Merci l'Hiver

- Par l'auteur HDS Langagile -
Récit érotique écrit par Langagile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Merci l'Hiver Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Merci l'Hiver
<p>Avec la neige qui est tombée en abondance et aussi en fonction du froid très vif de ces derniers jours, un matin, passant de très bonne heure devant un arrêt de bus en pleine campagne, j’ai remarqué une petite femme qui attendait le bus recouverte des pieds à la tête de vêtements protecteurs. N’écoutant que ma bienveillance, je lui ai proposé de l’emmener en voiture jusqu’à la ville voisine, ce qu’elle a accepté immédiatement.

Les jours suivants, si elle était là j’ai fait la même chose. Nous avons discuté de choses et d’autres durant le trajet long de 7 ou 8 kilomètres. Elle a commencé après quelques voyages de parler relations homme / femme…. Et je me suis pris au jeu.

Il y a quelques jours, elle m’a avoué que, séparée depuis 6 mois, elle se sentait un peu seule dans son grand lit et, occasionnellement, elle aimerait bien qu’une personne du sexe opposé vienne lui tenir chaud un moment. Cela s’est passé pour la première fois il y a trois jours.

Quelle surprise de la voir sans les vêtements chauds qu’elle porte le matin lorsqu’elle m’a accueilli chez elle, vêtue d’un kimono noir, fendu de chaque côté jusqu’en haut des cuisses. Nos lèvres se sont mélangées et pendant ce moment là, mes mains se sont incrustées sous le kimono où j’ai senti une peau très douce et, m’aventurant en haut de ses cuisses, aucune trace de pilosité.

Lentement et tendrement, nous nous sommes découverts en nous déshabillant mutuellement.Très rapidement, nous nous sommes retrouvés dans le plus simple appareil et sommes restés debout, collés l’un contre l’autre, mon sexe caressant simplement ses lèvres intimes et son clitoris gorgés de sang. Prenant possession du lit, et ayant quelques soucis à cause de son inactivité sexuelle de 6 mois, il convenait de préparer sa chatte à me recevoir. Ma langue s’est occupé de son clitoris et de sa chatte rasée et au bout d’un moment, ses lèvres se sont emparées de mon membre qui était au maximum de sa grosseur. Devant les quantités de cyprine qu’elle produisait, je l’ai délaissé quelque peu la laissant s’occuper de moi. J’aime beaucoup un 69, mais quelquefois, il faut laisser faire sa partenaire seule, les sensations sont beaucoup plus agréables.

Elle m’a alors demandé de la prendre avec douceur, tout d’abord de la plus classique des positions. Elle a saisi ma bite dure et longue et la dirigeant vers sa chatte s’est embrochée dessus. Je n’avais pas besoin de bouger, une frénésie s’est emparée d’elle et elle a commencé à faire des va-et-vient de plus en plus rapides, tellement que j’ai dû la freiner, ne pouvant pas résister à ses envies.

Lui ayant laissé toutes les initiatives jusqu’à présent, j’ai mis un holà à cette frénésie en la retournant et le prenant en levrette. Mes mains devenues libres, ont commencé à lui masser ses fesses fermes et lisses, un de mes doigts s’est présenté sur sa rondelle, elle m’a autorisé à le faire pénétrer et je suis allé jusqu’au bout de ma jouissance en rythmant les allées et venues, une fois le doigt, une fois ma queue jusqu’à ce que je remplisse le préservatif.

Jamais je n’ai connu une femme mouillant autant, dans sa chatte ma bite avait l’impression de rentrer dans du beurre. Nous étant un peu calmés, elle m’a ôté la capote et est venue me nettoyer le sexe avec sa bouche.

