouve encadrée par les pieds de robert qui cherche à s’approcher de ma belle mère, toujours allongée et écartelée sur la table, pour lui rentrer sa matraque dans la moule, des gouttes de plaisir tombent dans mes cheveux
Je m’extirpe de cette position inconfortable, pour passer le temps je m’enhardie a presser les testicules de l’homme

- Ta belle fille est une bonne salope ! Elle fera le bonheur de Victor !
- Qui est Victor ?
- C’est un jeune noir que j’ai embauché, pas pour le boulot, mais pour contenter les chiennes assoiffées de sexe dans votre genre
- Il fait ça ici ?
- Non, sur rendez vous a domicile, il ne demande rien, a part un bon repas après avoir tiré tout l’après midi
- Je prends rendez vous dés aujourd’hui !!!!!!!!!!!!