Couchés côte à côte, pour un petit moment de récupération, chacun à fait part à l’autre de ses envies, de ses préférences, de ses fantasmes aussi. La plus folle de ses envies était de se faire sodomiser une fois, mais devant la grosseur de mon sexe, elle hésitait. Je lui ai dit que je pouvais la préparer avec un, puis deux doigts, de mettre un gel sur ma queue et son anus, et de ne pas la forcer si elle sentait que cela n’irait pas. Après quelques préparatifs, mon gland s’est présenté sur sa rondelle lentement, ses mains écartaient ses fesses, et doucement j’ai commencé à la déflorer de ce côté pendant qu’une de ses mains titillait son bouton de rose. Son envie étant tellement forte que ses fesses se sont reculées d’un seul coup et mon membre s’est trouvé pris au piège de son anus, je l’ai besognée un long moment et à ma surprise, j’ai pû éjaculer une seconde fois en elle pendant qu’elle étouffait ses cris de jouissance dans l’oreiller.

Il devenait temps pour moi de rentrer retrouver ma femme en espérant qu’elle n’aurait pas d’envies ce soir là. Tous les deux sous la douche, nous nous sommes promis encore quelques 5 à 7 torrides et je me réjouis de recommencer la semaine prochaine, mais là, c’est moi qui dirigerait toute la manœuvre, elle m’a promis de ressortir un gode qu’elle a utilisé une seule fois pour que je puisse la baiser avec, pendant que ma langue s’occupera de son clitoris ; il est possible aussi que ce gode la sodomise pendant que je la prendrais en levrette. Vivement la semaine prochaine.

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Désormais, j’ai arrangé mon horaire afin de pouvoir véhiculer Sylvana tous les matins. Nous profitons de ces quelques kilomètres pour dialoguer tendrement, avant de se retrouver le jour qui s’y prête le mieux pour moi et aussi pour elle, c’est à dire le lundi en fin d’après midi de 5 à 7…. Nous nous sommes revus et comme je l’avais dit, voici la suite. (Elle n’a pas Internet et je ne lui ai pas parlé de ces textes).

Oh surprise ! lorsqu’elle a ouvert sa porte, elle était dans le plus simple appareil, son chignon de la dernière fois défait, ses longs cheveux noirs tombaient sur ses épaules, après l’avoir embrassée, ce quelles sont douces ses lèvres… , mon regard s’est porté sur son pubis pour voir si sa pilosité avait repoussé, elle avait fait en sorte qu’il soit toujours aussi lisse. Je n’ai eu que le temps de poser les fleurs que j’avais à la main par terre qu’elle s’attaquait déjà à mon pantalon et qu’elle sortait ma bite pour l’emboucher. Belle entrée en matière.

Cette fois c’est moi qui doit diriger la manœuvre avec comme exception son fantasme de se faire baiser avec un gode pendant que ma langue s’occupe de son bouton de rose.

Arrivé dans la chambre, sur la table de nuit était posé un gode de taille moyenne, j’ai fini de me déshabiller pendant qu’elle mettait les fleurs dans l’eau et lorsqu’elle est venue me rejoindre nous nous sommes installés afin que lui fasse un cunnilingus royal pendant que ma main faisait entrer et ressortir le gode de sa vulve. En alternant les moments rapides avec des aller-retour très lents, elle a joui comme lors de notre première rencontre et des torrents de cyprine ont coulé le long de ses cuisses. N’y tenant plus, je lui ai demandé une fellation, ce 69 et ce gode qui lui pénétrait la chatte ont fait que je n’ai plus pu me retenir, voulant sortir et lui déverser mon sperme sur la poitrine, elle a refusé, j’ai alors déversé ma semence par de longs jets dans sa bouche jusqu’au fond de sa gorge.

Doux moment que cette jouissance intime des deux partenaires. Il conviendrait quand même que l’on confie aux plus jeunes qu’avec nos corps vieillissants en émoi (elle 51, moi 59), ce n’est plus l’heure des amours casse-croûte, vite faits bien faits, mais au contraire d’un festin de seigneur. Il y a d’abord manger à sa faim, s’assouvir ! Plus tard manger à son goût, et l’orgasme vient ! Encore plus loin déguster sans fin, alors jouir survient ! Il conviendrait quand même que quelqu’un le dise clairement : faire l’amour à la cinquantaine passée, c’est sacrément bon !

Après un petit souper, dans le plus simple appareil, elle a répondu à une de ses copines au téléphone, j’ai profité de ce moment pour lui écarter les jambes et revenir avec ma langue pendant qu’elle discutait. Il me semble que son interlocutrice (Françoise) s’est douté de quelque chose, d’après ce qu’elle m’a dit ensuite sur le charme de cette personne, j’aimerai bien faire aussi sa connaissance. Sylvana a eu une fois, il y a longtemps, une expérience avec une autre femme, moi j’en ai eu une il y a quelques mois avec deux femmes. Alors pourquoi pas…. Sait-on jamais. Elle lui en parlera peut-être me dit-elle.

Après l’avoir caressée, après avoir pris la pointe de ses seins dans ma bouche, elle m’a fait une branlette espagnole qui a redonné toute sa vigueur à mon sexe, je lui ai demandé de venir sur moi afin d’avoir les mains libres pour la caresser à nouveau pendant qu’elle montait et descendait sur ma hampe dressée. Mes mains se sont remises à titiller la pointe de ses seins, sont venues s’occuper de son clitoris, ont saisi ses fesses en la faisant aller d’avant en arrière, elle a commencé ensuite à contracter les muscles de son vagin et nous a amené une deuxième fois à la jouissance totale.

Ces deux heures passées ensemble et notre accord, pour le moment parfait, me font espérer que ces moments se prolongeront, mais malgré tout, je lui ai dit que si elle venait à trouver l’âme sœur (il est bon de prévoir ce cas de figure), je ne lui en voudrais pas et que nous nous stopperions notre relation tout en restant en contact et en conservant notre amitié. Je ne remercierai jamais assez la mauvaise météo qui m’a fait prendre Sylvana dans ma voiture un matin.

Une dizaine de jours plus tard, mon épouse étant 2 jours chez sa mère malade, j’ai demandé à Sylvana si elle était d’accord de venir souper avec moi dans un petit restaurant pas trop loin de chez elle. Nous nous y sommes retrouvés et, mais pas seulement elle et moi, elle avait demandé à sa copine Françoise (39 ans) de venir avec nous. La soirée qui était programmée pour après à 2 allait donc se passer à 3.

Les filets de perches et le vin blanc aidant, nous sommes ressortis du resto légèrement gais et nous nous sommes rendus chez Sylvana. Pendant que nous buvions encore un café, nous avons abordé la suite de la soirée. Françoise, à qui Sylvana avait parlé des 2 soirs que nous avions passés ensemble, a voulu débuter par un strip-tease en musique sur la musique du film Ray Charles. Un feu de cheminée ronflait dans la pièce, nous avons décidé de rester devant ces braises, nous qui étions aussi de braise.

Langoureusement, elle s’est dénudée laissant apparaître des formes plus rondes et, je l’avoue, plus voluptueuses (genre Valérie Mairesse) que Sylvana. Elle est une vraie blonde et lorsqu’elle est venue tout près de moi, j’ai apprécié ses rondeurs avec mes mains avant de m’agenouiller à ses pieds pour goûter à sa chatte, à son clitoris, à ses grosses lèvres. Ma langue l’a fait jouir assez rapidement et pendant ce temps là, du coin de l’œil, j’ai vu Sylvana qui se déshabillait. Je me suis donc retrouvé le seul habillé de la pièce. Me levant pour à mon tour enlever mes derniers habits, les 2 femmes ne m’ont pas laissé faire tout seul et pendant qu’une m’enlevait le haut, l’autre s’attaquait au bas. Une fois dénudé, deux bouches se sont occupé de moi à tour de rôle et sur le moment, en fermant les yeux, j’étais bien incapable de dire dans laquelle j’étais. Mais j’ai dû demander une pause sous les coups de langue, les aspirations et ses bouches chaudes.

Pendant que je me régénérais, mes deux partenaires ont commencé à se caresser, à se lécher, chacune son tour, doux spectacle… Je les ai observé un long moment avant de leur demander de faire un 69 ensemble, avec Françoise sur le dessus, ce qui m’a permis, après m’être équipé d’un petit manteau de latex, de la prendre en levrette en caressant ses fesses fermes et bien remplies. Ici aussi, tout comme Sylvana les autres fois, sa chatte était trempée et je coulissait sans aucun problème malgré qu’elle m’ai dit précédemment qu’elle trouvais mon sexe « un peu gros ». Les deux femmes ont ensuite inversé les rôles, Sylvana est venue sur le dessus et j’ai recommencé en elle, mais mon envie était trop forte et sans aucune retenue j’ai rempli le latex.

Avec l’alcool bu plus tôt dans la soirée, j’ai eu beaucoup de mal à revenir en forme. Aussi j’ai laissé les deux femmes s’amuser entre-elles, me contentant du rôle de spectateur. Le gode ayant été ressorti de son tiroir, elles se sont « baisées » à tour de rôle en m’attendant.

Je me suis alors couché sur le dos et leur ai demandé ensuite laquelle aimerait ma queue et laquelle ma langue, elles sont venues prendre position, Sylvana s’est agenouillée au dessus de mon sexe et est descendue lentement sur la cible pour m’enserrer dans sa chatte chaude et toujours trempée pendant que Françoise à posé sa vulve sur ma bouche. Cette position a duré un long moment, je n’avais plus de sperme à disposition, ma raideur tenait et elles en ont profité pour changer de place. Ensuite, Françoise m’a demandé de m’asseoir sur le canapé, elle est venue s’embrocher sur mon sexe en me tournant le dos, je sentais ses fesses sur mon pubis, ses seins lourds avaient du mal à tenir dans mes mains et elle présentait son clitoris à Sylvana que cette dernière s’est empressé de prendre dans sa bouche et de la faire jouir. Heureusement qu’il y a peu de voisins aux alentours car les cris de plaisirs ont fusés. Après un certain temps, moi j’étais mort, mais elles étaient radieuses.

La soirée « sexe » s’est terminée, après une douche et enfin rhabillés, en discussions autour d’un verre avec des projets sexe futurs. Quant ?, cela dépend de moi et de ma disponibilité ainsi que de celle de Françoise qui est maman célibataire et doit faire garder son petit garçon. Nous verrons cela plus tard.

J’ai ramené Françoise chez elle. En cours de route nous avons échangé nos n° de portable, si jamais… Elle m’a fait part du plaisir qu’elle avait eu à trois mais qu’elle préfère de beaucoup les séances sexe à deux et que, elle avait une nette préférence avec les hommes qui ont l’âge de son père. Nous avons 20 ans d’écart aussi….

Elle m’a rappelé deux jours plus tard, je m’y attendais. Nous nous sommes donnés rendez-vous tout d’abord pour prendre un verre et elle m’a fait part de divers désirs, envies, problèmes qu’elle avait eu avec des jeunes et qu’elle ne voulait plus revivre, du test HIV qu’elle venait de faire la veille et surprise, je vais demain chez le médecin faire un contrôle complet, test y-compris. Elle me dit ne pas supporter les préservatifs, ni la pilule et ne veux pas être enceinte si nous ne nous protégeons pas; je l’ai rassurée du fait que j’ai eu il y a presque 30 ans une vasectomie, j’ai dû lui expliquer ce que c’était. Elle était embêtée aussi que je sois aussi le partenaire sexuel de Sylvana, nous pourrons certainement nous arranger car elle sait qu’elle vient de rencontrer quelqu’un sur son lieu de travail et que peut-être une relation s’amorce, chose que Sylvana m’a caché, mais, bref …. Nous avons décidé d’attendre une bonne semaine (résultats des tests) et de revoir la chose ensuite.

(peut-être à suivre)


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